Tumgik
#1940 et si la france
culturefrancaise · 16 days
Text
La ligne de démarcation, un pays coupé en deux (1940-1943)
Je suis à la recherche de ce documentaire, rediffusé dimanche dernier sur France 5. Je n'ai pas pu le voir en entier et il n'est pas sur France.tv. Si quelqu'un a des tuyaux, je suis preneuse.
youtube
5 notes · View notes
happyartmuseum · 5 months
Video
youtube
Angels with Torn Wings ⓒ DAGS VIDULEJS Billion Graces Save the World 105x167cm OIL/CANVAS DAGS VIDULEJS Ⓒ Dags L'éducation et l'esprit de liberté de la société française ont toujours été l'espoir de la société mondiale. Le tableau est dédié aux étudiants français qui, tout au long de l’année 2020-2022, n’ont eu peur ni des punitions ni des bâtons et ont défendu leurs droits humains. Cela a mis en lumière la vérité sur les politiciens corrompus. Qui, soudoyés par les grandes sociétés financières, étaient prêts à introduire des couvre-feux et des confinements, paralysant ainsi la nation comme dans les années 1940-1945. Les manifestations et grèves françaises ne l'ont pas permis et ont mis en lumière la fausse plandémie et ont sauvé la société. Même si la presse européenne n'a pas couvert les événements de Paris, des gens courageux sont également allés de Lettonie en France, couvrant les combats de rue de manière arbitraire sur les réseaux sociaux. Un tableau dédié à ces aigles français héroïques. Ce n’est pas RED BULL qui lève les ailes, mais les idéaux de la révolution éternelle française. A l’heure où les gouvernements corrompus se noient sous les mensonges et se dirigent vers le barrage !!!DAG ART The Mirror of Civilization is depicted in the Dags Vidulejs large-format series. Pointing out different national cultural religions gives an overview of civilization. Not as a globalized cloned homogeneous mass.Variously structured crowds. The confrontation of different social groups shows the paradox of urbanization. In parallel, there are various completely incompatible subcultures in the urban environment. They have dissolved in each other in nature and can only be seen in the artist's vision.Not to lose the value of academic drawing and painting. Large shapes can be made easier with virtuosity in line drawing. Regularly drawing romanticized ethereal, airy ballerinas. The chamber works emphasize the central context of the chosen person's visual image in the author's work. Variations in anthropomorphic images turn the work invested into the meaning of a social message. Therefore, large compositions become socially active.To form the structures of society not as in nature, but in a subjective, crystallized vision. To direct the typified groups that unite groups of people. The triptych presents problems of antagonism and clashes between social classes. In order for the viewer to guess the encoded message, Vidulej uses antropomorphic forms that are recognizable to everyone in the composition.Dag's works of art come to life in an expanded field. Not for interior decoration, not perceptible when inserted into a scraper, like a carpet. Demand for large public spaces, museums. Needs the viewer's education, participation.
https://vidulejs.blogspot.com/2023/12/angels-with-torn-wings-dags-vidulejs.html
2 notes · View notes
belphegor1982 · 1 year
Text
Tumblr media
I posted 2,617 times in 2022
171 posts created (7%)
2,446 posts reblogged (93%)
Blogs I reblogged the most:
@modmad
@tinydooms
@kabbal
@radarsteddybear
@dawntreaderflynne
I tagged 2,613 of my posts in 2022
#queue - 1,832 posts
#<3 - 411 posts
#xd - 282 posts
#cobra kai - 146 posts
#yep - 119 posts
#yes this - 111 posts
#our flag means death - 107 posts
#:d - 91 posts
#signal boost - 87 posts
#... - 79 posts
Longest Tag: 101 characters
#this post brought to you because my impending 40th birthday constantly reminds me of my own mortality
My Top Posts in 2022:
#5
OH FUCK I HAVE NEVER BEEN HAPPIER TO SEE THIS ASSHOLE’S FACE
THE FASCISTS DIDN’T WIN
84 notes - Posted April 24, 2022
#4
Bon. D’autres l’ont dit mieux que moi, mais bordel, allez voter Macron dimanche. Pas parce qu’il a fait du bon boulot (il n’y a qu’à voir la casse sociale que lui et ses petits copains ont fait depuis 5 ans), pas parce qu’il est sympathique (je les exècre, lui et son arrogance, il a le mépris inné de celui qui n’a jamais rien raté de sa vie par pur hasard), mais parce que quoi qu’il fasse, Le Pen sera pire.
D’abord, c’est l’extrême droite. (L’EXTRÊME DROITE. Depuis quand c’est un détail !?) Une idéologie fondée sur les intolérances de tout poil. Un parti fondé par d’anciens Waffen-SS, collabos, et tortionnaires pendant la guerre d’Algérie. Contrairement à celleux qui brament qu’on “a essayé la gauche et la droite, pourquoi pas quelque chose de nouveau”, c’est exactement Vichy remis au goût du jour, avec l’islamophobie en prime. Si elle gagne tous les fachos et les néo-nazis de France ne se sentiront plus pisser. On a vu ce que ça donnait quand Trump est passé en 2016, et encore, c’était de l’autre côté de l’Atlantique.
(Vous voulez vraiment que la première présidente de la république française soit d’extrême droite !?? SÉRIEUX.)
Donc oui, j’irai voter pour l’autre connard au second tour, parce que NON, ce n’est PAS “la peste ou le choléra”, c’est l’ultralibéralisme de droite ou l’extrême-droite.
Et quel que soit le nombre de Français qui votent “blanc”, dimanche à 20h on aura une tête à la télé, et ce sera soit l’un, soit l’autre. Pas de deuxième chance, pas de “elle a gagné mais il avait plus de voix”, non - ce sera la présidente élue au suffrage universel. Pendant cinq ans. Imaginez tout ce qu’elle pourra détruire pendant cinq ans. Tous celleux qu’elle pourra détruire pendant cinq ans. La honte de savoir que la France est un pays de fachos aux yeux du monde (et aux nôtres).
On sait que ces enfoirés vont aller voter, eux, et on sait qu’un certain nombre de déçus de Macron ou des Mélanchonnistes déçus peuvent voter pour Le Pen par dépit.
DONC, VOTEZ MACRON.
(même si putain, ça me fait mal.)
Les révolutionnaires du passé sont morts pour que la révolution puisse passer par les urnes.
N’écoutez pas les sondages, ils se plantent régulièrement.
ALLEZ. VOTER. MACRON. DIMANCHE.
85 notes - Posted April 22, 2022
#3
The 2022 (French) elections have had a wholly different vibe from the 2017 ones. Few to none big business scandals (McKinsey n’a pas pesé tant que ça, finalement) and no big surprise - just a slow inescapable crawl towards the same results, which feel even worse now that we’ve had five years of Macron methodically trying to dismantle public services and make the rich even richer (and the poor even poorer). Every single candidate (all 12 of them) has either said or done something that made me recoil and think “NOPENOPENOPE”. The only ones with a minimum of social conscience made less than 5%.
And now we’ll vote for this clown again, because there is no way in hell we let a fascist-adjacent come to power again.
(there are plenty of Le Pen voters who argue that we’ve “tried the right, and the left, now it’s time to try something else for the first time”. They’re wrong. The ideas she defends have governed France before: from 1940 to 1944.)
So, yeah. I’ll go vote in two weeks to keep Le Pen from being elected. But fuck am I tired.
99 notes - Posted April 10, 2022
#2
There is not nearly enough dogs wearing bandanas around their necks. Just more dogs wearing bandanas, please, that'd be grand
160 notes - Posted March 25, 2022
My #1 post of 2022
If I see ONE POST like last time about how “waaah the French are sexist ‘cause they didn’t want to elect a woman for president” I will lose my entire shit. SHUT UP. Her party was founded by LITERAL NAZIS. She's racist, homophobic, sexist, she wants to re-establish the death penalty and undo the 2013 marriage equality law, she’s all kinds of awful and you do not get to make idiotic comments without any context.
180 notes - Posted April 24, 2022
Get your Tumblr 2022 Year in Review →
5 notes · View notes
aurevoirmonty · 2 years
Text
Tumblr media
En ce 24 octobre 1940, dans la nuit commençante, sous la lumière des falots éclairant le quai de la petite gare, il était difficile, au premier regard, de distinguer le vainqueur du vaincu. Bien droit malgré son grand âge, dans sa tenue toute simple, Pétain eut presque un geste de souverain en tendant la main au dictateur, tout en le fixant d'un œil inquisiteur, glacial et pénétrant… Les deux hommes se serrèrent silencieusement la main, sans qu'un sourire vint éclairer leur visage. En leurs personnes, la France et l'Allemagne semblaient s'affronter. Tous les assistants, y compris les sentinelles présentant les armes, sentirent passer le souffle de l'Histoire. Personnellement, je le sais, vous n'avez pas voulu cette guerre… La France a été vaincue… Et Pétain n'eut pas de réaction quand je lui traduisis ces paroles. L'énergie avec laquelle la flotte française s'est défendue à Mers-El-Kébir, sans reculer devant de graves pertes en hommes et en matériel… La France continuera-t-elle à défendre son Empire colonial, comme à Dakar ?… Pétain ne répondit pas. Hitler redemanda avec insistance ce que ferait la France si l'Angleterre l'attaquait de nouveau. Le Maréchal déclara alors que son pays avait trop souffert moralement et matériellement pour se lancer dans un nouveau conflit. Manifestement irrité, Hitler s'écria d'un ton hostile : " Si la France ne veut pas se défendre elle-même et nourrit encore des sympathies pour les Anglais, elle perdra son Empire et se verra imposer des conditions de paix aussi dures qu'à l'Angleterre." _ Jamais une paix de représailles n'a eu de valeur durable dans l'Histoire, répliqua le Maréchal d'un ton glacé. " Si la France est décidée à m'aider…" Pétain saisit habilement l'occasion de se dérober en demandant comment Hitler envisageait le traité de paix " pour que la France connût son destin et que les deux millions de prisonniers pussent revenir dans leurs familles." Ce fut au tour de Hitler d'éluder. Pétain insista pour un retour prochain des prisonniers, sur la situation intolérable de la France séparée en deux zones, sur la charge écrasante des frais d'occupation. Hitler ne se formalisa pas, fit l'éloge du soldat français, des grandes qualités des paysans, de la beauté architecturale de Paris. Les bons rapports des prisonniers avec la population en Allemagne "étaient de très bon augure pour la collaboration entre les deux peuples". Ce fut alors que le mot "collaboration" fut prononcé. Laval intervint pour rappeler les efforts déployés par lui en vue d'un rapprochement, reprenant ses déclarations de l'avant-veille… L'entretien tirait à sa fin. Pétain revint sur la question des départements du Nord, fut moins net en ce qui concernait l'Alsace et la Lorraine, désirant seulement à ce qu'il semblait sonder les intentions de Hitler à ce sujet. Le dictateur se borna à lui répondre qu'il avait besoin de réfléchir à toutes ces questions et qu'il lui ferait connaître par écrit sa position… Pétain écouta tout en silence. Pas une seule fois il n'eut un mot aimable pour Hitler ou pour l'Allemagne. Et Paul Schmidt conclut: Je n'ai compris qu'après la guerre l'attitude que le Maréchal avait eue à Montoire en apprenant que, le jour même de cette entrevue fameuse, le professeur Rougier discutait en son nom avec Churchill. Aujourd'hui, quand je compare le compte rendu de cet entretien de Londres, autrement plus concret, avec celui de Montoire, et en tenant compte des événements ultérieurs, je suis enclin à conclure que le Maréchal Pétain fut le vainqueur diplomatique de Montoire.
L'entrevue de Montoire une victoire diplomatique du Maréchal Pétain par Paul Otto Schmidt, traducteur du Führer.
Extrait du livre : Aux côtés du Maréchal Pétain par le vice-amiral Fernet issu du livre souvenirs de Paul Schmidt.
1 note · View note
nunc2020 · 2 years
Text
ur la France86.
Au revoir, Paris !
