Tumgik
#Audrey est plus forte que les camions
aw-kk-ward · 3 years
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Ca faisait un bail non?
Putain, 10 années sont passées depuis la folie Tumblr. 10 années que j’ai posté mon dernier billet, 10 années... 
Durant ces dix ans, j’ai changé, beaucoup d’évolution, des régressions, pas mal de déceptions, un lot de douleurs, des rires, des doutes, des décisions. 
D’abord, et pour boucler la boucle, le p’tit mec qui m’avait posé 4 lapins, je l’ai rencontré. On s’est vu, on s’est aimé instantanément, on a passé un merveilleux été puis on a emménagé ensemble au bout de 3 mois de relation. Ca a duré 5 ans bordel. Cinq ans d’amour, de changements, où on a grandi, évolué, et puis où nos routes ont fini par se séparer. Je crois qu’à l’heure actuelle et compte tenu de ma vie à ce jour, c’est ce que je retiendrai de notre histoire. Elle a été belle, puissante, et elle m’a permis de me découvrir. J’suis passée de l’ado à la femme pendant cette relation, parfois dans la douleur, souvent dans l’amour, et toujours avec un fond de soutien. 
J’ai appris que ma mère trompait mon père pendant cette relation. J’ai fait une dépression, j’suis tombée dans le cercle vicieux du joint, ses méandres, ses fou-rires, son addiction. J’ai mis du temps à me sortir de tout ça. Beaucoup de passages à vide, pas mal de remises en question, des “mais putain regarde c’que t’es devenue!” et puis bon, un jour, une page se tourne, et faut suivre le mouvement. J’pense pas être guérie de ce qu’il se passe entre mes parents, j’le serai probablement jamais. Mais j’y travaille encore aujourd’hui, et clairement ça va bien mieux, je prends du recul quand c’est nécessaire et j’apprends que les choix de tes parents ne reflètent pas forcément ce que tu vas vivre dans ta vie. J’ai eu peur de ça, longtemps. Peur de pas pouvoir avoir une vie fonctionnelle alors que clairement ma systémie familiale est “malade”. Mais j’ai espoir de m’offrir autre chose, de plus sain, de plus chouette. 
La weed et moi c’est terminé depuis un an maintenant, ça a mis du temps ouais, beaucoup d’aller-retours, trop. Jusqu’au jour où c’était fini, juste comme ça, j’en avais plus envie. J’voulais autre chose pour moi, me prendre en main, me faire du bien, m’en donner les moyens. Dans les mois qui ont suivi j’me suis remise au sport, j’ai commencé à faire attention à moi, pour de vrai. J’ai arrêté la viande by the way et j’m’en porte pas plus mal ! Par contre, l’histoire d’amour que je vis avec le fromage est éternelle, sorry not sorry. Bon clairement en dix ans y’a quelque chose qui n’a pas changé, je me déteste toujours autant. Y’a eu du mieux fut un temps, puis à nouveaud du moins bien. Faut dire que depuis mes derniers mots ici j’ai perdu plus de 30kg donc forcément y’a eu du mieux ! Mais bon j’crois que mon image et moi y’a rien à faire on s’entend pas. J’crois que j’accepte pas que j’aurais jamais le corps de mes rêves. Je ressemblerais jamais à celle que j’aimerais être et faut que je m’en contente... Y’a encore du taf mais j’y arriverai. D’ailleurs tant que j’en suis à parler de mon corps, il s’est rebellé le con ! Nalouche (mon chat depuis 5 ans, y’en a eu du changement!!!) m’a probablement sauvé la vie (c’est comme ça que j’ai décidé de le prendre faut pas chercher) en me sautant dessus un beau matin ! Résultat découverte d’un kyste ovarien suite à des douleurs impossibles. Retrait de ce vilain garçon la semaine prochaine, wish me luck wherever you are.
Du coup Nala... Ben c’est ma pepette, ma princesse, mon royaume. J’aime cette boule de poil comme mon enfant, j’la chérie, et elle me le rend bien. Pas de panique Havane est chez les vieux, il était pas fait pour la vie en appart et m’a détruit tous les papiers peint qu’il a pu le bougre. Du coup il vit sa meilleure vie avec ma mère qui avait réellement besoin d’un “p’tit garçon” quand elle nous a vu partir définitivement mon frère et moi. 
