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#(mieux vaut tard que jamais)
la-perfide-albion · 1 year
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thehermitsacedia · 2 years
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Sleep, my Flameless Shadow Let me cool the lingering fires of old And carry only ashes in my soul.
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Left handed
Sirius and Regulus were both left-handed. This was seen as low class in the Black family so they both were forced taught to write with their right hand. Sirius being Sirius never really cared and wrote with his left hand because "I shall write how it is comfortable mother, and my comfort lies in writing with my left hand so.......fuck you <3". But Regulus, oh poor Regulus tried to write so neatly with his right hand to make his mom proud that he would take double the time to write down notes.
That was until he learnt it didn't matter.
On a normal Tuesday morning in his 6th year at Hogwarts Sirius black was feeling an emotion he hadn't felt since the last time he saw Moony in a suit......dumbstruck. He had stopped in his tracks, successfully causing Peter, walking behind him, to fall down.
James frantically tried to look at the subject that had caused Sirius Black to finally and uncharacteristically shut up about how amazing eyeliner was.
"Padfoot you okay?"
"He's writing with his left hand."
"What?"
"I- James, he's writing with his left hand". Offering no more of an explanation the oldest Black brother walked to the Slytherin table as if in a trance. With the determination he was walking with it would take an act of god to stop him. He reached and very deliberately did not look at anyone but his younger brother, writing his potions homework, with his left hand.
"You aren't supposed to stir that 7 times clockwise, it's 3 times clockwise and 4 times anti-clockwise. It makes the midnight blue shade appear quicker."
Regulus looked up to judge whoever had dared try and correct him when he looked up and realised.....oh. Okay.
"Hello to you too dear brother", he said with a raised eyebrow and nothing more.
"You're writing with your left hand'
"So I am."
"It would piss her off if she knew"
"So it would."
A quick flash in Sirius' face reminded Regulus of the look he gave him when Regulus stole cookies for both of them with the help of Kreacher, pure unrestrained pride.
"Well mieux vaut tard que jamais" Sirius said and quickly walked away
And that one proverb told Regulus that he was forgiven, that Sirius understood and most importantly, that he had his brother back.
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monoclegraphic · 1 month
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Je suis sur que je suis mille ans en retard, mais comme on dit vaut mieux tard que jamais 😂 Je viens de découvrir qu'on pouvait grossir la police dans le panneau d'affichage de forumactif ! OH MY GOD mes yeux remercient ce petit ajout 😭
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homomenhommes · 3 months
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saga : SOUMISSION / DOMINATION 91
Gang Bang de Jean
Les semaines se suivent et se ressemblent, coté Taf, pas mal de travail en prévision du printemps, coté sexe, les mercredi avec Jean, les jeudi après midi avec Emma et les fins de semaine avec les amis. Le petit Pierre n'a jamais eu d'aussi bonnes notes que depuis qu'il a emménagé avec Olivier. Il faut dire que ce dernier le tient au chantage. Mauvaise note = pas de sexe !! mais du coup nous le voyons beaucoup moins qu'avant ! J'ai calmé le jeu sur les gang bang avec Jean, premièrement je n'ai plus un besoin aussi urgent d'argent puisque j'ai une voiture et deuxièmement ça me prend pas mal de temps à organiser. Il n'empêche que les amateurs attendent chaque avec impatience.
Fin janvier, un vendredi soir, devant l'insistance de certains (c'est sur qu'avec la taille de leurs bites, il ne baisent pas tous les jours, à la maison maman dit pas toujours oui !) et leurs propositions financières (rien ne vaut un ralentissement de l'offre pour faire monter les prix), j'en ai organisé un avec Jean.
Si Ric leur avait plu la première fois, là, le fait que Jean soit un petit format longiligne et pâle, tranchait encore plus avec la bande de mâles blacks, un peu fort pour certains qui se pressait autour de lui. L'effet de leurs grosses bites noires défonçant le petit cul blanc était encore plus impressionnant que dans celui beaucoup plus musclé de Ric.
Jean s'est parfaitement comporté. En bonne salope, il s'est défoncé la gorge à avaler le plus profondément possible les queues hors normes qui le cernaient . Malgré toute sa bonne volonté, certain n'ont pu en rentrer plus de la moitié !
Ils ont joué avec son corps, l'enculant tous au moins deux fois chacun. Je veillais à ce que chaque sodo soit bien faite avec préservatif (j'y tiens à mon petit Jean !) et que le gel soit utilisé avec abondance.
Quand deux des mieux montés ont voulu lui faire subir une double sodo, je suis intervenu pour refuser. Déjà, ce genre de plan demande plus de temps que ses mercredi habituels pour s'en remettre, et surtout, je tiens à ce que son anus soit encore élastique, ce dont je ne suis pas sûr si deux bites de plus de 26cm x 8 le défonce !!
Vers minuit, (le gang bang a duré 3 heures environ) j'ai appelé à la maison pour faire venir Samir et Ammed pour tout ranger. Pendant que je m'occupais de Jean (douchage, massage de l'anus, séchages et mise en place du plug pour qu'il fasse dessus ses contractions anales destinées à lui refermer le cul), mes deux beurs ont remis le gîte comme neuf. Meubles remis en place, sol débarrassé du sperme (et il y en avait une bonne quantité par terre) à grand coup de lavette, cuisine rangée et poubelles fermées, nous sommes retournés à la maison où Marc nous attendait.
Une bonne nuit de sommeil. Je me levais tard, seul dans notre grand lit. Douche vite fait et je descends à la cuisine. Je m'aperçois que je suis le dernier levé. Marc prend son bol de café debout pendant que Jean agenouillé entre ses pieds lui bouffe la tige. Je l'ai vraiment bien dressé ce petit ! Un véritable accro à la bite. Je me colle à Marc pour lui faire un bisou avec la langue et aussitôt je sens la bouche de Jean se refermer sur mon gland. Je bandouillais avant mais là, le simple contact avec sa langue et ma queue se dresse immédiatement ! Marc plus excité que moi pour s'être fait piper plus longtemps, s'écarte, prend Jean sous les bras et le couche sur la table de la cuisine. Il se kpote (dans la maison il y en a partout des réserves à kpotes) et après lui avoir retiré le plug, s'enfonce dans son trou. Je lui demande dans quel état il est (le trou). Il me dit que pour un lendemain de gang bang, faut pas se plaindre, il sent bien les parois qui collent à sa bite. L'anneau n'est pas encore des plus " nerveux " mais c'est déjà pas mal. Je me mets en face de lui et enfile ma queue dans la gorge de Jean qui ne demandait que cela. Trop bon de le défoncer dès le matin. En plus il en demande, sa bouche loin d'être passive aspire ma bite, quand je me retire, sa langue vient tourner autour de mon gland rendant l'exercice si excitant que je me ré enfonce dans sa gorge pour calmer mes terminaisons nerveuses ! Quand Marc semble ralentir le rythme, il lance son cul au devant pour happer quelques cm de plus dans son trou !!
