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draupnir-x-xenagos · 1 year
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Top 8 des cités les plus pourries de Lémurie
Vous avez toujours voulu savoir quels étaient les endroits les plus mal famés de Lémurie pour y enraciner vos aventure ? Eh bien voici mon classement des 8 cités les plus pourries de Lémurie, explications à l’appui. Je précise que ce sont mes raisons, avec quelques ajouts selon l’inspiration, et que je sais que le terme ”pourrie” est un peu exagéré pour certaines cités. 
* ne lisez que ce qui est en gras si vous êtes pressé/ée. 
Critères de danger : 
la violence physique : la base. 
la fourberie : moyennement dangereux ; si vous coupez la tête du serpent, il ne mentira plus. 
la magie : parce qu’un type qui peut faire pousser un volcan est une menace très menaçante, quand même. 
les cultes aux dieux sombres : cela suppose généralement de la fourberie, du fanatisme et des sacrifices humains. Il y a même parfois de la magie en plus. 
8. Satarla
Satarla est certes le joyau de la Lémurie et sans doute la cité la plus riche. Pour autant, tout n’est pas rose dans la cité aux mille temples. En effet, Satarla souffre des mêmes tares que toutes les cités riches et frappées de grandes inégalités de classe. 
Le paroxysme de ces problèmes se nomme le Cloaque, quartier pauvre et insalubre gangrené par la criminalité et la corruption. Le Cloaque est globalement gouverné par la pègre et la garde des Calots Rouges, qui est particulièrement malaimée des habitants à cause de sa violence. 
De jour, les gens travaillent à des métiers durs et salissants (mais honnêtes pour la plupart). De nuit, tous les trafics d’êtres humains et de substances illicites, ou tout simplement de contrebande, sortent leur vilaine tête des trous de vase où ils se cachent de jour. 
A noter que le Cloaque n’est pas un quartier qui correspondrait à un point cardinal (comme les  quartiers Nord de Marseille, dans lesquels la police craint autant de s’aventurer), mais s’étend des deux côtés du fleuve qui traverse Satarla, le Tyr. 
En plus les crocators y sont comme chez eux. 
Pour donner plus de corps à l’image, imaginez la Cour des Miracles. 
7. Port des Seigneurs des Mers
Situé sur la plus grande des Îles du Crâne, le Port des Seigneurs des Mers abrite un peuple de pirates venus des quatre coins de la Lémurie tout spécialement pour se livrer à de mauvaises actions. Ou en tous cas pour se rendre riche sans s’embarrasser des lois. 
Comme si évoluer au milieu d’un peuple de brigands ne suffisait pas, le port sert de base à une secte démoniaque appelée “Fraternité de la turale pourpre”. Les sectateurs vouent un culte au démon marin Upok-N’Mee et sont spécialisés dans la contrebande. 
Il faut savoir, pour leur défense, que les fondateurs de la fraternité cherchaient simplement à se soustraire à la taxe appliquée par le roi pirate en titre. Rien que de très attendu de la part d’une poignée de filous. 
Ils sont malheureusement tombés sous la coupe d’un mage exilé de Zalut (et la suite montrera que c’est particulièrement inquiétant) qui cherche à invoquer le démon. 
Alors certes, une secte ça fait très peur, mais les activités de la sectes sont dirigées vers les recherches extérieures. Et puis, on n’est pas assuré de tomber sur la Fraternité en se rendant au Port des Seigneurs des Mers. En plus on peut facilement faire pression sur eux : ils essaient de passer sous le radar de leur roi, qui n’est pas un tendre. 
6. Shamballah
De prime abord, Shamballah est une cité agréable et exotique. Jusqu’au moment où vous vous rendez compte que le souverain envoie ses opposants politiques ainsi que tous les gêneurs dans l’Arène des ronces. 
Il s’agit d’un dédale de haies changeantes et barbelées, contrôlé par le Maître des Haies, le sorcier Tokalu. Le labyrinthe est cerné par de hauts murs de pierre qui ont des allures d’arènes et les prisonniers ne sont libérés que s’ils triomphent d’épreuves mortelles. 
Tokalu entretient l’arène pour son divertissement personnel, capturant des malheureux de toutes sortes. 
Je ne détaillerai pas les types d’épreuve proposés, mais c’est un danger que les héros de passage doivent avoir à l’esprit : ils sont généralement des gêneurs en puissance et probablement des étrangers. Si Tokalu les fait capturer, personne ne s’inquiétera de leur absence. 
