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#Autopsie d'un meurtre
pdj-france · 8 months
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En novembre 2016, Elly Warren, 20 ans, a été retrouvée morte au Mozambique. Elle était face contre terre derrière un bloc sanitaire dans la ville côtière de Tofo.Biologiste marine en herbe, elle était à deux jours de son retour à Melbourne, après s'être portée volontaire pour un programme de conservation. Le rapport original du Mozambique décrivait sa mort comme violente.En 2016, le corps d'Elly, 20 ans, a été retrouvé face cachée derrière un bloc sanitaire sur la côte du Mozambique, deux jours avant son retour chez elle. (Neuf)Près de sept ans plus tard, la police a finalement conclu qu'il s'agissait d'un homicide.C'est une nouvelle que le père d'Elly, Paul, attendait, mais la recevoir est venue avec des émotions mitigées. "Ils ont des suspects", a affirmé M. Warren à 9News."Nous espérons désormais, nous espérons certainement plus que jamais qu'une personne puisse être inculpé."La découverte est intervenue après qu'un coroner victorien a dit à la police fédérale australienne de "remuer ciel et terre pour faire ce que vous pouvez pour essayer d'obtenir des réponses de cette famille".C'était en février de cette année, et depuis lors, des officiers se sont rendus en Afrique de l'Est.M. Warren est reconnaissant de la direction du coroner et du mouvement qu'elle a généré, mais il ne pense pas que l'AFP en ait fait assez. Au lieu de cela, il sent que la famille d'Elly a été laissée seule pour trouver des réponses.Tandis que la police a choisi qu'Elly avait été tuée, il reste encore à franchir la dernière étape d'un juge examinant les preuves au Mozambique.M. Warren espère qu'un juge du pays conviendra qu'il y a plusieurs suffisamment de preuves pour poursuivre l'enquête, la police n'en ayant pas encore trouvé suffisamment pour inculper quelqu'un. Il souhaite aussi que l'Australie envoie une demande d'assistance demandant la remise du dossier. M. Warren s'est rendu dans le petit village pour mener ses propres enquêtes. Il souhaite que l'AFP modifie son fonctionnement à l'étranger pour mieux soutenir les familles qui perdent des êtres chers dans des circonstances suspectes. Cette semaine, une audience de trois jours se tiendra au tribunal du coroner de Victoria pour examiner le décès d'Elly. Sa famille pense qu'il y a suffisamment de preuves pour que le coin découvre qu'elle a été assassinée. "Il est important du point de vue australien que nous soyons aussi d'accord avec le Mozambique, et ce n'est tout simplement pas balayé sous le tapis", a affirmé M. Warren.Le détective d'homicide à la retraite Charlie Bezzina a passé des années à soutenir Paul et à examiner l'affaire. Du sable a été retrouvé en profondeur dans les poumons d'Elly, indiquant qu'elle s'était étouffée et qu'elle avait des blessures au cou et au visage. Un examen à Melbourne n'a pas pu déterminer la cause de son décès, mais l'enquêteur chevronné ne doute pas qu'elle ait été tuée. "C'est un meurtre. C'est un homicide qui doit faire l'objet d'une enquête appropriée, la police fédérale surveillant par-dessus l'épaule des autorités mozambicaines", a-t-il déclaré. Le père d'Elly, Paul Warren, de Mordialloc à Melbourne, a salué la conclusion tardive et il espère qu'une enquête en Australie procurera le même résultat. (Neuf)Bezzina a rédigé un rapport pour le coin, prenant en compte les preuves des photos de scènes de crime, des rapports, des témoins et des autopsies. Il pense que l'acceptation par le Mozambique du meurtre d'Elly aura du poids dans l'enquête.Il espère qu'en plus d'une découverte d'homicide, il y aura des recommandations pour les procédures de fonctionnement de l'AFP. Pour que les autorités australiennes soient sur le terrain et fassent appel à des enquêteurs expérimentés sur les homicides."Contrôler la scène du crime, contrôler le défunt, ce qu'il advient du défunt, les autopsies... c'est le rôle de la police fédérale d'intensifier", a affirmé Bezzina.L'enquête de trois jours commence mardi à Melbourne devant le juge coroner de l'État John Cain.
