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ephyxkela-blog · 6 years
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ephyxkela-blog · 6 years
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ephyxkela-blog · 6 years
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Marduk - World funeral
Aujourd’hui Marduk est devenu tellement gigantesque dans le black metal qu’on ne prend plus forcément le temps d’écouter leur musique sans être remplis de préjugés et de certitudes. Trop simples, répétitifs, tout se ressemble sur la durée etc.
C’est curieux mais lorsque j’écoute cet album j’ai le sentiment de ressentir exactement ce que décrit le titre ; World funeral. Les funérailles d’un monde, du monde, tout dépend. Autant pour la fin de l’époque avec Légion que plus globalement la fin du monde, la fin d’une guerre ou autre. Une odeur de mort enivrante teinte chaque riffs, peu importe qu’il s’agisse des pistes les plus brutales ou plus lentes.
Cette sensation de fin de cycle avec Légion n’est pas seulement à noter au niveau du charismatique chanteur mais aussi dans la composition. Plague Angel sera un sacré tournant, des ambiances plus marquées, plus malsain, beaucoup diront que Marduk s’est imprégné de Funeral Mist en prenant son chanteur, mouais.
L’album se permet de prendre le temps comme s’il avait conscience de son ultra-brutalité, après les morceaux les plus fous on retrouve une piste plus lente, ça ne casse en rien le rythme, seulement on a le temps d’apprécier l’étendue des dégâts, le carnage sur le champ de bataille.
Ironiquement, il y a un dosage terriblement jouissif dans l’écriture, si la production n’est qu’exagération, les compositions ont juste ce qu’il faut de profondeur, d’ambiance, de lourdeur, de violence. Blessed unholy illustre très bien cette précision.
A mon sens World funeral est peut-être l’album le cinématographique de Marduk, on le traverse tel un grand film de guerre et on peut pratiquement y voir une narration en filigrane. Le final est très imagé, il donne l’impression d’avoir traversé une bataille et d’en ressortir avec le goût amer dans la bouche qu’il n’y a aucun vainqueur.
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ephyxkela-blog · 6 years
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Xasthur - Suicide in dark serenity
Dans le monde joyeux du black metal dépressif Xasthur a été l’un des plus grands espoirs du début des années 2000, et c’est très logique quand on voit à quel point ce one man band a inspiré énormément de ce qui se fait aujourd’hui, avec beaucoup de pâles contrefaçons sans âme qui ne voient pas que Xasthur est bien plus qu’une mauvaise production avec des arpèges et des claviers par dessus.
Il y a une tristesse dans Xasthur derrière chaque note. C’est très compliqué à décrire mais je sais une chose, je n’aimerai pas être dans la tête de Malefic. On ressent sa souffrance à travers tous les instruments si l’on se focalise sur eux un par un.
Ce qui en ressort n’est pas quelque chose de terrible, c’est un tableau composé de personnages tristes, prêts à sauter de la falaise sans remords ni regrets car il n’y a aucun espoir, aucun. La vie leur a été une souffrance tout du long et ça se ressent, aujourd’hui la mort est la seule voie, la seule façon de voir la suite des évènements, aucune chance de pouvoir continuer la vie de cette façon. Tout cela est peint en couleur, mais par dessus cela, un voile gris se pose, le masque de l'amertume est déjà sur toutes ces âmes depuis toujours et aucune de ces couleurs ne peut être vivante. C’est cela, Xasthur.
Cet EP n’est pas le plus intéressant des travaux de Xasthur mais j’y reviens souvent, il est court, homogène dans sa production et les pistes sont toutes très appréciables ce qui n’est pas toujours le cas sur ce qu’il sortira plus tard. C’est une dose de tristesse rassurante et efficace qui me fait toujours revenir.
Et moi qui ai tendance à en avoir assez des introductions ambiant dans le black metal qui souvent ne servent pas à grand chose, celle-ci imprègne l’auditeur de la noirceur nécessaire pour traverser les 27 minutes que constituent Suicide in dark serenity dans les bonnes conditions. C’est une prise de température toute nécessaire.
Il n’y a rien pour décrire véritablement ce genre de musique qui s’écoute moins qu’elle se ressent tant elle n’est qu’expression. Alors je voudrais simplement dire, Malefic est un interprète de ses émotions, beaucoup se plaignent de ses “auto” reprises d’album en album, je ne suis pas d’accord, chacune est différente et possède une âme à part, ma chanson préférée de Xasthur est Dwelling beneath the woods (re-recording 2003) que l’on trouve uniquement en bonus sur Funeral of being en vinyl edition limité. J’entends parfaitement que dans le monde de la musique tel qu’il est, le public attend toujours de la nouveauté, du changement, des nouvelles compositions, des prises de risques tout en étant toujours à la hauteur de sa propre réputation et en restant fidèle à soi-même, ne pas se vendre aux majors etc… Malefic exprime ce qu’il ressent sur l’instant, ces ré-enregistrements sont son interprétation de ses compositions sur son ressenti du moment, à l’auditeur de savoir la replacer dans le contexte dans lequel cette “auto-reprise” se situe plutôt que de la comparer avec d’autres versions.
