Je reviens à mon projet de présenter la plupart de mes 55000 photos (nouveau compte approximatif. On se rapproche du présent !). 2015....
- Les 3 premières : Douai , des vieilles voitures, Aronde, Panhard et Tractions Avant....et ”PU de locataires “!!!
- la dernière au labo de sciences de mon collège à Escaudain avec Didier, le préparateur et Delphine.
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L’avantage de travailler dans le quartier de St. James’s à Londres est que j’ai régulièrement l’occasion de voir beaucoup de belles vieilles voitures britanniques dans les rues. - source Paul Hier.
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BACK TO THE FUTURE.
Un projet sur lequel j'ai travaillé avec Monocle et Sophie. Design by Monocle, code par moi-même.
Contexte :
2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitant·e·s. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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Le soleil se couche sur l’île de Waydon. Sa couleur orangée balaie les planches blanchies des vieilles bâtisses encore debout, tandis que sur le perron de certaines maisons, des cafés se prennent après le dîner. Rocking chair se balancent à l’infini, tabac se chique encore et enfin, on profite d’une fraîcheur longtemps attendue en sortant parfois une guitare, en allumant souvent la radio et en jouant aux cartes tout en regardant les rares voitures passer dans le coin.
La vie se déroule paisiblement ici. Pas de chichi, pas de problème. L’île est petite, et le sud se vit ainsi.
Jusqu’à ce que…
Trois corps retrouvés. Dans les marécages de l’île. Plus de guitares sur le perron qui font sonner la mélodie du sud, plus de rocking chair grinçant jusque tard dans la nuit. On se barricade, on s’interroge. Le fusil de chasse à l’épaule, on explore les marécages.
Et dans les QG de l’Ordre, on réalise. Ces corps, ce sont ceux des personnes dont ils préservent le secret. A tout prix. Pour éviter une nouvelle chasse aux sorcières à travers le pays et le monde.
On les appelle surhumains. On les a longtemps appelés dieux, esprits, chimères, sorciers, démons.
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EXPLICATIONS
Le genre du forum est "low fantasy", ce qui veut dire qu'il y aura quelques légers éléments fantastiques au sein du contexte, ayant relativement peu d'impact (pour l'instant) sur le forum.
L'ambiance et l'histoire du forum sont d'inspiration american/southern gothic, far cry 5, split, the wicked deep, gallant.
L'histoire se déroule sur l'île de Waydon en Caroline du Sud.
Il y aura 3 types de personnages jouables : les humains / les humains de l'Ordre / les surhumains
L'Ordre est un groupe secret fondé à l'époque de la chasse aux sorcières qui s'est juré de préserver à tout prix le secret des surhumains. A tout prix, ça veut dire qu'ils sont capables de se débarrasser de ceux qui veulent utiliser leurs dons de manière trop visible.
Les surhumains sont des humains nés avec des capacités spéciales. Ces naissances sont aléatoires et n'ont pas de liens génétique - bien que l'Ordre ait constaté une certaine prévalence vers les descendants de lignée ayant compté plusieurs surhumains.
La liste des capacités surhumaine sera donnée plus tard, vous pourrez en ajouter (à faire valider par le staff). L'idée est de garder des capacités spéciales qui ne soient pas trop spectaculaires et puissantes.
Enfin, le rythme rp demandé sera de 1 rp/mois (mais sans pression, les absences sont là pour prendre du recul si besoin)
Un discord spécifique verra bientôt le jour... stay tuned :)
Le projet est construit par @decrescxndo et @ultra-violences
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Isidro - Responsable de la maison commune - 63 ans
Derrière ses airs affables et calmes, Isidro cache une personnalité rigide et ferme. Il dirige la maison commune, pourtant teinte d’une indéniable philosophie hédoniste. Et c’est bien ce qui représente toutes les facettes de sa personnalité, la communauté qu’il guide est façonnée à son image.
Isidro est né en Espagne, où il vit une dizaine d’années comme architecte de renom. Il profite alors de la vie en toute liberté et sans aucune limite: il a de l’argent à foison et affronte peu de difficultés. Il rencontre à l’occasion d’un gala de charité celui qui deviendra son compagnon de vie, Frank. Gestionnaire d’un fond caritatif américain, Frank était l’organisateur du gala.
