Tumgik
hichamkiy · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media
45K notes · View notes
hichamkiy · 2 months
Text
Tumblr media
Capcom on the PlayStation 1 artwork by Sho Sakai from Game Hihyo Magazine #32.
312 notes · View notes
hichamkiy · 2 months
Text
Tumblr media
witch doctor -
Ghost Sweeper Mikami (Natsume - Super Famicom - 1993) 
114 notes · View notes
hichamkiy · 2 months
Text
Tumblr media Tumblr media
87 notes · View notes
hichamkiy · 2 months
Text
Tumblr media
Source: EDEN: It's an Endless World! エデン
by Hiroki Endo
53 notes · View notes
hichamkiy · 2 months
Photo
Tumblr media
Shippo Spin ‘Inuyasha - A Feudal Fairy Tale’ PlayStation
224 notes · View notes
hichamkiy · 2 months
Text
Tumblr media
36K notes · View notes
hichamkiy · 2 months
Text
Tumblr media
85K notes · View notes
hichamkiy · 2 months
Text
i dont think there is a word yet that can describe how absolutely vile israel is. they killed thirsty children by targeting a water tank.
Tumblr media Tumblr media
how inhumane do you have to be to support this, to fund this, to excuse this, to ignore this and pretend as if it isn’t going on?
43K notes · View notes
hichamkiy · 3 months
Text
Tumblr media
Hands up if you're sick of the IDF flying gay flags like they're doing this shit in our name
49K notes · View notes
hichamkiy · 3 years
Photo
Tumblr media
118 notes · View notes
hichamkiy · 4 years
Photo
Tumblr media Tumblr media
107K notes · View notes
hichamkiy · 4 years
Photo
Tumblr media
117 notes · View notes
hichamkiy · 4 years
Photo
Tumblr media
9K notes · View notes
hichamkiy · 4 years
Text
Interview de Miyazaki traduite et publié dans “courrier international” en entier (et gratuit)
ERIKO CHIBA Lors de l'inauguration du musée Ghibli [en 2001], vous aviez déclaré dans une interview : "Maintenant que le musée a ouvert, je ne pourrai pas profiter de mes vieux jours?!" C'est bien le cas, non??
HAYAO MIYAZAKI Oui, mais c'est plutôt parce que j'ai dit vouloir travailler [sur un nouveau film]. Alors que j'avais annoncé mon départ à la retraite à plusieurs reprises.
L'équipe en place à Studio Ghibli n'était pas assez nombreuse pour faire ce film. Il y a plusieurs années [en 2014, après une des multiples annonces de départ à la retraite de Miyazaki], le département de production du studio a été fermé. Nous avons donc décidé de recruter 11 jeunes pour les former, mais il n'a pas été facile de les sélectionner sur plus de 2?000 candidatures?! Vu la manière dont ces jeunes se donnent aujourd'hui à leur travail et les efforts de leurs aînés pour les former, on peut dire que ça a marché.
Depuis que le studio a décidé [en avril 2019] de changer ses conditions de travail, nous sommes tenus de quitter le bureau à 8 heures du soir. Au début, j'ai résisté, mais comme tout le monde suivait la consigne, je me retrouvais seul à fumer et, au bout d'une heure, je n'en pouvais plus. (Rires) Alors moi aussi, j'ai fini par rentrer à 20 heures. Le problème, c'était que j'arrivais toujours assez tard au bureau, si bien que c'était moi qui travaillais le moins dans l'équipe. Comme le studio est fermé le week-end, j'ai donc décidé de travailler le samedi après-midi pour compenser.
Récemment, je suis allé au studio un dimanche car j'étais pris la veille. Les effets se sont fait sentir dès le lundi. Je ne peux plus travailler toute une semaine d'affilée, sans me reposer un seul jour. Avant, travailler le dimanche ne me posait aucun problème, mais ce n'est plus possible. Même sans la réforme, je ne voudrais plus travailler jusqu'à minuit et, dans ces conditions, la production du film n'avancerait pas. En ce sens, la décision de nous faire rentrer à 20 heures n'est pas mauvaise. Au moins, tout le monde part en même temps. Plus personne ne traîne au bureau. L'ambiance est telle que tous les employés partent d'eux-mêmes aux alentours de 20 heures.
D'ailleurs, depuis la mise en place de la réforme, tout le monde a meilleure mine. En ne travaillant pas le week-end, on peut retourner travailler le lundi de bon coeur.
C'est en formant une équipe après une longue pause que vous avez ressenti le changement, non??
Oui. Comme je leur fais confiance, je leur transmets les tâches qui étaient de mon ressort. Et je le fais sans aucune crainte. La façon de dessiner des plis de vêtements, par exemple, est plus moderne que ce que je faisais auparavant. C'est très intéressant, ça apporte du nouveau.
Est-ce un changement d'esprit de votre part qui est à l'origine de cette transmission??