Il y a plus à s’en faire car cette fois, le phénomène est approuvé par le pouvoir en place. 
5. Lysor
Tout comme Satarla et Shamballah, Lysor est une cité agréable pour la plupart des gens. 
Sauf que les druides jaunes y ont un temple secret et travaillent à répandre les préceptes de leur maître : Morgazzon, le roi-démon de la folie. Ils s’emploient également à commercialiser une drogue, qui a de plus en plus de succès. 
Et ce sera probablement à cause d’eux que les héros se rendront à Lysor. A moins que ce ne soit pour y trouver un remède rare. 
4. Oomis
Comme Lysor, Oomis cache un temple clandestin des druides jaunes. C’est même l’un des leurs, Ilkthar, qui occupe la fonction de conseiller du roi. C’est donc plutôt la secte qui gouverne la cité, grâce à la ruse d’Ilktar et aux machinations des druides disséminés dans Oomis. 
Or, une cité aux mains de fanatiques sanguinaires vénérant un démon ne peut pas bien se porter pendant trop longtemps. 
3. Malakut
Tout comme Lysor et Oomis, Malakut subit le fléau d’une secte druidique. Il s’agit cette fois des druides pourpres. 
Pour ne rien arranger, les Malakutis sont un peuple belliqueux. 
De plus, deux guildes de voleurs se livrent une véritable guerre dans les rues, luttant pour le contrôle des quartiers. On les appelle les Guenillards et les Poignards Sanglants. Les premiers se tournent plus volontiers vers la ruse, les arnaques et la mendicité organisée, tandis que les seconds ont facilement recours à la violence. Les meurtres purs et simples restent cependant assez rares et ne sont pas encouragés. Si les badauds meurent, qui gagnera l’argent que les Poignards Sanglants veulent dérober ?
2. (mais sujet à débat) Zalut
Zalut est la mythique et mystérieuse cité des sorciers. Mis à part ces derniers, les prêtres, les érudits et les alchimistes forment la classe dominante. Les mages dirigeants choisis pour siéger au Conseil des Magiciens sont désignés parmi les plus puissants, ceux dont la tour s’élève le plus haut. 
Les luttes de pouvoir politique se mêlent donc à la quête de pouvoir occulte, ce qui suppose d’être suffisamment dénué de scrupules pour envoyer des forbans récolter des artefacts perdus en répandant la mort sur leur passage. Et en privant sans doute certains peuples d’un objet qui leur était sacré. 
Plus malsain encore, les mages de Zalut sont fascinés par les Rois-Sorciers et leurs secrets, et cherchent à leur ressembler absolument. Après tout, ils avaient le savoir, le pouvoir et la puissance ; n’est-ce pas ce que tout le monde veut ? Si vous êtes déjà imperméable à toute forme d’empathie et d’altruisme, vous ne voyez aucun problème. 
Alors que trouve-t-on chez un peuple adulant la magie et plaçant son clergé sur un piédestal ? Des cultes aux dieux sombres. Les mages glorifient particulièrement Hadron le Noir, seigneur du Néant, car la magie vient du Néant. Il n’y a que les druides noirs pour officier au nom de ce dieu-ci. 
Cependant, si Hadron reçoit un tel culte, c’est aussi parce que les Zalutis se voient comme les héritiers des Rois-Sorciers, grands adorateurs d’Hadron. Les derniers d’entre eux se cachent d’ailleurs dans les plus sombres cavernes de l’île de Thulé, pendant que les Zalutis s’efforcent de retrouver un maximum de parchemins occultes laissés par leur lugubres ancêtres. Ils en ont d’ailleurs retrouvés certains. 
Vu les standards moraux de Zalut, que penser de quelqu’un qui en a été exilé (voir Port des Seigneurs des Mers) ?
Plus le groupe de héros est vulnérable à la magie, plus le danger augmente. Cependant, la magie a un coût et elle est loin d’être inépuisable. Il faut aussi garder à l’esprit qu’un mage zaluti est souvent une frêle créature sans entraînement martial. Il a intérêt à avoir un corps de garde toujours prêt à intervenir s’il ne veut pas se retrouver nez à nez avec un barbare velu et caractériel. Dans ce cas-là, il sait bien qu’il n’a aucune chance. 