En parlant de maison, j’en ai acheté une ! Bon clairement je passe les détails mais c’est ma plus grosse connerie. A peine deux mois après l’achat je la remettais en vente, et maintenant y’a plus qu’à s’en donner à coeur joie pour la rendre attractive auprès des potentiels futurs acquéreurs. Je l’aimais bien, pas trop grande, du charme, fonctionnelle, récente, tout confort. Mais trop grande, trop de terrain, trop d’entretien... Bref... Une plaie ! Je rêve d’un studio cosy (à 26 ans t’as pas honte KK?) avec juste ce qu’il faut pour me sentir bien chez moi, faire ma petite vie, inviter mes potes, me reposer et surtout, me recentrer sur moi.
C’est le bilan d’ma vie ça, durant ces 10 dernières années, je n’ai fait que me précipiter dans des cul-de-sacs ! Tantôt pour éviter la réalité, tantôt parce que clairement j’y croyais mais j’étais trop inconsciente pour réaliser le merdier dans lequel je me lançais ! J’ai eu deux “grandes” relations amoureuses, bon clairement la deuxième était vouée à l’échec et j’éprouvais pas grand chose de positif. Voyons cette parenthèse comme un moyen de me punir, ça a très bien fonctionné ! J’ai déménagé à plusieurs reprises, vécu à Dijon, puis à Louhans, et à Beaune (j’te raconterai pourquoi juste après!). Après j’ai fait le grand saut j’suis partie à Bordeaux ! C’était au moment de ma rupture avec “celui aux 4 lapins”, fallait que je change d’air. J’suis finalement retournée chez mes parents genre 2 semaines avant de revenir en Bourgogne, près de Chalon. C’est là qu’est ma vie aujourd’hui, le boulot, les potes, les repères.
Le boulot du coup, parlons-en ! Parce que j’me suis bien cherchée de ce côté là aussi ! Lors de mes derniers billets, j’partais pour devenir psychologue, j’voulais faire ma fac à Dijon et poursuivre sur un master après ma licence. Bon clairement, entre la vie d’indépendance, la rencontre avec Mme Weedas et mon histoire d’amour, la fac... C’était pas le bon bail ! J’ai validé ma première année, c’était cool, intéressant, j’ai fait de super rencontres! Puis la deuxième année autant dire que j’allais pas suffisamment en cours et que mon attrait s’était amoindri... En plus ces cons nous ont introduit la deuxième année en nous disant que tout ce qu’on avait appris en première était faux, pas le genre de truc qui me plaît beaucoup...! On a eu un chien aussi cette année là, Janka. Je passe un peu parce que finalement c’est une histoire habituelle, c’est ton p’tit bébé au début, tu l’éduques, lui apprend plein de trucs, c’est la prunelle de tes yeux... Puis comme tout animal que tu prends dans un refuge elle a ses “vices” et tu finis par juste galérer pour mener ta vie avec cet être à 4 pattes qui te contraint beaucoup. J’l’aimais beaucoup cette cocotte, mais clairement j’étais pas sa maîtresse et c’est bien mieux comme ça. Bref la fac mauvais bail, du coup j’ai bossé d’abord à Roissy comme agent PHMR (pas une bonne expérience du tout bordel) puis à l’usine pendant un an, histoire d’avoir des thunes en attendant d’me trouver. Et c’est ce qu’il s’est passé, un soir, alors que je zonais sur le net pour me donner des idées de “carrières”, je tombe sur ce taf là, infirmière, qui m’avait l’air cool et en plus y’avait ce qui m’avait manqué durant mes deux ans à la fac, le “contact” avec l’humain. Me v’là donc en train de passer mes concours pour finalement être prise à l’IFSI de Beaune. De belles années, de belles rencontres. Devenue infirmière à Bordeaux, j’ai compris par la force des choses (on y reviendra) que ces années de psychologie m’avaient laissé des traces, et que maintenant c’était dans mon ADN. Je serai infirmière en psychiatrie !