105Le départ des Allemands de Paris a donné lieu à un changement étonnant du ton des reportages. À la veille du débarquement, un auteur anonyme87 a réitéré encore la dénonciation de la prétendue hypocrisie des Parisiens, attendant « l’invasion » aux bistrots qui gardaient des gourmandises – du jambon à l’absinthe – cachées sous le comptoir, et où l’on aimait discuter sur le jour J, tandis qu’on paniquait, tremblant de peur, quand des bombardements alliés touchaient Paris : enfin, la réalité les a saisis. Cependant,
« […] il est difficile de comprendre comment un grand peuple peut penser de façon si impulsive et à courte vue. Mais n’était-ce pas justement la France qui avait livré il y a quatre ans un bel exemple d’une politique purement émotionnelle ? Les Parisiens, en juin 1940, ne suivaient-ils pas chaque fantassin [allemand] pour lui assurer en baragouinant qu’ils avaient été trompés par Daladier et Reynaud, Chamberlain et Churchill ? On devait les écouter, de toute façon, ils nous glissaient de force dans la main les débris de leurs illusions avec une emphase tragique. »
106Quand il dénonce l’arrogance de Paris, il semble y révéler aussi de la compréhension :
« Paris a cette arrogance à laquelle amène la beauté. La ville se sait admirée et elle s’admire elle-même, et les expériences du passé l’ont réconfortée dans son sentiment de primadonne. Moltke hésita à faire tirer sur elle, Hitler l’a épargnée – comment ne devrait-on pas se sentir invulnérable si même ceux qu’on a désignés d’habitude comme des barbares l’ont tellement ménagée ? Baignant dans cette arrogance, on avait toujours évalué le bruit miaulant des sirènes comme un avertissement théorique, on commandait un deuxième apéritif, quand ça hurlait pendant la journée, et l’on se tournait sur l’autre côté quand on était déjà au lit. »
107Quelques mois plus tard, après avoir quitté Paris, Albert Buesche écrit encore deux articles étonnamment nostalgiques, mais dont il ne veut pas qu’on les comprenne comme des éloges funéraires, car on a quitté Paris – l’auteur parle ici au pluriel – dans le sentiment que « cet adieu n’était pas un adieu pour toujours, les fils noués doivent être repris88 ». Et maintenant il peut louer cette attitude des Parisiens tant de fois condamnée dans les colonnes du Reich :
« Jamais Paris n’abandonnera son idylle. Je suis convaincu qu’elle fleurit aussi à côté de l’horreur, pendant ces semaines tourmentées, que les pêcheurs des quais de la Seine continuent sans se laisser déranger la pêche à la ligne, qu’aux Tuileries des amants se retrouvent au crépuscule, que la concierge est assise devant la porte, le soir, regardant la rue et le ciel. »
108Quand ces gens paisibles, toujours dans les nuées, devenaient abruptement des fanatiques enragés sous l’occupation, ce n’était pas en s’insurgeant contre l’occupant, mais en se plaignant de la pénurie des beefsteaks… : même quand les Allemands ont dû quitter la ville, dit l’auteur, les Français se demandaient pourquoi on ne pouvait pas s’entendre enfin. Propos qui est particulièrement grotesque, face à la joie, d’un côté, et l’esprit d’épuration, de l’autre, précédant déjà le départ des Allemands. Peut-être est-ce vrai quand il dit : « Jusqu’au dernier moment, les Français avec lesquels nous avions à faire ont, presque sans exception, tout fait pour nous aider. » Mais est-ce aussi le cas pour la scène suivante ?
« Cela ne s’oublie pas. ça ne s’oublie pas quand un Français défend une voiture allemande, chargée de bagages, dans la rue, contre l’emprise de la racaille, quand un commissionnaire remplit ses devoirs pour des Allemands, alors que les rues retentissent déjà du feu des mitrailleuses des insurgés ; quand un chauffeur prend congé, les larmes aux yeux, en souhaitant un retour prochain. »
109Pendant les quatre années entre l’arrivée et le départ des Allemands, dit l’auteur, on a montré de la bonne volonté, on a tout fait pour que les deux peuples puissent vivre un jour dans une « communauté de paix et d’ordre ».
« Est-ce que cela doit aussi partir en fumée, après que la rencontre avec cette ville, pour bien des Allemands, et l’expérience de l’occupation, pour beaucoup de Français, leur a donné une connaissance plus profonde de leur propre être et de leur chemin, une compréhension des tâches nobles et communes ? »
110Confiant pour l’avenir, l’auteur conclut avec une étrange prophétie :
« Ce qui pendant ces quatre années d’occupation allemande en France a été préparé et créé en matière d’européanité, de part et d’autre, n’est pas perdu. Un jour nous allons rencontrer de nouveau les Français de notre sens et de notre action. Entre-temps, peut-être pour un temps plus long, on aura fait, des deux côtés, son chemin seul ; plus d’un ne sera plus, peut-être, mais l’idée, elle, continuera à vivre, mûrie et purifiée. »
111Les « quatre années d’échanges culturels » sous la direction de l’Institut allemand, dont Buesche fait le bilan en janvier 1945, furent « un appel à la raison89 ». Les autorités allemandes n’ont, par exemple, pas ou très peu réglementé la production littéraire :
« Comme avant la guerre, le lecteur français reçut les nouveaux livres de Montherlant, Cocteau, Giraudoux, Châteaubriant, Giono, Claudel, Céline, Daniel-Rops, Drieu la Rochelle, Brasillach. D’autres furent réimprimés, comme André Gide. Des auteurs nouveaux et importants comme Gustave Thibon […] vinrent de la zone non occupée. »
112Giraudoux et Claudel continuaient à être joués, et les arts ne rencontrèrent aucune entrave, car « les autorités allemandes ne se mêlaient pas du va-et-vient de la politique culturelle française ». Le travail culturel des autorités allemandes, et avant tout de l’Institut allemand, bien que placé sous le signe de la guerre, « avait le caractère d’une rencontre dans la paix, et ses objectifs visaient bien au-delà de la guerre. » Après tout cela, conclut l’auteur,
« […] il devrait être impossible que l’Allemagne et la France oublient leurs rapports de frères dans le concert des peuples européens. Si les deux pays se sont pendant si longtemps comportés le plus souvent en frères ennemis, pourquoi la reconnaissance que des frères devraient au fond aller ensemble ne prendrait-elle pas le dessus un jour, après toutes ces expériences douloureuses et tragiques ? Ce serait un triomphe de la raison ; les deux peuples se le doivent réciproquement. »
113Un discours fantomatique ! Mais il anticipe l’attitude de maint journaliste qui reprendra la parole après la guerre, parfois dans les mêmes organes qu’avant, parfois dans de nouveaux, pour plaider la bonne entente franco-allemande comme si rien n’avait été…
1 note · View note
lepartidelamort · 1 month
Text
Débauche de terreur juive à l’Élysée où Macron a reçu le CRIF génocidaire
C’est au beau milieu d’un génocide perpétré par les juifs en Palestine que Macron était invité à l’Élysée par le CRIF, le gouvernement occulte qui dirige la France occupée. Les agressés (les indigènes) ont présentés comme les agresseurs et les agresseurs (les juifs) comme les agressés.
C’était un exercice délirant, une inversion accusatoire complète. Il s’en est pris au tribalisme des goyim qui « mène au génocide ».
Tumblr media
Au moment où l’armée juive invoque sa Torah pour assassiner des dizaines de milliers de civils en Palestine, ce sont encore les pauvres goyim de France qui se font invectiver et menacer par Macron.
Gaza
Un Français servant dans l’armée israélienne montre des Palestiniens enlevés à Gaza.
Le soldat dit : « Vous verrez son dos… REGARDEZ COMMENT NOUS L’AVONS TORTURÉ »
Tumblr media
Macron a rappelé que le combat contre la population indigène se poursuivra, aucun signe d’insoumission à la puissance coloniale ne sera admis.
Il a insisté sur le fait que les victimes de la domination juive ne pourront jamais poser de questions. Subir l’oppression en silence, sous la menace de la répression d’état, voilà le programme pour les Français.
Tumblr media
Comme le dit Shannon Seban à cette occasion, c’est « leur » président.
Tumblr media
Les juifs n’ont pas été très originaux. Ils ont exigé que la terreur d’état contre la population française soit largement intensifiée, estimant que la traque d’état actuelle était bien insuffisante.
Fidèles à leur modestie légendaire, ils se sont déclarés en résistance contre la population française, avant de décréter que la moitié de l’électorat français, au moins, était un ramassis d’ordures.
Tumblr media
Parmi les exigences mêlées de menaces, la purge de l’université.
Tumblr media
La censure de divers médias ensuite.
Tumblr media
Indépendamment de cette agitation, l’emprise juive sur la France, si elle est totale au plan institutionnelle et gouvernementale, fond comme neige au soleil dans la société.
Les afro-maghrébins, pour ne citer qu’eux, n’en peuvent plus.
Tumblr media
Il faut dire que Macron urine généreusement sur les cadavres de nourrissons palestiniens exécutés par milliers par l’armée de tutelle du CRIF, Tsahal. Ce n’est pas de nature à plaire aux quelques 12 millions de musulmans qui sont établis dans le pays.
Les cercles dirigeants ont des raisons d’être inquiets. Ils savent que le juif est ciment de ce régime en voie d’implosion. Le fait que le juif soit désormais le dénominateur commun de la colère populaire ne peut que se convertir en révolte contre le régime lui-même.
Les juifs le disent et le répètent à raison : sans eux, il ne peut y avoir de république, régime ontologiquement étranger. C’est avec l’avènement de la Troisième République et la non-affaire Dreyfus que les juifs ont conquis l’État français pour ne plus le lâcher, si ce n’est durant la brève période de 1940-1944, mollement, quand l’Allemagne nationale-socialiste a libéré la France.
Ce n’est pas innocemment qu’ils ont donc rappelé qui tenait le régime depuis toujours. Macron, plus vil d’obséquiosité que jamais, a complaisamment rampé.
Tumblr media
Ce numéro de cirque n’a toutefois aucun impact sur la réalité.
Ces juifs n’y cèdent que parce qu’en raison de leur nature puante d’arrogance. Parader et se donner en spectacle tout en insultant le pays qu’ils squattent est leur raison d’être. Du lever au coucher, ils ne pensent qu’à ça.
C’est un fait, sans les flics la population aurait déjà lancé la chasse au juif. Au minimum du minimum, les musulmans seraient déjà passé aux travaux pratiques dans l’indifférence des Français de souche. Les juifs savent que les Français ne bougeront pas le petit doigt pour leur sauver la mise et c’est ce qui les angoisse terriblement : si, pour telle ou telle raison, la police française défaillait, et c’est inévitable à terme, il y aurait des pogroms spontanés un peu partout dans les villes françaises.
Personnellement, j’estime qu’il faut laisser ces gens discuter de leurs problèmes entre eux, sans intervenir.
Tumblr media
Naturellement, ces juifs observent la température monter inexorablement. L’observateur peu informé pourrait croire que cela modérerait les ardeurs de ces gens, mais c’est mal connaître la nature fanatique du juif. Ces juifs sont aussi dénués de scrupules qu’ils sont stupides, ils redoublent donc dans l’insolence et les menaces, attisant toujours plus la résistance populaire à leur ignoble impudence.
C’est justement dans ce moment qu’il opte pour la radicalisation totale. Partout, il revendique fièrement sa race, s’exhibe, glorifie les menées génocidaires de son organisation terroriste en Palestine, menace peuples et nations avec une haine redoublée.
Et plus le juif se déchaîne contre les autres, plus il s’exhibe en gémissant, se disant la victime d’un incompréhensible complot international.
Politiquement, il faut être suicidaire pour miser sur ces juifs.
L’homme le plus lucide actuellement sur cette réalité, c’est Mélenchon. Les médias juifs peuvent l’insulter du matin au soir, cela ne change rien.
Tumblr media
0 notes
plaque-memoire · 4 months
Text
Tumblr media
Plaque en hommage à : Victimes de la Seconde Guerre mondiale
Type : Commémoration
Adresse : Gare de Dijon-Ville, cour de la Gare, 21000 Dijon, France
Date de pose :
Texte : La République française en hommage aux victimes racistes et antisémites et des crimes contre l'humanité commis sous l'autorité de fait dite "gouvernement de l’État français" (1940 - 1944). N'oublions jamais
Quelques précisions : Lors de la Seconde Guerre mondiale, la ville de Dijon est occupée par les Allemands de juin 1940 à septembre 1944. Si la ville ne souffre guère de dégâts matériels en comparaison avec d'autres agglomérations françaises (seule la gare étant véritablement détruite), les persécutions contre les Juifs et les opposants y sont tout aussi féroces que dans le reste de la France. La Gestapo y dispose d'une forte implantation et planifie de nombreuses opérations de démantèlement des réseaux de la Résistance. Des mesures antisémites ont été mises en place, aboutissant à la persécution des Juifs, à des arrestations et à des déportations vers les camps de concentration nazis. Ainsi, la rafle de Dijon, en février 1944, verra la déportation de 87 hommes, femmes et enfants (une seule femme survivra). La ville est finalement libérée par les troupes alliés : la bataille y est légère, les Allemands ayant préféré battre en retraite. Cette plaque commémorative est située à côté d'une autre honorant les personnes parties en déportation depuis la gare de Dijon.
1 note · View note
robhen55 · 9 months
Text
Tumblr media
Felix Nussbaum (allemand, 1904-1944)
« Autoportrait avec carte d'identité juive », 1943
----------------------------------
Cette huile sur toile (56 x 49 cm) a été réalisée en 1943 par Félix Nussbaum (1904-1944), un Allemand de confession juive. A cette époque, il s’est réfugié en Belgique pour échapper au génocide. Elle est conservée dans la maison de F. Nussbaum à Osnabrück en Allemagne. Le peintre s'est représenté de trois-quarts, le visage fermé (émacié et mal rasé) dans une ambiance très sombre et dramatique (ciel noir menaçant et oiseaux noirs de mauvais augure), il semble bloqué dans une ruelle entre deux murs gris sans échappatoire (sauf peut-être l'arbre de l'autre côté du mur pointant vers le petit bout de ciel bleu pouvant représenter une échelle permettant de s’évader... Vers un monde plus libre), des murs qui pourraient rappeler les murs des ghettos dans lesquels les juifs étaient parqués, sûrement sur le point de se faire contrôler (il présente sa carte d'identité expirée depuis longtemps et qui prouve donc qu'il est recherché) et on voit même dans son regard dirigé vers le spectateur comme si c'était nous qui lui demandions ses papiers, qu'il a extrêmement peur de se faire arrêter.
