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#à la Ligue
nervy-nerva · 5 days
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CAF-C1/Mazembe-Al Ahly : « Le match se jouera chez nous, on va tout faire pour les bousculer et faire notre jeu » (Lamine Ndiaye)
CAF-C1/Mazembe-Al Ahly : « Le match se jouera chez nous, on va tout faire pour les bousculer et faire notre jeu. Nous jouerons sans complexe » (Lamine Ndiaye)
Ce samedi 20 avril 2024, le Tout-Puissant Mazembe de Lubumbashi, qualifié pour le dernier carré cinq ans après, affronte le National Al Ahly d’Égypte en match de demi-finale de la Ligue des champions africaine dans son antre de la commune de Kamalondo de Lubumbashi.Présent à la traditionnelle conférence de presse d’avant match vendredi 19 avril, Lamine Ndiaye, l’entraîneur franco-sénégalais du…
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iweb-rdc001 · 2 months
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CAF-C1 : Le Tout Puissant Mazembe reçoit Pyramids ce samedi à Lubumbashi
Le Tout Puissant Mazembe reçoit, ce samedi 24 février au stade Mazembe de Lubumbashi à 15h, en marge de la cinquième journée de la Ligue des Champions le club égyptien de Pyramids, club de l’international congolais Fiston Kalala Mayele.  Les corbeaux se préparent pour prendre leur revanche après avoir chuté en Egypte 1 but à zéro et montrer une nouvelle version de l’équipe avec beaucoup plus de…
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wojtekxp · 11 months
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bouxmounir · 2 years
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Ironman en moins de 7 heures, pour repousser les limites de l'impossible
Ironman en moins de 7 heures, pour repousser les limites de l’impossible
Ce dimanche à Klettwitz (Allemagne), deux hommes et deux femmes tenteront de pulvériser les records du monde de triathlon longue distance. Un triplé colossal pour une performance historique. 3,8 km de natation, 180 km de vélo et 42 km de course à pied, le tout en moins de 7h pour les hommes, et moins de 8h pour les femmes… C’est la parie qu’ils sont Kristian Blummenfelt (champion du monde longue…
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francepittoresque · 2 months
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27 février 1594 : Henri IV est sacré roi de France à Chartres, Reims étant tenue par la Ligue ➽ http://bit.ly/Sacre-HenriIV Le roi avait résolu de se faire sacrer, mais la ville de Reims était au pouvoir de la Ligue. Son conseil décida que cette cérémonie aurait lieu dans l’église de Chartres, « pour la particulière dévotion que ses ancêtres y avaient toujours portée »
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perduedansmatete · 4 months
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ok journée chez des inconnus riches dans la campagne alsacienne j'ai adoré il est deux heures je suis bourrée depuis treize heures on a rigolé on m'a offert un cadeau alors que j'étais pas prévue et du coup le gars de ma sœur m'avait laissé un cadeau en plus au cas où, je l'aime, mon personnage préféré c'était le mari de sa grand-mère avec qui elle est toujours mariée car ça ne se fait pas de divorcer mais elle a un mec depuis que le gars de ma sœur est né presque et son mari est peut-être plutôt une mari(e) les gens ont pas l'air de vouloir le comprendre je pense mais moi je l'aime il était trop gentil et il nous a raccompagné jusqu'à strasbourg ce soir où on a retrouvé des potes dont romain qui a dit à elyas qu'il était pas dans la même ligue que moi en mode il a pas confiance en lui mais moi je le veux je l'ai fait rire j'ai tenu son bras après demain on fait un père noël pas surprise tous les deux dans un père noël surprise et ce soir aussi on se voit j'ai trop hâte je veux mon bisou c'est tout ce que je veux car j'ai compris qu'il était trop timide mais il est tellement mignon et genre mature je l'aime c'est atroce
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kilfeur · 4 months
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Je trouve qu'il y a un contraste intéressant entre l'institut Myrtille et celui de Raisin/Orange. Celui de Myrtille est plus moderne plus high tech, je veux dire c'est carrément une école sous marine, c'est quand même assez classe. Tandis que notre académie est plus classique et traditionnel. Toutefois il y a une différence que j'apprécie, c'est que lors du combat final face à Menzi et qu'on l'a vaincu. Tout le monde était sans voix avant que Menzi sourit et exclame sa joie de nous avoir affronter. Dans l'institut Myrtille, les combats pokémons sont plus mit en avant même les cours sont plus des travaux pratiques. Mais du coup, il y a plus d'attentes dans un combat pokémon à l'institut qu'à l'académie. Où je veux en venir ? Après la défaite de Kassis, les spectateurs disent 'C'est fini ?" "Il a perdu" ce genre de choses. Les élèves de l'institut Myrtille s'attendait à un beau combat avec le maître de la ligue. Mais au final, ils ont été déçu ! C'est un joli contraste comparé à la réactions des élèves de l'académie Orange/Raisin après la défaite de Menzi.
