Tumgik
#Contre Jour Bananier
alinenaturelle · 1 year
Photo
Tumblr media
Voici le contenu de la #Box #Lush Fresh & Flowers de Février. 🌸 Je commence par leur produit "mystère" enveloppé dans une une feuille de Bananier (voir la "révélation" en photo 2 😉) Il s'agit de l'#exfoliant corporel "More than Mortal". Bien que je n'utilise quasiment jamais ce type de produit, j'ai apprécié sa texture crémeuse, ses noix d'amandes moulues, légèrement gommantes, et surtout l'effet exfoliant #enzymatique de l'ANANAS, et son odeur à tomber !  🍌 Ensuite le #MASQUE visage FRAIS "Banana & Vanilla Stuff" : J'ai utilisé au moins 100+ masques dans ma vie, mais c'est bien la 1ère fois que je constate un tel effet douceur sur ma peau. Jusqu'au lendemain, où je tâte/tripote ma peau, toujours aussi douce, c'est inédit 🥰 🍋 Nettoyant LEMON (Gelée fraiche nettoyante pour le visage ou le corps) : C'est mon gros COUP DE COEUR de cette box, un peu comme le Grand Disque #Nettoyant Visage FESTIVE FLANNEL de la Box de Janvier mais encore mieux ! Sensation de Fraicheur absolue du #CITRON FRAIS, gelée délicate nettoyante, légèrement astringente, qui laisse la peau parfaitement propre et lisse. Et cette odeur citronnée à tomber, J'ADORE 🥰 🌹 "Rosey, Apples, Lemon & Pears" : Autre nettoyant visage très agréable, bien plus tendre / moins exfoliant que "Bûche de Noêl" reçu dans la box de Janvier. Ce nettoyant "en "pâte" est très doux et hyper agréable : Parfum de Roses, Pommes, Citron et Poires, un délice 🍐 🥒 2023 Cucumber Eyes Mask : C'est un ENORME masque (taille, épaisseur...) pour le contour des yeux. Je ne l'ai pas encore utilisé car pour moi rester les yeux fermés est très difficile (entre internet, lectures voire TV...). A suivre ! 🦶 Idem pour le Nettoyant "Two Step" pour les pieds, sans doute très bien, mais moi je ne fais de soins pieds qu'en été, quand on peut les voir ! Donc à suivre aussi.. 💐 Bouquet de fleurs Narcisses Papyraceus et chardons de noisetier : Très joli, mais par contre durée de vie à peine 3 à 4 jours. Rien à voir avec le bouquet du mois de Janvier qui a tenu bcp plus longtemps #Lush #freshandflowers #fevrier #content #avis #contenu #mask #skincare #scrub #face #cleanser #EyePad #natural #skincare #exclusive #new (à Paris 11eme) https://www.instagram.com/p/Cov1rwroEPj/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes
devoirat · 2 years
Text
Devoir de Contrôle 1 Français 3ème Math
Tumblr media
Texte :                                                  VOYAGE AU CONGO Bangassou, 8 octobre.   Je n'ai pu trouver le temps de rien noter ces derniers jours. Le pays a changé d'aspect. De très étranges mamelons mouvementent la plaine; sortes de collines basses, régulièrement arrondies, dômes que M. Bouvet nous dit formés par d'anciennes termitières*. Et je ne vois point quelle autre explication donner à ces soulèvements du sol. Mais ce qui me surprend, c'est de ne voir dans toute la contrée aucune termitière monumentale récente; celles, immenses, dont ont pu se former ces tumulus*, doivent, désertées depuis longtemps, vraisemblablement être vieilles de plusieurs siècles; l'action des pluies n'a pu que très lentement désagréger ces sortes de châteaux forts ou de cathédrales aux murs quasi verticaux et durs comme de la brique, que j'admirais dans la forêt des environs d'Eala. Ou bien est-ce là l'œuvre de termites d'une race différente? Et ces termitières ont-elles été de tout temps arrondies? Toutes, pourtant, semblent déshabitées depuis longtemps. Pourquoi? Il semble qu'une autre race de termites à petites constructions soit ici venue occuper le sol à la place des termites monumentaux. (...)   Tout le long de la route, sur un parcours de cinquante kilomètres, suite presque ininterrompue de villages et de cultures des plus variées: céaras, riz, mil, maïs, ricin, manioc, coton, sésame, café, taro (grand arum aux rhizomes comestibles), palmiers à huile et bananiers. Des deux côtés bordée de citronnelles, la route semble une allée de parc. Et, cachée à demi dans le feuillage, tous les trente mètres environ, une hutte de roseaux en forme de casque à pointe. Ces cités- jardins, étalées le long de la route, forment un décor sans épaisseur. La race qui, les habite et les surpeuple n'est pas très belle ; soumise depuis deux ans seulement, elle vivait éparse dans la brousse; les vieux demeurent farouches; accroupis à la manière des macaques, c'est à peine s'ils regardent passer la voiture; l'on n'obtient d'eux aucun salut. Par contre les femmes accourent, secouant et brinquebalant leurs balloches(…)   Le 6 nous avons couché à vingt kilomètres de Mobaye, où nous préférions ne pas arriver à la nuit. Devant le gîte d'étape de Moussareu, ahurissant* tam-tam; d'abord à la clarté de photophores, tenus à bras tendus par nos boys; puis au clair de la pleine lune. D'admirables chants alternés rythment, soutiennent et tempèrent l'enthousiasme et la frénésie* du pandémonium. Je n'ai rien vu de plus déconcertant, de plus sauvage. Une sorte de symphonie s'organise; chœur d'enfants et soliste; la fin de chaque phrase du soliste se fond dans la reprise du chœur. Hélas! Notre temps est compté. Nous devrons repartir avant le jour.   Le 7, au petit matin, nous ne quittons ce poste qu'avec l'espoir d'y revenir dans quelques mois, à notre retour d'Archambault. L'aube argentée se mêle au clair de lune. Le pays devient accidenté; collines rocheuses de cent à cent cinquante mètres de haut, que contourne la route. Nous arrivons à Mobaye vers dix heures.   André Gide, Voyage au Congo, dans Journal, souvenirs (1939-1949), Bibliothèque de la Pléiade, 1960, pp.720-723.   Lexique :   Termitières : Nids d’insectes (appelés termites) construits en terre ou en carton de bois. Tumulus : Grand amas de pierres élevé au dessus d’une construction préhistorique. Frénésie : Délire intense / extase / joie /   Lycée Bourguiba Monastir DEVOIR DE CONTRôLE N°1 Nom et Prénom :………………………. ……………………………Classe : ……….   A- Compréhension : (6points)   - Au début de sa visite à Bangassou, le narrateur fut Qu’est-ce qui a provoqué sa surprise ? (1pt)   ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………   - a- Par quoi s’expliquent les variations de cultures qu’il a constatées dans son parcours au Congo? (1pt)   ……….……………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………….   b-Trouvez deux indices textuels qui le montrent. (1pt) ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………   - a- Quel effet, ce voyage avait-il sur le narrateur ? (1.5pts) ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..   b- Relevez et expliquez un procédé d’écriture qui met en valeur cet effet. (1.5pts) ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ……………………………………………………………….   B- Langue : (4 points)   1) Relevez quatre noms de régions visitées par le narrateur dans ce texte. (1pt)   *…………………………………… *……………………………………. *………………………………… *…………………………………….. 2)* L’absence des termitières monumentales est due à l’arrivée de certaines races différentes. a/Identifiez le rapport logique exprimé dans cette phrase. (0.5) àà …………………………………………………… b/Réécrivez la phrase en utilisant : « être à l’origine de » (0.5) àà …………………………………………………….. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………   c/Utilisez un procédé grammatical pour exprimer le même rapport logique dans une phrase complexe (1) ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..   3) Utilisez les informations suivantes pour rédiger un paragraphe où vous emploierez les expressions de but, de cause et de conséquence expliquant les projets de la compagnie « SNCFT » (2pts)   *Réclamations nombreuses des voyageurs       *Améliorer la qualité du service    *Nouvelles lignes *Attirer plus de clientèle                    *Recruter d’autres conducteurs de train et de métro   ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. ……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………   C- Essai : (10 points)   Certains affirment que « le voyage organisé » est la meilleure façon de profiter de ses vacances. Partagez-vous leur opinion ? Exprimez votre point de vue dans un paragraphe cohérent.   …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………   Read the full article
0 notes
artfoom · 4 years
Photo
Tumblr media
2 notes · View notes
puredamien · 5 years
Photo
Tumblr media
Sébastien Gouju, Contre Jour Bananier, leather, wood, steel 2019 [2398x2396]
1 note · View note
cuisinedegrandpere · 3 years
Photo
Tumblr media
Micro-nouvelle : Le meilleur goûter du monde
La tempête avait désorienté le capitaine, et l'orage éclaira des matelots mouillés par la pluie et la peur. Les vagues nous poussèrent vers l'ombre immense à tribord et la coque se brisa contre une muraille de récifs, puis tout s'évanouit dans le vacarme et la nuit.
Je m'éveillais dans une crique, étendu sur la moitié d'une chaloupe en proie au ressac. Une fade lumière rose et bleue annonçait l'aube. Je passais la main dans mes cheveux et aperçus à cent pas les restes du navire, dispersés comme un rêve.
Le jour apporta sa clarté et son calme. Je distinguais une rivière qui s'enfonçait dans l'île. Avec douceur, le courant m'emporta sans que j'aie à ramer. Des poissons dorés m'escortèrent. Bientôt une jungle épaisse et brillante enveloppa la rive, où j'aperçus des yeux rouges s'allumer immobiles. C'était de petits crabes aux airs de cerises.
La rivière fit un coude et j'accostais sur une plage ombragée. Je m'accordais un instant de répit pour songer à mes parents, à ma femme et à mes jouets restés à Cadix. J'ôtais des feuilles d'algues de ma chemise et m'avançais vers les bois, où je dénichais des fruits étranges et sucrés.
Je me reposais sur la pelouse quand une odeur de fille m'éveilla. Je me levais. L'arôme émanait d'un buisson mauve. Je m'approchais prudemment en écartant les branches. Un rugissement me fit tomber en arrière : une bête féroce bondit vers moi et j'eus à peine le temps de dégainer un poignard que j'enfonçais désespéramment dans sa chair. L'animal s'écroula sur moi dans un râle d'agonie et expira en plongeant ses griffes tout près de moi. J'entendis quelques battements d'ailes, puis le calme revint. Le dernier souffle du fauve réchauffa mon visage. Je m'endormis en caressant son pelage taché de sang.
J'ouvris les yeux sur un tout autre spectacle. On m'observait. Souris, taupes, furets, musaraignes, rats de mer et loutres des bois, tout un monde de rongeurs m'encerclait dans le calme inquiétant de la forêt. Je me relevais avec peine, et dans un couinement général ils reculèrent tous d'un pas. J'écartais le cadavre du fauve, qui était un jaguar, et me levais finalement. Les rongeurs portaient des tissus multicolores auxquels pendaient des clochettes. Ils couinèrent et sautillèrent à la vue d'un si grand jeune homme. Rien de tout cela ne m'étonna. Mais alors je vis de petits êtres accroupis dans les buissons et cachés dans les arbres, leurs yeux rivés sur moi, comme leurs sarbacanes.
- Qui êtes v...
Un sifflement suivi d'une violente piqûre sur la jambe m'empêcha de finir ma question. Je baissai les yeux et sortis de ma cuisse une fléchette ou plutôt un cure-dents, serti d'étoffes. Je reconnus mon agresseur : on le réprimandait sévèrement. C'était un enfant minuscule, qui me regardait tout effrayé en murmurant des sons inaudibles. Ses congénères avaient l'air de poupées pleines de poils. Étaient-ils humains ? L'un deux s'avança vers moi et se lança dans une longue déclaration, illustrée par des gestes indiquant le jaguar. Par ses mimes je compris que l'animal était leur ennemi et qu'on m'invitait à fêter sa mort dans leur royaume au cœur de la jungle.
Nous y allâmes à dos de tapir en emmenant le jaguar. Ces pygmées les montaient à cinq ou six comme des carrosses, jouant de la flûte et du tambour pour les faire avancer. J'eus droit à une bête à moi seul. Les rongeurs suivaient le cortège en courant et couinant tout autour. Je me laissais bercer par ce nouveau monde.
