Tumgik
#jai perdu mon corps
toutecrue · 1 year
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jai envie de MOURIR j'ai deja perdu des chats mais c'était a l'époque du lycée? Et c'était les chats de la famille, celle de mon père avec qui j'ai grandi elle a 13 ans donc je sais qu'elle va mourir un jour mais de vieillesse alors que Dewey c'était mon 1er enfant a moi avec qui j'ai été seule dans mon appartement on a adopté mon copain tout les 2, il était là pendant ma dépression jlui dois tellement de ts avortées d'insomnies remplies de caresses de chagrins anesthésiés par sa tendresse je lui dois la douceur dans chacune de mes journées je lui dois ma paix intérieure pendant les longues nuits pleines de terreur je lui dois tant de réveils matin joyeux tellement de preuves d'amour de total confiance de totale dépendance affective probablement mais il était mon rayon de soleil et de l'avoir agonisant dans les bras les os en miette la peur immense dans ses yeux je m'en remettrais jamais. J'ai gardé son corps mort dans mes bras je l'ai bercé en pleure jusqu'à ce qu'il soit froid figé un glaçon son petit corps désarticulé devenu impossible à manipuler j'ai senti tout son corps se tendre se tordre sous l'effort et la douleur je me suis sentie si impuissante si coupable j'ai aucune idée de comment je vais réussir à dormir dorénavant je sais pas comment affronter le bête quotidien sans ses miaulements sans son amour inconditionnel c'est intolérable
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tournesolaire · 7 months
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Hier soir c'était vraiment chouette la soirée, j'ai rejoins Jay, Pops, Dydy et Camille à l'appartement et puis on est allés faire les courses tous ensemble
Le petit trajet dans la voiture de Pops était complètement dingue hahahaha
En faisant les courses on faisait un peu n'importe quoi et on rigolait beaucoup c'était génial; Pops a fini par aller voir l'accueil pour faire un appel au micro en faisant croire qu'on avait perdu "Le petit Caterino" c'était super drôle
Au final j'ai fait les petites emplettes dans mon coin avec Jay parce qu'on avait perdu les autres, on est passés à la caisse et puis Berga nous a rejoint dehors, on a pas mal papoté et TROP COOL parce que du coup il est aussi resté manger
C'était vraiment une soirée de fou, genre littéralement des fous je comprends pas ce qu'il s'est passé 😭 Ceci dit les nems étaient vraiment extras et je m'entends super bien avec Camille
Ça m'a fait plaisir de passer un peu de temps avec Jay, j'avais l'impression que ça faisait longtemps. En plus de ça, peut-être l'alcool aidant un petit peu je sais pas haha mais il était vraiment adorable, encore plus que d'habitude
Il était tout mimi avec ses petits sourires d'ange et il me faisait plein de bisous c'était tout doux
Berga et Jay m'ont proposé de dormir chez eux alors évidemment j'ai accepté, on est rentrés vers 1h je crois et on a continué de traîner dans le canap à papoter mais Berga est monté se coucher et nous on commençait à s'endormir dans le canap (jusqu'à ce que j'aille vomir mdr) alors on a fini par monter aussi pour aller faire dodo
Bon on a pas fait dodo tout de suite hahaha, et d'ailleurs j'étais vraiment étonnée que mon corps n'ait plus ce "blocage" que j'avais avec Thibault, j'étais contente
Ça m'a fait du bien de dormir avec lui, ça me manquait de dormir avec quelqu'un (mais j'aime vraiment bien dormir avec Jay hehehe il a une bouille trop kiki, genre des qu'il pose sa tête sur moi pouf c'est dodo apaisé et sourires et puis ça le dérange pas que je lui fasse des papouilles/que je me colle à lui même sans m'en rendre compte toute la nuit
Ce matin le réveil était pas simple, on a vraiment pas beaucoup dormi et l'alcool faisait encore mal à la tête, mais pour rendre les choses un peu plus douces on a fait l'amour au réveil et c'était vraiment chouette, il est beau quand il prend du plaisir
J'ai fini par descendre me préparer et je me suis rendue compte que je me sentais un peu "à la maison" et ça m'a fait sourire
Je suis remontée traîner un tout petit peu au lit avec lui mais après il a fallu que je parte en cours :(
Hier soir il voulait vraiment vraiment vraiment garder ma chemise préférée et me prêter la sienne en échange mais je voulais pas abandonner cette chemise la :( du coup ce matin je lui ai dit que la prochaine fois je lui ramènerai quelque chose (sûrement un pull hehe)
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problematicseries · 7 months
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NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 1
18+ content, minors dni
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults
synopsis : Suite à un bal de promo plus que désastreux, tu va passer tes vacances avec tes amies dans un hôtel luxueux réservé uniquement à l’élite de la jeunesse de Los Angeles. Vous croyez que les vacances allaient être de tout repos ? vous vous trompez.
FR FANFIC
Mentions de Jang Wonyoung (IVE), Woonggi (Boys Planet), Jay (Enhypen), Ningning (Aespa), Rosé (Blackpink), Intak (P1H), Jake (Enhypen), Zhang Hao (ZB1), Natty (Kiss of life), Chaewon (Le Sserafim), Kazuha (Le Sserafim), Mingi (Ateez), Keeho (P1H), San (Ateez), Ricky (ZB1), Sangyeon (The Boyz), Juyeon (The Boyz), Sumin (Xikers), Fatou (Blackswan)
EPISODE 5 - FAMILY BUSINESS
“Tu crois que c’est le bon moment ?” tu lui réponds en essayant d’attraper son regard.
Juyeon, trop occupé à embrasser chaque centimètre de ton corps, ne t’écoute qu’à moitié.
Les lèvres de Juyeon trouvent leur chemin, traçant des doux baisers sur ta poitrine. Chaque contact est empreint d’une tendresse délicate, créant une sensation électrique qui parcourt tout ton corps.
Son souffle chaud caresse ta peau, amplifiant l’intimité du moment. Chaque baiser est comme une promesse, une déclaration silencieuse de son désir et de sa passion. Chacun d’entre eux fait monter en toi une vague de désir, intensifiant l’ardeur qui brûle déjà entre vous.
Tes sens sont en éveil, chaque caresse de ses lèvres créant une connexion intime qui va bien au-delà de l’évidente proximité physique. Le désir monte en toi, s’intensifiant à chaque contact.
“je veux te faire du bien” dit il, sa langue passant entre tes seins.
Tes doigts glissent doucement dans les cheveux de Juyeon, tandis que vos regards se verrouillent dans une connexion profonde et ardente. Tu sens le désir de Juyeon s’intensifier, son caleçon devenant de plus en plus serré.
Il te regarde d’une manière que tu n’avais jamais vu auparavant avant de placer ses doigts sur ton string et de te dire “tu es toute humide, rien que pour moi”.
Il remonte à tes lèvres et t’embrasse.
“Laisse moi te faire du bien comme on ne te l’a jamais fait” dit-il avec un regard suppliant.
Tu lui réponds en murmurant “je suis prête.”
Il se mord les lèvres, redescend à hauteur de ton string avant de te le retirer doucement.
“Oh putain” dit-il en se léchant les lèvres.
Juyeon s’approche lentement, tu peux ressentir son souffle proche de tes lèvres.
*TOC TOC TOC*
« JUYEONNNNNN ? »
Cette voix stridente, tu la reconnaîtrais entre 1000…. Chaewon est juste derrière la porte.
Juyeon panique.
Tu paniques également, mais l’idée de voir Chaewon être choquée en ayant la tête de son frère entre tes jambes te fait rire.
« JUYEON JE SAIS QUE TU ES ICI » continue t’elle.
Juyeon essaie d’enfiler son pantalon, bien trop serré suite à votre petite affaire non conclue.
Tu rassembles tes affaires mais impossible de remettre la main sur ton string, tu enfiles ta robe et va te cacher dans la salle de bain de Juyeon.
Juyeon va ouvrir à sa sœur.
« C’est pas trop tôt, j’ai failli attendre, qu’est ce que tu faisais torse nu? » dit elle, d’un air suspicieux.
Tu t’appuies contre la porte, si Chae rentre tu es foutue, votre bagarre à la piscine a déjà prouvé qu’elle savait se battre.
« Je me reposais sur mon lit » réponds t’il en essayant d’utiliser un ton neutre.
« Qu’est ce qu- » dit-elle en s’exclamant.
Oh non, elle a retrouvé ce que tu as perdu.
« À qui appartient ce string au juste ? » dit-elle en le montrant avec son pied.
Chae, plus que suspicieuse, regarde la porte de salle de bain fermée.
La tension est palpable, le silence de la salle de bain ne fait que souligner l’atmosphère électrique. Tu sens son intelligence aiguisée à travers la porte, son esprit en éveil, flairant quelque chose d’inhabituel.
Tes sens sont en alerte, chaque battement de ton cœur résonnant dans l’air étouffant de la pièce. Ton regard balaie la pièce à la recherche d’une issue, et c’est alors que tu remarque la fenêtre, une lueur d’espoir dans cette situation délicate. Tes yeux se posent sur l’ouverture, une échappatoire. Tu respire profondément, rassemblant ton courage. Puis, d’un geste décidé, tu saute par la fenêtre, laissant derrière toi la salle de bain étouffante et la situation tendue.
Chae ouvre soudainement la porte de la salle de bain et ne découvre personne, seulement la fenêtre ouverte.
« Je comprends mieux, tu te faisais plaisir avec le string d’une de tes conquêtes ? » dit-elle en ricanant.
Juyeon pointe sa main vers sa tempe, imitant un pistolet « grillé » répond t’il.
« maintenant laisse moi dormir veux tu ?» enchérit-il.
Chae sort de la chambre en faisant signe qu’elle le surveille.
Encore une chance que la chambre de Juyeon est au rez de chaussée, la chute n’a pas été si haute, mais tu te retrouves en dehors du bâtiment, sans sous-vêtement.
Tu retournes à ta chambre sur la pointe des pieds.
Tu ouvres la porte doucement et découvre Ning assise sur le lit avec Woonggi.
Ning se retourne immédiatement sur toi en disant « ENFIN ? » avant de t’analyser visuellement.
Tu te tiens devant la porte, une aura de sensualité mêlée de tendresse émanant de chaque fibre de ton être. Tes cheveux, encore en bataille, encadrent ton visage, témoins silencieux de la passion qui a brûlé entre Juyeon et toi. Ta robe, froissée mais toujours imprégnée d’une élégance résiduelle, tombe délicatement sur tes courbes, une bretelle négligemment glissée sur une de tes épaules.
Les yeux de Ning deviennent brillants, elle prend une grande inspiration avant d’hurler « OH MON DIEU T’AS BAISÉ ».
Woonggi explose de rire et tombe du lit.
Tu t’empresses de fermer la porte et de sauter sur Ning, couvrant sa bouche avec ta main.
« Non Ning c’est pas ce que tu crois, absolument pas ce que tu crois ! » tu lui réponds.
Elle retire ta main de sa bouche avant de continuer « Tu pues le sexe à 15km, je parie même que tu ne portes plus de petite culotte » dit-elle avec un regard moqueur.
Elle avait raison, mais tu dois absolument changer de sujet.
« Qu’est ce que tu fais ici d’abord ? » tu lui demandes en levant un sourcil.
Elle s’assoit, resserre ses couettes et te réponds « Woonggi était seul, il m’a demandé de descendre pour pimenter sa soirée et tu sais que je peux être spicy, on t’attendait pour avoir des nouvelles de ton date avec Sangyeon… C’est confortable les sièges d’une lamborghini pour baiser ? ».
La tête de Woonggi dépasse du lit, comme si la réponse l’intéressait.
« Ning, on a pas couché ensemble, je suis rentrée à pieds sous la pluie, Sang était le colocataire de Rosé en Corée, d’où mon état catastrophique. » tu lui réponds sur un air plus que déçue.
Le sourire radieux habituel de Ning laisse place à un air plus que désolé.
« Oh mon dieu » répond t’elle.
Woonggi a la main sur sa bouche, attestant de son choc suite à cette révélation.
« D’accord, tu sais quoi ? Je reste dormir ici ce soir, Woonggi ? Aide moi à mettre les matelas sur le sol. » Dit elle en commençant à retirer les coussins de ton lit.
Woonggi s’empresse d’aider Ning à mettre les deux matelas sur le sol afin de créer un gigantesque lit sur lequel vous pourrez dormir tous les trois.
Ning éteint les lumières et allume les guirlandes cozy accrochées au mur. La chambre est une oasis de confort et d’intimité, un refuge chaleureux pour vous trois.
Les guirlandes s’étirent le long du mur, éclairant l’espace d’une lumière douce et apaisante. La baie vitrée, encadrant un ciel étoilé, semble vous inviter à contempler les mystères du cosmos.
La musique R&B émane du téléphone de Ning, créant une ambiance envoûtante qui enveloppe la pièce. La lumière tamisée danse doucement, caressant les contours des meubles et créant des ombres délicates. C’est comme si la pièce était baignée dans une étreinte tendre, créant un cocon de douceur et de réconfort. Des plaids doux parsèment l’espace, invitant à s’enrouler dedans.
