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#bouillonnement
girafeduvexin · 6 months
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Les tweets des responsables politiques en mode "les actes antisémites en ce moment sont terribles MAIS critiquer Israël n'est pas antisémite." ou " il ne faut pas être antisémite CAR c'est contre-productif à la lutte pro-palestinienne", stop. Vous pouvez faire deux tweets et parler d'Israël plus tard, vous pouvez juste, je sais pas, déplorer ce qui se passe, parce que l'antisémitisme, c'est de la merde, point final, pas besoin d'en dire plus finalement.
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art-vortex · 8 months
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(via Coussinundefined avec l'œuvre « "Metropolitan Kaleidoscope" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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eaumerta · 3 months
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Back from the grave
Bonjour bonsoir à vous tous et toutes. En ce lundi (assez froid, je ne sais pas pour vous) je tenais à vous souhaiter une bonne année 2024. 💫 Je fais ce post afin d'écrire un peu à cœur ouvert, n'ayant plus et ne souhaitant plus être sur discord, il parlera sûrement aux partenaires que j'ai pu avoir avant la nouvelle année et que j'ai "lâchement" abandonnée du jour au lendemain sans un mot. Sachez que cela n'était pas voulu, je me bats avec de lourds démons (bien que cela n'excuse en RIEN mon comportement) depuis que je suis ado et les fêtes de fin d'années n'ont pas été de tout repos pour moi, bien au contraire. Certain(e)s connaissent déjà mon irrégularité globale, Sans rentrer dans trop de détails, une pause de la vie rpgique, voir même de ma vie irl, et du monde d'internet globalement m'a été imposée, pour mon bien. Je ne dirais pas que je vais à 100% mieux, mais je suis vivante et c'est le plus important. Ce message et donc pour m'excuser avant toute chose, sincèrement, j'aurais terriblement voulu vous prévenir, vous tenir au courant. Mais je n'ai pas eu ce luxe. Je ne bosse plus, je suis au ralenti, le temps d'aller mieux. Mon envie d'écrire est plus que présente, je bouillonne d'une rare envie de partager des écrits avec vous tous et toutes. Mais je ne sais pas, plus, où aller. Je ne veux pas imposer ma présence qui pourrait peut-être, être malaisante pour certain(e)s et je ne souhaite m'imposer nul part. De ce fait, si vous connaissez des forums (je recherche un peu de tout, du sombre city au surnaturel.) n'hésitez pas à balancer vos adresses, en commentaires ou par mp ici, je vous serais éternellement reconnaissante. Cependant dû à ma présence qui sera peut-être aléatoire et à mon inconsistance globale, je ne souhaite pas prendre de pré-lien ou de scénario, pour ne plus décevoir personne. Je m'excuse une nouvelle fois, autant pour ce message probablement brouillon, qu'envers les personnes que j'ai pu blesser sans même m'en apercevoir. Je regrette et culpabilise encore beaucoup, et vous êtes plus qu'en droit de ne pas m'accorder votre pardon, je le comprendrais. Il y aura aussi un changement de pseudo, chandelyer devenant Rage. Pour la rage de vivre, pour la rage de ne plus me laisser abattre, pour me battre.
Merci à vous pour la lecture de ce message, votre pardon, et peut-être votre aide.
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chic-a-gigot · 8 months
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La Mode illustrée, no. 33, 18 août 1901, Paris. Robe de casino et de réunions d'été. Modèle de Mme Angenault, rue de Provence, 67. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Cette robe, exécutée en batiste de soie vert réséda, est entièrement plissée et ornée d'une riche garniture en dentelle Renaissance ivoire. La jupe est faite avec un empiècement en dentelle terminé par des motifs isolés rattachés à une bordure pareille; la jupe est cerclée, en outre, de cinq rangées de rubans de velours noir plissé avec l'étoffe, le contour inférieur est garni d'une ruche en batiste de soie et d'entre-deux de dentelle ornés de petits choux en velours noir; on pose la jupe librement sur une jupe en taffetas vert. Le corsage, également plissé, est garni de dentelle Renaissance formant boléro dans le dos et descendant devant jusqu'à la ceinture en velours noir. Le corsage ferme devant, la garniture de dentelle sur le côté. Les manches, faites jusqu'au coude avec delà batiste de soie plissée, sont évasées pour former des bouillonnes retenus par des bas de manches ajustés, exécutés en dentelle; la contour supérieur est orné de choux en velours. Le haut col droit est lait en dentelle.
