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wheelsupin-five · 2 years

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My Five Favourite Fic I’ve Written

I was tagged by @sibylsleaves thank you sm <33 sorry only one of these is 911 (In no particular order)

Like Lovers, Like Gods (864 | G) --- Buddie/911

Pillowed in muted light, the sun blurs through dark curtains as warm hands trail Buck’s body. He threads his fingers in Eddie’s hair, tugging gently, earning him a low hum against his lips. He’s pressing Eddie into the mattress, hips flush, surrounding each other until all he can think about is him. The heat of Eddie’s skin, the planes of his body, the beat of his heart beneath his ribs.

Or Eddie shows Buck just how loved he is.

On Choice (1.1k | T) --- Philint/marvel

Two and a half years he’d spent on the tail of one Clinton Francis Barton. Two and a half years of sleepless nights as he tried to track him, only to miss him by minutes when the time arrived. Two and a half years of being told he was wasting his time... But tonight would be different. Tonight he would catch him.

And May Time Let Us Heal (509 | G) --- Destiel/spn

It hurts less with time. At Least that's what Dean promises Cas, who has nothing but a shot of vodka to numb the pain as Dean stitches the gash on his arm back together. Cas lets out short sharp breaths at Dean’s reminder to breathe, and he pretends not to notice the tears Cas hastily smears on his cheeks. He’s still new to this. To human pain.

Or an endverse au that takes place before we see them in The End where it is just Dean and Cas.

(No) Vacancy (359 | T) --- Destiel/spn

Dean is hallow without the celestial might of an archangel stuffed into his skin, tearing tissue, crushing bones — bursting at the seams — but somehow, he can’t feel anything at all.

Gentle Hands (1K | G) --- Destiel/spn

“You okay?” Cas mumbled, his voice rough with sleep. The mattress groaned as Cas fumbled to turn on his bedside lamp, not breaking the contact between his hand and Dean’s back. A soft light partially filled the room, and Dean turned away from him, letting shadows cover his face. “Dean?” Taking an unsteady breath, Dean shook his head.

Based off the prompt "Kiss it better"

I’m tagging @fearlessdiaz @gayedmundodiaz @queerbitchdiaz @freakwiththeknifecollection @simply-the-jinx @trippedandfell @elvensorceress @eddiediazes @eddiessluttytanktop and anyone else who wants to do this (I have no idea who has already done this)

#me: in nor particualr order . also me: puts my top two at the top hfjsjjd #thank you for the tag!! it was nice actually rereading some of my old stuff #also i think its telling that my 3/5 of these are under 1k #i just love writing concepts w little to no surrounding info okay i think theyre interesting and fun #buddie #destiel #philint #911 #spn #marvel #aos #fic #mine #my fic #my writing #tag games

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cookiemom6067 · 2 hours

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#podfic #marvel #marvel mcu #marvel cinematic universe #clint/coulson #philint #mcu

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flexitarianfandom · 1 year

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Find. (me. please.)

TakeTheShot

Summary:

Everyone has their soulwords written on their skin from birth, tracking the one person meant for them.

Destiny never makes things easy.

#marvel #clint barton x phil coulson #philint

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jules-and-company · 6 months

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non vraiment old married couple core

#philinte qui est tellement le top de cette relation….hein quoi qui a parlé ?#comédie française #le misanthrope

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lectures-sur-le-bateau-ivre · 2 months

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Sur Le Misanthrope : Adaptations

Une première mise en scène, datant de 1977, par Pierre Dux (classique)

Casting : Alceste - Georges Descrières, Oronte - Bernard Dheran, Philinte - Michel Duchaussoy, Dubois - Gérard Caillaud, Clitandre - Philippe Rondest, Acaste - Guy Michel, Arsinoé - Bérangère Dautun, Eliante - Dominique Constanza, Célimène - Béatrice Agenin

