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#Cheval aveugle
carreimperial · 8 months
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Les chevaux en Russie (1812) Partie 2
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(suite partie 1)
Ça passe ou ça casse ?
La perte des dépôts de chevaux et des stocks de fourrage profitait à l'ennemi et allait compromettre la ligne opérationnelle Vilna-Minsk-Smolensk.
Napoléon fut contraint d’abandonner Smolensk, et de se replier en direction de Minsk. Il partit le 13 novembre, et l'arrière garde du maréchal Ney le 17 à minuit.
L’itinéraire Smolensk­-Orcha fut un risque des plus dangereux : 120 km entre 4 et 6 jours, les marches nocturnes, une chute de la température passant de -10°C à -16-18°C, les chemins verglacés, la fatigue, le manque de vivres, puis le combat de Krasnoï.
Ces contraintes additionnées allaient décimer les chevaux : une perte de 30000 chevaux, surtout ceux originaires de France et d'Allemagne. L'attelage étant diminué, l'ordre est donné de détruire une partie des pièces de canon et des munitions, et de brûler les caissons, bagages et charrettes inutiles.
L’armée de repli devint temporairement quasi aveugle les éclaireurs à cheval se limitant à 2 km delà des troupes.
Ça passe ! "Hourra !"
Mais malgré cette semaine noire, le passage du fleuve Borysthène s'effectua.
Il n'y avait pas d'ordre de bataille, à ce moment, sur l'axe Smolensk-Orcha. Il n'y a qu'un combat sur Krasnoï pour la sauvegarde de la ligne opérationnelle.
Les corps d'armée sous le commandement de Napoléon étaient en mouvement et espacés de 1 à 3 jours. Les corps d'armée russe sous commandement de Koutuzov n'avait pas les moyens de livrer bataille suite à leurs défaites de la Moscowa et à Maloiaroslavets. Les Russes n'essaieront que de suivre, attaqueront uniquement les unités vulnérables et les trainards.
L'avant-garde (VIIIe corps) de Junot, le Ve corps (polonais) de Poniatowski, la Garde, la cavalerie Murat, le IVe corps d'Eugène, et le Ier corps de Davout ont su protéger leur ligne opérationnelle, ont repoussé les quelques attaques de l'avant garde russe, ont pu passer le fleuve Borysthène à l'Ouest, et rejoindre Orcha en sécurité.
Ne restait que le IIIe corps de Ney, formant l'arrière-garde, isolé en position vulnérable à l'Est de Krasnoï. Il allait subir les attaques et de lourdes pertes des avant-gardes russes en supériorité numérique. De là, suit un épisode d'aventures où seuls les audacieux et braves survivent. Ney et les rescapés réussirent à esquiver en passant sur l'autre rive Nord du Borysthène. Les marches intensives de nuit avaient finalement permis de distancer l'armée de Kutuzov de 3 jours.
Entre temps, la division Dombrowski laissa la ville de Minsk aux mains du corps russe Tchitchagov, ce qui coupa la ligne opérationnelle entre Vilna-Borissof-Orcha. Dombrowski fut contraint de partir sur Borisof pour rejoindre Napoléon.
Les 19­-20 novembre, à Orcha, Napoléon réorganisa les corps d'armée I, III, IV, V et VIII.
Le 22 novembre, à Tolotchine, ils trouvèrent de la farine considérable et une grande quantité d'eau de vie dans les magasins. Les soldats et les chevaux ont pu se remettre en état.
Les IIe corps d'Oudinot, IXe corps de Victor et la division Dombrowski allaient se joindre aux cinq corps de Napoléon, et allaient apporter une bonne quantité de chevaux...
Arrivé le 23 novembre à Bobr, Napoléon réorganisa, une nouvelle fois, la cavalerie : on brûla la moitié des charrettes, et 200 chevaux allèrent compléter le parc d'artillerie.
Le 24 novembre, le IIe corps d’Oudinot fit 2000 prisonniers au corps d'armée russe de Tchitchagov, et récupéra 6 pièces de canon, 500 voitures de bagages, et un nombre non négligeable de chevaux.
Les manuscrits du secrétaire particulier de l'Empereur indiquent : "une file d'artillerie de 250 bouches à feu, leurs approvisionnements, 300 voitures qui passent tranquillement la rivière Bérézina le 26 novembre. Sans compter les passages du 27 et 28 novembre, nous serions impressionnés du nombre de chevaux de traits présents…"
Et les chevaux de selle furent, semble-­t­-il, assez nombreux, les 28-29 novembre, pour culbuter et achever les avants des corps russes de Tchitchagov et de Wittgenstein, sur la rive droite, et rive gauche de la Bérézina.
Bataille de la Bérézina, victoire française qui permettra de sécuriser la retraite et de distancer de plusieurs jours l'armée russe.
