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#égoisme
srodviv · 2 months
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j’aurais aimé être meilleur, être plus présent, contrer le temps et donner davantage, tes lèvres ne quittent pas ma peau et ta voix résonne dans mes oreilles tous les jours, je ne pourrais jamais imaginer une vie sans ta présence, sans ton odeur ou encore le rire de ta voix, j'aurais aimé partager plus, te dire qu'en ce moment je récupère des bouquins merveilleux que je te ferais lire le soir avant de dormir, que j'ai pleuré devant mon dernier épisode de grey's anatomy que je m'autorise entre deux rushs de boulot, peu importe où je regarde, tu es là et tu le seras toujours.
pardonne moi pour les maux, pour les dernières disputes et la sensation que tu devais te battre contre moi, j'ai réouvert moi même la boite de la bête féroce qui me rongeait bien avant, par culpabilité et égoisme, et j'aurais aimé que tu saches que peu importe ce qu'il peut se passer, tu es et tu resteras ma plus belle histoire d'amour, rien n'aura jamais plus la même saveur si tu n'es pas là, you are my beginning, my middle and my end.
i love you, forever and ever
@freeflowingwaterdrop
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oviri7 · 10 months
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« Dans les bois se trouve la jeunesse éternelle. Parmi ces plantations de Dieu règnent la grandeur et le sacré, une fête éternelle est apprêtée, et l'invité ne voit pas comment il pourrait s'en lasser en un millier d'années. Dans les bois, nous revenons à la raison et à la foi. Là, je sens que rien ne peut m'arriver dans la vie, ni dis-grâce, ni calamité (mes yeux m'étant laissés) que la nature ne puisse réparer. Debout sur le sol nu, la tête baignée par l'air joyeux et soulevée dans l'espace infini, tous nos petits égoismes s'évanouissent. Je deviens une pupille transparente; je ne suis rien, je vois tout; les courants de l'Être universel circulent à travers moi; je suis une partie ou une parcelle de Dieu. Le nom de l'ami le plus cher sonne alors comme étranger et fortuit: être frère ou ami, maître ou serviteur apparaît comme un embarras et un détail sans valeur. Je suis l'amant de la beauté immortelle et sans entraves. »
Ralph Waldo Emerson - La Nature
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empessoa · 7 months
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Fernando Pessoa
C'est (sans aucune doute) un neurasthenique vésanique.
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caricatura de Fernando “Pessoas”: POSTED BY LIBERATI AT
C'est (sans aucune doute) un neurasthenique vésanique. La neurasthénie vulgaire, ou les influences qui la produirent tombant sur un fonds de dégénérescence a, pour ainsi dire, bouleversé une organization mentale characteristiquement hysteriforme, pour ne pas dire hysterique. Sur ce diagnostique, je ne me trouve pas en doute. Ce que je voudrais faire, c'est l'histoire de la maladie de P[essoa], ou, pour mieux dire, l’histoire (...) - je voudrais en connaître la psychologie, savoir de quelle manière, par quels conduits la neurasthénie actuelle s'est enracinée dans ce pauvre temperament nativement hyposthénique.
Or pour cette «histoire d'une vie» ou «histoire d'une âme» les donnés me manquent. Je connais, dans les limites du possible, la vie mentale de P[essoa] jusqu'à 1895 (décembre), époque à laquelle il est allé (agé à peine de 7 ans) à D'Urban. Elle n'est pas absolument normale. À cette âge il y a déjá chez l'observé une espèce de neurasthenabilité marquée: à 7 ans - c'est déjá -quoique obscurement - un peridyspéptique, un (...). Plus, à 7 ans P[essoa] montre déjá ce caractère réservé, non-infantile - une pondération (non la pondération du bon-sens tout à fait bourgeois, mais la pondération melancolique et intellectuelle), une seriosité, qui étonnent. Il s'isole déjà; il aime à jouer seul, à lire, à écrire (il l'a appris lui-même). C’est un solitaire - on le voit bien. Et à tout cela il faut joindre beaucoup de rage impulsive et presqu'haineuse (sans provocation pas toujours proportionelle) et beaucoup de peur. On peut résumer le caractère: précocité intellectuelle, imagination prématurément intense, méchanceté, peur, besoin d'isolement. C'est un neuropathe em miniature.