Chaque détail de la chambre semble avoir été soigneusement choisi pour créer un refuge douillet où vous pouvez vous détendre et partager des moments précieux ensemble. Le sommeil se répand doucement, comme une douce vague, enveloppant vos corps dans son étreinte apaisante. Ning, Woonggi et toi-même vous abandonnez lentement à la quiétude de la nuit qui vous accueille.
*TOC TOC TOC*
« Mais c’est un moulin ici ou quoi » gémis Ning.
Woonggi se caché sous les plaids en répondant « Si tu savais ».
Tu attrapes ton téléphone et regarde l’heure : 10:00.
Une petite notification pop up t’attires l’oeil ‘’Fatou : 11h’’
Tu sors du lit à toute vitesse, suite à ta soirée mouvementée tu avais oubliée l’arrivée de Fatou.
Tu va ouvrir la porte en espérant ne pas voir Fatou derrière.
« Tu fais une de ces têtes, prépare toi c’est parce que je viens t’annoncer quelque chose qui va pas te donner le sourire, mon père passe cet après midi » annonce Jang en te regardant de haut en bas, analysant ton manque de tenue alors que ta sœur arrive dans 1h.
Tu fais entrer Jang dans la chambre.
Elle observe le lit au sol avec Woonggi se blottissant dans les bras de Ning encore endormis.
« Et bien, si on m’avait dit que la première orgie de cet été ce serait vous trois… j’y aurais jamais cru » dit Jang en ricanant.
Elle contourne le matelas pour aller ouvrir la fenêtre, histoire de rafraîchir la pièce.
Tu va te doucher.
« De ce que j’ai entendu, ton père nous fait une visite surprise cet après midi Jang ? » dit Ning en s’étirant.
« Oui, c’est le plus grand investisseur de Paradise, c’est évidant qu’il vient à titre présidentiel, cependant je ne pensais pas qu’il allait passer si tôt dans l’été, il doit sûrement avoir à faire des déplacements dans d’autres états s’il passe aussi tôt » réponds Jang en s’asseyant gracieusement sur l’un des fauteuils de la chambre.
« Je vais devoir documenter tout ça, ton père n’a rien contre ça ? Mes abonnés adoreraient ça » indique Ning.
« Oui aucun soucis ma belle » réponds Jang en souriant.
Jang semblait s’être adoucie depuis l’autre soir.
Jang aide Woonggi et Ning à remettre les matelas en place et ranger la chambre.
Tu profites de la tranquillité de la salle de bain pour jeter un coup d’œil à tes messages
- Jake : ça va merci.
- Juyeon : ton corps me manque 💦.
- Sangyeon : on doit discuter, c’est pas ce que tu crois.
- Mingi : rejoins moi ce soir au hangar, j’ai quelque chose à te demander 😊.
- Intak : tu ne peux pas m’ignorer indéfiniment.
Tu n’as pas vraiment envie de répondre à quelconque de ces messages.
Tu sors de la salle de bain mais Jang te pousse à l’intérieur et t’enfermes avec elle.
« Je suis amoureuse de San » te dit-elle droit dans les yeux.
« San Choi ? » tu lui demandes, en état de choc.
« Oui, j’y ai longuement réfléchi, je vais quitter Jay pour San » te répond t’elle sûre d’elle.
Tu t’assoies sur le rebord de la baignoire.
« Tu sais que c’est une décision importante là Jang, Jay est issu d’une famille ayant fait fortune dans l’immobilier, il plait à tes parents, à tes amis, San est l’hériter de la famille la plus influente de la Mafia, dis moi que je ne suis pas la seule à voir que ça peut pas coller »
« Ok alors plusieurs points, ça le truc de la mafia là, c’est trop sexy. Deuxième point, il est TELLEMENT plus attentionné que Jay, j’ai l’impression que Jay n’est avec moi que pour l’image, et troisième point : le sexe est incroyable avec lui, j’en ai encore mal aux cheveux » dit elle en se touchant le crâne.
« PAS PLUS DE DÉTAILS » tu lui réponds, avant de continuer « On en rediscuteras ce soir, tu veux bien ? »
« Oui ! » te répond elle en sautillant.
Vous sortez de la salle de bain et apercevez Ning et Woonggi en train de vous attendre sur le lit.
« On y va, ta soeur va nous attendre » dit Woonggi.
Vous descendez et vous retrouvez dans le hall où tout le monde était convié pour l’arrivé de Fatou.
Tu aperçois Jake, tu lui fais signe mais il détourne le regard.
Tu vois également Juyeon à côté de Chae, il te regarde intensément, comme si personne d’autre n’était là.
Tu continues d’analyser la pièce, Mingi se tient à côté de Kazuha et Heeseung.
Intak est également ici, super élégant, comme à son habitude.
Fatou arrive au centre de la pièce avant de te tendre les bras, tu t’avances et l’enlace.
« Oh sœurette, ça fait des siècles ».
En réalité ça faisait 3 semaines.
Elle enlace également Jang, entre femmes de pouvoir, elles se doivent de s’apprécier devant le regard des autres.
Jang aperçoit San au fond de la pièce et lui fais un petit signe de la main; soit il ne l’a pas vu, soit il l’ignore.
Fatou reprend place au milieu du hall, regarde tous les conviés et prends la parole.
« Merci à tous d’avoir répondu présents ce matin, je vous ai tous conviés ce matin afin que vous puissiez tous être au courant de l’annonce de mes fiançailles qui auront lieu dans ce lieu pleins de souvenirs pour moi, si cher à mon coeur. »
Ok alors tu n’étais absolument pas prête à ce genre d’annonce.
Jang applaudit très fort, elle adore ce type d’annonce qui attire autant l’attention.
Fatou se tourne et tend la main à son fiancé.
Les applaudissements de Jang deviennent de plus en plus lent, avant de cesser complètement.
Fatou reprend la parole « Je vous présente mon fiancé, San Choi ».
Ning, choquée, tient son téléphone, filmant toute la scène dans sa main droite en ayant sa main gauche sur sa bouche, attestant de son choc.
C’est la première fois que tu vois Jang flancher devant tout le monde, une larme coule le long de sa joue.
Le reste des conviés applaudissent.
« La cérémonie aura lieu dans 5 jours, merci à tous les conviés de venir habillés de votre tenue la plus élégante, sans oublier de venir accompagnés d’un partenaire » dit Fatou en te regardant avec insistance.
« Vous pouvez disposer » dit elle en souriant er remerciant tout le monde pour leur attention.
Jang s’éloigne du hall, sa silhouette élégante et gracieuse semble flotter malgré la lourdeur de son chagrin. Ses épaules droites, sa démarche assurée témoignent de la force qui réside en elle, même dans les moments les plus difficiles.
Des larmes silencieuses tracent leur chemin sur ses joues. Les talons de ses chaussures résonnent avec une cadence régulière sur le sol de marbre, créant une mélodie mélancolique qui semble accompagner son départ.
Chaque pas est empreint de détermination, comme si elle cherchait à faire face à son chagrin avec une dignité inébranlable. Malgré la douleur qui habite son cœur, Jang demeure une figure imposante, sa grâce et son élégance inégalées ne se démentant jamais.
Tu ne sais pas si tu es triste pour elle ou admirative, à quel point elle arrive à rester élégante en étant aussi prise par le chagrin.
Fatou s’approche de toi « Écoute, ça me ferait énormément plaisir que tu viennes avec Intak à la cérémonie, Papa et Maman serait enchantés de le rencontrer. »
Comment lui dire …
Une main se glisse sur le côté de ta taille avant qu’une silhouette masculine ne se dresse à côté de toi « Ce serait avec plaisir Mademoiselle Lee, j’accompagnerai votre sœur pour la cérémonie, ce serait également un honneur pour moi de rencontrer vos parents ».
Intak se tient à côté de toi, sa main posée fermement sur ta taille, une empreinte de possession qui ne laisse aucun doute sur sa volonté. Sa poigne est puissante, révélant la force qui réside en lui, une assurance qu’il exerce sans effort.
Son regard est celui d’un homme de pouvoir, pénétrant et déterminé. Il scrute la scène avec une assurance tranquille, révélant une confiance inébranlable en sa capacité à influencer et à diriger. À travers sa chemise, on peut distinguer la musculature puissante qui habite son corps. Chaque contour est une démonstration de sa force, une affirmation silencieuse de sa domination.
Un sourire charmeur danse sur ses lèvres, une lueur malicieuse qui ajoute une dimension intrigante à son charisme imposant. C’est un homme qui sait comment attirer l’attention, comment captiver ceux qui se retrouvent à ses côtés. En sa présence, on ne peut s’empêcher de ressentir une aura de puissance et de charisme, une empreinte indélébile de l’homme influent et séduisant qu’est Intak.
« Quel homme, enchantée de te rencontrer, tu peux m’appeler Fatou » réponds t’elle avec un grand sourire.
« Tout le plaisir est mien Fatou » dit-il en s’inclinant.
Quel charmeur, il ne s’arrête jamais.
« Veuillez m’excuser, je dois aller lister les préparatifs pour la cérémonie » indique Fatou en prenant une coupe de champagne et vous saluant en quittant le hall.
« C’était quoi ce numéro Intak ? » tu lui dit en le regardant droit dans les yeux.
« C’est comme ça que tu me remercies ? Moi qui m’attendais à au moins un baiser, je suis déçu » dit il en faisant une moue moqueuse.
Tu lui donnes une petite tape sur son torse aussi dur que le marbre sous vos pieds.
« Tu peux toucher sans taper tu sais » dit-il en rigolant.
Tu ris à son imbécilité.
« Ne me livre pas de robe cette fois ci Intak » tu lui dit
Il lève un sourcil et te réponds « Tu n’as pas aimé la précédente ? »
Tu l’as adorée.
« Ce n’est pas le sujet Intak, c’est la cérémonie de fiançailles de ma soeur, laisse-moi choisir ma robe cette fois ci » tu lui réponds en croisant les bras.
« Tout ce que tu voudras princesse » dit-il avant de continuer « Donc tu acceptes de venir avec moi ? »
Ne pensant qu’a faire plaisir à ta sœur, tu n’a pas réalisé que tu as accepté d’y aller avec Intak, de toutes façons, avec qui d’autre y serait tu allée ?
« Oui Intak, ne me déçoit pas cette fois-ci. »
Il sourit, s’incline et quitte le hall.
Ning s’approche de toi « Attends j’ai raté combien d’épisodes, tu es à nouveau avec Intak ? » dit-elle d’un ton curieux.
« Alors, je ne suis pas avec lui, il m’accompagne juste pour la cérémonie, Fatou m’y a obligé si on peut dire ça comme ça » tu réponds à Ning.
« Ça a pas l’air de te déplaire tant que ça.. tu lui a pardonné ? » te questionne Ning étant intrusive.
« Je ne pardonne pas si facilement, cependant, Intak a l’air de regretter son geste du bal de promo, de plus, il a essayé de se racheter, pas de la bonne façon certes, mais il n’a pas hésité à venir se présenter à Fatou.. pourquoi il l’aurait fait si ce serait pour merder 3 jours après ? » tu lui réponds, dubitative.
« Franchement j’en sais rien, mais toute cette histoire est super excitante » te répond elle en sautillant.
Vous vous dirigez vers la salle de déjeuner.
Tu t’assoies à la table habituelle avec Ning, Kazuha, Mingi, Rosé, Woonggi et Natty. Jang manque inhabituellement à l’appel.
« Aloooooors, qui sont vos duo pour la cérémonie de Fatou ? » demande Ning en sirotant son jus de Litchi.
« Nous y allons ensemble » répond Kazuha en regardant Mingi avant de continuer « Hors de question que je le laisse y aller avec une autre fille », Mingi soupire.
« Je pense y aller avec Éric, un joueur de l’équipe de foot du lycée » répond Natty en se touchant les cheveux.
Ning pouffe de rire avant de répondre « T’as pas couché avec genre, tous ses amis ? »
Woonggi s’étouffe avec son jus.
« Nan, seulement 5 d’ente eux » repond elle en ricanant.
« Et toi ? » demande Mingi en te regardant, visiblement intéressé par la réponse.
Tu attends quelques instants avant de répondre « J’y vais avec Intak »
Mingi contracte sa mâchoire, avant de frapper son poing sur la table.
Toute la salle se retourne sur Mingi.
« Excusez moi, je dois y aller » dit-il.
Mingi se lève brusquement de sa chaise, l’expression de son visage trahissant une colère palpable. Sa grande stature lui confère une présence imposante, tandis que ses muscles tendus révèlent la force qui réside en lui. Chaque pas qu’il fait résonne dans la pièce, empreint d’une énergie nerveuse qui se propage dans l’air.
