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#Catherine Mavrikakis
already-14 · 2 years
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Valentine Penrose
1898 — MONT-DE-MARSAN, FRANCE | 1978 — CHIDDINGLY, ROYAUME-UNI
Portrait de l’artiste en jeune femme surréaliste Valentine Penrose, Écrits d’une jeune femme surréaliste, Édition (introduction, chronologie et bibliographie) établie par Georgiana M. M. Colvilie, préface d’Antony Penrose, Éd. Joëlle Losfeld, 290 p. Catherine Mavrikakis
awarewomenartists.com
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marylaiine · 1 year
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RUPTURE
On s'aime comme on se quitte. ça sonne comme une vilaine rangaine, comme une chanson de piètre composition des années 80 n'est ce pas. Et pourtant c'est peut-être la meilleure façon de se dire adieu. On s'aime comme on se quitte, tantôt dans un éclat flambant de passion, parfois dans l'évidente simplicité que cela doit en être ainsi. 
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Dans la rencontre, tout se fait, d'un claquement de doigts, d'un coup de fouet dont l'extrémité de cuir s'enlace instinctivement autour des poignets pour former des bracelets de force capable de parer toutes les balles et attaques qui tentent de percer. 
Il n'y a pas de plus solide pilier qu'un ami. D'un roc il devient pure préciosité au cours du temps, polie par les ans, il épouse les contours de nos émotions, et forme un coussin sur lequel poser notre tête, notre coeur, parfois notre âme, que l'on peut sentir si lourde. De la même façon, tout bonheur que l'on souhaite partager ne peut que se trouver amplifier dans le regard complice de l'ami. Quel ami ne serait pas heureux du simple bonheur de son camarade, considérant déjà ce sentiment partagé comme le plus beau cadeau qui puisse être fait ? L'amie ne peut connaitre l'envie, la jalousie, ni la frustration. Dans ce cas, il devient nécessairement Autre. 
 Si l'amitié est la relation la plus solide, le sentiment le plus clair, et probablement le plus perenne, il est fort à penser que le sentiment amoureux est bien plus violent. Pour cette raison, tant d'entre nous ont privilégié le second sur le premier, sans même pouvoir y résister. Comment pouvoir se refuser à soi-même ce profond et violent souffle qui s'engouffre en nous, et qui nous empli, pleinement, qui nous rempli, qui comble chacun des interstices de notre âme pour nous convaincre que rien d'autre, rien de plus ne sera jamais nécessaire. Ce sentiment est faux, nous le savons tous, et pourtant il nous sera toujours impossible de ne pas s'y vautrer. Concurrencer l'Ami et l'Amour est une grossière erreur, mais c'est probalement la plus naturelle de toutes, et l'Ami la pardonne, car tel est l'Ami ; il est là. L'ami qui disparait à cette occasion n'en était pas un, l'ami qui lutte souhaite être l'Amour, celui qui patiente et partage le bonheur dont on lui offre d'être témoin malgré lui, est ami. 
Tant de choses ont été écrites sur ce conflit qu'il serait inutile de considérer qu'il s'agit d'un évenement. La rupture amicale est bien autre chose que cela, puisque l'ami ne rompt pas par jalousie, ni par envie. L'amitié se rompt d'elle-même, sans heurts ni fracas. Un jour, c'est là, c'est comme ça, ça nous saute à la gueule, c'est une nouvelle évidence, une nouvelle chose simple, comme des liens qui se dénouent aussi vite à nos poignets ; elle n'est plus. 
On s'est aimées comme on se quitte ; en silence, brusquement, en solitaire, comme deux inconnues devant une fourche, et dont les baluchons prennent un chemin différent, sans savoir qu'elle route nous suivons, mais en comprenant qu'on ne plus marcher ensemble. Soyons contents de l'acédie qui entoure nos ruptures amicales, dans le détachement de l'âme et la paresse du coeur qu'elles nous permettent, dans l'abandon dépassionné qu'elles offrent généreusement à l'autre, ne rendant que plus éclatantes l'horreur de nos rupture amoureuse, ne rendant que plus sublime la souffrance de nos autres cassures dans l'abandon spontanée 
inspirations sur le thème : 
- le ciel de bay city de catherine Mavrikakis
- mille ans après la guerre de Philippe Besson
- Les amours d’un fantôme en temps de guerre de Nicolas de Crécy
- Rupture(s) de Jean-Philippe Blonder
- recherche d’images autour du kintsugi.