D’abord amants d’une nuit, ils passent la semaine ensemble, celles d’après au téléphone presque tous les jours et Isidro décide de finalement le rejoindre aux Etats-Unis, alors tout juste âgé de 36 ans.
Ils sont arrivés à Derry il y’a 20 ans. En vacances, ils décident de camper dans les environs de la ville et au moment de reprendre la route, réalisent qu’ils sont coincés dans les bois où ils ont passé la nuit. Isidro n’explique toujours pas la chance folle qu’ils ont eu ce jour-là de ne pas croiser de créatures - peut-être n’étaient-ils pas encore passés dans Derry la nuit venue. Car s’il se souvient bien, Frank l’a quitté quelques instants le temps de trouver un coin d’aisance. Comme il ne revenait pas, Isidro est parti à sa rencontre et ils n’ont jamais retrouvés ni leur ne tente ni leur voiture, pourtant quelques mètres derrière eux, ils l’auraient juré.
Perdus dans les bois, affolés, déshydratés, ils ont trouvé les abords d’une vieille et imposante maison coloniale étrangement vide mais en bon état. Frank décédera cette nuit-là, attiré à l’extérieur par d’étranges voix amicales émanant du porche.
Isidro est encore hanté par les cris de douleur qu’il a entendus dans la nuit et l’image de la dépouille exsangue découverte le lendemain. Il a été découvert par quelques habitants de Derry et a vécu un temps dans le centre-bourg. Frôlant un alcoolisme sévère, il manque de sombrer définitivement.
Il reprend sa vie en main, aidé par l'écoute attentive et l'amitié de membres de la communauté. Isidro investit l’immense maison pour la retaper et invite quiconque veut vivre avec lui à le rejoindre. Dans la maison, on vit et profite comme si demain ne viendra jamais, dans la maison tout est permis tant que ça ne met pas en danger la vie des autres. Quiconque enfreint ces règles sera invité à quitter la maison. Au fil du temps, il agrège malgré lui une communauté parallèle au centre-bourg, liée tant par les relations entre les deux groupes que par le besoin d’échanger les vivres et les biens pour maintenir l’équilibre général. S’il reconnaît l’autorité de Beck, elle ne vient presque jamais à la maison et lui ne descend que rarement en ville.
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2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitants. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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Poires récoltées en Argentine, mises en pots en Thaïlande, vendues aux États-Unis mais le problème c'est ta vieille voiture
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Aujourd'hui, dévidons le fil d'une épopée mécanique, celle du Garage St Christophe, un foutu nom pour un endroit où les miracles sont aussi rares que l'amour dans un mariage de cinquante ans. C'est ici qu'officiait autrefois Gérard, un artiste de la clé à molette, dont le génie résidait dans sa capacité à confondre une bougie d’allumage avec une bougie parfumée. Un jour, Robert, un aventurier de l'asphalte, s’y arrête avec sa voiture qui crachote comme un tubard à la réforme. Gérard, le genre de type à te vendre un parapluie en plein désert, diagnostique un changement de pneu. Robert en reste comme deux ronds de flan : « Vous plaisantez ?! Ma bagnole a la bronchite, et vous voulez changer ses godasses ? ». Gérard, pas démonté pour un sou, lui répond : « Tout est connecté mon cher, c'est le papillon qui bat des ailes à Pékin et provoque une tempête à New-York ». Robert, déboussolé par tant de poésie, finit par hocher la tête. Gérard s’attelle à la tâche avec la précision d'un boxeur dans une cristallerie. Résultat ? La voiture est toujours là, sous un amas de pièces et de revues de mécanique datant des années 70. Ici, les clients venaient avec l'espoir d'un miracle, mais repartaient souvent à pied. Dans le village, chacun.e avait une histoire à raconter sur ce garage. « Tu vois cette bagnole ? Gérard a essayé de la réparer avec une vieille chaussette et du fil de fer. Elle a roulé trois mètres et elle a pris feu. » Au bar d’en face, le comptoir avait une forme incurvée tellement Gérard s’y accoudait. « J'ai ressuscité une vieille Renault aujourd'hui. » « Ah ouais ? Et elle roule ? » « Non. Mais maintenant, quand tu tournes la clé, elle fait 'vroum' avant de mourir. Pourquoi réparer ce qui va finir par se casser de toute façon ? Le mouvement perpétuel, c'est pour les horloges suisses, pas pour les bagnoles. » Entre deux lampées, il laisse échapper un rire qui se perd dans le brouillard de la fumée de cigarette. Une voiture, finit-il par dire en allumant une autre clope, c'est comme un alibi. Ça tient la route jusqu'à ce que les choses se mettent à chauffer.