Je suis obligé de partager mes tâches. Je ne le fais pas par envie. Si j'avais laissé tous les documents sur mon bureau, ils n'auraient fait que s'accumuler. Il fallait agir. Et puis ce changement m'a permis de faire des découvertes. Avant de partir pour l'au-delà, je préfère observer diverses choses plutôt que d'en apprendre de nouvelles. (Rires)
D'où vous viennent votre passion et votre motivation??
De ma maladresse. J'ai toujours été maladroit et j'agis sur des coups de tête. Je ne me souviens plus du nombre d'années qu'il m'a fallu pour faire la version manga de Nausicaä de la vallée du vent [série de livres publiés entre 1982 et 1994, traduite en français chez Glénat], mais c'est parce que je suis étourdi. Pendant toute la durée de la production, j'ai été déprimé?; je n'arrêtais pas de soupirer. (Rires) Quand je prends une décision, je suis persuadé de réussir. Mais je me rends compte très vite que je n'avais pas réfléchi aux conséquences.
Votre prochain film a-t-il été lui aussi décidé sur un coup de tête??
Absolument?! (Rires)
D'où vous viennent vos idées?? Comment germent-elles dans votre esprit?? Dans une précédente interview, vous avez déclaré que c'était au collège que vous aviez découvert Kimi-tachi wa dô ikiru ka ["Comment vivez-vous??" inédit en français], le roman de Genzaburo Yoshino, publié en 1937, que vous avez décidé d'adapter.
Quand on me demande quel est l'ouvrage qui m'a le plus marqué dans ma jeunesse, c'est celui qui me revient avec le plus d'éclat. Les livres sont des rencontres prédestinées?; certains continuent à rayonner longtemps après. Quand j'ai lu Kimi-tachi wa dô ikiru ka [l'ouvrage, un grand classique de la littérature japonaise, raconte l'histoire d'un adolescent de quinze ans qui apprend à penser par lui-même, guidé par son oncle], je me suis dit que je ne pourrais jamais vivre comme son protagoniste, mais j'ai été très ému.
L'exposition comporte des croquis du musée. Selon quels concepts avez-vous créé ce lieu??
J'ai voulu adopter une démarche propre au musée : faire des films exclusifs, organiser des expositions sur des thèmes spécifiques. Il fallait abandonner l'idée que, puisqu'on était un studio d'animation, on devait tirer profit de nos personnages. Si le lieu lui-même manquait d'attrait, le musée ne ferait pas long feu. Si on avait exposé des oeuvres d'art classiques, dont la valeur est déjà reconnue, on aurait pu se contenter de faire des expositions. Mais ce n'est pas le cas, car l'animation est une sous-culture. Notre priorité est de faire plaisir aux visiteurs, c'est pourquoi nous avons investi beaucoup d'efforts dans le projet.
Je ne sais pas ce qu'il en est pour le public, mais nous, on en parle comme d'un musée, car, à nos yeux, c'en est un. Ce n'est pas l'Espace Totoro, ni l'Espace Ghibli. Et le programme n'est pas décidé par le Studio Ghibli. Le succès que l'établissement connaît depuis vingt ans est le fruit des efforts de nombreuses équipes. Un nombre considérable de visiteurs en sont devenus fans et reviennent régulièrement, mais il ne faut pas baisser la garde et négliger le service. Si nous ne voulons pas que les clients du café repartent déçus, il faut poursuivre ces efforts.
Dans la présentation des expositions, il est écrit que le musée doit être "un lieu de divertissement".
Je ne pense pas que les visiteurs se rendent dans ce genre d'endroit pour apprendre quelque chose. S'ils ne se divertissent pas, cela n'a aucun intérêt. Il faut qu'ils puissent se changer les idées?; pour moi, c'est la raison d'être du musée.
La position de producteur d'oeuvres d'animation diffère-t-elle de celle d'organisateur d'expositions??
Non. Simplement, pour produire une oeuvre d'animation, il faut énormément de patience. De la patience, de l'endurance et de la persévérance. En comparaison, le cycle du musée est plus court. Il y a des moments où l'on est si épuisé qu'on a la tête qui tourne, mais cela ne dure pas très longtemps.
Parmi les phrases que vous avez écrites à l'occasion de l'inauguration, en 2005, de l'exposition consacrée à Heidi, fille des Alpes [une série d'animation sortie en 1972, très novatrice en son temps, et à laquelle Miyazaki a collaboré], il y en a une qui m'a particulièrement marquée : "L'animation devrait avoir des possibilités plus vastes et plus riches. Si Heidi, fille des Alpes a vu le jour, c'est grâce à l'association d'artistes qui partageaient cette idée."
C'est toujours comme ça. [À l'époque, dans les années 1970, les oeuvres d'animation] étaient vraiment médiocres. C'était n'importe quoi. Même si beaucoup d'oeuvres qui nous inspirent aujourd'hui de la nostalgie sont restées, on trouvait alors que le niveau était assez faible. Tout ce qu'on voulait, c'était produire des oeuvres qui ne déshonorent pas la profession.