On complète la toilette par une grosse ruche tour de cou, à longs pans, en mousseline de soie blanche.
Le chapeau, en paille de soie vert réséda, est relevè de côté à l'aide d'un nœud de velours noir. La calotte est entourée d'une draperie en mousseline de soie vert réséda et d'une guirlande de fleurs d'acacias.
This dress, executed in reseda green silk batiste, is fully pleated and adorned with rich ivory Renaissance lace trim. The skirt is made with a lace yoke finished with isolated patterns attached to a similar border; the skirt is also encircled with five rows of black velvet ribbons pleated with the fabric, the lower contour is trimmed with a ruffle in silk cambric and lace inserts adorned with small black velvet puffs ; the skirt is placed freely on a green taffeta skirt. The bodice, also pleated, is trimmed with Renaissance lace forming a bolero in the back and descending in front to the black velvet belt. The bodice closes in front, the lace trim on the side. The sleeves, made up to the elbow with pleated silk batiste, are flared to form bubbles retained by fitted cuffs, executed in lace; the upper contour is decorated with velvet puffs. The high straight collar is lace milk.
The toilet is completed by a large hive around the neck, with long sides, in white silk muslin.
The hat, in reseda green silk straw, is raised on the side with a black velvet bow. The crown is surrounded by a reseda green silk chiffon drapery and a garland of acacia flowers.
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Obstination
Aujourd’hui, je n’y arrive pas. Les mots sont des blessures exemptes de douleur. Choses sans envergure, ni secrets ; petites choses aux contours affirmés qui me disculpent de mes crimes et de mes trahisons. Les mondes inconnus, qu’ils recèlent d’habitude, sont vides de magie. Aujourd’hui, les mots sont étanches, n’ont qu’une seule vie à offrir, rien ne bouillonne en eux ; aucun feu ne s’allume sous leurs corps allongés. Hier, j’ai vu une forêt de nuages plantés sur l’horizon, des dentelles de givre recouvrir la prairie, des flotilles d’étourneaux brasser l’air matinal. Aujourd’hui, l’arbre est un arbre, l’oiseau un oiseau, la pierre une pierre, et pourtant je m’obstine.
Franck Bouysse. Fenêtre sur terre. Récit poétique. 2021
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audessusdesgens · 4 months
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Profiter de la nouvelle année
Juste à deux
Un bain bouillonnant pour se relaxer
Sortir de là echauffés
Se chercher, encore nus et le corps humide
Les baisers, les mains sur les corps
Elle est debout devant lui, son corps offert
Il l embrasse, la caresse
Se penche vers son intimité, tout en tortillant la pointe de ses seins, érigés de désir
Sa langue cherche son.clito, déjà gonflé d'envie
Elle se rapproche encore plus de lui, assis sur le canapé
Elle le Domine, sa chatte collée à sa bouche
Il lui insère un doigt pour la fouiller. Il sat ce qu elle aime
Puis un deuxième, en accélérant
Le souffle est court..elle va jouir là, debout, sur sa bouche.
Mais à peine remise de ses spasmes de plaisirs, ils changent de place ..pour qu elle puisse déguster sa queue tendue et offerte.
Elle le pompe, le brande, le leche avec ferveur
Il lui enfonce son dard dans la bouche,
A bout de souffle elle le branle, rapidement fort
Lorsqu'il lui dit qu il va jouir..elle le reprend en bouche et le suce avidement jusqu à la dernière goutte
Texte original 012024
Photo personnelle, copyright @audessusdesgens
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Regarde-moi cet endroit, t'y crois ? L'Hôtel du Centre, tout pimpant, tout blanc avec ses volets rouges, comme pour dire : « Hey, je suis là, au milieu de nulle part ! » Et puis ces petites montagnes, derrière, qui regardent de haut tout ce petit monde. Les voitures qui se pointent, à la va-comme-j'te-pousse, cherchant un coin pour poser leurs carcasses. Les arbres, discrets, qui se tiennent à carreau, histoire de pas déranger. Et puis ce petit trottoir, qui mène on ne sait où… Tout a l'air si tranquille, si posé, comme un dimanche après-midi où tout s'arrête. Mais dedans, qui sait ? Peut-être que ça bouillonne, que ��a s'agite, que les verres trinquent et que les rires fusent. C'est un monde de contrastes, où la quiétude côtoie le tumulte, où l'apparence cache mille et une vies. Mais bon, de loin, on n'y voit que du feu. Tu sais, y'a des lieux comme ça, qui bravent le temps, qui résistent quand tout autour semble se déliter, s'effondrer. Cet hôtel, c'est un peu ça. Un vestige, un symbole. Quand tout ferme, tout change, tout est transformé, lui, il tient bon la barre. À l'origine, imagine, c'était en 1958, une simple pension de famille, la pension Mallet. Et puis l'appétit grandissant, la vision s'agrandit. En 1965, deux étages de plus viennent couronner l'édifice, pour faire face à une station de sports d’hiver en pleine expansion. 27 chambres pour accueillir les âmes en quête de repos et de glisse. Les Mallet, une famille de battants, l'ont tenu jusqu'en 1984, puis est venu le temps de la transmission, au fils, qui a veillé sur les lieux jusqu'à ce qu'il range ses clefs pour une retraite bien méritée en 2019. Aujourd'hui, de nouveaux visages sont aux commandes. L'Hôtel du Centre continue de vivre, de respirer, de témoigner de ce qu'il était autrefois et de ce qu'il sera demain. Un phare immuable, défiant l'obscurité des métamorphoses.