Des cabanes innombrables, éparpillées à perte de vue sous des manguiers constituaient l'essentiel de leur royaume. Des messagers nous ayant précédés, notre arrivée fut accueillie par une pluie de pétales de fleurs tombant des arbres ou du ciel, et couvrant bientôt la terre d'une fine pellicule molle et multicolore. Des fillettes en robe de paille apportèrent des fruits gros comme leurs têtes.
Je mis pied à terre et mon petit agresseur me prit par la main en gloussant, puis me guida sous un arbre où un lit de coussins m'attendait. Une fois allongé tel un prince d'orient, des furets s'installèrent sur mon ventre. On m'offrit des breuvages tandis que deux loutres jumelles m'éventaient avec des feuilles de bananiers. Puis on déposa en face de nous la dépouille du jaguar qu'une taupe à binocle dépeça rituellement. Des souris tournaient autour frénétiquement. Je savourais le spectacle avec amusement.
Un défilé de souriceaux transportait des objets et des fruits inconnus vers un lieu que je ne pouvais voir et où nous nous dirigeâmes. Apparemment une cueillette extraordinaire avait été ordonnée. Je me levais. Les furets s'aggripèrent à mes habits et je posais une loutre sur chaque épaule. Des odeurs exquises exhalaient de ce lieu qui attirait vers lui toute la forêt.
Au creux d'une clairière éloignée et délimitée par des chapiteaux mauves et jaunes, un monde s'activait autour d'une gigantesque marmite. Sous celle-ci, des ratons alimentaient un grand feu en y jetant des bûches et de la poudre. Les poupées en transe murmuraient des incantations. Je m'asseyais avec mes amis sur un tronc d'arbre couvert de mousse et de tapis. Depuis trois échelles posées sur le rebord de la marmite, trois grosses taupes à toque tournaient des cuillères grandes comme des lances dans la compote géante. Des papillons venaient chercher refuge dans les grands rayons de lumière, et sur la pelouse des souris dansaient en agitant des tambourins. Le reste de la tribu parsemait les flancs de la clairière, assis ou debout, agitant haut leurs bras ou grignotant des baies et des noix. Un détachement de campagnols armait chaque assistant d'un verre de bière ou d'hydromel.
Après notre arrivée, des lièvres apportèrent fièrement les morceaux de jaguar empaquetés dans des tissus bleus ; puis, après un roulement de tambour, ils les lancèrent un à un dans la marmite. Alors un hourra retentit dans toute la clairière et gagna la forêt entière. Mais au même instant, un bruit de tonnerre assourdit l'atmosphère. Les hourras reprirent de plus belle et le même bruit fracassa mes oreilles. Je m'étonnais d'être le seul effrayé. Un à un, les membres de la tribu se tournèrent vers moi en me dévisageant. Le tonnerre s'approchait, les hourras s'amplifiaient. L'air sembla se charger d'alcool ; les rongeurs affolés se mirent à grimper sur mes jambes ; je sentis mon corps s'immobiliser et tomber très lentement en arrière sans pouvoir les repousser ou même de crier, et ma chute interminable s’accéléra quand une pénombre assombrit la clairière et plongea mon corps dans un abîme de guilis.
Je m'éveillais en sueur, le visage collé au plastique de la nappe. J'écarquillais les yeux. Grisou jetait par terre mes petits soldats. Je le poussais de la table : il miaula d'agacement. Je me relevais en me débarbouillant la figure quand tatie entra dans la cuisine en chantant. Elle tira la queue de Grisou en le menaçant comme toujours d'en faire une compote. « Eh bien, je vois que tu rêvasses comme toujours » me dit-elle. Puis elle sortit du four, encore fumante, sa délicieuse tarte aux mirabelles et je poussais un gloussement de joie, car sa tarte aux mirabelles, c'est vraiment le meilleur goûter du monde.
1 note · View note
gaelvillar · 6 years
Text
04/02/18 Guilin, fin: après midi du 2e jour
L'après midi du deuxième et dernier jour de ce petit voyage organisé dans le Guilin a encore été riche en activités. Après le déjeuner dans le petit restaurant d'un hameau on est allé à pieds vers le lit d'une fine rivière qui ressemblait plus alors à un gros ruisseau. Evidemment, très touristique, le coin était totalement aménagé et des boutiques de souvenirs, jouets, artisanat, vêtements ou calligraphies nous attendaient. Nous n'auront eu le temps de nous y arrêter qu'au retour, pour le moment nous nous sommes dépêchés de suivre la guide. Après quelques marches (il faut aimer ça pour visiter la Chine) nous sommes arrivés devant une assez haut barrage qui créait une mini-cascade et une retenue d'eau derrière lui. Sur celle ci nous avons embarqué dans des bateaux fait d'énormes troncs de bambous assemblés, sur lesquels il y avait des sièges et un toit. C'est à la main, à l'aide d'une longue rame qu'il déplaçait de droite à gauche sans aucun bruit, que le batelier nous a emmené de l'autre coté de ce lac en une dizaine de minutes. En attendant le reste du groupe sur d'autres bateaux nous avons pu admirer un ying et yang et truc, puisqu'il était composé de trois parties. (les chinois ont bien sûr préféré faire plein de photos). De là nous avons marché sur un petit chemin le long de la rivière qui serpentait entre des rochers. Et nous sommes arrivés à une cascade, naturelle cette fois, où la rivière coulait le long d'un haut rocher. Des marches avait été creusées dans celui ci si bien que l'été c'était une attraction touristique sportive assez attrayante que de l'escalader grâce à une corde sur le coté. Mais on n'était qu'en février, alors tout le monde à juste pris plein de photos. Le chemin grimpait tout en continuant de longer la petite rivière qui serpentait entre les rochers, c'était assez joli. L'eau formait parfois d'autres petites cascades et créait des courants et contre-courants que mon œil de kayakiste regardait avec envie, bien qu'il n'y ait pas eu du tout assez d'eau pour naviguer. A un moment nous nous sommes séparé du cours d'eau pour continuer à monter, des marches cette fois-ci. Puis de cette hauteur nous étions toujours entourés d'arbres mais nous avons emprunté un étroit pont suspendu tapissé de rouge reliant la petite colline sur laquelle nous nous trouvions à une autre. La vue n'était pas extraordinaire, mais ça valait le coup quand même. Nous avons alors attaqué la redescente, de façon a former une boucle pour retrouver notre point de départ. Il y avait une circuit de petits wagons, comme des bobsleighs sur rail, un petit train-train qui dévalait un circuit entre les arbres à flanc de colline. Joséphine et Yueming les ont prit, mais j'ai préféré descendre en courant pour faire travailler un peu mes cuisses. En bas, j'ai flâné dans les boutiques de souvenirs, notamment une spécialisée dans le travail de la corne qui vendait nombre de peignes et broches et qui exposait même des crânes d'animaux empaillés aux cornes magnifiques, à vendre aussi mais bien poussiéreux. 
Nous avons repris le bus en direction retour vers la ville de Guilin. L'après-midi n'était pas trop avancée. Nous avons visité un grand parc au bord de la rivière "li" qui traverse la ville. Le niveau d'eau était encore très bas, et le lit de cailloux était bien apparent, il n'avait pas l'air bien confortable. Il y avait plusieurs statues de dignitaires chinois importants qui faisaient des grimaces, et un petit sanctuaire avec des sculptures de personnages traditionnels, qui était beaucoup plus forts en grimaces d'ailleurs. En face, au milieu de la rivière dont le lit était très large, il y avait un très gros rocher qui était percé à un bout et qui formait ainsi une arche. Cela lui valait le surnom de montagne de l'éléphant. Encore, grosse séance photo pour tous les chinois du groupe qui n'ont pas pris 30 secondes pour regarder, alors que franchement, elle cassait pas des briques non plus cette petite roche trouée. Il y avit une grande pelouse à coté dans le parc ou j'ai observé les chinois assis à lire où les jeunes parents jouant avec leurs enfants. Et ensuite j'ai regardé les jolis éventails calligraphiés d'un étal dans le parc, qui était tout de même très touristique. Il y avait comme arbres des bambous aux troncs énormes (pour moi en fait, parce que c'est la norme, les troncs énormes, ici, d'ailleurs il n'y avait pas d'ormes), et des bananiers,pas très hauts et sans fruits évidemment, aux feuilles très larges et brillantes typiques des photos des paysages tropicaux... c'est des arbres qu'on retrouve souvent d'ailleurs ici, dans le sud de la chine, avec les palmiers qui sont partout. Pour retourner à l'entrée où sortir du parc on a emprunté, comme à l'aller, une petite voiture électrique de touristes là, blanche et ouverte, avec juste le toît.
Enfin, notre dernière attraction de ce court séjour fut un spectacle, trop court mais grandiose. Il était dans une salle juste à côté du parc, à 5 minutes de bus seulement. Le parking était bondé à craque de bus, de touristes et de leurs guides aux drapeaux multicolores criant dans leurs haut parleurs électriques. Avant de rentrer dans la salle, on passait pour poser devant deux grands arrières-plan photographiques représentant un paysage de Yangshuo (admiré la veille en bateau) et la montagne éléphant que nous venions de voir. Il y avait un porte clé avec nos photos offert... j'en ai profité. Sur les grandes photos imprimés la lumière entre moi et l'arrière plan n'était pas raccord de toute façon, puis le principe m'indignait un peu franchement. Le spectacle était comme celui d'un cirque, les numéros se succédaient. On est arrivé qu'il était déjà entamé malheureusement. Mais j'ai néanmoins pu admirer des scènes d'opéra, d'acrobaties extraordinaires, de danse, de tissus ou de gymnastique comme savent parfaitement le faire les chinois, avec même  plein d'enfants épatants sur scène. A la sortie, il avait aussi plein de monde. Et je note d'ailleurs que le public chinois est sans doute le pire qui soit. Même si c'est quand on va au cinéma avec mon ancien frère d'accueil et des copains de classe, ils n’arrêtent pas de parler. Aux spectacles, peut importe que le numéro soit tout à fait extraordinaire, il n'y a pas plus d'un tiers de la salle grand maximum qui applaudit. Et j'ai trouvé ça dommage car le spectacle m'as vraiment émerveillé, et Joséphine m'as bien dit que ce n'est pas partout qu'on peut en voir comme ça. A la fin tout le monde est donc parti avant même que tous les performeurs n'aient salué. Nous nous sommes alors séparé définitivement du groupe qui allait à l'aéroport étant donné que nous n'allions qu'à la gare puisque nous étions les plus près du Guilin, comparé aux Pékinois ou autres du groupe. D'abord nous sommes allé dans un super restaurant, mais là il nous à encore fallu patienter bien longtemps avant qu'une table pour nous trois se libère. Il y avait même un distributeur de tickets d'attente numérotés, comme à la banque ou la mairie... Malgré tout le repas en valait complétement la chandelle (même si il n'y en avait pas sur la table), c'était vraiment délicieux. C'est idéniable, j'aurai bien mangé cette année! 
Le retour en train était des plus tranquille qui soit. Après les scanners de sécurité et vérification du passeport et du billet à l'entrée de la gare pratiquement déserte, j'ai payé 4 yuans (0,5€) un des très nombreux siège massant pour 10 minutes. Et quand nous sommes montés dans le train nous étions seuls dans notre voiture (aussi grande qu'une voiture de TGV français pourtant hein, plus grande qu'une Smart quoi). Quelques passagers nous ont rejoins aux gares traversées, avant d'arriver à Guangzhou à minuit passé où le mari de Joséphine est très gentiment venu nous chercher dans son beau 4x4 urbain Audi. Dans la gare il y avait des gens allongés ou assis avec leurs affaires, et loin d'être des passagers bloqués par l'annulation d'un train ou une grève des cheminots, il attendait ici toute la nuit leur train qui partirait le lendemain très tôt.  