Son regard, habituellement doux, est désormais empreint d’une lueur intense, révélant la jalousie qui brûle en lui. Les flammes de l’émotion dansent dans ses yeux, créant un contraste saisissant avec son habituelle sérénité. En quittant la pièce, Mingi laisse derrière lui une atmosphère électrique, chargée de tension. Il est un homme tourmenté par la jalousie, une tempête intérieure qui menace de le submerger tôt ou tard.
« Je ne suis pas experte mais c’est une crise de jalousie ça » dit Ning en suivant Mingi du regard pendant qu’il quitte la salle de déjeuner.
« Dis pas de bêtises » réponds Kazuha en fronçant les sourcils.
Ning arrête de ricaner et réponds « Ça va je rigole »
Vous terminez de manger et retournez respectivement dans vos chambres afin de vous préparer à la visite de monsieur Yuanying cet après midi.
Tu décides d’aller voir comment va Jang avant la visite de son père.
Tu passes devant le miroir pour checker ta tenue une dernière fois.
La robe que tu portes est une création enchanteresse, une fusion parfaite entre la sensualité et l’innocence. D’un blanc pur, elle semble éclairer la pièce de sa propre lumière. C’est une robe qui respire la grâce et la confiance, une tenue qui évoque à la fois la pureté et la passion.
Chaque détail est pensé avec soin, créant une harmonie parfaite entre l’élégance et la sensualité. En la portant, tu te sens à la fois puissante et délicate, une femme qui sait séduire tout en préservant sa grâce naturelle. C’est une robe qui transcende les apparences, révélant la complexité et la profondeur de celle qui la porte.
Tu sors de la chambre et va en direction de l’appartement de Jang.
Le vigile t’indique que Jang est partie il y a déjà 30 minutes.
Tu redescends et arrive dans le salon présidentiel où le père de Jang est présent.
Tu entres dans la pièce avec une grâce étudiée, consciente du regard intense que Intak pose sur toi. Chacun de tes pas est marqué par le rythme distinctif de tes talons, créant une cadence sensuelle qui captive l’attention de tous présents. Tes cheveux flottent dans l’air, dansant au rythme de ta démarche, créant une aura d’élégance qui t’accompagne.
Arrivée près du président, tu t’incline avec une délicatesse calculée, un geste empreint de respect et de courtoisie. Ton regard rencontre le sien, une connexion éphémère mais significative, une reconnaissance tacite de votre présence commune dans ce lieu de pouvoir. Intak reste debout parmi les conviés, sa présence imposante ne passant pas inaperçue. Son regard brûlant ne quitte pas ta silhouette, révélant une attraction palpable. C’est comme si l’électricité entre vous était un secret que seul Intak et toi partagions.
Dans cet instant, tu te sens puissante, consciente du pouvoir que tu détiens, non seulement par ta présence physique, mais aussi par l’impact que tu peux avoir sur ceux qui te regardent.
Après t’être inclinée tu remarques que Jang est accompagnée.
Curieuse, tu te penches légèrement et découvre que Jay est à son bras.
Tu tentes d’établir un contact visuel mais elle ne regarde absolument pas dans ta direction.
Tu aperçois Jake au buffet et décides d’aller lui parler.
Tu t’approches de lui et lui demandes « Tout va bien Jake ? je m’inquiète pour toi »
Jake se tient debout à côté du buffet, une silhouette séduisante qui ne passe pas inaperçue. Son costume semble taillé sur mesure, moulant chacun de ses muscles, révélant la puissance qui réside en lui. Les biceps saillants se dessinent sous le tissu, ajoutant à son allure une aura de force et de détermination.
D’ordinaire chaleureux et souriant, il a subitement changé. Une aura de froideur et d’intimidation émane de lui, créant un contraste saisissant avec son comportement habituel. Il évite ton regard, ses yeux ne se posant jamais sur toi. Cette distance, cette réserve, trahissent la fracture qui s’est instaurée entre vous depuis que tu lui a menti. Là où autrefois il y avait complicité, il y a désormais méfiance.
C’est comme si la transformation de Jake était symbolisée par son apparence. Le contraste entre le sourire chaleureux d’autrefois et la froideur qui émane de lui maintenant est saisissant. C’est un rappel poignant de l’impact de tes choix sur votre relation, une rupture qui semble se refléter jusque dans la manière dont il se tient et se présente.
« Tu comptes me demander ça à chaque fois que tu daignes m’adresser la parole ? » réponds t’il froidement.
« Jake tu me manques, et je m’inquiète, je ne t’ai jamais vu aussi distant » tu lui réponds.
« Peu importe, tu as ce que tu voulais,ce que tu mérites, à plus tard » dit-il en partant d’un autre côté de la pièce, allant discuter avec ses amis.
Jake a définitivement changé, sa froideur soudaine pénètre ton être comme une lame froide. Chaque regard évité, chaque distance palpable, est comme un écho d’une complicité qui s’est brisée. Il était autrefois une source de chaleur et de réconfort, un pilier sur lequel tu pouvais t’appuyer. Maintenant, il semble si lointain, si étranger. La disparition de sa chaleur affecte tes émotions, créant un vide douloureux.
Tu prends une troisième coupe de champagne et la bois d’une seule gorgée.
Tu analyses la salle et aperçois Intak de dos en train de discuter, rire avec quelqu’un.
Tu contourne de loin la scène et aperçoit que la personne avec qui il ose discuter n’est personne d’autre que Chaewon.
Quel culot.
La scène se déroule devant tes yeux, une pièce de théâtre dans laquelle Intak et Chaewon occupent le centre de la scène. Leur conversation est animée, ponctuée de rires sincères de la part d’Intak. Chaewon, quant à elle, ne cache pas son intérêt. Ses gestes sont empreints d’une familiarité tactile qui ne passe pas inaperçue. Chaque contact semble intentionnel, un moyen de marquer son territoire.
Son regard sur Intak est brûlant, une lueur de désir qui ne fait aucun doute. Tu ressens les émotions de la jalousie s’insinuer en toi, une brûlure sourde qui s’intensifie à mesure que la scène se déroule. Le sentiment d’être mise de côté, remplacée, est difficile à ignorer. Mais tu refuse de laisser cette situation se dérouler sans rien faire.
C’est avec une détermination nouvelle que tu t’apprête à intervenir, prête à rappeler à tous présents que tu n’es pas celle qui peut être mise de côté aussi facilement. La bataille pour ta dignité et ta place dans cette histoire commence ici et maintenant.
D’un pas décidé, tu t’approches d’Intak, déterminée à reprendre le contrôle de la situation. Sans un mot, tu l’attrape par la nuque et l’embrasse passionnément. L’instant semble suspendu, un éclat de défi dans mes yeux. Le baiser est un rappel audacieux de votre connexion, une affirmation de ta place dans sa vie.
C’est aussi un avertissement à Chaewon, une démonstration que tu ne va pas rester en retrait. Chaewon, furieuse, laisse échapper sa coupe de champagne qui se brise en mille éclats au sol. Son visage reflète un mélange de surprise et de colère. Sans un mot, elle tourne les talons et quitte la pièce, sa sortie énergique résonnant dans l’air. Dans ce moment, tu sais que tu as pris une décision importante. Tu refuse d’être reléguée au second plan une seconde fois. C’est un acte de résistance.
La tension dans la pièce est palpable, mais tu restes debout, le regard fixé sur Intak. C’est le début d’un nouveau chapitre, où tu va faire valoir ta place avec confiance et détermination.
Intak, agréablement surpris par ton geste, réagit avec une intensité palpable. Il attrape ta taille avec assurance, une lueur d’admiration dans ses yeux. “Wow”, murmure-t-il, un souffle presque inaudible, mais porteur de tant de significations.
Ses lèvres captent les tiennes dans un baiser empreint de désir et d’affection. C’est comme si chaque atome de l’air autour de vous était chargé d’électricité. L’intensité du moment enveloppe vos deux corps, créant une connexion indéniable.
Le regard furieux de Jang perce à travers la pièce, sa colère palpable. Elle est visiblement furieuse, sa voix trahissant une pointe d’indignation. “Tu nous fais quoi là?”, te lance-t-elle, sa question résonnant comme un reproche cinglant.
L’atmosphère s’alourdit d’un coup, une tension électrique s’installe. Ton geste a clairement provoqué un scandale, et Jang ne manque pas de le souligner. La présence de son père, le président, rend la situation encore plus délicate. Tu sens les regards curieux et perplexes des conviés qui se posent sur vous.
Ton comportement a clairement dépassé les limites de l’acceptable dans cet environnement si formel et officiel. La tension dans la pièce est à son comble alors que Sumin, s’approche de toi avec une aura intimidante. Ses mots sont tranchants et accusateurs, sa voix empreinte de colère. “T’es fière de toi ? Tu veux prouver quoi à qui là ?”, te lance-t-il, son regard perçant scrutant le mien. Avant que tu ne puisse répondre, Jang intervient d’une voix ferme, lui intimant de se mêler de ses affaires et de baisser d’un ton.
Mais Sumin n’a visiblement pas l’intention de se laisser faire. Il lui réplique avec une fureur contenue, affirmant qu’elle peut aller se faire foutre, car il est au courant de sa tromperie envers Jay. C’est alors que l’impensable se produit. Jang, visiblement bouillonnante de rage, réagit instinctivement en giflant Sumin. La claque retentit dans la pièce, un écho de la colère qui règne dans l’atmosphère. Sumin, le visage marqué par la surprise et l’indignation, lève la main en retour, prêt à riposter.
Mais avant qu’il ne puisse frapper, Jay intervient, agrippant son bras avec force pour l’arrêter. La situation est à son paroxysme, une toile complexe de rivalités et de tensions qui menacent de dégénérer en un véritable conflit. Le silence qui suit est lourd de menaces, chaque personne présente retenant son souffle, attendant de voir quelle sera la prochaine étape de ce drame qui se déroule sous leurs yeux.
Le cri de Sumin fend l’air, une explosion de colère qui résonne dans la pièce. Il l’accuse avec une virulence mordante : “Espèce de salope, tu fais honte à ton nom et à notre nom en trompant Jay de la sorte.”
Jay, tenant toujours fermement le bras de Sumin, intervient avec fermeté. Il lui indique que cela suffit, tentant de calmer la situation qui menace de dégénérer davantage.
Pendant ce temps, Jang demeure fière malgré les révélations brutales sur son infidélité qui viennent d’être exposées devant tout le monde. Elle garde la tête haute, défiant ceux qui l’entourent. Sans hésitation, Jang se tourne vers Jay et lui demande de sortir Sumin de la pièce, son ton empreint d’une autorité qui ne laisse pas de place à la discussion. Elle évoque même la possibilité de faire appel à la sécurité si cela s’avère nécessaire pour rétablir l’ordre.
« Ce ne sera pas nécessaire Jang » dit Jat avant de quitter les lieux avec Sumin.
Intak t’attrape par la taille avec détermination, ses doigts serrés avec assurance. Il se penche vers toi et murmure avec une intensité palpable : “On devrait s’éclipser.”
Sans réfléchir, tu hoche la tête en signe d’accord. Ensemble, vous vous détachez de la foule et vous mettez à courir dans le couloir, cherchant refuge vers ta chambre.
L’adrénaline pulvérise dans tes veines, chaque battement de cœur semblant résonner dans l’air. Vous échappez à l’agitation de la visite du père de Jang, vos pas résonnant sur le sol poli du couloir.
Vous entrez dans ta chambre et claquez la porte. Intak te pousse brusquement contre la porte, son étreinte vigoureuse électrisant l'atmosphère. Il t'embrasse avec passion, ses lèvres contre les tiennes dans un baiser intense et enflammé.
Intak dévore ton cou pendant qu’il remonte ta robe, il saisit tes fesses avec une poigne ferme, les pressant doucement entre ses doigts. Il les malaxe avec une tendresse qui semble les considérer comme siennes.
Ta respiration s’accélère de plus en plus.
Tu ressens le coeur d’Intak battre de plus en plus fort contre ta poitrine. Intak se concentre sur tes seins, les manipulant habilement entre ses doigts tout en t’embrassant.
Ne pouvant contenir son désir plus longtemps, Intak te soulève et te jette sur ton lit. Il se place au dessus de toi, caresse tes cuisses et retire sa chemise. Tu ressens un mélange d'excitation et d'appréhension face à l'expérience apparente d'Intak. Son assurance pourrait être à la fois attirante et intimidante. Tu te demandes ce qui t’attends, tout en étant intriguée par la perspective d'une connexion « plus profonde » avec lui. Une fois sa chemise retirée, il reprend place entre tes cuisses et hume ton string déjà humide puis décide de te le retirer.
Tu peux l’entendre laisser échapper un grognement.
Intak détache sa ceinture et retire son pantalon d’une aisance qui te surprend.
Il place son index et son majeur sur tes lèvres « suce les, bave dessus » dit-il d’un ton autoritaire, tu t’exécutes.
Les doigts étant trempés, il commence à te doigter avec en te regardant dans les yeux.
Tu vois Intak prendre autant de plaisir que toi dans cette action.
Il commence à se masturber à travers son caleçon avec son autre main, du peu que tu vois, son sexe est massif.