Une belle année d’intérim à Bordeaux, encore des rencontres, un premier taf en or. Puis COVID toussa toussa... Inutile de dresser le tableau d’une période inachevée qui restera dans la mémoire de tous. Retour en Saône-et-Loire, le lieu où j’avais finalement bâti ma vie. Toujours IDE psy, j’adore mon boulot, mes collègues, la route que je prends.
J’ai vécu des périodes difficiles durant ces 10 dernières années. Fin de 3ème année d’école d’inf, j’ai souhaité me foutre sous les roues d’un camion sur l’autoroute. J’étais mal dans mes bask’, prise au piège dans une relation qui ne m’avait jamais convenue, dans une ville que je connaissais mal, où d’ailleurs je ne côtoyais quasiment personne. Ma vie me manquait et je ne vivais que pour le boulot. J’ai vu une psychologue. Putain c’que tu m’as aidé Audrey. Tu sauras sûrement jamais à quel point dans ma p’tite vie à moi, ta rencontre a eu de l’influence. Les mots qu’il fallait au moment où j’en avais le plus besoin. Une bienveillance sans faille, une capacité d’écoute à toute épreuve. J’me souviens de ton regard à la fin de la première séance et de ton “vous êtes une guerrière, vous en avez vécu des choses” “ça fait beaucoup pour une personne”. Quand j’suis dans la panade ou que j’me sens pas bien, y’a plusieurs moments de ma vie qui résonnent en moi, celui là en fait parti. Lui, et mon frère qui m’serre si fort dans ses bras que j’aurais pu en crever, un jour où j’avais envie de crever. Le jour où j’me suis faite cracher dessus par mon premier “amour” aussi. Les moments où la vie a pris le pas sur la mort. Les moments où la résilience a fait son taf avec moi. Les moments où j’ai grandi.
Si j’dois faire un bilan de ces dix dernières années, il faut que j’te parle de ce qu’il s’est passé avant, de ce que j’avais pas mûri y’a dix ans. T’sais les douleurs qui font de toi ce que tu es aujourd’hui. 
Julien
Gilian
Andréa
J’vous déteste.
Non on ne trifouille pas dans la culotte de sa petite voisine à l’occasion d’un apéritif entre les parents. J’ai rien à dire de plus, t’es rien ni personne à part le p’tit bâtard mal éduqué des voisins. Même me traumatiser t’as pas réussi à l’faire du con.
Non on ne joue pas au docteur avec sa petite cousine pendant les vacances. Et putain ça me revient que maintenant mais tu m’as pas touché qu’une fois ! J’avais que le souvenir de nous deux dans ma chambre sur le lit, toi qui fais le médecin et moi la patiente. Non non non. Y’a aussi eu le coup où j’étais chez vous dans le sud, j’étais plus vieille putain. Il faisait noir, ta soeur dormait sur le lit “du dessus”, toi sur celui du bas, et moi sur un matelas par terre. J’me souviens de ta main qui se balade dans ma culotte, du noir de la chambre, et de moi qui ne dit rien. Putain mais c’est quoi cette temporalité ? Qu’est-ce que ça signifie ? Tu l’as refait une fois que ça avait éclaté dans la famille ? Tu l’as refait après être allé voir la psy ? Est-ce que même tu as vu une psy toi ? Est-ce que t’as du mentir devant les tests de Rorschach ? Est-ce que t’as senti le regard de tes parents changer en te regardant ? Est-ce que t’as entendu ta famille sous-entendre que t’étais un menteur ? Est-ce que si on échangeait les rôles, t’aurais été suffisamment fort pour prétendre que t’avais menti juste parce que tu comprenais à quel point ça mettait tout le monde dans l’embarras ? Et maintenant ? T’es quel genre de personne ? J’me suis toujours demandé si t’avais pas choisi cette carrière parce que c’était plus simple de vivre dans un sous-marin plutôt que sur la terre ferme avec tes démons. Non, j’irai pas à ton putain de mariage, non, j’te souhaiterai pas tout le meilleur et non, j’veux pas avoir à faire à toi. Si tu savais ce que je m’en veux d’avoir été si bonne menteuse, si bonne actrice, pour qu’aujourd’hui ma propre famille ne comprenne pas ma détresse quand on me parle de toi. Est-ce que j’dois me sentir coupable aujourd’hui ? Est-ce que tu vas faire des enfants ? Est-ce que tu vas les toucher ? Les pénétrer ? Dans ton regard j’vois du vice, dans ton sourire j’vois ce dont tu étais capable quand t’étais encore qu’un gamin. Tu me répugnes.
