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Facebook est en déclin chez les 12 -24 ans
Être sur Facebook pour les 12-24 ans était intéressant quand ils étaient entre eux. C'était le lieu où il fallait être.
Mais les choses ont changé. Tout le monde est sur Facebook, parents compris. Ainsi donc la jeunesse pour protéger sa vie privée fuirait ailleurs. La jeunesse comprendrait-elle donc l'importance de la vie privée ? Et l'intérêt que leur intimité reste privée ? C'est plutôt une bonne nouvelle.
Voir mieux, ces jeunes conservent leur compte Facebook pour préserver le lien avec la famille, afin de mieux contrôler ce qui se passe et de rassurer par leur présence virtuelle, même si les choses essentielles se passent maintenant ailleurs.
Ces 12-24 ans se tournent principalement vers Snapchat et Instagram, là où l'image règne en maitre et dicte les codes.
Snapchat et Instagram, c'est un peu comme Las Vegas : ce qui se passe là-bas, reste là-bas, sous entendu loin du regard parental. Je vous rassure, quand quelque chose dérape, il y a toujours une bonne âme pour le partager sur Twitter et le rendre méchamment publique.
Il reste qu'Instagram et Snapchat sont un coup dur pour l'écrit et les mots.
Sur Snapchat, les messages se résument à quelques mots, abréviations du parler jeune et autres onomatopées, seule l'image à une valeur. Mais quelle image envoyée hormis la sienne, son visage, son corps ou ses baskets à longueur de journée ? Avons-nous des vies si trépidantes pour sur-envoyer son moi, jusqu'à saturation ?
Instagram, lui, est plus varié : photos de ses repas, de villes, de paysages exotiques, de famille ou d'environnement professionnel. Cela reste tout de même limité : à moins d'être un grand voyageur ou un excellent créatif, le contenu risque d'être répétitif.
Dans les deux cas, la réflexion, l'échange et l'écrit me semblent malmener. Là où Twitter rajoute des caractères pour essayer d'améliorer les échanges, là où Facebook permettait d'écrire des messages longs, Snapchat et Instagram réduisent cela grandement l'apport du commentaire, du retour critique par de la pensée et des mots.
Liens relatifs à ce billet :
https://www.emarketer.com/content/facebook-losing-younger-users-at-even-faster-pace
https://www.theguardian.com/technology/2018/feb/16/parents-killed-it-facebook-losing-teenage-users
https://www.independent.co.uk/life-style/gadgets-and-tech/news/facebook-quit-young-people-social-media-snapchat-instagram-emarketer-a8206486.html
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Film : "Je ne suis pas un homme facile"
Long-métrage français d'Eléonore Pourriat produit et diffusé par Netflix, "Je ne suis pas un homme facile" raconte l'histoire d'un dragueur lourdingue propulsé dans un autre monde où les rapports femme/homme sont inversés.
J'ai trouvé ce film très réussi. Drôle et jubilatoire par moment, il permet de comprendre le sexisme ordinaire, de voir des comportements machistes ou condescendants des hommes en inversant les situations. C'est très efficace et agit comme un révélateur de certains comportements et certaines paroles entendus au quotidien, et dont j'ai moi-même pu être l'auteur par moment, et non une mise en accusation ou une leçon donnée aux hommes. C'est ce que je trouve réussi.
En voyant le personnage principal en short (parce que c'est comme cela que les femmes le veulent), je me suis posé la question suivante : pourquoi est-ce que les femmes doivent montrer leurs jambes ? Je dois dire que cela pose pas mal de questions sur le regard masculin sur la femme, dans la vie de tous les jours, dans la publicité, dans l'art... Bref, la réflexion est ouverte.
A voir afin d'améliorer son quotient féministe et revoir certains aspects de l'éducation proposée aux enfants sur le genre.
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Trello, un outil visuel d'organisation très efficace
Trello est un outil visuel pour organiser vos notes, idées, projets et fonctionne en mode panneau. Vous avez la possibilité de créer une page, cette page comportera des listes et vous pourrez insérer des cartes dans ces listes. Ces cartes seront enrichies par des images, des liens, des fichiers, un rappel automatique ou une checklist. A noter qu'il est possible de mettre des labels à vos cartes.
Trello est un outil collaboratif puissant : il possible de partager vos pages et tableaux, de travailler en équipe sur les pages et de commenter les cartes de vos collaborateurs.
’intérêt ? Créer une organisation visuelle de vos missions et objectifs personnels et professionnels, individuels ou collectifs.