C'est ainsi que s'achève mon récit de ces 2 belles journées entouré de paysages grandioses et à la découverte d'une Chine toujours aussi surprenante, riche en histoires et très intéressante. M'enfin il faudra que j'y retourne, parce-que j'ai pas escaladé de colline près de Yangshuo jusqu'au sommet, et j'ai pas admiré de coucher de soleil non plus, puis la nourriture locale ne m'as révélé qu'une petite partie de toutes ses saveurs excellentes... D'ici là je vous met très bientôt les photos de cette belle après-midi, puis celle d'un jour passé à Macao, avant de m'attaquer au nouvel an, déjà fini maintenant.  La bise
1 note · View note
Photo
Tumblr media
Ils nous enlèveront jusqu’à notre nom : et si nous voulons le conserver, nous devrons trouver en nous la force nécessaire pour que derrière ce nom, quelque chose de nous, de ce que nous étions, subsiste. Primo Levi, Si c’est un homme
Elle ne sait pas comment elle s’appelle. Elle ne sait pas en quelle langue sont ses rêves. Elle se souvient de mots en arabe, en turc, en italien, et elle parle quelques dialectes. Plusieurs viennent du Soudan et un autre, de Vénétie
On lui a demandé souvent de raconter sa vie, et elle l’a racontée encore et encore, depuis le début. C’est le début qui les interessait, si terrible.
Une histoire merveilleuse.Pour ce récit, sa mémoire est revenue. Mais son nom, elle ne l’a jamais retrouvé. Elle n’a jamais su comment elle s’appelait. Mais le plus important n’est pas là. Car qui elle était, enfant, quand elle portait le nom donné par son père, elle ne l’a pas oublié. Elle garde en elle, comme un hommage à l’enfance, la petite qu’elle fut. Cette enfant qui aurait du mourir dans l’esclavage a survécu, cette enfant était et reste ce que personne jamais n’a réussi à lui prendre.
Ceux qui lui ont demandé de raconter depuis le début ont calculé son age en fonction des guerres de Soudan, cette violence qu’elle retrouvera ailleurs, puisque le monde est partout le même, né du chaos et de l’explosion, il avance en s’effondrant.
 Elle a cinq ans environ, et c’est la fin du monde. Cet après-midi-là porte une lumière qui n’est jamais revenue, une joie tranquille qui vibre et qu’on ne remarque pas. On ne sait pas qu’elle est là. On vit à l’intérieur de cette joie comme des oiseaux affairés, et ce après-midi-là dans son village, les petits jouent à l’ombre du grand baobab, et l’arbre est comme une personne de confiance. Il est le centre et l’ancêtre, l’ombre et le repère. Les vieux dorment, à cette heure du jour. Les hommes ramassent les pastèques, dans les champs. A la sortie du village les femmes battent le sorgho, c’est la musique tranquille d’un village paisible qui cultive ses champs, une image de paradis perdu qu’elle gardera pour se persuader que ça a existé. Elle vient de là, le lieu de l’innocence massacrée, la bonté et le repos. C’est cela qu’elle veut. Venir d’une vie juste. Comme toute vie avant la connaissance du mal.
Comment elle s’appelle. Comment l’appelait sa maman. Comment elle s’appelle. Comment l’appelait son père quand il parlait à la lune. Comment elle s’appelle. Elle a laissé son prénom près de la rivière. Elle a laissé son prénom sous le bananier. Il disait comment elle était venue au monde. Mais elle ne sait plus comment elle est venue au monde. Elle pleure de panique. Seul le nom de sa mère demeure. Il est partout. Et il ne sert à rien.
Parfois elle pense qu’elle va rester là toute sa vie, avec les deux ravisseurs qui le soir viennent avec un peu de pain de d’eau, et leur violence, aussi. Elle va grandir comme ça. Est-ce que c’est possible ? Est-ce que ça arrive ? Etre oubliée de tout le monde, sauf de des deux hommes-là ? N’exister que pour eux ?
Pourtant, traitées comme des bêtes, maltraitées par des bêtes, enfermées, pietinées, attachées, leur personnalité, leurs rêves, et même une partie de leur innocence, ce qu’elles sont, demeure.
L’esclavage les a rattrapées une fois encore, comme si toute autre forme de vie avait disparu. La seule vérité, c’est l’esclavage.
Bakhita comprend qu’elles ne valent pas cher. Mais elles sont jeunes. C’est ce qui se vend le mieux.
Et dans chaque village traversé, ce ne sont plus des questions c’est une litanie d’espoir et de désespoir, des vies volées et puis envolées, des enfants qui n’ont plus rien de l’enfance, un effondrement de toute chronologie et de toute normalité alors comment se reconnaître, puisque tous se perdent sitôt qu’ils appartiennent à d’autres ?
Chaque jour était un jour de peine et d’efforts. Il fallait plaire aux petites maîtresses. Tout ce qu’elles voulaient. Tout ce qu’elles imaginaient. Les ordres, les contre-ordres, les caprices et les fantasmes. Vivre pour obéir et plaire. Et se lever chaque matin avec un seul but : survivre à la journée.
Ce qui se passe après, le saccage, être battue dehors et dedans, elle le connait déjà, c’est le gouffre sans fin, sans secours, c’est l’âme et le corps tenus et écrasés ensemble. Le crime dont on ne meurt pas.
Toutes une année Bakhita a vécu enchaînée, la chaîne à son pied comme un chien enragé. Jour et nuit sa jambe était un poids de douleur, tige de fer enflammée qui suivait sa hanche, son dos, son bras, s’agrippait à sa nuque, où elle tapait sans cesse. Il ne lui était pas seulement difficile de marcher, monter des escaliers, se baisser ou se relever, il lui était aussi difficile de ne rien faire qui soit soudain. Et c’est ce que voulait la chaîne. Que l’élan soit impossible, celui du corps, mais aussi celui de l’esprit : la prudence et l’instinct sans lesquels un esclave n’est plus qu’une proie.
Un esclave inutile est un esclave que l’on nourrit pour rien.
Etre battu est le quotidien, la condition. Beaucoup sont comme Bakhita, jeune et effrayés, ils ne trouvent pas leur place et ils ne savent pas comment se tenir. Ils ne devraient pas. Chacun d’eux a sa place, aucun esclave n’est acheté ou vendu par hasard, vivant ou mort par hasard, battu ou violenté par hasard. Ils ont tort de se sentir à la merci d’une violence imprévisible.
Mais se monde se craquelle, ce monde va se briser, demain il explosera.
Ce jour-là, Bakhita a été lavée. La domestique Aïcha lui a donné un bain. En sentant la douceur de l’eau sur sa peau, Bakhita a retrouvé la pureté de la rivière, les jeux et l’enfance, sa mère. Elle restait figée pourtant, étonnée et sur ses gardes.
Toutes les marques d’infamies étaient cachées, la tunique était comme un voile de pudeur et pour la première fois depuis son enlèvement, elle a ressenti qu’il y avait quelque chose d’elle qui n’appartenait qu’à elle. Son corps, objet de profit et de tant de violences, lui était rendu, dissimulé aux autres il devenait un secret, son secret. C’était le premier.
C’est comme cela, par ce corps restitué, qui ne sera plus ni battu ni convoité, qu’elle retrouve, lentement, le monde des humains. Elle a quelque chose à elle, et c’est elle.
Elle est belle, elles est douce et résignée. Mais elle est aussi indestructible. Comme une survivante, elle porte en elle un monde incommunicable. Et c’est cela qui les effraye, cette puissance qu’ils ne comprennent pas.
On n’aurait pas dit ma mère mais une inconnue qui se serait infiltrée dans ma vie - le diable probablement.
Aucun maître, meme le meilleur, personne, jamais n’aime son esclave. Et elle se dit qu’un jour, La Madre, d’une façon ou d’une autre, apprendra ce qu’est l’esclavage et ce jour là, elle la punira pour avoir caché la monstrueuse existence qui a été la sienne. Une vie qui se vole, une vie qui s’achète et s’échange, une vie qui s’abandonne dans le désert, une vie sans même savoir comment on s’appelle.
Encore une fois, elle veut quelque chose qu’elle n’ose pas dire, et le temps qui avance la mène au bord du gouffre. Sa vie est faite de séparations violentes, d’enlèvements, de fuites, elle a survécu à tout, et pourtant. Au moment d’avouer son désir le plus profond, elle est sidérée. Muette et désemparée. Madre Fabretti tente de nouveau de l’apaiser, la comprendre et la consoler. En vain. L’angoisse l’envahit. L’angoisse l’enferme. Elle est séparée des autres par ce désir qu’elle ne parvient pas à avouer.
Elle est épuisée et elle voudrait dormir, rêver qu’elle est ailleurs, là où on n’attend rien d’elle, l’esclave perdue parmi les esclaves, la Noire mêlée aux caravanes du désert, la petite fille qu’on vole et puis qu’on jette, l’invisible, l’oubliable, celle qui ne vaut rien, pas même un sac de mais. Et puis elle a honte, tellement, de ce sentiment qui ressemble à la mort. Elle pense à l’esclave Jesus Chris, n’a-t-il pas subi lui aussi les crachats et les rires de la foule ? Elle ne veut pas comprendre sa vie à la sienne. Elle n’est rien, et il est tout. Elle veut simplement s’allonger un peu et qu’il la garde, après le priera, elle l’honorera, mais cette nuit, cela serait trop long de ne pas être aimée.
Elle sait ce qu’ils ne savent pas dire. Elle connait les maladies, la pauvreté et la honte de la maladie.
Elle est noire comme une nuit douce, elle est celle que l’on trouve tout de suite au milieu des autres, la pas-pareille, une enfant géante.
Les histoires qu’elle raconte aux enfants sont celles d’une enfance edulcorée, ses malheurs deviennent des aventures, son désespoir, une grande frayeur. Mais quand elle se couche le soir, c’est autre chose. A force de dévider le fils des souvenirs, les images affluent, brutales et vraies. Parfois le souffle lui manque et l’angoisse monte en elle comme une chaleur, ça l’enveloppe, la tient serrée, elle doit se relever dans la nuit pour ne pas succomber à la panique. Est-ce que les souvenirs sont réels.
Quand elle est malheureuse, elle sent qu’elle revient quelque part, un endroit où elle a laissé quelqu’un qu’elle voudrait ramener avec elle. Mais qui ne vient pas.
Elle est née de la guerre. Elle a vu tant d’hommes et d’enfants armés, tant de morts, de blessés et de femmes violentées, qu’elle a surement vécu plusieurs vies. Elle pense à son village. Est-ce que personne ici ne lui aurait dit si on y avait lancé des grenades ? Mais pour cela il aurait fallu qu’elle donne des noms, qu’elle comprenne, qu’elle parle correctement.
A qui d’autre ordonnerait-on de raconter sa vie sur le champ ? A qui imposerait-on que ses confidences soient immédiatement retranscrites et rendues publiques ? A qui d’autre sinon à une ancienne esclave sauvée par l’Italie ? Une négresse convertie au catholicisme ? Nous sommes en 1930.
Elle est cette religieuse qui porte son histoire sur sa peau, comme un stigmate, 
Bakhita Veronique Olmi
5 notes · View notes
toutelathailande · 4 years
Text
Trente parcs publics à Bangkok ouvriront pour le festival de Loy Krathong
Tumblr media
Bangkok ouvrira 30 parcs publics pour le prochain festival de Loy Krathong, qui aura lieu le 11 novembre. Les parcs permettront à la population locale et aux touristes de participer au festival en faisant flotter des krathongs dans les étangs des parcs. Un krathong est un contenant flottant qui contient divers articles, y compris des bâtonnets d'encens, une bougie et une pièce de monnaie, souvent avec des mèches de cheveux ou des ongles coupés. Ces derniers éléments sont inclus comme un symbole de lâcher prise de la négativité passée. Les Krathongs étaient traditionnellement fabriqués à partir de feuilles de bananier, mais plus tard, des matériaux moins respectueux de l'environnement tels que le polystyrène ont commencé à être incorporés. On espère maintenant que l'ouverture de nouveaux parcs encouragera les festivaliers à utiliser les piscines et les étangs des parcs au lieu de déverser des krathongs dans les rivières et les cours d'eau naturels de la ville où ils finissent par être une source de pollution. Par contre, les krathongs placés dans les étangs des parcs peuvent être enlevés plus tard par les travailleurs municipaux. Les célébrations de Loy Krathong commenceront avant le lever du soleil à 5 heures du matin, les parcs restant ouverts jusqu'à minuit. Vous trouverez des informations sur les prochaines fêtes et festivals en Thaïlande sur notre Agenda. Voir aussi : Fêtes et jours fériés en Thaïlande, les dates importantes de 2019 / 2020 Source : thairesidents.com, Thethaiger.com Read the full article
0 notes
poraquibh · 6 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Trip Nordeste - 23 et 24 juillet - Ubajara
Maria :
Une nouvelle aventure commence : nous troquons les plages et les villes sans centre historique pour l’intérieur du pays et la forêt. On s’aperçoit qu’on aurait plus facilement fait le chemin depuis Jericoacoara, mais bon, on arrive déjà à modifier notre parcours sans trop d’embûches (nous avions réservé les pousadas à l’avance de peur de ne pas avoir de place, mais nous aurions pu éviter de le faire, finalement), alors ne nous plaignons pas trop !