M. Warren espère que l'audience sera remplie d'êtres chers montrant leur soutien à Elly.Expliquant comment il continuera à se battre pour obtenir des réponses et l'aide des autorités australiennes, il a affirmé: "C'est important que je fasse ça pour elle car je sais très bien qu'elle le ferait pour moi."Suite à l'enquête, le coin livrera ses conclusions, ce qui a la capacité de prendre plusieurs mois.
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news24fr · 1 year
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Trois adolescents ont été accusés du meurtre d'un homme qui a été poignardé à mort dans les West Midlands.Bailey Atkinson, 20 ans, a été attaqué dans High Street à Walsall aux premières heures du 28 janvier.Le trio – un de 15 ans et deux de 16 ans – a été arrêté mardi dans un hôtel de Rhyl, dans le nord du Pays de Galles, et la police des West Midlands a confirmé qu'ils avaient été inculpés vendredi soir.Ils doivent comparaître devant le tribunal d'instance de Wolverhampton samedi.Les suspects ne peuvent pas être nommés en raison de leur âge.Atkinson a été transporté à l'hôpital après avoir été poignardé, mais il est décédé des suites de ses blessures. Une autopsie a révélé que la victime, de Bloxwich, était décédée de plusieurs coups de couteau.DI Jim Mahon a déclaré: «Notre enquête a été rapide mais ne s'est pas arrêtée avec ces arrestations. Nous savons que d'autres personnes sont impliquées dans les événements tragiques de samedi soir et nous sommes déterminés à trouver toutes les personnes impliquées pour obtenir justice pour la famille de Bailey."Nous exhortons toute personne disposant d'informations qu'elle pourrait retenir, peut-être par loyauté malavisée, à se manifester maintenant."La famille d'Atkinson lui a déjà rendu hommage en tant que « garçon bien-aimé Bailey, notre fils, frère et petit-fils bien-aimé et bien-aimé ».Ils ont ajouté: "Bailey était tellement aimé, par tant de personnes et nous manquera tellement."Une ordonnance de dispersion en vertu de l'article 60 restera en place jusqu'à samedi matin dans les régions de St Matthews, Bloxwich West et East, Blakenall, Birchills et Leamore,L'ordre, qui, selon la police, est utilisé lorsqu'il existe un risque de violence, permet aux agents d'arrêter et de fouiller les personnes soupçonnées d'être impliquées dans des violences, sans avoir besoin d'avoir des motifs raisonnables.
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pauline-lewis · 3 years
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You’re so square, baby I don’t care
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Je ne pense pas être la seule mais en ce moment je me remémore souvent le film Un jour sans fin. Le matin quand je me réveille je pense à Bill Murray frappant son réveil avec son poing (je ne peux pas frapper mon réveil parce qu’il est humain et que je l’apprécie sacrément). Je me rappelle surtout de son attitude à mesure que le film avance. Son air blasé, son impression que plus rien ne le concerne, son envie de tout faire foirer, presque volontairement, pour voir si ça changerait quoi que ce soit. Je ne sais pas si je me suis transformée en Bill Murray dans Un jour sans fin, en tous cas j'ai bien envie de manger des choux à la crème et de parler la bouche pleine. La boucle temporelle est peut-être une métaphore de cette fatigue dont nous parlons tous ces temps-ci.
AH d'ailleurs en parlant de journées qui se suivent et se ressemblent, Amazon va mettre en ligne le 12 février Palm Springs, une excellente variation sur le thème de la boucle temporelle. J'avais écrit cet article dessus en rentrant de Normandie cet été !
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Je m'inquiète de deux choses en ce moment : la rage dans laquelle me plonge ce fil DMC qui n'arrive pas et m’empêche de boucher un trou dans mon canevas et mon implication dans les storylines de Sex in the City. Appelez-ça le syndrome de Stockholm si vous le voulez, en tous cas je commence à parler à ces personnages auxquels je ne m’identifie pas une seule seconde comme si j'étais l'une d'entre elles. "Mais enfin Carrie, c'est terrible de se faire larguer par post-it, ça mérite une nouvelle paire de Manolo Blahnik, you do you girl !" J'ai même versé une larme quand le personnage qui m'est le plus antipathique (Charlotte) a été demandée en mariage. "Oui Charlotte, dis-lui que c'est dégoûtant de poser ses testicules sur le canapé blanc tout neuf." Parfois, entre deux points de canevas, je marmonne entre mes dents "dump him". Le fait est que le plus féministe dans Sex and the City c'est peut-être le fait que tous les hommes sont absolument insupportables.
youtube
Je ne sais pas si vous avez des remèdes particuliers pour chaque chose. L'un de mes remèdes au lundi matin c'est Buddy Holly. Je brise le cycle infernal des journées qui se ressemblent en écoutant "You're so square (Baby, I Don't Care)". Ça aurait probablement été l'hymne imaginaire de mon alter-ego de Sex and the City. 