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Je me suis baladée toute la matinée avec Fenris dans un bouillonnement de sève, d'ardeur, de bleu, de vert et de soleil. Lui il récoltait ses tiques et puces amassées à l'entrée du terrier des renards ou bien fourrées dans les hautes herbes et moi je prenais des photos, dont quelques-unes qui se sont faites toutes seules d'ailleurs comme celle d'en haut. On est bien là, Fenris et moi... Cet endroit nous rend fous de bonheur, à courir partout, à grimper tous les rochers, à s'extasier devant la beauté, la seule qui ne fait pas de manière, à siffler les rapaces pour les faire venir; tiens ce matin, un grand corbeau solitaire suivi de près par un milan royal (lui aussi tout seul, étrange d'ailleurs, ils volent souvent en couple ceux-ci mais peut être qu'il était en chasse pour nourrir la femelle qui couvait) ont rappliqué illico presto, à croquer les fleurs comestibles pour moi, ou le chiendent pour Fenris, à ramasser de tout et n'importe quoi, des cailloux, des bouts de bois, des graines... J'aime le printemps, ici, en Catalogne française. D'ici à un mois, toutes les fleurs auront explosé du rire de leurs couleurs, le muscari, le lin vivace, l'asphodèle, la fleur de bruyère , la lavande vraie ou officinale, celle endémique de la garrigue, l'immortelle, la ciste (ma chouchou), le laurier Tin, la santoline, les orchis et les deux stars que sont le thym et le romarin. J'en oublie bien sûr, pardonnez-moi, mes demoiselles... Tout cela, cette beauté, cette joie qui nous vient, à Fenris et moi, ce calme, ce bien-être sans pareil, ce bain d'arômes, de senteurs, d’effluves, d'images, de vibrations j'aime beaucoup le partager ici avec vous. En toute simplicité.
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Pierre de Corail fossile. Nous sommes à plusieurs centaines de mètres d'altitude et pourtant ici avant, il y a des millénaires en arrière, c'était la mer...
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 86
Il était grand temps que nous terminions, minuit allait bientôt passer.
Avec Marc, nos deux serveurs et les quelques qui prenaient une pause avant de recommencer, nous sommes aller chercher le champagne.
A 0 heure pile nous avons fait péter les bouchons dans un arrosage style arrivée de grand prix automobile.
Sous la pluie pétillante, les derniers emboîtés ont juté, libérant eux aussi leurs pressions internes !
Après avoir vidé 6 bouteilles sur nos corps moites du plaisir récemment pris, nous avons tous trinqué à la mort de 2009 et l'avènement de 2010. A la bouteille, dans une coupe (plastique question de sécurité), sur un corps (léchage d'abdos) ou même à la bouche d'un ami, nous avons éclusé une bonne dizaine de bouteilles.
L'euphorie passée, le vin a tendance à puer et coller, nous nous sommes donc lavés ou relavés sous les douches. Puis retour au salon. C'était amusant de constater que les plus jeunes n'avaient revêtus qu'un jock avant de monter alors que tous ceux de plus de 30 ans avaient opté pour le peignoir, bien que leurs physiques n'aient rien à envier aux plus jeunes !
