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#Bataille de Carentan
jbrasseul · 2 years
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C'est une péninsule !
C’est une péninsule !
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carbone14 · 3 years
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Compagnie d'artillerie du 90e Régiment d'infanterie tirant au canon de campagne M3 105 mm près de Carentan – Bataille de Carentan – Bataille de Normandie – 11 juin 1944
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“Il avait arrêté plusieurs fois sa voiture le long de la route pour écouter le silence. Voilà ce dont Paris le frustrait irréparablement : ce silence. Que ne s’arrêtait-il ici pour l’hiver. Voilà ce qui lui manquait, l’hiver, et une profondeur de solitude, inconnue de lui, le solitaire. Il repartait avec un frisson ; plus loin, il s’arrêtait encore. Il lui semblait qu’il aurait pu demeurer dans une maison isolée, non pas dans un village. Car là, la leçon de la nature lui semblait niée plus atrocement, au plus près de sa source. Les paysans qu’il rencontrait semblaient l’arrière-garde hargneuse d’une armée en déroute. Ils lui jetaient le regard de doute, de haine et d’envie de ceux qui demeurent les derniers sur le champ de bataille, qui résistent encore à l'avance irrésistible d’un ennemi vainqueur, mais qui ont vu disparaître à l’horizon tant de fuyards. Dans les villages où tant de maisons étaient abandonnées ou mortes, les derniers paysans erraient comme des âmes en peine. Âmes en peine, âmes humiliées, destituées, découronnées, âmes rongées par le doute et n’ayant plus d’autre recours qu’un lucre et un alcool maniaques. Et dans les petites villes, de chétifs bourgeois semblaient aussi loin des champs et de leurs grands rythmes de sève que ceux des quartiers les plus barricadés et calfeutrés de Paris. Ce n’était donc pas seulement l’hiver de la nature que Gilles voyait ; c’était un autre hiver et une autre mort, plus durables, portant la menace, peut-être, de l’irrémédiable. Il s’agissait de l’hiver de la Société et de l’Histoire, de l’hiver d’un peuple.
- Je te l’avais bien dit que cette guerre tuerait la France, marmonnait Carentan.”
- Pierre Drieu la Rochelle. Gilles
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freyjalion · 4 years
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Joseph Liebgott de Band of Brothers
Je vais vous présenter un personnage de Band of Brothers que j'affectionne: Joseph Liebgott. Je précise que je présente le personnage qui nous est dépeint dans la série et non pas la personne ayant réellement existé.
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Joseph Liebgott apparaît dès le premier épisode et il est présent dans tous les épisodes, même en arrière plan.
Nous rencontrons donc Liebgott dès le premier épisode où il est, comme beaucoup d'autres soldats, sermonnés par Sobel, privé de permission et donc condamné à aller courir jusqu'à Currahee. On le suit dans son entraînement au camp Toccoa où Sobel se révèle incapable de diriger des hommes au combat et Liebgott fait partie de ceux qui expriment leur mécontentement. Lors de leur départ pour l'Angleterre, on apprend que Liebgott est juif, et il se bat à ce sujet contre Guarnere. Lors du débarquement, Liebgott participe à la prise de canons allemands. Il est de toutes les batailles, et notamment celle de Carentan, où il s'occupera de Tipper, un soldat gravement blessé mais interviendra également pour sauver Talbert, blessé par erreur par l'un de leurs camarades. En Hollande, il est légèrement blessé lors d'une patrouille. Après une attaque sur une compagnie de SS, il continue de tirer et est rappelé à l'ordre par le lieutenant Winters qui lui confie les prisonniers. Mais face à l'empressement de Liebgott, Winters décharge son fusil, ne lui laissant qu'une balle et lui demande de veiller à ce que tous les prisonniers arrivent vivants. Liebgott participe également aux batailles de Bastogne et de Foy, en Belgique.