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Ce matin en rentrant d'avoir conduit l'ado à l'école, je suis repassée par une route que je prenais tous les jours quand il était en primaire. Il y a cette maison en petites briques rouge vif, typique des années 60/70. Le jardin est immense et absolument pas protégé de la vue. Parce qu'on veut voir les gens qui passent, on veut les saluer, papoter, en profiter pour faire une pause, retirer les gants de jardinage et "viens m'fei, viens boire un petit truc", et sortir les verres et s'installer sur le banc à l'ombre du saule, et profiter.
Tous les jours, peu importe l'heure je passais là, le vieux monsieur était dans son jardin à cultiver, entretenir, embellir, jeter un œil aux passants et faire un signe amical aux voitures qu'il reconnaissait. La vieille dame participait, puis s'est contentée de rester assise sur le banc.
Aujourd'hui donc je suis passée par là et la maison est à vendre. Les hautes herbes ont pris possession du jardin. Le petit abri a subi la météo, des planches sont détachées, le banc est caché par les branches de saule qui n'ont pas été taillées cette année. Je ne sais pas s'ils sont morts ou en maison de retraite. J'ai eu un petit pincement alors que je ne leur ai jamais parlé, j'ai juste pu les observer, quelques secondes par jour pendant 11 ans. Je me suis promis de continuer d'entretenir le jardin de ma maison d'enfance quand ma mère ne pourra plus. Je me suis demandé ce qu'allait devenir mon jardin quand je n'y serai plus. Est ce que quelqu'un coupera le chêne ?
Et ce soir je suis allée dans mon jardin pour récolter les fruits mûrs, j'ai des fraises, des groseilles rouges, du cassis et des framboises. On a aussi de la salade et de la roquette, on se sert directement au jardin, j'adore ça. Les plants de courgettes sont énormes et le plant de tomates-cerises prépare une dizaine de grosses grappes. On est dans cette période où tout resplendit.
Et puis ce pavot de Californie qui est en train de s'ouvrir.
Et puis surtout ce petit chêne qui a décidé de s'enraciner en plein milieu du carré où j'ai enterré Félix. Une émotion m'a submergée. Je suis encore si sensible quand je pense à lui. Il me manque encore tellement.
La vie, ce qui part, ce qui nait, ce qui renaît.
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Prologue :
est dimanche, cela fait maintenant dix minutes que notre ami marche pour trouver la localisation de sa future boutique. En tournant sur lui-même une à deux fois, il réussit à repérer le terrain qu'il a acheté à l'ancienne propriétaire. Il fait dorénavant face à une devanture plutôt ancienne, légèrement abîmée, la peinture rose saumon déjà présente n'a pas très bien tenu. Pas très fan de cette couleur pense t-il. Ce bâtiment était autrefois une parfumerie locale, mais le coûts des ingrédients devenaient trop élevés pour la propriétaire des lieux. En examinant attentivement la devanture, des idées lui traversent l'esprit : la décoration, le choix de la peinture, la disposition des produits dans la vitrine. Plus il observe, plus il est convaincu que cet endroit est parfait pour son commerce. Mais il y aura beaucoup de travail pour l'embellir à l'image de son propriétaire. Il est désormais 17 heures, il sort son téléphone de sa mallette et compose une série de numéros. Quelques sonneries se font entendre avant qu'une voix ne réponde :
"Je suis devant !... Oh que oui, j'ai déjà plein d'idées à te partager... Ne t'inquiète pas pour moi, je ne suis jamais fatigué. Je prends des photos et je te rejoins le plus vite possible."