Après cette première séance de baise, les appétits étaient aiguisés et nous avons pillé le buffet que nos beurs avaient installé juste avant minuit. Alors que nous avalions, huîtres, coquilles saint Jacques, foie gras et autres reconstituants, le nettoyage de la salle de muscu avait commencé. Entre deux " tartines ", je descendais voir si tout allait bien. Je trouvais nos deux hommes de service, trempés, en train de laver au jet la salle du sol au plafond, les tatamis mis à sécher, accrochés au sling. Le choix du carrelage, de la peinture époxy et de l'inox n'a laissé que les rails de guidage des fontes à sécher au chiffon.
Je remontais vite retrouver nos invités. En haut de l'escalier, Ric m'a sauté dessus qu'on a faillit repartir en chute au sous sol. Il voulait juste me dire que c'était le meilleur nouvel an de sa vie. Même si le calme régnait, les mains n'étaient pas pour autant inactives. Caresses des flancs, des dos, des culs et même jouant avec des bites, lascivement, sensuellement, au grand plaisir des caressés. La pause s'est éternisée deux bonnes heures. Comme nous (les plus jeunes) avions encore faim de sexe, et que je voyais que si rien ne bougeait on allait tous s'endormir, nous sommes partis au donjon. Accompagné de Ric, Jean et Jean Black, Tic et Tac, Arnaud et Pierre, Manu, Théo et Jérôme, j'ai traversé la cour. Emerveillement de ceux qui ne connaissaient pas les lieux, je leur expliquais vite fait les différents " agrès " et faisait visiter l'étage.
Ric demanda à Tic de lui graisser l'anus puis, il utilisa son instrument préféré : la selle à gode. Manu, Théo et Jérôme qui ne le connaissaient pas furent stupéfait de ses " capacités ". Debout sur les étriers, Ric, lentement s'est laissé descendre jusqu'à se poser l'anus sur le gros gland de plastique noir. Je me collais dans le dos d'un Théo captivé par le spectacle. Quand le gland noir a pénétré Ric, j'ai enfoncé ma queue dans son cul. Pendant ce temps là, Tac attacha son frère les bras en croix contre le mur puis demanda à Manu de l'attacher à son tour juste à coté. Jean, Arnaud et Pierre se sont installés dans les trois slings centraux. Jean Black en profita pour leur donner ses 30cm à téter à tour de rôle. Je quittais la douce chaleur interne de Théo pour organiser les derniers. Manu et Jérôme se sont retrouvés pliés en travers de selles les poignets attachés aux pieds des tréteaux les supportant. Quand à moi, je me suis couché, le dos sur un tatami avec Théo embroché sur ma bite. Le timing n'a pas été trop mauvais car nous n'avons pas attendu longtemps avant d'être rejoint par nos aînés, Marc en tête.
De nous voir tous présentés à la saillie les a excité un maximum. Dès l'entrée les queues se sont dressées gorgées d'un sang bouillonnant.
Kev et Eric se sont jetés littéralement sur Tic et Tac et sans attendre avec juste une kpote et un peu de gel, ils les ont emmanché direct (heureusement pour Tac, il s'est pris Kev !).
Marc, Igor et Bruno ont investi les 3 culs mis à la bonne hauteur par les slings.
Phil et Luc un peu vexés de n'être pas venus avec nous sont montés à l'étage avec Frédéric, Seb à leurs basques, Olivier et Nicolas s'occupant de Manu et Jérôme. Au vu de l'enregistrement, dès leur arrivée, ils se sont fait plaquer sur le maxi lit et menottés aux pieds. Et ils n'ont cessé, pendant pas loin d'une heure, de se faire enculer et envahir la gorge par leurs 4 poursuivants.
Au rez de chaussée, la température augmentait, les saillies se faisaient plus viriles, entre ahanements et gémissements.