Anyway.
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Chaînes conjugales (Joseph L. Mankiewicz, 1949) et Autopsie d’un meurtre (Otto Preminger, 1959)
J’ai vraiment un faible pour le cinéma américain des années 40-50. Quand j’étais enfant, je râlais sur mes parents quand nous regardions un “film en noir et blanc”, rien ne me barbait plus, et voilà où nous en sommes aujourd’hui. Après écrit quelques mots sur Thelma Ritter sur Instagram, Mme Pastel m’a conseillé le film de Mankiewicz Chaînes conjugales dans lequel l’actrice est particulièrement brillante. Et je suis ravie d’avoir suivi ce conseil parce que j’ai beaucoup aimé ce film dans lequel une femme particulièrement appréciée des hommes qui l’entourent envoie une lettre à trois amies pour leur dire : je suis partie avec l’un de vos maris.
Si je le mets en lien avec Autopsie d’un meurtre d’Otto Preminger, qui raconte le procès d’un homme condamné pour avoir tué l’homme qui a violé sa femme, c’est que les deux films m’ont tous les deux intéressés pour ce qu'ils disent de la domination masculine.
Chaînes conjugales décortique trois relations hétérosexuelles dans lesquelles les femmes semblent toutes avoir quelque chose qui dérange leur mari : la première se trouve trop “provinciale”, la seconde aime beaucoup trop son travail et y passe trop de temps selon son conjoint (elle écrit pour la radio) et la troisième est écrasée par le mépris de classe de son atroce époux. Sans vouloir spoiler, il semble que la fin du film leur donne raison puisqu’elles font toutes un pas vers leur mari et abandonnent toutes un peu de leur identité au passage. En cela, le scénario tend vers un message conservateur. Mais dans la manière dont le film est fait (notamment ces échos sonores assez expérimentaux qui hantent les femmes et semblent leur montrer leur malheur profond), on peut aussi le voir comme une remise en question profonde des attentes de ces hommes. Pourquoi veulent-ils tous les trois une femme qui n’est pas la leur ? Dans toutes ces séquences, ce qui me sautait aux yeux c’était bien leurs manquements à eux. Eux qui n’arrivent pas à rassurer leur partenaire, à lui donner la place pour qu’elle puisse écrire, à la laisser vivre, tout simplement. Ils courent tous après cette femme imaginaire, qui n’a de vertu que celle-ci : de ne pas être là. D’ailleurs, elle sera hors champ pendant tout le film. Sa photo sera cachée habillement, on ne l’entendra que par une voix off évasive.
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Autopsie d’un meurtre est l’un des rares films que j’ai pu voir qui aborde le viol aussi frontalement. Et c’est assez perturbant de le voir aujourd’hui puisque pendant tout le procès tous les protagonistes remettent en question le caractère de la victime en décortiquant ses mœurs, ses tenues, ses habitudes, ses cheveux, sa manière de s’exprimer... Le seul enjeu est bien l’offense qu’a subi le mari (lui-même violent) en voyant le corps de sa femme lui échapper. Le fait qu’elle ait subi un trauma est rapidement mis de côté voire jamais abordé. Certaines scènes m’ont vraiment frappée, comme ce moment où le juge prend les avocats (tous des hommes, donc) à part pour trouver un mot approprié et décent pour dire “culotte”, tels quatre hommes blancs invités sur un plateau pour parler de PMA. Ils ont peur que tout le monde ricane dans l’audience. L’un d’entre eux avoue n’avoir jamais entendu sa femme appeler ses sous-vêtements autrement. Quatre hommes qui discutent du corps d’une femme sans lui demander son avis, voilà qui a encore des échos douloureux aujourd’hui.
Je ne suis pas forcément férue des films de procès mais celui-là m’a captivée, les acteurs·trices sont incroyables, il y a un chien acrobate, une musique de Duke Ellington et James Stewart en avocat de peu d’ambition. (j’ai vraiment une passion pour ces personnages un peu détachés, on se demande bien pourquoi) Et puis j’adore James Stewart, tout simplement.