Probablement il aura ainsi continué pour quelque temps. En 1901 (août) il revint de D'Urban. C'est le même caractère, mais moins impulsif: le climat (je conjecture) et la discipline scolaire l'auraient inhibitionnés. À cette époque il présente un caractère pas trop complexe: intelligence vive, imagination grande mais pas necessairement intense; un peu enfantile (...) pas de peur accentuée - c'est à dire, sans claire provocation extérieure il ne la montre pas. C'est encore normal, physiologique. Du reste, timidité, ingénuité, égoisme un peu marqué - mais le tout normal. Ce n'est pas encore l'aube de la puberté. Ayant vécu dans un pays (le Natal) loin de l'influence corruptrice de la civilization, il n'a pas de depucellage mental; à cette époque il garde mentalement (à ce que je crois) une virginité d'imagination parfaite. II n'y a pas, d'ailleurs, moyen sur d'investigation.
II est resté à Lisbonne de Août 1901 jusqu'à Sept[embre] 1902; il faut donc qu'il ait subi tant soit peu l'influence de la sensualité urbaine et immoralement corruptrice.
Mais il m'a été entièrement impossible de trouver un moyen quelconque de découvrir (...)
s.d.
― Pessoa por Conhecer - Textos para um Novo Mapa . Teresa Rita Lopes. Lisboa: Estampa, 1990.  - 24. ― 1ª publ. in Os Dois Exílios - Fernando Pessoa na África do Sul . H. D. Jennings. Porto: Centro de Estudos Pessoanos, 1984.
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jade-curtiss · 8 months
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J'me sens irresponsable à chaque fois que j'me fais du café chez moi. Combien de commerces se sont écroulés sous le poids de min égoisme?
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christophe76460 · 8 months
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Je vous aime de l'amour de Yeshoua le Christ ❤⚘️
Je regarde simplement le monde et les choses qui se passe dans ce monde. Les gens sont fatigués de toutes cette tristesse, cette méchanceté, cette égoisme. Voilà ce que le monde est.
Pour oublier tout cela les humains, s'invente des paradis comme l'alcool, la drogue, le sexe, le pouvoir. Ils font en excès tout sorte de loisirs pour oublier qu'ils sont prisonniers. Ils pensent êtres libre mais ils sont prisonniers.
Ceux qui sont avec Christ connaissent la vérité. Je suis triste pour eux , non pas pour moi. Moi je connais la vérité, je n'appartient plus à ce monde, je suis libre. Il est dit dans la Parole de Yahwhe la Bible:
" LA VÉRITÉ TE RENDRA LIBRE".
Cette parole est vrai. Sans Yeshoua le Christ nous ne pouvons pas vivre sur cette terre. Les gens qui y vivent sans le salut de Yeshoua le Christ, se noyent dans les ténèbres. Ils sont trompés par le mensonge des gens de pouvoir, ils sont esclaves, aux choses de se monde.
J'ai compassion d'eux car je sais que si ils sont entraînés dans cette engrenages de destruction, c'est qu'ils ont véçu des expériences traumatissantes et qu'ils ont cru aux mensonges du diable. Pour oublier leurs souffrances ils se noyent dans toutes sortes de "paradis artificiel" qui les conduits à l'esclavage.
La connaissance de la Vérité vous rendra libre , dit la Parole de Yahwhe. Cherche la Vérité, appropriez-vous de la vrai liberté que Yahwhe vous donne. N'appartenez plus à ce monde. Appartenez au Royaume de Yahwhe qui n'est pas de ce monde .
Le Royaume des cieux est réel , il commence en nous aujourd'hui, et bientôt nous y vivrons uni d'un même amour, où la souffrance et la mort n'existera plus, où toutes larmes seront essuiées. Nous vivrons pour l'Eternité dans le Vrai Paradis qui ne finira jamais.