J'appelai Jean Black et Ric puis changeai de position. Théo sur le dos, ses jambes à mon cou je l'enculai de nouveau, cette position dégageant l'accès à mon anus. Très excité je demandai à Jean B de me sauter. Kpoté, graissé comme il faut, je me calais bien au fond de Théo. Avec délicatesse (vu le monstre qui l'équipe) il m'a pénétré. Les 22 / 24 premier cm sont passés sans soucis (il est très long 30cm mais pas excessivement large environ 5cm). Tout doucement, je l'ai senti continuer sa progression. Quand je l'ai arrêté, il ne lui restait plus que 2cm en dehors de mon cul !! je venais de prendre 28 cm de bite dans mon cul ! un record jusqu'alors les 26cm d'Eric et de Xavier étaient mon maxi. Pendant ce temps là, Ric s'était mis en 69 avec Théo et mes abdos frottaient son crane lisse. Vorace, il est arrivé à lui bouffer la bite et les couilles (ok 16x4 avec des petites couilles ça facilite le travail !) pendant qu'il lui bourrait la gorge profondément. Je suis sorti de Théo et après leur avoir fait faire un 180°, kpote neuve, je profitais du trou de Ric. ce salaud, s'appliqua par de fréquent serrement de son muscle anal à me chauffer grave. Entre son cul et avec la bite de Jean ;B dans le cul, psychologiquement hyper excité, je n'ai pas résisté longtemps et après un limage d'1/4 d'heure, j'ai rempli ma kpote. Mes contractions anales ont eu raison de la résistance de Jean B et il a juste eu le temps de sortir, d'arracher sa kpote avant de me couvrir le dos d'une dose impressionnante de jus. Au même moment j'ai vu le sperme de Théo inonder le crane de Ric comme le sien maculait le torse de Théo. Nous nous sommes étalés sur le tatami pour récupérer. Le spectacle offert par nos amis valait le meilleur film de cul au monde !
Tic et Tac plaqués contre le mur n'en pouvaient plus de se faire ramoner par Ric et Kev. Et nous avons eu le plaisir de les voir éclabousser le mur de leur sperme frais.
Un nouvel arrangement s'était fait et Manu et Jérôme se sont fait achever par Igor et Bruno, leurs jus coulant sur les étriers.
Nos trois amis (Jean, Arnaud et Pierre) se sont éclaboussés de leur sperme jusqu'à en avoir dans les cheveux (grosse excitation = grande pression) alors que leurs enculeurs (Marc Olivier et Nicolas) ajoutaient une nouvelle couche sur leurs abdos.
C'est dans le silence d'après coït que nous avons tous perçu les gémissements et autres éructations orgasmiques provenant de l'étage.
Comme par enchantement nos deux serveurs sont apparus, avec plateaux de reconstituants. On les a pillé des boissons et petits fours. Je notais au passage que leurs queues avaient pris un volume raisonnable. Pendant que nous baisions comme des bêtes, ils avaient du se vidanger l'un l'autre !!
Le quatuor de l'étage nous a rejoint eux aussi exténués de leur partie de sexe.
Passage aux douches. Malgré les savonnages mutuels, pas ou peu de réaction physique. Nous étions tous, pour le moment, essorés de la moindre goutte de sperme !
Vers 5h du matin, au radar, nous nous sommes tous dispersés dans les différentes chambres, quelques un se faisant un dortoir à l'étage du donjon. ;Nous avons accueillis dans notre grand lit un Ric ravi de son nouvel an et un Théo reconnaissant.
JARDINIER
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mmepastel · 2 months
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Tout à l’heure dans la voiture, j’ai entendu à la radio cette chanson de Nick Cave chantée par Johnny Cash.
O Lord, il la chante diablement bien. Mais je me suis souvenue de la première fois où j’avais entendu cette chanson par Nick Cave, il y a très très longtemps, c’était la version acoustique bizarrement, sur une édition rallongée de The Good Son, et j’avais senti mon sang bouillonner et se glacer simultanément avec cette voix qui psalmodiait, cette répétition entêtante, les syllabes graves qui trainaient sur « I’m not afraid to dieeee ». Cette noirceur, cette solennité macabre. Puissantes.
En quittant l’adolescence, j’ai appris à apprécier la légèreté en musique, mais de temps en temps, mon moi un peu gothique et grandiloquent se repaît bien volontiers de ces chansons qui célèbrent cette part sombre en nous.
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art-vortex · 8 months
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(via Coussinundefined avec l'œuvre « "Crackling Whispers: Mesmeric Electric Skull" » de l'artiste Art-Vortex-fr)
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8 - Monstres
Gueule d’ange, gueule monstrueuse. J’essaie de garder figure humaine. Mais je suis un monstre à mi-temps.
Tous les jours ne sont pas des jours à monstres. L’été est toujours un été à monstres. Les indices sont lâchés au compte-goutte au fur et à mesure de la journée. Je boitille, je me recroqueville. Je ne souris plus tellement, j’évite les autres, je cache le corps sous de grands vêtements. Je regarde de travers. « Mademoiselle, je peux avoir petit un sourire ? » Je bouillonne et rêve de les détruire entre mes griffes. Je feins l’indifférence. La nuit n’est pas encore tombée et je dois continuer à faire illusion.
