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#étymologie
francepittoresque · 4 months
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EXPRESSION | Être tiré à quatre épingles ➽ https://bit.ly/Expression-Tire-Epingles Être très soigné dans sa mise. Cette locution proverbiale a été empruntée à la toilette des femmes dont le fichu est tendu par quatre épingles pour rendre sa position plus régulière
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corneille-moisie · 10 months
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ok je comprends le verbe accuser, genre accuser quelqu'un de quelque chose
je comprends que ça peut vouloir dire genre mettre en évidence
je sais aussi qu'au figuré, ça peut juste vouloir dire indiquer
ce que je comprends pas c'est comment ? genre "accuser le coup" je comprends ce que ça veut dire, mais la phrase veut rien dire, dans ma tête, does not compute.
j'essayais de checker, voir, si, avec l'étymologie, j'finirais par faire le lien, mais encore là, ça me dit juste que ça vient du latin (no shit 😒)
tk, m'a continuer de creuser 🤷🏻‍♀️
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docpresseesj · 1 year
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onychophage (du grec ónux*= ongle et phágos**= mangeur):
qui se ronge les ongles.
*mots en onycho-
**mots en -phage
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musatge · 1 year
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Les noms du thé
Les noms du thé
L’étymologie des différents mots pour le thé reflète l’histoire de la transmission de la culture et du commerce de la consommation de thé de Chine vers les pays du monde entier. Presque tous les mots pour désigner le thé dans le monde se répartissent en trois grands groupes : te, cha et chai , présents en anglais sous le nom de tea, cha ou char, et chai. Le premier des trois à entrer en anglais…
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radioroquette · 2 years
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RR17—2# Les programmes du lundi 17 octobre au jeudi 17 novembre
• Les créations sonores de RR * Gauthier Keyaerts, Vincent Tholomé « Chant 26 * how to ne pas dormir à bali » (4’59) • Les mots ont la parole par Françoise Donadieu * Le mot « essoufflement » (7’28) • La voix du large de Lili Le Gouvello * Caroline Colas, Comment j’ai pu tenir debout ? (19’23) • L’interlude musical et pimenté de Thomas * Guinée, Brésil & Afro-caribéen (10’) • En attendant la plage —écritures contemp. * Pascale Petit, une voix nouvelle à Tournez la Plage (16’03) • Les rencontres de RR * Itinéraire Danse Festival 4ème édition, Au son de CUBA (27’06) • Le billet cinéma de Benoît Muller * Journal cinéphile de septembre (28’10) • La ville sans salades ni ambages de Sébastien Madau * Faites vos jeux (4’) • Les rencontres de RR * Le Cri du Court, un festival qui prend ses marques (32’23) • L’interlude musical et pimenté de Thomas * Spécial Jamaïque (10’) • Quartiers de culture —Théâtre contemporain * « Condor » de Frédéric Vossier (42’36)
Les interludes : Sekouba Bambino « It’s a man's man's man's world » (Guinée) * Ginga « Falador passa Mal » (Brésil) * The Bongo Hop « La Napa » (France) / (Afro-caribéen) ¬ Spécial Jamaïque : King Tubby « Take Five » * Gregory Issacs « Mr. Cop » * Maxi Priest « Wild World »
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kin-olgum · 2 years
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Ce mot vient d’un verbe latin « fallere », donnant « falsus » qui nous rappelle “false” et sa traduction française “faux” et qui signifie “tromper” mais surtout “échapper à”. 🏃‍♀️ 💨 Ainsi, à l’origine, cette notion de « tromper » se raccroche à l’idée que, ce que l’on trompe, c’est son poursuivant, et que c’est dans le but de sauver sa peau! 🐒Il n’y a donc pas de notion de mauvaise intention dans “défaut”. Car il s’agit de s’enfuir et de survivre. 😬 Et cette étymologie nous rappelle que c’est exactement ce à quoi nous servent nos défauts. ⚔️ Ce sont des mécanismes de défense que nous mettons en place, faute de mieux, lorsque nous nous trouvons désarmés face à une situation que notre cerveau a identifié comme menaçante. 