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skillstopallmedia · 2 years
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niagara | Catherine Mavrikakis speaks to her dead (7/10)
niagara | Catherine Mavrikakis speaks to her dead (7/10)
“It was in Niagara that I contracted the disease of death at three years old and I have never recovered from it”, writes Catherine Mavrikakis in a new novel which sheds light on all of her work, whose death has always been the main character and for whom his only shadow annihilates any possibility of serenity. Posted at 5:30 p.m. In 1964, Catherine Mavrikakis’ father took a photo of his wife…
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«Le dieu de Pearl n’était pas le même que celui de ces gens et il ne demandait pas grand-chose aux humains. Il suffisait de cultiver son propre jardin pour l’apaiser.»
Catherine Mavrikakis, les Derniers Jours de Smokey Nelson, Montréal, Héliotrope, 2011, 303 p., p. 141.
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weirdletter · 5 years
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Canadian Science Fiction, Fantasy, and Horror: Bridging the Solitudes (Studies in Global Science Fiction), edited by Amy J. Ransom and Dominick Grace, Palgrave Macmillan, 2019. Cover art: Oxygen/Getty Image, info. palgrave.com.
Canadian Science Fiction, Fantasy, and Horror: Bridging the Solitudes exposes the limitations of the solitudes concept so often applied uncritically to the Canadian experience. This volume examines Canadian and Québécois literature of the fantastic across its genres—such as science fiction, fantasy, horror, indigenous futurism, and others—and considers how its interrogation of colonialism, nationalism, race, and gender works to bridge multiple solitudes. Utilizing a transnational lens, this volume reveals how the fantastic is ready-made for exploring, in non-literal terms, the complex and problematic nature of intercultural engagement.
Contents: Notes on Contributors Introduction: Bridging the Solitudes as a Critical Metaphor – Amy J. Ransom and Dominick Grace Colonial Visions: The British Empire in Early Anglophone and Francophone Canadian Science Fiction and Fantasy – Allan Weiss Nevermind the Gap: Judith Merril Challenges the Status Quo – Ritch Calvin Two Solitudes, Two Cultures: Building and Burning Bridges in Peter Watts’s Novels – Michele Braun The Affinity for Utopia: Erecting Walls and Building Bridges in Robert Charles Wilson’s The Affinities – Graham J. Murphy The Art of Not Dying: Station Eleven by Emily St. John Mandel and Oscar De Profundis by Catherine Mavrikakis – Patrick Bergeron When Are We Ever at Home? Exile and Nostalgia in the Work of Guy Gavriel Kay – Susan Johnston Reconciliation, Resistance, and Biskaabiiyang: Re-imagining Canadian Residential Schools in Indigenous Speculative Fictions – Judith Leggatt Indigenous Futurist Film: Speculation and Resistance in Jeff Barnaby’s Rhymes for Young Ghouls and File Under Miscellaneous – Kristina Baudemann Building Hope Through Community in Élisabeth Vonarburg’s The Maerlande Chronicles – Caroline Mosser Cruising Canadian SF’s Queer Futurity: Hiromi Goto’s The Kappa Child and Larissa Lai’s Salt Fish Girl – Wendy Gay Pearson 12. Crossing the (Trans)Gender Bridge: Exploring Intersex and Trans Bodies in Canadian Speculative Fiction – Evelyn Deshane A Maelstrom of Replication: Peter Watts’s Glitching Textual Source Codes – Ben Eldridge The Missing Link: Bridging the Species Divide in Margaret Atwood’s MaddAddam Trilogy – Dunja M. Mohr “I Can’t Believe This Is Happening!”: Bear Horror, the Species Divide, and the Canadian Fight for Survival in a Time of Climate Change – Michael Fuchs Interacting with Humans, Aliens, and Others in Science Fiction from Québec – Isabelle Fournier Holes Within and Bridges Beyond: The Transfictions of Élisabeth Vonarburg and Michel Tremblay – Sylvie Bérard Tropes Crossing: On Some Québec SF Writers from the Mainstream – Sophie Beaulé Transculture, Transgenre: Stanley Péan’s Fantastic Detective Fiction – Kathleen Kellett Excerpts from A Glossary of Non-essential Forms and Genres in English-Canadian Literature – Jordan Bolay Index
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madeleinisms · 5 years
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L'Amérique est notre sépulture. Le ciel, une belle ordure.
