Tumgik
kolia-k · 5 years
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ALENA
Je retranscris ici l’intégralité du texte d’ALENA, avec les différents essais de texte, forme initiale, ratures et choix définitif, sans revenir sur l’explication du fond. Uniquement la forme ici ;)
Le premier couplet est celui qui aura le plus changé comme vous pouvez le voir sur les deux premières photos. Les premiers essais étaient trop scolaires, chiants, trop didactiques, la dernière tentative fut la bonne avec le travail sur l’allitération en “P” qui commence à naître sur les essais précédent.
Le refrain a aussi eu plusieurs formes et surtout la fin.
Place au texte final que je vous laisse relire si vous le souhaitez en le comparant au manuscrit, avec en prime la fin “alternative”. Si vous n’arrivez pas à tout relire ou si vous avez la moindre question, n’hésitez pas!
J’étais H.S pire / qu’un  pantin qui respirait
Blafard dans le brouillard plus rien ne m’inspirait
Mais l’entropie prospérait / Moi j’étais propre et j’espérais
Pouvoir jeter l’opprobre sur tous ceux qui m’exaspéraient.
Là / Alena est apparue comme une déesse / Dans le palace de mon ivresse
Alors qu’j’étais en PLS
Belle et sans complexes dans mon plexus comme un coup de blast
La vie,  soudain,  est devenue plus vaste.
Entassé / tassé en moi / J’voulais déjà t’embrasser
Quand tu m’as ramassé comme si on m’avait tabassé / Tu m’as /
Repoussé / Loin de toi et loin de mes envies / Tout d’suite refroidis
J’ai compris que tu préférais les filles
 J’voulais faire plus que t’inviter / Loin dans le noir sensuel /
Te prendre / Te protéger
Brûler tes yeux avec le ciel /
T’avoir te posséder d’un amour  inconditionnel /
J’irai graver ton nom au fond d’la foire aux immortels
 Alena
Je me sens femme / Je me sens homme
Pour toi comme un charme / Je changerai mes formes /
Alena Hors de l’ennui
Alena Hors de la norme
Tu marches dans ma nuit /Tes pas en moi résonnent
Alena
Je me sens vide / Je me sens comme
Ces formes qui décident / Qui font ce que nous sommes
Alena Quelle ironie /
Alena Quel triste sort / D’être né du mauvais genre  
Mon brouillard / empir/ais
Tu m’obsédais encore sans céder à mes désirs / Je répétais alors /
Ton nom Alena / Ton nom comme un mantra
Je me répétais le procédé de nos ébats / J’t’ai dit regarde
Mes formes / Se courbent et s’arrondissent /
Tandis que disparaissait cet appendice entre mes cuisses /
La brume nous enlassait / Mes formes devenaient flous /
Et se laissaient lacérer / Par un amour devenu fou
Je voulais faire de toi / Mon Amanda Knoxx
Mon soleil au Zénith / Mon sel mon équinoxe
Même si je savais qu’la part des anges est pleine d’ecchymoses
Je te dévorais / Les yeux pleins d’eau de rose
J’voulais me métisser / Me libérer de cette mélasse
Dont les être sont tissés / Drapés d’un genre dégueulasse
La vie ne suffit pas / La nuit est cruelle
Alena quelle ironie / Mais qu’est-ce que t’étais belle
Second Refrain
Tu t’étais / Déjà éloignée / Quand le brouillard s’est dissipé
Et j’n’avais pas anticipé / Ton départ précipité
Des souvenirs verglacés / C’est tout ce que j’garde de toi
Hors de moi tu m’as laissé / Et c’est très bien comme ca
Parce que t’façon j’t’aurai trahis / Et comme un con j’t’aurai maudit
Encore une fois j’ai rien compris / Visiblement j’ai rien appris
Mais t’as quand même changé ma vie / Tes pas en moi résonnent
Et depuis qu’t’es partie Alena / J’me demande si j’préfère pas les hommes
Alena
Je garde de toi / Tes pas qui résonnent /
Mon être en éclat / En somme
J’ai rien compris / J’ai rien appris /
Mais t’as quand même changé ma vie
Et je n’sais toujours pas / C’qui fait de nous des hommes
Alena
Je me sens vide / Je me sens comme
Ces formes qui décident / Qui font ce que nous sommes
Alena
Pire que l’ennui
Alena
Pire que la norme
Tu marchais dans ma nuit
Est-ce que je suis un homme ?
Alena
Je me sens femme / Je me sens homme
Pour toi comme un charme / J’ai courbé mes formes
Alena
Pire que la mort
Alena quel triste sort
D’être fait du mauvais genre
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kolia-k · 5 years
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“L’image se fixe et se répète / Comme si tu / Vivais dans un Gif abjecte” - Extrait des Lyrics de Grand soir, single à venir en 2019.