Et il a sûrement raison quand on voit l’immeuble derrière le mur laissant apparaître trois fenêtres: Elles représentent une menace (derrière chacune peut se cacher un dénonciateur). D'ailleurs sa tenue vestimentaire (grand manteau beige avec le col remonté et chapeau gris sur la tête) semble indiqué qu'il souhaitait le moins possible qu'on puisse le remarquer malgré étoile de David cousue sur son manteau, que les Juifs devaient obligatoirement porter durant la guerre pour être facilement identifiable par les membres de la Gestapo. Mais justement par rapport à la présence de cette étoile dans le tableau, si on regarde bien les détails de sa carte d'identité, on peut observé que son lieu de naissance, (Osnabrück), a été effacé au point d’en devenir illisible et que son pays de naissance Allemagne a été supprimé et qu'à la place on peut y voir écrit "sans nationalité". De même en rouge et en lettres capitales, Juif est écrit en deux langues (français et néerlandais), ce qui indique que la scène dépeinte se déroule alors qu'il est réfugié en Belgique. Et que donc, dans l’Europe occupée jamais on ne l'aurait obligé à porter cette étoile.
Par la présence de cette étoile, le peintre a sûrement voulu souligner qu'il n'était plus considéré aux yeux du monde que comme un juif, un apatride (sans nationalité), un presque sans-nom car comme on peut le voir en regardant de plus près sa carte d'identité, son prénom et son nom commence à s'effacer. Le peintre insiste là sur la perte de l’identité, qui est au cœur du processus de déshumanisation voulu et orchestré par le pouvoir nazi. JUIF qui y est inscrit en lettre capitale et en rouge vif renforce cette idée, une couleur qui rappelle bien évidemment le sort qui était réservé à ce peuple: Raflés, internés et exterminés dans des centres de mise à mort. D'ailleurs Félix Nussbaum qui se cachait à Bruxelles (passant son temps entre un atelier et une cachette dans un grenier) avec sa femme Felka Platek (une artiste juive polonaise) après s'être évadé du camp Saint-Cyprien dans le sud de la France en 1940, sera arrêté sur dénonciation par la Gestapo à Bruxelles le 21 juin 1944. Transporté à Auschwitz, il y sera assassiné avec son épouse le mois suivant. Il avait pu mettre à l’abri ses toiles chez deux amis.
"Si je meurs, ne laissez pas mes peintures sombrer avec moi, montrez-les aux hommes". Félix Nussbaum.
1 note · View note
lili-marlene1939-1945 · 10 months
Text
ATTENTAT DU GROUPE WAGNER : SIMILITUDES AVEC L’ATTENTAT CONTRE HITLER DU 20 JUILLET 1944 !
Le conflit Russo-Ukrainien a beaucoup de parallèles avec la Seconde Guerre Mondiale de 1939-1945, et nous sommes mêmes étonnés parfois que les médias ne soulèvent pas davantage ce fait ; nous aimons à penser que l’histoire est à l’humanité ce que la psychologie est à l’individu, soit une analyse du passé afin de mieux comprendre le présent et mieux appréhender l’avenir.
Parmi ces parallèles, il y a la révolte actuelle du groupe « Wagner » contre le pouvoir de Poutine qui peut revêtir certaines similitudes avec le soulèvement d’une clique d’officiers de l’Armée allemande, la Wehrmacht, contre Hitler, le 20 juillet 1944.  Nous vous proposons ici d’apprécier ces mêmes similitudes et probablement serez davantage en mesure d’analyser les faits actuels de l’actualité à la lumière du passé, et cela, sous un nouveau jour.
Tout d’abord, un petit récapitulatif des événements ayant conduit à la guerre de 39-45 , ainsi qu’un bref aperçu des premiers mois du conflit.
En septembre 1939, Hitler croyait pouvoir envahir la Pologne, sans susciter de réaction de la part de la France et de l’Angleterre, comme il avait pu le faire auparavant pour la Rhénanie, l’Autriche, et la Tchécoslovaquie entre 1936 et 1939.  Mais c’était là une erreur : à ce moment précis, les Alliés occidentaux crurent ne plus avoir le choix de répliquer, et ils lui envoyèrent un ultimatum diplomatique, l’enjoignant de retirer ses troupes.  En cas de refus, la guerre serait déclarée.  Il persista dans son entêtement, et les événements suivirent le cours que l’on connait tous.  
Si, de prime abord, les forces hitlériennes et celles des Alliés se regardèrent en chien de faïence de part et d’autre de la ligne Maginot, sans tirer le moindre coup de feu, depuis le 2 septembre 1939 dans le cadre de la « Drôle de guerre », c’est toutefois à partir du 10 mai 1940 qu’Hitler ordonna à ses troupes de foncer avec pour objectif, la prise de la Belgique, du Luxembourg, des Pays-Bas, et finalement de la France, au terme de la fameuse Blitzkrieg ou « Guerre éclaire ».  Le continent Européen occidental vît alors à l’heure allemande, mû au gré des bottes cloutées de l’envahisseur, qui referma alors sur lui une main de fer noire qui fit des dizaines de milliers de victimes civiles, si tant est qu’un quidam eut l’air de contester son autorité qui était entre les mains de la terrible SS.
Néanmoins, peut-être l’Angleterre était-elle pas Gaulloise, mais celle-ci résistait toujours, seule depuis 1940, galvanisée par son nouveau Premier Ministre, Winston Churchill, tandis que son opposant voguait toujours de succès en succès dans les mois qui suivirent : il pu rajouter les pays Baltes, Malte, et même l’Afrique du Nord en 1942 à son tableau de chasse.
Suite au bombardement de Pearl Harbor, survenu le 7 décembre 1941, les États-Unis entrèrent dans le conflit.  Ils débarquèrent en Afrique du Nord en 1941, puis en Sicile (Italie) en 1943 afin d’y combattre les Allemands, aidés des Anglais.  
En 1942, toutefois, Hitler vit sa chance vaciller, pour tomber définitivement au terme de la Bataille de Stalingrad de novembre 1942-février 1943.  Il perdit dans l’aventure plus de 100 000 hommes qui constituaient la 6e Armée dirigée par le Général Paulus.  Ils furent soit capturés ; soit tués par l’une des Armée Russe de Staline.  Mais ce fut le Débarquement de Normandie, le 6 juin 1944, qui donna le coup final aux Allemands qui dès lors, ne cessèrent de reculer, pour être reconduits dare-dare dans les limites de leurs frontières ; à l’Ouest par les Alliés occidentaux ; à l’Est par les Russes.
Au début de la guerre, ce furent les généraux professionnels qui développèrent cette méthode de combat très efficace, la Blitzkrieg, encore utilisée dans la guerre Ukrainienne actuelle, qui coordonne les trois armes dans un « tango » rapide et efficace : tout d’abord, l’aviation qui bombarde  et mitraille pour désorienter l’ennemi et le terroriser ; en second lieu, les chars d’assaut ou Panzer en allemand, pour foncer dans les défenses ennemis et enfin, l’infanterie pour nettoyer les derniers nids de résistance et occuper le territoire.  Mais plus la guerre allait, et plus Hitler se persuadait qu’il était infaillible, grâce, entre autres, à la propagande efficace de Goebbels, son ministre, qui faisait quotidiennement de lui un surhomme, et à quelques livres qu’il avait lu dans sa vie.  Ce faisant, le dictateur se croyait plus compétent que ses généraux, et se mit à renvoyer ceux-ci plus la guerre avançait, et les remplaçait par des béni-oui-oui éduqués dans le régime Nazi et peu compétents.  Ce qui explique, en grosse partie, les défaites allemandes qui s’accumulaient.
Au début de la guerre, les généraux tels que Manstein, Guderian ou von Rundstedt, faisaient parti d’un groupe très sélect de militaires professionnels de la lignée Prussienne, qui étaient souvent militaires de père en fils depuis plus de dix siècles.  Ils étaient la fine fleur de ce qui était reconnue comme la meilleure armée en occident depuis des milliers d’années ; la plus moderne et la mieux formée.  L’Armée Prussienne était considérée comme la plus moderne, la plus efficace, et elle était à l’époque ce que l’Armée Américaine est de nos jours.  Seulement, suite au gâchis de la Première Guerre mondiale (rappelons que les Allemands n’ont pas perdu la guerre de 14-18 de façon militaire : ils ont dû abandonner parce que leur Patrie était en train de mourir de faim), la plupart des hommes avaient dû rentrer dans leurs terres et laisser leurs uniformes dans le placard de la honte, là où le Traité de Versailles les avait relégués, en interdisant l’Allemagne de posséder une Armée de plus de 100 000 hommes, et même, il lui ordonnèrent de démanteler ses forces aériennes et navales.  Une honte pour un pays où tout homme ou femme avaient déjà porté l’uniforme avec fierté !  En arrivant au pouvoir, Hitler avait su convaincre les plus frustrés qu’il rétablirait le service militaire ; qu’il rebâtirait l’Armée de l’Air et la Marine ; qu’il redonnerait aux généraux leurs commandements ; qu’il remettrait à l’honneur les parades sur l’Unter den Linden de Berlin.  Bref, que la Prusse redeviendrait une puissance militaire fière.
Les généraux avaient été ravis de voir que celui-ci respectait sa parole, et les effectifs des Forces Armées s’agrandirent très rapidement.  Cependant, les plus vieux d’entre eux – dont était entre autres von Rundstedt – regardaient Hitler avec mépris, puisque celui-ci était à leurs yeux un parvenu, et non comme eux, un fier propriétaire terrien issu d’une longue lignée de Junker, ce titre médiéval qui fait du seigneur du comté un chevalier combattant.  Ils l’appelaient dédaigneusement le petit caporal, derrière son dos, en allusion à son grade de la Première Guerre mondiale lorsqu’il avait été estafette entre le Front et l’État-Major.  Mais ceux-ci, de père en fils, avaient appris à obéir.  Ils lui obéirent donc, même s’ils furent quelque peu choqués lorsqu’en 1935 Hitler remplaça le serment de fidélité au drapeau – qui était de mise pour la classe combattante depuis les tout premiers siècles après notre ère – par un serment de fidélité à sa propre personne.  Ils le trouvèrent pour le moins gonflé, mais acceptèrent néanmoins de jurer solennellement qu’ils le protégeraient, lui et la patrie ; qu’ils lui obéraient sur l’honneur et ne lui feraient jamais de mal, sans quoi ils accepteraient le châtiment ultime.  
Quand Hitler a réuni les Feld-Maréchaux, en 1937, pour une réunion demeurée célèbre dans l’Histoire et qu’on a retenu comme était le « Protokoll Hossbach » du nom de celui qui prit le procès-verbal, pour leur dire de préparer des plans d’attaque pour la Tchécoslovaquie, les généraux une fois de plus furent choqués qu’on veuille les utiliser comme arme agressive plutôt que défensive, mais ils se turent car après tout, Hitler ne « voulait que rendre à l’Allemagne sa grandeur d’antan ; sa prédominance d’avant 1918 ».  La plupart d’entre eux le suivirent sur cette voie.  Mais les autres tentèrent de court-circuiter ses plans, car ils ne voulaient pas d’une guerre.  Pas pour des raisons morales, mais pour des raisons purement stratégiques : l’Allemagne n’était pas encore prête militairement et ne le serait qu’en 1943 ou 1945, de l’avis de certains.
Cette clique de contestataires de l’ombre finit par compter non seulement des hauts officiers, mais également des hauts fonctionnaires; des civils et des diplomates.  Pour eux il était incontestable qu’Adolf Hitler conduisait l’Allemagne sur la route de la destruction.  Ils tentèrent bien de l’assassiner une ou deux fois, mais ils échouèrent lamentablement.  Même leurs efforts diplomatiques de dernière minute en 1938, lors des Accords de Munich, ils n’eurent pas plus de succès. Lorsque la guerre débuta, ils se réunirent encore une fois ou deux, mais lorsque les choses commencèrent à bien tourner pour l’Allemagne, entre 1939 et 1941, leurs doutes s’évanouirent au gré des succès des premières années.
Ces succès furent le faits des généraux Prussiens qui connaissaient leur métier.  Cependant, Hitler, tant pour les citoyens que pour les soldats, était devenu l’objet d’une propagande plus grande que nature : l’image du Führer tout puissant ; du chef parfait qui ne peut faire d’erreur.  Du politicien qui a toujours raison et qui travaille jour et nuit que pour le bien de l’Allemagne et des Allemands.  Qui sacrifie tout à cette tâche ; même sa vie privée (la population n’a été informée de l’existence de l’amie de cœur de Hitler, Eva Braun, qu’après 1945) et qui vit en total acète.
Cette propagande fut si efficace, que bientôt Hitler lui-même commença à intégrer celle-ci comme un fait absolu.  Et pour avoir lu quelques livres sur « l’Art de la Guerre », sans faire de jeux de mots, il se croyait encore meilleur stratège que n’avait pu l’être à une époque Moltke ou Clausewitz !  Ainsi, lors des réunions militaires – qui avaient toutes lieu chez lui à Berchtesgaden en Bavière, et non au QG des Forces Armées – il finit par laisser de moins en moins de libertés à ses maréchaux, et par imposer de plus en plus ses plans foireux.  De surcroît, il était « jusqu’au-boutiste » et refusa toujours que les Groupes d’Armées sur le point de se faire encercler ne reculent de façon stratégique, afin de refaire ses forces vives et repenser sa tactique.  C’est ainsi que ses hommes moururent en grand nombre, surtout sur le Front Est (Russie, Ukraine) où la bataille était impitoyable.