L'appel se termine, il range son téléphone pour laisser place à son appareil photo. Il prend plusieurs clichés de l'extérieur afin d'oublier aucun détail. Il s'approche de l'entrée et s'introduit à l'intérieur. Il explore le bâtiment tout en prenant des photos à chacune de ses découvertes. Ses yeux regardent chaque salle avec difficulté dû aux cartons disposés partout sur le sol. Il ne pensait pas que cet emplacement possédait autant d'espace. Après avoir pris des photos de chaque salle, il s'approche d'une des portes qui n'a pas encore été ouvertes. En l'ouvrant, il fait face à des escaliers, une pépite cette boutique s'exclama t-il. Il s'aventure à l'étage et fait face à une grande salle. Il l'a prend en photo également avant de l'analyser plus en profondeur. Des cartons, des cartons, encore des cartons. Il se demande bien pourquoi il y en a autant partout. Avant de partir, il prend note de toutes les choses à réparer et à modifier. Par la suit, il commence son chemin pour rejoindre son amie qu'il avait appelée auparavant. En sortant de la future boutique, il fait la rencontre d'une vieille dame qui marche à une allure raisonnable. Elle lui lance un regard avant de poser une question plutôt intrigante :
"Vous êtes l'un d'eux, n'est-ce pas ?
- Je vous demande pardon, madame ?
- Vous agissez comme si vous étiez normal, mais vous amenez le mal avec vous, je le sens..."
Tout en levant les yeux au ciel, il continue sa route. Ces paroles ne l'affectent pas particulièrement, ce n'est pas la première fois qu'on lui dit cela. Sur son chemin, quelques gouttes de pluie se font ressentir sur son manteau. Il déploie alors son parapluie et rejoint sans encombre son véhicule.
Environ 10 minutes de route plus tard, le véhicule se gare devant un grand manoir, le seul du village. Vue sa taille, impossible de le rater. Il sort de la voiture et se rapproche de l'entrée principale. Il presse sur la sonnette se situant à sa droite. Une mélodie se fait entendre avant qu'une personne décide de lui ouvrir.
" Pas de problème sur le chemin ? dit-elle, elle fait entrer son interlocuteur et ferme la porte derrière lui.
- Non pas spécialement, mais je vais quand même devoir me faire discret. Baba Yaga m'a légèrement menacé..
- Oh elle, apparemment elle fait ça avec tous le village. Tu n'as rien utilisé de "surnaturel" ? dit-elle en s'asseyant sur le sofa.
- Oh non je t'assure, je n'ai fait que mon travail. Je n'ai pas que ça à faire, dit-il en se rendant dans la cuisine. Il se sert un verre et en offre un à son amie. Elle tient le verre à une main tout en réfléchissant. Elle repris la conversation :
" Alors, la boutique en vaut le coût ?
- Un peu qu'elle en vaut, il s'assoit à côté d'elle et lui montre les photos, bon elle à vue de meilleur jour mais je sens que c'est le meilleur endroit pour la boutique.
- Hmm en effet, d'après l'annonce il y avait un étage aussi.
- Oui, je l'ai visité et il est parfait pour ton atelier, il y a la place qu'il faut ! Bon j'ai fait une liste des choses à faire parce qu'il y a du boulot...Déjà la couleur de la devanture c'est non, faudra changer. Je n'ai jamais vu de salles avec autant de cartons faudra tout jeter... Le nettoyage est à faire également, cela semble logique. Va falloir aussi refaire tout le parquet parce que le bois est pourris, on va pas se le cacher.
- Haha t'es lancé on dirait ! Ca va nous prendre tellement de temps, on ne sera jamais ouvert avant le festival...
- Bien sûr que je le suis, je veux que la boutique soit aussi parfaite que sa propriétaire! Et ne t'inquiète pas, la boutique sera prête en un claquement de doigt et ce n'est pas qu'une façon de parler. D'ailleurs, une idée de nom pour la boutique ?
- J'y réfléchis encore...
- Un jeu de mot serait sympa non ? Toutes les boutiques font des jeux de mots ! Enfin toutes... Surtout les salons de coiffure...
- C'est vrai on pourrait....Peux-tu allumer la radio s'il te plaît ?"
Il fait un signe positif de la tête et se penche vers la petite machine sur un meuble proche du sofa. Après plusieurs essais pour trouver un réseau qui fonctionne, il tombe enfin sur un sujet intéressant.
" La météo d'aujourd'hui s'annonce pluvieuse, avec des orages qui seront visibles à partir de la fin d'après-midi. Cela fait désormais 15 ans que ce tragique incident s'est déroulé dans le village de /////////////SSS// un village connu pour son architecture remarquable, qui malheureusement a été touché par un terrible incendie dont nous ne connaissons toujours pas sa provenance. Cet événement à causé 10 morts et une cinquantaine de blessés, une minute de silence sera réalisée afin de rendre de nouveau hommage aux personnes qui nous ont quittés ce jour-là.