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Intimations de Zadie Smith et On Connection de Kae Tempest
La pandémie m’a travaillée plus que d’habitude depuis début janvier. Parfois je me dis que la raison principale est que j’ai perdu mon chat qui était l’une de mes connections qui m’ancrait un peu au quotidien. L’ancrage est l’une des thématiques abordées dans l’essai de Kae Tempest
On Connection.
Je l’ai déjà dit ça et là mais cet ouvrage (qui va paraître en français aux éditions de l’Olivier en avril, traduction de Madeleine Nasalik) m’a vraiment émue et fait du bien, et franchement que demande-t-on de plus en ce moment. Kae Tempest parle notamment d’un sujet qui m’obsède : comment séparer sa production de son envie de la partager, de capitaliser dessus... Il y a une vraie difficulté, dans le monde dans lequel on vit, de penser en profondeur et pas en termes de rendement.
The focus on what I can succdessfully generate, on what I can monetize, on what I can contribute, is a systemic imprint that enforces a production/consumption mentality and keeps me in the thrall of needing to work to consume to value myself. If I can produce goods or services that can be exploited to maximise profit, I am valuable. If I can’t produce goods or services that can be exploited for profit, I remain un-valuable.
Kae Tempest écrit chaque essai en replaçant d’où iel parle, en replaçant ses privilèges et ses zones d’ombre. C’est une écriture très honnête, qui est aussi une ode à la créativité, à faire sans forcément viser de but, et surtout à se connecter les un·es aux autres (pareillement, sans penser à ce que cela peut nous apporter). Quand je me surprends à une aigreur toute pandémique, je repense à ses mots.
Zadie Smith, elle, réfléchit aussi à notre contexte du Covid avec des essais très ancrés dans la situation et le présent, où elle est comme toujours très drôle et intelligente, pleine d’une auto-dérision qui fait beaucoup de bien. Elle participe à faire descendre l’Écrivain·e de son piédestal et c’est très plaisant et agréable. Elle raconte ce que cela fait de travailler, d’un coup, avec sa famille présente, d’assumer ce quotidien. Les jours qui se ressemblent. Et puis elle sait donner vie à n’importe quelle scène, que ce soit aux femmes qui regardent les bouquets de fleurs dans les rues new-yorkaises ou à son masseur avec qui elle échange des banalités. Le dernier essai est particulièrement difficile et triste donc je ne dirais pas que c’est une lecture tout-terrain en ces temps moroses. Personnellement cela m’a fait du bien d’avoir cette petite fenêtre sur son esprit brillant.
Sinon j’ai fait une petite playlist pour la géniale Radio Tempête, elle sera rediffusée samedi matin et sinon elle est dispo sur Spotify si ça vous dit !
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flimgif · 5 years
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flimgifs · 5 years
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Anatomy of a Murder (1959)
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partagerdescinemas · 6 years
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Défense d’une vie de femme
Anatomy of a murder Otto Preminger 1959
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30 décembre 1916 assassinat de Raspoutine. De son vrai nom Grigori Efimovitch Raspoutine. Face à nous se dresse un colosse d'1m93, au long visage buriné, accompagné d'une barbe noire hirsute et d'un regard à la fois hypnotique et terrifiant. Si le physique de l'homme interpelle, c'est surtout sa mort, ou devrais-je dire plutôt son meurtre qui continue de fasciner, et ce bien au delà des frontières russes. Qui est-il? Raspoutine se prétend, avant tout, starets et prophète, autant dire mystique et guérisseur. Ses détracteurs, et il en possède énormément, le considèrent au mieux comme un aventurier et un beau parleur, au pire comme un escroc et un