😱 . Je suis jalouse parce que j’ai peur que l’on me vole ce qui est à moi et qui me permet donc de prévoir une famine ou l’hiver qui vient. 😒 Je suis cupide parce que je suis ramenée à cette peur ancestrale de manquer (de nourriture). 🤑 . Comment s’en défaire alors? . Il ne s’agit aucunement de supprimer ces moyens de fuite en vue de la survie. Car ils sont là, on ne pourra jamais les empêcher de surgir dans nos idées. Il s’agit plutôt d’être honnête avec soi même et avoir l’humilité de reconnaître qu’ils sont là et font parti de de nous, qui ne sommes que des humains, espèce animale parmi d’autres. Et il s’agit ensuite de les détourner à notre avantage, car nous n’avons plus besoin de cette fuite, nous ne vivons plus dans un monde de prédateurs dont nous sommes les proies. Mon envie peut donc être tournée en admiration et s’en suivra donc naturellement l’ambition qui me poussera à mettre en place des actions pour grandir dans la société. Ma cupidité peut être limitée et me permettre simplement de devenir une bonne gestionnaire et d’investir au mieux. Vous aussi, trouvez les qualités que deviendront vos défauts et, allez, on est entre nous, dites moi en commentaire vos plus inavouables défauts! 😈 #defaut #étymologie #etymologie #fuite #survie #fightorflight #proie #humain #gentle #langue #languefrancaise #begentlewithyourself #grandir #sameliorer #latin #origine #racine #dictionnaire #mots #jaimelesmots #lisezdeslivres #brainissexy https://www.instagram.com/p/CiMzcA4rJ2r/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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Deux réflexions de Georges Canguilhem sur la santé
«Les normes de vie pathologiques sont celles qui obligent désormais l’organisme à vivre dans un milieu "rétréci”, différent qualitativement, dans sa structure, du milieu antérieur de vie, et dans ce milieu rétréci exclusivement, par l’impossibilité où l’organisme se trouve d’affronter les exigences de nouveaux milieux, sous forme de réactions ou d’entreprises dictées par des situations nouvelles. Or, vivre pour l’animal déjà, et à plus forte raison pour l’homme, ce n’est pas seulement végéter et se conserver, c’est affronter des risques et en triompher. La santé est précisément, et principalement chez l’homme, une certaine latitude, un certain jeu des normes de la vie et du comportement. Ce qui la caractérise c’est la capacité de tolérer des variations des normes
auxquelles seule la stabilité, apparemment garantie et en fait toujours nécessairement précaire, des situations et du milieu confère une valeur trompeuse de normal définitif. L’homme n’est vraiment sain que lorsqu’il est capable de plusieurs normes, lorsqu’il est plus que normal. La mesure de la santé c’est une certaine capacité de surmonter des crises organiques pour instaurer un nouvel ordre physiologique, différent de l’ancien. Sans intention de plaisanterie, la santé c’est le luxe de pouvoir tomber malade et de s’en relever. Toute maladie est au contraire la réduction du pouvoir d’en surmonter d’autres. […] Il ne peut rien manquer à un vivant, si l’on veut bien admettre qu’il y a mille et une façons de vivre.» (Georges Canguilhem, La Connaissance de la vie, 1952)
«À partir du moment où "santé" a été dit de l’homme en tant que participant d’une communauté sociale ou professionnelle, son sens existentiel a été occulté par les exigences d’une comptabilité […]
L’élargissement historique de l’espace où s’exerce le contrôle administratif de la santé des individus a abouti, dans le présent, à une Organisation mondiale de la santé qui ne pouvait pas délimiter son domaine d’intervention sans publier, elle-même, sa propre définition de la santé. La voici: “La santé est un état de complet bien-être physique, moral et social, ne consistant pas
seulement en l’absence d’infirmité ou de maladie.” […] Ce discours est celui de l’Hygiène, discipline médicale traditionnelle, désormais récupérée et travestie par une ambition socio-politico-médicale de règlement de la vie des individus […] L’hygiéniste s’applique à régir une population. Il n’a pas affaire à des individus. Santé publique est une appellation contestable.