Cinemagraphe réalisé par Philip Stephenson pour Rouen.photo
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kolia-k · 6 years
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Lyrics du single “Arcane 18″
Premièrement, l’origine du titre : Plusieurs d'entre vous m'ont demandé pourquoi avoir choisis "Arcane 18" comme titre de mon nouveau single. Voilà une partie de l'explication qui peut apporter un éclairage sur les paroles de la chanson. Je suis parti de la carte 18 d'un jeu de Tarot divinatoire. En Tarot divinatoire chaque carte est symbolisée par un numéro appelé "Arcane", il y'en a des majeurs et des mineurs. Voici ce que représente la carte 18 : ""La Lune – ou le Crépuscule – 18e arcane majeur du Tarot, principe féminin, est le symbole des créations imaginatives. Elles est le rêve, l'imagination, l'intuition et la sensibilité. Cet arcane met en évidence tout le côté obscur et négatif de l'inconscient. Il cherche à nous débarrasser de nos impuretés. L'angoisse, la dépression, les manies destructrices, les obsessions, les inhibitions, tous les problèmes psychiques et mentaux sont révélés et La lune nous encourage à les éliminer" Source : http://secretsdutarot.blogspot.com 
L’intégralité du texte :
Force est de constater qu’tu prends ton pied
A voir tremper, ramper ta vie dans la boue
Tes ennemis, ta famille, les cleans et même les fous
Tu bois, tu trip, t’extirpes de tes tripes, le pire de ton spleen,
T’expires de ton spliff le pire de tes crimes
Tu cries, tu t’crispes, tu craches, tu t’crash tu refais surfaces
Tu plonges, plonges, plonges tu te ronges les songes
Quand tu pleurs, pleurs, ploies sous le poids d’ton cœur
 Alors tu bois, tu tripes, t’extirpes de tes tripes la moindre parcelle de folie
Comme une échelle vers la sortie
 Force est de constater que tu kiff ramer cramer creuser
Tu cherches l’absolue à faire valoir ta folie au cœur des pires parvenus
Tu bats en retraite quand les autres te traitent, t’enfoncent,  te jettent et te prennent la tête
Tu fonces, t’insultes, leurs langues de P**** exultent
Quand tu stress, stress, stress tu caresses ta graisse
Qui t’protège des autres, du monde qui t’agresse sans cesse
 Alors tu bois, tu tripes, t’extirpes de tes tripes la moindre parcelle de folie
Comme une échelle vers la sortie
Regarde tu crèves, jamais personnes n’te relève de tes rêves,
T’es comme une proie pour l’absolue, comme ceux qui n’en sont jamais revenu.
 Force est de constater qu’tu t’efforces à peine de forcer ta peine,
De t’forger toi-même,
De voir au-delà des forces qui t’entrainent, t’entravent  et te gêne.
T’entames une amorce de descente, une fois, mille fois,
Tu replonges, tu te ronge les songes, ton âme est trop lente
Une fois sans toi, elle s’éloigne de toi te laisse et t’allonge.
Tu pars en vrille salement, tu stries les strates de ta vie
Seulement tu sers les poings calmement et t’envoies chier ceux qui veulent que tu rentres dans le rang
 Alors tu bois, tu tripes, t’extirpes de tes tripes la moindre parcelle de folie
Comme une échelle vers la sortie
Regarde tu crèves, jamais personnes ne te relève de tes rêves,
T’es comme une proie pour l’absolue, comme ceux qui n’en sont jamais revenu.
 Tu plonges, plonges, plonges tu te ronges les songes
Quand tu pleurs, pleurs, ploies sous le poids d’ton cœur
Tu nages et tu survis, dans cette mer de pouces levés
Puisque ta mort annoncée, dans leurs pages à échouée
 Alors tu bois, tu tripes, t’extirpes de tes tripes la moindre parcelle de folie
Comme une échelle vers la sortie
Regarde tu crèves, jamais personnes n’te relève de tes rêves,
T’es comme une proie pour l’absolue, comme ceux qui n’en sont jamais revenu,
T’expires, en vain, respires, enfin, tu sens l’écume des jours se déverser sur ton destin,
Alors essayes, encore, au moins, sois fort, à l’automne de ta vie,
Tu restes hardcore jusqu’à la mort.
Le titre de ce morceau est une référence direct au livre “Arcane 17″ d’André Breton.
Pour voir le clip :  https://youtu.be/Trq_QrJCNPE
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kolia-k · 6 years
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“T’expires, en vain, respires, enfin, tu sens l’écume des jours se déverser sur ton destin”
Voici “Arcane 18″, mon nouveau single.
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kolia-k · 6 years
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Regarde tu crèves, jamais personne ne t'relève de tes rêves
Kolia .K - Arcane 18
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kolia-k · 6 years
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Pour ceux qui ont le mal du père / Ceux dont rien ne peut remplacer la colère
1er Single paru en Juin / Le nouveau arrive dans deux semaines
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kolia-k · 6 years
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T'expires / En vain / Respires / Enfin / Tu sens l'écume des jours se déverser sur ton destin
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kolia-k · 6 years
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kolia-k · 6 years
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Ici l’intégralité de “Parricide” dans sa première version avant l’enregistrement ainsi que les corrections apportées :
L’ampleur du désastre est à peine perceptible / Comme une bombe / Comme une fronde à la saveur de revanche / comme une salve sans cesse révélée en avalanche / La course de mon astre / Était devenue sa cible.