Costume tout noir pour Descrières, quelques rubans verts qui garnissent l’épaule ; il sera intéressant de noter comment chaque metteur en scène habille son Alceste. Chose étrange, la vue donnée par les fenêtres de chez Célimène ressemble à une vue d’un jardin de Versailles (carrément pas fait au hasard, on vous fait confiance m’sieur Dux). Ô diction naturelle d’un texte classique, mon amour ! J’ai l’impression d’entendre une vraie conversation, c’est magnifique. Un Alceste déjà bien énervé, dans les starting blocks dès le début (j’aime beaucoup le jeu de Descrières), mais qui a une certaine noblesse, une certaine majesté. Intéressant de voir que le costume de Philinte est le même que celui d’Alceste, mais son opposé complet en termes de couleur (rouge vif). On dirait que ce Philinte est le psy d’Alceste, c’est marrant. Psy un peu ferme, car le petit côté misanthrope de Philinte semble ici plus utilisé pour souligner les excès d’Alceste. Pour l’instant je vois l’amitié Alceste/Philinte like two old queens, c’est jouissif pour moi. Bon excusez-moi, les costumes masculins sont tous les mêmes, juste de couleur différentes et plus ou moins ornés. Un Oronte précieux et pétasse à souhait (excellent Bernard Dheran). Philinte qui donne des petits coups de tête approbateurs quand Alceste réussit l’interaction sociale, my autistic king. Potescore à la lecture du sonnet, vraiment mon moment préféré, eux qui se prennent le bec à voix basse mais dont la resting bitch face ressurgit immédiatement telles les fleurs au printemps. Philinte a l’air constamment atterré par son pote, je trouve ça hilarant. Une Célimène MAGNIFIQUE (Béatrice Agenin, quelle belle femme mon dieu), tout en noir, absolument charmante (et qui n’hésite pas à embrasser Alceste dans sa première apparition pour lui donner une preuve de son amour), très ironique, et médisante pétillante. Alceste l’aime, bon dieu, au début d’un amour grognon mais qui garde une certaine tendresse ; sa colère dans l’Acte III après la “trahison” de Célimène est bouillante, mais en sous-main, pas vraiment de grands éclats de voix, une rage plutôt contenue (malgré un poing qui aurait pu partir). Mais ils s’aiment quand même. La grande folle tout en rose c’est bien sûr Acaste (Guy Michel qui ne ménage aucun ridicule), et son acolyte en jaune poussin, Clitandre, plus soft (très bon Philippe Rondest). Eliante (jolie Dominique Constanza) semble prendre un peu après sa cousine dans le ton, mais reste mimi (par contre, un peu plus d’émotion que diable, à certains moments j’avais l’impression de voir jouer une carpe. Avec tout le respect que je lui dois.). Bérangère Dautun est une Arsinoé très méprisante, la voix posée, j’adore. All by myself joue bien fort dans ma tête à la dernière sortie de notre asocial préféré. Je retiens de cette pièce un Alceste assez désillusionné pour garder un certain calme, qui lui confère une aura noble, mais pas assez pour ne pas s’énerver de temps à autre.

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Deuxième version, de 1959, mise en scène (bien sûr classique) de Jean Kerchbron

Casting : Alceste - Renaud Mary, Philinte - Bernard Dheran, Oronte - Jean Le Poulain, Célimène - Françoise Christophe, Eliante - Evelyne Dandry, Acaste - Jacques Ciron, Clitandre - Alain Feydeau, Arsinoé - Malka Ribovska

Caméra qui est le point de vue d’Alceste ??? Innovative ! Surprise de retrouver l’Oronte de la version de 77 en Philinte. Diction pas très naturelle, pet peeve. Perruque ridicule pour Renaud Mary, mais c’est pas sa faute. Mise en scène hyper minimaliste, je suis surpris (agréablement je le concède). Turbopétasse de Le Poulain en Oronte, parfait. Je suis furieusement bisexuel pour la Célimène de Françoise Christophe, hautaine et au rire méprisant jouissif. Turbopétasses derechef avec Clitandre et Acaste, les années 60 n’étaient-elles donc faites que de cela ? Je suis également furieusement bisexuel pour l’Eliante d’Evelyne Dandry, Philinte je vais te piquer ta femme. Même Arsinoé (Malka Ribovska) est MAGNIFIQUE, un joli filon pour les fans de Molière lesbiennes. Dheran est super en Philinte tout doux, monsieur flirtez avec moi svp pour le 14 février. Une bonne vieille interprétation tout ce qu’il y a de plus classique.