En Christ pour toujours ❤⚘️
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trottoir-s · 10 months
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L’humain est arrivé sur terre il y a bien longtemps, mais comme les castords, il en est venu à construire son habitat. Celui-ci pour des raisons dont nous me pouvons prétendre définir ici. Toutefois nous ne pouvons que constater que l’humain et sa croissance à fait emerger toute sorte d’outil plus puissant les uns que les autres. Les polders hollandais en sont un exemple parfait.. Ces digues sur des milliers de km, ces terres asséchés et donc ces sols dépollué de toute nature pénétrante.
En tout état de cause, nous ne pouvons que croire que c’est dù à une volonté de voir croitre son pays, sa démographie et son économie qui a poussé la hollande à assécher si brutalement son sol. La submersion et la transgression maritime initiale est morte, l’humain la bloquer et à bloquer tout phénomène de sédimentation. Ce que j’aimerais ici appuyer est quelque chose d’autre que ce que les géologues cherchent à démontrer ou non.
Ce qui m’interesse ici c’est d’articuler l’histoire de la construction avec l’histoire de la démographie pour présenter un présent. Et si, en un trait, nous pouvons ici établir que le monde de la construction infrastructurel à elle aussi atteint son pic? Pourquoi allons nous construire de tel ouvrage aujourd’hui? L’expansions est - elle fini?
Nous pourrions très bien penser que dans un temps prochain, l’agriculture qui va se rétracter à l’echelle locale va forcer la hollande à reprendre du terrain, qui sait. Nous pourrions aussi prendre la voie du catastrophisme mais nous sommes plutôt partisant de la voie de la maintenance: maintenir un tel ouvrage semble déjà un pari osé voir compliqué. 
Bref, ce qui nous intérésse et maintenant d’articuler ce monde de l’infrastructure à celui du monde de la ville et la fiereté que les sociétés portent toujours sur eux: les habits le montre. Plus j’avance dans mes recherches et plus mon appréciation pour la culture devient terne. Je me demande avec quel moyen psychologique je pourrais apprécier la société dans laquelle nous sommes lorsque nous voyons les atrocités que nous faisons sur la terre. C’est par un égoisme sans nom que l’humain c’est construit. Mais aussi des rapports d’échelle absolument dingue. 
Nous sommes très mignon avec nos bikkerstock fraichement acheté en masse cet été mais qui a regardé comment elle était acheminé? Par où sont elles passé? Sont-elles définitivement à porter fiérement?
Ce que je veux dire par la, c’est que porter quelque chose qui supporte les ports,  la déstructuion de pan de vache; autoroute; plateforme logistique; caoutchouc est perçu de mon côté désormais comme presque une acceptation d’user de tel échelle et infrastructure. C’est finalement dire oui. Mais, je dois remettre les choses dans le contexte. Qui sait? Qui c’est fait prendre par le côté locale promeut par le site internet de la marque fraichement dévloppé en masse? 
Ce n’est que mon journal intime ici, et je me permet donc de préciser que plus je cherche et plus je trouve des arguments à trouver la civilisation humaine perdu, naïve, ridicule. Nous entrons également dans une sorte de moment où la société penche pour un côté focul qui se voile la face, où qui fait ce qu’elle peut, mais qui continue son train de vie logique et classique dans les axes. Si des efforts sont fait, rien n’a faire il faut cette paire de tong, c’est un compromis. Mais il est clairement difficile d’accepter qu’une partie très franche des humains ne guelent toujours pas, reste dans leur quotidien. Je veux dire, faut-il continuer à fabuler sur les demeures de ces créateurs? De ces riches et visionnaire ingénieur et industriels? De ces réalisations gigantesques? Faut-il les accepter désormais? 
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C’est aussi de la pitié qui peut apparaitre, au delà du ridicule. C’est commencer à regarder les populations et leur manie avec tristesse. Cette tristesse découle du fait que le support de la civilisation, de la culture, du style devra profondément muter. Il n’y aura plus suffisament de vache et de pétrole pour produire des bikkerstork massivement comme cet été. La mode devra probablement ralentir, se revetir d’autre manière de consommer. 