Nous sommes un moment dérangés par Samir et Ammed venu nous demander l'autorisation d'utiliser la salle de muscu. Ils ont admiré la capacité de Jean à servir dès le lendemain matin d'un gang bang. Quand je leur ai demandé s'ils avaient passé une bonne nuit, j'ai eu droit à un clin d'oeil de Samir et un léger rosissement des joues d'Ammed.
Nous avons fini Jean ou plutôt nous nous sommes fini dans Jean puis sommes descendu tous les trois à la salle de muscu rejoindre nos deux beurs.
Pendant que Jean transforme la zone des douches en hammam (eau chaude à fond) et disparaît dans la buée, Marc et moi considérant notre activité précédente comme nous ayant suffisamment échauffés, sommes allé directement soulever des poids.
Je donnais par ci par là quelques conseils de positionnement à Ammed et Samir quand ce dernier m'a demandé quels types d'exercices et quels poids il doit mettre pour prendre du volume. Il me dit qu'il aimerait bien avoir mon physique, ça s'est trop gentil !! Rapidement je lui fais un programme. Ses jambes sont Ok par le foot fait plus jeune, très belles cuisses (ses quadriceps sont parfaits tout comme ses ischios) et mollets corrects. J'oriente donc le travail sur les pecs, le dos et les bras. La base est bonne sinon très bonne, il devrait prendre rapidement. Ammed, lui me demande plutôt des conseils pour s'assouplir, il se trouve un peu raide, il me dit parfois peiner dans certaines positions. Sans être devin, j'imagine bien dans quel type de gymnastique il a besoin de souplesse !
La chaleur, l'ambiance, les sous entendus, le souvenir frais de notre baise avec Jean, tout ça fait que nous bandons tous comme des malades dans nos jocks.
C'est de Samir que vient la proposition de baiser ensemble. Dans un but très pédagogique, bien sur, il veut me montrer les manques de souplesse d'Ammed !!! Pour que mes conseils soient plus pertinents.
Il me montre en demandant à Ammed debout d'aller toucher avec ses mains le sol entre ses pieds. Ce dernier n'y arrive pas. Il a même de la peine à toucher ses chevilles. Je lui demande encore quelques positions qui me montrent son état. Samir me glisse à l'oreille que quand il le prend en chandelle il aimerait le voir se faire une auto fellation mais bien que correctement monté (19.2cm de long) son gland reste quand même à au moins 2cm de ses lèvres. Je lui dis que comme nous sommes entre nous le plus simple ce serait de me montrer. Samir attrape Ammed et ils commencent à se rouler un patin. Les queues se tendent encore plus. Marc et Jean m'ont rejoint et nous les matons ensemble. Samir pince les tétons d'Ammed qui sont assez développés, il lui appui soudain sur la tête et tout naturellement Ammed embouche la brosse bite de Samir. Ils sont debout devant nous. Marc assis à coté de moi bande raide. Il demande à Jean de faire quelque chose. Ce dernier se met à genoux devant nous et nous suce alternativement. Ammed met du coeur à l'ouvrage. Il avale jusqu'aux couilles la bite de son pote. On peut voir son larynx se soulever au passage du gland de Samir. Je vais chercher gel et kpote. Samir me tend sa main droite pour que j'y étale le gel. Aussitôt après il se penche au dessus d'Ammed pour lui mettre un puis deux et enfin trois doigts. Les trois doigts bien ancrés, il se redresse, tirant vers le haut le cul d'Ammed qui se retrouve à 4 pattes. Il demande à Ammed de se positionner en chandelle pendant qu'il enfile une kpote. Equipé, il encule son pote sans délicatesses particulière. Ce dernier encaisse bien, c'est bien lui le passif des deux. A chaque fois qu'il est au fond du cul d'Ammed, il appui fort pour que ce dernier se plie. Il nous demande en même temps de vérifier et nous voyons bien qu'il manque plus d"un cm pour qu'il puisse s'auto sucer.
Comme je suis plus lourd que lui il me demande d'essayer à mon tour. Je quitte la bouche de Jean et me kpote. Je le remplace et m'enfonce avec délice dans le cul d'Ammed que je connais peu. Il s'ouvre bien sous ma poussée et prend sans problème mes 20cm. Je ne peux me retenir de pilonner un peu avant de faire ce pourquoi je suis en place. Je m'enfonce à fond et pousse encore après que mes couilles se soient posées sur ses fesses. Il gagne presque un cm d'un coup et arrive à se lécher le gland. Je lui dis de rentrer le ventre et il arrive alors à prendre son gland entre ses lèvres. Marc qui nous observe lui demande soudain si il vient d'aller aux toilettes. Il pense qu'il fait que sa cavité abdominale soit la plus vide possible pour se plier plus facilement. A sa réponse négative, je décule et avec Samir, je l'emmène à coté pour lui faire un lavement. Comme nous venons de l'enculer profond, il faut pas mal d'eau et de fois pour lui vider les intestins. Nous voyons Marc patienté en ce faisant doucement sucer par Jean. Quand nous les rejoignons, Ammed a bien perdu 1 Kg ! il reprend la position. Samir lui graisse un peu le trou et kpoté je reprends ma position. Là, effectivement, il se plie plus facilement et quand je pousse alors que je suis a fond, il arrive direct à se bouffer la moitié de sa tige. Sami est ravi, il trouve ça hyper bandant et surtout il anticipe le fait qu'Ammed se jute dans la bouche quand il lui remplira le cul.
Marc se lève et demande que je lui cède la place. Il s'enfonce à son tour dans Ammed. Ses 22cm pousse encore plus notre " chandelle " qui tète consciencieusement son bout. Il se retire après quelques instant et dit à Samir de reprendre sa place. Samir qui ne débandait pas s'est engouffré direct au fond du cul de son copain. Marc l'a soudain poussé en avant et sans autre préparation qu'une nouvelle kpote bien lubrifiée, l'a enculé virilement. Samir encore en train de chercher son équilibre au dessus d'Ammed n'a pu s'en défendre ! Son trou moins aguerri que celui d'Ammed, s'est quand même ouvert sous la pression du gland de Marc (je la connais sa bite, elle arrive à entrer ou elle veut !). Il a juste émis un cri rauque. Avec Jean, nous avons rejoint le trio. Je me suis placé sur le dos de façon à pouvoir rouler des pelles à Samir et µJean est venu s'assoir sur ma queue. Samir, la bite dans le fond d'Ammed, son trou envahi par Marc et sa langue se battant avec la mienne, a commencé à bien tripper.
Ses lèvres se sont décollées des miennes pour expulsé un cri de délivrance au moment où il a joui.