Les conjurés croyaient que Hitler était pour les conduire à la défaite.  Ils en craignaient les conséquences sur l’Allemagne, et l’idée que les Russes occupent leur Patrie leur était tout simplement insupportable.  Néanmoins, ils n’étaient qu’une petite clique de « résistants sans le peuple » et la majorité de l’Armée, la Wehrmacht, n’adoptait pas leurs vues.  Si la défaite de Stalingrad les poussa à se réunir de nouveau, le Débarquement de Normandie les conforta dans l’idée qu’il fallait agir à tout prix et se débarrasser de Hitler pour éviter un deuxième « Versailles ».
Toutefois, ici, il ne faut pas faire l’erreur de « revisiter » l’Histoire comme on est en train de le faire en Allemagne et dans les différents films faits sur le sujet (ne pensons ici qu’au film avec Tom Cruise dans le rôle-titre) : les généraux complotistes ne voulaient pas du tout tuer Hitler pour stopper les combats de la Deuxième Guerre mondiale, libérer les camps d’extermination, et refaire une société démocratique et égalitaire de l’Allemagne, tout en rendant les territoires et pays annexés entre 1935 et 1943 à leurs propriétaires d’origine. Il n’était pas question de cela.  Bien au contraire, le but était plutôt de mettre quelqu’un à la place de Hitler qui serait vraiment un professionnel de la guerre, et qui ne commettrait pas toutes les erreurs qu’a faite ce dernier.  Car il fallait bien le dire, celui qui a véritablement fait perdre la guerre à Hitler est nul autre que Hitler lui-même !  D’ailleurs, c’est pour cette raison que Churchill décida à la dernière minute de ne pas donner son aval au tueur à gages qu’il avait choisi pour liquider le dictateur en 1942.  Il savait bien que quelqu’un de plus compétent à Berlin pourrait signifier la victoire allemande finale.  Notons au passage que le seul groupe de résistance qui fut formé en Allemagne et qui avait de véritables objectifs de démocratie et de pacifisme, était la « Weiss Rose » ou « Rose Blanche », fondé en 1942.  Mais ses membres furent emprisonnés dans des camps de concentration par la SS et la majorité ont été tués avant la fin de la guerre.
Déjà, en 1938, suite à la Conférence Hossbach, quelques généraux avaient tenté d’alerter les autorités diplomatiques Britanniques, suppliant Londres de demeurer ferme face au dictateur, et de menacer Hitler de dures représailles s’il ne renonçait pas à attaquer les Sudètes (partie germanophone de la Tchécoslovaquie).  Mais Londres et Paris offrirent à Hitler les Sudètes sur un plateau d’argent suite aux Accords de Munich.  Puis la guerre éclata, en 1939, et Hitler vogua de succès en succès.  La résistance se fit donc moins résolue.  Mais à partir de 1942, la chance tourna pour les Allemands.
Donc, suite au débarquement allié en Normandie le 6 juin 1944, (par lequel les Alliés occidentaux – Britannique, Canadiens, Américains – débarquèrent sur la côte de la Normandie dans le but de déloger les Allemands de la France, puis de les pourchasser jusqu’à Berlin où, rejoints par les Russes qui eux devaient les déloger des pays de l’Est, ils devaient couper la tête de l’État Nazi et libérer tous les peuples asservis en Europe) la clique des généraux, menée par le général Tresckow qui était le chef de l’Armée Centre, se réunit dans le QG de ce dernier.  Se joignirent donc à eux les tout premiers conspirateurs de 1938 qui avaient tenté d’attirer l’attention de Londres sur les plans belliqueux du petit dictateur moustachu, soit l’ex-chef d’État-Major Beck ; Hans Oster, chef du Bureau Central des services de renseignements de l’Abwehr à l’étranger ; Friedrich Olbricht, Chef du Bureau général de l’Armée de terre à Berlin et adjoint du général Fromm à la tête de l’Armée de l’Intérieur ; le général von der Gersdorff, officier de liaison entre le Haut Commandement allemand (Hitler) et les plus basses instances de l’Armée, qui avait tenté de persuader la garde rapprochée du Fürher (von Leeb, von Rundstedt, et Bock) de refuser les ordres criminelles de ce dernier.  Mais plus encore que des explosifs, les officiers avaient besoin d’un plan, car ce n’était pas qui voulait pouvait approcher d’Adolf Hitler : il était gardé depuis 1934 par des soldats d’élite, la division Leibstandarte de la terrible SS ; il refusait les nouveaux éléments dans son entourage immédiat, et surtout, il ne respectait jamais les horaires annoncés à la population lors de manifestations publiques.  C’est ainsi qu’une tentative contre sa vie échoua en 1939 lorsqu’il quitta plus tôt qu’il ne le devait une exposition où avait été placée une bombe.  Il fallait donc un bon plan en 1944.  C’est ainsi que les conjurés remirent l’Opération « Valkyrie » au goût du jour.
En 1938, Hitler avait ordonné que des plans soient faits au cas où il aurait été en guerre avec d’autres nations, et que les troupes parties à l’étranger, une révolte importante éclate dans le pays.  Une Armée de l’Intérieur ou « de réserve » a donc été mise sur pied, sous le commandement de Fromm, dont le QG était sur la Bendlerstrasse à Berlin, et un plan avait alors été bâti, sous le nom de « Valkyrie », qui donnait à quelques généraux le moyen de reprendre la capitale des mains de potentiels révolutionnaires.  Les généraux renégats décidèrent donc que ce plan, que Hitler avait signé pour « sauver l’Allemagne », serait donc celui qui au contraire, permettrait aux conjurés d’ôter le pays des mains des Nazis (fonctionnaires, police, ministres, militaires, etc) une fois Hitler mort, afin de leur donner le pouvoir, qu’ils remettraient ensuite aux civils, quand les proches de Hitler seraient eux, emprisonnés.  Valkyrie serait donc détourné, et servirait aux généraux à pouvoir s’approcher de Hitler, avec l’excuse de lui faire signer ce « nouveau plan » (bien sûr, les généraux ne pouvaient lui montrer cette nouvelle mouture, mais le prétendre était une excuse pour s’approcher de lui et poser la bombe sans attirer l’attention).  Fromm, général suprême de l’Armée de l’Intérieur, fit donc une requête afin que son second, le général Stauffenberg, puisse aller « exposer ce nouveau plan » au Grand Quartier-général, situé en Prusse-Orientale (Rastenberg.  Aujourd’hui territoire Polonais) devant l’État Major Surprême afin que Hitler et le chef des Armées du Reich, Jodl, le signent.
Ainsi, Stauffenberg reçut-il l’autorisation de se joindre à la clique habituelle lors de la réunion quotidienne au GQG, le 20 juillet 1944, vers midi.
Lorsque Stauffenberg arriva il demanda immédiatement à se rendre à la salle de bain avant le début de la réunion, afin d’introduire le détonateur dans les 2 explosifs qui n’étaient pas plus gros que la serviette dans laquelle ils étaient.  Toutefois, Hitler était pressé d’en finir, puisqu’il recevait Mussolini quelques heures plus tard, et on pressa Stauffenberg de venir dans la salle.  Il n’eut le temps d’armer qu’un seul paquet d’explosifs et dû se dépêcher.  Puis il salua Hitler, assis vers le milieu de la table de chêne, et déposa sa serviette à côté du dictateur, sous la table.  Un aide-de-camp la poussa toutefois vers l’un des piliers de ciment, ce qui limita la portée de l’explosion.  Après avoir déposé la serviette, le chef de communication du complexe de Rastenburg, le général Fellgiebel – qui était dans le coup – téléphona dans la salle pour demander Stauffenberg qu’il devait « voir de toute urgence ».  Ce dernier sortit en consultant sa montre : il restait environ 4 minutes avant la détonation.  Il rejoignit Fellgiebel, et les 2 hommes montèrent en voiture, puis passérent les 4 contrôles afin de sortir de l’enceinte très bien gardée.  Au loin, alors qu’ils gagnèrent le terrain d’aviation afin d’embarquer dans le Fieseler qui les conduirait ensuite à Berlin, de là où il se rendraient ensuite sur la Bendlerstrasse afin d’aider le reste du groupe à prendre la capitale, ils entendirent l’explosion, et dès lors, considérèrent que Hitler était mort.
À tort.
Le dictateur avait survécu, et même, n’avait eu que les cheveux un peu brûlés, une épaule démise vite soignée, les tympans défoncés, et son pantalon déchiré.  Dans la pièce il y eut 4 morts et plus de 20 blessés de légers à grave.  À Berlin, les conjurés étaient convaincus que Hitler était mort et qu’ils pouvaient commencer à mettre leur plan en marche.  Jusqu’à ce que Göebbels ne les appelle afin de leur dire qu’il venait de parler avec Hitler, et qu’il ne les fasse arrêter.  L’Armée de l’intérieur fut confinée, et les conjurés exécutés au terme d’un procès vite expédié.  Le complot du 20 juillet 1944 avait échoué, et la journée s’acheva sur une diffusion à la Radio nationale Allemande sur un discours de Hitler qui promettait vengeance.
Dans les mois qui suivirent, plus de 200 personnes furent exécutées par la SS sur ordre de Hitler, pour avoir de près ou de très loin, trempé dans le complot, ou même, juste pour avoir côtoyé de supposés complotistes.  Même le général Rommel – qui avait remporté toutes les batailles entre 1940 et 1942 dans le désert de l’Afrique du Nord contre les Anglais et les Américains ; qui avait été le premier à vaincre les défenses Françaises au printemps de 1940 et à avoir livré un combat très enviable contre les Alliés en Normandie le 6 juin précédent – a été exécuté sur ordre de Hitler sur la route de Berlin par 2 hommes de la Gestapo venu le chercher chez lui.  Et pourtant, il était le général vedette du régime Nazi.  Hitler lui offrit même des funérailles d’État, histoire que nul ne se doute de son rôle dans le complot.  Le général Stüpnagel subit le même sort, alors que von Rundstedt préféra se suicider, sachant qu’il était recherché par la Gestapo (services secrets de la SS).
Hitler avait conscience d’avoir été affaibli par cette tentative davantage que par celle de la Brasserie de Münich, survenu en 1939.  Car si cette première tentative avait été le faite alors que Hitler était au sommet de sa grandeur, le dictateur savait qu’en 1944, la situation n’était plus la même.  D’une part, les succès militaires étaient chose du passé, ce qui pouvait porter l’Armée à vouloir effectivement le tasser, d’autant plus que Hitler ne réalisait pas que le désastre militaire était bel et bien le sien.  Pour lui, ce sont les généraux qui étaient les véritables responsables car ils ne l’écoutaient pas.  Ils « désobéissaient » à ses ordres (alors que c’était loin d’être le cas, car leur serment de fidélité de 1935 tenait encore leurs esprits, leurs corps et leurs efforts).  Mais les problèmes sur le front et à l’arrière étaient très importants : les usines où étaient fabriqués le matériel militaire étaient sans cesse bombardées par les Américains à partir de 1942-1943 (alors que les Britannique, eux, bombardaient les villes allemandes) ; Il y avait pénurie de main d’œuvre ; les voies ferrées étaient bombardées elles aussi, et donc, la matière première pour la fabrication des avions, des chars, des munitions de tout calibre, les technologie marine et aériennes de repérage et de radars prenait des semaines à parvenir dans les usines – et d’ailleurs, elle venait à manquer au fur et à mesure que les Alliés reprenaient les territoires occupés par les Allemands.  Et surtout, l’essence commençait à manquer dans la seconde moitié de l’année 1944.  L’offensive des Ardennes de décembre 1944 contre les Américains fut la dernière que Hitler pu tenter, et pour ce faire, il dut faire ramasser la moindre goutte d’essence sur tous les fronts Ouest et Est où ses troupes se battaient.  Vers la fin de 44, beaucoup de chars neufs ne purent quitter leurs usines, faute d’essence.  D’autres durent être abandonnés sur le champ de bataille, de même que des voitures, des semi-chenillés et autres types de véhicules.  Pourtant, les usines tournaient à plein régime, sous les ordres d’Albert Speer ami personnel du Führer et architecte du Troisième Reich, et ministre de l’Armement depuis février 1942.  Mais les bris étaient nombreux, et les armes avaient beaucoup de mal à être fabriqués et acheminés aux troupes.  Hitler recevait souvent les doléances des responsables de ministères et de généraux, mais il ne s’en mêlait jamais.  Il préférait donner un ordre et laisser ses subalternes se charger de son exécution à leur manière, et souvent aux dépends les uns des autres.  Ainsi, une compétition malsaine s’ensuivait, et souvent, finissait par nuire aux progrès de l’Armée allemande sur le Front.