Salubrité conviendrait mieux. Ce qui est public, publié, c’est très souvent la maladie. Le malade appelle à l’aide, attire l’attention ; il est dépendant. L’homme sain qui s’adapte silencieusement à ses tâches, qui vit sa vérité d’existence dans la liberté relative de ses choix, est présent dans la société qui l’ignore. La santé n’est pas seulement la vie dans le silence des organes, c’est aussi la vie dans la discrétion des rapports sociaux.» (Georges Canguilhem, La Santé. Concept vulgaire et question philosophique, conférence donnée à Strasbourg en 1988)
Il est clair qu’aucun des télétoubibs, membres du Conseil pseudo-scientifique, journalistes ou politiques covidiotistes n’a jamais lu une ligne du plus grand philosophe français de la médecine…
Les champs sémantiques recouverts par les termes de "santé" et de "numérique" sont originellement disjoints et n’ont radicalement rien à faire ensemble, sauf à vouloir induire un forçage idéologique voué à la catastrophe humaine et sociale.
Le corps, c’est la part de "nature" qui entre dans la constitution du sujet.
Plus la "nature" (même étymologie que naissance) tarde à se venger des offenses commises contre elle, plus sa vengeance est cruelle…
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mmepastel · 4 months
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In extremis avant la fin de l’année, j’ai un de mes plus gros coups de cœur de lecture de 2023 avec -encore- Audur Ava Ólafsdóttir et son Éden !
Il s’agit de cultiver son jardin… comme Voltaire le préconisait il y a longtemps, phrase qu’elle paraphrase et prête à d’autres écrivains dans le roman… (ou bien ces autres citations existent vraiment et je ne les connaissais pas ? Hypothèse plus crédible)
Plus libre que jamais, l’autrice nous emmène dans un genre de fable enchantée. Elle a l’air de se promener avec son héroïne placide (tout le monde lui parle mais elle répond très peu, ce qui est déconcertant, comique et assez puissant à l’arrivée, j’ai trouvé), de passer du coq-à-l’âne, de digresser, mais un vrai itinéraire se trace, mine de rien.
Alba, l’héroïne assez taiseuse et pourtant amoureuse des mots (elle est linguiste et attache un intérêt infini à ceux-ci, leur étymologie, leur évolution, leur déclinaison, leurs échos…), évolue grandement du début à la fin du récit. Le langage et ses racines, les arbres et les leurs… drôle d’écho et de paradoxe. Au début du récit, Alba parcours le monde en avion pour participer à des colloques sur les langues menacées d’extinction. Mais dans ce monde, très moderne, le dérèglement climatique s’impose à elle. L’Islande a trop de vent pour posséder beaucoup d’arbres, et ceux qui ont peu de racines sont vite menacés. Et pour sauver des langues, elle alourdit son empreinte carbone ! Elle procède à un calcul et réalise qu’il lui faut planter 5600 arbres pour compenser ce qu’elle inflige à la planète. Elle aime toujours les mots, mais elle semble aimer de façon croissante le silence. Hop, changement de vie, face à son père perplexe et à sa sœur bavarde et assommante de questions. Elle garde le cap. Fait fi de rumeurs concernant une liaison tapageuse. Se tait, agit.
Avec beaucoup d’humour, de poésie et une forme d’optimisme résolu (bienvenu en ces temps catastrophistes anxiogènes), on assiste à sa mutation. Elle devient semeuse ; semeuse de mots : dans son nouveau hameau où elle a acheté une petite maison (plus petite que son appartement de la capitale !), elle dépose ses livres de linguistique à l’épicerie solidaire. Contre toute attente, ses livres séduisent et circulent ; tous ces gens prétendument peu cultivés se passionnent pour les mots et en redemandent). Elle sème aussi dans son jardin, ou plutôt elle plante bouleaux et mélèzes, un érable symboliquement important, répare une serre pour d’autres cultures, construit lentement mais sûrement un mur de pierres pour protéger ses plants du vent. Elle sème la langue islandaise au hameau qui a accueilli des migrants, et se prend d’affection pour un jeune homme qu’elle va prendre sous son aile. Par ces petits gestes, elle réenchante sa vie et celle de ceux qui l’entourent sans perdre de son œil acéré. Elle se réinvente et donne au lecteur une immense bouffée d’air frais, extrêmement appréciable, revigorante. Elle se place au centre de son existence comme si elle arrangeait son environnement autour d’elle. Pas pour être importante, mais pour être au cœur de quelque chose de vivant, en faire partie, être à l’intérieur d’un tout.