I think there's an interesting contrast between the Myrtille institute and the Grapes/Orange one. Blueberry's is more modern, more high-tech. I mean, it's like an underwater school, it's really quite cool ! Whereas our academy is more classic and traditional. However, there's one difference I appreciate, and that's that in the final battle against Nemona, when we defeated her everyone was speechless. Before Nemona smiled and exclaimed her joy at having confronted us. At the Blueberry institute, pokémon battles are given greater prominence, even though the classes are more hands-on. As a result, there's more expectations in a pokémon fight at the institute than at the academy. What's my point? After Kieran's defeat, spectators say "Is it over?" "He's lost" and that sort of thing. The students at the Myrtille Institute were expecting a good fight with the champion of the league. But in the end, they were disappointed! It's a nice contrast to the reactions of the Orange/Grapes academy students after Nemona's defeat.
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duxvonzazer · 10 months
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🔴 Berzé-le-Châtel, un castrum du Xème siècle en Bourgogne
Constitué d’un donjon primitif en bois et d’une chapelle carolingienne en pierre, le castrum de Berzé est attesté dans un cartulaire de Cluny datant de l’année 991, en faisant la plus ancienne baronnie du Mâconnais.
Intégré au réseau de défense de l’abbaye de Cluny dès le Xème siècle, le château prend une importance considérable au XIIIème siècle. En 1229, le sire Hugues de Berzé bénéficie d’un prêt de l’abbaye lui permettant de transformer le château en place forte. Berzé devient ainsi en l’espace de quelques années la plus grande forteresse militaire de Bourgogne du Sud, principal château de défense de l’abbaye. Cluny est alors à son apogée et accueille près de mille moines à l’année.
Au cours de la guerre de Cent ans, le château devient un enjeu disputé et convoité entre les Armagnacs et les Bourguignons. Donné aux Bourguignons en 1417, il est pris par les Armagnacs en 1420 lors de leur attaque du Mâconnais. Après quatre ans d’occupation, il est finalement repris par Philippe le Bon grâce à la présence d’un tunnel souterrain reliant le château à une tour de garde située sur une colline voisine. En 1471, il est à nouveau la cible d’une attaque royale, celle de Louis XI, cette fois infructueuse.
Durant la renaissance, le rôle militaire de la forteresse devient plus secondaire, cette dernière se trouvant pourtant au cœur du conflit déchirant alors le royaume : la guerre des ligues. Catholiques et protestants s’affrontent à travers des escarmouches mettant le pays à feu et à sang. Le duc de Nevers à la tête de la ligue catholique porte un assaut considérable en 1591. Forte de 1100 hommes, 100 chevaux et d’une série de canons portatifs, l’armée du duc vient à bout des défenses de la forteresse qui cède après deux mois de siège.