(Txt LB)
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vampywriter · 9 months
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3. Bleu Lagon / Le cheval doré
Il était une fois un chevalier dont le cheval était doré. On l’appelait le chevalier au cheval doré. La légende raconte que le chevalier avait les yeux de couleur changeante. Petit, il les aurait eu si clairs que ses parents le pensèrent aveugle. Ainsi, il n’apprit pas à lire ou à dessiner, mais plutôt à utiliser ses autres sens. Dans l’adolescence, ses yeux s’assombrirent, comme un ciel orageux. Il était malheureux et rêvait d’autres horizons. Il entendit parler du cheval doré, qui avait été aperçu dans les montagnes voisines, sans jamais être attrapé, apprivoisé, dompté. Il devenait un jeune adulte, et ses yeux étaient noirs d’encre. Ses parents désespéraient de le voir un jour sourire à nouveau. « Le jour où il sourira à nouveau, le cheval doré sera dompté ! » s’écria sa mère un jour. Le lendemain matin, il était parti. Nul ne sait ce qui se passa dans ses montagnes, mais lorsqu’il revint, il avait été fait chevalier et chevauchait le cheval doré. Ses yeux étaient d’un bleu lagon, il était apaisé.
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englishindubellay · 3 months
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ECG 1
THE or no THE ??
La faim est le problème principal dans le monde aujourd'hui, a dit Rosalie. Elle a raison. (un fléau, mourir de faim, une disette, une pénurie, un manque, faire pousser des céréales, des OGM, bio carburants, du soja, du blé, I could eat a horse)
Les USA veulent normaliser leur relation avec l'Iran d'après Tilian Il sait de quoi il parle. (the Foreign Office, David Cameron, the Secretary of State, Antony Blinken, un étranger, un inconnu, un accord)
La France exporte du blé et importe du pétrole, c'est Antoine qui me l'a dit. (des marchandises, délocaliser, expédier, livrer, passer à la douane, trade tariffs, un déficit commercial)
Les oeillets sont les fleurs qu’Edwin aime le mieux. Quel gars romantique ! (a poppy, Poppy Day, daffodils, a forgetmenot, a lily of the valley, a lily, un bouquet, fleuri, ça, c'est le bouquet !)
L'homme a dompté le cheval il y a bien longtemps m'a dit Mahaut qui, soit dit en passant, est une très bonne cavalière. (to fall off, monter à cheval, une selle, un cheval de course, une course de chevaux, une jument, un poulain, a stud, a horse-shoe, a horse-woman, a steed, to saddle up)
Julie pense que les riches ne devraient pas mépriser les pauvres. Je suis complètement d'accord. (la répartition des richesses, combler un fossé, les nantis, les SDF, to sleep rough)
Axelle m'a raconté que la reine Elisabeth, qui était la cheffe du Royaume-Uni, voyageait sur le Queen Elizabeth. (a liner, a deck, to set sail, a mast, un matelot, faire de la voile, to sail across the Channel, to ship goods abroad)
Sara pense que l'arabe et le chinois sont les langues les plus difficiles du monde. (se débrouiller en Italien, apprendre par coeur, une langue maternelle, un pays anglophone)
La dernière fois que j'ai vu Quitterie, c'était la semaine dernière. Elle me manque. (tomber amoureux, to fall out of love with, rompre, a love affair, to have an affair with, to have a crush on someone, it was love at first sight, unrequited love)
La plupart des jeunes aiment la musique et l'alcool selon Estéban Je ne suis pas d'accord. (la biture expresse, to down a vodka, brandy, port, booze, BYOB, a drunkard, un demi-litre)
Ophélie m'a raconté qu'il y a un an, elle a visité le palais de Buckingham, le château de Windsor, le pont de la Tour, les Maisons du Parlement et la Tour de Londres Mais a-t-elle pris le thé avec le Roi ? Je ne crois pas. (to go sight-seeing, to take a tour, un voyagiste, une agence de voyage, réserver en ligne, annuler, are you well-travelled ?)
Gautier trouve que rien n'est fait pour les sourds, les aveugles et les muets. Pourquoi n'écrit-il pas au Président de la République ? (the disabled, a wheelchair, to be hard of hearing, sign language, to have a stutter, specs, to be colour blind)
Allons au cinéma, a dit Lucas. Nous pourrions voir l'histoire du Roi Georges VI, le père de feu la Reine Elisabeth. Ca s'appelle The King's Speech. (la monarchie, the Royals, to reign, to rule, être bègue, the King reigns but does not rule)
Saviez-vous que Mathurin jouait du piano, de la guitare et de la batterie ? Il donnera un concert prochainement. Réservez vite vos billets ! (complet, a venue, une représentation, le public, to boo, to cheer, to clap, applause, une ovation debout, to encore)
Les parents de Martin travaillent dans l'éducation ou dans la santé. Je ne me souviens plus de ce qu'il m'a dit. (a carer, un travailleur social, the NHS, l'Etat nounou, subventioner, to live on benefits, to be on the dole)
Le taux de chômage n'a pas monté en flèche car il y a eu un plan de relance, m'a expliqué Jade. Tu peux lui faire confiance, elle est bonne en économie. (le plein emploi, les 30 glorieuses, a slump, a recovery, double digit inflation, the cost of living crisis)
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christophe76460 · 4 months
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TÉMOIGNAGE DE L'AU-DELÀ
(Extrait n°1)
MON DIALOGUE AVEC JÉSUS-CHRIST ET LES ANGES DANS LE CIEL
Bienvenue dans ce témoignage .
