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#Alain Dister
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Gypsy Jokers, San Francisco. Photo : Alain Dister (1968).
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more-relics · 9 months
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Pink Floyd, London 1967. © Alain Dister.
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gacougnol · 1 year
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Alain Dister
Trash and Vaudeville
New York, 1994
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federer7 · 1 year
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Rainbow, San Francisco, 1966
Photo: Alain Dister
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s0ftsyd · 3 months
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April, 1967
📷 by Alain Dister
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pinkfloydbt · 2 years
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Roger Waters - Le Bilboquet - Paris, 1968
Photo by © Alain Dister
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70s-rocks · 2 months
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Jimi Hendrix in Paris, France in 1967. Photo by Alain Dister
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groovy-rockstars · 1 year
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Syd Barrett photographed by Alain Dister in 1967 (some of these photos are colorised by me)
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littlegermanboy · 9 months
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Brian Eno in Paris circa April 1974, courtesy of Mij Munyum, possibly photographed by Alain Dister.
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nedison · 2 years
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Henry Cow // Slapp Happy. Photo by Alain Dister
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Caro, New-York 1968. Photo : Alain Dister
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vmonteiro23a · 2 years
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Joey Ramone and Gaye Advert of The Adverts, London circa 1978. Photo by Alain Dister.
Joey Ramone and Gaye Advert of The Adverts, London circa 1978. Photo by Alain Dister.
Joey Ramone and Gaye Advert of The Adverts, London circa 1978. Photo by Alain Dister.
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juillet  2022  Ozone3 (1978-81)       disco friendly    
contexte général : le ou la disco s’immisce partout. En chroniquant dans rock n folk le double lp live « in new-york » (1977 ?), alain dister, haute conscience du magazine, et vieux hippie déjà, écrit « aujourd’hui tout le monde aime la disco et zappa, la disco il aime », et le hippie journaliste continuant avec  une nuance ! pour ne pas trop froisser son lectorat par : « on ne sait trop pourquoi »… Cette disco -plus ou moins étreinte- fait vendre des tonnes de singles aux stones, en leur apportant un nouveau public, -mais en les séparant d’une partie de leurs suiveurs historiques, évidemment chatouilleux (alors que les stones avec un titre de « it’s only rock n roll », contribuaient-ils déjà là à l’invention de la disco ?, jamais je n’ai lu quoi que ce soit là-dessus !, et pourtant…, et à l’époque c’était considéré encore comme du pur stones), heureusement pour les stones aussi, leur public historique supporte quand même le fait que les stones seraient devenus obligatoirement des grosses putes, & que cela continue (avec du pur disco, selon eux) flatte l’égo : ces fans-là se disent : en effet on ne s’était pas trompés, cela continue de + belle !, ah les putes !- : et le cas : Pink Floyd !, cela semble s’être passé après une suggestion de leur producteur, bob ezrin, une hérésie mais waters, un type assez tordu pour se laisser tenter, d’ailleurs l’extrait que l’on sait de « The Wall » pourra passer pour une parodie (eux aussi.., vont se servir de cet argument ?), c’est à l’évidence aussi, en effet, de la fausse disco, mais il ne sera plus question de fausse disco quand leur song devient un hymne dans les discothèques !, cela est par les faits homologué pure « disco » !, or quoi qu’on en pense, les Floyds ne sont pas trop pris pour des pourris dans le conscient collectif d’alors suite à ce tube, oui pour le Floyd ça passe mieux -curieusement !- sans doute car il s’agit là aussi d’un « terrassement » de la disco par le gros son P F !!!! : les fans ne voient plus de disco, là, on en revient donc à l’idée de faux disco !, & surtout pour beaucoup  de fans : une sorte de volonté collective de continuer à aimer, sans dommage, le Floyd, ce serait dommage de se priver d’eux suite à ce titre, un titre….