A Haguenau, Liebgott retrouve David Webster qui revient de l'hôpital, après avoir été blessé en Hollande. Liebgott le chahute un peu, notamment en lui faisant croire que le sergent Malarkey va passer lieutenant. Il demande également à Webster qui est désigné pour se rendre en patrouille et promet que les hommes ne diront rien. Finalement, il échappe à la patrouille grâce à Webster et couvre ses amis à la mitraillette. Au final, alors qu'il quitte Haguenau, il aide Webster à monter dans leur camion. En Allemagne, il sert d'interprète, parlant couramment allemand. Il fait le lien entre le commandant Winters et les prisonniers du camp de concentration que la Easy découvre. Il est particulièrement choqué d'apprendre que se sont majoritairement des juifs qui sont enfermés. Il craque lorsque lui ordonne de dire à ces hommes qu'ils doivent retourner dans le camp le temps qu'on les prenne en charge. Il ressert son amitié avec Webster en lui décrivant comment il voit sa vie après la guerre: reprendre son activité de chauffeur de taxi, épouser une jeune juive et lui trouver une belle et grande maison pour tous les petits Liebgott...Il demande ensuite à Webster ce que lui compte faire et se moque de lui lorsqu'il apprend qu'il n'a pas terminé ses études, ce qui fâche un peu Webster. La dispute se termine vite lorsqu'il lui demande ce qu'il étudiait, Webster lui apprend que c'est la littérature et Liebgott affirme qu'il adore lire, surtout Flash Gordon... En Autriche, bien que Webster s'y oppose, il retrouve un allemand qu'il soupçonne d'avoir dirigé un camp et avec l'aide d'un autre soldat, l'abat. Lorsque le sergent Grant est blessé à la tête par un soldat américain ivre, Liebgott n'hésite pas à aider ses camarades à retrouver le coupable. En tant qu'interprète, il traduira à Winters, Nixon et Speirs le discours d'un commandant allemand à ses hommes, qui les touche tous de très près.
On apprend qu'après la guerre, Liebgott a fait exactement ce qu'il avait prévu: il est redevenu chauffeur de taxi.
Pourquoi j'aime bien Joseph Liebgott? Liebgott est attachant par ses défauts et ses failles. Il n'est pas un soldat parfait. Il est un bon soldat mais il n'est pas toujours agréable. On comprend qu'il est n'est pas très aimable avec les allemands, bien qu'il parle leur langue et il est assez méchant avec Webster lorsque celui-ci revient de sa convalescence après sa blessure en Hollande. Mais Liebgott n'est pas stupidement méchant, après que Webster est fait ses preuves auprès du groupe, il accepte, comme tout le monde et lie même une amitié avec lui. Liebgott est vraiment bien intégré à la Easy, il a été de toutes les batailles et il s'entend bien avec tout le groupe. Finalement, je trouve Liebgott attachant par ses failles.
Et vous, vous souvenez-vous de lui? Etait-ce un personnage que vous aimiez bien?
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archivesgouv · 7 years
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6 juin 1944. Débarquement de Normandie
Retardée une première fois le 4 juin 1944 en raison du mauvais temps, l’opération Overlord (suzerain) est fixée au 6 juin par le général Eisenhower, commandant en chef des troupes alliées. Quelles que soient les conditions météorologiques, ce jour-là sera le Jour J du débarquement en Normandie.
À l’aube, des bâtiments de guerre apparaissent au large des côtes normandes. Une armada de 4 266 navires de transport et 722 navires de guerre. Elle s’étend sur un front de 35 kilomètres, et transporte 156 115 soldats, américains, canadiens et britanniques pour la plupart. Ils ont pour mission d’enfoncer les fortifications du  fameux "Mur de l’Atlantique" construit par l’organisation nazie Todt pour empêcher tout débarquement sur 6 000 km, de la Norvège aux Pyrénées.