« Tu aimes ça princesse ? » dit-il d’un ton plutôt assuré pour une question.
Tu gémis, incapable de prononcer un mot tellement la vue et les doigts d’Intak sont un délice pour toi.
« Je vais y aller plus fort si tu ne me réponds pas » dit-il en souriant en coin avant de rentrer un troisième doigt.
Tu gémis encore plus fort en serrant les coussins derrière ta tête fortement.
Intak retire son caleçon et masturbe désormais son pénis en érection.
Il remonte à ta hauteur et t’embrasse tout en frottant son sexe contre le tiens.
« Je vais te faire mienne maintenant, plus aucun homme ne te touchera» dit-il, se frottant à toi de plus en plus fort.
Aucun homme ne t’a touché, sauf Juyeon et lui savait que tu étais vierge .. est ce que c’est le moment ?
« Je suis encore vierge » tu murmures à l’oreille d’Intak.
Son mouvement de bassin s’arrête brutalement.
Il se redresse face à toi avant de te répondre « Quoi ? »
« Je suis encore vierge Intak » tu te répètes.
Intak redescends au niveau de tes cuisses, craches sur tes lèvres et te dis « l’acte final attendra alors » avant de lécher l’intérieur de tes cuisses.
La porte de ta chambre s’ouvre soudainement, vous avez oublié de la fermer.
« J’espère que t’es ici parce que j’ai cherché partout t’es partie sans rien di- » dit Ning en entrant avant de te voir, la robe relevée jusqu’en dessous des seins, sur ton lit, la tête d’Intak entre tes cuisses avant de continuer avec « OH MON DIEU » en claquant la porte.
Connaissant Ning, tu peux pas la laisser partir comme ça après qu’elle ai vu ce qu’elle vient de voir.
« Désolée Intak, urgence absolue » tu lui dis en te levant du lit et rebaissant ta robe.
« Aucun problème princesse, ce n’est que partie remise » dit-il en souriant.
Cet homme est parfait ?
Tu ouvres la porte à toute vitesse et voit Ning en train de courir plus vite qu’une gazelle dans le couloir écrivant en même temps sur son téléphone.
Tu cours derrière elle « NING ARRÊTE DE COURIR ».
« NON » te répond t’elle.
Tu arrives à sa hauteur et ne voit qu’une seule solution, tu lui sautes dessus et finissez toutes deux par terre, sur le ventre.
« MAIS ÇA VA PAS » te dit Ning complètement écrasée sur le ventre.
Jang arrive devant vous et vous voit couchées toutes deux à ses pieds dans le couloir.
Ning relève la tête et hurle « ILS ONT BAISÉS ILS ONT BAISÉS ».
« Qui ça ‘’ils’’ ? » demande Jang.
« ELLE ET INTAK, IL AVAIT LA TÈTE ENTRE SES JAMBES » dit elle en te montrant du doigt.
Jang pousse la tête de Ning et te regarde en te disant « T’as couché avec Intak ? Tu lui as dit que t’étais vierge avant ? »
« On a pas couché ensemble ! » tu te défends.
« MENTEUSE J’AI VU LE FILET DE BAVE QU’IL AVAIT SUR TA FOUF MÊME EN ÉTANT À 3 KILOMÈTRES » réponds Ning en pleine hystérie.
Jang te tire les cheveux « TU ME MENS EN PLUS ? »
« MAIS JE MENS PAS, LÂCHE MOI JANG » tu lui réponds en attrapant son bras.
« ALORS POURQUOI TON STRING EST ENCORE SUR TA CHEVILLE ? » te réponds Jang en pointant du doigt ton string qui en effet, était encore après ta cheville, que tu avais oublié de retirer dans la précipitation.
« qu’est ce qu’il se passe les filles ? » dit Kazuha en vous voyant toutes les 3 dans des positions suggestives.
« Toutes dans mon appartement immédiatement, réunion de crise » répond Jang sur un ton autoritaire.
FIN DE L’ÉPISODE 5
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thomariviere · 1 year
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En Travaux
Ma chambre est un merveilleux cocon, oui, toute gluante de la soie lumineuse et jouissive que j’ai tirée hors de mon anus. Elle est devenue une sorte de portail spacio-mental (ou experitemporel!) ouvrant directement sur la brume ample et capiteuse du nirvâna. Des nirvâna. Tous. Réunis et fondus. En un seul. Un. Mien. 1. … oui quelles que soient les folies désarticulées ou les croyances asthéniques qui les ont conjuré, tous les paradis du monde sont des foutus foutaises à l’exception de mon gilead. Le mien! Il existe. Il est là. Disponible. À tous. Juste ici. À côté. (Celui de chacun lui est disponible. À lui et à lui seul). Même pas nécessaire de tendre le mufle ou de plisser les yeux pour le débusquer. Si i on tend l’oreille o. entend les joyeux babillages de la rivière qui y prend sa source. Oui les amis. Laissez moi vous dire direct. Le paradis est ici. À vos pieds. Si vous savez regarder. Nous avons chacun le nôtre. Mais il ne vous a jamais quitté. Il marchait juste sûr vis talons, fidèle et appliqué. Caché sous les premises de votre ombre. Ah ces paradis inatteignables qu’on nous a tant promis. Ces déliriums pervers d’humains tétanisés, à qui le carnage naturel a tellement fait peur—et qui voulait se prémunir contre l’exemption de tout sens— tellement paniqués de leur propre disparition, qu’il leur a fallu fantasmer une aberration pour endurer leur panique. Un papy ventripotent en toge romaine allongé sur un nuage. Excusez du peu. Tout ça simplement pour retrouver un très vague et très lointain calme intérieur.
Ma chambre n’est pas une religion c’est une exception. Une absolution. Un absolu et une dissolution. Dans ma chambre, entassant de textures et matières de la manière la plus jusqu’au-boutiste, matière effrayante alimentaire vestimentaire technologique médicale chimique mentale et administrative, un amoncèlement de choses et d’objets ayant pour mission de remplir le gouffre sans fond et impardonné qui me transperce de part en part. Mon vide intérieure. Bref. Je m’égare. J’ai donc fini pas trouver les clefs. Jai fini par découvrir la minuscule petite porte dissimulée qui ramène directement au jardin d’eden. Oui. Je ne mens pas. La porte de du jardin denté dont Ève et Adam ont été chassé. Éden. L’Immense Palais naturel où errent solitaires les anciens perdus. Éden zone ultime et primal du renoncement à l’intelligence. Du renoncement à la pensée. À la connaissance. À la croissance. Il n’est pas que croyance! Zone de l’abandon de la perte de structure de l’amollissement des formes et des architectures. Renoncement à quoi sur ce soit qui ne soit pas la jouissance osmoïse et la néantisation du langage. Chaque jour je m’y réfugie car le monde, LE VÔTRE, ô maudits humains, me terrifie. Je passe la très haute barricade et aussitôt suis absorbé par ce champignon phagocyté qui me prive de corps. Je flotte sur le radeau médusé de mon lit schizophrène. Je redeviens magma. Je ne suis plus humain. Juste les temps avant l’humain. Avant la pensée. Avant le temps. Un sentiment de bien-être de sécurité m’envahit comme ça n’était jamais arrivé et je sors de … tout. Surtout de moi. Je ne suis plus l’être tenu, la poupée fragile traumatisée par le passé et limité par son corps, je suis dieu le diable le néant et le cosmos. C’est extrême. Aucun et toutes les mots qui existent ou n’existent. Un moucheron et la croûte terrestre.
Étrange que j’ai trouvé la porte en tentant de suffoquer mes ennemis. Meurtre. Oui je suis meurtrier. J’ai dû tuer pour survivre. Lui. Thomas. Celui de juste avant. Je l’ai égorgé. Lentement. Conscieusement. D’un coup coup hyper bref sans qu’il ait le temps de réaliser ce qu’il ce passait. Thomas le martyr. Je l’ai supplicié. C’est ce qu’il souhaitait ce à quoi il s’était destiné. Je le lui ai donné. Ça a été tellement terrible pour moi de le mettre à mort. Mais c’était la seule solution. Ces blessures étaient bien trop profondes pour être guéries. Je l’ai embrassé sur la bouche. Fougueusement je lui ai tranché la gorge. Pendant le baiser. J’ai vu ces yeux s’agrandir. Terrifié. Il m’a légèrement mordu la langue. J’ai senti le goût ferreux du sang goûter dans ma gorge. J’ai fais une preste prière aux mécaniques célestes. Pour que nous ne nous fourvoyons pas.
Mes petits dieux de porcelaine. Les monstres. Ah mais non. Attention. Pas ceux en dehors. Ceux du dedans. Ceux qui sont nés de vos rires et de vos crachats de votre mépris et de ma honte. Ne pouvant m’en prendre à vous — ne voulant m’en prendre à vous. Ne voulant d’ailleurs plus m’en prendre aux autres en général (sauf Macron mais c’est différent! C’est normal d’être contre les armes de destructions. C’est exactement ce qu’il est (lui et tous les autres bien sûr) une arme chimique dont il est urgent de se débarrasser au nom de la bonté et de la poésie.) Qui me reste-t-il. Moi. Eux. Les zautres. Les moiautres. Ceux de l’en dedans. Le censeur MM (il ressemble tant à mon grand père), le sadu qui n’est que planance accueil et sourire. Le crocodile et Le Minotaure. Mon Minotaure. Ce chaudron noirci ont ont séché toutes les pulsions, la violence, la bestialité. Toutes les perceptions de l’enfance. L’émotion. Et l’émotions. Les émotions. Toutes. Au-delà de celles dont on a peur, toutes celles qui sont les sources du bon et du brillant en nous. Du joyeux de l’harmonieux du chantant. Tout ce que les autres du groupe intérieure n’aurait jamais su atteindre par eux-même. C’est pour ça que j’adore mon petit Minotaure. Il est tellement mignon du haut de ces 80 cm. Avant ses naseaux dilatant et son front boudeur. Jusqu’à ce qu’il enfle et devienne un titan de 2metres et quelques et que je me souvienne qu’il peut me détruire de la plus petite des poussés qui soit. Comme aurait écrit Garcia Llorca il pourrait faire plier un cheval de la force de son petit doigt.
C’est l’un d’entre eux ou eux tous qui ont cherché à annihiler toma, le total, le simple (& l’effroyablement complexe). Moi. Ce qui je suis ou tente d’être.
En cherchant le scalpel au fond du tombeau obscur de ma chambre j’ai trouvé l’illuminance du paradis. C’était en fait très simple. C’était sans vous. Quand l’autre disparaît je n’ai plus peur.
La pomme est toujours là. La bande blanche s’est arrêtée. Elle refuse de faire un pas de plus la bougresse. J’ai de la faire réagir avec ma petite souris grise. RIEN. un instant j’ai eu l’outrecuidance de me croire plus fort que la technologie (ce thomas même qui bien qu’ayant ayant biologie et physique le plus tôt possible, a potassé et passé seul en candidat libre le bep de projectionniste! Avec optique électricité et chimie au programme!
C’est triste hein qq1 qui trouve la paix dans l’isolation et la fuite de ses semblables. C’est vrai. Je suis d’accord.
Je fuis les monstres … parce que ce sont des monstres. Les Sophie les célia les Maryline. Bien sûr elles ont leurs raisons. Leurs excuses leurs circonstances atténuantes. Mais ce n’est pas mon problème. Je les fuis et les annihile consciencieusement de mon univers. Et je fuis les elfes. Ces créatures longues et translucides qui brille dans les sourires de lune. Les elfes argentés. Eux je les fuis car je redoute le moments ils changeront de visage. Je ne suis pas un elfe argenté, je ne suis pas un elfe marron, un elfe clown ou un elfe tout court. Plus une fourmi qui s’est collé 2 3 paillettes et des oreilles pointues. Je vous fuis vous, ô mes chers elfe adorés parce que je sais. Je sais et j’ai vu… soit vous m’attaquerez. Un jour. Parce que soudain vous réaliserez que je suis un connard qu’il faut mieux envoyer paître. Soit vous aller comprendre à quel point je suis médiocre (malgré l’air glorieux d’exception que je semble placarder involontairement dans un premier temps est de courte durée). Et vous finirez par me dire à quel point vous êtes déçus par moi. Je n’en peux plus de décevoir. Tout le monde. Je ne veux avoir à plaire ou à déplaire à qui que ce soit. Je préfère être pierre. Sous une pierre. Sous la terre. Vif. Ou mort si c’est la seule solution.
Du moins c’est ce que je pensais.
Mort au monde. Vivant à moi même. Et à Sufjan Stevens.
De toute façon c’est malhonnête. Malhonnête de profiter du monde tant que ça m’arrange et de le foutre à la porte de mon abris souterrain. Ermite se vit au fond d’une grotte perdue dans l’un des rares recoins où les humains s’aventurent rarement. Je ne suis pas ermite. Je suis profiteur. Je le sais. Je m’en rend compte. Je dois changer cela. C’est essentiel. Je ne veux pas être un profiteur. Aussi maigres soit les profitances. Je préfère être un terroriste (c’était l’une de mes boutades: rester vivant pour être un terroriste qui sème poésie et chanson partout dans dans son sillage. Un carnage artistique fabriqué à base de Björk Thom Yorke Poe Aragon ou Yeats. Ravel. Ou richter. La voix sans pareil d’Helena sur les larmes qu’il lui reste à verser et celles de Meryl qui supplie son enfant de ne surtout pas partir dans le monde.