Tout son corps s'est contracté, superbe à voir, il a rempli sa kpote. Marc, avec difficulté, a continué quelques va et vient dans son cul le faisant décoller une nouvelle fois puis, après être sorti s'est lâché sur son dos, le couvrant de grand traits blancs de sperme. Ammed s'est juté une première fois dans sa propre bouche, lèvres serrées autour de son gland puis il a ouvert grand la bouche pour qu'on le voie se juter dedans. 5 à 6 giclées sont venues la lui remplir !
De les voir tous les trois m'a amené à remplir ma kpote mes mains sur les hanches de Jean le maintenant assis sur ma bite. Le petit salaud en a profité pour maculer mes abdos se sa semence.
Déboités les uns des autres, couchés emmêles sur les tatamis, nous n'avons émergé de la stupeur post coïtale qu'un bon 1/4 heure plus tard.
Nouveau passage sous les douches, Samir massant son petit trou peu habitué au passage des bites a avoué avoir pris un plaisir terrible.
Comme nous étions tous les 5 à la cuisine pour reprendre des forces en pillant le frigo, Samir a demandé à Marc si ils pouvaient rester tout le WE Même si il n'y avait pas de travail. Sans demandé d'explication Marc a bien sur accepté. Samir nous a dit qu'avec Ammed de retours dans leurs cités, c'était plus possible de se voir (façon sexuelle), et que déjà ils se voyaient pas la semaine alors ...
Marc leur a dit que cela ne posait vraiment pas de problème s'ils voulaient emménager tous les WE. La position de l'appart en tête du bâtiment annexe l'éloignait assez de la maison principale pour qu'ils y soient indépendants. Je n'aurais qu'à y retirer les quelques bibelots et surtout ma collection de BD pour qu'ils y soient chez eux.
De plus cet arrangement sécurisera la maison plus sûrement qu'un système d'alarme.
Quand Samir évoqua de déduire le loyer de ce que nous leur payons, Marc a refusé, l'appart est un cadeau. Samir en lui donnant l'accolade pour le remercier lui a dit alors que nous pouvions alors disposer d'eux comme nous le voulions. Sans ambigüité cela se rapportait au sexe !
Je reconduis vite Jean chez lui où ses potes du lycée doivent l'attendre pour baiser sa mère. Je fonce et nous arrivons juste en même temps qu'eux.
JARDINIER
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henurysensei · 16 days
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I hesitated for a long time before publishing this drawing because it took me so long to finish it and it's not really the right time of year any more. But better late than never, MERRY CHRISTMAS🎄 (in April 🤧🤧...)
J'ai longuement hésité à publier ce dessin puisque j'ai mis énormément de temps à le terminer et que c'est plus trop la période. Mais bon mieux vaut tard que jamais, JOYEUX NOËL🎄 (en avril 🤧🤧...)
✨️THE MIRACLE FAMILY✨️
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nassie23 · 23 days
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Je sais qu'il est tard mais mieux vaut tard que jamais😆 (c'est moi qui fait toute les voix et qui à dessiné et imaginé ça)
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e642 · 9 months
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trucs que je déteste que les gens fassent/disent
- les gens qui donnent des tapes sur l’épaule (plus tu sursautes fort mieux ils se sentent) - les gens qui disent au jour d’aujourd’hui ou malgré que (faut arrêter de suite, si vous n’arrivez pas à vous y faire faut contacter l’académie française) - les gens qui haussent le ton dans une conversation pour pour couvrir ta voix et avoir la parole (attends ton tour comme tout le monde) - les gens qui font des bruits de bouche (pas de commentaire) - les gens qui coupent la parole (attends ton tour aussi) - les gens qui racontent une histoire/blague mais sans faire de chute (quel est l’intérêt ?)  - les gens qui disent "hein” ou “quoi” quand ils ont pas entendu (ça ne m’a jamais donné envie de répéter) - les gens qui finissent leurs phrases par “ou quoi”: mais t’es bête ou quoi (si c’est tant une évidence que ça, t’as pas besoin de le relever) - les gens qui s’amusent à siffler avec leurs doigts (vous pensez que je peux me permettre de perdre de l’oui gratuitement comme ça ?)  - les gens qui continuent à applaudir quand tout le monde a arrêté parce que c’est marrant apparemment ?? (ça ne l’est pas) - les gens qui mettent pas leur main devant lorsqu’ils éternuent (si j’avais voulue être malade je me serais débrouillée autrement tu peux garder tes postillons)  - les gens qui disent “j’ai lu en diagonal” pour pas avouer qu’ils ont rien lu du tout - les gens qui te posent une question mais qui n’écoutent, ouvertement, pas la réponse (ne me la pose pas dans ce cas, ce sera un gain de temps précieux) - les gens qui vont courir aux heures chaudes et qui se plaignent d’avoir mal au crâne (sois plutôt reconnaissant de pas avoir fait une rupture d’anévrisme) - les gens qui disent “j’aurais pas aimé être à ta place” (en général c’est assez logique vu les contextes où cette phrase peut aller) - les gens qui utilisent une belle expression française mais se trompent (”mieux vaut tard que plus tard”, “pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir harponné”, “l’herbe est plus jaune ailleurs” c’est non)  - les gens qui sont sûrs d’eux quand ils disent une énorme connerie (c’est plus pour eux que pour moi) - les gens qui disent qu’ils préfèrent le goût des fruits/légumes surgelés (à moins que tu n’aies pas les moyens d’acheter du frais je ne suis pas en mesure de comprendre) - les gens qui disent oki doki (c’est mon unsafe word jsp pk) - les gens qui prennent jamais de position en disant toujours “si tu veux” même quand la réponse ne peut pas être autre chose que oui ou non (-on appelle les pompiers ? oh bah si tu veux- niquel) - les gens qui pensent vraiment que leur horoscope est une excuse au fait que ce sont des vrais cons (je trompe mon mec mais ça c’est parce que je suis taureau oups ihih) - les gens qui répondent “ça va et toi ?” lorsque tu dis ça va dans le sens c’est carré (la ponctuation est ton amie) - les gens qui se plaignent d’une douleur mais refusent de prendre un médicament (juste prends le médicament ou tais toi ou les deux c’est encore mieux) - les gens qui agrémentent leur phrase par “ma belle”(ya pas grand chose de plus méprisant que ces deux mots collés) - les gens qui disent “ya pas de souci” alors qu’il y en a clairement un (juste parle fr) - les gens qui font la distinction entre les collègues, les connaissances, et les je le.la connais de vue (c’est pour se compliquer la vie ou à ce stade ya vraiment une diff ?) - les gens qui disent concubin et pas partenaire (j’aime pas ce mot, peut-être parce qu’il y a con et cu juxtaposés) - les gens qui disent “tant que toi ça va, moi ça va” (c’est connu, on va bien parce que les gens autour de nous vont bien ou inversement) - les gens qui commencent leur phrase par “bah” (ça me donne l’impression que j’étais censée savoir) - les gens qui disent trop bon trop con (t’es juste en train de laisser croire aux personnes les plus crédules qu’être gentil est finalement un défaut qui donne raison aux mauvais comportements) à suivre
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lapiequimurmure · 10 months
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Pallas et Arachné, Les Métamorphoses, VI, 1-145
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Je suis en train de faire du tri dans mon Google Drive, j’arrive à court d’espace de stockage. En faisant mon nettoyage, j’ai retrouvé ce travail d’analyse pour mon cour de Culture antique en hypokhâgne. On travaillait sur le thème de l’animal, et il fallait mettre en relation une œuvre d’art avec l’une des métamorphoses d’Ovide. J’avais choisi la métamorphose d’Arachné, car j’avais vu le tableau de Gyzis dans l’exposition “Paris-Athènes. Naissance de la Grèce moderne (1675-1919)” au Louvre la même année.