Dans une société sans liberté, où la propagande est reine et où les uns et les autres craignent sans cesse pour leur vie, aucune initiative n’est prise.  Les problèmes ne trouvent pas de solutions originales, ce qui finit par constituer un grain de sable dans l’engrenage qui grippe la machine complètement, et du coup, il n’y a plus aucune efficacité.  En temps de paix, la différence n’est pas trop visible, et à la rigueur, l’organisation quotidienne peut s’en passer.  Mais en temps de guerre, la situation est toute autre, car l’efficacité générale de la société est la condition sine qua non pour que le front fonctionne de façon effective, afin que les combats puissent se dérouler sans heurts.  De tous les temps au cours de l’histoire ce fait fut à la base de la chute des sociétés totalitaires, qui portent en elles l’essence même de leur propre destruction, que l’on pense aux grands Empires Romains, Grecs, ou Barbares, le phénomène a toujours été le même.  Même l’Empire Russe et ensuite le régime Soviétique se sont écroulés.  Les Nazis ont appris ce fait à la dure, et Speer en a même fait l’analyse dans son livre « Au cœur du Troisième Reich ».  Et lorsque ces sociétés commencent à se désagréger, en pleine guerre, c’est à ce moment que les généraux, d’abord, commencent à se rendre compte qu’il y a un problème systémique, et bien souvent, ils l’attribuent au dictateur, peu importe sa nature.  Et dans la majorité des cas, ils ont une très bonne lecture de la situation.  Ainsi, à leurs yeux, le chef qui était auparavant leur idole, commence à y laisser des plumes, et son image de « perfection » et « d’intouchable » ; de celui qui a toujours raison et est infaillible, fini par tomber de son pied d’estalle, et devient alors, pour eux, celui dont il faut se débarrasser.
C’est arrivé aux Nazis, et cela est en train d’arriver aussi à Poutine.  Ses militaires, qui vont de défaite en défaite depuis quelques mois, commencent à faire l’expérience de certaines problématiques stratégiques et logistique.  Ils ont le sentiment que leur leader laisse tomber et qu’il n’est plus à la hauteur de la situation.  Il y a un manque d’organisation et les différents problèmes sur le front ne cessent de s’accumuler.  Tous ont peur de prendre des initiatives, tant dans la société civile, qui normalement doit appuyer la chose militaire de son effort dans la fabrication de ce dont ils ont besoin pour combattre, mais les problèmes tardent à être réglés.  On a peur, de part et d’autre, du dictateur et de ses sbires policiers prêts à tuer pour lui et à éliminer quiconque marche hors des clous.  Ainsi, les problèmes ne se règlent plus, et le front stagne.  La société totalitaire qu’est désormais la Russie, tout comme son ancien ennemi Nazi, porte en elle la graine de sa propre destruction, qui finira par venir.  Et en général, cette destruction vient toujours de l’intérieur.  
On peut dire que le groupe Wagner, tout comme les généraux conspirateurs Allemands il y a presque 80 ans, a été le premier à donner un coup de bélier dans l’État totalitaire qu’a construit Poutine.  Ce n’est pas de savoir « si », mais plutôt « quand » d’autres encore le feront.  Car Poutine est probablement plus lucide que Hitler ne l’avait été avant lui.  Il sait pertinemment que son pouvoir est sérieusement entamé, et tout comme Hitler, il fera le ménage de tous ceux qui ont même eu le malheur de prononcer le mot « complot » avec son nom dans la même phrase, peu importe qu’ils l’aient effectivement fait ou non.  Néanmoins, il sait parfaitement que son temps est compté.  Et son régime aussi.
Et ce constat est plutôt réconfortant quand on pense que les régimes totalitaires ne durent qu’un temps et que les piliers même sur lesquels ils sont bâtis, sont dans leur essence destructeurs envers eux-mêmes.  Le jour où les hommes comprendront véritablement cela, alors la planète pourra enfin vivre dans des démocraties, libres et libérales puisqu’elles, par essence, elles sont constructives et sont les seules à pouvoir amener l’Homme à faire des innovations et à pousser sa civilisation toujours plus loin.
*****************************
N.B : Ceux qui me lisent régulièrement en ont l’habitude : je ne laisse rien au hasard concernant la méthodologie historiographique, ayant été formée historienne à l’UQAM.  Cependant, j’ai changé un peu ma façon de faire afin d’alléger la lecture.  Effectivement, j’ai jugé bon ne pas inclure les références dans le texte lui-même à l’aide de références à chaque phrase qui renvoi au titre, au nom de l’auteur et à la page spécifique, et cela afin d’alléger la lecture pour notre lecteur.  Il est à noter également que jamais je ne me réfère à « Wikipédia » ou toute autre référence sur le web, étant donné que de grossières erreurs s’y trouvent souvent et sont prises pour des faits alors qu’il n’en est rien.  Je me colle toujours à une bibliographie universitaire et / ou soumise à la critique des pairs tel que le stipule une méthodologie rigoureuse.
BIBLIOGRAPHIE :
1)  KERSHAW, Ian, Nemesis, Hitler 1889-1936 (vol I) ; Hubris, Hitler 1936-1945 (vol II), pp. 292, 293, 294 ; pp. 943, 944, 945, 946, 947, 953, 957.
2)  KERSHAW, Ian, Le mythe Hitler, pp. 187-245
3)  SPEER, Albert., Au Cœur du Troisième Reich, p. 346 ; 354, 504-531
1 note · View note
liqueuramere · 10 months
Text
Les forces de la nature, à hauteur d'enfant
Chronique de Celui qui n'avait jamais vu la mer, suivi de La montagne du dieu vivant, J. M. G. Le Clézio, 1978
Tumblr media
Je ne savais pas grand chose de Jean-Marie Gustave Le Clézio avant de lire ce recueil de deux nouvelles, si ce n'est qu'il a obtenu le Prix Nobel de littérature en 2008. Après lecture, il me semble important de préciser que l'auteur, né en 1940 à Nice, est issu d'une famille d'origine bretonne ayant émigré à l'île Maurice à la fin du XVIIIe siècle, quelques années avant que celle-ci elle ne devienne une colonie britannique. Au début du XXe siècle, plusieurs branches de la famille retournent en Europe (Angleterre, France), si bien que les parents de J. M. G. Le Clézio, bien que cousins germains, sont respectivement britannique (père) et française (mère). De ce fait, depuis l'indépendance de Maurice en 1968, Le Clézio possède la double nationalité française et mauricienne (à laquelle il tient particulièrement). La vie de ce dernier a été, jusqu'à aujourd'hui, marquée par les voyages, si bien que son œuvre est empreinte d'un fort cosmopolitisme.
Les deux nouvelles publiées dans ma vieille édition Folio Junior ne sont pas inédites puisqu'elles proviennent d'un précédent recueil plus fourni, Mondo et autres histoires (1978), qui avait eu à sa sortie un certain succès. On peut imaginer que ce choix d'avoir republié à part Celui qui n'avait jamais vu la mer et La montagne du dieu vivant est dû à un désir de rendre accessible une partie de l’œuvre de Le Clézio à des lecteurs plus modestes (notamment des scolaires...), mais aussi parce que ces deux textes ont beaucoup de similitudes : tous deux, ils racontent comment un enfant se confronte, seul, à un environnement sauvage. Ce sont aussi des textes qui mettent en œuvre des descriptions riches et poétiques de la nature. On est là face à un thème de prédilection de Le Clézio, qui entre en résonance certaine avec sa propre vie.
Celui qui n'avait jamais vu la mer (1978)
C'est l'histoire d'un collégien discret et mutique, littéralement sans histoire, qui décide du jour au lendemain de rejoindre la mer, qu'il n'a jamais vue. Pour cela, il disparait volontairement sans prévenir personne et fuit jusqu'à l'océan, où il entame en solitaire une nouvelle vie exposée à la beauté et aux dangers de la nature. Dans cette nouvelle, il ne se passe peu ou prou pas grand chose, si ce n'est les longues contemplations de l'océan par le personnage principal, Daniel (en référence à Daniel Defoe, auteur de Robinson Crusoé ?), et le récit de sa survie quotidienne. L'intérêt du texte, à mon sens, réside dans les descriptions : la mer et le littoral sont présentés sous toutes les coutures, avec une grande richesse lexicale et des images prégnantes, ce qui confère à certains paragraphe une forte dimension poétique. Le style de Le Clézio retranscrit très bien le regard de cet enfant qui se confronte, depuis la rive, à l'immensité des flots, avec un mélange d'émerveillement, de fascination et de crainte. Cette dimension du texte mise à part, on peut néanmoins regretter un récit un peu creux...
La montagne du dieu vivant (1978)
L'histoire se passe au sud-ouest de l'Islande, au pied du Reydarbarmur, un mont anciennement volcanique. Un 21 juin, un jeune garçon nommé Jon décide, sans raison apparente, de garer sa bicyclette contre un talus et d'entreprendre, seul et à mains nues, l'ascension de la montagne. Quelque chose l'attire vers le sommet, il ne sait trop quoi, sa lumière ou une force invisible, trahie par un murmure dans le vent. Le récit - initiatique d'une certaine façon - suit l'ascension puis la redescente du personnage principal, et de cette trajectoire parabolique découle une autre parabole, littéraire cette fois. En effet, en haut de la montagne, Jon rencontre un mystérieux enfant (tout nous pousse à croire qu'il s'agit du dieu vivant du titre) qui lui apprend à voir toute la richesse de la nature qui l'entoure, aussi bien la force tellurique de la lave durcie que l'étendue des cieux, depuis les nuages jusqu'aux étoiles. Là encore, Le Clézio sait bien retranscrire la richesse des paysages islandais, aussi bien leur beauté que leur rudesse. J'ai apprécié également qu'il donne à son histoire une dimension mythique, à travers l'échange assez long entre Jon et l'enfant, teinté de fantastique. Mais l'histoire reste tout de même rapidement oubliable car le récit manque cruellement d'enjeux (le héros s'arrête en vélo, grimpe un versant de la montagne, discute avec le dieu des lieux et lui montre comment jouer de la guimbarde, puis redescend : rien d'ultra palpitant.)
En somme, ce premier (et petit) pas dans l’œuvre de J. M. G. Le Clézio fut une lecture agréable, appropriée en ce début d'été, mais pas renversante non plus. À mon avis, je l'aurai rapidement oubliée...
0 notes
christophe76460 · 10 months
Text
Tumblr media
« Jésus lui dit : Si je veux qu’il demeure jusqu’à ce que je vienne, que t’importe ? Toi, suis-moi. »
(Jean 21 v 22).
L’appel du 18 juin
« Le 18 juin 1940 », une date qui a marqué l’histoire de notre pays ; ce jour où un homme a relevé le défi en refusant la défaite et en lançant un appel à résister à l’envahisseur : « Mais le dernier mot est-il dit ? L’espérance doit elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non ! »
Et la suite lui a donné raison, car des hommes, des femmes, des jeunes gens ont répondu à cet appel et ont mis tout en œuvre pour contribuer à la victoire.
La Bible également lance divers appels aux hommes de toutes générations, à espérer, à croire et à s’attendre au Dieu Tout-Puissant. Appels adressés aux croyants, de relever le défi, de se lancer dans « la résistance », de livrer bataille à l’adversaire de nos âmes qui tient tant d’hommes et de femmes captifs.
Nous aussi nous devons dire « non ! » non à la défaite, non au triomphe du mal, de l’erreur et du péché ! Mais cet appel trouvera-t-il en ce « 18 juin 2020 » un écho favorable ?
L’appel de Jésus-Christ, notre grand général suscitera-t-il dans nos cœurs ce désir de combattre, avec toutes les armes spirituelles mises à notre disposition ?
Sommes-nous prêts à nous joindre à cette grande armée de croyants qui aujourd’hui encore refusent la défaite et proclament la victoire dans l’œuvre et le nom de Jésus-Christ.
A l’exemple de cette femme Marie Durand, qui fut emprisonnée pendant trente huit ans dans la tour de Constance à Aigues-Mortes, sans abjurer sa foi, et qui grava dans la pierre ce mot « Résister ».
« Le 6 juin 1944 », une autre date, quelques années plus tard « le débarquement » où des milliers d’hommes vont affronter l’ennemi ; un grand nombre périra, mais par le sacrifice de leur vie, et par leur courage, la France sera libérée et connaîtra la paix.
Une autre interpellation pour nous ; face à la puissance du mal, quelle est et quelle sera notre attitude ?
0 notes
ecologieeteconomie · 10 months
Text
L'appel du Général de Gaulle
Jean et Nicolas sont désemparés comme des millions d’autres Français. Ils ont assisté, impuissants à la débâcle de l’armée française face à l’Allemagne. Et ils entendent le maréchal Pétain qui leur dit de capituler. Le héros de la 1ʳᵉ guerre mondiale baisse les bras face à un ennemi qui a déjoué tous les plans de l’État-Major français. La ligne Maginot, fleuron de l’ingénierie militaire française, n'a pas fait long feu. Entendre le maréchal parler de capitulation est inacceptable pour nos deux compères. 
- Mais que peut-on faire, demande Jean à Nicolas. 
- Écoute mon Jeannot, il y a un bruit qui court. Il y a un ministre du précédent gouvernement, De Gaulle qui s’appelle. Enfin, je crois. Il paraît qu’il est en Angleterre et ce type-là, c’est un visionnaire. J’ai un ami qui a servi sous ses ordres et il m’a expliqué que pendant que tous les généraux, maréchaux et autres grands gradés de l’armée échafaudaient leur plan en prévision d’une guerre de position, lui militait pour préparer notre armée à une guerre de mouvement. Il avait tout compris, avant tout le monde et il paraîtrait qu’il n’est pas à Londres pour rien. Il prépare quelque chose. Va falloir qu’on trouve un poste de radio et qu’on se branche sur radio Londres.