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Troisième version, de 2000, mise en scène de Jean-Pierre Miquel (classico-moderne ?)

Casting : Arsinoé - Alberte Aveline, Oronte - Michel Favory, Eliante - Isabelle Gardien, Alceste - Denis Podalydès, Clitandre - Laurent d’Olce, Célimène - Clotilde de Bayser, Philinte - Laurent Natrella, Acaste - Christian Gonon, Le Garde / Dubois - Guillaume Gallienne

Wow, Podalydès avec les cheveux encore très très bruns. Un tout tout petit ruban vert en guise de collier, c’est un Alceste bien mélancolique, comme Podalydès sait faire ce genre de personnage. Je compare avec une autre version dont je parlerais après celle-ci, je sais, mais j’ai l’impression de voir la mise en scène d’Hervieu-Léger en moins bien, les personnages sont placés pareils et rient même parfois aux mêmes moments…Mais il manque la petite étincelle que donnent Corbery et Génovèse dans l’autre version. Non vraiment Podalydès est hyper calme en début de pièce, c’est très bizarre. Guys pick up the fucking pace, ça a pas l’air naturel ni dans l’esprit de la pièce, qu’est-ce que vous faites ??? Et bordel, Natrella, un peu d’émotion merde, j’ai l’impression de voir un ragondin à qui on a filé un texte et un costume de dentelle. Favory, pareil, le ridicule d’Oronte est où ??? Clotilde de Bayser à vingt ans MADAME je suis à vos genoux. Elle est belle, pétillante, souriante, drôle, bref, ma femme. Aussi, serait-ce un lieu commun de foutre Acaste et Clitandre en jaune poussin et rose pétant ? Alceste se réveille un peu à l’Acte II, merci, on attendait que ça. Un tout petit pitchoune Gallienne. Est-ce que c’est aussi un lieu commun de foutre Alceste enserrant de ses bras la taille de Célimène et poser la tête sur ses genoux ? (ça ne me dérange pas, les hommes désespérés on aime ça ici). Un Alceste bien cheum aussi, dont la déclaration “je voudrais qu’aucun ne vous trouvasses aimable” est assez creepy. Wow, Philinte qui fume (*transpose immédiatement ça avec Génovèse et décède promptement par excès de horniness*). Les costumes deviennent hyper sombres à la fin, pas mal. Et Célimène qui reste seule sur scène avant le tomber de rideau ? (dieu quelle femme magnifiquement belle.). Je me suis quand même assez emmerdé, la mise en scène aurait tellement pu être mieux mise en valeur, et les comédiens étaient pas trop au rendez-vous…

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Quatrième et dernière version, de 2019, mise en scène de Clément Hervieu-Léger (une moderne, pour changer)

Casting : Alceste - Loïc Corbery, Philinte - Eric Génovèse, Célimène - Adeline d’Hermy, Eliante - Jennifer Decker (mais j’ai aussi vu Claire de La Rue du Caën), Oronte - Serge Bagdassarian, Arsinoé - Florence Viala, Acaste - Christophe Montenez (mais j’ai aussi vu Clément Hervieu-Léger), Clitandre - Pierre Hancisse (mais j’ai aussi vu Birane Ba), Dubois - Gilles David (mais j’ai aussi vu Christian Gonon)