charlatan... Or, ce "moine fou" va, tout de même, parvenir très rapidement à se faire une place de choix auprès de la famille impériale : les Romanov, au point de devenir un intime de la tsarine en personne, le jour où il parvient à guérir miraculeusement son fils, le tsarévitch, atteint pourtant d’hémophilie. Raspoutine ayant été conduit au chevet de l'enfant, il entreprend aussitôt de le soigner lui-même. Simplement, par l'imposition des mains et quelques remèdes de sa Sibérie natale, il parvient à soulager sa douleur et a résorber l'hématome extrêmement douloureux qui s'était constitué suite à une chute. Dès lors, l’influence du mage au sommet de l’État et spécialement auprès de l’impératrice ne va cesser de croître, au point de faire énormément d'envieux. Notamment auprès de la haute noblesse qui déteste également le starets pour son comportement qualifié de débauché en présence de certaines femmes de la cour impériale. Parmi ses ennemis, on compte notamment un certain prince Félix Ioussoupov qui l’invite en son palais dans le but de le supprimer et de mettre fin à son emprise sur les Romanov. En arrivant, Raspoutine est conduit au sous-sol où on lui sert des gâteaux et un verre de vin, le tout assaisonné de cyanure... Ô surprise, le colosse avale tout sans sourciller, à peine semble-t-il s'éclaircir un peu la gorge. Excédé, Ioussoupov se saisit d’un pistolet et tire sur Raspoutine. Nouveau rebondissement, le moine fou, tombé au sol, se relève aussitôt et s'enfuit dans la nuit, laissant perplexes ses agresseurs. Ces derniers finissent, pourtant, par le rattraper et lui logent une balle dans la tête. Pour plus de sécurité, ils ligotent le corps et le jettent dans le canal. Plus tard, en repêchant son cadavre, une autopsie révèlera que Raspoutine n’est mort ni du poison ni des balles, ni même des commotions et des coups assénés, mais de noyade. Du moins si l'on en croit la présence d’eau retrouvée dans ses poumons, ce qui tendrait à prouver qu’il respirait encore au moment où on le jeta dans l'eau... Voilà pour la légende, mais une seconde version, qui semble être la version officielle, indique que Raspoutine n'a pas été empoisonné, et qu'il serait bien mort d'une balle tirée à bout portant dans le front. De plus, il n'y aurait eu aucune présence d'eau dans ses poumons lors de l'autopsie et le docteur, qui avait fourni le cyanure au Prince Félix Ioussoupov, avouera n'avoir finalement donné qu'un simple produit inoffensif. Pourtant la légende est en marche, et en Russie on dit même que lors de son incinération, seul son cercueil aurait brûlé, le corps de Raspoutine restant intact sous les flammes...
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basilepesso · 3 years
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Ben quoi ? La France ! Come, tourists, come ! Nothing will happen to you...it's just far right fantasies spread by xenophobic fear mongerers.
BP. >>>>> "Il était 20H00, dimanche soir, quand des témoins ont aperçu un véhicule en proie aux flammes au milieu d'un champ agricole à Clermont-le-Fort, près de Toulouse, en Haute-Garonne. Les pompiers, arrivés sur les lieux, sont venus à bout de l'incendie. Ils ont inspecté la voiture calcinée et ont découvert dans le coffre un cadavre carbonisé. Pour l'instant, la victime n'a pas été identifiée. On ignore son sexe et son âge. La Peugeot 306 n'a pas été déclarée volée mais peut-être que le propriétaire ne s'est pas encore aperçu de sa disparition. "Plusieurs voitures ont déjà brûlé dans le secteur, mais généralement, elles sont abandonnées au bord d'une route, pas au milieu d'un chemin privé. Le ou les auteurs voulaient clairement être discrets" a précisé Madame le maire. Une enquête pour meurtre a été ouverte et a été confiée à la section de recherches de la gendarmerie. Une autopsie sera pratiquée afin d'en savoir plus sur l'identité de la victime et sur les circonstances de la mort."