Et enfin, non, on ne viole pas à répétition sa petite copine sous prétexte d’un manque de confiance tel qu’on a besoin de ça pour se sentir exister. Un an et sept mois. Tu m’auras fait vivre dans une cage dorée pendant dix-neuf putain de mois. Et j’étais amoureuse, et je pensais même être foncièrement heureuse au début. J’me souviens des bleus, j’me souviens des mots, j’me souviens de tout. Ton pyjama de daron blanc cassé, ton “j’t’ai pris une taille XXL, j’voulais être sûr que ça t’aille”, tes “je t’aime” “je sais plus” “j’t’ai jamais aimé connasse”. J’me souviens me remettre en question, tenter de comprendre pourquoi tu me disais que j’étais si jalouse. J’me souviens le regard des autres qui changent autour de moi au fil des mois. J’me souviens faire tes devoirs pour que tu m’aimes, pendant que tu jouais à PES sur PSP. J’me souviens ta moustache naissante, ton regard noisette foncé, ton rire machiavélique et ta poigne sur mon visage. J’me souviens être devenue folle. De tes silences, de tes non-dits, de ma bêtise. J’ai encore en tête ce jour où tu m’as craché dessus devant tout le lycée, celui du déclic, celui où tout a changé. Comment j’ai pu accepté ça si longtemps pour que les 200 personnes autour de moi ne réagissent même pas ? Comment j’ai pu être si seule pendant si longtemps pour devenir invisible à ce point là ? Ce soir là, j’ai pris MON bus. Les jours qui ont suivi, j’me suis soignée, j’ai pansé mes blessures et j’ai compris ce que j’avais subi. J’me souviens de ton dos qui en paie les pots cassés lors d’un cours. Mon crayon de papier qui s’enfonçait, et toi qui bronchait pas. T’as pas émis un son, et t’as bien fait sinon t’aurais du t’expliquer. T’aurais pas pu passer pour la victime ce coup-ci. Ah papa si tu savais à quel point tu n’aurais jamais pu avoir si tort que le jour où je t’ai dit que c’était fini avec lui et que tu m’as répondu que j’étais une salope.
J’ai survécu. J’suis une putain de guerrière. 
Sans soutien, sans même que qui que ce soit ne sache. J’ai continué ma p’tite vie, bâti mes armures, sorti les rames, et j’y suis parvenue. Bon du coup forcément ma psy s’est pris tout ça dans la gueule. Y’avait les histoires de parents nocifs qui vont finir dans les faits divers du journal, le fait que j’me sois toujours occupée de moi toute seule depuis si longtemps, que j’ai clairement été la cendrillon de mes parents pendant des années, qu’on m’ait longtemps rejetée dans mes cercles amicaux, que j’ai été “bully” pendant quelques années d’ailleurs par ces “amis”, que j’ai toujours eu du mal à trouver ma place et que je fasse passer la douleur des autres avant la mienne. Les nombreuses années à taire mes envies d’en finir, à culpabiliser de pas comprendre ce qui n’allait pas chez moi... Bref, Audrey, t’as accueilli tout ça comme une chef et je ne t’en serai jamais suffisamment reconnaissante. 
C’est du passé, j’suis guérie. Y’aura toujours des p’tites failles, des moments de doute, des flashs de ce que j’ai été et aurais pu être. Mais grosso merdo, j’suis guérie. Et tous les jours j’essaye d’être une personne meilleure que la veille, espérant dans plusieurs années regarder en arrière et être fière de ce que je vois.