" C'était il y a 15 ans... dit t'elle en se frottant les yeux
- Veux tu que je change ?
- Non ça ira...."
"Alerte news, des nouvelles concernant l'affaire Redpepper, le meurtrier serait retrouvé proche d'une rue piétonne à côté de la place St Pierre. Le corps n'as pas encore été retrouvé, mais la police aurait pu entrer en contact avec une tiers personne lié à cette affaire plus ou moins complexe"
"Je te jure cette affaire, il y n'a rien qui va..
- Plus on l'écoute et plus cela ressemble à une mascarade. Imagine tout ça n'est qu'une mise en scène et qu'il y n'a jamais eu de meurtre haha.
- Une mascarade....ouai, pas bête comme nom ça ! dit elle en se levant du sofa, elle se procure un carnet et commence à écrire.
- Oh toi tu as des idées ! Je suis tout ouï !"
Elle s'assoit de nouveau sur le sofa et partagent son idée sortie à l'instant de ses cellules grises. La fin de soirée s'est finie par un grand brainstorming d'idées les plus innovantes les unes que les autres.
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Les gens me préviennent qu'en ayant un travail avec moins de responsabilités j'aurai moins de revenue. Ptdr les gens, après un épuisement professionnel le seul souhait que vous avez est de pouvoir vous lever le matin sans avoir envie de crever du moment que vous avez un toit convenable et de quoi manger. En France c'est tout a fait faisable. Ça veut dire moins de loisirs, pas de vacances, pas d'achats conséquents, rouler avec sa vieille voiture, ect.
Soit, sur le long terme ce n'est sûrement pas tenable mais pour les mois à venir ça sera bien suffisant : dormir et manger en paix.
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L’avantage de travailler dans le quartier de St. James’s à Londres est que j’ai régulièrement l’occasion de voir beaucoup de belles vieilles voitures britanniques dans les rues. - source Paul Hier.
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Un été inoubliable
La beauté de la saison la plus chaude de l'année est incomparable, et cet été-là... oh, cet été était définitivement inoubliable. Tout a commencé avec l'anticipation des mois qui se terminaient, des valises faites et des rêves se réalisant sous le ciel bleu immaculé et le soleil qui reflétait la lueur dorée dans le cœur des aventuriers.
Le voyage a commencé avec un kaléidoscope de paysages qui passait à travers la vitre de la vieille voiture qui, malgré ses bruits et ses caprices mécaniques, était la capsule temporelle qui nous transportait dans un univers parallèle où les soucis quotidiens n'existaient tout simplement pas. Les chansons jouées étaient la bande originale d'un film d'été, où chaque chanson mélodieuse portait en elle la promesse de moments éternels.
La destinée? Un petit village côtier accueillant, dont les plages étaient des franges de pure magie baignées par l'océan. Chaque grain de sable, chaque coquillage sur le rivage, chaque vague déferlant avec une force délicate sur la plage était une invitation à recommencer, à inspirer quelque chose de nouveau. C'était comme si le temps avait son propre rythme, une sorte de cadence paisible qui apaisait l'âme.
Et c’est là, dans la douceur des après-midi langoureux et des nuits étoilées, que les amitiés se sont renforcées. Les rires partagés à l'ombre des cocotiers, les jeux et défis improvisés que seul le détachement des routines permet, les saveurs tropicales qui se marient parfaitement avec la brise marine... Tout a contribué à construire la tapisserie d'expériences que l'on en viendrait à appeler " le meilleur été de notre vie."
L'amour donnait également un air de grâce, d'une manière aussi naturelle qu'un coucher de soleil qui teinte le ciel d'une palette incroyablement vibrante. Les amours estivales sont faites de différentes matières, tissées avec la lumière dorée du soleil et la liberté du vent qui ne connaît pas de frontières. Et même si toutes ne durent pas au-delà de la saison, leur saveur est ravivée à chaque vague qui embrasse la plage dans un éternel retour.
Il y a eu aussi des moments d'introspection : les promenades solitaires le long de la plage à l'aube, quand le soleil répète ses premiers accords à l'horizon et que la brise porte encore la fraîcheur de la nuit qui s'en va. Dans ces moments-là, des conversations silencieuses avec soi-même étaient possibles et la mer devenait la meilleure auditrice des confidences et des rêves.