Car oh que oui Meryl a raison. Il y a des princes peut-être, mais il y à surtout des loups et des humains dans le monde. Et ceux-là croyez moi vaut mieux les éviter.
Alors la chambre. Cette tombe. Cette terre contaminée par l’explosion nucléaire de mes fantasmes. Cette zone folle baroques psychotiques psychédéliques où je danse mon âme et ma vie. Le sexe avec les autres ne m’apportait pas cela. Rien ne l’a jamais apporté cela. Anthony m’a aiguillé, puis les deux petits cons (qui m’ont menti. Ce sont des cons parce qu’il m’ont menti. Ça m’a profondément heurté. Ça a tari le maigre ruisseau de la confiance en moi).
Ma chambre. Ce sublime vaisseau spatial qui échappe à toutes les lois terrestre. Je dois te quitter. Te condamner. Renoncer à toi.
Tu es affreusement dangereuse. Comme une plante cannibale. Je suis en partie digéré. Je ne peux continuer je n’ai pas été capable d’emménager deux chambre en une. Tu as pris toute la place. Je dois te quitter. Car tu vas vraiment réussir à me détruire si tu continues. Si je continue. Je. Je.
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mariielouu-blog1 · 1 year
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Le jour où j'ai appris que je n'avais pas besoin de toi, mais que je te désirais.
Le jour où j'ai appris que je n'avais pas besoin de toi, il faisait chaud . Très chaud pour une journée d'automne. La pleine lune brillait de toute sa splendeur et illuminait le ciel . Cette soirée la j'ai compris qu'un besoin c'était une nécessité, comme un toit la nuit pour dormir.
Un obligation , comme une assiette trois fois par jour pour avoir suffisamment de nutriment .quelque chose d'essentiel comme de l'eau pour s hydrater.
J'ai rapidement compris que tu n'étais pas un obligation, parce que clairement à tes yeux c'était pas nécessaire de m'avoir trois fois par jours, ou que je n'étais pas essentiel à ton quotidien non plus.J'ai rapidement conclu que je n'étais pas nécessaire afin d'assurer un bien être chez toi .
Jai compris cette soiree la , etendu dans mon lit . Que chaque fois que je pensais a toi ou a nous , cetait plus sous une forme de souhait . Je souhaitais que tu viennes me rejoindre la nuit dans le lit qui etait le notre autre fois .Où que j'avais envie qu'on se colle devant un film après une longue soirée .Que ce n'etait pas essentiel a ma survie de t'avoir près de moi . Tu n'etais donc pas un besoin, mais un désir..
Pourtant, tu m'as longtemps fait croire , voire convaincu que j'avais besoin de toi pour être bien , heureuse ou même pour fonctionner .
Je me suis perdu dans cette idée la ,
Je me suis convaincu que j'avais besoin de tes conseils pour choisir, de ta chaleur pour me tenir au chaud , de ta voie pour me guider ou de ton sourire pour me faire rire ..
Pourtant, tout cela n'était qu'un illusion .parce que du jour au lendemain tu m'as éviter.
Du jour au lendemain j'étais plus qu'une option,
Un deuxième choix.
Du jour au lendemain j'étais devenu une corvée,
Je croyais avoir besoin de toi tout le temps, mais au final
Je te cravais
Je désirais tes yeux rempli d'amour,
Je désirais tes paroles rempli de bontée,
Je désirais ton corps sur le mien.
Je n'ai pas besoin de toi , j'ai jamais eu besoin de toi
J'ai envie de toi ,
De l'impact que tu as
Sur moi
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christophe76460 · 1 year
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À TOI JE ME LIVRE
E Favre
"Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable." Romains 12:1
Divin Sauveur, toi qui vins sur la terre
Pour y mourir sur un infâme bois,
Le coeur ému, j'approche du Calvaire;
Que ton Esprit m'enseigne à contempler ta croix.
Ta grâce infinie
Vaut mieux que la vie;
Mon coeur s'attache à toi,
Pour te suivre avec foi!
Là, je puis voir la grandeur de l'abime
Où, par amour, Jésus est descendu,
Et les tourments de la sainte Victime
Me disent qu'à jamais, sans Christ, j'étais perdu.
Mon seul refuge est dans sa meurtrissure;
Là, jai trouvé le pardon et la paix,
Et, sous le sang qui lava ma souillure,
Je puis de tout péché rester libre à jamais.
Autrefois, seul, tombant de chute en chute,
J'étais vaincu par le grand tentateur;
Mais aujourd'hui, mon Sauveur pour moi lutte,
Et son bras tout-puissant me rend plus que vainqueur.
Jusquà la fin, Jésus, ma confiance
Sera toujours dans le sang de ta croix ;
Scelle en mon coeur cette ferme assurance,
Et que toujours aussi j'obéisse à ta voix!
A toi je me livre,
Pour toi je veux vivre;
Jésus, de ton amour
Remplis-moi chaque jour!
"Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l'excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur, pour lequel j'ai renoncé à tout; je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ." Philippiens 3:8
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moviecinepelis · 4 years
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frisquette27 · 2 years
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Petite alerte je ne suis pas mais alors pas du tout un auteur voir même pas niveau CM1 , mais après avoir fait une rétrospective de mes vieux carnets, j’essaye de remettre à jour une vielle histoire.
C’est la faute à tout ses talents que j’ai pu lire dernièrement et qui pour certains avait des idées qui me rappeler mes petites histoires donc désolé pas de relecture , pas de vrai ré écriture juste ma petite histoires
Attention il y a des extrait de la série mais au vu de la date des écrits je suis pas sur de l’exactitude des phrases et pas de chance je ne suis pas encore tombé sur cet épisode malgré les multiples rediffusions, en plus je le déteste cet épisode bon peut être pas à ce point mais bon...
ET SI ....
Chapitre 1 “ Une nuit SI calme”
L’aurore se lève doucement et les premiers rayons du soleil filtrent déjà à travers la fenêtre de la salle de bain, l’eau savonneuse qui commence délicatement à se teinter dans une couleur rougeâtre qui allait bientôt créer une confusion et un désarroi dans le château. Pourtant la nuit avait été à priori paisible, en tout cas silencieuse, mais pourtant elle avait tout perdu jusqu'à son identité , alors pourquoi sa vie.
Plus tôt dans la nuit , elle avait été réveillée par le froid dû à l’absence de son mari qui comme a son habitude avait fui le lit conjugal. Inquiète elle se lève pour partir à sa recherche en pleine nuit. Elle sait qu’il n’est pas chez une de ses maîtresses car ces dernières s’étaient plaintes auprès d’elle dans la journée que son mari ne venait plus les visiter depuis quelques jours. Guenièvre  pense elle que son mari avait dû encore s’enticher d’une nouvelle jeune fille, à qui il devait faire certainement faire la cour. Parfois elle s’avouait à elle même qu’elle était jalouse car avec le temps elle avait fini par tomber amoureuse de lui. Oui elle l’aime, juste Arthur, elle admire et respecte le Roi mais l’homme sans aucun doute elle l’aime. Elle aime son intelligence, sa patience avec certains chevalier certes pas avec elle, l’odeur de sa peau qu’elle sent dans leurs lit qui l’enivre, certains soir elle se rapproche pour le sentir pendant qu’il dort et ses doigts jouent avec ses boucles de jais qui dépassent de son bonnet de nuit. Seul son bien être l’intéresse, elle s’est oublié depuis longtemps.
Elle se dirige vers les cuisines quand elle voit de la lumière s’échapper du dessous de la porte, elle s’active et ouvre la porte avec entrain.
“Ah vous êtes là dit elle qui vous bécoter à cette heure”
Non elle doit rêver, ce n’est pas possible, il est bien là mais avec la femme de Karadoc, une femme qui se disait son amie.
“Mon dieu mais vous êtes complètement fou “
Arthur bégaye et perd toute sa prestance qui le caractérise si bien.
“Pourquoi ..qu’est qu’il y a ...”
Elle relève la tête et son corp se fige.
“La femme d’un chevalier , la faute suprême, vous me noyer dans la honte”
“Ah mais non c’est pas ça ...c’est que voyez pas bien, c’est une esclave grec..écouter”
Mevanwi perdu répond “grec , cela vas pas être bien probant”
Un froid glacial s’installe entre eux.
“Qu’est ce que vous allez faire, respecter la loi et tuer votre ami Karadoc”
“Je sais pas ...”
“Et qu’est ce que vous allez faire de moi”
“c’est à dire comment ça ..rien, ben si comme d’habitude, ben rien”
Son visage se fige, la tête toujours haute, royale, pour la première fois une vraie Reine.
Arthur est tétanisé, il ne sais que dire, il la regarde dans les yeux et il y lit toute la détresse du monde, une blessure qui ne pourra plus guérir. Les larmes montent aux yeux de Guenièvre et il baisse son regard de honte, cette fois il a dépassé les bornes, le désir d’avoir l’interdit, de maitriser son destin pour une fois et de faire un pied de nez aux dieux .
Elle ouvre la bouche doucement et comme si elle lisait dans ses pensées , d’une fluette dit :”Vous êtes allé trop loin , on pas jouer a ce point avec son destin, renier le bien et le mal”
Elle le regarde avec toute la douceur qui lui reste et tout en se dirigeant vers la porte, elle se retourne une dernière fois.
“Bonne nuit Arthur”, ses lèvres s’étire dans un sourire rempli de regret et de peine .
Arthur se laisse gagner par la culpabilité et une nouvelle née au creux de son ventre. La femme de Karadoc ne bouge plus, elle reste à côté de lui en silence. Guenièvre est déjà loin, le froid s’est installé définitivement dans la cuisine. Arthur tourne sa tête vers la femme à côté, elle est jolie certes mais est ce qu’elle en vaux la peine, tuer Karadoc, non , c’était un con mais c’était un de ses cons et elle que sait il sur elle, il la désir c’est une certitude mais la connaître et l’apprécier , il ne sait pas. Quelle connerie, qu’est ce qu’il avait foutu.
“C’est une erreur”
“Mais vous me disiez..”
“Certainement, mais ce n’est pas une vraie raison, je ne vous aime pas, en tout cas pas assez pour tout détruire, retournez auprès de votre mari”
De Retour dans sa chambre silencieuse, Guenièvre s’effondre sur son lit...non sur leur lit. Son cœur s’écroule sur les regrets de sa vie, il avait dit “RIEN” , elle juste rien , elle pleure à chaude larmes et sa respiration se bloque régulièrement. Elle a mal, tellement mal, pourquoi est elle encore là, un homme aime dans la forêt, elle pourrait le rejoindre , mais elle ne l’aimait pas , elle aimait Arthur.
Il la trouve laide , à vomir, ont lui avait rapporté plusieurs fois. De toutes façon que faire, ses parents passent leurs temps à lui faire des reproches, à lui rappeler son devoir. Non mais quelle connerie comment ils veulent qu’elle le fasse l’héritier, elle peut pas le faire toute seule. Les femmes de la cour ne lui parle pas, les chevaliers l’évite car ils ont peur des réactions de son mari, le seul, son confident , est parti.
Ses journées sont ennuyeuses à mourir, elle n’a jamais eu le droit de véritablement s’instruire, le strict minimum, le principal serait de s’occuper de son futur mari, voilà les excuses à la noix. Et maintenant elle était une gourde aux yeux de tous, conne comme une chaise d’après le tavernier.
Après quelques temps, les larmes ne coulent plus, elle est vidée. Elle lève la tête, quelle imbécile, alla a pleuré dans ce foutu oreiller pour ne déranger personne. C’est fini, elle ne peut plus, elle s’approche de son armoire et choisi une robe blanche avec des liserés argentés, cette robe est belle, elle l’avait choisi pour essayer comme toujours à son mari. Elle fait réveillée une des nouvelles servantes, pas Angarad, surtout pas elle. La servantes l’aide a enfiler sa robe et a nouer les lacets dans son dos, cette robe est provocante malgré sa couleur avec son corset serré qui révèle les formes de sa poitrine et son décolleté découvre ses épaules. Elle s’attache les cheveux en une tresse et insère de jolie perle et quelques rubans blancs.
La servante un peu décontenancé d’avoir été réveillé en pleine nuit, ne peut se retenir de lui dire:
“Madame est très belle, ou allez vous à cette heure”
“Faites moi couler un bain”
N’importe quoi pensa la servante, ces bourges je vous jure.
L’odeur des extrait de rose de son bain envahit la pièce, la servante s’éclipse, Guenièvre contemple son bain le regard perdu puis y rentre toute habillée, ses jupons flottent dans l’eau Elle tient fermement dans sa main un mouchoir dans lequel est emballé un petit poignard avec les emblèmes de la Carmélide gravé sur son manche.