Les préparatifs de ce débarquement des troupes alliées en Normandie ont commencé dans le plus grand secret, dès la fin de 1943. Il a alors été décidé que le débarquement se ferait d’Angleterre. Des centaines de convois ont traversé l’Atlantique en provenance des États-Unis, y transportant soldats et matériels. L’Angleterre tout entière s’est transformée en un immense camp militaire : construction de péniches de débarquement et de ports préfabriqués ; construction d’un oléoduc ; concentration et entraînement des troupes ; élaboration d’un plan extrêmement complexe et minuté ; destruction par l’aviation de voies ferrées, ponts et canaux ; armement des Forces françaises de l���intérieur et intensification du "renseignement"…
Dans la nuit du 5 au 6 juin, des hommes-grenouilles cisaillent les barbelés posés dans la mer par les Allemands. À 2 heures du matin, 11 500 avions dont 3 000 bombardiers décollent. À 3 heures commence le bombardement aérien. À 5h50, le bombardement naval. À 6h30, les premières troupes d’assaut et les chars prennent pied sur cinq plages (noms de code : Utah Beach, Omaha Beach, Gold Beach, Juno Beach et Sword Beach) situées entre le lieu-dit La Madeleine (dans le Cotentin) et Ouistreham (dans le Calvados).
À aucun moment la Normandie n’est envisagée comme le lieu du débarquement par l’armée allemande, qui le prévoyait dans le Pas-de-Calais. L’objectif pour les troupes alliées est d’installer une tête de pont sur ces plages, puis de s’emparer du port en eau profonde de Cherbourg, à la pointe du Cotentin, afin d’intensifier le débarquement. Commence alors la bataille de Normandie, la plus grande bataille aéronavale de l’Histoire. À la fin de ce "jour le plus long" du 6 juin 1944, le nombre de tués, blessés, disparus, prisonniers alliés est de 10 500, le nombre de pertes allemandes de 10 000...
Du 6 au 12 juin, Bayeux, Isigny-sur-Mer et Carentan sont libérées. L’armée américaine s’empare de Cherbourg le 27 juin. La rive gauche de Caen est libérée le 9 juillet, sa rive droite le 19 juillet. Le 31 juillet, la percée d’Avranches renverse définitivement le front allemand. Les troupes allemandes se replient vers l’est.
Photo : Des renforts américains de la 4e division d'infanterie ("Famous fourth") débarquent à Utah Beach, sur la côte normande, le 6 juin 1944.   © STF/ Imperial War Museum / AFP
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bibliopolis · 5 years
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Objectif La Haye-du-Puits
A l’issue de la Bataille du Cotentin et de la capitulation allemande à Cherbourg et dans la Hague, achevée le 30 juin, l’armée américaine se retourne vers le sud – à l’est avec le VII Corps à partir de Carentan et à l’ouest avec le VIII Corps avec La Haye-du-Puits et Lessay pour objectif. L’attaque débute le 3 juillet et s’achève par la prise de La Haye-du-Puits le 9. Au centre, les paras…
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hadrienbdj · 6 years
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Chefs-d'oeuvre du passé - Jeux Vidéo - Call of Duty 2
Ne me jetez pas la pierre, Call of Duty 2 correspond à l'âge d'or de la franchise, révolutionnant le genre et ouvrant la voie à son successeur, l'excellent Modern Warfare.
Développé par Infinity Ward, ce jeu prend place durant la seconde guerre mondiale, dans un solo salué par la critique et un multijoueur mémorable.
Durant la campagne Solo, le joueur incarnera successivement un russe, un anglais et un américain, dans leur reconquête de l'Europe. Vous ferez vos premières armes sous l'identité de Vassili, et participerez à de mémorables batailles dont notamment les fameuses missions à Stalingrad. Pour cette partie du jeu, notons les références évidentes au film Stalingrad, celui de 2001 avec Jude Law, où le scénario et la mise en scène sont quasiment identiques. Si vous n'avancez pas assez vite, ou même faites demi tour, les commissaires du peuple vous abattrons sans pitié, et vous n'aurez même pas le droit à un fusil... Quelques autres détails font références à ce film mythique, telle que la mission de réparation du fil du téléphone, ou les intenses séquences au sniper, elles aussi devenues cultes.