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Dans l’exemple ci-dessus, il s’agit d’une page créée pour repeindre une cuisine. Quatre listes ont été insérées, Idées, A faire, En cours et Terminé. Ainsi, vous pouvez ajouter de la matière et la faire évoluer dans vos cartes selon l’avancée de vos projets, c’est-à-dire les faire glisser d’un liste à l’autre.
L’organisation de panneau la plus classique est appelée Kanban avec les cartes To do, In progress, Done, comme ci-dessus. C’est l’outil idéal pour la gestion de projets et de suivi de taches en créant des pages mensuelles ou hebdomadaires.
Dans le cas d’une recherche d’emploi par exemple, Trello est très utile : vous pouvez vous appuyer sur les listes suivantes, Offre repérées, Offres répondues, Entretien à venir. Les cartes comporteront les titres de l’annonce et le lien pour répondre, avec un rappel pour ne pas louper une date limite.
Vous partez en voyage ? Créez une page avec une colonne pour les hôtels envisagés, une deuxième colonne pour les visites et activités à faire, une troisième colonne pour les restaurants…etc
Vous travaillez en équipe et vos collaborateurs ont des projets en cours ? Il est possible de créer une page par collaborateur qui mettra à jour l’avancée de son travail.
Accessible sur toutes les plateformes, Trello vous suit partout et vous permet de mettre à jour vos progrès dans l’atteinte de vos objectifs.
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Dans le cloud, personne ne vous entendra crier
Définition de base du mot cloud (infonuagique en français) : l'ordinateur de quelqu'un d'autre.
Nous apprenons ce jour qu'une cyberattaque en Allemagne a permis de récupérer les données de centaines de personnalités allemandes.
Le groupe hôtelier Marriott a révélé que les données concernant 5 millions de passeports ont été dérobées de ses serveurs informatiques.
Ces évènements rappellent sans cesse que dans le cloud, rien n'est définitivement protégé. Que ce soit par l'action de pirates informatiques, un·e employé·e décu·e ou une simple erreur humaine, ce qui se trouve sur des serveurs informatiques privés peut à tout moment se retrouver dans la nature, révélé au public.
Yahoo, Orange, Ebay, Facebook, Domino's Pizza, la Banque Centrale Européenne... toutes les organisations ont été ou seront hackées. Et il en va de même pour nous.
Ce n'est qu'une question de temps avant de voir toutes ou partie de nos données privées être volées, voir exposées publiquement.
Faut-il réfléchir à ce que nous envoyons en ligne via nos ordinateurs et par téléphone ? Pour ma part, je pense que oui.
J'ai bien conscience que l'éparpillement de nos données numériques dans le cloud est obligatoire : par le biais du e-commerce généralisé, par la numérisation des échanges administratifs et par l'utilisation de nombreux outils de conversation (email, SMS, Whatsapp, Snap, Skype, Messenger..). Nous stockons des bouts de nos vies sur les ordinateurs de tierce personne en partant d'un principe simple : la confiance inconsciente que nous leur faisons.
Or, chaque acteur numérique n'est pas un coffre-fort. Il faut donc se préparer mentalement à perdre ou plutôt à partager nos données involontairement.
Ce qui m'amène à mon deuxième point : limiter ce partage de données privées, voir intimes. Je pense particulièrement à l'épisode du Fappening qui a vu les photos intimes de célébrités féminines révélées au monde entier en août 2014 après le hack du service de stockage d'Apple, iCloud.
Internet n'est pas un lieu privé, même si certains canaux en donnent l'illusion, comme Snapchat où la jeunesse se réfugie pour échapper aux regards des parents, et ne le sera jamais.
La difficile leçon de cette histoire peut se résumer de façon suivante : faites ce que vous voulez, dans le contexte que vous voulez mais ne mettez rien en ligne de compromettant. Que ce soit des choses intimes, sexuelles, votre futur plan de domination du monde ou tout le mal que vous pensez de votre manager, ne mettez rien en ligne. Jamais.
- Damien
PS : les plus fidèles d'entre vous reconnaîtront le titre de ce billet que j'avais utilisé sur un précédent blog :-)
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Mes outils numériques : services en ligne
Evernote : outil de prise de notes ultime, il me permet de rédiger, de noter, de capturer des pages web, d’enregistrer des notes audio dès que j’ai une idée, de ranger le tout dans des nombreux carnets virtuels et de gérer mes projets professionnels et personnels. Accessible sur ordinateurs, tablettes et téléphone. Incontournable donc. Plus de détails sur mon usage d’Evernote ici.