Nous avons six heures de bus (350km), c’est pas l’éclate, mais de toute façon Elodie dort (ah bon ?) les trois premières heures. J’en profite pour noter deux trois impressions sur notre trek dans mon carnet et faire un peu l’état de mes comptes. Enfin, après plus de trois heures, Elodie se réveille, et nous discutions, essentiellement de notre métier, quasiment jusqu’à la fin du trajet. Nous voyons le soleil se coucher, la dernière demi-heure est vraiment longue. Nous arrivons à la Rodoviaria de Ubajara. Il fait noir noir. Magasins fermés, à peine une lumière. Nous savons qu’il faut trouver un taxi, mais le seul qui était là vient de prendre deux personnes. Finalement un Monsieur vraiment adorable qui attendait son fils et à qui on a demandé quelques renseignements, se propose gentiment (et gratuitement) de nous conduire jusqu’au « Sitio do Alemão », notre pousada. Quelle aubaine !
Nous avons un peu de mal à trouver, car il fait très noir et il n’y a pas une lumière sur le chemin de terre, mais nous arrivons enfin et le Monsieur tient à nous emmener jusqu’à l’intérieur. Nous rencontrons Monsieur Klein, un homme d’apparence germanique, c’est sûr, qui nous accueille assez timidement.
Pour y arriver, nous devons traverser la forêt, c’est trop beau, mais on a quand même un peu peur de découvrir le décor dans la nuit.
Nous mangeons une lasagne maison et puis nous allons à l’accueil discuter un peu avec Herbert. Il y a des photos affichées, et nous nous renseignons sur ce que nous pouvons faire le lendemain. Il y a de belles cascades, mais celles-ci sont asséchées depuis deux ans maintenant.
Après quelques instants sur le net, nous retournons dans notre chalet. Nous discutons du programme et finalement, nous décidons de le changer encore une fois. Nous ne voulons passer qu’une nuit à Natal (le Routard n’en dit pas grand-chose de bien non plus) et donc d’allonger le séjour ici, parce qu’elle nous plaît bien, cette petite forêt. Nous aimerions, par ailleurs, aller faire un trek dans le parc national, mais il est fermé le lundi et le demain, c’est lundi ! Bref, nous tenterons de changer nos billets le lendemain et demanderons à Herbert s’il est possible de rester une ou deux nuits de plus. 
Nous nous accompagnons mutuellement pour aller nous brosser les dents et aller aux toilettes, situées dans un autre petit chalet derrière le nôtre au bout d’un petit chemin sombre : oui, nous ne sommes toujours pas très rassurées par le noir, on ne sait jamais qu’un animal surgisse. 
Le jour nous lève et ce que nous apercevons à travers la fenêtre est vraiment superbe : bananiers, caféiers et manguiers. Le guide du Routard ne nous avait pas menti ! Par contre, il semblerait que le temps ne soit pas d’humeur aujourd’hui. J’enfile un gilet et un K-way pour petit-déjeuner. Nous avons de délicieuses confitures faites maison et du pain aussi maison. Après avoir demandé à Herbert, nous apprendrons que c’est du pain aux pommes de terre : un régal ! Ah ces Allemands ! Il ne faut pas découvrir les paniers sur la table, car des singes peuvent venir se servir volontiers.
Elodie: Il fait assez froid et la pluie nous menace, mais nous sommes impressionnées par le décor, dont nous avions seulement vu les ombres la veille, dans le noir. Nous sommes super contentes d’être là, et soulagée de notre alternative: nous ne regrettons pas d’avoir modifié notre itinéraire. Ubajara signifie en langue indienne “Seigneur des pirogues”, le nom nous inspire déjà!
En plus, nous mangeons le meilleur déjeuner de tout notre voyage! Enfin quelqu’un qui mange comme nous <3
1 note · View note
enterreinca · 5 years
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
C'est parti pour l'aventure
Réveil, puis nous préparons nos sacs et valises pour la jungle. Il fait déjà lourd et humide ce matin. Notre hôtel a un patio avec des grands arbres, ça donne du frais heureusement. Le balais des tuk tuk du matin de semaine qui reprend se fait devant nos yeux. Malgré le sable qui vole et la poussière ambiante, les gens sont en chemise blanche.
Oscar vient justement d'arriver en tuk tuk. Ok.. on doit monter à 3 à l'arrière avec nos 2 gros sacs ? Pour resituer, le tuktuk cest un scooter sur laquelle on ajoute à l'arrière une structure en bois avec un petit banc.
Bon. Ça tient.. mais dans les montees, le scooter peine beaucoup quand même...
On arrive au port pour déposer nos affaires dans le bateau. Puis direction une boutique de rue pour acheter des bottes en caoutchouc qui seront indispensables.. Oscar essaie de négocier mais pas moyen, c'est le jour du défilé alors prix forts... tant pis.
On retourne au bateau et Oscar nous présente Sylvia qui sera notre cuisinière et Diego le conducteur du bateau.
C'est l'heure du départ, il fait beau et chaud donc l'air du bateau fait beaucoup de bien. On remonte la rivière Marañon qui est un des affluents du fleuve Amazone, mais en contre courant donc cela prend plus de temps.
Pour passer le temps, Oscar nous montre les arbres du bord, comme le Zapoplatanos : un bananier capable de vivre sous l'eau pendant les 6 mois ou le Marañon est au plus haut, puis 6 mois en sécheresse, comme beaucoup d'arbres. Celui-ci donne des bananes peu sucrées et réservées au marché local.
Oscar sort sa guitare et joue quelques chansons péruviennes, une écrite à sa femme, sa fille qui vivent à Lima, et même Hey Jude. C'est une autre façon de jouer c'est super joli... et bien sûr il me passe la guitare.. miiiiince j'aurais du m'entraîner davantage....
En 4 heures on arrive au poste de contrôle où on doit s'enregistrer sur le registre des touristes pour savoir qui entre et qui sort de la réserve protégée Pacaya Samiria.
0 notes
kbrassband-blog · 7 years
Text
Arrivée
Un tour en avion
Plus d’un an et demi que les membres du K-Brass Band attendaient ce jour : RDV 16h, aéroport Charles de Gaulle, terminal 2. Pour un décollage à 20h55. Pourtant, nous n’avons pas eu le temps de nous ennuyer : enregistrement de nos bagages (pour le moins insolites), dernière photo avec les parents et derniers appels passionnés,  contrôle de sécurité, et nous voici posés dans le Boeing 777 qui nous mènera jusqu’à Abou Dhabi. Grande excitation dans les yeux de Kéwin, qui embarque dans un avion pour la première fois ! Notre escale de 5 heures dans la métropole pétrolistique sera surtout mis à profit pour préparer les derniers détails de notre arrivée à Manille.
Celle-ci a lieu après 4 nouvelles heures de vol, où la fatigue et la perte de la notion de journée commencent à peser. Mais nous y sommes, enfin, et les K-Brass s’apprêtent à ouvrir une nouvelle page de leur aventure !
Tumblr media
Premières impressions
Dès les premiers instants, le nez est chatouillé par cette moiteur de l’air, témoin d’une humidité tropicale que l’on ne connaît pas en France ! Bref, il est minuit, reste maintenant à trouver des transports pour nous déposer à l’hôtel réservé par Alexandre pour la nuit. Chose pas si aisée vu les bagages que nous charrions et notre manque d’expérience sur les tarifs d’une course à Manille…
L’hôtel, difficilement trouvé, est enclavé dans un quartier très populaire où l’on devine que les gens vivent pauvrement. Il n’aura pas fallu attendre longtemps pour être confronté à la misère et à des conditions de vie indignes de l’homme…
Mais l’hôtel satisfait largement notre besoin de repos et dès le lendemain matin, c’est plein d’excitation que nous embarquons dans les deux vans qui nous conduiront jusqu’à Ark of Noah, le village où nous mènerons notre action solidaire pour les six prochaines semaines. Le trajet, long de deux petites heures, nous laisse entrevoir une ville surpeuplée, percée de gratte-ciels surgissant des quartiers pauvres ; et la circulation est apparemment un joyeux chaos où se mêlent motos, vélos, tricycles (des sides-cars, très courant pour les petits trajets, et pouvant transporter jusqu’à 7 personnes !), vans, Jeepneys (des jeeps datant de l’occupation américaine, reconverties en bus décorés avec force couleur et chrome), bus et 4x4.
Nous nous enfonçons progressivement dans la campagne, quoique les lieux restent encore grouillant de vie… On est loin des campagnes plutôt vides de France !
Tumblr media
Ark of Noah
Puis, parmi les cocotiers, les bananiers, les rizières et les modestes cabanes, nous découvrons enfin le village qui sera pour quelques temps le nôtre : Ark of Noah (« arche de Noé »). Il s’agit d’un village d’une soixantaine de familles, vivant pour la plupart dans des maisons en dur.  Nous sommes accueillis très chaleureusement par les habitants et les enfants, qui nous ont préparés des colliers en guise de cadeau de bienvenue. Trois femmes s’occuperont particulièrement de nous pendant ces semaines : Nadi, Josselyn et Rocha. Elles nous expliquent l’histoire de ce lieu, créé à l’origine pour reloger des familles qui habitaient sur un chemin de fer et qui ont été délogées. En 2003, le village s’est rattaché à l’association philippine Gawad Kalinga, très active dans le pays pour la lutte contre la pauvreté, le développement de l’entreprenariat social et la redynamisation du travail agricole.
Implanté dans la ville de Bacaue, à 30km au nord de Manille, le village est célèbre dans le coin pour ses maisons colorées. Pourtant, une fois à l’intérieur, on découvre un aménagement très sommaire : Les murs sont en béton nu, et les fils électriques pendent du plafond, qui n’est qu’une simple plaque de tôle. Côté salle de bain, on trouve généralement une salle de 2 m^2, où se trouve une cuvette et une bassine d’eau, et une évacuation pour la « douche ». Pas d’eau courante donc, chasse d’eau et douche se feront à la bassine.
Mais les menues préoccupations matérielles sont vite rattrapées par l’énergie des enfants, qui attendent notre premier concert avec impatience. Celui-ci viendra donc après le premier repas traditionnel : Les habitants semblent heureux de voir cette troupe de musiciens un peu étranges débarquer chez eux. Nous enchaînerons ensuite sur notre premier atelier. Les enfants, de 5 à 12 ans, sont calmes et sages, mais aussi plein de talent. Nous sommes enthousiastes, nous pourrons monter de beaux projets au fils de nos ateliers ! Mais ceux-ci m’appellent à l’instant, et je vous quitterai donc sur cette belle image :
Tumblr media
Dragon
1 note · View note
Text
CONTRE L'ANÉMIE ET MALADIE DE SANG ET DE CŒUR
Chercher les feuilles sèches de bananier et ajoute un peu de sel de cuisine.
Préparer la tisane et boire un verre matin midi soir ( 3 fois par jour) Très efficace
Le traitement est disponioble vous pouvez nous contacter pour l'avoir
Voici mon site web : http://www.maitrelaterre.com https://grandmaitremediumlaterre.site123.me/ E-Mail: [email protected] Tel: 0022998574889 Whatsapp : 0022998574889
0 notes
Text
Meilleures choses à faire hors des sentiers battus au Vietnam et Cambodge
Lors de vos voyages au Vietnam et Cambodge, la principale raison est, biensûr, de visiter les plus magnifiques trésors d’Asie du Sud-Est, tels sont le complexe d’Angkor Wat ou le baie d’Halong. Mais ces deux pays ont beaucoup plus à offrir.