Ah et clairement, celle que j’appelais ma “meilleure amie” y’a 10 ans ne l’était clairement pas! Bordel si à l’époque j’avais su ce que je sais aujourd’hui ! Mes aïeux ! Maintenant j’ai des amis, des vrais, des personnes sur lesquelles je peux compter. J’ai un p’tit neveu aussi, que j’ai toujours pas rencontré mais qui est gravé dans ma peau. Oui parce que je me suis faite tatouer et percer ! Depuis le temps que j’en rêvais. A ce jour, 7 tatouages... Ouais je crois que le regard de mes parents quand ils ont vu tout ça restera à jamais gravé dans ma mémoire ! J’ai un septum aussi, et j’ai eu les cheveux rouges pendant 5 ans ! Mon père en PLS...
Ah et ta cousine est toujours ta soeur, seulement avec le p’tit bout les choses évoluent ! Un jour peut-être que je comprendrais, mais j’en suis pas là. Les engagements décidément c’est pas ma tasse de thé, j’attendrai d’être prête, avec la “bonne” personne. Ca m’fait penser, un truc qui n’a pas changé en 10 ans, j’adoooore toujours autant regarder des séries ! J’ai eu une période où clairement je ne faisais que ça, et maintenant l’âge adulte fait que ça a nettement diminué. J’ai plus besoin de chercher pendant des heures, tenir un calendrier.. Ca me manque. Mais y’a eu de véritables belles créations ! J’ai fini TBBT, HIMYM et un tas d’autres séries que je suivais à 16 ans... Une page s’est tournée putain. Je rêve plus de ce dont je rêvais à cette époque, je crains plus ce que je craignais à cette époque. En revanche, certaines choses n’ont pas changé pour un pouce. Je déteste toujours autant les injustices et toute forme de discrimination sociale, j’aime aider les autres, user de mon humour pour me sortir de toute situation, voyager. Mes playlists se sont étoffées mais je me surprends à écouter des titres que j’écoutais déjà à l’époque ! J’aime toujours autant les bonbons même si j’en abuse moins, j’ai appris à cuisiner ! J’ai sauvé des vies, perdu des patients, su réconforter, pleuré de fatigue, rigolé nerveusement (beaucoup), fait du hockey, vu Muse et Orelsan en concert... Le film Kaamelott est enfin sorti et c’était une tuerie ! J’ai toujours le frisson de regarder un dessin animé et je bois nettement moins de coca mais plus de café !
J’en oublie probablement beaucoup, mais je tenais à terminer par l’évocation d’un évènement marquant cette année. Voire même l’évènement le plus marquant de cette année...
J’ai rencontré quelqu’un. Hâte de découvrir si cette personne aura sa place dans un billet dans 10 ans.
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stagehorizomemc · 5 years
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J+6: Bienvenue à l’Odylus!
Une nouvelle semaine commence, et elle commence en grandes pompes!
9h30: Nous rencontrons des nouvelles stagiaires Horizome, Doris en cours à Saint-Luc à Liège et Imane, en cours à Dijon. Toute la matinée, nous devions préparer les lieux pour accueillir l’inauguration de midi. Nous avons allègrement déroulé de la moquette et rangé tous les Legos disséminés par Tamirlan.
12h: L’inauguration commence. D’abord, il y a les discours du Maire de Strasbourg, d’un représentant de l’eurométropole de Strasbourg, du sous-préfet ainsi que du promoteur à l’initiative du projet Odylus. Puis, les associations de l’étage et d’Horizome font la visite du lieu. Plusieurs médias sont là: radios, télé locale ainsi que magazines en ligne.
14h30: C’est la fin de l’inauguration, il reste encore des Bretzels (plus pour longtemps). Nous retournons à nos taches respectives. Avec Audrey, nous aidons au déchargement du camion de la banque alimentaire et nous repensons l’espace d’inscription aux ateliers de cet été. Tamirlan est venu nous prêter main forte à coup de visseuse. Après avoir détaché tous les panneaux de liège, il m’a surpassé au puissance 4. Mais ce n’est que partie remise...
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subito-texto · 6 years
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J’arrive la bouche pleine D’excuses mâchées longtemps Je sais comment me plaindre
Audrey est plus forte que les camions, Avec pas d’casque.
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