Article de La Dépêche : “Haute-Garonne. Corps calciné découvert dans une voiture à Clermont-le-Fort : ce que l'on sait“
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infos-lgbt · 5 years
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Grèce : Quatre policiers accusés d’avoir infligé des blessures fatales au militant gay Zak Kostopoulos
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Quatre policiers grecs ont été inculpés pour avoir infligé "des blessures corporelles mortelles" au militant gay Zak Kostopoulos après son agression par une foule de passants cherchant à le lyncher après son intrusion dans des conditions encore confuses dans une bijouterie.  Les images de la caméra de vidéosurveillance de l'incident ont conduit les enquêteurs à identifier quatre policiers accusés d'avoir battu l'homosexuel de 33 ans alors qu'il était allongé sur le trottoir et qu'ils le menottaient.  Un juge d'instruction a donné aux officiers jusqu'au 12 décembre pour préparer leur défense, a rapporté lundi le 3 décembre le journal grec Kathimerini.  La mort de Zak Kostopoulos dans les rues d’Athènes le 21 septembre dernier a choqué la communauté LGBT locale et internationale, provoquant des manifestations à la fois dans la capitale grecque et devant des consulats grecs dans des pays étrangers tels que l’Australie et l’Italie.  Qu'est-il arrivé à Zak Kostopoulos? Dans la séquence vidéo, qui a été largement partagée sur les réseaux sociaux et sur les chaînes d’information grecques, Kostopoulos a été vu pris au piège dans une bijouterie de la rue Gladstonos, près de la place centrale Omonia à Athènes.  Zak Kostopoulos a utilisé un extincteur pour briser la vitrine du magasin. Alors qu'il rampait à travers la vitre brisée, le propriétaire de la bijouterie et un autre homme semblent le frapper à plusieurs reprises, un dernier coup à la tête envoyant Zak Kostopoulos allongé sur le trottoir.  Quelques passants sont intervenus pour le défendre, mais une foule plus nombreuse s'est rassemblée autour de lui, certains le frappant toujours alors qu'il était allongé sur le trottoir.  Zak Kostopoulos a finalement été emmené sur une civière, menotté, mais il est décédé avant d'arriver à l'hôpital.  La police a d'abord décrit Kostopoulos comme un toxicomane qui était entré dans le magasin armé d'un couteau pour commettre un vol - une description que ses amis avaient rejetée.  Ceux qui connaissaient Kostopoulos se souvenaient de lui comme d'une personne qui "aimait aider" les autres et d'un défenseur pionnier de l'acceptation des séropositifs en Grèce.  Une autopsie n’a toutefois pas permis de retrouver la moindre trace de drogue dans le corps de Kostopoulos et il n’a pas été déterminé si un couteau découvert dans la bijouterie portait ses empreintes digitales ou son ADN.  Le procureur a déterminé que Zak Kostopoulos était mort d'une crise cardiaque après son passage à tabac brutal.  La famille Kostopoulos cherche à faire comparaître pour meurtre toutes les personnes impliquées dans sa mort, y compris le propriétaire de la bijouterie qui l'a battu et les policiers.  Le militant LGBT, né aux États-Unis, a été inhumé dans le village de Kirra, où il a grandi. Lors des funérailles, les personnes en deuil ont célébré son rôle dans la communauté LGBT et sa performance en tant que drag queen, couvrant ses cercueils de paillettes, de perruques et de minuscules drapeaux arc-en-ciel.
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actumondeworld · 3 years
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Autopsie d'un meurtre sur Arte : retour sur le véritable crime à l'origine du film - toutfilm visiter : https://tinyurl.com/y3d5xs7g pour plus d'info #arte #autopsie #crime #dun #film #lorigine #meurtre #retour #sur #toutfilm #véritable
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news24fr · 1 year
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Un procureur du district de Santa Fe annoncera jeudi si des accusations seront portées dans le tournage fatal d'un tournage en 2021 d'un directeur de la photographie par l'acteur Alec Baldwin lors d'une répétition du western Rust.La procureure du district de Santa Fe, Mary Carmack-Altwies, a déclaré qu'une décision serait annoncée jeudi matin dans un communiqué et sur les réseaux sociaux, sans apparition publique des procureurs."L'annonce sera une occasion solennelle, faite d'une manière conforme à l'engagement du bureau à maintenir l'intégrité du processus judiciaire et à respecter la famille de la victime", a déclaré Heather Brewer, porte-parole du bureau du procureur de district.La directrice de la photographie Halyna Hutchins est décédée peu de temps après avoir été blessée par un coup de feu lors de la préparation d'une scène au ranch à la périphérie de Santa Fe le 21 octobre 2021. Baldwin pointait un pistolet sur Hutchins lorsque l'arme a explosé, la tuant et blessant le réalisateur, Joël Souza.Le shérif du comté de Santa Fe, Adan Mendoza, qui a mené l'enquête initiale sur la mort de Hutchins, a décrit "un degré de négligence" sur le plateau de tournage. Mais il a laissé les décisions concernant d'éventuelles