Comme d’hab je vous ai réservé ma version favorite pour la fin et…j’adore cette mise en scène. Depuis je fais totalement confiance à Hervieu-Léger en matière de direction artistique. Transposée dans un salon d’un appartement haussmannien en emménagement, la pièce reprend un peu de vigueur avec une mise en scène plus contemporaine. Des jeux de lumière, de musique de fond contribuent à l’ambiance et surtout rappellent que la pièce se déroule sur une journée. Mais ce sont d’abord les acteurs qui donnent un nouvel éclairage. C’est la seule fois jusqu’ici où j’ai vu la misanthropie d’Alceste traitée comme une véritable maladie, qui lui fait autant de mal qu’il en fait aux autres. C’est Loïc Corbery (pour moi, un des meilleurs acteurs de sa génération) qui porte cet Alceste blessé, à l’aura de chat mouillé, qui alterne périodes de calme ressentiment avec des explosions de colère stupéfiantes. Je compare avec la reprise de la pièce en 2023 (que j’ai vue hihihi), il a rendu son personnage plus calme par endroits, mais cela fait ressortir toute la violence de ses éclats. Philinte est campé par Eric Génovèse qui donne une douceur indicible à ce personnage ; qui garde cependant une bonne couche de rire devant Alceste et son ridicule, sans pour autant cesser d’agir comme un véritable ami (des petites attentions, l’aide à l’interaction sociale, sa présence presque constante auprès de lui, son inquiétude pour lui, la scène du câlin…LA SCÈNE DU CÂLIN PUTAIN), sans oublier la petite touche de misanthropie inhérente au personnage (et qui le rend complexe). Mention reprise 2023 : il est plus abrasif, plus triste peut-être, plus misanthrope, mais ça relève encore plus les moments de douceur. Célimène (Adeline d’Hermy je vous AIME) est si belle, si pleine de vie, et amoureuse en plus…Le duo qu’elle forme avec Corbery (bouleversants dans l’Acte III) permet de nous rappeler en nous mettant un gros coup de couteau dans le cœur que leur amour restera impossible. Eliante est choupinette outre commune mesure, Philinte sans déconner un jour je vais te piquer ta femme (ou eux deux ? vive la bisexualité). Serge Bagdassarian est un Oronte jouissif par l’interprétation typique et personnelle qu’il donne de ce personnage ; même chose pour Florence Viala en Arsinoé particulièrement âpre ; Acaste et Clitandre, peu importe les interprètes, sont parfaits et confinent aux petits-maîtres quelquefois (même si Hervieu-Léger en Acaste a été la plus pétasse to have ever pétassed). Si les moments de comédie sont là, on oublie surtout pas de nous rappeler que c’est aussi une tragédie, et la fin de la pièce est tellement douce amère…Enfin bref, je pourrais passer des heures à parler de cette mise en scène là, mais mon compte principal est un assez vibrant témoin de mon admiration pour celle-ci.

#j'aime cette pièce bordel #le misanthrope #molière

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everyonewasabird · 2 years

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Brickclub 4.10.1 ‘The surface of the question’

For everything there is a theory that proclaims itself “common sense”; Philinte versus Alceste; the offer of a compromise between the true and the false; explanation, admonition, a somewhat arrogant mitigation that, because it is mixed with blame and excuse, believes itself to be wisdom yet is often only pedantry. An entire school of politics, known as the happy medium, has emerged from this. Between cold water and hot water, it is the party of lukewarm water. This school, whose pseudoprofundity is all on the surface, dissects effects without going back as far as causes, and rails against the tumult of the marketplace from the height of its pseudoscience.

Oh my god nothing has changed. I don’t know what to say about it; Hugo makes the point perfectly. The people who plant their flag in whatever they think the political middle is and declare that they’re right by definition just because it’s the middle are just as annoying now as they were 160/190 years ago.

“Dissects effects without going back as far as causes” is such a good description of it.

Hugo goes on to talk about how they pick out the “good revolution” (1830 in this case) and then wring their hands about all the terrible riots that ruined its good name since then and “won’t somebody think of the CAPITALISM???” and

Man. It’s all just exactly the same thing.

If I remember anything about how this digression goes, Hugo is about to complicate his good takes with absolutely terrible ones, but at the moment--he’s just exactly right.

#brickclub #lm 4.10.1

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iigorr · 3 months

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𝕋𝕙𝕖 𝕄𝕚𝕤𝕒𝕟𝕥𝕙𝕣𝕠𝕡𝕖

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𝓟𝓵𝓸𝓽 𝓸𝓾𝓽𝓵𝓲𝓷𝓮

Act 1:

The play opens with Alceste, the misanthrope, expressing his disdain for the hypocrisy and insincerity of society. He is in love with Célimène, a coquettish young woman known for her beauty and charm. Alceste's friend Philinte attempts to counsel him on being more adaptable to social niceties, but Alceste remains steadfast in his honesty. Meanwhile, Célimène engages in witty banter and flirtations with multiple suitors, including Oronte and Acaste. The act sets the stage for the central conflict between Alceste's principled honesty and the superficiality of courtly society.