Mais au delà de la mode, c’est surtout le pouvoir d’extension de la race humaine qui est ici en jeu. Lorsque je passe sur un autre plan, celui des bébé qui émérge dans mon entourage de trentenaire, je me demande bien ce que peuvent penser leur parents. Ma mére elle me dit qu’elle n’aurait pas eut d’enfant si elle était nait à cette époque. La question que je me pose est celle de l’avenir de l’enfant. Dans quel monde incertain celui-ci va grandir? Des guerres? Des sécheresses? Des pénuries d’eau? Aura-t-il suffisament d’argent pour se nourrir? Sera t-il épanouÎ et aura t - il envie à son tour de procréer?
Rien de certain pour toute ces questions. Le petit Maurice de Lucien vivera, si l’éspérance de vie ne décline pas, jusqu’à 2100, quand moi je serais mort en 2070. Lucien et Maurice seront quelque part dans le même bateaux, ce qui est plutôt apaisant. Mais je le repéte est-ce que nous aurions toujours envie de procréer dans 50 ans? Sous quelle forme?
Si la fin de la guerre créer des phénomène d’accroissement naturel, il faut bien comprendre qu’ici il n’est pas question de fin de guerre, la guerre sera interminable. Nous comparons souvent le monde à l’aube d’une troisième guerre mais ce n’est pas ainsi. Ce n’est pas les mêmes dynamiques, il n’y aura jamais de fin ou plutôt de reprise. Il y aura sans doute une stabilisation de la démographie à un moment mais qui sera sans doute en dessous de celle d’aujourd’hui. Un déclin de la population est-il à projeter? C’est une lourde question, dans laquelle je n’ai aucune volonté d’aller dans un sens ou dans l’autre. Mais atteinderons nous un jour un pic du nombre? De quel manière allons nnous pouvoir continuer à habiter la terre à 10 milliard sans plus aucune goutte de pétrole? Pouvons nous croire en une nouvelle énérgie? Et est-ce que cette energie permettra de désaléisé l’eau de la mer pour que toute les populations puivent désormais boire? Quel scénario et quelle trajectoire allons-nous prendre?
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Nous avons tout simplement basculer dans un truc jamais vu. En l’espace de 200 ans tout a chaviré vers d’une société de fer à une société d’acier (et plastique), la population humaine à exploser. Leur vitesse de locomotion c’est vu multiplité par 1000, la durée de vie quintuplé. En clair, en 200 ans nous sommes devenu des surhommes qui a balayer toute histoire de l’humanité. Mais c’est probablement qu’une chimère, c’est qu’un temps dans l’histoire. Enfin, cela dépend de la trajectoire que l’on prendera (pourra prendre), le scénario du bouclier terrestre et du mini soleil sur terre ok, mais peu aussi la décroissance technologique du système et sa surchauffe. Enfaite le monde dans lesquel on vit n’existe que depuis nos grand parents - arrière, mais pas plus. Nos ancêtres n’existent donc pas, nos arbres généalogique ne remontre pas plus loin que ces derniers pour la plupart d’entre nous et il y a sans doute une raison. Comment atterrir? 
Les fluxs ce sont mondialisé, la population démultiplié, et les maisons devenu gratte ciel. Enfaite si je comprend bien le grand problème est d’ordre de la survit de la bouffe, de la santé pour tout ce qui est style consommation de masse ce ne sont que des gadgets. La véritable question est de comment continuer à survivre en masse. Tout le reste doit être évincé. Si nous ne porterons plus de bikkerstock c’est pas très grave, si nous devons porter une couverture pour manger c’est pas très grave; si nous devons arrêter de prendre l’avions c’est pas très grave; si nous ne pourrons plus nous branler sur porno mainstream c’est pas très grave; si nous ne pourrons plus jouer au golf sur un green c’est pas très grave; si nous devons prendre le bus c’est pas très grave; si nous devons retourner à la bibliothèque c’est pas très grave et tout à fait imaginable, sans tomber dans un scénario catastrophique.