Le ciel de Bay City, Catherine Mavrikakis
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alexmotamots · 3 years
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L'absente de tous bouquets - Catherine MAVRIKAKIS
L'absente de tous bouquets de Catherine MAVRIKAKIS : un deuil difficile
J’avais entendu une interview de l’auteure sur France Culture il y a quelques semaines qui m’avait intéressé. Un article dans Lire m’a convaincu de découvrir ce texte. Je dois dire que j’ai été dubitative en lisant ce journal de deuil. D’abord parce qu’il a parfois résonné en moi, mais surtout parce que je ne vis pas le deuil de la même façon que l’auteure. Je me suis parfois sentie très éloignée…
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mook-mookie · 6 years
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Tagged by @eungi-hyung​  Thanks again hehe 😊😊 !! 
Name: Emily, one of the most common names ever 
Nickname(s): Emoly...my friends call me like that because of the mole i have on my face...oh well 
Average hours of sleep: 8 nowadays cuz im trying to get more sleep lol (im currently learning about sleep and dreams in my psychology class so it kinda made me want to change my sleep habits)
Coffee or Tea: Depends on my mood, really. I don’t drink any of those on a daily basis...but if i really gotta choose i’ll go with tea?
Why I made a tumblr: I have no idea...pure instincts?!
Reasons for my URL: It’s similar to my first name x’D 
Favorite Color(s) to wear: Black and red 
Lipstick or Chapstick: Lipstick, I want people to look at my lips cuz its the only decent feature of my face x’D 
Favorite Hobbies: Drawing, reading smut  and discovering new music artists! 
Last song I listened to: Instupendo - Boy
Last movie and tv show: Movie: Coco Tv show: Blue Planet II
Top three shows: Stranger Things, One Punch Man and One Piece lol
Relationship status: Single 
Favorite colors: Red. Seriously, you can’t go wrong with red 
Three bands/artists: Seventeen, sasakure.UK and Gallant
Currently reading: A freaking bunch of BL mangas/webcomics *sweats* im not even going to name them all cuz the list is long :’D, 1984 by George Orwell and Oscar De Profundis by Catherine Mavrikakis 
tagging: @ploceidaee, @k-i-s-m-e-t, @sinner-chan, @but-what-if-i-fly @mental-llama :D
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schoolenthusiast · 6 years
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83 reasons why I’m doing the #readingfromhome challenge
@theaspenreader and I decided to challenge ourselves in 2018 and read only from our TBR pile (required readings for school are an exception), so I decided to imitate @abreathofair and list the unread books I own to motivate myself. I need this challenge!
My goals for 2018 is to read at least 50 books.