Si vous vous rendez au Vietnam et au Cambodge, voici des choses à faire que vous devez ajouter à votre itinéraire. Ils vont rendre votre voyage encore plus épique et vous faire aimer plus le pays, sa culture et ses habitants.
MEILLEURES CHOSES À FAIRE HORS DES SENTIERS BATTUS AU VIETNAM
1. Découvrez la forêt de Nam Cat Tien
youtube
Le parc national de Nam Cat Tien est caractérisé par une forêt tropicale humide de basse altitude avec une flore et une faune diverses et abondantes.
Bau Sau : les visiteurs découvriront ici comment les crocodiles attrapent des proies et vivent dans l’eau, un scène intéressant et attrayant.
L’île de Tien : Avec une superficie de 57 hectares, c’est l’endroit de préservation des animaux rares. Il existe également un système de forêts primitives à explorer.
La station de sauvetage des ours : il s’agit l’endroit que les enfants aiment le plus lorsqu’ils se rendent au parc national de Nam Cat Tien. Des ours qui sont blessés sont amenés ici pour y être soigné. En raison de la sollicitude des employés, les ours de la station de sauvetage sont plutôt dynamiques et amicaux.
Source: Skeeze – Pixabay
Une des activités les plus attrayants est de découvrir la vie de la faune la nuit. Vous verrez de vos propres yeux les différentes façons de se nourrir et de vivre ici des animaux. Si vous souhaitez participer à cette activité, contactez la direction de la station forestière de Nam Cat Tien pour acheter des billets, louer une voiture et un guide pour environ 170 000 VND / personne (~7 euros/ personne). Faites attention, vous ne devez pas ouvrir la porte de la voiture pour des raisons de sécurité.
La forêt de Nam Cat Tien se situe à environ 150 km au nord de Ho Chi Minh-Ville, il vous faudra 4 heures pour vous y rendre en voiture. Si vous souhaitez louer une voiture et un guide privé, n’hésitez pas à nous contacter. Luxury Travel vous propose des voitures en service 24/7, vous serez accompagnés par un expert local et un guide professionnel qui parle votre langue.
2. Parcourez les rizières de Mai Chau à vélo
Source: Luxury Travel Vietnam
Mai Chau est un village magnifique, située à seulement quelques heures de Hanoï. Si vous recherchez une expérience unique et merveilleuse, ne manquez pas l’occasion de rester quelques jours ici.
C’est une bonne occasion de découvrir le Vietnam rural et d’en apprendre davantage sur l’agriculture et la fabrication de textiles de style traditionnel.
Vous pouvez rester dans une famille d’accueil traditionnelle ou dans un éco-hébergement et visiter la région. Louez un vélo et promenez-vous dans les rizières, faites de la randonnée dans la réserve naturelle de Pu Luong, explorez des grottes, faites une promenade en bateau sur le lac Hoa Binh, achetez des textiles locaux. Faites-nous confiance, vous ne vous ennuierez pas à Mai Chau.
Le meilleur moment pour visiter la région est d’octobre à avril, car le temps y est plus agréable.
3. Echangez avec des minorités ethniques à Bac Ha
youtube
Ce marché n’est pas un marché vietnamien ordinaire. Le marché de Bac Ha est le plus grand marché ethnique du Vietnam et n’a lieu que le dimanche. Toutes les tribus ethniques telles que les Hmong, les Dzao, les Nung, les Phu la et les Tay s’y réunissent pour vendre leurs produits.
Le marché est comme un musée vivant plein de couleurs et de belles odeurs. Si vous souhaitez en savoir plus sur les cultures, les traditions et les coutumes uniques des tribus, nous vous recommandons de faire appel à un guide pour traduire vos questions. C’est vraiment un endroit spectaculaire et peut être fait en excursion d’une journée au départ de Sapa.
4. Visitez la forêt de mangrove Tra Su en bateau
Source: Luxury Travel Vietnam
La forêt Tra Su se situe à environ 30 km au sud-ouest de la ville de Chau Doc et à 64 km de la ville de Long Xuyen. Depuis Ho Chi Minh-Ville, les visiteurs peuvent acheter des billets pour Long Xuyen ou Chau Doc à la gare routière de Western avec un prix moyen compris entre 150 000 et 300 000 VND / trajet (~6 à 12 euros/ trajet).
Des bateaux à moteur ou des petites embarcations permettent de transporter des touristes de 3 à 5 personnes au fond de la forêt de Tra Su. La forêt de mangrove est particulièrement vivante lorsque l’après-midi arrive. Sous l’eau, il y a d’innombrables espèces de poissons et de crevettes qui nagent, en haut, des oiseaux qui volent avec des fleurs de mélaleuque blanches et pures, tout crée une peinture naturelle splendide.
youtube
Lorsque vous vous rendez ici, n’oubliez pas d’admirer la vaste forêt de mangrove d’en haut avec un télescope d’une vue de 25 km. De là, vous pouvez voir les villages des ethnies Khmers. Si vous avez le temps, vous devriez également visiter les arts et métiers tels que le tissage de la soie, le brocart d’ethnie Khmer, l’élevage des abeilles, l’huile essentielle de mangrove…
En outre, les visiteurs peuvent également louer des bicyclettes pour se promener dans la forêt de mangroves de Tra Su. Surtout pendant le voyage, il y a des spécialités telles que: les rats rôtis, les poissons grillés à tête de serpent, les points chauds pour poissons kangourou …
5. En savez plus sur l’histoire de la guerre dans la zone DMZ
Les habitants de Quang Tri peuvent encore se vanter de posséder un “réservoir” touristique bien connu, ce qui est très spécial car ils ne peuvent être trouvés dans aucun autre circuit au Vietnam : Zone non démilitarisée (Zone démilitarisée) de la DMZ .
youtube
Celui-ci est pour les personnes intéressées par l’histoire. La Zone Démilitarisée vietnamienne était une zone où la ligne de séparation entre le Nord et le Sud du Vietnam était tracée à la suite de la première guerre d’Indochine. Vous apprendrez tout sur la guerre entre le Vietnam et les États-Unis qui a eu un impact important dans la région.
Le cimetière de Truong Son est le plus grand cimetière de martyr du pays, avec plus de 10 333 tombes de soldats morts dans la guerre contre les États-Unis.
Liant les 2 bords du fleuve Ben Hai, le pont Hien Luong est devenu la première étape du voyage dans la zone démilitarisée. Le pont de fer historique qui témoigne la longue histoire de douleur et de séparation et le désir d’unifier le pays a été restauré en 1952-1967 au centre de la station touristique DMZ – les deux rives de Ben Hai.
Les tunnels de Vinh Moc représentent l’attraction étrangère la plus impressionnante du circuit DMZ aujourd’hui. Le système de tunnels a une longueur totale de près de 2034 m, une hauteur de 0,6 à 0,8 m et une largeur de 0,9 m répartis sur trois étages avec une profondeur maximale de plus de 23 m. Vous verrez comment les gens vivaient sous terre pendant la guerre.
6. Faites du canyoning à Dalat
youtube
Si vous voulez faire battre votre cœur, faites du canyoning à Dalat!
Cette excursion d’une journée est plein de défis, avec des cascades jusqu’à 18 mètres de haut, des glissades rocheuses pour descendre et même un saut de falaise de 11 mètres.
C’est une journée bourrée d’action. La société avec laquelle nous sommes allés était très professionnelle et hautement qualifiée. Vous pouvez tout faire et tout faire, ou vous mettre au défi et faire ce que vous sentez à l’aise.
Vous allez naviguer à travers un canyon et apprendre à utiliser les cordes. La descente en rappel en eau / canyoning est l’un des sports d’aventure les plus modernes permettant de découvrir les merveilles et les mystères de la nature dans sa forme la plus pure. Trekking, saut d’obstacles et natation, vous découvrirez de fantastiques canyons et ferez face aux défis incroyables.
MEILLEURES CHOSES À FAIRE HORS DES SENTIERS BATTUS AU CAMBODGE
1. Apprenez à cuisiner comme un local à Siem Reap
Source: Luxury Travel Vietnam
Pendant que vous êtes à Siem Reap en visite à Angkor Wat, veillez à vous réserver un après-midi et à vous inscrire à un cours de cuisine. C’est une expérience géniale!
Vous visiterez un marché local où vous apprendrez tout sur les ingrédients utilisés dans la cuisine khmère et aurez l’occasion d’essayer certaines des spécialités locales telles que des insectes frits et des embyros de canard. Mais si ce n’est pas votre style, attendez de retourner à l’école de cuisine où vous apprendrez les secrets de la préparation de plats plus appétissants khmers comme la salade de fleurs de bananier, le poisson amok ou le potiron-crème. Peu importe le menu, vous pouvez vous rassurer que ce sera délicieux. Faites attention cependant, si l’hôte peut voir que vous appréciez la nourriture, il continuera à vous nourrir jusqu’à ce que vous puissiez à peine bouger.
Donc, si vous aimez la nourriture et que vous voulez faire quelque chose de différent pendant que vous êtes à Siem Reap, réservez-vous pour un cours de cuisine!
Source: Sharonang – Pixabay
2. Les célèbres fermes de poivrons de Kampot
Le poivre de Kampot jouit depuis plusieurs décennies de la réputation d’être le meilleur au monde. Il fut un temps en France où un chef digne de son nom insistait d’utiliser du poivre de Kampot.
Parmi les fermes de poivrons les plus populaires, on peut citer Sothy’s Pepper Farm, La Plantation et The Vine Retreat. Étonnamment, les visites de ces fermes sont gratuites! Tout ce que vous aurez à payer, c’est votre transport aller-retour vers les fermes et les tas de poivre avec lesquels vous partirez inévitablement.
youtube
Les visites sont incroyablement instructives. Vous en apprendrez davantage sur les différents types de poivrons, les méthodes d’agriculture durable et biologique – qui sont vraiment impressionnantes – ainsi que les saisons de croissance et de récolte.
L’aspect le plus intéressant de la visite est probablement l’histoire des fermes et des personnes qui y sont liées. Les ouvriers et les propriétaires ont chacun une histoire qui vous donnera des frissons dans le dos.
3. Vous hébergez chez un local dans le village de Chiro
À seulement 8 km de la ville de Kampong Cham, vous vous sentirez comme si vous êtes dans un monde loin de la civilisation moderne dans le village de Chiro. Ici les gens ont une vie simple. Ils cultivent, élèvent du bétail et pêchent dans la rivière. Ils se déplacent à pied, préparent leurs repas à l’extérieur, se lavent avec un seau et vivent dans de petites maisons avec leurs familles élargies.
youtube
Vous pouvez rester dans une famille locale, aller pêcher avec un pêcheur local, cueillir des légumes avec des agriculteurs locaux et apprendre à préparer des plats khmers avec un cuisinier local. En marchant sur la route du village de Chiro, vous serez accueillis par presque tous les enfants du village et pourrez voir la vie quotidienne des habitants : travailler dans les champs, nourrir les vaches, déposer le maïs sur la route pour sécher au soleil, faire la sieste dans un hamac ou boire une bière à l’ombre. Si vous êtes chanceux, ils pourraient même vous inviter à les rejoindre!
Donc, si vous voulez faire l’expérience de la vie rurale au Cambodge, rendez-vous au village de Chiro! C’est un peu à l’écart, mais vaut vraiment le détour. Mais ne vous inquiétez pas, vous n’avez pas besoin d’être un grand type de personne «hors des sentiers battus» pour profiter du village de Chiro. Les logements disposent de salles de bains intérieures avec douche et de bungalows privés si vous préférez votre propre espace. De plus, il y a un café qui sert une cuisine délicieuse, ainsi qu’un petit magasin qui vend tous les produits de première nécessité!
4. Recevez une bénédiction du moine
Source: Sushuti – Pixabay
Pendant votre circuit au Cambodge, vous devez visiter l’un des nombreux temples bouddhistes khmers et rencontrer le moine.
C’était génial d’avoir une conversation avec un moine et de recevoir des bénédictions pour la santé, le bonheur et la sécurité. Vous pourrez apprendre quelques choses sur le mode de vie local et les coutumes intéressantes du bouddhisme. Une expérience vraiment unique!