Pcloud : afin de stocker certains fichiers et d’en synchroniser d’autres à travers mes appareils (ordinateurs fixe et portable, téléphone et tablette), Pcloud est très efficace et simple d’utilisation. Et peu coûteux (5 euros par mois).
Trello : c’est un outil de gestion de projets en ligne inspiré de la méthode Kanban. Il s’agit de cartes disposées sur un tableau, le tableau étant votre projet Agile. L’intérêt de ces cartes, c’est qu’elles sont enrichies : par du texte, des liens, des images, des checklists… et tout cela permet de travailler en équipe. Voir mon billet sur cet outil.
Discord : il s’agit d’un outil de VoIP, que j’utilise comme outil de chat augmenté afin de faciliter le travail en équipe et l’échange d’informations. A remplacé Slack dans mes usages personnels.
Proton VPN : j’utilise un VPN, un « réseau privé virtuel », afin de rendre anonyme ma navigation internet. Je change de VPN tous les ans.
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Mes outils numériques : logiciels
Navigateurs internet
– Firefox : le navigateur libre et gratuit le plus connu.
– Vivaldi : navigateur open source basé sur Chromium.
J’utilise les extensions suivantes :
uBlock Origin : le meilleur bloqueur de publicités par sa légèreté et son efficacité.
Decentraleyes pour bloquer l’accès aux bibliothèques tierces avec comme effet de stopper le pistage et d’accélérer la navigation.
Privacy Badger : extension qui stoppe les publicités et les traceurs publicitaires.
Evernote Web Clipper pour capturer des images et des articles dans Evernote.
Cookie AutoDelete qui permet d’effacer facilement les cookies et de conserver ceux dont vous avez besoin.
Bitwarden pour retenir mes mots de passe et écrire des notes confidentielles.
Todoist pour lister les choses à faire.
Darktable permet de développer et de retravailler les photos au format .Raw, j’utilise cet outil puissant, gratuit et libre.
VLC est l’inévitable lecteur de vidéos sur toutes les plates-formes.
XNView pour afficher, gérer et retoucher facilement les images et photos.
Mailspring est un client email parfait, pour une ou plusieurs boites mail à gérer.
VidCutter pour découper des vidéos sans recompresser. Très simple à utiliser.
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Ce que le jeu de rôle m’a apporté professionnellement
Loisir plutôt mal vu dans les années 80-90, le jeu de rôle est aujourd’hui à la mode dans les jeux vidéos et est complètement démocratisé.
Que ce soit pour faire découvrir un métier, pour résoudre certains problèmes quotidiens rencontrés en milieu professionnel [1] [2] ou tout simplement mieux former ses salariés, le jeu de rôle est devenu un outil incontournable dans le monde de l’entreprise.
Pour ma part, le jeu de rôle a démarré très tôt, c’est-à-dire en 6ème avec un camarade de classe qui m’avait fait découvrir
l’Oeil Noir
, un jeu de rôle dans un univers médiéval-fantastique. Lecteur assidu de Strange, Special Strange et autres Récits Complets Marvel, je complétais mon univers rôlistique cette année là avec
le jeu Marvel Super Heroes
dont 80% des livres étaient en anglais. Puis mes goûts ont évolué et j’ai joué et fait jouer à des dizaines de jeux différents pendant trois décennies. Que m’a donc apporté le jeu de rôle ?
Lecture, culture et ouverture.
C’est par la lecture que tout commence : il faut lire et lire encore. Le jeu de rôle a commencé avec de petits livrets de 60 pages avec l’Oeil Noir pour aller vers des pavés de 300 pages pour des jeux plus complets, avec de nombreux suppléments. La découverte d’un univers stimulant me poussait également à compléter mes lectures : que ce soit par des romans classiques ou des romans plus ludiques à base de science-fiction, de cyberpunk, de fantastique… Me viennent à l’esprit les exemples suivants : j’ai lu La Pierre et le Sabre en découvrant le jeu Le Livre des Cinq Anneaux, les romans d’Anne Rice en découvrant le jeu Vampires et j’ai acquis des connaissances sur l’Histoire et certaines cultures africaines, asiatiques et amérindiennes parce que nous avions décidé entre ami.e.s de jouer à une version maison de Highlander.
Etre créatif, original et écrire
Mon parcours dans le jeu de rôle m’a très souvent mis dans la posture du maître de jeu : celui qui propose une histoire, autrement appelé le conteur. J’ai passé de nombreuses heures à imaginer des intrigues, des rebondissements et du drame. J’ai beaucoup écrit et décrit des personnages, des lieux et des situations (voir beaucoup dessiner à l’époque aussi !). Je vois le jeu de rôle comme quelque chose de vivant. Il faut tenir en haleine une tablée de trois, quatre voir cinq joueurs et joueuses. Il faut également savoir proposer des choses originales (ou en tout cas les orchestrer comme telles) pour faire vivre un scénario.