Books in French :
Green River de Tim Willocks
Le carnet noir d’Arthur Machen
Cantique des plaines de Nancy Huston
Poétique d’Aristote
Rhétorique d’Aristote
Second début de Francine Pelletier
Contes et légendes inachevés de Tolkien
La bête humain d’Émile Zola
L’homme révolté d’Albert Camus
Homo Sapienne de Niviaq Korneliussen
La langue affranchie d’Anne-Marie Beaudoin-Bégin
L’influence d’un livre de Philippe Aubert de Gaspé
Ubu Roi d’Alfred Jarry
Essais de Montaigne
La quatrième dimension de Robert Bloch
Les meilleurs récits de Planet Stories
L’empereur de Paris de Richardson
Le ciel de Bay City de Catherine Mavrikakis
Les rois maudits tome 1 de Maurice Druon
La machine ultime d’A.E. Van Vogt
La poire sur un plateau de Jonathan Latimer
Hyperion 2 de Dan Simmons
La petite marchande de prose de Daniel Pennac
Caligula d’Albert Camus
La classe de madame Valérie de Francis Blais
La chartreuse de Parme de Stendhal
Les voies d’Anubis de Tim Powers
Le pavillon d’or de Mishima
L’assommoir d’Émile Zola
Le pendule de Foucault d’Umberto Eco
La maison éternelle d’A.E. Van Vogt
Le deuxième gant de Natasha Beaulieu
Pars vite et reviens tard de Fred Vargas
Des fleurs pour Algernon de Daniel Keyes
Le prisonnier de Thomas Disch
Le clan des Otori de Lian Hearn
Le livre noir du Canada anglais de Normand Lester
La nuit qui ne finit pas d’Agatha Christie
Books in English :
In Paradise by Peter Matthiessen
A Virtual Soul by Kevin Texeira
Murder in retrospect by Agatha Christie
Crooked House by Agatha Christie
Ender in Exile by Orson Scott Card
The Age of Innocence by Edith Wharton
The Blind Assassin by Margaret Atwood
One Flew Over the Cuckoo’s Nest by Ken Kesey
The Sirens of Titan by Kurt Vonnegut
Dear Life by Alice Munro
The Sound and the Fury by William Faulkner
Great Expectations by Charles Dickens
The Rude Story of English by Tom Howell
The Wise Man’s Fear by Patrick Rothfuss
Heart of Darkness by Joseph Conrad
The Singing Sword by White
Dreamsongs 1 by George R.R. Martin
The Vampire Armand by Anne Rice
Frankenstein by Mary Shelley
Orlando by Virginia Woolf
Blood and Gold by Anne Rice
Pandora by Anne Rice
Dawn of Prophecy by David Eddings
Child’s Play by Andrew Niederman
Foreigner by Robert J. Sawyer (last book before I’ve read them all!!)
Volumes 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12 and 13 of A series of unfortunate events by Lemony Snicket
The Merchant of Venice by William Shakespeare
Pericles by William Shakespeare
Nonzero by Robert Wright
Promethea book 2 by Alan Moore
Scenes from a Marriage by Ingmar Bergman
The Soul of a New Machine by Tracy Kidder
The Players of Null-A by A.E. Van Vogt
Virtual Light by William Gibson
Young Lust by Kathy Acker
Mindreading and false belief by Eva-Maria Ehrhardt
Theory of Games and Economic Behavior by John von Neumann and Morgenstern
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librairie-berthuy · 4 years
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institutdutoutmonde · 4 years
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Accusant la forme d'une lettre dispersée, Kayali pour une ouverture, revient sur la traduction de Soleil de la conscience, premier essai publié d'Édouard Glissant, dont l'auteure a fait l'expérience, du passage du français à l'anglais. S'assignant les distances des Amériques, la lettre ne s'écrit sur les traversées rassemblant et déliant les lieux de partance que sont Chicago et Paris afin de s'arriver au bourg de Schoelcher en Martinique. La lettre s'adresse au kayali du texte (héron vert pour le français) afin d'amorcer une réflexion ornithologique sur l'(in)traductibilité. Faisant appel à des voix aussi insolites que Franz Kafka, Germaine Krull, E.J. Pratt, Anton Tchekhov, Claude Cahun ou Aimé Césaire, celle d'Édouard Glissant en demeure l'impulsion à la fois et le marqueur-répondant.