Alors que le mois d'août touchait à sa fin, la nostalgie commençait déjà à projeter son ombre, mais c'était une ombre douce, car chaque souvenir était déjà enregistré dans des couleurs vives, prêtes à être consultées lorsque le froid des autres saisons soufflerait à travers les feuilles mortes du futur. jours. .
Cet été inoubliable nous a appris à vivre, à aimer, à être libres. Il a montré que le bonheur est fait d'instants et que la beauté de la vie réside souvent dans la simplicité : une baignade dans la mer, un sourire partagé, la chaleur du soleil sur la peau.
Lorsque les sacs ont été refaits et que la vieille voiture nous a ramenés à la maison, nous avons compris que quelque chose en nous avait changé. Nous étions chargés non seulement de souvenirs, mais aussi d'une expérience qui nous avait transformés. Ainsi, chaque été porterait ensuite un peu de cette magie, une flamme éternelle qui nous réchaufferait avec le souvenir de jours d'un été absolument inoubliable.
Suivre sur Instagram: @mylife.usa2024
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Euh bon, j'ai faillit mourir 2 fois en 48h.
Vendredi la fumée de cacahuètes grillées. Et la nuit de dimanche de fumée d'incendie.
On est allés chez mes grands parents dimanche pour fêter mon anniversaire, ça se passait bien. Avec ma sœur on a traîné un peu, elle s'endort.
1h du mat je vais au toilettes, et au moment de me brosser les dents j'entends un énorme BOUM. Un deuxième. Et au troisième, je descend en trombe avec mon père (réveillé par le bruit).
Dans le salon, mes grands parents paniqués, de la fumée qui sort d'on ne sait où et qui tentent d'ouvrir toutes les fenêtres pour aérer (très mauvaise idée si feu il y a car appel d'air)
On réveille ma mère, mon oncle et ma sœur, l'électricité saute et on sort dehors en veillant à tout fermer derrière.
On a appelé les pompiers qui sont intervenus en 20min (on est au milieu de la campagne en bordure de village).
Au total il y a eu 5 camions et une quinzaine de pompiers. Pas tant que ça de dégâts (enfin si un peu quand même).
Le voisin a pu nous hébergés, et un autre est venu le lendemain pour brancher les congelos au central électrique de la maison de sa mère à côté. (Partie en vacances sinon c'est pas drôle)
Toute la maison est couverte de suie et pue la fumée (probablement des merdes et du plastique).
Après investigation des pompiers c'était le sechoir à champignons (bricolé par mon grand père dans une vieille table de chevet) qui a cramé.
Il y avait la voiture vraiment pas loin des flammes, des bidons d'essence pour la tondeuse à gazon à 2m, et les pompiers ont trouvé in extremis 2 balles de carabine (j'ai plutôt envie de dire des obus) datant probablement de la guerre d'Algérie (brûlantes selon ses dires).
Donc on a échappé à pire.
Heureusement que toute la famille était là ce week-end, car mes grands parents n'auraient pas eu tous les réflexes et lucidité qu'on a eu.
Ils tenaient (pendant et après l'incendie) à retourner dans la maison investiguer, récupérer des affaires durant l'intervention, et surtout NOUS AFFIRMAIENT que "mais non vous exagérez ça sent plus dans la maison et il n'y a pas de suie. On veut dormir dans nos lit" alors que ça puait de l'extérieur.
(Sur la 1ere photo on peut voir les interstices de la porte de garage devenir noires tellement la fumée était épaisse)
Pour rassurer, tout le monde va bien. Mes grands parents sont un peu chamboulés. Il n'y a que le sous sol/garage qui a cramé (sur 3m²).
Les assurances et techniciens sont tous passés. Encore merci à la quinzaine de pompiers volontaires qui se sont déplacés et au voisin de nous avoir hébergés.
Avec ma sœur on est rentrés en car, elle car elle travaille demain, moi car j'ai les poumons qui me piquent encore. Nos parents et mon oncle restent pour veiller sur nos grands parents et aider à gérer toute la paperasse.
Ce que j'en retiens : Je n'oublierai jamais la semaine de mes 26 ans. J'espère que ça ne présage rien pour mon pvt...
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