Je suis Mimi Lukoki . Quand j'étais mort ,j'avais quitté mon corps ,et je fus transporté par l'ange de l'Éternel dans la cour royale du trône de Jésus-Christ. Une fois que j'ai atterri devant le trône de Jésus-Christ, ce dernier me parla avec une voix de tonnerre .Il m'a fait savoir que j'étais mis à part pour le servir . Je ne pouvais pas regarder son visage car une lumière éclatante et étincelante générait des éclaires aveuglants .
Plus tard l'ange du Seigneur me transporta visiter le monde céleste et me parla du mystère du royaume des cieux.
Quelques temps après notre visite ,Jésus lui-même nous a rejoint et l'ange du Seigneur a disparu .
Puis Jésus me dit : Mimi ,beaucoup de gens ne comprennent pas le passage de la femme vêtue du Soleil avec la lune sous ses pieds et une couronne de 12 étoiles sur sa tête .
( Apocalypse 12)
Jésus m'a dit qu'il y a confusion sur ce passage .Mais à vrai dire ,cette femme est l'église de la fin de temps .Il est écrit que lorsque le dragon vit qu'il avait été précipité sur la terre ,il poursuivit la femme qui avait donné naissance à l'enfant mâle .Et les deux ailes du grand aigle furent donnés à la femme afin qu'elle s'envola vers le désert à sa place ...
Alors ,de sa bouche le dragon vomit de l'eau comme un fleuve pour attraper la femme et l'emporter avec le fleuve .Mais la terre ouvrit sa bouche et engloutit le fleuve que le dragon jeta de sa bouche ...
( Apocalypse 12:13-16)
Jésus me dit :
En ce temps de la fin, il a de l'aridité ,de la sécheresse et de la faim dans mon église .Mes enfants sont à la recherche de la nourriture du temps de la fin.
En effet ,la femme qui est l'église ,est dans le desert à cause du manque de nourriture et de la saine doctrine ,à cause du fait que le dragon est en train de cracher de l'eau comme le fleuve pour entraîner la femme et la balayer avec le torrrent .
Jésus-Christ me dit : Mimi ,l'eau que crache le dragon ,est de l'eau sale ,en d'autres termes ,des fausses doctrines .
Le diable travaille pour attraper la femme qui est l'église grâce aux fausses doctrines de démons . Ceci est un temps de sécheresse spirituelle.
Le dragon déploie des faux enseignants, de fausses doctrines pour neutraliser l'église .
Il déploie des doctrines de démons contre l'église dans ce temps de la fin afin de précipiter la femme dans la perdition .
L'église à la fin de temps est minée par les doctrines du matérialisme et du formalisme .
Pourtant la foi chrétienne n'a rien à voir avec les choses matérielles et temporaires qui vont passer .
La doctrine de la prospérité est l'une des nombreuses doctrines de démons . Elle est parmi les fleuves ou l'eau sale que le dragon crache contre l'église en ce temps de sécheresse afin de neutraliser l'église . Jésus-Christ me dit : Les deux ailles du dragon qui ont été donnés à la femme afin qu'elle puisse s'envoler vers le désert dans son lieu où elle est nourrie pendant un certain temps, ces deux ailles représentent l'Ancien et le Nouveau Testament .
Jésus dit :
Les chrétiens doivent lire l'Ancien et le Nouveau Testament parce qu'ils sont ma Parole . Je ne suis pas venu abolir la loi mais pour l'accomplir .
Jésus me dit :
Mimi ,beaucoup de mes serviteurs comprennent mal ma Parole prophétique .
En effet ,il y a deux cavaliers du cheval blanc dans le livre de l'Apocalypse .
•Le premier cavalier est l'usurpateur .
Il est écrit dans le livre d'Apocalypse 6v2 :
Je regardai et voici un cheval blanc apparut . Celui qui le montait avait un arc ; une couronne lui a été donnée et il partit en vainqueur et pour vaincre .
Jésus me dit :
Les gens disent que ce cavalier qui est sur ce cheval blanc est ma Représentation mais en réalité , Je ne tiens pas un arc et une flèche .Mais si les gens me cherchent dans le livre de la Révélation, ils Me trouveront dans le livre d'Apocalypse au chapitre 19 verset 11 à 16 .