la disco et rock & folk…, une histoire de haine toujours renouvelée, toute une étude reste à faire là-dessus ; dans son livre sur Hallyday, p. Manœuvre lave de tous soupçons discos la superstar belgo-française, (à part que dans le honni « Hamlet »…, car produit par jacques revaux de la bande à sardou le variéteux ultime) et en cette même fin d’époque de phil manœuvre, dans le numéro de novembre 2016 le mag interviewe le dernier survivant des bee gees, et la présentation (par Manœuvre, rédac chef donc, sans doute ?) de l’article prépare le lecteur, genre : surtout ne croyez pas pour autant qu’on va ici, dans notre mag devenu pur rock, réhabiliter la disco…, ainsi peut-on considérer : là, se trouve précisé : genre : les malentendus à ce sujet vont être levés…, en fait c’est plutôt le contraire dans le papier lui-même, l’ambiguïté, totale, et , si on a déjà vu souvent une rhétorique s’adapter en cas de défaite : + surprenante : une rhétorique adaptée suite à un triomphe, ainsi : Barry Gibb semble dire (du moins, comme cela est-ce rapporté par soligny) : le trio profitait d’un passage en en studio à herouville (travail sur une bande live, et maquettes de chansons nouvelles) pour créer ce 3 chansons qui finalement viendront magnifier le gigantesque navet « saturday night fever » et leur carrière sans trop savoir ce qu’ils allaient y faire !, or ils savaient très bien qu’il fallait de la dance !, et… EN FAIT : ils cartonnaient depuis quelques années (divine « surprise » pour eux) dans les clubs !, ils
savaient donc parfaitement à hérouville : qu’ils allaient continuer à élaborer de la « disco » (même si donc, dit barry « le disco n’était pas encore un style », ce qui peut être contredit facilement, prenons juste cet exemple, dans best, nov 76, francis dordor chronique le lp « children of the world », curieux titre pour ces discos men : « … à commencer par ce « should be dancing », une maitrise parfaite du funk qui donne au matériel disco ses lettres de noblesse »…), eux, avaient donc déjà à leur actif une poignée de curieux hits de discothèque (et quels !, déjà c’était le top !, je voyais leurs, ces disques montant et descendant des 2 cabines de telle grand discothèque lorraine à 2 pistes de danse), qui multi-enchantaient les belles nuits des villes du monde entier, j’en ai été donc témoin !, comme tant d’autres, & c’était le délire en 1976, quelque chose se passait, (c’était un moment édénique) pouvait vite constater n’importe qui, lequel sera bien sûr confirmé avec leurs titres maquettés en france !, puis retravaillés aux USA), ainsi, du fait de leur incertitude (peut-être ils allaient faire du… hard rock !, ah ah ah  / alors !!!!! les voilà-t-ils pardonnés, dans cette incertitude !, il n’y avait pas préméditation, n’est-ce pas !, et il se retrouvent ainsi dignes d’être dans rock & folk en 2016 !, et on peut comprendre en lisant les autres quelques lignes sur ce qui est arrivé (de gigantesque, mais là le journaliste, sérieux, en est quand même bien conscient) au studio d’hérouville : comme dû aux amphétamines prises !, cette fois, oui, vraiment les BG définitivement purifiés aux yeux du lecteur puriste …  !!!!
Quand même en juin 78 : françois ducray plie (mais est fan depuis longtemps, à l’évidence) impose : «  les 3 chansons de la soundtrack de « Saturday N F », les 3 meilleures de l’année », l’honneur d’un journaliste était en jeu ! Dans le même numéro, un autre rock critique qui a réussi à se procurer une copie du Lp « some girls » des stones, en train de paraitre, écrit pour « miss you », « eh vlan !, un zeste de disco », un zeste…
Mais revenons à octobre 79, le disco entre dans la rubrique 33 tours de « rock & folk » pour la 1ère fois ? avec « risqué » de Chic (aujourd’hui groupe inécoutable, tant ces mecs tiraient sur la corde, alors qu’on appréciera encore longtemps tant d’autres disques de black music, chic aurait pu faire de la disco ET de la musique, mais ils n’eurent pas ce génie, mais c’était voulu, lira-t-on dans les mémoires du guitariste, il était question pour eux, juste d’être efficace, & sans doute, pensaient-ils mercantilement, pour pouvoir durer, d’en donner le minimum à chaque dance song = un désastre artistique, si grand dans le conscient collectif) ; le chroniqueur du 33 tours tape du poing sur la table : sortir de chez son disquaire avec un lp de Chic : une preuve de savoir vivre, mieux : « la disco à force d’être agonie de toute part ne va pas tarder à devenir subversive »
et nous voici retrouvant Ozone !
Pour Ozone3, s’approcher de la disco : une autre façon de continuer à dire non au rock primaire. Précisément, dans cette période, une façon pour eux de rentrer mieux dans le mouvement rock-novo, le cru rock 78, il s’agit de se placer dans la lignée Kraftwerkienne ; d’autant que le rock d’alors : pour partie importante alors : l’horribilis punk ; enfin, ozone3 (quoique extrêmement libre de créer la musique qu’il veut, car se rappeler de la marquise de sévigné, «quand je ne me fie à personne, je fais des merveilles.. » ) doit quand même s’inscrire dans son époque, et cela se fait alors grâce à cette signature « disco »,  dès 1979, & pour
eux cela donne une sorte de pré !-disco assez enthousiasmant (ou disco alternatif / mais rappelons : juste des maquettes ont été enregistré à cette période3), qui en faisait un groupe à suivre, assurément.    