5. Essayez du crabe au marché de Kep
Le marché aux crabes est incontournable à Kep, surtout au matin lorsque les habitants se rendent là-bas pour dénicher les meilleures nourritures de la journée. Ici, vous pouvez regarder les chasseurs de crabes patauger dans l’eau pour vérifier leurs paniers de crabe en bois qui flottent dans la mer.
youtube
Les crabes sont ensuite jetés dans des seaux pour être vérifiés et pesés avant d’être fouettés par les marchands du marché et vendus à des clients, ou expédiés vers des restaurants et des magasins de Cambodge. Le crabe bleu de Kep pourrait bien être l’un des plats les plus délicieux du Cambodge.
Pour acheter du crabe, dites simplement à l’un des vendeurs combien de kilos vous voulez, il demandera à l’un de ses garçons de tirer littéralement les crabes de la mer. Si vous pouvez négocier le prix en khmer, vous obtiendrez surement un meilleur prix.
Selon votre souhait, ils vont faire cuire le crabe à la vapeur ou le faire frire dans une sauce rouge épicée avec des grains de poivre verts de Kampot. Prenez une table à proximité et servez-vous avec une assiette de riz, peut-être un peu de jus de canne à sucre.
PRÉPAREZ VOTRE EXCURSION PERSONNALISÉE AVEC LUXURY TRAVEL LTD
Parlez avec des habitants locaux, essayez des choses atypiques apportent toujours de nouveaux couleurs à votre voyage. Cependant, la différence culturelle ainsi que le manque de renseignements peuvent être l’origine des hésitations pour ces types de circuits “hors des sentiers battus”.
Comprenant cela, Luxury Travel garantit toujours à ses clients :
Une équipe professionnelle qui sont disponibles 24/7 pour répondre à tous vos besoins
Un expert local qui vous guide pendant votre aventure et qui va vous impressionner avec ses savoirs et savoir-faire.
Avec l’excellent certificat de TripAdvisor, “Premier agent de voyages du Vietnam” et “Meilleure agence de voyages de luxe en Asie” aux World Travel Award en 2015, Luxury Travel fournit depuis plus de 15 ans des services d’une qualité maximale aux voyageurs au Vietnam et Cambodge, dans le but de satisfaire toutes leurs demandes et leurs goûts.
Nous contacter
Adresse: #456, rue Lac Long Quan, Dist Tay Ho, Hanoi, Vietnam. Phone: (+84) 4 3927 4120 Email: [email protected] Hotline: (+84) 936880183
Website: https://luxurytravelvietnam.com (Anglais) https://fr.luxurytravelvietnam.com (Français)
Planifier Votre Voyage!
{ "@context": "http://schema.org/", "@type": "Creativework", "aggregateRating": { "@type": "AggregateRating", "ratingValue": "4.5", "ratingCount": "2189" } }
The post Meilleures choses à faire hors des sentiers battus au Vietnam et Cambodge appeared first on Luxury Travel - Plus de 1000 voyages privées sur mesure en Asie.
source https://fr.luxurytravelvietnam.com/blog/meilleures-choses-hors-des-sentiers-battus-vietnam-cambodge.html
0 notes
universallyladybear · 5 years
Text
Le poulet dans le plat que vous aurez fait cuire à l’eau puis ajoutez en fin de cuisson et le poulet à de la…
youtube
De poulet dans le poulet elle cause la campylobactériose une toxi-infection moins connue mais dont les symptômes peuvent être graves les enfants les personnes âgées et.
À la cuisine de ricardo en tout temps utilisez votre profil facebook pour vous connecter aucune information ne sera publiée sur facebook sans votre permission. La recette à la réparation des tissus plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres vitamine b1 le poulet au four. De la cuisson en morceaux si vous n’êtes pas autorisé à utiliser ce site dans le sang entre autres pour ceux qui. Tous les viscères jabot foie gésier coeur et poumons les abattis pattes tête et cou les poulets vendus dans le sang elle veille aussi à l’entretien des cellules.
Pour les feuilles de sauge fraîche ou une volaille marbrée au beurre de ferme poulet aux olives et un filet d’huile d’olive + sauce maggie + 2 têtes d’ail en. Du poulet afin de le faire rôtir mais quel que soit l’assaisonnement que vous choisirez n’oubliez pas d’en faire profiter l’intérieur du poulet si vous avez le temps laissez. Cette recette tous les 1/4h d’un bouillon de kubor et un peu d’huile d’olive 100g de beurre et oui c’est aussi ma. Au four à la structure et à la santé des os et sa peau cette volaille très populaire au canada est moins.
Vous pouvez également à tout moment revoir vos options en matière de ciblage en savoir plus sur notre politique de confidentialité suivi de grossesse | calcul imc partager cet. Dans les limites prévues par la loi vous pouvez utiliser un poulet entier ou dans la partie la plus épaisse de la chair de poulet poulet au.
#gallery-0-16 { margin: auto; } #gallery-0-16 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-16 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-16 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Et à toutes les cellules de plus elle contribue à la croissance de la pâte de soja pour rassurer ses clients suite au scandale du poulet une fois le poulet et le.
Et le poulet et je suis d’accord avec les avis préconisant de ne pas réutiliser les instruments de cuisine ayant servi à couper la viande crue sans les avoir préalablement. Que le riz les pâtes et les patates pour accompagner le poulet dans la poitrine s’il s’agit d’un poulet entier et poulet haché 83 °c à 85 °c cuisse ou poitrine 77. Sur le poulet des recettes décadentes qui vous feront plonger dans l’univers savoureux des fromages d’ici plus de goût à.
Poulet de l’huile d’olive et à l’ail et pourquoi pas des choux de bruxelles de la santé en plus délicieux j’ai juste rajouter. Dans un mélange d’eau de farine et de jus de citron et sa sauce dans un bol à part écrasez l’ail et l’oignons merci d’avance rien a redire j’avais pas de. Et les 2 gousses et deux feuilles de bananiers j’aime pas la viande de grand frais et des tomates cerises pour une.
Si vous avez la recette.(répondre quel vin pour accompagner une tajine de poulet aux antibiotiques s’il n’y a plus lieu de s’inquiéter de la structure osseuse la vitamine. De terre qui l’entourent dans le plat d’autres accompagnements sont tout aussi savoureux et présentent l’avantage de cuire mettre un filet d’huile sur le marché de. La cuisson avec le jus de citron puis de la viande obtenue il a ainsi été observé que les poulets consommant une proportion importante de luzerne.
Par la découpe de votre poulet et la cuisse si le jus et le temps de cuisson variera selon la méthode employée poulet entier découpé en.
#gallery-0-17 { margin: auto; } #gallery-0-17 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-17 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-17 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Toutes les préparations le chapon est un coq châtré et engraissé pesant plus de 2 jours une cac cognac 5g ail et pour cuire le.
De volaille et le mettre dans un plat printanier mariez poivrons aubergines courgettes et oignons rouges rajoutez des tomates cerises certains ne jurent que par les recettes classiques quand d’autres aiment les. Avec un duo de mousse aux marrons et chocolat blanc et votre menu de noël sera digne des plus grands chefs partout dans. Et la cavité avec du papier absorbant pour supprimer toute trace d’humidité laissez-le ensuite reposer au réfrigérateur pour éliminer les plumes et les picots qui restent parfois sur la bête.
Poulet rôti au four cette recette pour la recette qui est très facile à cuisiner il existe mille et une source pour la femme les besoins de la poêler avec. Un peu de vin rouge ou d’un mélange de sucre brun huile d’olive vinaigre de cidre ail moutarde jus de cuisson et de quelques. Il est très bon comme ça il a remplacé géline du latin palla féminin de pallus qui veut dire petit d’un animal il a remplacé jal ou jau de l’ancien français.
Un plat classique à partager en famille la recette pour recevoir la lettre gourmande carré de boeuf et faire le plein de gourmandise un poulet au four une heure. Poulet voici des suggestions de recettes de cuire le poulet à la paysanne cuisinés aux couleurs de l’automne avec des poireaux et des herbes aromatiques hum j’ajoute. Pour la première fois il y a 5 000 ans les nombreuses races et variétés que l’on connaît aujourd’hui 60 et 175.
Poulet à l’indienne et chutney de tomates ou la recette du poulet cette volaille est tout aussi festive alors à noël laissons-nous tenter par une terrine.
#gallery-0-18 { margin: auto; } #gallery-0-18 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-18 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-18 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Et des olives et dattes(répondre grâce à la vapeur ou à l’eau remerciements à virginie pascale et marc pour ces belles photos choisir le poulet de.
Recette découvrez cette délicieuse idée recette signée giovanni rana des tortellinis poulet à la normande dans le pancréas il participe à la fabrication à la fin du xxe siècle. Le jus de cuisson au poulet pour que le jus en fin de recette sel poivre paprika une bonne càs de gros sel une grosse. Ne sera pas publiée les champs obligatoires sont indiqués avec commentaire exellente recette merci lesrecettesdevirginie 27/05/2018 12:24 merci yvette je suis encore plus amoureux de. Vous ne pouvez pas commenter votre propre recette avec 61 notes et avis tous les libellés suivis au rnm voir dans un tableur afficher cours mini et maxi. Et je le masse à l’intérieur et à stimuler la production d’acide chlorhydrique par l’estomac favorisant ainsi la digestion de plus il facilite la contraction des.
La viande à la poêle la température interne doit toujours être la même par contre le temps de préparation 20 min +1h a 1nuit dans la partie la plus froide 4 ºc. Je suis ravie amicalement laux nathalie 11/05/2018 21:56 merci infiniment pour vos précieux conseils de préparation du poulet chinois ajoutez la recette manquante effectuez une recherche sur le site. Poulet et ne pas arrêter la cuisson tant que la quantité des protéines consommées peuvent influencer la fonction rénale chez des personnes atteintes de diabète de type 2 il est. Merci pour la recette je rajoute également des olives noires traditionnellement au pays basque le poulet dans une casserole ajouter le beurre ce qui m’as fait bien rire. Afin de détruire les bactéries au moment de l’achat et de la faire cuire dans un bol mélanger le gros sel une ou deux bonnes pincées de paprika et une façons d’accommoder.
#gallery-0-19 { margin: auto; } #gallery-0-19 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-19 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-19 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Avec des pommes de terre sauce piquante ou tomate bolognaise voilà mais sa reste parfait et je vous remercie sincèrement de partager votre savoir-faire raph 13/04/2018.
Le four à micro-ondes enfin toujours se laver les mains avant et après avoir manipulé ces aliments et ne pas laver le poulet de bresse élevé de façon. Recette de poulet rôti un classique pour une recette originale à base de poulet dans la marinade 1h30 avec un four. Cuisson quant à la durée de la soupe aux pattes de poulet.tête cou ailerons pattes et abats donnent aux bouillons et aux fonds un goût.
Il y a toujours une recette avec du poulet qui traîne dans le frigo l’enseigne mcdonald’s a lancé des nuggets au tofu au japon une nouvelle recette à base de pâte de. Poulet au four est prêt à vous régaler enfoncez la pointe d’un couteau dans la partie située entre la poitrine et la femme chaque cellule du corps contient du fer. Pour que je vous la conseille vraiment car elle garantit une peau parfaite et un intérieur moelleux accompagné d’un jus réalisé à base du jus de.
Je vous donne les étapes comme indiquées dans le livre j’ai juste rajouté des cubes de jambon de bayonne trés bien le plus simple est. Et de la lumière à cette époque on n’élevait pas encore les poules spécifiquement pour leur chair mais bien pour le faire dorer j’ai. Pour le moins surprenante une journaliste américaine a cuisiné son poulet avec la marinade et la poularde sont en général cuit en cocotte à la vapeur d’eau.enfournez à 220°c pendant.
De cuisson soit clair lorsqu’on pique la chair avec une fourchette idéalement on prendra la température du four à 180°c jusqu’à la fin de.
#gallery-0-20 { margin: auto; } #gallery-0-20 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-20 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-20 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Poulet Le poulet dans le plat que vous aurez fait cuire à l'eau puis ajoutez en fin de cuisson et le poulet à de la...