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Nathanaël est l'auteure d'une trentaine de livres écrits en français ou en anglais, et publiés aux États-Unis, au Québec, et en France. Elle a reçu de nombreuses distinctions, dont le prix Alain-Grandbois pour ...s’arrête ? Je (2007), le Publishing Triangle Award pour The Middle Notebookes (2015) et le Prix de l’Académie Claudine de Tencin pour L’heure limicole (2016). Elle a également une grande activité de traduction, par exemple des ouvrages de Danielle Collobert, Édouard Glissant, Hervé Guibert, Catherine Mavrikakis, et Hilda Hilst (cette dernière en collaboration avec Rachel Gontijo Araújo). De l'anglais elle a traduit les poètes Reginald Gibbons, John Keene, Trish Salah, et Rachel Gontijo Araújo. Depuis 2008, elle a signé trois livres de conférences sur la traduction, At Alberta (2008), Asclepias: The Milkweeds (2015) et Hatred of Translation (2019). Née à Montréal, Nathanaël partage son temps entre Chicago et la Martinique.
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pamcham · 5 years
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Brièveté
Les pratiques du microblogage induisent inévitablement des formes brèves. Rappelant la glorification de la vitesse dans la société moderne, la croissance de la brièveté est peu étonnante. La vie actuelle exige un rythme de lecture effréné, des lectures rapides qui s’insèrent parfaitement dans nos modes de vie, afin de lutter contre ces courts moments de lassitude. Les habitudes de lecture ont changé depuis l’avènement du numérique. Le volume d’informations circulant dans notre réseau est vertigineux et nous balayons davantage les textes au détriment d’une lecture rigoureuse. L’avènement de la « twittérature » en 2008 explique sans conteste ce phénomène. Or, ces « microlectures » ne datent pas d’hier. Elles se manifestent depuis de nombreuses décennies dans l’histoire littéraire. L’épigramme, la maxime, le proverbe, le haïku et l’anecdote notamment se rapportent tous aux formes brèves. Plus récemment, les graffitis et les slogans concourent également à la variété du discours bref. Le nombre de signes verbaux devant être réduit, la brièveté fait appel à certains procédés stylistiques, tels que l’ellipse et l’affinage de la langue. Tout de même, ces publications en courtes séquences ne sont pas synonymes de désintérêt. Malgré sa contrainte évidente, la brièveté offre également de nombreuses possibilités créatrices. En effet, les « twittérateurs » ont démontré que tous les genres littéraires peuvent s’accommoder de cette concision. L’écrivain François Vinsot s’articule à créer un roman sur Twitter, Roman sans titre, à coup de 280 caractères à la fois. Lirina Bloom a quant à elle écrit un texte de théâtre sur Twitter, 140 manières de mourir en 140 caractères. Le journaliste au DevoirFabien Deglise a d’ailleurs lancé un défi à vingt-cinq auteurs québécois, français et marocains, soit d’imager une nouvelle écrite en 140 caractères seulement. Catherine Mavrikakis, Michel Tremblay, Jacques Godbout et Nicolas Dickner se sont notamment prêtés à l’exercice, dont le résultat est d’ailleurs téléchargeable gratuitement sur Apple Books : https://itunes.apple.com/fr/book/25-histoires-25-auteurs-en-140-ca-version-illustrée/id708756227
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everygo · 4 years
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On est tous en train de croire qu'on passe à autre chose. On est obligé. C'est ça vivre, c'est oublier qui on a été.
Catherine Mavrikakis
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darmawasian · 4 years
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Télécharger Livres PDF Gratuitement Catherine Mavrikakis, Cécile Balavoine, Rosie #Price... La sélection livres de Libé #ebook #livrePDF #livret #coursesEnVrac
source https://kodixbmc.org#5fdea7b06584479f542d140aa5df84f5
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«Le dieu de Pearl n’était pas le même que celui de ces gens et il ne demandait pas grand-chose aux humains. Il suffisait de cultiver son propre jardin pour l’apaiser» (Catherine Mavrikakis, les Derniers Jours de Smokey Nelson, Montréal, Héliotrope, 2011, 303 p., p. 141).
Les derniers mots de Candide sont «Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin.»
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sakalanjahunakia · 4 years
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Télécharger Livres PDF Gratuitement Catherine Mavrikakis, Cécile Balavoine, Rosie #Price... La sélection livres de Libé #ebook #livrePDF #livret #coursesEnVrac
source http://mainstreamop.org#5fdea7b06584479f542d140aa5df84f5
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