Le jour se lève tandis que dans un élan de désespoir, elle approche son poignet et la lame rentre doucement dans chair, cela lui procure une douleur lancinante puis un soulagement. Elle recommence le sang ne coule pas assez vite , ses entailles ne sont pas assez profondes . Elle fini par lâcher le poignard qui se fracasse sur le sol, un bruit métallique retenti dans le silence, elle ferme les yeux et sourit.
Alors que le jour est levé, le château se réveille, les serviteurs s’activent, la servante qui avait été réveillée en pleine nuit croise Angarad.
“Tiens dis donc elle est pas bien dans sa tête la femme du Roi”
“Et puis savoir ce qui te permet de dire cela, Madame est une personne très gentille et au vu du mari qu’elle se tape je la trouve très seine d’esprit , en même temps dire qu’elle se le tape c’est un grand mot”
“Ouais ben là, elle me fait lever en pleine pour l’habiller comme si elle se rendait au bal et puis après elle vas prendre un bain”
Mais qu’est ce qu’elle raconte celle là, elle est pas bien, la Reine est beaucoup trop réservé voire parfois trop effacée même si elle peut avoir du caractère quand elle veux. Ce n’est pas normal cette histoire , elle doit en avoir le cœur net et se dirige vers la salle de bain sans plus attendre. Elle a un mauvais pressentiment , accélère le pas puis entre sans prendre le temps de frapper à la porte.
Le sang .....
Ce sang partout , son sang qui recouvre le sol autour de la baignoire, puis elle la voit , elle , la Reine qui glisse dans son bain , les poignet ensanglantés.
Angarad avait été coupé dans son élan , le choc , la peur , aucun son ne sortait de sa gorges , mais en voyant Guenièvre s’enfoncer dans l’eau , elle réagit vite avec une force qu’elle ne se connaissait pas elle la sortie de l’eau, et elles tombèrent sur le sol ensanglanté. Non ce n’était pas possible, pas elle , elle rêve non elle cauchemarde, elle pose ses mains contre les poignets pour arrêter le sang. 
La nouvelle servante qui avait suivie Angarad par curiosité arrive dans la salle de bain ouverte et le premier de cette affreuse journée avait poussé.
“Elias ...Merlin ....VAS CHERCHER hurle Angarad, MAINTENANT”
La servante pars en courant.
Cette nuit avait été calme et reposante pour les habitants du château, Et SI ça vie avait été différente peut être que la matinée aurait été aussi calme
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nuit-pourpre · 3 years
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Lohorie Valendrin [ep.09]
[Fantasy]
J’ai plus d’une vingtaine d’hivers, dont cinq passés avec les patrouilleurs Impériaux. Je suis assez cultivée, pour une fille née dans un lupanar. Je m’appelle Lohorie Valendrin.
J’écume l’Archipel du Cyan depuis presque un an. J’étais jusqu’à récemment au service d’un Commandeur. Je l’ai perdu en mer après un abordage et une tempête. J’ai survécu à deux embuscades, un naufrage, une hypothermie au fond d’un tonneau de bière, une sieste dans une fosse commune et une rixe de taverne, le tout avec une fracture au bras. Et j’ai survécu au feu des arcanes.
La fracture de mon bras couve encore sous une attelle robuste. J’ai des réminiscences. Le grincement de la charrue. Moi, ballottée sur une épaule jusqu’à un talus.
Une spatule en bois, un cataplasme. Une haleine de soupe aux champignons. Mon dos embrasse tendrement l’aspérité d’une pierre.
Le sol est dur et sauvage. Aucune paillasse. Une anfractuosité. Mes yeux plissent en regardant le jour blanc qui s’y engouffre.
Il fait tiède. Je suis seule là-dedans. Les braises froides répandent leur cendre humide jusqu’à mon nez. Je crois qu’il pleut dehors. Et la plaie maléfique, sur mes hanches, n’est plus qu’une tache imprécise, comme une impressionnante mais ancienne, très ancienne cicatrice. J’ai la sensation d’avoir été piétinée par un troupeau de centaures. Étrangement il y a là quelque chose d’agréable… Je suis reposée.
Mais je ne suis pas sereine. Je crois que l’idée me frappe pour la première fois de ma vie. Quelque chose pulse, à l’intérieur. Dans ma poitrine et dans ma tête. Quelque chose qui m’a maintenue en vie, et qui me réclame désormais sa dette. Quelque chose qui m’a toujours accompagnée et qui veut maintenant que je la reconnaisse et l’accepte.
Face aux coups et aux insultes, face à la peur permanente, j’ai toujours pensé qu’il y avait cette barrière de glace. J’étais à l’abri derrière elle. Inaccessible. Grâce à elle, je pouvais errer, en ne suivant que ma curiosité. Mais je n’errais pas : je fuyais. Je n’étais pas seule non plus. Ma colère m’accompagnait. Elle m’accompagne toujours.
Elle se faisait humble et discrète, ma colère. À quoi aurait-elle servi ? On ne pouvait me blesser, ni par les mots, ni par l’épée, ni par l’amour. C’est toujours le cas.
Mais ça n’a pas suffi. Et la colère est là. Elle attend à mon seuil. C’est une vieille amie gênante que je voudrais oublier. Qui me rappelle des choses. Les cauchemars, nuit après nuit, qu’elle m’a aidée à chasser. La terreur qu’elle m’a mise devant les yeux pour que je puisse l’affronter. Elle me rappelle aussi le déni, le rejet, l’abandon, l’ostracisme. Les trahisons, les violations et la haine pure. La façon dont les hommes me traitaient. La colère me rappelle que je ne pourrais jamais équilibrer les comptes. Il faut continuer. Survivre, se taire un peu, renoncer beaucoup, et choisir ses combats parmi les centaines qui devraient être menés.
Mais la colère réclame son dû. J’ai tenté de m’y soustraire. J’ai suivi le métier de mercenaire et embrassé les projets les plus inutilement périlleux pour ne pas avoir à y penser. Je n’y arriverai plus.
Le triangle poli, plus beau que jamais, sombre comme le vide et vide comme le Temps avant le Commencement… Il est à mes côtés. On l’a délicatement posé à côté des flammes, autour de sa ficelle. Je l’emporte, résolue, autour de mon cou.
Je glisse hors de la tanière. Mon corps est plus détendu que jamais, et mon esprit troublé. Plus que jamais, lui aussi. Ma vie a joint ses deux extrêmes. Toucher le fond tout en atteignant l’apogée, pour revenir à son vrai soi. Les philosophes de Cocybée avaient un mot pour cela : anaptôsis. Je l’ai accomplie. Je suis revenue à moi. Mais je ne crois pas que ce soit une bonne nouvelle.
La forêt de Sansonaïth est encore plus belle que dans les récits. D’une beauté effrayante.
Les épicéas craquent dans la brise, enracinés entre les failles et les éboulis du relief. Leur écorce a la douceur brune du silex, comme si on l’avait lustrée, ou que le temps avait fossilisé les troncs. Ils sont si hauts que les gouttelettes de bruine ne mouillent jamais le sol.
Les aiguilles font un bruit de cristaux de glace sous mes bottes. Un cri d’aigle retentit.
Je regarde autour de moi à la recherche d’une piste. La cavité est coiffée d’un buisson d’épines où poussent des baies rouge vif.
J’ai déjà vu ce buisson.
La fatigue crée souvent ces impressions. Une fantaisie de l’esprit épuisé, qui prend des sensations banales pour des souvenirs marquants. Je n’ai jamais cru aux explications prophétiques de ce phénomènes. La mémoire humaine est une artiste, pas une chroniqueuse. Comment je le sais ? Quand je pense à mon passé, l’agréable et le douloureux s’invertissent. Les narrations me semblent toujours tellement prisonnières de mon présent… Souvent je chéris les pires réminiscences, et je regrette les meilleures.
Je n’ai jamais vu ce buisson auparavant. Même si toutes les fibres de mon âme me le hurlent comme un pasteur fiévreux devant un parterre de bigotes.
Je me retourne. Une branche a cassé. Il y a quelqu’un, ou quelque chose, non loin de moi. Entre les arbres, je déambule. L’air vibre du son de quelques mouches. Il flotte une vague odeur de lisier, comme dans la fange d’une laie.
La pluie cesse après quelques instants. Un rais de soleil s’engouffre entre des rameaux d’épines. Dans une clairière détrempée, je hume l’odeur du sous-bois, devenue fruitée, estivale, presque.
Et un ruisseau fredonne à mes oreilles comme une harmonie de petites clochettes.
Une autre impression de déjà-vu. Cette fois j’y associe une autre idée fausse, plus précise : ça me rappelle la Mélusine. C’est la Mélusine. À l’été 139 ou 140, par une douce nuit.
Mais mes os sont gelés, et le zénith décline à peine. Je suis si différente d’alors que si je me rencontrais à l’époque, j’aurais besoin de longues discussions pour me reconnaître.
Des feuilles remuent, comme si un cerf ou un sanglier les avait arrachées sur sa route. Je fais volte-face, le poing serré. Je n’ai aucune arme.
Je ramasse une pierre saillante.
Je m’avance jusqu’au talus. Le bruit venait de derrière.
Le spectacle au-delà est à couper le souffle. Je trouve une combe, nichée dans un dévers perdu au fond de la forêt. Une énorme ruine s’y dresse. Elle est bouffée par les orties, et constituée de trois vieux bâtiments à colonnades, qui forment un hémicycle autour d’une cour déserte. Premier Empire. Presque deux millénaires.
Depuis combien de temps est-ce abandonné ? L’est-ce vraiment ? La végétation, au fil du temps, a donné aux restes de colonnes l’aspect de jeunes arbustes. Une dalle de pierre s’étend, vaguement surélevée entre les ailes du temple effondré.
On a entretenu cette dalle. C’est une mosaïque. Les siècles ont terni les couleurs. Il n’y a rien aux alentours. Mais je suis convaincue qu’on me suit.
Je ne reconnais pas le style du motif. Les tessons forment une toile indistincte et multicolore, qui oscille entre laideur et étrangeté. Mais un glyphe perce le centre. Argenté. Plus net que le reste. Symétrique, presque rond. Une sorte de carapace de tortue, en plusieurs parties. Un contour en hexagone, avec une sorte de rosace à trois pétales qui fleurit au milieu.
Je lève la tête. Je pense à inspirer. Et j’annonce dans la clairière :
C’est vous, qui m’avez sauvé la vie ? Montrez-vous, de grâce ! Je n’aime pas être suivie.
Les brindilles bruissent sous une botte, ou plutôt un pied nu. Une silhouette dans une robe carmin apparaît au détour d’un mur. Âgée. Glabre. Une petite casserole refroidit d’un mélange fumant d’herbes des bois au-dessus des braises, derrière elle. À côté du maigre feu de camp, des couvertures et un bardas sont affalés, traversés par le licol qui attache une mule placide à l’écorce d’un pin.
Son crâne nu est tacheté d’éruptions brunes, comme un vieux parchemin. Une bouche duveteuse pend, sous le champ de bataille pourpre de ses yeux. Elle ressemble à une vieille courtisane de Syphoride. À ma mère. Si elle était toujours en vie. Mais son visage n’est pas le sien. Et sa voix non plus. Elle est rauque et fatiguée. Elle n’a pas cette énergie désespérée que ma mère avait au plus funeste de son agonie. Elle est sereine.
Tu n’aimes pas être suivie ? C’est moi, pourtant, qui me sens traquée !
Ma langue maternelle. Ici, maintenant, ça sonne comme un dialecte lointain. Pourquoi diable…
Je vois à ton air que tu ne me reconnais pas, conclut mon hôte.
C’est que je ne m’attendais pas à ce que quelqu’un parle autre chose qu’un agrégat de jurons insulaires, dans le coin.
La silhouette rit.
Tu as développé un accent dans ta propre langue ! Tu dois être sur les routes depuis longtemps.
Pas seulement sur les routes…
Ton corps est marqué. Mais je me félicite néanmoins du résultat. Mon art a fait de toi la plus belle femme du monde !
Je… c’est gentil de m’avoir ramenée d’entre les morts, mais…
Lohorie, bon sang ! Je n’ai fait que rafistoler ce que j’avais modelé. Tu as changé depuis notre dernière rencontre. En bien. Tu es moins jolie. Plus bourrue. Plus athlétique. Plus déterminée.
Mon regard s’illumine en croisant le sien. Désemparée, je lâche ma pierre et sens le monde s’effondrer sur lui-même. Mes mots tremblent, mais parviennent à sortir.
C’est… vous ? Vous étiez au Pic des Saintes Ténèbres. L’enchanteresse !
À dire vrai, quand le charretier m’a amené ta dépouille mourante, j’étais au moins aussi décontenancée. Et puis j’ai remercié les Destins d’avoir tenu compte de notre pacte. Tu vas pouvoir régler ta dette, Lohorie.
