‘Cette dame un jour, très distinguée, qui est venue me voir et qui m'a demandé de lui tatouer une rose entre les deux seins et qui pendant l'opération pleurait. Alors je lui ai demandé bien sur si c’était moi qui lui faisais mal.
Elle m’a dit non le tatouage n’est rien à côté de ce qu’il justifie et de m’expliquer qu’elle avait perdu un petit garçon de quatre ans qui adorait les roses et qui menait d’ordinaire poser sa tête à l’endroit précis où je faisais la rose.
Donc, vous voyez dans l’esprit de cette femme est bien l'idée de mettre une rose à cet endroit la rappelait quelque chose, quelque chose qui était passé, et le tatouage c'est vraisemblablement souvent pour fixer le temps, cette fuite éternelle’.
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'All Is Well, Go Home' (1995)
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Swiss popstar Patrick Juvet x
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« … je dirais au-delà de ces aspects de luttes anti-répression, il y a aussi la question du vécu en positif. C’est à dire, on voudrait arriver à dire et à en faire en sorte qu’un homosexuel/une lesbienne puisse être bien dans sa peau, puisse être épanoui, vivre une relation de couple un peu harmonieuse, de se sentir libre … finalement à construire un peu quelque chose…
… et je crois pouvoir dire que cet aspect-là de la lutte dépasse finalement la seule question des homosexuelles […] les gens 'hétérosexuels' […] ont souvent aussi des problèmes avec leurs sexualités, et même leur homosexualité. On en parle très peu ... c'est vrai que la sexualité, ce sont les alcôves, c’est le toubib, c’est le confessionnel, mais qu’en fait c’est quelque chose de très important évidemment dans la vie des gens…
… nous, on voudrait, dans la lancée du mouvement des femmes […] s’engouffrer dans cette brèche et […] peut être arriver à œuvrer un petit peu à la libération des hétérosexuels. »
Groupe de Libération Homosexuel de Dijon (1977) x
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"Vous avez sûrement croisé au détour d’une rue un de ces personnages bizarres coiffés d'un drôle de casque. Rappelez-vous qu’il ne manquait que les antennes pour évoquer une autre planète. Mais n’y avez pas peur - ils ont simplement un walkman." (1981)
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