Let me tell you something my friend
In these times when hate and love blend
To the point where the boundary between the two seems lost at times
Where in a principle of equality there's never been so much division
There can only be one solution
Sing
Dance
Draw
Paint
Sculpts
Experiments
Exchange
See the world
Discover other lives
Discover your other lives
Always be curious
Keep on loving to discover
Don't lose that gift
Life isn't always easy, so...
Stay away from all these real and virtual toxicities
You, me, nobody needs that
Our life is precious
Learn to share it wisely
Find your balance
Don't worry
I'll be here for you
Go experiment and live
& come back and tell me what you've experienced
Don't worry
I'll keep doing the same on my side
Ophelia and Octavio have to be one of my favourite friendships !
I know they are not the type of hugging people but they went through so much, really. The end of that novels lacked of fluff (between them but also between EVERYONE).
I tried a lot of different tools and style with this one and it was extremely long.
Quand l’amitié commence avant l’amitié, elle touche à la mort, elle naît dans le deuil, mais elle est aussi doublement affirmée, deux fois scellée ; cette reconnaissance qui vient avant la connaissance, je crois qu’elle se destine à survivre. Dès sa naissance : dans tous les livres des questions, ceux qui portent et ceux qui taisent leur nom, au-delà des livres et de leurs titres, au-delà des mots aveugles. Edmond Jabès savait que les livres n’appartiennent plus, ni les questions, sans parler des réponses.
Jacques Derrida, Lettre à Didier Cahen (1962), in Chaque fois unique, la fin du monde, Éditions Galilée, 2003
"Sólo entre gente de bien puede existir la amistad, ya que la gente perversa sólo tienen cómplices ; la gente interesada tiene socios ; la gente política, tiene partidarios ; la gente de la realeza tiene cortesanos ; únicamente la gente buena tiene amigos".
Regardez vous, c'est incroyable. Votre présence illumine et embellit les lieux. Vous rayonnez et aveuglez mes yeux. Je les aime et les envie tellement. Je suis si heureuse de les avoir. Si ce n'était pas le cas, je ne vous verrai pas. Je ne vous aurai jamais connues. Depuis que je vous ai vues pour la première fois, mon coeur bat un peu plus fort, battant toujours et encore. Il n'a jamais cessé de battre car il sait que vous êtes là, quelque part. Que même si vous êtes loin et que je ne peux vous atteindre, vous existez.
Eclats de miroirs brisés ou miroirs encore intacts, qu'on tente de recoller les morceaux ou que l'on soit toujours accrochés au mur, nous demeurons malgré tout ce que la vie peut mettre sur notre passage. Je pense et j'espère que moi aussi, j'ai pu embellir un peu votre vie, en croisant votre chemin. Tant de mondes rentrés en collision, un amour si imposant et fort s'est formé en nous et à l'horizon. C'est là-bas que vous êtes et que je me trouve. Si proches et si éloignés à la fois.
J'aimerai que les rêves romancés et pleins d'espoir prennent le pas sur mes cauchemars. Je souhaite plus que tout vous rencontrer, vous parler et vous atteindre dans mon palais mental, dans mon subconscient, à travers mes songes. Qui sait si je vous toucherai du bout des doigts un beau jour. Je n'en doute pas, même si j'ignore comment. Un jour je serai là, tout au milieu des étoiles et au firmament, entourée de ces mêmes étoiles qui ont éclairées mes nuits rien et ont fait chavirer mes jours pluvieux.
Et au fond, même si j'aime éperdument l'obscurité et la pluie, je les préfère encore plus lorsque je suis en votre si douce compagnie.