- Ce n’est pas illégal ça ! 
- Si ça ne l’est pas, ça va le devenir. Mais, il faut bien se tenir au courant.
Tous les jours, ils écoutent donc radio Londres. Et leur attente est récompensée, le 18 juin 1940, l’Appel du Général de Gaulle à toutes les forces vives de France est retransmis par le transistor. Le cœur gonflé de fierté, les deux amis savent ce qu’ils vont faire désormais. Ils vont résister aux Allemands en jetant toutes leurs forces dans la bataille. Quel que soit le prix à payer. Ils sont prêts à tout tenter pour qu’un jour prochain la France soit libérée du joug allemand. Et pour savoir comment faire, il faudra rester à l’écoute de Radio Londres. 
0 notes
les-degustations-ugo · 11 months
Text
🇫🇷❓❓Hello les amoureux du tire-bouchon. Connaissez-vous les vins du Château de Lastours❓❓🇫🇷
Tumblr media Tumblr media
🍇🍷Aop Languedoc rosé 2022 cuvée La Bergerie de Lastours🍇🍷:
🍇 :
Cinsault
Grenache
🏺:
Âge des vignes :entre 5 et 15 ans. Les vins sont élevés pendant 3 mois, en cuve Inox.
💰:
8,50€ / bouteille
👁️ :
Robe de couleur rose saumonée.
👃 :
Un nez expressif sur des notes de fruits rouges, fleurs
💋 :
En bouche on a un vin très équilibré mélangé à une certaine fraîcheur fruitée. Un rosé avec beaucoup de finesse. Sur des arômes de fruits croquant, cerise, fraise, framboise. Une bonne longueur en bouche avec une finale sur des notes de roses.
📜En résumé📜 :
Un excellent rosé du Languedoc qui allie finesse, fruité et fraîcheur en bouche. Une couleur vraiment envoûtante qui appelle à la dégustation et aux partages.
🧆Dégusté sur des grillades au barbecue 🧆.
🍷Quelques accords mets et vin possible avec cette cuvée🍷 : aperitif, grillades, carpaccios, charcuterie, crevettes, salade de chèvre, cuisine exotique.
📌N'oubliez pas, boire un canon c'est sauver
un vigneron. Allez voir le site internet du domaine  pour voir toutes les cuvées et promotions du moment📌. 
🔞« L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »🔞 La plupart des vins ont était dégustés et recrachés.
#lesdegustationsugo #winelover #wineenthusiast #winestagram #winefolly #wineinfluencers #picoftheday #winetasting #winetime #wineoftheday #winebottle #winelife #wineblogger #sommelier #instawine #winenot
___________________________________________
🇫🇷🗣️Description du Domaine 🇫🇷🗣️
Domaine Château de Lastours – Aude(11) Logo
Château de Lastours
Haut lieu d’œnotourisme.
Une terre d’escale
Haut lieu d’œnotourisme aujourd’hui, l’immense territoire de Lastours était déjà une terre d’escale au cœur des Corbières à l’aube du premier millénaire. Des garnisons y stationnaient et une forteresse veillait sur les chemins ruraux rejoignant la voie Domitienne. Afin d’accueillir le voyageur, un castrum fut alors édifié. Son nom, Castrum de Turribus, est devenu avec le temps le Château de Lastours, se référant aux tours de guets qui surplombaient la voie Domitienne à cet endroit particulièrement dangereux. Du XIIIe siècle à la Révolution, ces terres de polyculture (bois, bétail, céréales, vignes) inféodées aux vicomtes de Narbonne ne connaîtront que trois familles de propriétaires, de riches seigneurs qui vivaient très confortablement au château.
En 1940, Lastours devient la propriété de l’écrivain Louis-Pierre Lestringuez qui souhaite s’éloigner d’un Paris occupé. Si famille et amis sont protégés durant la guerre, l’immense propriété est négligée, et le château et son vignoble déclinent progressivement. En 2004, une famille de passionnés s’éprend de cette belle terre délaissée. Pratiques bios, sélections parcellaires, économies d’énergie, œnotourisme : le travail précis mené par la famille Allard est à la hauteur de ce terroir et de sa longue histoire. En 2020, une nouvelle page s’écrit pour Lastours, avec l’arrivée de Thibaut de Braquilanges, enfant du pays avec une longue expérience internationale. Il s’attèle avec toute son équipe à faire rayonner les vins et les activités du Château de Lastours tant en France qu’à l’étranger.
___________________________________________
⏬🇫🇷Français dans les commentaires🇫🇷🇮🇹Italiano nei commenti 🇮🇹⏬
🇬🇧❓❓ Hello corkscrew lovers.  Do you know the wines of Château de Lastours❓❓🇬🇧
🍇🍷Aop Languedoc rosé 2022 cuvée La Bergerie de Lastours🍇🍷:
🍇:
Cinsault
Grenache
🏺:
Age of the vines: between 5 and 15 years.  The wines are aged for 3 months in stainless steel vats.
💰:
8.50€ / bottle
👁️:
Salmon pink color.
👃:
An expressive nose with notes of red fruits, flowers
💋:
On the palate we have a very balanced wine mixed with a certain fruity freshness.  A rosé with a lot of finesse.  On aromas of crunchy fruits, cherry, strawberry, raspberry.  A good length in the mouth with a finish on notes of roses.
📜In summary📜:
An excellent Languedoc rosé that combines finesse, fruitiness and freshness on the palate.  A truly captivating color that calls for tasting and sharing.
🧆 Tasted on barbecue grills 🧆.
🍷 Some food and wine pairings possible with this cuvée 🍷: aperitif, grills, carpaccios, charcuterie, shrimp, goat salad, exotic cuisine.
📌 Don't forget, drinking a cannon is saving a winemaker.  Go see the domain's website to see all the vintages and promotions of the moment 📌.
🔞 "Alcohol abuse is dangerous for your health, to be consumed in moderation"🔞 Most of the wines have been tasted and spat out.
#lesdegustationsugo #wine #winelover #vino #winetasting #winetime #winelovers #food #instawine #redwine #winestagram #winery #beer #wineoclock #vin #sommelier #love #vinho #foodporn #winelife #instagood #whitewine #cocktails #drinks #bar #wein #italie #foodie #wineporn #drink
_____________________________________
🇬🇧🗣️Domain Description 🇬🇧🗣️
Domaine Château de Lastours – Aude(11) Logo
Lastours Castle
Mecca of wine tourism.
A land of stopover
A hotspot for wine tourism today, the immense territory of Lastours was already a land of stopover in the heart of the Corbières at the dawn of the first millennium.  Garrisons were stationed there and a fortress watched over the rural roads joining the Domitian way.  In order to welcome the traveler, a castrum was then built.  Its name, Castrum de Turribus, has become over time the Château de Lastours, referring to the watchtowers which overlooked the Domitian way at this particularly dangerous place.  From the 13th century to the Revolution, these lands of polyculture (timber, cattle, cereals, vines) subservient to the viscounts of Narbonne only knew three families of owners, rich lords who lived very comfortably in the castle.
In 1940, Lastours became the property of the writer Louis-Pierre Lesstringuez who wanted to get away from occupied Paris.  If family and friends are protected during the war, the immense property is neglected, and the castle and its vineyard gradually decline.  In 2004, a family of enthusiasts fell in love with this beautiful abandoned land.  Organic practices, parcel selections, energy savings, wine tourism: the precise work carried out by the Allard family lives up to this terroir and its long history.  In 2020, a new page is being written for Lastours, with the arrival of Thibaut de Braquilanges, a native of the country with a long international experience.  He works with his entire team to promote the wines and activities of Château de Lastours both in France and abroad.
___________________________________________
🇮🇹❓❓Ciao amanti dei cavatappi.  Conosci i vini di Château de Lastours❓❓🇮🇹
🍇🍷Aop Languedoc rosé 2022 cuvée La Bergerie de Lastours🍇🍷:
🍇:
Cinsault
Grenache
🏺:
Età delle viti: tra i 5 ei 15 anni.  I vini vengono affinati per 3 mesi in vasche di acciaio inox.
💰:
8,50€ / bottiglia
👁️:
Colore rosa salmone.
👃:
Un naso espressivo con note di frutti rossi, fiori
💋:
Al palato abbiamo un vino molto equilibrato unito a una certa freschezza fruttata.  Un rosato di grande finezza.  Su aromi di frutta croccante, ciliegia, fragola, lampone.  Buona persistenza in bocca con un finale su note di rosa.
📜In sintesi📜:
Un eccellente rosato della Linguadoca che unisce finezza, fruttato e freschezza al palato.  Un colore davvero accattivante che invita alla degustazione e alla condivisione.
🧆 Degustato sulle griglie del barbecue 🧆.
🍷 Alcuni abbinamenti enogastronomici possibili con questa cuvée 🍷: aperitivo, grigliate, carpacci, salumi, gamberetti, insalata di capra, cucina esotica.
📌 Non dimenticare, bere un cannone è salvare un enologo.  Andate a vedere il sito del dominio per vedere tutte le annate e le promozioni del momento 📌.
🔞 "L'abuso di alcol è pericoloso per la salute, da consumare con moderazione"🔞 La maggior parte dei vini sono stati assaggiati e sputati.
___________________________________________
🗣️🇮🇹Descrizione i Dominio 🗣️🇮🇹
Domaine Château de Lastours – Aude(11) Logo
Castello di Lastours
Mecca dell'enoturismo.
Una terra di sosta
Punto di riferimento dell'enoturismo di oggi, l'immenso territorio di Lastours era già all'alba del primo millennio terra di sosta nel cuore delle Corbières.  Vi erano di stanza delle guarnigioni e una rocca vigilava sulle strade campestri che si univano alla via Domiziana.  Per accogliere il viaggiatore fu poi costruito un castrum.  Il suo nome, Castrum de Turribus, è diventato nel tempo Château de Lastours, in riferimento alle torri di avvistamento che si affacciavano sulla via Domiziana in questo luogo particolarmente pericoloso.  Dal XIII secolo alla Rivoluzione, queste terre di policoltura (legname, bestiame, cereali, viti) sottomesse ai visconti di Narbonne conoscevano solo tre famiglie di proprietari, ricchi signori che vivevano molto comodamente nel castello.
Nel 1940, Lastours divenne proprietà dello scrittore Louis-Pierre Lessringuez che voleva allontanarsi dalla Parigi occupata.  Se la famiglia e gli amici sono protetti durante la guerra, l'immensa proprietà viene trascurata, e il castello e la sua vigna declinano gradualmente.  Nel 2004 una famiglia di appassionati si è innamorata di questa bellissima terra abbandonata.  Pratiche biologiche, selezioni parcellari, risparmio energetico, enoturismo: il preciso lavoro svolto dalla famiglia Allard è all'altezza di questo terroir e della sua lunga storia.  Nel 2020 si scrive una nuova pagina per Lastours, con l'arrivo di Thibaut de Braquilanges, nativo del paese con una lunga esperienza internazionale.  Lavora con tutto il suo team per promuovere i vini e le attività di Château de Lastours sia in Francia che all'estero.
1 note · View note
vinelge · 1 year
Text
Beatles : chronique d'une mort annoncée
Ce mois d’avril marque les cinquante-trois ans de la séparation du plus grand groupe de l’Histoire du rock d’Angleterre du Nord-Ouest ; The Quarrymen plus one random guy, plus souvent désignés sous le nom de Beatles.
Depuis ce funeste printemps de 1970, les beatlezouzes se morfondent. Figés dans une attente stupéfaite, ils réécoutent In My Life en boucle et pleurent devant la rediffusion du Ed Sullivan Show de 64, s’interrompant de temps à autre pour consulter des forums où, ensemble, ils abordent l’éventualité d’un sexual intercourse entre Lennon et McCartney. Cette situation est dramatique.
Des deux remèdes que sont la thérapie facturée et le fin travail de l’exégète, lequel choisir ? tout esprit logicien, avisé des honoraires exorbitants pratiqués par les psychiatres conventionnés secteur II, préférera sans nul doute le second. Lui incombe alors la tâche lourde, dense, mais ô combien féconde de s’expliquer la scission du quatuor mythique, dont le téléfilm Magical Mystery Tour déjouera sans doute à jamais l’épreuve du temps.
Ride, youth !
Les Beatles sont britanniques, comme beaucoup d’autres avant eux et tous les quatre à peu près en même temps, du moins au début. Ils voient le jour entre 1940 et 1943, au sommet de l’occupation nazie en France qui, visiblement, n’engendrait aucun trouble psychosomatique du côté de l’Albion.
Délaissant son emploi d’infirmière, Mary McCartney s’occupe à plein temps du petit James, qui la remerciera plus tard en changeant de prénom. Délaissant son fils, Alfred Lennon quitte le foyer familial pour se dédier à sa plus grande passion : vivre sous le seuil de pauvreté.
Les deux enfants se rencontrent à la fin des années cinquante, lors d’une fête de village près de Liverpool (actuel 7e de Premier League). Lennon est leader d’un groupe de skiffle amateur ayant déjà été évoqué à la deuxième ligne de ce texte (par aversion pour les répétitions, le nom dudit groupe sera donc mentionné ici à travers un subtil anagramme, afin que quiconque le désire puisse tout de même s’y retrouver au prix d’un minuscule effort : « Then query arm »).