Cette lecture fait du bien, à partager sans modération, on est loin de risquer l’overdose d’optimisme en ce moment, ce serait bête de se priver.
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ce-sac-contient · 1 year
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Alex Soth - Ute’s Books, Odessa, 2018
Archival pigment print (127 x 102 cm)
Weinstein Hammons Gallery, Minneapolis
❝ Les mots — je l'imagine souvent — sont de petites maisons, avec cave et grenier. Le sens commun séjourne au rez-de chaussée, toujours prêt au « commerce extérieur », de plain-pied avec autrui, ce passant qui n'est jamais un rêveur. Monter l'escalier dans la maison du mot c'est, de degré en degré, abstraire. Descendre à la cave, c'est rêver, c'est se perdre dans les lointains couloirs d'une étymologie incertaine, c'est chercher dans les mots des trésors introuvables. Monter et descendre, dans les mots mêmes, c'est la vie du poète. ❞
— Gaston Bachelard, La Poétique de l'espace (1957)
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francepittoresque · 5 months
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EXPRESSION | Avoir maille à partir avec quelqu'un ➽ https://bit.ly/Expression-Maille-Partir C’est avoir un débat ou même seulement une discussion avec une personne ; c’est même quelquefois se quereller pour une bagatelle
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aurevoirmonty · 2 months
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« La radicalité remonte les fleuves, là où l’extrémisme se laisse porter par les courants tempétueux. Le prêt-à-penser médiatique est confusionniste, mélangeant les deux termes, alors que tout les sépare. L’un cherche à agir en profondeur, comme en atteste son étymologie – du latin radicalis, dérivé de radix, la “racine” (et non pas la race), qui va à la racine des choses et à la longue mémoire. L’autre s’en tient à la surface. Radical est actif, proactif, agissant ; l’extrémiste n’est même pas réactif, il est surréactif. L’extrémisme est un piège sémantique dans lequel notre adversaire cherche à nous enfermer en nous déclarant d’emblée infréquentables. Longue cuillère ou pas, on ne dîne pas avec le diable. »
François Bousquet, interviewé dans Breizh Info le 16 décembre dernier.
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graphorismes · 1 year
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— Je vous lis régulièrement, et je m’interroge sur ce que vous appelez «idéologie» ou «discours dominant», pouvez-vous me donner un exemple concret comme quoi, selon vous, moi (je veux dire la plupart d’entre nous...) je serais «pris dans un discours» pour reprendre votre formule...
— Rien de plus simple. Mais tout d’abord laissez-moi vous préciser que la formule n’est pas de moi mais de Lacan. C’est lui qui a inventé ce qu’on appelle la «théorie des discours»... Mais ne nous égarons pas. Un exemple simple: le mot «partage». C’est incroyable ce qu’un mot comme ça en arrive à signifier dans le discours dominant. Il en perd sa propre étymologie, jusqu’à son histoire et son sens. «Partager», sur les réseaux dits sociaux, cela signifie appuyer sur un bouton électronique pour relayer un lien hypertexte. Ça ne coûte rien! Peut-il y avoir partage s’il n’y a pas de perte? Si ça ne coûte pas? Partager (je vous laisse le soin de vérifier l’histoire de ce mot, son origine...) c’est tout le contraire de ça. Partager ce n’est pas jeter un os à un chien, partager c’est lorsqu’on n’a qu’une pomme de terre pour repas, on en donne la moitié à un autre. C’est ça le partage. Je pourrais aussi vous parler de république, qui étymologiquement, res publica, veut dire «la chose publique»...
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docpresseesj · 1 year
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myrmécologue (du grec ancien múrmêx= fourmi): spécialiste des fourmis.
myrmécophage: qui se nourrit de fourmis
myrmécophile: qui vit avec les fourmis
myrmécophobe: qui a une peur irraisonnée des fourmis.