1. (mais sujet à débat) Halakh
“Si les Halakhis aiment cultiver des fleurs, c’est pour mieux fleurir ta tombe.” 
Le ton est donné. Halakh a été construite autour d’un gigantesque temple à Nemmereth, dieu de la mort, dont les prêtres accompagnent traditionnellement les endeuillés. Sauf que Nemmereth est aussi vénéré comme un dieu sombre. Et que c’est cette partie de son culte qui a été retenue par les fondateurs de Halakh. Nul ne sait de quand date le temple ni pourquoi il a été trouvé vide par une tribu du désert. 
Halakh est la capitale du culte des druides gris, adorateurs de Nemmereth du long sommeil, dieu de la mort. Contrairement aux autres sectes de Lémurie, les druides gris officient en toute légalité et à la vue de tous. Ils ont même un certain rôle politique. 
La secte des druides pourpres est également présente, sans toutefois avoir autant pignon sur rue. Mais il est difficile de voir d’un mauvais œil le culte du dieu du sang quand on approuve sans réserve celui du dieu de la mort. 
Halakh est d’ailleurs réputée pour ses assassins, rassemblés en guildes tels des commerçants. Le commerce de la mort par tous les moyens (poison, violence, accidents…) n’est pas légal à proprement parler, mais il est présent et florissant. Les druides gris ont leur propre guilde d’assassins, d’une efficacité redoutable. 
Les familles qui se partagent la gouvernance de Halakh ont elles-mêmes recours aux assassins lorsqu’elles veulent placer un de leurs rejetons sur le trône et que la voie classique n’a rien donné. Quand le candidat ne tue pas lui-même le prince en titre. Qu’il le fasse et le peuple n’y verra aucun inconvénient. On peut donc tuer le calife pour devenir calife à la place du calife. 
Le danger est plus grand qu’à Zalut à cause de la violence qui règne à Halakh. Mais, encore une fois, si le groupe est particulièrement vulnérable à la magie, Halakh semblera moins dangereuse. Les druides ajoutent volontiers la magie à leurs pratiques répréhensibles, mais ils ne sont pas des spécialistes. 
Mention honorable : M’Lor
Il s’agit d’une cité abandonnée au milieu de la jungle de Qo, située à la source d’une rivière. Elle n’est plus habitée que par des zombies, qui servent un seigneur morgal du nom de Xozan. 
Elle ne fait pas partie des cités de Lémurie à proprement parler, car elle est secrète et ne fait bien entendu aucun commerce avec les autres cités. Du moins, aucun commerce officiel. 
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greatseedling · 1 year
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Crocatize me captain
send “crocify me” and i’ll assign ur muse a pair of crocs.
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the ultimate dad croc, for off road utility. kratos epitomizes the dad vibe.
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cerejani · 4 years
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Colagens antigas. (2013, 2018, 2017)
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ubicuo · 4 years
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marcoshassanlevy · 5 years
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Marcos Hassan
| 9 months ago
There’s no particular sound to experimental music – the term “experimental” is definitely more of a descriptor more than a concrete genre label – but there are common elements to all experimental music, whether it’s in electronic music, reggaeton, or rock. So it’s no surprise that Latin America has been home to sound experimentalists for many years. Pre-Columbian cultures used tonalities, instruments, and textures that may seem noisy to our ears now, and much of it was incorporated into early and mid-20th century composition styles throughout the region. And of course, the rise of home recording studios and Internet access has made it possible for avant-garde music to spread and become more ubiquitous.
Below we give you a list of 12 labels currently giving us some of the most innovative music around. The sounds here range from dancefloor-ready beats to total annihilating noise. There’s sure to be something here to intrigue you and perhaps even give you a thrill you never expected to feel.
1
Bifronte Records
Founded in 2009 in Michoacán, México, Bifronte has become a haven for experimentalists all over the world. You can find everything from Peruvian IDM to minimalist Mexican laptop music from the likes of Minadedrama, Rolando Apolo, Fucked Up Laptop, and Aloysius Acker. Shying away from sound art and more academic experimental music, Bifronte’s roster occasionally includes acts who practice more conventional styles, like nu cumbia or Amazonian techno.
2
El Cuarto Elástico
Recent breakthrough releases from the likes of Boundary and Broken Text confirm that the Dominican Republic’s El Cuarto Elástico is becoming a label to watch. Most of the label’s releases share a minimalist, youthful quality, thanks to the use of Casio keyboards, and that attitude is often reflected in the artwork. ECE prove that experimental music can be playful too.