Le fil me revient. Comme si sept années étaient devenues sept heures. Elle m’avait demandé de la rejoindre sur la demoiselle coiffée. Tout en haut de ce piton rocheux dont le bulbe dominait la plaine. Le vent mordant. Sa face burinée, une pagaille noir de jais qui chevauchait son crâne. Elle avait des boucles d’oreille scintillantes. De la pyrite. Je me revois essoufflée, au terme de l’ascension. Je la ressens me toucher l’épaule, relever mon menton et d’un bref coup d'œil, me détailler de bas en haut. Tu souffriras, m’avait-elle dit. Mais je te rendrai à toi-même. À celle que tu aurais dû être.
Je me réentends, lui demander, de ma voix sourde et caverneuse, combien son rituel me coûterait. Elle n’a pas répondu, ce soir-là.
Ce soir-là, elle m’a seulement conduite dans le boyau secret de la montagne, d’où je voyais la voûte par une faille rocheuse. Fixant une constellation dont je revois la forme de faucille, aujourd’hui encore. Je la fixais pour ne pas penser à ce qui m’arrivait. Je me souviens. Je suis nue. Rivée par une pesanteur terrible dans une flaque argileuse. L’odeur des herbes qui brûlent ma gorge, mon sang qui vibre et chatouille mes muscles. Frappée par la foudre alors que le temps est immobilisé. Une sensation entre l’orgasme et la mort. Un gouffre blanc qui m’aspire, qui gèle mes doigts. La sensation que mon foie éclate. Que mes poumons se décomposent. Que mes pores suent un liquide toxique. Et la peur suprême. Sans possibilité de fuir. Un esprit lucide coincé dans un corps en fièvre délirante.
Plusieurs cycles de jour et de nuit passèrent. Je ne me souviens ensuite que du grand vide qui les remplit. Ma mémoire est une page vierge, laissée en politesse entre deux chapitres du récit, comme si l’Ecclésia avait mis cette partie à l’index. On ne chronique pas de telles horreurs.
Je me frotte les yeux. J’inspire. Je reviens à la présence du sous-bois de Sansonaïth. Ma voix vacille jusqu’à l’enchanteresse qui m’a rendu la vie une seconde fois.
Vous m’avez relâchée. J’étais libre. Pourquoi ne pas m’avoir annoncé votre prix à la fin ?
Elle éclate de rire.
Pour qui me prends-tu ! Une rétameuse ? Je savais que si le sort le voulait, tu reviendrais à moi.
Par accident, pour le coup…
Et que ce jour-là, tu aurais enfin les moyens de t’en acquitter. J’ai un travail pour toi, Lohorie Valendrin.
Je rends toujours un service pour en rétribuer un autre, fis-je en soupirant. Mais je n’ai aucun moyen de quitter cette île de toute manière.
Tu en trouveras un. Grâce au trésor que tu portes en pendentif.
Je tâte le fragment, comme si je voulais m’assurer qu’elle ne l’avait pas escamoté. Elle se fend d’un rictus.
Ainsi tu connais sa valeur !
Marchande, oui.
Il n’en a aucune. Pour le moment.
Vous en savez quelque chose ? On m’a payé très cher pour le retrouver.
Et ton employeur est mort en mer, oui… Tu m’as déjà raconté toute l’histoire, quand tu étais fiévreuse et délirante. Je te parlerai peut-être de cette relique, quand nous nous reverrons.
Que dois-je faire ?
Oh ! Seulement assassiner un Archimage pour moi.
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movies watched in 2020 (part one)
1. Little Italy (2018) Directed by Donald Petrie
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2. Mr. Magorium’s Wonder Emporium (2007) Directed by Zach Helm
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3. Super Size Me 2: Holy Chicken! (2017) Directed by Morgan Spurlock
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4. Along Came Polly (2004) Directed by John Hamburg
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5. Frozen II (2019) Directed by Chris Buck, Jennifer Lee
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6. Maleficent: Mistress of Evil (2019) Directed by Joachim Rønning
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  7. The Two Popes (2019) Directed by Fernando Meirelles
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8. It Takes Two (1995) Directed by Andy Tennant
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   9. Last Christmas (2019) Directed by Paul Feig
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10. Christine (2016) Directed by Antonio Campos
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11. Head Over Heels (2001) Directed by Mark Waters
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12. The Babysitter (2017) Directed by McG
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13. Fry Day (2017) Directed by Laura Moss
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14. Hair Love (2019) Directed by Bruce W. Smith, Matthew A. Cherry & Everett Downing Jr.
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15. The Terminal (2004) Directed by Steven Spielberg
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16. Bombshell (2019) Directed by Jay Roach
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17. Thanks for Sharing (2012) Directed by Stuart Blumberg
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18. The Edge of Democracy (2019) ‘Democracia em Vertigem’ Directed by Petra Costa
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19. Klaus (2019) Directed by Sergio Pablos   
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20. Little Women (2019) Directed by Greta Gerwig
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21. Life Overtakes Me (2019) Directed by Kristine Samuelson, John Haptas
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22. The Lego Batman Movie (2017) Directed by Chris McKay
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23. A Beautiful Day in the Neighborhood (2019) Directed by Marielle Heller
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24. Simply Irresistible (1999) Directed by Mark Tarlov
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25. Airplane Mode (2020) ‘Modo Avião’ Directed by César Rodrigues
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26. American Factory (2019) Directed by Steven Bognar, Julia Reichert
BONUS  
27. American Factory: A Short Conversation with the Obamas (2019) Directed by Julia Reichert
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28. Jumanji: The Next Level (2019) Directed by Jake Kasdan
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29. Cats (2019) Directed by Tom Hooper
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30. Pain and Glory (2019) ‘Dolor y gloria’ Directed by Pedro Almodóvar 
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   31. Missing Link (2019) Directed by Chris Butler
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32. Nefta Football Club (2018) Directed by Yves Piat
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33. Richard Jewell (2019) Directed by Clint Eastwood
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34. Troop Zero (2019) Directed by Bert, Bertie
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35. 1917 (2019) Directed by Sam Mendes
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36. Labor Pains (2009) Directed by Lara Shapiro
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37. Love Wrecked (2005) Directed by Randal Kleiser
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38. I Lost My Body (2019) ‘J'ai Perdu Mon Corps’ Directed by Jérémy Clapin
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39. Breakthrough (2019) Directed by Roxann Dawson
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40. The Cave (2019) ‘غار’ Directed by Feras Fayyad
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41. Corpus Christi (2019) ‘Boże Ciało’ Directed by Jan Komasa
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42. For Sama (2019) Directed by Waad al-Kateab, Edward Watts
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43. Harriet (2019) Directed by Kasi Lemmons
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44. Birds of Prey (and the Fantabulous Emancipation of One Harley Quinn) (2020) Directed by Cathy Yan
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45. Ad Astra (2019) Directed by James Gray
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46. To All the Boys: P.S. I Still Love You (2020) Directed by Michael Fimognari
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47. Charlie’s Angels (2000) Directed by McG
48. Charlie’s Angels: Full Throttle (2003) Directed by McG
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49. Charlie’s Angels (2019) Directed by Elizabeth Banks
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50. Overboard (2018) Directed by Rob Greenberg
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51. Jenny Slate: Stage Fright (2019) Directed by Gillian Robespierre
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52. The Rewrite (2014) Directed by Marc Lawrence
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53. Looper (2012) Directed by Rian Johnson
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54. Signs (2002) Directed by M. Night Shyamalan
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55. Margaret (2011) Directed by Kenneth Lonergan
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56. All the Bright Places (2020) Directed by Brett Haley
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57. Beauty & the Briefcase (2010) Directed by Gil Junger
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58. When in Rome (2010) Directed by Mark Steven Johnson
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59. Beauty Shop (2005) Directed by Bille Woodruff
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60. Vampires Suck (2010) Directed by Jason Friedberg, Aaron Seltzer
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61. So Undercover (2012) Directed by Tom Vaughan
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62. Think Like a Man (2012) Directed by Tim Story
63. Think Like a Man Too (2014) Directed by Tim Story   
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64. Sonic the Hedgehog (2020) Directed by Jeff Fowler
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65. Across the Universe (2007) Directed by Julie Taymor
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66. Bring It On Again (2004) Directed by Damon Santostefano
67. Bring It On: All or Nothing (2006) Directed by Steve Rash
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68. The Invisible Man (2020) Directed by Leigh Whannell
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69. The Hunt (2020) Directed by Craig Zobel
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70. Step Sisters (2018) Directed by Charles Stone III
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71. Swiped (2018) Directed by Ann Deborah Fishman
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72. Just Friends (2005) Directed by Roger Kumble
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73. Love Don’t Co$t a Thing (2003) Directed by Troy Byer
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74. The Gentlemen (2019) Directed by Guy Ritchie
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75. Onward (2020) Directed by Dan Scanlon
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76. Dolittle (2020) Directed by Stephen Gaghan
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77. Love Jacked (2018) Directed by Alfons Adetuyi
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78. Two Night Stand (2014) Directed by Max Nichols
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79. Hot Fuzz (2007) Directed by Edgar Wright
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80. Nine Months (1995) Directed by Chris Columbus
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81. Locke (2013) Directed by Steven Knight
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82. The World’s End (2013) Directed by Edgar Wright
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83. Imagine Me & You (2005) Directed by Ol Parker
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84. Little Shop of Horrors (1986) Directed by Frank Oz
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85. Bad Times at the El Royale (2018) Directed by Drew Goddard
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86. Ibiza (2018) Directed by Alex Richanbach
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87. Emma. (2020) Directed by Autumn de Wilde
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88. Jexi (2019) Directed by Jon Lucas, Scott Moore  
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89. Airplane! (1980) Directed by Jerry Zucker, Jim Abrahams, David Zucker
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90. The Half of It (2020) Directed by Alice Wu
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91. The Wrong Missy (2020) Directed by Tyler Spindel
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92. Possessor (2020) Directed by Brandon Cronenberg
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93. Ingrid Goes West (2017) Directed by Matt Spicer
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94. El Revenge (2017) ‘La Vingança’ Directed by Fernando Fraiha
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95. Unfinished Business (2015) Directed by Ken Scott
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96. Rough Night (2017) Directed by Lucia Aniello 
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97. Ben Platt: Live from Radio City Music Hall (2020) Directed by Alex Timbers, Sam Wrench
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98. Miss Americana (2020) Directed by Lana Wilson
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99. The Lovebirds (2020) Directed by Michael Showalter
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100. Hannah Gadsby: Douglas (2020) Directed by Madeleine Parry
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edsonlnoe · 4 years
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MG Awards 2019 | Nominaciones
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Película Dolor y Gloria The Favourite Gisaengchung If Beale Street Could Talk Luciérnagas Us Director Pedro Almodóvar | Dolor y Gloria Bong Joon-ho | Gisaengchung Barry Jenkins | If Beale Street Could Talk Bani Khoshnoudi | Luciérnagas Yorgos Lanthimos | The Favourite Jordan Peele | Us Actriz Olivia Colman | The Favourite Dakota Johnson | Suspiria Melissa McCarthy | Can You Ever Forgive Me? Lupita Nyong’o | Us Florence Pugh | Midsommar Emma Stone | The Favourite Actor Antonio Banderas | Dolor y Gloria Michael B. Jordan | Creed II Ethan Hawke | First Reformed Arash Marandi | Luciérnagas Dev Patel | The Wedding Guest Brad Pitt | Ad Astra Actriz de Reparto Edwarda Gurrola | Luciérnagas Jo Yeo-jeong | Gisaengchung Regina King | If Beale Street Could Talk Jennifer Lopez | Hustlers Tessa Thompson | Creed II Rachel Weisz | The Favourite Actor de Reparto Choi Woo-sik | Gisaengchung Lee Sun-kyun | Gisaengchung Dev Patel | Hotel Mumbai Leonardo Sbaraglia | Dolor y Gloria Song Kang-ho | Gisaengchung Yeun Sang-yeop | Beoning Guión Original Dolor y Gloria The Favourite First Reformed Gisaengchung Midsommar Us Guión Adaptado Beautiful Boy Can You Ever Forgive Me? 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TRADUCTION FRANÇAISE (de moi)
VOLSKRANT.NL 31/01/20
par Mennon Pot
https://www.volkskrant.nl/cultuur-media/conchita-wurst-sorry-dat-ik-zo-n-wandelend-clich
(Conchita) Wurst: "Je suis désolé, je suis un cliché ambulant".
Par-dessus tout, nous connaissons Conchita Wurst en tant que chanteuse barbue «féminine» qui a remporté l'ESC en 2014. Mais nous avons évolué et sommes un peu plus avisés. C'est juste Wurst maintenant, mais la barbe est toujours là.
En sautillant, Thomas Neuwirth (31 ans) entre dans la salle de conférence de l'hôtel à Groningen où il séjourne: des bottes de combat noires, un pantalon en cuir noir, un t-shirt noir moulant, la barbe noire et les cheveux noirs de jais courts et parfaitement coupés.