La nuit tombe comme l’on tire sur scène le rideau rouge. La lumière disparaît et signe le début de ma transformation : que le spectacle de ma souffrance commence. Entre minuit et quatre heures, mon corps ne m’obéit plus. Le centre sacré de mon corps s’enflamme. Des lames acérées transpercent ma colonne vertébrale. Je me noie derrière les larmes et derrière mon armoire à pharmacie. Je scrute les morceaux coupants de mon miroir et mon visage qui s’y reflète en pièces de puzzle fragmenté.
Gueule d’ange, gueule monstrueuse. Je suis une créature de la nuit, je suis un brasier sans lumière, je suis un monstre sans répit.
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francepittoresque · 3 months
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PATRIMOINE | Port d'Orléans : jadis l'un des plus grands de France ➽ https://bit.ly/Port-Fluvial-Orleans Le port fluvial d'Orléans a été l'un des plus animés du pays. Connaissez-vous son histoire ? Remontons ensemble le fil du temps et plongeons-nous dans le passé du bouillonnant Orléans du Grand Siècle
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chic-a-gigot · 8 months
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La Mode illustrée, no. 32, 12 août 1900, Paris. Toilette de Mlle Louise Piret, rue Richer, 43. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
Description de la gravure coloriée:
Cette toilette en voile vert amande est garnie de guipure crème et de ruban de velours noir. La jupe à petite traîne, posée librement sur un transparent en taffetas et faite avec des plis couchés, est cerclée à mi-hauteur d'une guipure remontant par derrière pour se terminer sous le pli creux.
Le boléro court, agrémenté de motifs de guipure, est bordé d'une dentelle surmontée d'un large ruban de velours noir; sur le devant, le velours passé sous la dentelle, barre le plastron fait en taffetas blanc, recouvert de mousseline de soie blanche. Le col droit, exécuté en taffetas blanc recouvert de guipure, forme une pointe devant et ferme derrière. Ceinture haute en dentelle drapée sur transparent de taffetas blanc. Les manches garnies de guipure, sont terminées par des bouillonnes en mousseline de soie, ornés de rubans de velours, figurant des manches de dessous dont le contour inférieur est bordé d'un volant en mousseline plissée.
Capeline en paille de crin blanche, garnie de ruban de velours noir et d'une guirlande de chrysanthèmes nuancés.
Ombrelle en soie blanche, ornée de nœuds Louis XV.
This dress in almond green voile is trimmed with cream guipure and black velvet ribbon. The skirt with a small train, loosely placed on a transparent taffeta and made with lying pleats, is surrounded at mid-height by a guipure going up from behind to end under the box pleat.
The short bolero, embellished with guipure patterns, is edged with lace topped with a wide black velvet ribbon; on the front, the velvet passed under the lace, bars the plastron made of white taffeta, covered with white silk muslin. The straight collar, executed in white taffeta covered with guipure, forms a point in front and closes behind. High belt in lace draped over transparent white taffeta. The sleeves, trimmed with guipure, are finished with bubbles in silk muslin, adorned with velvet ribbons, appearing on the sleeves below, the lower contour of which is edged with a pleated muslin ruffle.
Floppy hat in white horsehair straw, trimmed with black velvet ribbon and a garland of nuanced chrysanthemums.
Parasol in white silk, adorned with Louis XV bows.
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morphinedoutretombe · 3 months
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Désolée d'être toujours aux limites du pire... Comme du meilleur... Mais je ne sais pas fonctionner autrement... Je fais des efforts surhumains pour donner l'illusion que ça ne va pas si mal que ça... Mais à l'intérieur, je bouillonne d'envie de lâcher prise... De me trancher la gorge... De vous cracher les vérités les plus sordides... Même ça j'en suis incapable... J'encaisse jusqu'au point de rupture... Mon corps lâchera avant mon esprit... Tout simplement parce que j'ai appris à grandir dans l'indifférence et l'injustice... Dans la persuasion d'être fautive de toute la misère du monde... Je n'ai jamais trouvé le courage de rectifier l'erreur de mes parents... Ma naissance...
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clhook · 11 months
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en ce moment il se passe des trucs dans ma vie mais je peux en parler à personne parce que tout simplement je n'ai pas d'amis à part mon keum même si je lui dis tout des fois j'aimerais bien parler à mes copines mais g PAS de copines et ça me rend dinguo je bouillonne comme une petite cocotte minute !!!!!
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