Ecouter, parler et improviser
On ne joue pas seul au jeu de rôle (et pas vraiment derrière un écran d’ordinateur non plus). J’ai donc naturellement été vers les autres et d’autres sont venus à moi. On travaille les rapports sociaux. Il faut être à l’écoute des personnes qui jouent avec vous pour connaître leurs envies, leurs motivations et ce qu’ils apprécient. On développe son empathie. J’ai à cette occasion appris à parler en public, à m’exprimer clairement, à reformuler, à convaincre, à négocier, à confronter des idées et des opinions. Parler en public est devenu tout simplement naturel.
Et surtout, j’ai appris à improviser ! Le jeu de rôle est une excellente école pour cela. La liberté d’action étant quasi infinie, les joueurs font preuve d’imagination eux aussi pour résoudre les énigmes et contraintes proposées, ce qui emmène parfois votre histoire de conteur loin de ce que vous aviez prévu au début. Dans ces cas là, les maîtres-mots sont adaptation et improvisation. C’est un exercice mental devenu une seconde nature chez moi grâce à ces expériences passées.
Apprendre l’anglais
Comme expliqué plus haut, je m’étais passionné dès la 6ème par un jeu publié presque uniquement en anglais. Alors le Harrap’s est devenu mon meilleur compagnon. J’ai traduit, lu et annoté des centaines de pages et je suis devenu incollable sur la vie des super-héros Marvel par rebonds ! Ah, si j’avais eu un outil comme Evernote à l’époque, cela m’aurait tellement simplifié la tache… Bref, la rencontre avec ce jeu en anglais a été une chance extraordinaire pour l’époque et m’a servi tout au long de ma scolarité et de ma carrière professionnelle.
Le jeu de rôle a été une chance
Pour conclure, je dirais que le JDR a été une chance. J’ai fait de belles rencontres, qui durent encore à ce jour pour certains et certaines. J’ai beaucoup appris, dans de nombreux domaines : culture, littérature, Histoire, philosophie…
Actuellement, je ne pratique plus le JDR par manque de temps (le mien et celui des joueurs et joueuses qui m’entourent) mais je n’ai pas complètement abandonner ce loisir : j’achète et lis régulièrement ce qui sort afin de soutenir l’édition rôlistique et continuer à me faire plaisir avec une lecture ludique.
Inutile de dire que tous ces acquis personnels m’ont servi et me servent dans mon quotidien professionnel.
Et de votre côté, vous avez eu l’occasion de tester le jeu de rôle ?
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Le RGPD n’empêchera pas une nouvelle affaire Facebook / Cambridge Analytica
Le Règlement Général sur la Protection des Données est donc maintenant lancé en Europe et s’applique au traitement des données personnelles.
Le RGPD a pour but de responsabiliser ceux qui collectent les données personnelles, les dévoreurs de données type Google et Facebook, permettre aux individus d’exercer leur droits sur leurs données et donner un pouvoir de contrôle à la CNIL.
Nous avons tous reçus de nombreux emails de la part des sociétés qui ont accès à nos données personnelles afin de nous prévenir du changement de leurs Conditions Générale d’Utilisation (CGU). Puis en se connectant au service concerné, Gmail, Twitter, Tumblr ou Deezer (etc..), vous avez eu un message vous avertissant de l’entrée en vigueur du RGPD.
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De manière générale sur internet, la collecte de nos données personnelles s’opèrent de deux façons.
Par les cookies qui sont stockés plus ou moins longtemps sur nos machines. Pour rappel, ces cookies sont des traqueurs générés lors de passage sur un site internet. Ils sont de type impersonnel, parce qu’ils ne sont pas liés personnellement à moi, par exemple, ils ne sont pas nominatifs. Ils permettent de connaître nos centres d’intérêts et nos potentielles intentions d’achat. Si je vais sur le site Darty, hop, un cookie Darty se colle sur mon PC. Peuvent apparaitre lors de mes prochaines visites sur internet des publicités pour Darty. Dans mon cas, ces publicités n’apparaitront pas, j’utilise uBlock Origin et un nettoyeur de cookies, Cookies Self Destruct.