Finalement, je n’ai jamais eu de retour sur mon travail (c’était la fin de l’année), donc je ne sais pas ce que mon texte vaut. Mais je n’avais pas envie de supprimer ce travail. Autant le poser ici, et si cela peut intéresser quelqu’un, tant mieux !
P.S : Je ne l’ai pas relu une nouvelle fois, je le poste tel que je l’ai rendu à ma professeure. J’espère que je ne regretterais pas ce choix en retombant sur ce billet plus tard...
Pallas et Arachné, Les Métamorphoses, VI, 1-145
      Les Métamorphoses, écrites par le poète latin Ovide au Ier siècle, regroupent différents récits poétiques qui relatent les métamorphoses issues des mythologies grecque et romaine en quinze livres. Le sixième livre est, dans sa première partie, marqué par les duels entre les hommes et les dieux. Ces derniers se vengent de l’orgueil des premiers qui ont osé les défier. Par exemple, le satyre Marsyas prétend mieux jouer de la flûte qu’Apollon, alors ils s’affrontent. Apollon le vainc et, pour punir le satyre, il lui arrache la peau. Finalement, Marsyas se métamorphose en fleuve grâce aux pleurs des divinités des bois qui se mélangent à son sang. De la même façon, le livre s’ouvre sur le conflit artistique qui oppose Pallas et Arachné autour du tissage.
     Arachné est une jeune fille méonienne et de naissance modeste qui s’est faite remarquée pour son talent certain pour le tissage. Elle attire tellement l’attention que cela en vient à faire de l’ombre à la déesse Athéna (Minerve chez les Romains), nommée par son épithète Pallas dans le poème. La déesse rend d’abord visite à Arachné sous les traits d’une vieille femme pour lui faire comprendre qu’elle ne doit pas se montrer trop orgueilleuse vis-à-vis de Pallas. Arachné n’écoute pas ses conseils. Elle continue de se prétendre plus talentueuse que la déesse et elle avance l’idée d’une compétition. Alors Pallas reprend son apparence et toutes deux tissent une tapisserie pour départager qui des deux est la plus talentueuse. À la fin, Pallas ne trouve rien à redire du travail d’Arachné et, de colère, elle déchire la tapisserie de la jeune fille et la frappe. À cause de l’outrage, Arachné se suicide par pendaison, et prise de pitié, Pallas la métamorphose en araignée tout en maudissant sa descendance d’avoir la même apparence.
     Le poème s’articule autour de trois mouvements. Tout d’abord, il y a la présentation d’Arachné et l’installation de sa rivalité avec Pallas. La déesse est poussée à rencontrer Arachné, car celle-ci « méprise impunément [sa] divinité ». En effet, Arachné ayant beaucoup de succès grâce à ses tissages, elle prétend être l’égale de Pallas dans cet art. Arachné à effectivement beaucoup de succès en Lydie et de nombreuses personnes se déplacent pour admirer son travail, telles que des nymphes. De plus, le poème précise qu’elle ne doit son succès qu’à son talent : ses deux parents sont d’humbles personnes alors elle ne doit pas sa célébrité à son rang ou à sa naissance. Ainsi, le poème insiste sur le talent véritable d’Arachné, et le poème décrit son habileté dans le maniement de la laine et du métier à tisser. De cette façon, tout le monde la reconnaît comme élève de Pallas. Alors la rivalité est posée. En effet, Arachné nie que Pallas puisse être sa maîtresse, et elle nie même avoir appris le tissage de quiconque. Cela pose problème dans la pensée antique où les talents sont accordés aux hommes par les dieux. Un homme, dans la mythologie, ne peut pas être autodidacte. Par exemple, le héros Orphée a reçu ses dons de poète de la part d’Apollon. En affirmant que son talent lui est propre et non du fait de l’intervention d’une divinité, Arachné cause un premier outrage et se montre très orgueilleuse, surtout qu’elle refuse le patronage de Pallas. Lorsque la déesse prend l’apparence d’une vielle femme pour s’approcher d’Arachné, elle lui conseille de demander pardon à la déesse et de ne plus affirmer qu’elle égale son talent. La figure de la vielle femme donne à sa parole l’expérience et donc la sagesse de l’âge, plus susceptible d’être écoutée. Pour autant, Arachné fait fi de son discours. La jeune fille est en colère, ce qui trahit une nouvelle fois son orgueil : « Je suis assez sage pour me conseiller moi-même. » Arachné ose même insulter Pallas en insinuant sa lâcheté du fait que la déesse ne se présente pas à elle pour l’affronter. C’est alors que Pallas reprend sa forme et que le duel de tissage commence.
     Ensuite, l’affrontement entre Pallas et Arachné prend la forme d’un concours. Les deux participantes tissent chacune une tapisserie et celle ayant exécuté le plus beau travail sera vainqueur. De nouveau, elles s’opposent dans le sujet que représente leur tapisserie. Pallas illustre le mythe de la dénomination d’Athènes qui l’oppose à Neptune (Poséidon). Jupiter est au centre, et autour de lui s’articulent douze dieux avec elle et Neptune aux deux extrémités : Pallas en armure et faisant apparaître un olivier et Neptune faisant jaillir l’eau de la mer avec son trident. Pallas ajoute à la fin quatre scènes montrant des mortels être puni par les dieux à cause de leur orgueil, pour bien faire comprendre à la jeune fille ce qui l’attend. En revanche, Arachné illustre les métamorphoses des dieux qui séduisent et abusent de mortelles. En particulier, le rapt d’Europe et d'autres métamorphoses de Jupiter sont sur sa tapisserie, de même pour Neptune, Phébus et Saturne. Sa tapisserie montre les mortelles comme des victimes, elles ont peur et sont trompées par des dieux menaçants. Elle montre avec sa tapisserie ce que les dieux ont de plus perfide, ce qui s’oppose extrêmement au sujet de Pallas qui montre la grandeur des dieux et le châtiment des mortels qui les ont injuriés. Aussi, la tapisserie de Pallas se dessine comme le fronton d’un temple avec une scène principale au centre et des scènes annexes sur le côté qui ont un lien avec la première. L’univers d’Arachné est plus confus et moins organisé, mais montre une volonté de ne pas laisser de vide. De cette façon, les deux esthétiques sont antithétiques et renforcent l’opposition des deux personnages. Une nouvelle fois, le talent d’Arachné est loué, car les figures tissées semblent s’animer : « on croirait voir un vrai taureau, une vraie mer. ». Finalement, la pièce est révélée à Pallas qui ne lui trouve aucun défaut.