Sous l'identité du Sergent Davis, le joueur participera à la guerre du désert et la reconquête de l’Afrique du nord. Au menu : minarets, souks, MG42, chemisettes kakis et Bren LMG. Notons la mission d’infiltration d'une ville sous contrôle de l'Afrika Korps, très connue car constituant la démo du jeu à l'époque. Lors de cette campagne, nous avons aussi l'occasion de contrôler un char au cours de la bataille d'El Alamein, dans la peau de son chef, dans une immersion que je n'ai encore jamais retrouvée dans un jeu vidéo pour un véhicule militaire.
Le débarquement américain en Normandie ayant été traité dans le précédent opus, il s'agit dans celui-ci d'une partie de ce débarquement moins connue, prenant place à la pointe du Hoc. Par la suite, de nombreuses missions et similitudes rappellent fortement la série " Band of Brother ", notamment la mission à Carentan, qui encore une fois reprend fidèlement le scénario de la série, ainsi que son visuel. La partie américaine du jeu se termine en Allemagne, se trouvant moins scénarisée et moins épique que les missions précédentes, mais dans de nouveaux décors et environnements.
Concernant le multijoueur, encore très populaire de nos jours, il peut accueillir jusqu'à 64 joueurs sur un seul serveur et possède 5 modes de jeu. Très populaire à sa sortie, ce multijoueur est resté dans toutes les mémoires, suite à la mise à disposition des joueurs des codes du jeu, permettant à ceux-ci de modder cartes, gameplay, tenues, armes quasiment à l'infini. Il en résultat une présence toujours constante de joueurs, et je puis en témoigner ayant passé de nombreuses années dessus, jouant même à l'époque en compétition dans une équipe Française. Ces mods ont permis de grandes nouveautés: apparition de véhicules, de nouvelles armes, un nombre incalculable de maps customs disponibles, possibilité d'avoir plusieurs armes et bien d'autres. De plus, le gameplay absolument jouissif garantissait un plaisir de jeu qui ne s'est jamais démenti. Combien d'heures passées sur Toujane en CTF ! Et vive le Kar98k ,le fusil à verrou du jeu, arme mortelle mais très lente, réservée de fait aux joueurs confirmés!
En résumé, un jeu spectaculaire, pour son scénario et sa mise en scène avant-gardistes, muni d'un gameplay optimisé comme rarement, et un multijoueur encore actif, que demander de mieux pour un jeu datant de 2005!
Y avez-vous joué? Aurai-je pu vous y croiser à l'époque? En tout cas, n'hésitez pas, si vous avec l'occasion d'y plonger, allez-y!
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histoire · 7 years
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Joyeux anniversaire : Le projet Photo Normandie a dix ans
Joyeux anniversaire : Le projet Photo Normandie a dix ans
PhotosNormandie est un projet collaboratif qui a pour but d’améliorer les légendes de plus de 3900 photos et 300 films historiques de la bataille de Normandie.
Lancé fin janvier 2007 sur Flickr, PhotosNormandie a dix ans, et c’est un projet toujours actif – le nombre total de photos en ligne sera ainsi porté à plus de 5000 durant l’année 2017.
Carentan (Manche), entre le 15 et le 20 juin 1944.…
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carbone14 · 3 years
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Des parachutistes de la 101e Division aéroportée US (les Screaming Eagles) remontent la rue Holgate en direction du café-restaurant Désiré Ingouf à Carentan - Bataille de Carentan - Bataille de Normandie - 12 juin 1944
©US National Archives - P000795
Le café Désiré Ingouf est visible dans l’épisode Carentan de Band of Brothers.