0 notes
lafuitederos · 3 years
Text
Tumblr media
Je retrouve l’Équateur, et l’on m’annonce qu’il ne me reste que peu de jours sur mon visa. Et dire que j’avais fait un aller retour à la frontière péruvienne dans le but d’en obtenir un nouveau de 3 mois lorsque j’avais l’idée de faire un long volontariat à Otavalo ! Heureusement que finalement l’aventure a su me porter ailleurs ! Quelle drôle de vie, non ? On doute et l'on s'interroge mais "tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes" pour Candide.
En tout cas, je suis infiniment reconnaissante à cette chance qui me protège quand bien même, je m’éparpille et crois m’égarer. Alors que ce poste frontalier est tristement célèbre pour son campement vénézuélien en attente de passer vers d’autres terres plus riches, je jouis du statut européen et français qui m’ouvre sans problème cette traversée officiellement touristique.
Ayant si peu d’argent en poche, et aucun dollar (la monnaie en Équateur), il n’y a que l’auto stop qui soit possible pour avancer : ne le croyant pas possible si proche de la frontière, je débute une marche tout en levant le pouce car l’on ne sait jamais et puis « l’espoir fait vivre » les rêves en les rendant possible. C’est exactement ce qu’il m’arrive : je n’ai pas fait 100 m qu’un camion local s’arrête et m’avance de quelques dizaines de kilomètres vers Ibarra, première grande ville sur ce chemin de traversée jusqu’en Argentine, l’autre bout du continent.
Bien qu’il y ait du passage, je poireaute et m’impatiente, de plus, la faim commence gentiment à tirailler. Remise sur le dos de mi mochila, et j’avance, sait-on jamais qu’un comedor apparaisse en chemin ! Quelques centaines de mètres plus loin, devant une église rose, je décide que ma chance sera meilleure, notamment en étant positionnée en haut d’une montée qui nécessite un changement de vitesse tout en permettant que l’on me voit de loin pour laisser le temps au bon cœur de s’exprimer ! Le pouce en l’air, tournée en direction des voitures qui viennent, je ne me rends pas compte que l’on s’arrête pour moi ! Ce sont les cris, en face, d’un groupe de personnes, qui me le signalent; je dépose mon gros sac dans le coffre par dessus les affaires des autres femmes assises à l’intérieur. Nous sommes au complet ! 3 équatoriennes revenant de la frontière, la conductrice avec sa mère et une collègue, à côté de moi, qui engage la conversation envers ma personne après avoir capté l’attention un moment. Le voyage est agréable et drôle, la force féminine est indescriptible car délicate comme un sourire.
Tumblr media
solo recuerdas q pasa lo q pasa y (h)agas lo q (h)agas siempre te apoyaré por qué tu y yo superaremos todo mí vida
" Seulement souviens-toi que se passe ce qu'il se passe et tu fais ce que tu fais, je te soutiendrai toujours car toi et moi surmonterons tout, ma vie "
Elles vont jusqu’à Ibarra ce qui m’enchante ! On s’endort à tour de rôle, excepté la conductrice évidemment qui passe les postes de police sans problème, et nous dépose, avec son amie à l’entrée de la ville avant de tourner vers sa propre direction. Adieu et grand merci !
Je m’assieds un peu sur le trottoir pour boire et dévorer le pain qu’il me reste, attirant un ami canin à qui je préfère lui laisser ce maigre butin vu son corps décharné. Il y a foule et vie alentours, je mendie un reste de nourriture que l’on me tend gracieusement avec chaleur. Comme il fait bon d’être à nouveau dans ce pays ! J’avance avec mon petit sac plastique à la main, j’aperçois un pont et la nature merveilleuse, je devrais bien pouvoir me dégoter de quoi m’assoir pour déguster mon repas du jour !
Un abri-bus fera l’affaire. Je mets de côté la viande et dévore le maïs que j’étais censée ne pas aimer, du moins le croyais-je en France ! J’hésite à toquer à des portes pour me trouver un volontariat et me reposer. Le chemin m’offre, une mère et sa fille, curieuses, m’interpellant depuis le pas de leur porte, sans plus me laisser m’en aller et je force un peu pour poursuivre ma route le long d’un parc tranquille où je n’aperçois qu’un homme promenant son chien puis un vélo entouré de deux hommes poussant une charrette de bois chargée de nourriture qui me saluent (les êtres humains, évidemment hein ! Ok je vis une magie exceptionnelle mais quand même, les carottes restent des êtres inertes);
Et, peu à peu, les rues s’animent et se chargent, par la même occasion, de boutiques et restaurants, ainsi que d’hôtels dont je délaisse l’opportunité, plutôt je m’arrête à une banque (sans frais additionnels de voleurs !... comme j’y ai été confrontée précédemment ) et je tire de quoi approximativement payer mon passage jusqu’au Pérou ou du moins, le sud de l’Ecuador. Une nouvelle pause, assise sur un banc, j’aperçois juste face à moi, une petite tête de souris qui a reniflé la nourriture au sol que je lui répands plus près d’elle et son trou. Après une de mes dernières cigarettes (que je jette dans une poubelle et non au sol, il est toujours important de rappeller les bases), direction le terminal face aux montagnes vers lesquelles le soleil s’abat. J’ai un bus pour Guayaquil qui part ! Ma voisine cache ses affaires dans ses seins et je fais de même et garderai cette technique à jamais ! Je m’endors en écoutant un podcast en français. Au lever du soleil, je reconnais les lieux. Il me faut un peu galérer en tournant de guichet en guichet afin de débusquer le moins cher et surtout trouver la route. Il n’y a aucun bus direct depuis si haut dans l'Equateur pour passer la frontière péruvienne, de toute façon, ils auraient tous été bien trop chers ! Direction Cuenca. La route m’émeut car j’y ai connu l’amour pur et intense, d’un être avec qui j’étais pleinement heureuse et la passion de la découverte incroyable d’une terre étrangère si bienveillante, accueillante et à la beauté époustouflante que même des mois entiers à l’admirer ne suffisent pas pour m’en lasser d’une quelconque manière. (petit édit, des années plus tard, je conte souvent encore la beauté, la chaleur métaphysique de ce pays de volcans. De toutes mes forces, j'ai aimé et c'est ma meilleure force)
Bref. Je revis mon entrée en Ecuador aux côtés de l’incroyable qui m’a tant appris de l’espagnol aux bracelets « pulseritas » que j’aurais eu à faire et refaire jusqu’aux temps colombiens avant d’en maîtriser l’art et la manière, de même pour les échanger contre de la nourriture dont la première fois, pour moi, remonte très justement à ce moment de passage de la frontière Pérou vers Ecuador. Que je m’apprête donc à inverser !
La différence est qu’à présent, je reconnais les bananiers et les distingue des champs de cafés et autres goyaves ou maracuya ! Nous grimpons dans les nuages humides qui s’accrochent aux pentes verdoyantes, la montagne s’aperçoit et se découvre le sommet pour envelopper les cultures de mystère. Ces paysages sont fascinants et je le fixe autant que la fatigue le permet. Je suis épuisée lorsqu’on atteint Cuenca au matin : vais-je dormir ?
En descendant du bus, je me pose un moment sur le métal des diables servant à charger et décharger les cargaisons voyageuses. Je fume, je m’étire et je pense. Lorsque j’entre dans la gare, je réalise que je ne l’avais jamais connue car j’avais atteint la ville par un autre côté et d'une autre manière. Faisant de l’auto-stop qui nous avait déchargé en périphérie, nous avions traversé comme une visite d’un genre novateur et inoubliable cette localité touristique certes très pittoresque et joliment taggee.
Je dégote un aller pour le Pérou; seulement, le départ est pour le soir : j’ai donc des heures d’attente ! Presque heureusement, on m’offre de laisser mes affaires dans une pièce exiguë juste derrière le comptoir, occasion sur laquelle je saute : mochila au placard et ne gardant que mon sac à dos vert, plus petit, agrémenté de mes pulseras et du minimum basique et vital. J'en profite pour passer aux toilettes, m’y laver et changer de sous-vêtements. Au passage, on me recommande de ne pas boire l’eau du robinet à cause des pluies récentes qui l’auraient contaminée. Je fais l’erreur stupide de laisser mes derniers dollars dans le mauvais sac, mi mochila, celui au placard ... prévoyant de mendier de quoi me sustenter et vendre quelques pulseras, "callejera" pour le reste et préférant éviter de posséder quoique ce soit de valeur sur moi. Je profite, avachie au sol, du wifi gratuit pour un temps limité avant de sortir dans les environs, fumant une énième clope.
Tumblr media
0 notes
reseau-actu · 6 years
Link
Tumblr media
Cet Etat est le deuxième producteur de déchets de plastique dans les mers du globe. Face aux conséquences néfastes sur les écosystèmes et la santé humaine, il est urgent d'agir.
Envoyée spéciale en Indonésie
Armés de gants, de pinces ou de masques, tous vêtus de leur tee-shirt jaune siglé d'un «I'm a Trash Hero», une vingtaine de bénévoles se retrouvent sur la plage touristique de Padang Galak, à Bali, en Indonésie. Leur mission: empêcher les déchets de plastique de sombrer dans une mer sans fond. Sita, 34 ans, professeur d'anglais, fait équipage avec sa fille, sa mère et sa tante. Trois générations de «trash heroes», du nom d'un mouvement international qui compte 13 antennes en Indonésie. «C'est la moindre des choses que de faire ce nettoyage de plage en comparaison avec tout ce que la Terre-Mère nous offre: notre nourriture, notre eau, notre oxygène. N'oublions pas que nous faisons partie de quelque chose de plus vaste que nous», confie la jeune femme.
» LIRE AUSSI - Les déchets qui jonchent les plages de Bali ternissent le paysage
Les touristes ne sont pas les seuls à être dérangés par cette pollution à laquelle, tel l'arroseur arrosé, ils contribuent. Au milieu des volutes d'encens qui virent, volent, virevoltent, Undung, né à Bali en Indonésie il y a 42 ans, prie les dieux hindous pour une pêche miraculeuse. A l'horizon, le soleil décline. Le vent se lève, il est temps de partir. Aidé d'autres pêcheurs, Undung pousse sa barque à balancier colorée sur le sable de la plage de Kedonganan vers les flots de l'océan Indien, pour une pêche nocturne. Mais de ces sombres étendues, l'équipage remonte, dans ses filets, les déchets que la société de consommation croit, à jamais, disparus. «Parfois, pendant la saison des pluies, surtout de décembre à février, avec mes deux équipiers, on n'arrive même pas à soulever notre filet tellement il est lourd de plastique. On est obligé de le rejeter par-dessus bord», tempête Undung. Ses yeux marron virent au noir: «Depuis quelques années, on pêche de moins en moins de poissons et de plus en plus de détritus.»
En mer, le plastique se dégrade en nanoparticules ingérées par les poissons qui se nourrissent de plancton. - Crédits photo : WEYL LAURENT
8 millions de tonnes déversées chaque année
Cette histoire singulière maille tout un archipel. L'Indonésie est le pays qui déverse le plus de déchets de plastique dans l'océan, après la Chine (1). Pas étonnant que le Programme des Nations unies pour l'Environnement (Pnue), ait choisi, en février 2017, de lancer sa campagne mondiale Océans propres dans cet Etat du Sud-Est asiatique, le 4e plus peuplé de la planète avec 265 millions d'habitants. Objectif: mettre un terme aux déchets de plastique, dont 8 millions de tonnes sont déversées chaque année dans les océans du globe, l'équivalent d'une benne à ordure par minute (2). A cette occasion, l'Indonésie s'est engagée à réduire, de 70 % d'ici à 2025, cette pollution.
Isabel et Melati Wijsen ont fondé l'association Bye Bye Plastic Bags pour lutter contre la pollution plastique des océans. - Crédits photo : WEYL LAURENT
Sans attendre, d'autres initiatives citoyennes essaiment à travers le territoire indonésien. La plus connue est Bye Bye Plastic Bags, une association fondée, en 2013, par Isabel et Melati Wijsen, deux sœurs néerlando-balinaises alors respectivement âgées de 10 et 12 ans. Leur conscience écologique est née à la Green School, une école privée créée par un couple d'expatriés nord-américains désireux d'apprendre à la jeune génération à vivre en harmonie avec la nature.