     Enfin, découvrant l’œuvre d’Arachné, Pallas est envahi par la colère. Cela pousse la déesse à frapper Arachné avec sa navette et à déchirer la tapisserie de la jeune fille. Arachné est désespérée par cet outrage, ce qui la pousse à se pendre avec un fil. Chose ironique, car elle se tue avec l’instrument de son succès : la laine. Aussi, l’image de la pendaison préfigure sa métamorphose future en araignée, car c’est cet animal qui se suspend avec les fils qu’il utilise pour tisser des toiles. En voyant la jeune fille morte, Pallas est prise de pitié et la ranime. Cependant, la déesse ne peut pas laisser l’orgueil d’Arachné impuni. Elle fait donc le choix de la métamorphoser grâce à un poison de la déesse Hécate. Sa transformation est monstrueuse : elle perd ses cheveux ainsi que son nez et ses oreilles ; son corps rétrécit et ses doigts deviennent les pattes de l’araignée en venant se caler à ses flancs ; tout le reste devient son ventre. La métamorphose d’Arachné intervient dans les derniers vers du poème, ce qui ajoute à la dimension étiologique du mythe qui explique pourquoi Arachné a été changé en araignée. Pourtant, sa métamorphose est très rapide et ne concerne que cinq vers du poème. En réalité, le poème insiste avant tout sur Arachné en tant qu’elle est artiste et sa métamorphose n’est que secondaire dans son histoire.
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     Dans son huile sur bois intitulée L’Araignée (1884), le peintre grec du XIXe siècle Nikolaos Gyzis fait une référence directe à la figure d’Arachné. Le panneau représente une femme assise les jambes croisées en train tisser une toile d’araignée. C’est avant tout ce dernier élément — et le titre de l’œuvre — qui permet de supposer que c’est une interprétation du personnage d’Arachné.
    Arachné est représentée en train de manipuler une toile d’araignée. Elle est déjà métamorphosée, mais pas totalement, car elle a toujours une forme humaine. Son apparence, loin de la métamorphose écrite par Ovide, peut suggérer son aspect d’araignée : ses jambes et ses bras très fins et longs peuvent rappeler les membres de l’animal. De plus, la robe qu’elle porte est du même blanc jaunit que la toile qu’elle tisse, ce qui laisse penser qu’elle est vêtue de ses propres tissages. Le détail le plus étonnant sont les yeux d’Arachné. En effet, elle n’a pas de pupille ou d’iris, ses yeux semblent révulsés. Cela pourrait suggérer son état mortuaire, après s’être pendue. Nikolaos Gyzis représente donc Arachné à différents moments du poème dans une même image. Il y a à la fois le moment du tissage, la mort et la métamorphose de la femme.
    Ensuite, en représentant une figure qui tisse sur son panneau, le peintre procède comme le mythe à insérer une mise en abyme dans le récit. Dans le poème, les tapisseries faites par Pallas et Arachné sont des mythes dans le mythe. En effet, les récits des concurrentes sont aussi des sujets mythologiques et retracent les métamorphoses de mortels et de dieux. Le média de la tapisserie n’est pas non plus un choix anodin, étant donné que le mot « texte » a pour racine étymologique textus, le tissu et de texere, tisser. Arachné est donc aussi une conteuse. Sur la peinture, elle tisse une toile comme un peintre réalise un tableau : il y a une toile dans la « toile » (qui est ici un panneau de bois), un tableau dans le tableau.
    Finalement, le peintre accorde une grande importance à l’indépendance de la figure d’Arachné. Tout d’abord, elle est représentée seule, il n’y a pas Pallas ou d’autres personnages. Arachné se tient droite, et un grand équilibre ressort de sa posture avec un jeu entre les lignes verticales des jambes et du corps avec les horizontales des bras. Cela permet de saisir la fierté du personnage. La position de ses doigts témoigne aussi de son talent, elle est en train de tisser sa toile. La reprise de sa malédiction comme d’un pouvoir vient aussi renforcer la facette forte du personnage qui ose se mesurer à Pallas. Le traitement des couleurs, à la fois sombres du fond et lumineuses de la figure, donne de la mysticité à la scène et au personnage d’Arachné. Cela rend le personnage impressionnant et insaisissable, ce qui peut illustrer l’orgueil d’Arachné.
    Pour conclure, Arachné est une figure de la défiance envers les dieux. Plus que de se revendiquer plus talentueuse que Pallas, elle affirme son talent propre. Elle a aussi l’audace de dénoncer le comportement des dieux alors même qu’elle affronte l’un d’eux. Arachné est donc une jeune femme talentueuse, fière et orgueilleuse. Sa métamorphose en araignée s’accorde avec l’art qu’elle pratique, à savoir le tissage. Elle et sa descendance sont condamnées à tisser toute leur vie sous cette forme : c’est en partie son art qui a causé sa perte et c’est aussi, ironiquement, son châtiment. Arachné n’est pas une figure qui a eu une postérité importante en comparaison à d’autres métamorphoses d’Ovide. Lorsqu’elle est représentée, c’est en tisseuse, et souvent pendant son duel avec Pallas. « Pallas et Arachné » permet de comprendre le rapport entre les humains et les dieux dans Les Métamorphoses. Les hommes ont nécessairement tort de se montrer orgueilleux vis-à-vis des dieux, mais les dieux eux-mêmes donnent des châtiments excessifs du fait de leur propre orgueil. Mais surtout, Arachné est l’image de l’artiste qui s’oppose au pouvoir. Elle refuse de suivre la forme très classique de la tapisserie de Pallas et ne craint pas de montrer les dieux comme ils sont décrits dans les mythes. C’est cette image de femme fière et défiante que Nikolaos Gyzis représente sur son tableau.
Sources : 
https://pot-pourri.fltr.ucl.ac.be/itinera/Enseignement/Glor2330/Ovide_Metamorphoses/Arachne/default.htm
http://polyxenia.eklablog.com/minerve-et-arachne-2-p1704670
http://bcs.fltr.ucl.ac.be/METAM/Met06/M-06-001-145.htm
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boring, oregon • légendes locales.