La deuxième façon de « se faire collecter ses données personnelles » et qui est plus puissante est l’utilisation d’identifiants nominatifs, tels que ceux utilisés par Facebook ou Google. Afin d’utiliser leurs services, vous devez être connectés à leurs serveurs. Les données collectées sont bien plus lourdes que le simple cookie de navigation. Tout y passe : age, nom, prénom, « likes », posts écrits, photos partagées, groupes suivis… Bref, tout ce que vous ferez sur leur sit, ainsi que tout ce que vous ferez sur internet, tant que vous resterez connectés avec votre identifiant Facebook ! Et là où le cookie est temporaire, parce qu’on peut l’effacer sans problème en vidant son historique de navigation en deux clics, le compte Facebook est lui sans limite temporelle. Vous avez crée un compte il a y 10 ans : Facebook a une connaissance plus intime de vous que… vous-même et aura un profil parfait de son utilisateur. D’où l’intérêt de se déconnecter de FB quand on a fini de sa visite sur le réseau social. C’est le strict minimum que peu de gens font parce qu’il faut par suite ré-entrer identifiant et mot de passe, trop dur, n’est-ce pas ?
Ainsi, le problème de l’utilisation malfaisante de vos données n’est certainement pas empêché par le RGPD, que ce soit le profilage massif ou l’utilisation de vos données à des fins de manipulation. Il aurait été plus intéressant d’empêcher le stockage de nos données sur une longue période par exemple mais ce serait tuer le modèle économique de Facebook ou Google qui ne vivent que de la publicité (voir les camemberts de cette page), donc des données de leurs utilisateurs…
PS : et ça n’empechera pas Facebook et Google de faire ce qu’ils veulent : Android et les applications de Facebook déjà accusés de non-respect du RGPD
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Une tablette tactile, pourquoi faire au final ?
Ma tablette Samsung est en fin vie. Achetée en 2012, elle me sert à écouter la radio quand je cuisine ou le soir avec des écouteurs. Elle peut encore diffuser des films ou des dessins animés quand nous partons en vacances, sans télévision disponible pour occuper ponctuellement notre fils.
L’OS n’est plus à jour. La navigation internet rame avec le navigateur par défaut. Installer une application met une temps très long et encore plus long pour ouvrir l’application elle-même.
Dans un contexte de questionnement qui est le mien, écologique, pratique et utilitaire, je me dis que renouveler cet achat à peu d’intérêt.
Une tablette, pourquoi faire ?
Écouter la radio, mon téléphone peut le faire. Avoir un support pour voir un film ou un dessin animé en déplacement ? Mon ordinateur portable peut le faire. Je peux également prendre une clé USB et la brancher sur quasiment tous les téléviseurs actuels.
Je sais que le format tablette est intéressant : légère, facile à transporter, elle permet de consulter le net facilement, de lire les nouvelles et consulter ses emails sans trop de problème. Par contre, pour écrire un billet de blog ou répondre à un courriel de plus de 5 lignes, cela devient tout de suite plus fastidieux.  Je ne parle même pas de retoucher une image ou de gérer une feuille de calcul avec cinq onglets. Et les « copier-coller » pénibles sur une tablette, quel que soit l’OS, non merci.
A cela, il faudrait rajouter un nouvel appareil à la maison, un nouveau chargeur à transporter et à ne pas oublier, reproposer encore ses données privées à un nouvel opérateur via un nouvel dispositif et augmenter son empreinte écologique, terme poli pour ne pas dire « encore plus consommer d’énergie en rechargement et polluer ».
A priori, la tablette est donc un achat superflu pour notre foyer, même si les sirènes du marketing envoient leur chant et « comme tout le monde en a une, il en faut une« .
Un matériel intéressant pourrait être une liseuse avec encre électronique permettant de surfer sur le net de façon correcte, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, et d’utiliser certaines applications comme Evernote. Cela limiterait la fatigue visuelle, économiserait de l’énergie et permettrait un usage plus productif en zappant les jeux par exemple. Utopique  donc.
Gardons la tête froide pour le coup et voyons si cet achat devient impératif au moment où j’enverrais mon actuelle tablette au recyclage
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Les cookies, ça se mange !
Et oui, une recette de cookies ! Mais pourquoi donc ? Et bien pourquoi pas !
Les cookies sont des êtres mal aimés sur nos ordinateurs, ils nous suivent partout et permettent de traquer nos habitudes. Vous l’aurez compris, je préfère la version alimentaire
Il faut mélanger les ingrédients suivants, dans l’ordre, pour obtenir environ 30 cookies :
150 grammes de beurre ramolli.
180 grammes de sucre
260 grammes de farine
1/2 sachet de levure
1 oeuf
60 grammes de chocolat et 60 grammes de noisettes à casser en pépites. Sans noisette, ça fonctionne aussi.