Qu’en est-il de la survit dans ce millieu probablement prochainement hostile sans continuer à pertuber le court de l’histoire de la terre?
Sauf erreur de ma part, je crois que les questions d’accessibilité à : 1)nourriture 2)eau sont les seules qu’il est vraiment nécessaire de se poser. Le reste est de la fioriture dans le sens où elles n’ont pas de relation direct à la “mort”.
Mais qui suis je pour penser ainsi? Et si nos grand parents préférent mourrir que de perdre les conditions d’habitabilité dans lesquelles ils sont plongé? Bref, ce que je veux dire c’est que la culture s’adaptera aux réchauffements climatiques, l’inverse en revanche est moins sûre. Il doit y avoir un renversement de paradigme. Nature > culture. Autrement dit, ce que je veux dire, c’est que ce n’est pas paracerque l’humain capitaliste souhaite désormais changer d’habit tout les 6 semaines que l’on doit nier toute les impact que cela pose sur l’environnement dans lesquel H&M vit et qu’on doit accepter (en tant que groupe sociale et non moralisateur).
Je crois tomber dans un écrit moralisateur. Mais c’est plutôt un récit positif et que je projette. Je ne cherche nullement ici à préscrire la solution, je présage un scénario très probble puisqu’il est déjà en cours. La société dite de “suicide” s’habille désormais différement des années 70, enfin pour une partie et c’est bien la démonstration que les questions d’écologie pertube le cycle de la culture. Comme la culture à pertuber fut un temps la nature. Ce sont des va et vient mais nous sommes en train de plus en plus rentrer dans un système humain qui se rabaisse à la nature, et qui voit donc sa culture modifier. L’ésthétique du voyage devient peut chez les éco anxieux devenir compliqué.
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franconero1988 · 1 year
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O.
Tenter de te faire rester aura été si énergivore.
Toi qui a été si importante. Toi dont j'aurais voulu prendre soin chaque seconde. Avec bienveillance, subtilité et surtout respect.
Quand je me souviens du soin avec lequel je sélectionnais nos films du soir. A la fois emprunts de positivisme mais également réflexifs. Sans pour autant être trop inaccessibles ou expérimentaux. En y repensant j'aurais du te servir une abomination telle que Fifty shade of grey ou pire un film contemplatif bien pompeux tout au plus.
Non je t'en veux pas de ne pas avoir eu de sentiments. Bien sur. Cela ne se contrôle pas. C'est une cruelle loterie.
Mais laisse moi te dire que tes intentions douteuses et tes paroles ambiguës ont été pour moi comme des coups de poignard en plein visage.
Dieu seul sait pourquoi tu me parlais en permanence de tes anciens partenaires ou des hommes qui te convoitent. Etais ce un besoin de faire du mal ? Un moyen malsain de contrôler l'autre ? Ou alors du narcissisme forcené ?
Quant à la proposition d'une relation non exclusive à quelqu'un qui veut construire et qui à des sentiments ( en plus du contexte ) .. Je crois qu'on frôle la préméditation de malveillance ?
Romantique ? Sensible ? Empathique ? Tant de qualités dans lesquelles tu te drapais. Il est vrai que que tu en as de nombreuses. Des qualités. Mais tu as le pire défaut du monde .... l'égoisme.
Te voilà maintenant rassurée. Tu peux accéder à une relation constructive lorsque tu le décides. Lorsque tu le désires. Ainsi la pression redescend et tu peux retourner à tes rencontres. Avoir accès à tout ce qui t'a fait envie depuis tant d'années. Qui paye l'addition ?
Ton caprice m'aura beaucoup coûté. J'ai été incapable de mettre les limites.
Tu sais ce que j'aurais du faire ? Fuir.
Fuir lors de notre premier rendez vous au bar le Point Central. Car tu m'avais prévenu. Mais pas comme tu pourrais l'imaginer. Ton récit sur un ton monocorde et sans émotions décrivant la manière dont tu as trahi ta meilleure amie ( deux fois ! ). Cela aurait du me faire me lever de la table et te planter là. Le fait de ne pas comprendre la réaction de ton amie ... La destruction d'une amitié inestimable par égoisme. Il s'agissait de signaux d'alerte au format XXL.