Act 2:

As the romantic and social intrigues continue, Alceste remains critical of societal norms. Célimène's salon becomes a hub of gossip and flirtation, with various characters vying for her attention. Arsinoé, a jealous rival of Célimène, attempts to undermine her reputation. Alceste, despite his aversion to social conventions, finds himself drawn to Célimène but struggles with the contradictions between his principles and his feelings. The act builds tension as Alceste faces the complexities of love and social conformity, foreshadowing his turning point and confrontation with Oronte which will lead to his fate

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Introduction to the characters and commentary

“The Misanthrope” is a story that focuses on the characters of alceste, who as the title suggests is a misanthrope. Alceste fights against the dishonesty and fakeness inside French society, he rejects anything that is not the “truth” as well as anything that is done in order to keep an image for the public, he repudiates social niceties and people who talk and gossip behind people’s backs, In a way it could be said that he rejects all that is part of the french high society in the 17th century, which is often seen as a pinnacle of decadence. However the mind and heart of Alceste lives in constant hypocrisy as the young woman who has stolen his heart is none other than a satire representation of this society that he despises, Célimène is a woman that thrives in social contexts often accepting flirtatiousness from other men. She enjoys the gossip and is often one to propagate it in the courts of high society, she lives by her social appearance. The other character that pulls at Alceste’s hypocrisy is Philinte, a man that although recognises the flaws of their society also understands the importance of having a social norm and adhering to it. Despite often disagreeing with Alceste he is shown as caring and defensive towards him, Despairing when Alceste’s choices lead him astray and wishing the best for him. Philinte is often considered to be Alceste’s foil throughout the play as he reflects the extremeness of Alceste’s views on humanity.

Alceste attraction to Célimène is almost inexpiable, it is not as if he lacks choice in women as two other suitors, Arsinoé and Eliante, both of which preserve those values that Alceste finds noble such as prudishness and honesty, but he still finds himself orbitating towards Célimène. Even Alceste finds it impossible to be in love with such a woman, as such he often asks her to change for him, or at least to put him above all other suitors, and although she rejects the idea of change she promises to put him above everyone else. Followed by Alceste, Célimène has three other suitors that try to win her heart throughout the play. A marquis called Acaste, a noble called Oronte and another marquis called Clitandre. Célimène strings along all of her suitors, giving them attentions and affections, however this game dooms her to her fate as Alceste finds out that the romantic letter that Célimène sent to him was not alone, but instead she had sent the same letter to other suitors, This greatly heightens the tensions between the two as Alceste is deeply hurt by this action.

However, the turning point of the play follows soon after. Alceste at the start of the play confronts Oronte who asks for an opinion on his poem, which Alceste finds repulsive, and not finding the usefulness in lying and praising his work decides to tell Oronte what he really thinks of his work, thus gravely insulting it. This however snaps back at him as later on in the play he gets called to trial for the humiliation he gave to the noble Oronte. Upon this trial Alceste is humiliated thus exiling himself. Before doing so Alceste asks Célimène to come with him, to leave behind her frivolous ways and be faithful to him, as nobody else would grace her after her plot was discovered. Yet she denies him, leaving him alone to his fate.

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Molier makes great use of satirical devices and characters throughout the play, making somewhat fun of both those that are too-self absorbed as well as those who through cynicism and reject the status quo. The play revolves around two distant extremes, Célimène and Alceste, that revolve around each other maintaining an insurmountable distance dictated by their own values, both of which are too convinced to let go of.

At the end of the day Alceste and Célimène are the only two people that suffer due to their own vices, Philinte and Eliante end up both finding love in each other, and the marquis and nobles will soon move on from Célimène and her affections. What this might be is a subtle commentary from Molier on excesses, everything is good from cynicism to self-absorption as long as we don’t get lost inside it.

One of the other vices which takes on a major importance is the one of jealousy, which becomes a driving force for Arsinoé in ruining Célimène réputation, is becomes part of Alceste’s character as he finds himself jealous towards Célimène because of all the attentions she gives and receives.

#theatre #character analysis #The Misanthrope

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