Après l’attaque de la ligue et l’expulsion de ses propriétaires, le château est laissé à l’abandon pendant près de deux siècles. Lieu de pâturage pour le bétail durant la révolution française, il est malgré quelques dégradations relativement épargné par les vagues de destructions révolutionnaires. Déclaré tout comme l’abbaye de Cluny bien national, il entre dans la propriété de l’Etat mais n’est pas réinvesti. Le château subit alors les affres du temps…
En 1817, les descendants des anciens propriétaires rachètent le château, celui-ci redevenant alors un bien privé. Ayant subi de nombreuses dégradations de par son inoccupation prolongée, le château nécessite alors de nombreuses restaurations : charpentes, toitures et planchers doivent être rénovés afin d’assurer la sécurité du lieu. La famille Thy de Milly agrandit peu à peu les fenêtres, rénove le logis seigneurial et entretient les jardins, permettant bien des années plus tard de l’ouvrir au public afin de partager et donner à voir ce monument remarquable du patrimoine.
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saecookie · 1 year
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Darmanin qui menace les financements de la Ligue des Droits de l'Homme... Mon reuf tu crois pas que c'est comme le port-salut à ce niveau-là ???
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aurevoirmonty · 4 months
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Nous sommes dans un pays où il n'est plus possible d'honorer nos morts.
Nous sommes dans un pays, où le simple fait de dénoncer une injustice est passible de prison ferme.
Nous sommes dans un pays, où ceux qui vivent dans les règles sont moins bien traités que ceux qui les enfreignent quotidiennement.
Nous sommes dans un pays, condamnés à devenir des étrangers sur notre propre sol.
Nous sommes la France de Thomas.
JUSTICE POUR THOMAS !
Ligue Ligérienne
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lepartidelamort · 3 months
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« Au début de l’année 1934, éclatait encore une fois un gros scandale financier de la Troisième République, l’escroquerie des Crédits municipaux, ayant, comme par hasard, pour principal auteur un Juif russe naturalisé, Stavisky. La complicité dans cette filouterie d’une justice putréfiée – ses personnages n’ont point changé – de la plupart des politiciens radicaux et maçons, n’avait jamais été plus flagrante. La presse et les organisations de droite s’en emparèrent, firent une campagne énorme. L’opinion suivit. Camille Chautemps, président du Conseil, le plus lourdement compromis parmi les protecteurs avérés du coquin juif, dut se démettre le 27 janvier. Son remplaçant, Daladier, apparut dès ses premiers actes comme le radical réputé "dur", chargé de sauver le parti et ses loges. Les manifestations de rues conduites par les troupes d’Action française se multipliaient et s’amplifiaient de jour en jour au chant du Ça ira.
L’extrême-gauche communiste amorçait une campagne parallèle. Le limogeage du préfet de police Chiappe, d’un arbitraire grossier, acheva de mettre le feu aux poudres. Le 6 février au soir, le rassemblement de plusieurs centaines de milliers de Parisiens, sur la place de la Concorde, prit rapidement l’aspect d’une insurrection populaire, ayant pour but immédiat l’Assemblée du Palais Bourbon. La police, fidèle en majorité au préfet éconduit réagissait mollement. La garde mobile créée par un ministère de droite contre les "rouges", défendait le pont. Le premier barrage fut forcé. La garde tira. Le premier mort tomba vers sept heures et demie. La manifestation, plus ou moins disloquée, devenue sporadique et qui, jusque-là, avait compris de nombreux curieux, se regroupa beaucoup plus serrée, et redoubla de violence à partir de dix heures. Les assauts des Parisiens, les fusillades de la garde se prolongèrent jusqu’à plus de minuit. La journée s’acheva avec le dernier métro…