Laissez reposer une demi heure au frigo. Faites ensuite de petites boules, mettre au four à 200° pendant 7 min. Et voilà
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Et 7 minutes plus tard.
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Pour acheter un téléphone mobile, il faut comprendre le modèle économique de celui qui vous le vend.
Le monde des téléphones mobiles se résument à deux options : Google ou Apple.
Vous remarquerez tout de suite que je compare deux entités qui ne font pas la même chose : Google produit un système d’exploitation qui sera déployé sur des appareils fabriqués par d’autres sociétés (Samsung, Wiko, Huwaei…etc). Apple quant à lui produit un système d’exploitation qu’il déploie sur ses propres terminaux.
De là, on peut en déduire que nous avons une entreprise qui tire ses revenus de la vente de son OS (Google) et une autre entreprise qui, elle, tire ses revenus de la vente de ses appareils (Apple donc si vous avez bien suivi :p).
C’est là toute la subtilité : parce que c’est faux pour le premier et vrai pour le second. C’est une différence majeure qui nous permet de comprendre les deux modèles économiques et le prix final pour le consommateur.
https://www.businessinsider.com/how-google-apple-facebook-amazon-microsoft-make-money-chart-2017-5?IR=T
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En consultant les camemberts ci-dessus (Alphabet étant la maison-mère de Google/Android pour information), nous nous apercevons que l’un est vendeur de produits manufacturés divers et variés, comme attendu allais-je dire, et que l’autre est… un marchand de publicités !?
Voilà donc le modèle économique de l’un et de l’autre : il est radicalement différent.
Apple doit sa réussite à la qualité générale de ses produits, que ce soit téléphones, tablettes ou ordinateurs personnels.
Google doit sa réussite à la qualité générale des liens et du clic publicitaires générés et vendus, par le biais de la récolte massive des données personnelles de ses utilisateurs et des internautes via son moteur de recherche, son service de courriel Gmail en lisant vos messages, son traqueur de traffic Adsense… et Android. Google en offrant son OS mobile Android au monde entier s’assure de continuer à massivement récolter les données personnelles de leurs utilisateurs pour faire du profilage publicitaire. Son OS n’est donc pas gratuit, il a un coût caché en monnaie « de vie privée ».
Pour terminer ce billet, Apple collecte-t-il des données des utilisateurs ? Je pense que oui. Est ce que c’est son modèle économique? Non. Sa raison d’exister ? Non plus.
De manière générale, les produits Apple sont plus onéreux et l’entreprise a su créer une image de marque plus élitiste, même si je trouve que cela à tendance à changer. Une fois qu’un terminal Apple est vendu, il est vendu, c’est terminé. Une fois un terminal Samsung ou LG vendu, Google commence à gagner de l’argent et va le faire tant que le terminal tournera avec Android et que ses services seront utilisés (Maps, Gmail…).
Au final, les deux compagnies travaillent dans le même secteur mais pas de la même façon. Une fois que nous le savons, nous pouvons prendre une décision. Et c’est le plus important, savoir avant d’acheter.
– Damien
PS : spéciale dédicace à Draky-avec-des-morceaux-de-Google-dedans pour ce billet, ainsi qu’au « forum des bons pères de famille », ils se reconnaîtront
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Créer un logo facilement avec Logojoy
Lorsque j’ai ouvert ce nouveau blog, je me suis attaché à créer une charte graphique, avec le but de produire quelque chose de cohérent visuellement : je veux un blog lisible, plutôt aéré et je souaite également la présence d’images illustrant mes articles (le plus souvent travaillé sous Canva). Toujours sur le même principe, je voulais créer un logo qui représente ma personnalité et ce que je suis. Vous le trouvez d’ailleurs sur la page d’accueil de ce blog.
J’ai choisi une voie assez simple, celle d’utiliser un site internet capable de m’assister dans mon travail créatif. Je me suis tourné vers le site Logojoy.
En 5 étapes courtes et rapides, le site vous propose une première sélection de logos. Chaque logo peut être édité et il vous est possible de changer les couleurs, les polices de caractères, les symboles, la taille de chaque élément… Les options sont très nombreuses.
Le site propose ensuite 3 formules payantes pour récupérer votre logo. A mon avis, la formule la plus intéressante est la formule intermédiaire qui propose de nombreux formats d’export, des variations de couleurs, un support téléphonique illimité, un livre expliquant les lignes directrices pour travailler sa marque. C’est très complet pour 55 €. Je spécifie ici que ce billet n’est pas sponsorisé par Logojoy.