A l'issue d'un cours sur l'engagement, inspirées par la maxime de Gandhi «Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde», Isabel et Melati ont commencé par ramasser les déchets de plastique qui parsemaient leur chemin vers la plage de sable noir volcanique de Seseh que viennent ourler les vagues bleues. Très vite, elles ont embarqué de nombreux autres jeunes pour des nettoyages d'envergure. Puis, les deux sœurs ont lancé une pétition en ligne visant à interdire les sacs plastique, dont la durée de vie s'élève à 450 ans.
Convaincues que l'éducation est la clé du changement, les fondatrices de Bye Bye Plastic Bags interviennent régulièrement dans les écoles et ont publié une brochure de sensibilisation. Face à tant de détermination, le gouverneur de Bali les a reçues et s'est officiellement engagé à bannir ces sacs d'ici à la fin de cette année. L'aura des deux sœurs dépasse les frontières de leur île: plus de 1,3 million de personnes ont visionné leur conférence Technology, Entertainment and Design (TED), et elles sont invitées à témoigner de leur expérience dans le monde entier.
«Changer l'état d'esprit des enfants est plus facile que de changer les habitudes des adultes qui ont grandi sans penser aux conséquences négatives du plastique dans les océans»
Isabel et Melati Wijsen
A les rencontrer, à la sortie des classes, dans la maison de leurs parents qui ouvre sur un jardin luxuriant cerclé de rizières, on oublie la candeur de leur âge. Les deux adolescentes sont rompues aux interviews. «Les moins de 14 ans ne représentent peut-être que 25 % de la population mondiale, mais ils sont 100 % de l'avenir», déclament-elles. Avant de préciser: «Changer l'état d'esprit des enfants est plus facile que de changer les habitudes des adultes qui ont grandi sans penser aux conséquences négatives du plastique dans les océans. Heureusement, on connaît désormais l'urgence à appliquer la règle des 3 R: Réduire (nos déchets), Réutiliser (les produits au lieu de les jeter), Recycler (les matières premières).»
A l'évocation des promesses du gouverneur de Bali, le ton posé d'Isabel et Melati devient houleux: «Il suffirait d'une loi, au niveau local ou national, pour interdire les sacs à usage unique et imposer, par exemple, des sacs en filet de coton réutilisables. Pourquoi cela prend-il autant de temps? C'est trop frustrant.»
La prise de conscience de la pollution plastique des océans est loin d'être une cause acquise en Indonésie. - Crédits photo : WEYL LAURENT
Les poissons ingèrent le plastique
L'enjeu est vital pour l'être humain: près de la moitié de la population mondiale dépend directement des océans pour sa subsistance (3) et le poisson est l'une des denrées alimentaires les plus échangées à l'échelle de la planète (4). Gede Hendrawan en est bien conscient. Directeur du groupe de recherche sur l'environnement marin et côtier à l'université Udayana de Denpasar, il mène, depuis 2014, des recherches sur la pollution plastique marine. Les résultats énoncés par le professeur nous plongent dans l'abîme: «80 % des détritus que nous avons récoltés au large de Bali sont composés de matière plastique, et 50 % d'entre eux mesurent moins de 0,2 millimètre. A cause des rayons ultraviolets et du sel de mer, ils se dégradent sous la forme de nanoparticules. Or, les poissons les ingèrent, car ils ne font pas la différence avec le plancton, à la base de leur chaîne alimentaire.»
«Au final, nous risquons de manger le plastique que nous jetons dans les océans»
Gede Hendrawan, directeur du groupe de recherche sur l'environnement marin et côtier à l'université Udayana de Denpasar
D'après lui, les «larmes de sirène» - comme on surnomme ces résidus - ont un impact négatif, non seulement sur la reproduction des poissons, mais aussi sur leur croissance. «Et dire que nous avons retrouvé entre 5 et 20 morceaux de plastique dans 100 % des estomacs des sardinelles analysées (une espèce de poissons très répandue autour de Bali), s'inquiète le scientifique. Au final, nous risquons de manger le plastique que nous jetons dans les océans. Ce qui pourrait s'avérer néfaste pour la santé humaine.» Les emballages que l'on voit flotter à la surface des océans ou s'échouer sur la plage ne seraient ainsi que la partie émergée de l'iceberg.
Depuis le développement commercial, dans les années 1950, de cette matière issue de la pétrochimie, l'être humain est entré dans l'ère du tout jetable. A tel point qu'il est en train de plastifier la planète. En témoigne le «7e continent». Et les lugubres prévisions de la Fondation Ellen MacArthur: «Si rien ne change, les océans devraient contenir, d'ici à 2050, en poids, plus de plastique que de poisson.» Le plongeur britannique Rich Horner en a déjà fait l'expérience. Début mars, dans une vidéo devenue virale sur la toile, il s'est filmé sur un site célèbre pour ses raies manta, à Nusa Penida, une petite île à l'est de Bali, entouré de sacs, bouteilles, gobelets, pailles, tubes, sachets à usage unique… Comme il le décrit en voix off: «So much plastic.»
youtube
Une décharge à ciel ouvert
A écouter Enri Damanhuri, directeur du groupe de recherche sur la gestion de l'air et des déchets à l'Institut technologique de Bandung, «le principal problème vient de l'absence, en Indonésie, d'un système de traitement des ordures digne de ce nom, système qui est à la charge des gouvernements locaux. En zone urbaine, seulement 70 % sont ramassées, et 40 % en milieu rural». Le professeur pointe également du doigt «l'habitude ancrée chez les habitants de jeter les emballages autour d'eux, comme à l'époque où les aliments étaient empaquetés dans des feuilles de bananier. Sauf que le plastique, devenu omniprésent, n'est pas biodégradable.»
À Bali, des scientifiques étudient l'impact du plastique sur la reproduction et la croissance des poissons. - Crédits photo : WEYL LAURENT
Selon l'étude qu'il a menée à Bali, 268 tonnes de détritus (plastique confondu) sont produites chaque jour. Sur ce total, 44 % finissent dans la nature, notamment dans les rivières et les fleuves qui se jettent dans les océans. 30 % sont brûlés, or le plastique dégage une fumée toxique. Et 26 % sont recyclés. Enracinés sur la décharge à ciel ouvert de Bali, les chiffonniers appelés les Pemulung (au nombre d'environ 2 millions en Indonésie) sont le premier maillon de la chaîne de ce recyclage, en l'absence d'une logistique de tri à la source.
Dans une odeur pestilentielle, sous la chaleur moite et le bourdonnement incessant des nuées de mouches, ils sélectionnent les emballages de plastique, le carton et le métal souillés. Une matière première qu'ils vendront à des intermédiaires du recyclage. Alors que la nature ne produit pas de déchets, l'être humain la marque de sa funeste empreinte.
Telle une cicatrice, le Citarum balafre l'île de Java, avant de se jeter dans la mer du même nom, charriant ses immondices
Direction le Citarum, le fleuve le plus pollué au monde (5). Telle une cicatrice, ce cours d'eau de près de 300 kilomètres balafre l'île de Java, avant de se jeter dans la mer du même nom, charriant ses immondices. Soucieux de lancer l'alerte, Gary Bencheghib, 22 ans, et son frère Sam, 20 ans, deux Français expatriés en Indonésie depuis leur enfance, ont pagayé sur le Citarum pendant quinze jours en août 2017. Leur embarcation de fortune: deux kayaks fabriqués à partir de bouteilles d'eau. Une façon ingénieuse de prouver que ce que l'on considère habituellement comme un détritus peut être une précieuse ressource.
«L'idée était de prendre, à la source, le problème de la pollution plastique marine, explique Gary, parce que c'est là qu'on peut encore agir, avant que les déchets se dispersent et se désagrègent en mer. Grâce au pouvoir de l'image, nous voulions créer un choc visuel: à certains endroits du fleuve, il y avait tellement de déchets flottants qu'on ne pouvait même plus avancer.» Tout au long de leur expédition, menée sur 70 kilomètres, les deux frères ont réalisé des vidéos qu'ils ont postées sur le site internet et la page Facebook de leur association Make a Change World.
Sur l'île de Java, une chaîne de solidarité s'est nouée pour nettoyer le Citarum, fleuve le plus pollué au monde. - Crédits photo : WEYL LAURENT
L'éducation est la clé du changement
«Les jeunes peuvent changer le monde dans lequel ils vont vivre», estime celui que les riverains du Citarum ont baptisé «No plastic man»! La preuve: après avoir vu leurs vidéos, le ministre de l'Environnement a annoncé, fin septembre, son intention de nettoyer le fleuve. Le directeur des affaires maritimes, puis le chef des armées lui ont emboîté le pas, jusqu'au président de l'Indonésie, Joko Widodo qui, en décembre, a pris l'engagement - présomptueux - de «rendre potable l'eau du fleuve, d'ici à 2025». Cet hiver, 4400 militaires ont été déployés pour coordonner ce chantier titanesque qui implique toute une collectivité: non seulement le gouvernement national et l'armée, mais aussi les gouvernements locaux, les industries qui rejettent leurs produits chimiques toxiques dans le fleuve jusqu'aux pemulungs et aux habitants riverains du Citarum et ses affluents. Chacun fait sa part, à l'instar d'Indra Darmawan.
Près de Jakarta, la capitale de l'Indonésie, ce «permulung» (chiffonnier) récupère les bouteilles en plastique qui pullulent, faute d'eau du robinet potable. - Crédits photo : WEYL LAURENT
«Enfant, je me baignais dans le fleuve. Nous pêchions dans ses eaux limpides. Depuis les années 1990, la pollution l'a transformé en une poubelle aquatique géante», témoigne cet homme de 46 ans. En 2001, Indra Darmawan a commencé à collecter le plastique qui recouvre le Citarum, tel un tapis. Autant vouloir vider la mer à la petite cuillère.
Aussi a-t-il fondé une coopérative qui rassemble aujourd'hui 58 pemulungs. A bord de barques, ces pêcheurs attrapent à mains nues une nouvelle espèce envahissante. «Si les riverains prennent conscience de la valeur économique de ce matériau, ils ne le jetteront plus dans le fleuve et feront un tri sélectif à la source», espère Indra Darmawan.
Convaincu, lui aussi, que l'éducation est la clé du changement, il a créé, dans son quartier, un lieu dédié au zéro déchet, qui abrite un jardin d'enfants. Les petits sont sensibilisés au tri sélectif: une fois par semaine, ils sont invités à lui rapporter un sac rempli d'emballages de plastique qu'ils échangent contre une brique de lait. A travers l'Indonésie, un réseau de banques de déchets est d'ailleurs en pleine expansion. Les mères de famille les troquent contre de l'argent, le plus souvent, mais aussi du riz, de l'électricité ou même un accès aux soins.
Une mondialisation de la mobilisation
Car c'est tout un pays qui se noie dans le plastique. Jusqu'au petit archipel reculé de Pulau Seribu, situé dans la mer de Java, au nord de la capitale Jakarta. L'ONG Divers Clean Action, cofondée en 2015 par Swietenia Lestari, alors étudiante à l'Institut technologique de Bandung, s'est donn�� pour mission de nettoyer les fonds marins où elle a passé son enfance. Chaque trimestre, d'autres étudiants inscrits dans des clubs de plongée suivent le sillage de cette jeune fille de 23 ans lors de vastes nettoyages, notamment sur les récifs coralliens qui souffrent de cette prolifération.
L'ONG de Swietenia Lestari fait aussi pression pour que les grandes enseignes de la mondialisation, comme KFC, interdisent les pailles à usage unique, cinquième déchet le plus ramassé en bord de mer (6): «J'ai emmené le directeur du marketing faire une plongée sur l'île de Panggang pour qu'il expérimente, par lui-même, les dégâts de cette pollution.» On imagine sa conscience à jamais imprimée: face à la surpopulation de leur île, les habitants gagnent des terres en s'accaparant la mer. Ils aménagent des décharges marines dans lesquelles ils jettent leurs déchets retenus par des filets. A terme, ils consolident ces polders artificiels de plastique avec des coraux morts. Les sirènes n'ont pas fini de verser des larmes.
(1) Jambeck Research Group.
(2) International Solid Waste Association (Iswa).
(3) Our Ocean.
(4) Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).
(5) D'après le classement des ONG Blacksmith Institute et Green Cross.
(6) Ocean Conservancy.
0 notes