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Boring, malgré son nom, recèle bien des mystères. Parmi eux, plusieurs légendes sont particulièrement tenaces, reprises à l'envie, chaque fois modifiées, des détails ajoutés, des circonstances plus mystérieuses encore... Toutes celles et ceux qui vivent ici les connaissent sans nul doute, tant elles ont occupé - et occupent parfois encore - la une des journaux locaux.
bigfoot ☄️  cette légende là, boring la partage avec une grande partie du nord-ouest américain, puisqu'on la trouve aussi bien au canada qu'aux états-unis. Aussi appelé sasquatch dans certaines régions, bigfoot serait une créature géante et humanoïde, à l'apparence poilue pouvant rappeler celle d'un gorille ou d'un ours. Il erre dans les forêts du pays, qu'il considère comme son territoire ; s'il n'est pas réputé comme étant hostile aux humains, mieux vaut donc ne pas rôder dans les parages et éviter les promenades nocturnes dans les bois lorsqu'un individu a été vu à proximité. the haunting of the museum  ☄️ planchers qui craquent, fenêtres qui s'ouvrent, objets qui se déplacent... Tout cela a tout l'air d'être l’œuvre d'un esprit frappeur. Le musée municipal semble, depuis aussi loin que l'on s'en souvienne, être le domicile d'un spectre amateur de plaisanteries et particulièrement enclin à effrayer les nouveaux arrivants. Parmi les habitants, on raconte qu'il s'agirait d'un ancien conservateur du musée, trop attaché aux collections qu'il renferme pour pouvoir, un jour, s'en séparer. Au point de faire fuir ses remplaçants : Boring recherche désespérément une personne pour tenir le musée et surtout, pour rester. Quelqu'un qui ne craindra ni les fantômes, ni ses facéties. the runaway girl ☄️  bridget keegan était la bien aimée de tous les villages des environs, célébrée comme cheerleader mais aussi pour être une camarade de classe sur laquelle toutes et tous pouvaient compter. Comment expliquer alors sa disparition, que l'on qualifiera ensuite de fugue ? Plus de trente ans plus tard, personne n'est capable de l'expliquer. Ce que l'on sait, en revanche, c'est qu'elle aurait été aperçue pour la dernière fois dans les bois au nord du village... sans jamais en revenir. crater lake's monster☄️  les eaux de crater lake, sur les berges desquelles sont construites boring, sont profondes, obscures, opaques. à la surface, l'onde s'anime parfois en des ronds réguliers, dont le mouvement s'accélère avant de s'arrêter brusquement. on attribue cela au monstre du lac. Des récits du début du XXème siècle rapportent l'existence d'un être, mi-poisson mi-serpent, au fond de crater lake. Si les rapports concernant sa taille varient, les témoins s'accordent quand à sa couleur qui serait celle du basalte noir, comme un vestige de l'impact ancien du météore dont est né le lac. Les nuits de pleines lunes seraient, d'après les textes anciens, les plus propices à son observation, pour qui saura s'armer de patience (et d'un bon thermos de thé). blake augustine's disappearance. ☄️ 1978, beaver summer camp. Hélas, ce qui devait être un séjour de vacances des plus agréables tourne au cauchemar. Au matin, un campeur a disparu, et malgré une fouille importante des environs, de la forêt au fond du lac, il demeure introuvable. Le profil a pourtant tout du banal : blake augustine, trentenaire, professeur de biologie consacrant ses étés à l'animation de camps botanistes aux quatre coins du pays. Peu à peu, les langues se délient : certain.e.s relatent avoir vu, par l'interstice d'une tente à moitié close, une lueur verte au cœur de la nuit. D'autres auraient entendu des bruits ne ressemblant à rien de familier. Depuis, le lieu a fermé ses portes, condamné par cette étrange disparition. Et les rumeurs vont toujours bon train. Pas une année ne passe sans que la police locale ne reçoive des appels suspects, affirmant avoir aperçu blake augustine, sans pour autant qu'aucune de ces pistes n'aboutissent.
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steff-02 · 7 months
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Ce matin on va partir à la découverte de Johannesburg (Joburg ou Jozi de par ces petits noms). Comparé à hier soir quand on est arrivé, ce matin avec le soleil c’est moins glauque 😂! Avant de partir, on prend notre petit déjeuner. Ils n’ont pas beaucoup de choix. On opte tous les deux pour une formule salée, c’était sans compter qu’il y avait une mayonnaise au chili qui accompagnait le tout…🥵 demain matin je prendrait un yoghurt et des fruits 😂.
Comme on savait pas trop par où commencer notre visite, on a opté pour les bus touristiques qui font le tour de la ville. L’arrêt le plus proche est à 30 minutes de marche. On est pas pressé, alors tout insouciant, on s’élance de les rues de Joburg. À peine nous avons traversé la route que le portier de l’hôtel nous cours après. Il nous demande où nous allons et nous dit qu’il ne faut pas partir à pied, que c’est dangereux pour nous (en tant que blanc). Il nous dit qu’il vaut mieux appelé un Uber. On fait alors demi tour et suivons son conseil. Quelques minutes plus tard notre chauffeur arrive. Il nous conduit jusqu’à l’arrêt de bus. Sur le trajet, on est très content de n’avoir pas pris de voiture de locations. Autant dans le reste de l’Afrique du Sud on a été très surpris en bien de leur conduite, autant ici, c’est le chaos ! Il y a une circulation de dingue, les feux de signalisation ne fonctionnent pas toujours et lorsqu’ils fonctionnent, les voitures passent au rouges…😅 mais bon ils y sont habitués alors ça va ;)
On emprunte en premier la ligne rouge qui sillonne le sud de la métropole. Dans nos écouteurs, la visite guidée parle très bien de la ville et donne envie de la visiter, mais ce n’est pas toujours ce que nous voyons. Ils parlent d’une ville très développée, très unies, regorgeant d’activités culturelles et de café branché. Ce que nous ressentons nous, en tant que touristes blancs, c’est que le centre ville est quand même très pauvre et que nous ne pouvons pas se déplacer librement à pied sans prendre de risque. Beaucoup de sans abris, beaucoup de réunions de sans abris, et même les autres, on voit que la plupart vivent dans la misère…
Nous voulions descendre du bus pour visiter le musée de l’apartheid, mais arrivé devant et voyant le nombre de groupe scolaire qui attendent pour entrer, on se décide à reporter notre visite à demain, peut être aurons-nous plus de chance 🤷🏽. On finit alors le tour rouge et poursuivons sur la ligne verte. Et là, on découvre un autre monde, les rues sont propres et les HLM ont laissé place à de belles villas. Nous faisons escales dans une sorte de quartiers marchant, assez typé européen, d’ailleurs il y a majoritairement des blancs. J’avais pourtant cherché sur Google avant de réserver l’hôtel quels quartiers étaient les plus sûrs et je n’ai jamais vu marqué la où on est, pourtant il y a aussi pleins d’hôtel. Mais bon ce qui est fait est fait, on va continuer de se déplacer en Uber ;) on reprend le bus pour finir notre tour puis un Uber direction l’hôtel.