Pour terminer, vous trouverez ci-dessous des exemples de logos crées par le site, que je n’ai pas spécialement retravaillé. En peu de clics, le travail est assez propre.
A vous de jouer !
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Être accompagnant numérique
Pour les personnes qui baignent au quotidien dans le numérique, que ce soit en codant, en hébergeant des services communautaires comme un pod Diaspora*, en jonglant entre  Windows et Linux ou en utilisant aisément Gimp, Photoshop, LibreOffice, Word ou Firefox, il est facile d’oublier le jour où tout a commencé.
Pour ma part, tout à commencé à l’age de 6 ans quand un Texas Instrument TI-99 a atterri à la maison. Un ordinateur a toujours été à portée de main depuis cette époque. Texas Instruments, Amstrad, Atari, Amiga puis PC pour finir.
Je suis familier des machines et des systèmes d’exploitations. J’ai démonté et monté des tours et des portables, j’ai installé et désinstallé de nombreux logiciels, subi et provoqué des crashs.
Puis arriva internet. Chez des copains ayant leur petite entreprise avec une ligne Numeris 128K au début des années 2000. Je découvrais les joies d’internet : Napster et les parties de jeux en réseau (merci Starcraft et Counter Strike).
Devenir accompagnant numérique pour Emmaüs Connect est un choix important. Celui d’aider le plus grand nombre à maîtriser des outils qui font peur de prime abord, qui nous envahissent et devraient nous faciliter la vie. Maîtriser un outil et ne pas être dominé par l’outil, voilà le but.
Je suis donc au contact d’un public un peu hésitant au départ : cliquer sur l’écran ou sur une icône est un geste quasi sacré qui peut avoir, de leur point de vue, une portée dangereuse, celle de casser quelque chose, de mal faire ou de rater.
A moi de rassurer, de faire preuve de pédagogie. J’ai tellement torturé Windows ou Xubuntu, que j’explique à ce publique néophyte qu’il peut cliquer dans tous les sens, sur à peu près tout à l’écran, le seul risque étant de fermer une fenêtre accidentellement que l’on pourra réouvrir l’instant d’après ou de choisir le mauvais menu sur le site impots.gouv.fr. En fait, il faut se lancer, cliquer, sélectionner, prendre des notes et faire et refaire les gestes afin de les mémoriser. Pas évident de briser certaines peurs ou certaines hésitations mais on avance. La machine ne vous jugera pas 🙂
Certains viennent avec leur propre ordinateur, il faut expliquer l’importance des mises à jour, faire les premières avec le ou la bénéficiaire afin de lui  permettre de reproduire cela plus tard, à la maison tranquillement. On installe les logiciels de base, de quoi aller sur le net avec un bloqueur de publicités ou d’écrire avec une lettre avec le traitement de texte de Libreoffice.
Je suis étonné de voir la vitesse à laquelle les bénéficiaires apprennent, quel soit leur age d’ailleurs. Pas besoin d’être un « digital native » (être né avec internet donne-t-il vraiment un avantage quelconque, j’en doute fort) pour faire et bien faire. Les personnes se présentant aux permanences connectées ont envie d’apprendre. A moi de les accompagner et de les rendre autonome, de les rassurer afin de faire tomber leurs hésitations. Le but : qu’ils poursuivent leurs parcours de « nouveaux nés du numérique » de façon autonome.
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Pourquoi encourager le logiciel libre dans les associations ?
Ce billet est une prise de notes de la conférence de Pierre Yves Gosset, membre de Framasoft, lors des 15ème Journées du Logiciel Libre (Lyon) le samedi 12 avril 2014.
En voici une version améliorée avec ma vision du numérique et mes pratiques associatives des dix dernières années.
Définir le libre : ce sont des valeurs que partagent le monde associatif.
1) utiliser 2) étudier 3) partager 4) modifier
L’image utilisée est celle de la recette de cuisine, que nous utilisons, que nous étudions, que nous pouvons partager et que nous pouvons modifier.
Le monde associatif et le logiciel libre sont habitées par la même vision du monde : celle d’améliorer les choses et de les partager, sans s’approprier une réussite.
Définir le cloud (infonuagique en français)
Le cloud est un mot à la mode et utilisé à toutes les sauces. La définition sera la suivante : utiliser des serveurs distants pour stocker et traiter vos données personnelles et numériques. En plus clair : vous utilisez l’ordinateur de quelqu’un à distance pour stocker vos données et informations.
Utiliser des entreprises comme Google et Facebook pour son association ?