Si la disco reste dans l’histoire de la musique populaire comme un genre largement décrié (et bien sûr il y a aussi de quoi !, mais il y a aussi tant de disques purement rock qui sont des nullités, & qui eux ne sont pas entendus comme tel / s’agissant de la disco, je pense : le public, non snob, se faisait vite une opinion, or jamais, personne n’a osé dire : ah, mais tout ça c’est nul, il faut passer à autre chose) il aura existé edeniquement ! Et le beat disco aura ainsi, du fait de cet aspect un peu miraculeux (à comparer au moment de l’émergence triomphale du rock n roll, puis, cela sera ensuite le cas avec l’arrivé de la new wave pop) forcément pénétré des musiques qui resteront assez loin de la disco-disco, avant, pendant et après ce phénomène. Rythme disco efficace ne signifiait non pour autant une simplification au niveau composition comme le croient les imbéciles, c’est même tout le contraire, la disco pouvait assez souvent s’apparenter à de la prog, c’est de la « musique avant tout » en somme, et ne pas oublier, un genre « inventé », une volonté évolutive, définie par un  isaac hayes, ou bien par la tête pensante des Temptations, le rejoignement de la trance, & d’une complexité toute savante (malheureusement donnant aussi naissance au concept de music-non stop, le fléau qu’est la musique techno…, le beat et l’évolutivité confiés aux machines…, qui ne nous veulent pas de bien !)
rock & folk, toujours lui, ne pouvait faire l’impasse sur ce moment musical particulier et peut lui aussi s’accrocher au disco sans trop se salir : juin 78 encore, voyons son dossier « dico disco », du décalé certes mais bien dans le sujet aussi, riche de 6 pages, car existe une certaine disco pouvant être considérée : élitiste et donc ne pouvant que se voir vite conceptualisée par le t much yves adrien !/ donc possibilité (pour le  magazine) de se rattacher un peu à un mouvement hyper populaire et à la… modernité ; et là, la preuve de cet amour-haine à R&F devient assez drôle : ralph & florian (de kraftwerk) disaient écouter franchement de la disco au même moment de cette année78 (et dieu sait, ces deux-là ne prononçaient pas des paroles en l’air) mais adrien « trafique » (licence poétique dans son cas, cela nous était évident, lecteurs d’alors déjà) l’interview en écrivant le mot disco comme s’ils avaient parlé de « disko », « disko » figurant alors le mot que ce dandy journaliste tentait d’imposer en établissant dans ses papiers (souvent illisibles & new snob mais annonçant l’esthétique eighties) une différence entre la disco populaire (et ne pas oublier :  toute la disco inécoutable)  
et celle quand même écoutable donc par l’élite rock ! ; une façon, là, de garder un aussi bon groupe -pourtant tendance… dance et quelque part disco…, alors que l’électro n’était pas encore officiellement inventée par eux !!!!- dans la mouvance rock !
en 2018, alors que la guerre est finie, que la disco a généré la techno, cela est sûr, une certaine agnès l’eglise mérite qu’on lui fasse donner les étrivières, revient aux horribles fondamentaux (tigres de papier) rock dans le même mag à propos de l’autobio de cerrone, le pauvre, & tout cela n’est pas faux, mais elle balance : « écrivons le tout net, on n’a jamais été fans de c. ni de sa musique qui a bien gâché  toutes les soirées des boites de nuit des seventies ( ???????), et ni du personnage lui-même (certes je confirme) vu qu’on ne s’y est jamais un tant soit peu intéressé tant le décalage culturel était insurmontable », curieux donc déclassement par nature de la disco, alors que l’attachement à l’électro nait de la disco, or l’électro n co, considérée généralement cette fois comme montrant plutôt le bon état mental des masses (à tort, à mon estime !)/ ((((((((((((((au fait : cerrone dans son cette autobio sous traitée refait l’histoire, il oublie de dire (je crois) : son premier LP découle directement du tube long play de donna summer/moroder, don ray le confirme partout, or c. fait comme si c’est lui qui faisait passer à la phase disco2 (oui car bien sûr il y a eu la phase disco et déjà de longs morceaux, dont le fabuleux « masterpiece » des temptations, tout le disco phase2 était là, très tôt, et qui continue à inspirer bien sûr le tube de daft punk featuring pharell , pour donner ce seul ex., et si je ne me trompe pas]
texte : mikhael de montzlov
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more-relics · 2 years
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Syd Barrett - 1967. Photo by Alain Dister.
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igotarighttomove · 2 years
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