Suicide in dark serenity est une piste qui se trouve sur A gate through bloodstained mirrors, ok, c’est une piste de 10 minutes sur une démo de plus d’une heure avec une production très différente, la chanson n’a ni le même ressenti, ni le même rôle au seins de l’oeuvre qu’on écoute. Elle est au coeur de l’EP, c’est la première piste que l’on entend avec l’intro instrumentale et elle teinte absolument tout ce qui suit de par sa longueur de 9 minutes qui prend 1 / 3 de l’EP. Le ressenti restant à la fin de l’écoute n’est pas le même et c’est en cela que je n’ai aucun problème avec les ré-interprétations de Xasthur.
Essayez de mettre dans votre lecteur de musique la version d’A gate through bloodstained mirrors au milieu de Suicide in dark serenity pour comprendre ce que je veux dire.
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ephyxkela-blog · 6 years
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Keep of Kalessin - Agnen a journey through the dark
Cet album possède une ambiance poisseuse et malsaine que l’on ressent notamment grâce à la présence excessive des guitares et leurs sonorités très très aiguës avec énormément de distortion, sans pour autant qu’elles noient tous les instruments, bien au contraire. Elle leur laisse la place nécessaire mais elles occupent à outrance la plage des aigues et sont mises en avant au point où l’on est forcément agressé par cette nuée de mélodies et de rythmiques toutes plus folles et rapides qui s’entremêlent pour qu’à aucun moment on ne ressente un quelconque ennui. Mais chacun joue un rôle précis chez Keep of Kalessin, Vyl, leur batteur, a un jeu qui sait se faire toujours violent, avec beaucoup de variations subtiles qui montrent une réelle composition de la batterie et pas simplement un suivi des lignes de guitares, tout semble en parfaite synergie, Warach à la basse dessine des atmosphères toujours très sombres notamment sur les breaks, mais pas uniquement, je pense tout particulièrement à Orb of Man avec sa mélodie possédée et sa ligne de basse toujours là pour encrer cette folie sur terre et nous faire subir le courroux déchaîner qui nous frappe de plein fouet sans laisser aucun répit. Dans ce marasme Ghash le chanteur de l’époque avait le don au contraire de beaucoup de chanteurs de Black metal de ne pas aller chercher un registré trop criard ou trop mise en avant, il a une voix plutôt sombre et caverneuse, il ajoute une touche plus grave à la musique et son chant assez long et lent en fait une menace latente au milieu du chaos, un peu à la manière d’Attila chez Mayhem, qui apparaitra 4 ans plus tard sur Reclaim l’EP suivant Agnen.
Agnen est un déferlement de haine sur 50 minutes sans réelle fausse note, chaque titre est une monstruosité mélodique et rythmique, mettant en avant chacun de ses acteurs à un moment donné, cette mélodie infernale à la basse sur Towards I Roam accompagnée d’un arpège des plus incisifs et qui semble empreint d’un sourire cynique par instants en voyant la basse partir dans ces envolées furieuses que rien n’arrête.
Terminer par un titre sobrement nommé Agnen d’une durée 11:34 la plus longue piste de l’album alors que tous les autres morceaux font environ 5 minutes. Keep of Kalessin est très intéressant également lorsqu’il prend son temps, ce morceau commence rapidement et propose un break qui nous perd dans une noirceur qu’on ne connaissait encore nullement sur Agnen, un simple arpège qui se répète pour ainsi dire mais dont on sent qu’il n’est pas la finalité et que si la menace dort, elle est encore bien présente, car comme tout break, ce n’est pas terminé.  Et la reprise se fait effectivement, la bête hurle pendant de longues, longues minutes, qui ne sont pas des longueurs mais un long châtiment que l’on reçoit car c’est la fin et tout le monde le sait, alors il faut asséner un grand coup, le plus terrible, laisser une marque indélébile et ce long riff final est là pour cela. D’un coup plus rien. Sauf le larsen sur plus d’une minute, seul représentant de ce qu’il reste dorénavant, plus rien de reconnaissable, tout est en ruine.
Ce n’est même pas une guerre qui a été gagnée, d’ailleurs gagner quoi? Ce n’était que le mal, la violence, la haine, la destruction. 50 minutes sans pouvoir reprendre son souffle, à tenter de survivre, puis d’un coup, plus rien, l’esprit se retrouve perdu mais reste sur ses gardes encore, puis se rend que tout est fini, tout a disparu, sauf ce larsen.