1) il y a un problème du tracking permanent de ce que vous faites sur internet de leur part. 2) on ne change pas de modèle de consommation : tout en haut, quelqu’un décide ce que vous verrez sur votre écran. 3) on sous-traite ses propres données : on devient dépendant de solutions extérieures. 4) on sous-traite sa vie privée : elle est entre les mains d’une société extérieure. Qu’en est-il de la collecte et de l’exploitation de vos données et de celles de vos adhérents ? Personne ne sait.
Et mon association dans tout ça ?
1) vous ne maîtrisez pas ces services « cloud ». Du jour au lendemain, le service que vous utilisez peut devenir payant, le service peut radicalement changer, voir pire, les données peuvent être perdues.
2) vous imposez vos choix à d’autres personnes. Elles devront se connecter à ces services, et peut être même créer un compte à ce service, sans voir le choix.
Les solutions ?
1) pour éviter que les membres de votre association et les visiteurs ne soient traqués en se rendant sur votre site, il faut enlever les publicités : mais quid de cette potentielle rentrée d’argent ?
2) les visiteurs du site doivent passer a une économie de la contribution, pas seulement consommateur, en faisant des dons à votre site.
3) héberger soi-même ses données, cela ne coûte pas nécessairement cher
4) ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier en utilisant un seul et même fournisseur de services pour tout (email, agenda, stockage de fichiers, réseau social, base de données d’adhérents…)
5) s’informer, se former pour comprendre ce qu’on utilise
6) être conscient des traces que nous laissons sur internet selon les services utilisés.
7) utiliser les bons outils, libres de préférence
http://framastart.org
Clibre.eu
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Six conseils pour écrire de John Steinbeck
Lors de la rédaction d’un document, nous pouvons être confrontés au manque d’inspiration, à la peur de la feuille blanche ou l’insatisfaction de ce que l’on est en train de rédiger.
L’écrivain américain John Steinbeck a donné six conseils pour écrire.
Que ce soit pour la rédaction d’un article, d’un roman ou d’un document professionnel, ces conseils peuvent vous aider.
1. Abandonnez l’idée que vous finirez un jour. Perdez le comptage des 400 pages visées et écrivez juste une page par jour, cela aide. Ainsi, quand vous aurez fini, vous serez toujours surpris.
2. Écrivez librement et aussi rapidement que possible et mettez sur les choses papier. Ne corrigez pas ou ne réécrivez pas tant que tout n’est pas jeté sur le papier. Réécrire lors du processus est une excuse pour ne pas avancer. Cela interfère avec le flot et le rythme qui ne peuvent provenir que d’une association inconsciente avec le sujet.
3. Oubliez votre auditoire habituel. En premier lieu, un auditoire sans nom et sans visage va vous effrayer et en second lieu, contrairement au théâtre, cette auditoire n’existe pas. Dans l’écriture, votre auditoire est un lecteur seul. Je trouve que cela peut quelques fois aider de penser à quelqu’un, une personne réelle que vous connaissez ou une personne fictive que vous imaginez, et écrire pour elle.
4. Si une scène ou une section prend le dessus sur vous et que vous pensez qu’il est nécessaire de l’inclure, passez votre chemin et continuer. Quand vous aurez fini d’écrire, vous pourrez revenir sur cette scène et peut être vous rendrez vous compte que le problème vient du fait que cette partie ne devrait pas être là.
5. Attention à la scène qui est chère à vous yeux, plus chère que le reste. Elle paraîtra souvent hors de propos.
6. Si vous utilisez des dialogues, prononcez-les à voix haute quand vous les écrivez. Ainsi ils auront la tonalité de la parole.
Texte original
1. Abandon the idea that you are ever going to finish. Lose track of the 400 pages and write just one page for each day, it helps. Then when it gets finished, you are always surprised.
2. Write freely and as rapidly as possible and throw the whole thing on paper. Never correct or rewrite until the whole thing is down. Rewrite in process is usually found to be an excuse for not going on. It also interferes with flow and rhythm which can only come from a kind of unconscious association with the material.
3. Forget your generalized audience. In the first place, the nameless, faceless audience will scare you to death and in the second place, unlike the theater, it doesn’t exist. In writing, your audience is one single reader. I have found that sometimes it helps to pick out one person — a real person you know, or an imagined person and write to that one.
4. If a scene or a section gets the better of you and you still think you want it — bypass it and go on. When you have finished the whole you can come back to it and then you may find that the reason it gave trouble is because it didn’t belong there.
5. Beware of a scene that becomes too dear to you, dearer than the rest. It will usually be found that it is out of drawing.
6. If you are using dialogue — say it aloud as you write it. Only then will it have the sound of speech.
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