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❓❓Et vous, Connaissez-vous L'AOP Cabardès❓❓ 🇬🇧🇮🇹In comment🇬🇧🇮🇹. ☑️🗣️Description @brauwine dans le premier post juste en dessous de ma dégustation🗣️✅. 🍇🍷Cuvée Étymologie rouge 2020 de @brauwine 🍇🍷: 🍇 : Syrah Grenache Merlot  Cabernet Sauvignon 💰: Non communiqué par le Domaine. 🏺: Élevage de 18 mois en barrique 👁️ : Robe de couleur grenat soutenu 👃 : Un nez sur des notes de fruits noir (cassis, mûre, prune) 💋 : En bouche on a un vin puissant, charpenté, charnu avec des tanins assoupli par l'élevage en barrique. Sur des arômes de groseille, mûre sauvage. Un vin très aromatique. Une bonne longueur en bouche avec une finale sur le cuir, les épices et le sous-bois. 📜En résumé📜 : Une belle cuvée de Cabardès rouge que j'ai beaucoup appréciée. J'espère que vous prendrez autant de plaisir que moi à le déguster. Je vous invite à découvrir ce domaine. Pour ma part j'ai eu l'occasion de vous présenter 2 de leurs cuvées. Et ça me donne vraiment envie de découvrir les autres. 🧆Dégusté sur un magret de canard 🧆. 🙋‍♂️Un grand merci au @brauwine pour l'envoi de cette bouteille, dans les prochains jours  je vous présenterai d'autres vins de domaines différents. Restez connecté pour en savoir plus🙋‍♂️. 🗣️N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver un vigneron. Allez voir le site internet du @brauwine et @krosno_france pour voir toutes les cuvées et promotions du moment 🗣️.  ⚠️ 15% de réduction Avec le code UGO15 sur krosno-france.com (verres, carafes, arts de la table) ⚠️  🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞 #lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #food #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #bar #wein #italie #foodie #wineporn #restaurant (à BRAU WINE) https://www.instagram.com/p/ClbnPnBN6pA/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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anotherblogfromme · 6 months
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êtes-vous paraskevidékatriaphobe ?
paraskevidékatriaphobie : son étymologie grecque: paraskevi signifie vendredi, decatreis :treize et phobos : peur
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needtowriteaf · 5 months
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Enchantée, moi, c’est Mélissa. Du grec « melitta » signifiant « abeille » et du latin « meli » qui se traduit par « miel ».
Si l’on en croit la mythologie, j’ai nourri Zeus, petit, pour l’élever au rang de roi des Dieu.
Rien que ça.
Étymologie sucrée.
J’ai 24 ans et je suis une fille des îles. Cela se devine, au sous-ton chaud de ma peau claire. Subtil mélange, pure produit de l’océan Indien.
Vous ne verrez que très rarement le marron de mes pupilles, dissimulés sous mes lunettes. Une vitre teinte, bloquant les portes de mon âme, peut-être ?
J’arbore avec fierté, mon intense chevelure noire. Mes boucles volumineuses, couronnent avec audace, mon élancée silhouette. Elles encerclent mon visage et viennent gêner régulièrement ceux que j’embrasse.
D’une nonchalance insolente, sociable, mais solitaire. Pas très solaire. Presque l’air froide et arrogante. Pudique. Je dissimule mes sentiments. Revendique l’indépendance. Sale caractère, bonne qu’à l’autosuffisance.
Et pourtant..
Douce comme le miel, je rêve d’un amour transcendant. D’un homme capable, de faire chavirer les barrières. Le plus désarmant des amants.
Je cherche quelqu’un de courageux, qui ne craint pas, de briser le plafond d’verre, qui recouvre mes prunelles,
À l’intérieur, y’a tant à voir.. Qu’il en tomberait amoureux. Ardemment, je brûle chaque jour de l’impatience, de croiser ce soupirant.. celui là même, qui devinera,
Au-delà du corporel, Il m’avouera combien il m’aime. Par son regard impérieux, en saisissant la profondeur, de c’que ne peuvent voir les yeux.
Tard le soir, sans le sommeil, je vibre de l’utopie, d’une idylle accidentelle.. Une histoire vraie, atemporelle. De celles que l’on attend plus. Un amour en camaïeux. Un imprévu.
Puis ensemble, réinventer la prophétie. Écrire un nouvel oracle ? Fuck une putain d’tragédie, seulement moi auprès de lui.. Du drame à la comédie
Personnifiant le miracle.
Théâtralisant la vie ✨
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