Petite parenthèse : J'avais écrit ce poème à l'âge de 16 ans à Madagascar... C'était une inspiration qui m'était venue comme ça à l'esprit parce-que j'étais fan de la saga du film "Aliens"... Ce qui est d'ailleurs encore le cas aujourd'hui... Vous pourrez retrouver ce texte ci-après en version manuscrite datant de mes 16 ans... Comme le temps passe vite...
Le 24 Février, on découvrait THE UNKNOWN, un personnage étrange tiré de la Willy's Chocolate Experience de Glasgow, depuis, internet s'est réapproprié ce personnage...
Le diagnostic est tombé pour Vitor : il est atteint de l’errance, le mal du vagabond.
La pousse qu’il a découverte sur son crâne va grandir et il se transformera bientôt en une plante qui s’enracinera dans le jardin de ses parents.
— La marche ! annonce le médecin du village. Ce petit doit marcher pour empêcher la propagation du mal. Il faut l’accompagner jusqu’au sentier de la forêt d’Ulween et le laisser parcourir les dizaines de lieues qui le séparent de la guérison.
Mais la route est longue, peut-être même sans fin, semée de pièges et de rencontres étranges.
Une épreuve cruelle ? Et s’il ne s’agissait pas seulement de cela ?
De révélation en révélation, au fil du sentier, la forêt accouchera de tous ses secrets…
« … marcher, marcher sans se retourner… ne jamais s’éloigner du sentier. Oh, grand Dieu, non, ne jamais s’en éloigner ! »
Je pensais que j’étais la personne la plus étrange au monde, mais ensuite je pensais qu’il y avait tellement de gens dans le monde, il doit y avoir quelqu’un comme moi qui se sent bizarre et imparfait de la même façon que moi. Je l’imaginerais, et imaginerais qu’elle doit être dehors à penser à moi aussi. Eh bien, j’espère que si vous êtes dehors et que vous lisez ceci et que vous savez que, oui,…
Discussion sur la normalité... mais surtout sur l'ouverture de soi au regard le plus profond.
Ayanna : Je n'attends pas les mêmes choses que le commun des mortels des relations humaines. J'analyse les gens... j'essaye de les comprendre au plus profond... je n'attend pas non plus de la vie les mêmes choses que les gens... je ne vise pas le bonheur ou le confort.
En dehors de ça, il y a aussi le fait que je sois en dépression grave et dangereuse depuis des années, mais c'est autre chose...
Elle : Mais ... y'a qui au final, dans cette putain de marge ?
Ayanna : Tout le monde... toutes ces filles qui sortent avec des mecs parce qu'ils répondent à des critères bien précis, parce qu'ils leur ressemblent, parce qu'ils sont "beaux". Toutes ces personnes qui pensent qu'être heureux consiste à trouver un travail, un compagnon avec qui on aura "pas trop de problème", de jolis enfants et une belle maison sans plus jamais essayer de comprendre le monde qui les entour, ou ce qu'ils sont eux-mêmes. Tout ceux qui pensent qu'on apprend qu'en allant en cours, et que l'on a plus rien à apprendre une fois le diplôme atteint. Toutes celles qui pensent que leur physique est important. Tous ceux qui pensent que les amis et les potes, c'est la même chose, que l'amitié, c'est passer de bons moments ensemble et c'est tout... tous ceux qui passent devant un SDF sans même le voir. Tous ceux qui pensent qu'ils ont le droit de ne plus penser. Et que l'avenir est tracé...Tous ces gens sont "normaux" et tristes... ils se cachent derrière la mode, derrière des buzz de l'actualité, pour ne plus exister. Ils critiquent, avec virulence. ils contestent, mais ne créaient rien. Ils ne prennent aucun risque et ne s'ouvrent jamais aux autres... et encore moins à eux-mêmes.
Il faut prendre le temps de voir. Le temps d'observer les gens en ce qu'ils sont réellement. Vas au delà des rapports superficiels que les gens entretiennent les uns avec les autres. Ne te ferme plus aux gens... ne fais plus semblant de t'intéresser à des choses qui ne t'intéressent pas... prends le temps de leur parler réellement, de les écouter, mais aussi de parler de toi. Ne te juge pas, ne les juge pas eux. Ne te contente pas de copinage, de relations superficielles, d'un mec juste parce qu'il a voulu de toi ou que tu le trouve beau. Prends ton temps pour te faire ton entourage. Connais la valeur des gens, la tienne, et celle de tes relations avec eux. Émancipe-toi. Cesse de toujours vouloir te protéger. Le risque est bon, et l'autre te fera vivre. Autant que tu le fera exister.
Et ne t'intéresse qu'aux personnes qui, comme toi, veulent GRANDIR.
Et ne t'intéresse qu'aux personnes qui, comme toi, veulent GRANDIR.
Et ne t'intéresse qu'aux personnes qui, comme toi, veulent GRANDIR.
Et ne t'intéresse qu'aux personnes qui, comme toi, veulent GRANDIR.
Sous des airs de conte apocalyptique, le premier roman de Laura El Makki confronte des villageois à une nuit qui n'en finit pas. Une situation de crise qui révèle les personnalités.
En deux mots
Dans le village, les habitants sont confrontés à un angoissant phénomène. La nuit s’est installée pour durer. Sous la seule lumière de la lune, ils doivent essayer de comprendre et chercher à s’en sortir. Josselin y voit quant à lui l’œuvre d’une sorcière.
Ma note
★★★ (bien aimé)
Ma chronique
« Les choses arrivent. C’est tout. »
Sous des airs de conte apocalyptique, le premier…