La vieille République maçonnique demeurait maîtresse du terrain. Daladier, pourtant, était démissionnaire quelques heures plus tard. Paris vécut la journée du 7 pratiquement sans État, sous le contrôle des pelotons de la garde, dont on ne savait plus à qui ils obéissaient. Le soir, enfin, on apprenait l’arrivée au pouvoir d’un "conciliateur", Doumergue, dit par Léon Daudet "Gastounet le Brandadair". La démocratie était définitivement sauvée. Les vingt patriotes militants tombés dans la nuit du Six Février – exceptions les quelques curieux tués en dehors de la bagarre – ont leurs noms inscrits en tête du livre d’or de notre Révolution. (…)
Rien ne fut plus abject que la contre-offensive des Juifs, des Maçons, de la Ligue des Droits de l’Homme, des démocrates-chrétiens, de tous les humanitaires professionnels, tombant en transes pour l’exécution de quelque terroriste chinois, pour une touffe de cheveux arrachée dans le ghetto, et n’ayant que sarcasmes et rictus joviaux devant les morts français, les morts naïfs et purs de la Concorde. Jamais le bourreau ne fut plus cyniquement érigé en victime, et martyr désarmé mué en égorgeur. (…)
Nous avons longtemps traité avec beaucoup trop de pudeur et de réserve l’un des aspects pourtant essentiels de 1934. Nous avons porté rituellement de pieuses gerbes sur les tombes de nos camarades morts. Nous avons qualifié comme il convenait – nul ne l’a fait avec plus de puissance qu’Henri Béraud – les infectes et stupides canailles parlementaires qui les firent massacrer. Nous n’avons pas assez dit que nos morts furent aussi les victimes de leurs chefs. (…)
Le Six Février 1934, les chefs nationaux n’étaient pas sur la Concorde. J’y étais, aux minutes les plus meurtrières. Je ne les y ai pas vus, personne ne les y a vus. Ils étaient donc dans leurs postes de commandement. Ce pouvait être leur place. Je les y ai vus aussi, entre deux fusillades. Ils s’y tournaient les pouces, il s’y faisaient des mots d’esprit, ils se refusaient à croire qu’il y eût tant de morts que ça ! Ils n’avaient pas une consigne à distribuer, pas une idée en tête, pas un but devant eux. Les uns et les autres étaient moralement les obligés de la démocratie. Hors d’elle, ils n’avaient aucune raison d’exister. Sur ses tréteaux, ils assumaient le rôle obligatoire de l’opposant. Sautant sur une occasion assez considérable en effet, mécontents aussi du limogeage d’un policier indulgent à leurs frasques, ils venaient de se livrer au jeu classique de l’émeute, en forme de menace tartarinesque : "Retenez-moi ou je vais faire un malheur."
Mais pour ce petit jeu-là, ils avaient mobilisé des dizaines de milliers de jeunes hommes, de croyants ingénus, d’anciens soldats. Ils les avaient excités, fanatisés, chauffés à blanc. Au moment de l’action, la foule réapprit les gestes du combat et de la barricade, avec des morceaux de plâtre, des poignées de gravier et quelques lames Gillette fichées au bout d’un bâton. Les chefs, qui les avaient jetés poings nus contre les armes automatiques, s’étaient volatilisés, les uns sans doute par calcul (je pense à l’abject La Rocque), les autres saisis peut-être de vagues et tardifs remords, n’ayant plus guère qu’un souci : nier la gravité de l’événement qu’ils avaient criminellement engendré. Cette nuit-là, j’entendis Maurras dans son auto, parmi les rues désertes, déclarer avec une expression de soulagement : "En somme, Paris est très calme !" Oui, mais c’était le calme d’une chambre mortuaire.