Après avoir fait démonstration de ses skills, Paul se voit enjoindre d’intégrer la formation susnommée, ce qu’il accepte. Les Q… sont ainsi au complet, si l’on excepte George Harrison, qui viendra quelques mois plus tard. Les Beatles aussi, d’ailleurs, sauf si l’on considère Ringo Starr comme un membre du collectif à part entière.
It works from the fire of god
En attendant d’être dans le vent, nos quatre garçons s’époumonent dans les caves insalubres des pubs de Liverpool, puis se produisent à Hambourg, où plusieurs sources leur attribuent de premières expériences hétéro-curieuses. En 1961, une rencontre avec le disquaire Brian Epstein bouleverse le cours de leur carrière, jusqu’ici un peu plan-plan.
Brian a le nez creux ; dans le milieu du spectacle, cette caractéristique est utile à un certain nombre de manœuvres. Il reconnaît à la bande un large potentiel, quoiqu’étant un peu rebuté par son allure prolo – sa première directive consistera d’ailleurs à lui imposer le costume.
Après avoir essuyé le refus de nombreuses maisons de disques, le désormais manager des Beatles frappe à la porte de Parlophone, filiale du groupe EMI, dont le directeur George Martin accepte de tester le quatuor. Pendant l’audition, celui-ci se surprend à battre la mesure du pied droit. Pour lui, c’est un signe : il faut les engager sur-le-champ. Notons que Martin était alors paraplégique.
L’odeur du succès fait frémir les grosses narines de Brian ; à raison : en quelques mois, son groupe de clopinards est passé en haut de l’affiche. L’Angleterre est charmée. Il s’agit maintenant de conquérir l’Amérique.
En débarquant chez l’oncle Sam, nos colons du rock constatent que son peuple est déjà converti. Seule une poignée d’arriérés voue encore un culte aux vocalises gutturales des crooners obèses ; mais elle ne montre pas la moindre hostilité, trop occupée à brûler quelque sorcière dans un coin du Texas sur fond de Billie Holiday.
Tout se passe trop bien pour durer. Au détour d’une interview, Lennon critique vivement l’Évangile selon St-Matthieu : « il y a trop de points-virgules et de noms propres, on y comprend rien ». La polémique qui s’en suit reste l’un des plus grands scandales qu’aient connus les États-Unis, avec l’affaire Lewinsky et Burger King Foot Lettuce. Les Beatles deviennent la cible d’émeutes et de sabotages. Le coup de grâce est donné par Sempé, stagiaire au New-Yorker, dans une caricature où le tarin de Ringo est représenté de façon désavantageuse. C’en est trop : l’Amérique et les concerts, c’est over.
Bien heureusement, nos dudes ne souffriront en rien de cette polémique ; au contraire, ils peuvent se consacrer exclusivement à la production et deviennent par ailleurs plus rares – donc plus désirables, comme le prouve chaque jour la disparition de Michel Petrucciani.
The grenouillesque vanishing of Mr. Epstein
La vie de Brian et de ses protégés se partage désormais entre les salles d’écriture et les studios d’enregistrement. Ils s’amusent à contourner les fréquentes surinterprétations de leurs lyrics en composant des morceaux foutraques (pour le plus grand plaisir de Macca, grand adepte de rimes en « -dooda » et « -bloogaboo »). Le plus célèbre de ces titres reste sans doute I Am The Walrus, mais citons également Getting Better et son « I used to be cruel to my woman, I beat her » qu’aucun motif autobiographique ne semble justifier, John Lennon n’ayant pas participé à l’écriture.
Leur popularité est telle que les Beatles sont parfois cités en tant que créateurs de mouvements qu’ils ont seulement contribué à démocratiser, comme Charles de Gaulle, qui s’accapara le « gaullisme » institué dix ans plus tôt par le cycliste Charly Gaul.
Ainsi, on leur attribue souvent la paternité de la pop baroque, qui connut d’honorables représentants en deçà et outre-Atlantique. On compte parmi eux The Left Banke ou encore les Bee Gees, qui, menés à cette époque par Robin Gibb — surnommé the goat en raison de son falsetto chevrotant — ont bel et bien connu une carrière respectable, malgré leur rôle majeur dans les funestes dérives du disco-mmercial (aussi appelé disco-casien).
Mais qu’importe : pour l’heure, Brian Epstein peut se reposer et contempler sa création. Il a donné naissance au plus grand groupe de tous les temps ; sa renommée est maintenant définitive ; l’avenir s’annonce radieux. Pourtant, voilà que les nuages de l’ennui mordent l’azur de sa blue plaque anthume. Les Anglais sont sensibles aux signes d’Éole — un des nombreux traits qu’ils partagent avec les batraciens. Optant immédiatement pour une réorientation, Eppy choisit de poursuivre dans l’au-delà son rêve d’enfant : devenir le Jean-Baptiste Grenouille du cocktail médicamenteux.
Cinquante ans avant un autre Epstein, il trouve la mort dans des circonstances mystérieuses et par une chaude nuit d’août. Précurseur, assurément.
Falling from Charybde to Scylla
Le patron n’étant plus de ce monde, nos Liverpuldiens s’emmerdent. Lassés de ne subir cette incommodité qu’au sens figuré, ils décident de partir en Inde.
Leur séjour dure trois mois et se révèle d’une grande fructuosité. George ramène d’Orient un riche bagage pseudo-philosophique, John une anorexie et Paul une maladie vénérienne. Aucune source ne permet de confirmer la présence de Ringo lors du voyage, ce dernier ayant donc officiellement disparu durant cette période.
À leur retour, l’ambiance est houleuse. John se rend en studio d’enregistrement au bras de sa compagne, la plasticienne japonaise Yoko Ono, ce qui contrarie énormément Paul, allergique aux phtalates et nippophobe convaincu. Le point de non-retour est atteint en 1969, lorsque George aperçoit l’incruste en train de subtiliser l’un de ses Digestive Biscuits et la traite de « pute » (qu’il est désagréable de retranscrire pareille goujaterie ! mais l’Histoire est faite de mots durs).
George, par ailleurs, est agacé par l’omnipotence de Macca. Au comble de la frustration, il quitte provisoirement le groupe pour mieux le réintégrer une semaine plus tard, tirant une gueule légèrement moins longue ; un peu comme un enfant de six/sept ans qui, après s’être fait gronder, confectionne un baluchon semblable à celui Niels Holgersson, claque la porte, fait cinquante mètres puis fond en larmes et revient à la maison en courant (étape nécessaire à la construction d’un individu sain).
We all loved each other so much
Quand il traverse une crise apparemment irrémédiable, un couple décide parfois de faire un enfant, comme les punaises sécrètent leur odeur lorsqu’elles se sentent en très mauvaise posture. Pour les Beatles, l’enfant – ou la sécrétion, c’est selon – fut Get Back, projet laborieux et confus de part en part. L’aboutissement de cette entreprise appartient cependant à l’Histoire : l’un des concerts les plus mythiques du XXe siècle, au même rang que Queen à Wembley en 1985 ou Tiny Tim au Montague Grange Hall onze ans plus tard.
Le 30 janvier 1969, un bourdonnement se répand dans le ciel brumeux de Londres : c’est sur le toit de la maison de disques Apple Corps que sera enregistré le prochain album.
L’évènement est filmé par une équipe de télévision, et fut récemment diffusé dans son intégralité. Eh bien, quoiqu’il en coûte, il faut le dire ici : entendre trois fois la même musique en vingt minutes peut être terriblement agaçant — Beatles ou non, ça ne change rien à l’affaire.
Dieu seul sait ce que seraient nos quatre trublions si une descente de police n’avait mis fin au (malgré tout) légendaire Rooftop Concert : il y a fort à parier que les Fab Four, au moment où sont rédigées ces lignes, entameraient la dix-millième prise de Dig A Pony — « the good one », selon McCartney. Si l’intervention des forces de l’ordre peut s’expliquer par une série d’irrégularités logistiques, elle reste communément imputée à Billy Preston (invité pour l’occasion), celui-ci ayant catégoriquement refusé de se grimer en blanc.
Les Beatles parviendront tout de même à réaliser l’album Let It Be, assistés de l’un des producteurs les plus en vue des sixties : The Dwarf Torpedo, Phil Spector.
Malgré ce beau bébé et tous les efforts de rabibochage entrepris depuis plus d’un an, John fait part de son intention de quitter le navire en septembre 1969, ce dont la presse n’est pas informée. Il faut attendre le mois d’avril 1970 pour que Paul McCartney, qui apprécie beaucoup la lumière, annonce publiquement le divorce sans consulter qui que ce soit. Classe.
On the futility of hot-cold blowing
C’est la guerre. John et Paul ont désormais leurs ronds de serviette sur les plateaux télé. D’un air indifférent, ils questionnent les présentateurs : « est-ce qu’il te parle de moi...? ». Chacun évoque avec délice la possibilité d’une reformation avant de revenir sur ses pas la semaine suivante, plus remonté que jamais. Ils se disputent les droits de leurs morceaux, décomptant leurs contributions à la syllabe.
De son côté, George a sorti un excellent album au début des années 70. Depuis, il joue les René Guénon lorsqu’il ne trompe pas sa femme. Ringo existe. Si quelqu’un a des nouvelles…
Les choses se tassent un peu. Lennon est devenu père au foyer ; McCartney parcourt les États-Unis avec son épouse au sein des Wings ; la femme de Harrison est partie avec Eric Clapton ; Starr va bien (on a reçu une photo : il porte des lunettes de soleil et fait le signe « peace » avec les doigts). Ils se revoient de temps en temps, discutent le bout de gras en prenant bien soin de ne pas aborder de sujets sensibles.
Les eighties approchent à grands pas. Ringo va bientôt amorcer l’extraordinaire processus d’embellissement qui l’imposera pour l’éternité comme the one and only good-looking british elder. John se consacre de nouveau à la musique. Son deuxième fils a maintenant cinq ans : à présent, il subviendra à ses propres besoins.
Sur scène, George Harrison joue du jirambzigu.
Tout est calme… Il y a du drame là-dessous.
(Death)^2
Les Boys ont fait l’objet d’une forme nouvelle de fanatisme, au même titre que Jim Jones ou Dionysos, en son temps.
Cette position, à certains égards enviable, comporte évidemment ses revers ; John Lennon l’apprendra à ses dépens. « Give me something that’s not cold », demande-t-il dans Double Fantasy. Un mois plus tard, Mark David Chapman, tout plein d’un séidisme maladroit, croit bon de le réchauffer en lui logeant quatre balles de revolver dans la poitrine.
Ainsi le Working Class Hero s’éteint-il, un soir de décembre, à l’entrée du Dakota Building et des années 80, laissant derrière lui d’innombrables démos ; quelques royalties ; des actes de naissance – dont deux mentionnent clairement son nom – et des contraintes non négligeables en vue d’une éventuelle réunification.
Quinze ans après, le projet Anthology et ses arrangements laurent-voulziesques constitueront une tentative de résurrection par la profanation ; en vain, et c’est peut-être une bonne chose. Dans le même temps, George Harrison enfoncera le clou en développant un cancer.
Conclusion
Rien n’est plus à rattraper. En 1998, les Beatles peuvent enfin expirer, échappant in extremis au y2k.
Comment, à l’écriture de ces lignes, ne les point noyer de larmes ? Lourdes larmes d’un deuil enfin mûri, mais d’abord larmes de peine et de dégoût…
Car la moustache de George n’est plus. Les mop-tops ont perdu de leur superbe. Yoko a sûrement sniffé les cendres de son défunt mari. Ringo est positif au Covid pour la cinquième fois.
Et pendant ce temps, quelque part en ce bas monde, Paul McCartney entonne joyeusement Martha My Dear, décidément increvable et absolument pas écœuré. Le flétrissement neurologique aide sans doute un peu, certes.
Mais tout de même, quel manque d’élégance.
Triste Sir...
0 notes
aurevoirmonty · 2 months
Text
Tumblr media
Au sein des milieux nationalistes, certains voient en Vladimir Poutine le sauveur de l’Europe, tandis que d’autres le considèrent comme le plus dangereux ennemi de l’Occident. Dans cet article, Vincent Reynouard explique pourquoi il considère cette querelle inutile.
Le lectorat de Rivarol se déchire à propos de Vladimir Poutine. À mon avis, ces disputes sont inutiles. J’en connais bien peu quant au président russe, à son régime et à la situation en Russie, mais j’en suis sûr: si rien ne change, ni Poutine ni personne ne sauvera l’Europe. Ma conviction se fonde sur les leçons de l’Histoire que j’ai étudiée.
Le salut de l’Europe offert aux Français sur un plateau d’argent
À partir de 1940, suite à l’entretien de Montoire, des Français et des Allemands pressentirent qu’une victoire militaire du Reich avec la collaboration de la France permettrait de sauver le Vieux Continent en construisant une Europe nouvelle.