Intact comme toujours au jour naissant / J’reprends contact avec le mythe adolescent / Celui qu’on perds / Celui qu’on cherche / A force de traîner dans l’urgence / Contraint de me soustraire à l’addition des forces en présence.
Ça sent le sec l’absence le froid des sentiments / Et le ressac des sentiments / Comme si je n’avais que ça que du ressentiments / Forcé de se taire pour une réponse / Genoux à terre / Devant mon père / Poussé au bout de l’esthétique de la défonce. (Cette partie sera entièrement ré écrite suite à l’enregistrement comme ceci : Ça sent le sec l’absence le froid des sentiments / Un truc de mec un peu trop viril et indécent / J’devais lui plaire, j’devais me taire / Genoux à terre devant mon père / Partir et m’enfuir était devenu nécessaire).
J’ai son âme ficelée au corps / Incandescente et pire encore / Frappée d’elle même de sa faiblesse / J’puisais ma force de justesse / J’allais perdre mon éclat, dans le huis clos de ses bras / J’allais perdre mon éclat / Dans le huis clos de ses pas.
J’deviens trop sûr de moi devant l’aura de mon surmoi / Mais trop peu fier de qui naîtra au lendemain de moi / J’suis amère devant nos pères qui ne tiennent pas le choc / Avant le crash / Avant le clash / Des balles en stocks / Chargé à bloc....
Alors je tue le père et j’aime le faire / Et plus rien à foutre et j’ai rien d’autre à faire / Je tue le père et j’aime le faire / Comme un rituel éphémère qui m’soulage et puis m’enterre / Par ici le parricide / Balancé au dessus du vide / Pari stupide / Trop de pères sont perfides / J’me cache et j’m’enterre et je cherche la lumière / La gueule sur le bitume sous un putain de réverbère.
Je sens son ascendance crasse suinter sur moi / Laisser des traces mais non je n’pardonnerai pas / Puisque la peur est tenace dans cet ultime combat / Que l’avenir me menace mais non je n’abandonne pas /Trop de rancœur accumulée dans mon bunker / Pas de pas de torpeur accumulée dans mon viseur.
Mais dis moi qui de toi ou moi s’avance dans le miroir / T’étais pas là me cherche pas / J’irai pas faire les fonds d’tiroirs / Ne m’en veux pas putain d’reflet / Ne m’emmènes pas dans ton sillage / Peut être comprendra tu quand j’refuserai ton héritage.
J’veux pas être comme toi / Implacable et aussi froid / Comme cette pierre angulaire qui me sers de repaire / Englué dans ta tanière / Par ici le parricide / J’te suivrai en enfer mais j’irai pas jusqu’au suicide.
En pâture à l’extrême / Voilà mes blessures en exergue / Face au pouvoir que t’exerce / Sur mon aura que j’exècre / Excuse et expulse l’enfant qui meurt / Trop de rancœur accumulée dans mon bunker
2ème refrain
Pont : Génétique obligée / J’ai des tics tous cramés / Trop crispé à l’idée d’être ton portrait craché / A la face de ma mère / Des chemins de traverse / Que j’ai pris à l’envers pour finir à la renverse
Fin : Alors je tue le père et j’aime le faire / Et plus rien à foutre et j’ai rien d’autre à faire / Je tue le père et j’aime le faire / Comme un rituel éphémère qui m’soulage et puis m’enterre / Par ici le parricide / Balancé au dessus du vide / Pari stupide / Trop de pères sont perfides / J’me cache et j’m’enterre et je cherche la lumière / La gueule sur le bitume sous un putain de réverbère.
J’veux pas être toi / J’veux plus être moi / Mais qu’est-ce qu’il te reste Au travers de moi ? Par ici le parricide / Balancé au dessus du vide / Pari stupide / Trop de pères sont perfides / Trop de pères sont partis / Trop de mères sont meurtries / Trop de frères séparés / Trop de fils sacrifiés / J’me cache et j’m’enterre et j’te cherche dans le vide / J’te suivrai en enfer mais j’irai pas jusqu’au suicide.
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kolia-k · 6 years
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Extrait de “Parricide” / 1er single à voir et écouter en entier ici :
https://youtu.be/PyUijwg8j70
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kolia-k · 6 years
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Ne réalisez jamais tous vos rêves / Il ne vous resterait que vos cauchemars
Kolia .K
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kolia-k · 6 years
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Fou du Roi / Le Roi tombera
Annonce du titre et de la date de sortie de mon premier single dans quelques jours / Kolia .K
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kolia-k · 6 years
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Kolia .K / 1er single : Juin 2018
Plus d’infos :
Twitter : https://twitter.com/Koli4_K
Facebook : https://www.facebook.com/Koli4.K/
Insta : https://www.instagram.com/kolia_.K/
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kolia-k · 6 years
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Carnet d’écriture / Kolia .K  / Jour - 1
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