J'aurais aimé ne jamais t'avoir rencontré.
Toi qui aime la poésie, voici quelques citations bien à propos.
" La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité ." Musset. Tu as été brièvement un pétale. Eternellement une épine.
" Dans un coeur troublé par le souvenir, il n'y a pas de place pour l'espérance. " Musset également. Il n'y a aucun espoir pour une nouvelle rencontre dès lors que l'on ne sait comment on réagirait si des partenaires du passé nous recontactés.
" Le juste milieu. Quelque part entre s'en foutre et en crever. Entre s'enfermer à double tour et laisser entrer le monde entier. Ne pas se durcir, mais ne pas se laisser détruire non plus. Très difficile. " Romain Gary
Celle là je me la garde.
A jamais.
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(petite scène de la ville quotidienne, CVII, les retrouvailles)
X hier a croisé Y son ancien ami de jeunesse qu'il n'avait pas vu depuis six ans ; Y a été très froid avec X, très dur aussi ; X croyait qu'avec les années rien ne change et que ce que l’on appelle le temps n'existe pas ; il a donc juste oublié de téléphoner à Y depuis des années, pensant à l’instant qu’il s’agissait de quelques jours, il ne pensait pas alors passer aux yeux de Y pour un monstre d’égoïsme ; il se sentait innocent et pur ne voyant pas tout le mal qui l’avait odieusement engendré  
© Pierre Cressant
(dimanche 13 septembre 2009)
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la-goutte-d-eau · 3 years
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L'égoïsme ne consiste pas à vivre comme on en a envie, mais à demander aux autres de vivre comme on a soi-même envie de vivre.
Oscar Wilde
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kino51 · 4 years
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Nattvardsgästerna   1963
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On est laid à voir en ce moment....
On est laid à voir en ce moment….
Je suis dans ma chambre ( pas vraiment ma chambre dans la photo, c’est une image pour vous mettre dans l’ambiance) et tout ce que je me dis c’est… Vous le savez que c’est de notre faute, right? Ceux qui partent en voyage, ceux qui veulent “avoir le droit de”, ceux qui se sont vu pendant le temps des fêtes sans respecter la base des règles, ceux qui pensent qu’ils sont bin trop en santé pour…
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otoliptique · 6 years
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Jalousie, quand tu ne nous tiens pas.
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   Avez vous déjà été jaloux ? Peut-être, sûrement même. Se sentir submergé par l’envie est normal. L’envie est le fil conducteur de ce sentiment, elle rythme aussi nôtre vie; nous pousse à accomplir de mauvaises, grandes et belles choses; nous motive à agir pour obtenir ce que l’on désir. Cependant, ce n’est pas tant le rôle moteur de l’envie chez l’homme qui m’intéresse aujourd’hui mais plus sa place dans les relations. 
    En discutant de polyamour (à cause du film Douches froides) et du concept même du couple avec ma meilleure amie, je me suis rendue compte que la jalousie au sein de mes relations était quelque peu effacée, très peu présente voir totalement absente. Jamais je n’ai envié la relation qu’un proche avait une autre personne. Le sentiment de mal-être que j’aurais pu ressentir à un tel moment relevait plus d’une certaine insécurité qui me poussait à penser que si une personne s’entendait trop bien avec une autre personne, elle en viendrait forcément à négliger notre relation.  Ainsi, c’est en distinguant ces deux choses que je pris compte d’une chose : la jalousie nous empêche d’exploiter notre potentiel relationnel.