Que pensez-vous des possibilités de l'animation aujourd'hui??
Tout dépend des talents qui vont émerger. Est-ce qu'ils vont être mis au service du profit?? Toutes les oeuvres ou presque qui relèvent de cette catégorie sont sans intérêt, mais, dans le lot, il peut y avoir de véritables joyaux. Le fait de pouvoir ou non collaborer à ces chefs-d'oeuvre est une question de chance.
Il y a des artistes doués qui n'ont pas de chance. En collaborant à des projets médiocres, ils finissent par perdre leur talent. S'ils travaillent avec acharnement, en s'y consacrant corps et âme, ils peuvent arriver à quelque chose. Mais il y a des limites...
Dix courts-métrages ont été réalisés spécialement pour le cinéma du musée Ghibli.
Oui, nous lui avons accordé cette exclusivité. Quand on réalise un court-métrage, la question est de savoir quelle histoire raconter. Le livre pour enfants des soeurs Rieko Nakagawa et Yuriko Omura, Iya Iya En ["L'École maternelle : non, non?!" publié en 1962 et resté inédit en français], a été publié à l'époque où j'étais étudiant et il m'a laissé une impression inoubliable. C'est un livre qui traduit magnifiquement les sentiments des enfants. Comme on ne pouvait pas adapter l'oeuvre entière, je me suis inspiré de l'épisode où ils jouent à la chasse à la baleine.
Pour moi, un livre et un film ne doivent pas entrer en concurrence, car je ne veux pas avoir à décider lequel est le meilleur. Les oeuvres tributaires de leurs personnages sont elles aussi risquées, étant donné que ces derniers peuvent être populaires un jour et tomber dans l'oubli le lendemain. C'est pourquoi, quand je réalise un film ou que je crée un personnage, je m'efforce de ne pas altérer la motivation première. Peu importe que l'opération ne soit pas lucrative. L'essentiel est que les gens viennent au musée, qu'ils découvrent qu'on peut aussi y voir des films et qu'ils jugent leur visite plus intéressante que prévu.
Pour le court-métrage Boro la petite chenille, j'ai commencé par utiliser des images de synthèse, mais je me suis aperçu que c'était mieux au crayon, et j'ai fini par devoir tout dessiner à la main. Après avoir esquissé le mouvement, j'ai utilisé le numérique pour animer les images. C'était très intéressant.
J'en suis arrivé à la conclusion qu'il y a des animateurs sympathiques aussi bien chez les partisans du numérique que chez ceux qui dessinent à la main. Le numérique permet de faire des choses dont on était incapables avant. Ou alors il fallait user beaucoup de crayons pour y parvenir. Il n'est pas forcément indispensable de dessiner des lumières transmises intenses. On peut bâtir un monde dans lequel les enfants peuvent s'immerger même si chaque image n'est pas éblouissante.
Depuis que les progrès de la technologie permettent de capturer la lumière créée de manière analogique, nos équipes de tournage peuvent réaliser beaucoup de choses, dès lors qu'elles ont le matériel adéquat. Il n'est pas nécessaire de leur demander de créer telle ou telle lumière, il suffit de leur fournir les équipements.
?Il ne faut pas mettre en opposition le dessin numérique et le dessin à la main. Auparavant, le chef opérateur était aussi photographe, mais désormais ce travail est réalisé numériquement. La frontière entre les deux est floue et elle le restera. L'option numérique ne doit être retenue que quand le dessin à la main n'est pas envisageable.
Dans l'exposition en cours, on peut lire : "Les visiteurs comprendront que la création est un drôle de processus, à la fois douloureux et passionnant, dans lequel on surmonte les problèmes par des tâtonnements, des intuitions et des idées." Cela signifie-t-il a contrario qu'on a aussi tendance à s'ennuyer au travail et à trouver ses créations inutiles??
Je n'y ai jamais réfléchi. Si l'on s'ennuie, c'est que l'on fait un travail ennuyeux. Il suffit donc de créer quelque chose d'intéressant. Mais c'est dur de ne pas pouvoir dessiner comme on le souhaiterait. Et cela peut se traduire de diverses façons : on peut être affligé, dégoûté, énervé, en colère contre soi-même ou contre l'entourage qui se moque de vous. (Rires) Ce sont les aléas du travail.
L'organisation d'un musée est une tâche modeste, mais elle permet d'observer tout ce qui s'y passe. Les variations parfois brutales de fréquentation, la difficulté à recruter de bons éléments, les résultats en dents de scie... Il faut beaucoup de patience et de persévérance pour surmonter l'énervement. Mais tous les efforts sont faits pour permettre au musée de perdurer.
Propos recueillis par Eriko Chiba
11 notes · View notes
hichamkiy · 4 years
Photo
Tumblr media
2K notes · View notes
hichamkiy · 4 years
Photo
Tumblr media
37 notes · View notes