Alors avant que tout s’éteigne, contemplons encore un peu les ruines.
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ephyxkela-blog · 6 years
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Anorexia Nervosa - Sodomizing the Archedangel
Nul doute que cet EP n’est pas la meilleure façon de découvrir Anorexia Nervosa, surtout à cause de la production beaucoup moins percutante que sur l’album qui le suit, mais qu’il reste efficace.
Sa durée est une force considérable, 17 minutes de créativité folle. Riffs, breaks, lignes symphoniques, enchaînement endiablé et ce chant, tout est superbement original et même encore aujourd’hui peu de groupes ont réussi à laisser une image aussi forte qu’Anorexia Nervosa dans un black sympho autre que celui d’Emperor/Dimmu/Cradle, surtout pour un black sympho qui garde du black la violence.
Parce que oui, il faut en parler, l’agression chez Anorexia période Sodomizing the archangel et Drundehaus est dingue, merci au Drudenhaus Studio, car je ne crois pas que le résultat aurait été similaire en passant par Abyss studio ou autre grosse production du début des années 2000.
Et puis il faut rendre hommage aux musiciens et aux compositions qui rendent cette violence avec une précision sans failles, seule la production les tiens un peu en retenu, défaut qui sera corrigé sur Drundehaus l’année suivante.
19 ans plus tard, cet EP s’écoute encore si bien. Après 17 minutes il se termine doucement par les râles d’agonie de Hreidmarr et quoi de plus logique finalement, puisque logiquement l’auditeur se trouve dans le même état.
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ephyxkela-blog · 6 years
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Dimmu Borgir - Godless Savage Garden
Cet EP m’a fait aimé Dimmu Borgir. Simple et efficace, les pistes sont excellentes, regroupant 2 chansons enregistrées à l’époque d’Enthroned darkness triumphant et 2 réenregistrées de For all tid pour l’EP puis quelques chansons live et une reprise.
La dynamique entre les 4 premières chansons est très bonne, tout s’enchaine dans deux styles très différents qui tranchent par rapport aux albums de Dimmu nous plongeant d’habitude dans une seule ambiance tout du long.
C’est agréable, surtout que les reprises de For all tid sont adaptées à la production d’Enthroned darkness triumphant forcément et la re-découverte est agréable.
Tout ça dans une ambiance très mélancolique, malsaine et mélodique.
La reprise est hors sujet, elle n’apporte rien et ne correspond pas vraiment à tout ce que l’EP installait jusqu’alors.
Les lives font leur effet et le choix des pistes est parfait. Les quatres premières chansons sont de très bonnes exclus et les lives commencent par Stormblast, qui nous ramène donc le second album au milieu de ce mélange d’atmosphères. Parfaite ouverture pour Master of disharmony et In death’s embrace. Cette puissance live fait une fin d’EP sublime. Ces deux pistes ne donnant qu’une envie : écouter Entrhoned darkness triumphant.
Mais cet EP est un savant mélange entre contenu inédit de qualité, remise en avant d’anciennes pistes sans les trahir, performance live. Il montre le visage de Dimmu Borgir à un moment précis de son histoire et je crois avant tout que je l’aime pour cette raison. J’aime cette démarche artistique qui ne renie rien, propose tout sans mélanger trop. Ce n’est pas une compilation, mais une façon de montrer Dimmu Borgir et son chemin depuis le départ jusqu’en 1998.
Ca ne rivalise pas avec un album, mais cet EP possède une âme.
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ephyxkela-blog · 6 years
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Gorgoroth - Under the sign of hell
Under the sign of hell m’a toujours fait passé par beaucoup trop d’émotions pour être décrit par de simples mots. Cet album renferme beaucoup trop de choses. A chaque nouvelle écoute il se dévoile d’une façon différente mais jamais il ne laisse une faiblesse s’échapper.  J’ai beau connaître chaque notes avec précision, ce qu’il m’inflige me dépasse. Pest qui hurle sa rage, les mélodies malveillantes, le rythme qu’il soit mid-tempo ou cette double qui n’en fini pas de tout écraser sur son passage. Et la lourdeur de la basse dessinant les passages les plus lents et sombres. Rien ni personne ne viendra sauver l’auditeur de cette rage qui lui est insufflée directement par le groupe. Pas de filtre. La production est en parfaite adéquation avec la musique et son propos.  Qu’il soit violent, sombre, torturé, bizarre, possédé il réussi tout. Ce disque a une aura qui rend le tout crédible, sensible et pire, réel. Rien n’empèche la bète de Postludium de débarquer à tout moment pour montrer les dents.  1997. Under the sign of hell. 21 ans après il n’a rien perdu. 
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