Le 29 mars 1941, dans une étude très développée intitulée: « Construire avec l’Allemagne la nouvelle Europe », le Dr Karl Heinz Gerstner, de l’Institut allemand, expliqua:
Organiser la production européenne d’après un grand plan, la faire travailler le plus rationnellement pour les besoins des peuples européens, telle est la grande tâche des années à venir. Ce plan de production s’étendra à tous les domaines, aussi bien à celui de l’industrie qu’à celui de l’agriculture, qu’aux domaines de l’énergie et des transports. Les préparatifs sont, malgré la guerre, en plein essor. Les délégations économiques allemandes se rendent à Paris pour entrer en pourparlers avec leurs collègues français des différentes branches de l’industrie et y discuter leurs intérêts communs. La presse nous informe tous les jours de ces pourparlers et de leurs résultats positifs. Des pourparlers semblables ont lieu avec les pays balkaniques, l’Italie et l’Espagne. Plus tôt la guerre finira, plus vite la réalisation de ces plans se fera1.
Dans son message du 11 juin 1941 aux Français, l’amiral Darlan déclara:
La troisième tâche du Gouvernement est de préparer l’avenir de la France dans la nouvelle Europe […] La nouvelle Europe ne vivra pas sans la France, placée au rang que son passé, sa civilisation et sa culture lui donnent le droit d’occuper dans la hiérarchie européenne. Français, ayez le courage de dominer votre défaite. Soyez assurés que l’avenir du pays est intimement lié à celui de l’Europe. Si, pour vous engager dans la voie où le Maréchal et son gouvernement vous invitent à les suivre, il vous faut vaincre des illusions et consentir des sacrifices, puisez votre force dans la certitude que cette voie est, pour notre Patrie, la voie unique du salut2.
Fin novembre 1941, s’exprimant à Bruxelles, un Allemand ardent défense de la réconciliation des peuples, le professeur Grimm, expliqua:
Hitler construira un nouvel ordre européen, cette nouvelle Europe continentale qui s’opposera à la ploutocratie anglaise et au bolchevisme, basés tous deux sur la juiverie internationale. L’Angleterre et le bolchevisme sont définitivement exclus. Tous les pays et tous les peuples occuperont la place qui leur revient dans la nouvelle Europe, ils seront les membres de la grande famille européenne3.
Je pourrais multiplier les citations de ce genre et les initiatives qui les accompagnaient. Oui, vraiment, en marge de la guerre, une nouvelle Europe naissait, dans laquelle primerait le Bien commun.
Une alternative au communisme et au libéralisme
Pour ces apôtres de la nouvelle Europe, bolchevisme et libéralisme anglo-saxon représentaient deux dangers mortels. Il n’y avait donc pas à prendre parti pour l’un contre l’autre. En mai 1941, un organe profasciste rappela que depuis des lustres:
La civilisation européenne, quoique millénaire, était en grand danger. Elle était menacée dans ses bases par l’invasion de l’américanisme. Elle était suffoquée, au point de vue politique et économique, par l’hégémonie anglaise. La France, entre temps, avait perdu sensiblement sa puissance organique de résistance. L’américanisme avait déjà commencé à rendre barbare le goût des Européens, à démolir les traditions, à déformer la femme, à faire écrouler l’édifice de la famille, à insinuer l’esprit judaïque (esprit critique et antinational) dans la presse, à empoisonner les sources musicales de l’Europe, à modifier les sources poétiques, à brutaliser la littérature et avait pénétré en profondeur, grâce au cinéma, dans l’esprit et dans la mentalité des jeunes générations. L’architecture, l’amour, la science, sous prétexte de modernisme, étaient en train de s’américaniser, c’est-à-dire de cesser d’être européens. Le travail de jour en jour se transformait dangereusement dans une espèce de taylorisme […] Tous les essais européens pour échapper à cette américanisation se brisaient contre la volonté brutale d’hégémonie de l’Angleterre qui trouvait dans la décadence de l’Europe sa sécurité militaire, une source perpétuelle et abondante d’intérêts financiers et une facile primauté politique. Le continent était donc frappé dans ses bases. Le visage de l’Europe avait commencé à se modifier, la vieillesse incurable de l’Europe était devenue l’un des lieux communs de l’américanisme. L’Angleterre, à travers l’organisation de ses dominions, s’était détachée historiquement de la vie de l’Europe et était devenue le centre de l’Empire qui n’était plus européen et qui était substantiellement antieuropéen4.
S’y ajoutaient les avertissements très clairs donnés au peuple. En matière de démographie par exemple, depuis longtemps, la France se dépeuplait. Début juin 1942, un quotidien prévint que si le phénomène se poursuivait:
Les places manquantes, les vides creusés ainsi dans la population française seraient obligatoirement comblés par des immigrants et la France […] se dénationaliserait. C’est d’ailleurs bien en partie ce qui a commencé à se produire dans les années qui ont précédé la guerre5.
L’apathie d’un peuple hédoniste
Mais ces avertissements furent impuissants à réveiller les masses. Fin novembre 1942, un commentateur se désola:
La France reste amorphe. Rares sont les hommes qui lui parlent le langage viril propre à la réveiller […] Les révolutionnaires décidés reçoivent peu d’encouragements, bien heureux quand ils ne sont pas découragés6.
Pourquoi cette apathie? Parce que dans son immense majorité, le peuple était resté fidèle à ses convictions d’avant-guerre. Aussi refusait-il cette Révolution nationale prônée par le maréchal Pétain. Dès novembre 1940, un simple Français lança: « Oui, on est dégoûté d’être Français. On est dégoûté du peuple amorphe. On est dégoûté du climat réactionnaire7. »
Le 25 juillet 1942, un maréchaliste nota:
Je connais […] bien des Français qui admettent la Révolution à condition qu’elle ne trouble pas leurs habitudes, leurs mauvaises habitudes d’avant-guerre…8.
Quelques mois plus tard, un prisonnier rentré en France se désola:
la Révolution n’existe ici que dans les mots, je retrouve la France plus misérable qu’avant, plus abaissée, plus encroûtée dans les mœurs déplorables qui l’ont perdue9.
Ayant fait part de son désarroi à un journaliste, celui-ci lui expliqua:
Rien n’est changé, en effet, parce que ce sont les Français eux-mêmes qui ne l’ont pas voulu. Ils tiennent à leurs maux, à leurs erreurs, à leurs vices comme à de vieilles habitudes. Ils préfèrent mourir plutôt que de renoncer à leur démocratie, au bulletin de vote, à l’alcool, aux Juifs, aux parlementaires, aux maçons, au fonctionnarisme rongeur, à tout ce qui les a fait descendre où ils sont descendus. La Révolution? Une bousculade de leurs aises, de leurs manies, de leurs positions acquises? Pensez donc! Ils ne sont pas fous! Ils n’ont pas joui tout leur soûl, et les favorisés ne partageront pas avec le peuple travailleur ce que le hasard des naissances ou le résultat de spéculations éhontées leur a rapporté. Ils comptent profiter encore, et c’est bien pour cela qu’ils ne veulent entendre parler ni de révolution ni de national-socialisme. Alors, vive l’Amérique ou l’Angleterre, n’est-ce pas?10
Ce constat s’appliquait à bien d’autres pays, parce que, dans leur grande majorité, les peuples européens refusaient l’édification d’une nouvelle Europe fondée sur la primauté du Bien commun, le Travail, la Famille et la Patrie, alors la Providence favorisa les Alliés. Cependant, cette victoire sonnait le glas de l’Europe, et en premier lieu celle de la France.
En octobre 1947, l’ancien ministre et Vice-Président du parti radical-socialiste, René Besnard, se lamenta:
Il est naïf, en ce temps de perpétuel loisir, de donner à des hommes incapables de les comprendre, des conseils de morale civique. Nos gouvernants ne cessent de dire que la France se sauvera elle-même, ce qui est d’un bon naturel patriotique, mais les Français ne veulent pas se sauver, car ils ne veulent plus travailler11.
Rien n’a changé
Trois quarts de siècle plus tard, la situation a empiré. Dans les années 80 et 90, la Providence a donné aux Français Jean-Marie Le Pen. Le 5 mai 2002, ils lui ont préféré Jacques Chirac en arguant: « Plutôt escroc que facho ».
Aujourd’hui, le Front national s’est transformé en Rassemblement national dont on connaît la servilité. Pourquoi en serait-il autrement? La Providence ne jette pas des perles aux pourceaux; elle offre aux peuples ce qu’ils méritent.
Tant que les Européens voudront mourir, aucun homme providentiel ne surgira pour les sauver. Plutôt, donc, que de nous disputer sur Poutine, œuvrons pour nous bonifier et insuffler à nos concitoyens l’élan vital. Le salut viendra d’abord de nous-mêmes. Lorsque les peuples se seront réveillés, alors un sauveur se lèvera, d’où qu’il vienne.
Karl Heinz Gerstner, « Construire avec l’Allemagne la nouvelle Europe », Le Fait, 29.III.1941, p. 6. ↩︎
François Darlan, « “Seconder le gouvernement dans sa très lourde tâche” », La Dépêche du Berry, 12.VI.1941, p. 1. ↩︎
« “Le nouvel ordre européen ne connaîtra plus de haine” déclare à Bruxelles le professeur Grimm », La Gazette, le grand quotidien basque, 24.XI.1941, p. 3. ↩︎
Mario Appelius, « Le pacte d’acier », La Nouvelle Italie (La Nuova Italia), 29.V.1941, p. 6. ↩︎
G.-S. Savigny, « Le problème démographique », Le Progrès de la Somme, 7.VI.1942, p. 1. ↩︎
Jean Lagarigue, « France, réveille-toi », Le Cri du peuple de Paris, 25.XI.1942, p. 1. ↩︎
R. D., « On nous écrit », La France au travail, 6.XI.1940, p. 2. ↩︎
Jean Lagarigue, « Les défaitistes de la révolution », Le Cri du peuple de Paris, 25.VII.1942, p. 1. ↩︎
Courrier d’un prisonnier bénéficiaire de la Relève, cité dans « Réponse à un prisonnier libéré » de Jean Bosc, Paris-Soir, 25.I.1943, p. 1. ↩︎
Jean Bosc, « Réponse à un prisonnier libéré », Paris-Soir, 25.I.1943, p. 1. ↩︎
René Besnard, « Commentaire sur un discours », L’Événement, 18.X.1947, p. 1. ↩︎
Vincent Reynouard
1 note · View note
almanach2023 · 1 year
Text
Aujourd'hui, vendredi 10 mars, nous fêtons Saint Vivien.
Tumblr media
SAINT DU JOUR
. Vivien, . Du latin Vivianus, nom d'homme de vivus, "vivant" . Saint Vivien (+320)(l'un des quarante soldats chrétiens de la XIIe légion romaine condamnés vers 320 en raison de leur religion à mourir de froid, attachés nus sur un étang gelé, près de Sébaste, dans l'actuelle Turquie). . Spontanés et souriants, francs et généreux, les Vivien sont de charmants compagnons. Ces amoureux de la vie sont incapables d'égoïsme. . Prénoms dérivés : Vezian, Viviane, Vive, Vivence, Vivette... Nous fêtons également les : Vivien - Aétius - Alceste - Alcide - Augias - Domitia - Domitiane - Domitien - Domitienne - Droctovée - Drotté - Editus - Élien - Eunoïc - Eunoïque - Eutychès - Flavius - Héraclius - Lysiniaque - Quiron - Sacerdon - Santin - Smaragde - Vivian - Vivienne - Xant - Xantha - Xanthe - Xanthéas - Xanthie - Xanthin - Xantin Toutes les infos sur les Saints du jour https://tinyurl.com/wkzm328
FETE DU JOUR
Quels sont les fêtes à souhaiter aujourd'hui ? [ Bonne fête ] . Vivian Mary Hartley, dite Vivien Leigh, actrice britannique
Ils nous ont quittés un 10 mars :
10 mars 2005 : Mathias Ledoux, cinéaste et réalisateur de télévision français (3 juillet 1953) 10 mars 1988 : Andy Gibb, chanteur australo-britannique (5 mars 1958) 10 mars 1940 : Mikhaïl Boulgakov, écrivain russe (15 mai 1891)
Ils sont nés le 10 mars :
10 mars 1983 : Carrie Marie Underwood, chanteuse américaine de country 10 mars 1977 : Robin Thicke, né Robert Charles Thicke, auteur, compositeur et producteur RNB 10 mars 1974 : Keren Ann, née Keren Ann Zeidel, musicienne et chanteuse 10 mars 1973 : Eva Herzigová, mannequin et actrice d'origine tchèque 10 mars 1972 : Ramzy, né Ramzy Bédia, duo d'humoristes Eric et Ramzy 10 mars 1971 : Timbaland, rappeur et producteur de musique américain 10 mars 1966 : Arthur, animateur de télévision français
Toutes les naissances du jour https://tinyurl.com/msmk5e22
Fêtes, Célébrations, événements du jour 10 mars : Journée internationale des femmes juges (ONU) 10 mars : Journée Mondiale du rein (JM)
CITATION DU JOUR
Citation du jour : Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut. Cicéron.
Citation du jour : Nous devrions rendre grâce aux animaux pour leur innocence fabuleuse et leur savoir gré de poser sur nous la douceur de leurs yeux inquiets sans jamais nous condamner. Christian Bobin
Toutes les citations du jour https://tinyurl.com/payaj4pz
Nous sommes le 69ème jour de l'année il reste 296 jours avant le 31 décembre. Semaine 10.
Beau vendredi à tous.
Source : https://www.almanach-jour.com/almanach/index.php
0 notes