La suite de l’histoire ne fut pas moins déshonorante. Les "chefs" de la droite firent un concert de clameurs. Certes, les "fusilleurs" étaient ignobles. Mais que leur reprochaient les "chefs" des ligues ? Ils leur reprochaient d’avoir triché en faisant tirer. Admirable politique de ces vieillards ! Incomparable symbole de cette bourgeoisie dégénérée, qui, pour n’avoir jamais eu la virilité de prendre les armes librement, de mettre sur sa conscience quelques cadavres nécessaires, aura été le complice de ses hallucinantes et imbéciles hécatombes, après desquelles le Six Février n’est même plus un fait divers en deux lignes ! Il eût fallu, en somme, que la République laissât aimablement bafouer et reconduire à coups de canne ses gendarmes, déculotter ses députés, envahir, saccager et brûler son Parlement, le tout représentant du reste, en l’occurrence, le chef d’œuvre de l’acte gratuit. Les ministres du Six Février, inutile de le cacher, avaient le droit de tirer. C’était même un devoir. (…)
Les chefs communistes, autres tireurs de ficelles, mais ceux-là, fort avisés, avaient lancé leurs fidèles sur le pavé pour profiter à toutes fins utiles du hourvari. Mais la majorité de ses fidèles ne s’en doutait pas. Pour la première fois depuis fort longtemps, les étudiants de Paris et les prolétaires rouges, armée traditionnelle de nos révolutions, manifestaient côte à côte contre la même corruption, avec la même sincérité, au même cri : "À bas les voleurs !" Les chefs de droite n’y comprirent rien, ils n’avaient rien prévu, ils ne savaient rien voir. (…)
Le Six Février (...) engendra certainement le Front populaire, favorisa en tout cas singulièrement sa naissance, en faisant figure d’une provocation énorme, passant de loin l’idéal de ce que l’adversaire le plus machiavélique pouvait rêver dans le genre. (…) Le Six Février démontra que l’armée d’une révolution nationaliste existait en France, mais que son erreur principale avait été de ne point faire d’abord sa révolution contre de pseudo-chefs.
Cette armée n’a pas pu s’anéantir en deux lustres. Éparse, elle existe toujours. Mais le "fascisme" français à la mode de 1934 n’était pas viable parce qu’il conservait trop d’attaches avec la vieille bourgeoisie de droite. Cette bourgeoisie accumula, dans ces heures fiévreuses de la dernière insurrection du type romantique, c’est-à-dire anachronique, les preuves définitives de sa caducité, de son aboulie, de son incapacité politique, de sa désunion, de sa légèreté cocardière. »
Lucien Rebatet, Les crimes du 6 février 1934, Je suis partout, 4 février 1944
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nervy-nerva · 18 days
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CAF-C1 : spectaculaire, Mazembe domine Petro Atlético et retrouve le dernier carré 5 ans après 
CAF-C1 : spectaculaire, Mazembe domine Petro Atlético et retrouve le dernier carré 5 ans après
Ce samedi 06 avril, au stade du 11 novembre de Luanda, le TP Mazembe s’est imposé en match retour des quarts de finale de la Ligue des champions africaine face à Petro Atlético d’Angola (1-2). Philippe Kinzumbi et Joël Beya ont été les buteurs qui ont permis aux Corbeaux d’obtenir cette victoire et de rejoindre les demi-finales. Une semaine après s’être tenu en échec à domicile (0-0), c’était…
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vinylespassion · 8 months
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Gaylene LaBore, réceptionniste à la Ligue internationale des laïcs luthériens, 1950s.
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wojtekxp · 1 year
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Let's play League of Legends 2023 gameplay part 2
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Angelica Kauffmann, née le 30 octobre 1741 à Coire 🇨🇭aujourd'hui Ligue de la Maison-Dieu et est décédée le 5 novembre 1807 à Rome
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Autoportrait
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Saint Mary of Egypt
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Augustin de Lespinass
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Christ and the Samaritain
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francepittoresque · 5 months
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29 novembre 1226 : sacre de Louis IX en la cathédrale de Reims ➽ http://bit.ly/Sacre-Saint-Louis Le roi Louis VIII, père de Louis IX, ayant rendu son dernier soupir le 8 novembre précédent, sa veuve, la courageuse et habile Blanche de Castille, prit possession de la régence et dut aussitôt affronter une ligue constituée des principaux vassaux du royaume se formant contre elle, ce qui la détermina à faire sacrer son fils le futur saint Louis le premier dimanche « des Avents »
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