On profite d’aller sur le Rooftop pour voir le coucher de soleil et commencer à écrire ce post. Ensuite, on va boire un verre au bar de l’hôtel, on fait une partie de billard, grignoter un petit quelque chose et on est rentré finir la soirée tranquille dans la chambre ! 💫😘
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Mais qui est ce qui t'arrive encore ? #3
Je vais mieux je vais bien même mais mieux surtout je trouve ça super triste de me dire que je vais mieux avec ton vide dans le corps mais c'est comme ça va mieux Je n'ose pas penser que toi tu ailles mieux même si fatalement je pense que tu dois aller mieux forcément c'est une affaire de logique si on ne se traine plus ensemble alors ça va mieux puisque c'était ça l'origine du problème Sauf que attends j'ai jamais souhaité ça, on ne souhaite pas un problème c'est vrai quoi aller mieux sans toi il vaut mieux être esseulé que mieux accompagner ça va bientôt être trop tard pour se rattraper au vol je le vois quand je regarde par ma fenêtre la terre à tourné trop vite
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chifourmi · 2 years
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En vrai je sais bien que j'ai h24 des attentes mais le fait qu'aucune de mes potes d'univ ne soient venues me demander comment se sont passés mes exams en juin, c'est quand-même de l'abus. Les gens là bas n'ont décidément pas l'air de vouloir approfondir une amitié et je comprends pas pourquoi?? Ou ils s'en battent vraiment les couilles??
En tout premier y a L, avec qui je reste tout le temps. C'est toujours moi qui venait vers elle et si je ne lui avais pas demandé d'emblée comment ça s'était passé pour elle, elle ne m'aurait rien demandé mdr.
Ensuite y a M, avec qui on a passé ensemble tous les préparatifs de nos voyages pour l'année prochaine. Quand je serai au Québec, elle sera au Cap Vert. En vrai, elle, je sens que ce n'est pas le genre à être aux petits soins pour ses potes. Elle vit au jour le jour et ne se casse pas la tête. Du coup j'imagine qu'elle n'a même pas pensé à me demander.
Puis y a S, celle qui était avec moi dans le seul cours où on a une petite classe. Et c'est seulement aujourd'hui qu'elle m'a demandé comment ça s'était passé, parce que j'ai posé une question sur notre groupe de classe. Son message commence par un "j'avais totalement zappé" mdrr bah super!
En fait la seule meuf qui a l'air d'en avoir quelque chose à faire, c'est F, et elle a arrêté ces études. Je suis trop dégoûtée. Mais je suis contente qu'on ait pu se rapprocher avant qu'elle ne parte. Comme elle m'a dit, j'aurais au moins pu me faire une vraie pote dans ces études.
Vous voyez ce moment où on vient juste de finir ses exams, qu'on a reçu les résultats et qu'on a trop envie d'en parler avec ses potes et le fameux "alors???", bah je l'ai vécu avec personne de mon univ mdr
Fin bon au moins S me l'a demandé aujourd'hui, mieux vaut tard que jamais on va dire?
(12/08/2022)
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💎 pour le **real** fanfic writer ask game ! :3
réponse à cet ask game (désolée de répondre après autant de temps mais mieux vaut tard que jamais)
💎 why is writing important to you? / en quoi écrire est important pour toi ?
CW : crise de panique/anxiété
C’est pas une question facile, je vais quand même essayer de te répondre.
J’ai toujours bien aimé écrire et ça m’aide à faire le point sur ce que je ressens. J’ai utilisé à différents moments des journaux intimes et je le fais encore quand j’en ai besoin, notamment quand je fais une crise de panique/anxiété et ça m’aide à garder pied.
Pour revenir un peu aux fics, (c’est quand même le but de cet ask) j’en écris parce quand je ne trouve pas le contenu que je souhaite lire, je l’écris moi-même. Certaines de mes fics sont thérapeutiques à écrire pour moi, je vais pas mentir, parce que projeter des choses sur des persos c’est toujours sympa.
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superiorkenshi · 2 years
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HAPPY BIRTHDAY RAEL!!
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Et ouais tu pensais que j'avais oublier? Je suis en retard certes mais voilà ton cadeau @rarougrougrou vaut mieux tard que jamais! Je voulais faire quelque chose qui change essayer de te surprendre un peu du coup je me suis dis que j'allais te faire Avram ton oc de Asoue !! En espérant qu'il te plaise et que je me soit pas trop mal demerder!
Aussi bonus:
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Je me suis dis que maintenant que j'avais le design pour mon bebou Asoue j'allais les dessiner ensemble! Je te présente Asit!
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homomenhommes · 6 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 22
Après une bonne bière siroté au fond du canapé, nous gagnons notre lit, faisant une place à Ric entre nous deux (on ne sait jamais, une envie brutale en pleine nuit ? il vaut mieux l'avoir sous la main ? sous la bite plutôt !). ;
Durant la nuit, j'ai fait un rêve érotique. Je rêvais que je me faisait sucer, j'ai repris conscience quand je me suis mis à éjaculer. Ouvrant les yeux, je vis Ric me ventouser la bite jusqu'aux couilles avec une telle force qu'il a réussi à tout avaler avant que je n'émerge du coaltar. Alors que je l'engueulais tout bas pour ne pas réveiller Marc, il m'avoua lui avoir fait la même chose 1/2 heure au paravent. Je le traitais d'inconscient car il ne connaissait pas notre statu sérologique. Il me répondit assez justement que comme nous baisions Pierre sans Kpote c'est que nous étions clean et que son père avait fait faire des analyses et qu'ils étaient tous les deux ok aussi (son père ne baisant plus ailleurs depuis qu'il avait ce qu'il fallait à la maison). Nous nous sommes rendormis et je me réveillais vers 10h, cette fois seul dans le lit avec Ric. Une douche rapide en commun pour gagner du temps et juste une serviette sur le cul, nous rejoignons Marc à la cuisine. Le café nous attend chaud.
Comme je ;lui raconte notre nuit avec notre pompeur de rêve, il se rapproche de Ric et lui tire l'oreille lui interdisant ce genre de pratique pour sa propre sauvegarde ! Comme la piscine est hivernée, nous allons pousser de la fonte au sous sol. Les serviettes dépliées sur le skaï des bancs, c'est à poil que Ric et moi faisons nos exercices. Marc lui ne porte qu'un short vague qui laisse passer bite et couilles par les jambes. Après 1h2/2 de bon travail, nous filons nous détendre sous les douches. Nous y restons tellement longtemps que Marc se demande si il ne ferait pas installer un petit hammam et / ou sauna dans une partie du reste du sous sol. La présence de Ric nous fait bander tous les deux (même sans lui les douches à deux nous excitent). Marc nous dit de nous calmer car Eric doit nous rejoindre pour le café. Comme il est déjà 13h ça devrait le faire.