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carbone14 · 3 years
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3e section de la Easy Company, 506e Régiment d'infanterie parachutiste, 101e Division aéroportée US (les screaming Eagles), dans les environs de Carentan - Wayne 'Skinny' Sisk, William 'Bill' Dukeman, George Potter, Donald 'Hoobs' Hoobler, Jim 'Moe' Alley, Walter 'Blackjack' Hendrix - Bataille de Carentan - Bataille de Normandie - France - juin 1944
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carbone14 · 2 years
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Cérémonie de remise de la Silver Star aux chefs de corps des régiments de la 101e Division aéroportée américaine (Screaming Eagles) – Les 4 Colonels de Carentan – Carentan – 23 juin 1944
©U.S. National Archives
Les 4 colonels de Carentan qui menèrent les combats :
Lieutenant Colonel John H. Michaelis (502e PIR)
Colonel Howard R. Johnson (501e PIR)
Colonel Robert Sink (506e PIR)
Lieutenant Colonel Joseph H. Harper (327e/401e GIR)
Peu de temps après la fin de la cérémonie les allemands bombardent au mortier Carentan.
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carbone14 · 3 years
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Canon automoteur de 105 mm M7 Priest du 14e Bataillon d'artillerie blindée de campagne de la 2e Division blindée US à l'intersection de la rue Holgate et de la ligne de chemin de fer Paris-Cherbourg à Carentan – Bataille de Carentan – Bataille de Normandie – 18 juin 1944
©Marina Amaral pour la colorisation
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carbone14 · 3 years
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Parachutistes du 502e Régiment d'infanterie parachutiste de la 101e Division aéroportée US (les Screaming Eagles) au repos devant la porte d'entrée du café-restaurant Désiré Ingouf - Bataille de Carentan – Bataille de Normandie – Carentan – 12 juin 1944
Le café-restaurant Désiré Ingouf est un établissement que l'on aperçoit dans l'épisode «Carentan» de la série Band of Brothers.
Qui est cet homme en arrière-plan dans l’encadrement de la porte ? Désiré Ingouf ?
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carbone14 · 3 years
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Des parachutistes de la 101e Division aéroportée US (les Screaming Eagles) tractant un canon antichar de 57 mm au carrefour de la rue Holgate et de la RN13 (aujourd'hui rue de la 101e aéroportée) où se trouve le café-restaurant Désiré Ingouf - Bataille de Carentan - Bataille de Normandie - 12 juin 1944
©US National Archives
Le café Désiré Ingouf est visible dans l’épisode Carentan de Band of Brothers.
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carbone14 · 3 years
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Troupes de la 101e Division aéroportée US (les Screaming Eagles) remontant la rue Holgate vers le café Désiré Ingouf - Bataille de Carentan - Bataille de Normandie - Carentan - 12 juin 1944
La première jeep tracte un canon antichar de 57 mm et la seconde transporte du personnel médical de la 326e Compagnie médicale aéroportée de la 101e Division aéroportée. Les soldats sur le trottoir, reconnaissables à l'as de trèfle sur le côté droit de leur casque, appartiennent au 327e Régiment d'infanterie aérotransportée de la 101e.
Le café Désiré Ingouf est visible dans l’épisode Carentan de Band of Brothers.
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carbone14 · 3 years
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Parachutistes du 502e Régiment d'infanterie parachutiste de la 101e Division aéroportée US (les Screaming Eagles) au repos après avoir combattu face au 6e Régiment de la 2e Division de Parachutistes allemands. 4 parachutistes US sont à bord d'un Kübelwagen VW type 82 pris à l'ennemi (Immatriculation commençant par WL pour Wermacht Luftwaffe) - Carrefour rue Holgate et RN13 devant le café-restaurant Désiré Ingouf, Carentan - Bataille de Carentan - Bataille de Normandie - 12 juin 1944
©National Archives USA - p000796
Le café Désiré Ingouf est visible dans l’épisode Carentan de Band of Brothers.  
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