   Tout d’abord, c’est nôtre égoïsme profond qui nourrit la jalousie. Mais qu’est-ce que l’égoïsme ? Selon les dires de mon professeur de philosophie, l’égoïsme serait “le fait d’uniquement vouloir faire avancer son intérêt personnel”. Quand on envie une personne ou sa relation qu’elle a avec un proche, on veut en réalité accaparer l’amour de notre proche, au détriment du sentiment des autres. On tait les sentiments des autres, comme s’ils n’existaient pas eux-mêmes, comme si nous existions seuls êtres sur Terre; des petits bêtes perdues attendant d’être abreuvées de l’amour continu des autres sans penser au reste du monde. Comme si les autres, leur personne et leur amour nous appartenaient. D’une certaine manière, l’insécurité peut nous amener à penser ou vouloir des choses similaires. Les œillères que nous imposent ces sentiments égocentriques nous empêchent de voir la grandeur de l’Homme, sa faculté à ne pas restreindre son amour.
    Pour moi, l’amour est un flux continu, pas une espèce de choses qu’on divise pour le partager entre les différentes personnes autour de nous. On n’aime pas une personne plus ou moins qu’une autre, juste différemment. Et les gens, ces soi-disant dit savant du relationnels, qui cherches à quantifier cet amour sont des idiots, au mieux des poltrons qui choisissent de se cacher derrière des valeurs abstraites plutôt que de se risquer à être submergé par la grandeur des perceptions et sentiments. 
   Aussi puéril que ça puisse paraître, reconnaître que le Monde ne tournait pas autour de moi a été extrêmement difficile mais après avoir accepté la dure réalité, je me suis sentie grandie. En grandissant (plus qu’en vieillissant héhé)  et en murissant, j’apprends à m’aimer et à apprécier le bonheur des autres. Ni le corps, ni la liberté et encore moins l’amour des autres ne m’appartiennent. Ce n’est qu’un monopole imaginaire qu’il est nécessaire d’abandonner. La possessivité ne mène nul part, les possessions ne sont qu’une illusion, vous n’avez qu’à demander à mon grand ami Karl Marx. Sous toutes les formes qu’ils puissent prendre, l’amour que nous portent les autres n’est qu’un cadeau qu’on ne peut pas clamer sien. Les relations des mes proches avec les autres, je m’en fiche du moment qu’elles sont saines et qu’elles les rendent heureux. Encore mieux, je les valorise ! En plus, maintenant que je sais que toutes les relations sont différentes, je sais aussi que les miennes sont spéciales car uniques. J’aime aimer les gens, j’aime que les gens m’aiment et aiment d’autres personnes. La jalousie n’a pas lieu d’être, elle est inutile.
    Au fond, je pense que c’est la capacité de se réjouir du bonheur des autres qui nous permet de vraiment les aimer.
                                                                    Kyoi.
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soulthom · 5 years
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Grand ?
Pour trouver Dieu grand ne faut-il pas d’une part avoir de la chance de naissance ou/et par ses rencontres, entreprises, opportunités (évidemment il faut tenir compte de la relativité de tels critère en fonction des conditions de vie initiales etc.), et pour être ainsi exalté d’autre part, être d’une indifférence extrême aux souffrances des autres (y compris celles dont on peut être soi-même responsable bien sûr) ? Voilà ce qu’il en est de la « foi » et du « cœur » qu’on y associe automatiquement, à mon avis !
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montagnarde1793 · 4 years
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Je ne crains point de dire que presque tous Les habitants de S,,t Domingue ne respirent que contre revolution, et comme ils Se permettent tout en pays Etranger, j’ai èté dans Le Cas de remarquer les plus forcenés. Je vous adresse une Liste de ceux que j’ai remarqué : elle eut été bien plus considérable Si mes grandes occupations depuis dix mois m’eussent permis de Suivre leurs Projets. Il n’y en a pas un de ceux que j’ai compris dans Le Tableau ci-joint qui ne veuille la perte de la République il n’y en a pas un qui n’ait mérité La mort. Si j’osais me permettre quelques reflexions, je ferois connaitre le Danger qu’il y aurait à repeupler Les Colonies des anciens Colons, je mettrais au jour leur égoisme et leur haine pour Leur patrie ; mais j’espere qu’ils Se démarqueront assés et qu’ils mettront La Convention dans le cas de les juger
Extrait de la lettre de Moissonnier, vice-consul français à Baltimore au CSP. En rade d’Hampton, 18 germinal an II (AN AF II 102, pl. 752, p. 39).
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