3
Umor Rex
Started by Mexico City’s Daniel Castrejón in 2006 as a DIY tape label for local acts, Umor Rex soft-rebooted in 2011 for larger scale releases, and a roster of genre-defying artists hailing from Chicago to Berlin to Tehran. Their artists flirt with improv electronics, ambient, techno-based sound art, and ineffably beautiful soundscapes, contributing to one of the strongest catalogs on this list.
4
Ruido Horrible
Few labels embrace their reputation of making “horrible noise” so proudly. Founded by noise lifer Sergio Sanchez in Mexico City, Ruido Horrible has focused on the most impenetrable and chaotic music one can make, highlighting harsh Latinx acts like Armenia, Cornucopia, and his own projects Heraldos Negros and Amniosis.
5
Buh Records
When it comes to being involved in music on all fronts, Luis Alvarado stands in his own category. The Peruvian jack-of-all-trades – who holds many roles as a musician, promoter, journalist and beyond – applies the same ethics to his record label Buh, releasing everything from archival avant-garde music from Latin America, to forgotten noise acts of the 90s, to newer psych rock bands such as Sexores and Tajak.
6
El Canzancio Records
Most of El Canzancio’s catalog can be described as “searing blasts of noise,” but there’s more to the label than meets the ear. With a few different releases, they have raised awareness around social justice issues like violence in the label’s home country of Colombia, as well as the exploitation of the Amazonian rainforest.
7
Sueño
This Mexico City label has been around since 2016 and only has three titles to its name, but what they lack in quantity and longevity, they make up for in quality. Featuring elegant, minimalistic artwork and adventurous electronics that are more beautiful than groundbreaking, Sueño reflects the label’s name in aesthetic and sound.
8
No Problema Tapes
Hailing from Chile, the cassette label No Problema delivers a steady supply of music that lands somewhere between dream pop, drone, vaporwave, and ambient. There’s a nebulous vibe to all of their releases, which lift you up as you let your thoughts drift.
9
Dealer of Illusions
Dealer of Illusions reaches to the farthest borders of club music, where genre lines blur and dissonance is desired. Founded in 2017 in Mexico, DOI builds a united atmosphere between their releases, thanks to the stark, grainy black-and-white art, which is as attention-grabbing as the sounds of acts like Rizoma, DJ Chedraui, and 3BO.
10
Lowers
With next-generation club music for those unsatisfied with what’s out there, this Mexican label offers something that might seem familiar at first, but can lead to strange and unexpected places. Fusion is key for Lowers, with Mock the Zuma, Crocat, Wyno, and Fonobisa giving us irresistible beats along with their demented experiments.
11
Superspace Records
With Wilder González Agreda at the forefront, Lima’s Superspace Records provides a wide spectrum of sounds, from formal academic compositions to improv, noise, and even folk sung in Quechua. Like most of Peru’s experimental music scene, some of the releases come with a heavy dose of shoegaze and space rock influences.
12
Sonido Inconsciente
Featuring one of the most diverse rosters for labels at their scale, Mexico City’s Sonido Inconscientewelcomes everything from banger dealers MΔTΣ and System Error to noise enthusiasts like Vegan Cannibal and Les Temps Barbares. They still manage to offer something completely unique, like Manitas Nerviosas’ dark synth pop.
Friday, August 24, 2018 at 3:54 PM EDT
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nosehacerpoemas · 7 years
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polvoramedicen · 7 years
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https://soundcloud.com/mrjags/crocat-clanging-mr-jags-r3mix
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NYAYANYA
https://soundcloud.com/crocat/nyayanya
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ragelol · 12 years
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(via 9GAG - Crocat)
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unitedbasslines · 12 years
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Technic Trouble - United Basslines EP03
Luis Garcia a.k.a. Technic Trouble es un joven productor con base en Querétaro, México. Desde sus inicios en la electrónica ha estado en busca de un sonido propio que libere su proyecto de las miles de etiquetas "genéricas" que existe en nuestros dias. Technic Trouble también fue el encargado de la realización de nuestro EP número 3 para el blog, con la participación de gente como Crocat, Durant y IMFX nuevas propuestas a las cuales no hay que perderles la atención... Enjoy!
Buscando Redes (Remixes) Ep by Technic Trouble
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ubicuo · 4 years
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