accusations criminelles aux procureurs après avoir rendu compte des résultats d'une enquête d'un an en octobre. Ce rapport n'a pas précisé comment les balles réelles se sont retrouvées sur le plateau de tournage.Prenant le contrôle de l'enquête, Carmack-Altwies a obtenu une demande d'urgence de 300 000 $ pour que l'État paie un procureur spécial, un enquêteur spécial et d'autres experts et membres du personnel.Baldwin – connu pour ses rôles dans 30 Rock et The Hunt for Red October et son impression de Donald Trump sur Saturday Night Live – a décrit le meurtre de Hutchins comme un « accident tragique ».Il a a cherché à blanchir son nom en poursuivant les personnes impliquées dans la manipulation et la fourniture de l'arme chargée qui lui a été remis sur le plateau. Baldwin, également coproducteur de Rust, a déclaré qu'on lui avait dit que l'arme était sans danger.Dans son procès, Baldwin a déclaré que tout en travaillant sur les angles de caméra avec Hutchins lors de la répétition d'une scène, il a pointé le pistolet dans sa direction et a tiré en arrière et a relâché le marteau du pistolet, qui s'est déchargé.Le bureau de l'enquêteur médical du Nouveau-Mexique a déterminé que la fusillade était un accident à la suite d'une autopsie et d'un examen des rapports des forces de l'ordre.Le Bureau de la santé et de la sécurité au travail du Nouveau-Mexique a imposé l'amende maximale à Rust Movie Productions, sur la base d'un récit cinglant de manquements à la sécurité, y compris des témoignages selon lesquels les responsables de la production ont pris des mesures limitées ou aucune mesure pour remédier à deux ratés de balles à blanc sur le plateau avant la fusillade mortelle .Rust Movie Productions continue de contester la base d'une amende de 137 000 $ par les régulateurs qui disent que les directeurs de production sur le plateau n'ont pas suivi les protocoles standard de l'industrie pour la sécurité des armes à feu.L'armurier qui a supervisé les armes à feu sur le plateau, Hannah Gutierrez Reed, a fait l'objet d'une grande partie de l'examen de l'affaire, avec un fournisseur de munitions indépendant. Un avocat de Gutierrez Reed a déclaré que l'armurier n'avait pas mis de balle réelle dans l'arme qui a tué Hutchins et pense qu'elle a été victime d'un sabotage. Les autorités ont déclaré n'avoir trouvé aucune preuve de cela.
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karinesauzedde · 4 years
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Lee Remick photographiée par Gjon Mili sur le tournage de "Autopsie d'un meurtre" (Anatomy of a Murder), réalisé par Otto Preminger, sorti en 1959
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flimgif · 5 years
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flimgifs · 5 years
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Anatomy of a Murder (1959)
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rojinfo · 4 years
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Antoine Comte: Arte cache la responsabilité turque et le silence français Par @chris_hond Antoine Comte, l'avocat des familles des trois militantes, explique ce que le reportage d'ARTE n'explique pas. Le 24 mars 2020, ARTE diffuse le documentaire d'Ahmet Senyurt "Autopsie d'un triple meurtre".
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“Un Garçon d’Italie” d’après Philippe Besson au Théâtre de Belleville
Autopsie d'un meurtre...Une prosopopée est une figure de style qui fait parler un personnage disparu, comme dans certains films noirs du Hollywood des années quarante. C'est ainsi que Philippe Besson a choisi de dérouler la trame narrative de son roman : Luca, retrouvé mort sur les rives de l'Arno, à Florence, nous dévoile sa double vie entre sa compagne Anna et son amant Léo, et nous confie ses secrets...
Mathieu Touzé a choisi d'adapter ce roman paru en 2003 pour nous livrer sa version théâtrale. Ou plutôt monologuée.
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(c) DR
Chacun des personnages vient soliloquer face public en remontant le fil des évènements. Dans un style un peu empesé et souvent trop démonstratif, avec des réminiscences de Pasolini ou Chéreau, nous retrouvons comme un air de déjà vu à ces amours de chiottes de gare et de jouissances masculines sordides et furtives. Touzé nous livre un ménage à trois fantomatique, surligné par une bande son redondante et emphatique, et qui s'apparente à un exercice de fin d'année du Cours Florent par son absence de propositions scéniques. Yuming Hey dans le rôle du giton ému et Estelle N'Tsendé dans celui de la veuve trompée déploient une belle énergie à faire vivre un texte parfois un peu froid et convenu. Leur travail de deuil et leur questionnement nous émeuvent quelquefois dans leur appartenance à «  la fraternité des éclopés ». Mais ce thriller post mortem demeure dans une tonalité un peu trop uniforme. Sans réel enjeu il ne réussit pas à nous accrocher.
« Un Garçon d'Italie » d'après Philippe Besson mise en scène Mathieu Touzé
Jusqu'au 28 mai 2019 au Théâtre de Belleville
www.theatredebelleville.com
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