Il se présente comme Tom. Il n'est pas difficile de reconnaître la drag queen barbue Conchita en lui. (Kopenhagen, 2014, vous vous souvenez?) Mais la robe et la perruque sont rangées pour un certain temps. Conchita a une sorte de congé sabbatique, pour ainsi dire.
Neuwirth est en tournée en tant qu'homme. Nom de scène: Wurst. Hier soir, il a joué à Groningen; le prochain concert aura lieu le 7 février au Melkweg d'Amsterdam. Son nouvel album «Truth over Magnitude» porte également le nom de l'artiste Wurst.
Soyons clairs: lorsque le sujet est Conchita Wurst, le mot «transgenre» revient parfois. À tort. Neuwirth est un homme (`` mais incroyablement gay, bien sûr '') qui a désormais le choix: être en tournée en drag queen (Conchita) ou en homme (Wurst).
«Beaucoup de plaisir, d’être un personnage de scène masculin», dit-il. Conchita reviendra quelque part ailleurs.
La Hollande a apprécié «Rise like a Phoenix» de Conchita avec le score le plus élevé, il y a presque 6 ans.
Neuwirth n'a pas oublié: douze points de la Hollande pour la diva barbue d'Autriche.
Puis des années mouvementées ont suivi. 'Après l’Eurovision, je pensais que je devais en profiter maintenant, bâtir ma renommée et encaisser les revenus. Je me suis donc entouré de toutes sortes d'experts, managers, stylistes, maquilleurs, tout le cirque. Après 3 ans, j'étais épuisé. Je ne pouvais plus le faire. Je disais à mon public tous les soirs, soyez vous-même, croyez en vous. Mais en cours de route, je me suis oublié.´
Il s'est débarrassé du cirque des experts et fait maintenant une tournée détendue, avec un petit entourage. Il se sent bien à nouveau, bien qu'en 2018 il ait dû annoncer qu'il était infecté par le virus VIH. Son manager demande poliment, presque humblement, de ne pas en parler.
Tom ne semble pas très péocccupé par ce sujet. Il y a rarement eu une star qui commence une interview aussi joyeusement. «Une superbe séance photo et après cela, je parle de choses que je trouve belles et amusantes.
Super, je l’attendais déjà avec impatience quand je suis sorti du lit.´
‘curriculum vitae'
1988 - Né sous le nom de Thomas Neuwirth à Gmunden, Autriche
2007 - Candidat à l’émission de talents Starmania, et dans le boysband Jetzt anders!
2011 - Débuts en tant que personnage féminin Conchita Wurst, le premier single `I´ll be there´
2012 - Deuxième place à la sélection autrichienne pour l’Eurovision
2014 - Gagnant de l'Eurovision avec «Rise like a Phoenix»
2015 - Premier album «Conchita», co-présentateur de l’Eurovision
2018 - Deuxième album «From Vienna With Love»
2019 - Début en tant que personnage de scène masculin «Wurst», troisième album «Truth Over Magnitude»
2020 - Wurst «Truth Over Magnitude» Sony Music
Wurst se produira au Melkweg d'Amsterdam le 7 février
BANDE SONORE
Musique du film Titanic ... 1997
«Mon premier CD. J'avais 9 ans quand je l'ai acheté. "My Heart Will Go On" a changé ma vie ". Pour ainsi dire, Céline Dion m'a donné la permission d'être complètement dramatique et d'en faire trop. Quand je suis sorti du placard, j'entendait cette chanson dans ma tête.
C'était aussi une libération pour moi en tant que chanteur. Ma maman chantait toujours avec une voix claire et aiguë de fausset. Je pensais que c'était ainsi qu’in devait chanter. Dion m'a appris, vous pouvez crier aussi fort que vous le pouvez, avec tout le pouvoir que vous avez en vous. Lorsque vous chantez si fort, vous ne pouvez pas faire semblant. Le son que vous poussez hors de votre corps est le son de votre corps, unique et par définition authentique. Céline Dion m'a appris que chanter est quelque chose de vraiment physique.´
SERIE
The Crown ..Netflix ..., 2016 à 2019
«Pour moi, il devient difficile de regarder un film jusqu’à à la fin. Je suppose que c'est à cause de toutes les séries sur Netflix et HBO. Mon préféré est «The Crown». «L'introduction seule est si belle, cet or liquide qui forme une couronne, tellement artistique. A une époque, je la regardais deux fois. Ça explique le fait que je ne peux pas choisir entre les deux femmes qui jouent Elizabeth et les deux hommes qui jouent le prince Philip. Tous les acteurs sont super. Les costumes, les histoires, les palais, c'est tellement délicieux. L'histoire m'intrigue également, après chaque épisode, j'ai vérifié sur Wikipedia si c'était vraiment ce qui s'était passé.
FÊTES
«À Noël, je reviens toujours à Vienne. J'adore les lumières, les paillettes et les décorations, ma Mariah Carey intérieure l'attend chaque année avec impatience. Noël 2019 a été très spécial car cela faisait longtemps que toute la famille ne s'était pas réunie chez ma grand-mère.´
J'aimerais que ce soit comme ça chaque année ... Quelques jours ensemble dans une même maison. Parler, apprendre à vraiment connaître ma famille. Peut-être que maintenant vous pensez, des jours entiers avec des oncles et des tantes, quelle horreur! Il est facile de dire que je n'ai pas vraiment beaucoup de points communs avec ces personnes. Mais si, vraiment. Ils ont tous une histoire et des similitudes avec vos histoires. Interrogez-les sur votre vie et parlez-leur de vous. »
C’est ce que Noël est pour moi. Pour moi, la naissance de Jésus n'a pas grand-chose à voir avec cela.´
ÎLE
J'ai un accord avec mes meilleurs amis pour partir en vacances au moins une fois tous les deux ans. Nous sommes allés à Mykonos plusieurs fois, l'île particulièrement gay. Je suis désolé, je ressemble à un cliché ambulant.´
Le soleil, la mer, les plages, les petites rues, si agréables. Nous louons une maison avec piscine et pendant une semaine ou deux nous vivons dans notre propre petit paradis, en étant en fait un peu éméché tout le temps. Faisant les courses et la cuisisne.’
`Ce qui est également très important, à Mykomos, le vent souffle toujours dans le bon sens. J'adore regarder les femmes, car leurs robes et leurs cheveux flottent si joliement.´
ICÔNE DE STYLE
Victoria Beckham
J'étais et je suis toujours un grand fan des Spice Girls et j'admire particulièrement Victoria Beckham, car elle vit sa vie comme elle le souhaite. Elle apparaît tous les jours dans les tabloïds, mais a survécu à une crise dans sa relation et est restée heureuse avec l'amour de sa vie et de sa famille. Je pense que c'est vraiment fort.´
En ce qui concerne son style, elle peut aller de très chic à très trash, j'aime ça. Un jour, elle porte une robe de créateur, le lendemain, elle et David Beckham marchent dans des tenues de jogging identiques. Elle s'en fiche complètement. Je pense que c'est inspirant.´
«Je pense qu'elle est tout à fait authentique, faisant fureur à travers le glamour. Bien que je ne l'ai jamais rencontrée, je suis sûr que je pourrais m'amuser avec elle. J'aimerais boire de la tequila avec elle pendant un après-midi environ.´
ÂGE
30
«Je pensais qu’avoir 30 ans était vraiment spécial, j'ai perdu mon comportement tout-fou, je suis devenu plus calme. D'une manière ou d'une autre, je pense beaucoup à certaines choses que ma mère a dites: dans la vingtaine, j'ai ignoré ces leçons, mais maintenant j'ai 30 ans, je me suis soudain rendu compte qu'elle avait raison, par exemple à quel point la famille et les amis sont importants.
J'ai 31 ans maintenant, j'ai la paix intérieure et ma vie en ordre, mais je me sens encore jeune. Je suis convaincu que c'est la meilleure période de ma vie ». Mon conseil à tout le monde ... ayez 30 ans’
ALBUM
Recomposed’par Max Richter / The Four Seasons ..2012
Je ne joue pas d'instruments et jusqu'à il n'y a pas si longtemps, je ne connaissais pas grand-chose à la musique. J'ai vraiment trouvé ça dommage parfois. Heureusement, mon meilleur ami Martin étudie à l'École des arts musicaux ... !! Il étudie intensément l'histoire de la musique et me parle de beaucoup de grands compositeurs. J'apprends beaucoup de cela. »« Je n'ai jamais compris la musique classique et je n'en savais rien, mais grâce aux séances d'écoute avec Martin, je suis tombé amoureux de Vivaldi ..
L'artiste pop des artistes classiques.
«Max Richter a interprété les Quatre saisons de Vivaldi et l'a composé de façon moderne. C'est une pièce moderne et post-minimaliste, complètement différente de l'original, mais vous la reconnaissez toujours. Bravo, pour le moment c'est mon album préféré.´
LIVRE
Friedrich Schiller. « Ueber die esthetische Erziehung des Menschen » ..A propos de l'éducation esthétique des gens..´
«Un bon ami m'a conseillé de lire l’ensemble des lettres philosophiques de Friedrich Schiller .. Lettres, 1794-1795)
C'est un travail difficile à faire. À cause de l'allemand ancien, j'ai dû lire des phrases 5 fois. Vous devez toujours vous battre à travers une épaisse couche de sexisme du XVIIIe siècle.
«Mais plus loin, vous trouverez quelque chose de beau. Schiller écrit beaucoup sur la recherche de votre beauté intérieure et de votre propre vérité. Osez être vous-même. Embrassez vos côtés les plus sombres. Ils sont également importants.´
«En même temps, il prêche la perspective de soi. Ne vous prenez pas trop au sérieux, vous n'êtes pas le centre de l'univers. Ça a beaucoup de sens pour moi. C'est parce que je pense que je suis le centre de l'univers, haha.
`Cependant ça reste très sage de sa part d'envoyer un message de 1795 à une drag-queen du 21e siècle qui se prend pour Mariah Carey.´
CLUB
Le Circus à Vienne
«L'Arena est un immense complexe à Vienne, un bâtiment pour des concerts avec une méga discothèque. Deux fois par an, ils organisent le Circus, ma soirée club gay préférée. J'y vais toujours avec mon groupe d'amis les plus proches, mais c'est en fait un peu une règle que nous nous perdions et disparaissions dans la foule.´
«Je me promène toute la nuit - Chaque salle, chaque étage a son propre thème musical et sa propre décoration. J'adore les types de gens que je rencontre là-bas, leurs vêtements, leurs fétichismes, tout.´
… .Arena Vienna, Baumgasse 80, Vienna
VILLE
Amsterdam
«J'habite à Vienne, j'adore Vienne et j'y reviendrai toujours, mais la ville la plus formidable où je suis allé est Amsterdam - depuis, j'ai voyagé partout dans le monde, donc je sais de quoi je parle.
"De toutes les villes que j'ai visitées, Amsterdam est la seule où je voudrais vivre un certain temps. C'est donc ce que je vais faire, cet été, pour quelques mois pour commencer.´
«Je constate qu'Amsterdam possède également les magasins phares de toutes les chaînes de magasins connues. Et beaucoup de touristes, comme chaque ville spéciale. Mais je vois toutes ces petites bijouteries où ils vendent leurs bijoux faits maison. Petites boulangeries. Rues agréables. Et beaucoup d'eau. J'aime l'eau. J'adore les villes avec beaucoup d'eau.´
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christophe76460 · 1 year
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À TOI JE ME LIVRE
E Favre
"Je vous exhorte donc, frères, par les compassions de Dieu, à offrir vos corps comme un sacrifice vivant, saint, agréable à Dieu, ce qui sera de votre part un culte raisonnable." Romains 12:1
Divin Sauveur, toi qui vins sur la terre
Pour y mourir sur un infâme bois,
Le coeur ému, j'approche du Calvaire;
Que ton Esprit m'enseigne à contempler ta croix.
Ta grâce infinie
Vaut mieux que la vie;
Mon coeur s'attache à toi,
Pour te suivre avec foi!
Là, je puis voir la grandeur de l'abime
Où, par amour, Jésus est descendu,
Et les tourments de la sainte Victime
Me disent qu'à jamais, sans Christ, j'étais perdu.
Mon seul refuge est dans sa meurtrissure;
Là, jai trouvé le pardon et la paix,
Et, sous le sang qui lava ma souillure,
Je puis de tout péché rester libre à jamais.
Autrefois, seul, tombant de chute en chute,
J'étais vaincu par le grand tentateur;
Mais aujourd'hui, mon Sauveur pour moi lutte,
Et son bras tout-puissant me rend plus que vainqueur.
Jusquà la fin, Jésus, ma confiance
Sera toujours dans le sang de ta croix ;
Scelle en mon coeur cette ferme assurance,
Et que toujours aussi j'obéisse à ta voix!
A toi je me livre,
Pour toi je veux vivre;
Jésus, de ton amour
Remplis-moi chaque jour!
"Et même je regarde toutes choses comme une perte, à cause de l'excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon Seigneur, pour lequel j'ai renoncé à tout; je les regarde comme de la boue, afin de gagner Christ." Philippiens 3:8
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