Nous remontons nous " habiller " pour le déjeuner. Marc passe un cycliste et un tshirt, moi j'enfile un de mes " short " en jeans à même la peau et un marcel et Ric reste avec un jock pour seul vêtement.
Eric nous rejoint 1heure plus tard, Marc lui dit de retirer son cuir pour être plus à l'aise. Il nous apparaît alors avec un shorty Aussibum qui lui fait un paquet encore plus gros que d'habitude et retirant son sweet, laisse voir un marcel débordant de muscle. Je m'approche et examine de plus près pour m'apercevoir que ce modèle fait partie de la collection qui soutient les boules et les empêche de glisser entre les cuisses. Ça le fait bien et je pense que je ne tarderais pas à faire l'achats de quelques exemplaires. Nous prenons le café et Eric demande le programme des réjouissances. Marc lui dit que nous ne serions que tous les quatre mais qu'entre moi et Ric, il y aura déjà quelques trous à boucher ! Nous allons au donjon, pour traverser la cour en hiver, Marc a acheté une demi douzaine de grand manteaux en peau retournée qui nous arrivent aux chevilles et qui nous permettent d'être quasiment nus dessous sans avoir froid dehors. ;Ric et moi sommes menottés au mur, bras et jambes en croix. Rapidement, nous nous prenons un, deux puis trois doigts graisseux dans le cul avant de subir les assauts de leurs bites. Marc m'encule nokpote quand Ric se fait saillir par les 26cm couverts d'Eric. Secoués par les coups de reins, nous contractons dorsaux et abdos pour éviter l'écrasement sur le mur. Un bon 1/4 heure de ce régime met nos muscles à rude épreuve. Le soulagement d'être détachés ne dure que l'intervalle de temps qu'il faut pour nous placer sur les slings et d'être de nouveau entravés.
A tour de rôle, Marc et Eric s'occupe de nous. Pendant que j'avale la bite d'Eric dans ma gorge et celle de Marc dans mon cul, Ric peut nous mater et inversement quand c'est au tour de Ric de passer à la casserole. Nous en redemandons dès que l'un de nos deux enculeurs cesse un instant. Un peu de poppers et c'est à mon tour de subir la teub d'Eric dans mon trou du cul pendant que je pompe Marc comme un affamé depuis 8jours au moins !
Comme j'ai déplacé et modifié le système de suspension au plafond que j'avais installé dans la salle de muscu, (cf. soumission 14), nous allons le tester. Le nouveau système prend les poignets et les cuisses. Les chevilles sont tirées vers le haut de façon réglable (le but est de faire passer les jambes au dessus du plan de l'anus), le tout suspendu à une grosse chaîne dont nous pouvons maîtriser la montée et la descente d'une grosse poulie accrochée à une poutre par l'intermédiaire d'un gros ressort. Nous y installons Ric et le suspendons à environ 1m du sol. Mar et Eric se couche l'un en face de l'autre pour accoler leurs deux bites ensemble. Je les équipe de Kpotes et fait couler dessus une grosse dose de lubrifiant. Doucement je fais descendre Ric jusqu'à ce que son anneau soit posé sur les deux glands. Marc tient l'ensemble serré et d'un signe m'ordonne de relâcher d'un coup.
Dans un cri, Ric se fait empaler par les deux grosses bites. Je le laisse, les fesses posées sur les 4 cuisses le temps qu'il se fasse à la nouvelle dilatation de son anus puis doucement remonte la chaîne jusqu'à ce que seuls les deux glands soient prisonniers de son trou et la bloque.
Maintenant, il suffit à Marc ou à Eric d'appuyer sur ses hanches pour l'enfoncer sur leurs bites. Dès qu'ils le relâchent, le ressort fait son effet et le remonte à sa position initiale. J'enjambe Marc et présente ma bite aux lèvres de Ric. Pour leur éviter le " travail ",c'est moi qui impulse le mouvement en appuyant sur les épaules de Ric ce qui permet aux deux enculeurs de restés couchés sur le dos à ne s'occuper que des sensations de plaisir que leur transmettent leurs queues.
Aux désir de nos deux " maîtres ", je ralentis ou j'accélère le rythme, alternant de courts massages des glands avec des limages sur toute leur longueur de bite. De temps en temps je fixe Ric au plus bas, maintenant la pression pour qu'il reste emmanché à fond sans bouger. C'est très excitant d'autant plus qu'il ne cesse de me bouffer la bite. J'accélère le mouvement, je me recule brusquement et jute su les pecs de Ric une quantité de sperme dont je ne me croyais pas capable ! Ric que je maintiens enculé au maxi pendant que je me vide sur lui se met à gicler sur Marc et lui en met jusque dans les cheveux. Du niveau du sol nous parviennent deux feulements. Je relâche brusquement Ric et le ressort le remonte cette fois jusqu'à le déculer, laissant apparaître les deux glands baignant dans le sperme prisonniers des Kpotes. Doucement, je détache les chevilles et les cuisses du harnais pour que Ric se tienne debout et lui défait les poignets. Je le soutiens le temps qu'il se fasse à la position verticale. Puis nous allons nous asseoir sous les douches ouvertes en grand nous laver, reposer, notre énergie vidée par la dernière baise. Nous sommes vite rejoint par nos deux aînés. Un bon bouchonnage mutuel et nous voilà bien secs. Nous regagnons la maison nus, emmitouflés dans nos grands manteaux. Nous restons un bon moment devant la cheminée à somnoler pour récupérer nos forces.
Encore un peu fatigué, je ne me sens pas de piloter une moto et je reconduis Ric chez son père en voiture. Comme à chaque fois, dès que nous avons passé la porte, son père lui ordonne de le sucer pendant que je lui fait mon rapport. Se soir, il semble avoir envie de parler et m'invite à entrer au salon. Nous nous installons dans de vastes fauteuils et Ric trouve sa place à genoux entre les jambes de son père à continuer sa fellation.
Au bout de 5 mn, le père, bien chaud, me dit qu'il aimerait bien voir son fils se faire enculer par plusieurs mecs. Je lui dis que ce qu'il souhaite s'appelle un gang bang où un seul mec se fait utiliser par plein d'autre. Il me dit que par contre il ne sait pas comment faire. Je lui dis qu'il faut que j'y réfléchisse mais que cela ne m'a pas l'air impossible à organiser. (dans ma tête je pense à mes " clients " de Jean qui ne seraient sûrement pas contre un tel trip, avec Marc et Eric nous pourrions être 9 !). Je le quitte en promettant de le rappeler dans la semaine pour en discuter.
JARDINIER
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