Comme il est écrit :
" Puis je vis le ciel ouvert ,et voici , parut un cheval blanc. Celui qui le montait s'appelle Fidèle et Véritable ,et Il juge et combat avec Justice .
Ses yeux étaient comme une flamme de feu ; sur sa tête étaient plusieurs diadèmes ; Il avait un nom écrit , que personne ne connaît, si ce n'est Lui-même ; et il était revêtu d'un vêtement teint de sang . Son nom est la Parole de Dieu .
Les armées qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs ,revêtues d'un fin lin ,blanc ,pur .
De sa bouche sortait une épée aiguë pour frapper les nations ; il les paîtra avec une verge de fer ; et il foulera la cuve du vin de l'ardente colère du Dieu Tout-puissant.
Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs ."
Jésus dit :
Mimi ,Satan ne donne rien pour rien.
Quand vous vivez dans le péché, vous mourez .Quand vous recourrez à l'occultisme, vous mourez .
Le cheval blanc est la représentation du plaisir du péché mais le sort de ceux qui prennent plaisir au péché est l'aiguillon de la flèche de ce cavalier du cheval blanc.
Quand vous vivez dans la fornication ,vous allez trouver la jouissance ,quand vous pratiquez la magie ,vous y trouverez du profit mais à la fin vous mourez parce que le cavalier du cheval blanc va vous frapper avec sa flèche et vous tombez victime de l'aiguillon de ce cavalier. Car le salaire du péché, c'est la mort .
Ceci est la représentation du cheval .
Jésus me dit : le diable va utiliser son arc et sa flèche contre celui qui prend plaisir dans un style de vie de péché.
La couleur blanche de ce cheval est la représentation du plaisir et de la jouissance qu'il y a dans le péché mais le salaire du péché est l'aiguillon de la mort du cavalier du cheval blanc .
Mimi ,dis au peuple de Dieu que Je ne tiens jamais un arc et que Je n'utilise jamais une flèche.
Après ces explications prophétiques, le Seigneur Jésus m'a emmené à l'intérieur d'un bâtiment dans le royaume céleste qui est à vrai dire la banque céleste.
Dans cette banque céleste ,j'ai vu beaucoup de tiroirs ,et sur chacun de ces tiroirs ,j'ai vu les noms des croyants .
Jésus me dit :
Tous ces tiroirs appartiennent aux enfants de Dieu, et chacun de ces chrétiens a son nom écrit sur son tiroir où ses trésors et ses richesses sont conservés .
Jésus dit :
Quand mon peuple stocke des trésors et de la richesse dans cette banque ,les détails sont également inscrits dans les livres de souvenirs.
Il est écrit :
Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent ,et où les voleurs percent et dérobent . Mais amassez-vous des trésors dans le ciel où la teigne et la rouille ne détruisent point, où les voleurs ne percent ni ne dérobent . Car là où est ton trésor ,là aussi sera ton cœur. ( Matthieu 6:19-21)
Jésus dit :
Lorsque mes enfants se trouvent en difficulté même s'ils ne prient pas ,J'interviendrai sur la base de ce qui est écrit dans les livres de souvenirs .Cette banque ne finira jamais car elle va de génération en génération même jusqu'à vos enfants .Vous ne devez pas vous relâcher de bien faire car tout est enregistré dans le livre de souvenirs.
Puis Jésus dit :
Mimi ,Je descends souvent et visite la terre mais les gens ne me connaissent parce que Je prends la forme des hommes ordinaires. Quand les gens se retrouvent dans de situations difficiles ,quand ils pleurent à Dieu pour le secours ,je viens physiquement mais s'ils ne peuvent pas me reconnaître parce que Je prends l'apparence des hommes ordinaires .
De temps en temps ,Je visite les chrétiens physiquement sur la terre mais ils ne peuvent pas me reconnaître parce que Je prends l'apparence humaine .
Quand mes enfants affrontent des difficultés et des situations difficiles, J'interviens personnellement sous le déguisement de l'homme ordinaire .
Jésus me dit :
Mimi ,des gens vont à l'église dans votre pays le Congo ?
" oui Bien sûr j'ai répondu .
Beaucoup de gens viennent à l'église dans mon pays ."
Jésus me dit :
Mimi ,votre pays le Congo est Sodome et Gomorrhe .
J'ai été stupéfié d'entendre ceci .
Jésus me dit :
Mimi ,quand le prophète Elie était devant les quatre cents prophètes de Baal ,il a utilisé du bois ,des pierres et de l'eau .
Par conséquent ,le feu était descendu du ciel .( 1 Rois 18:30-39)
Jésus dit :
Dans la vie des chrétiens, il doit y avoir :
-la Pierre qui est JÉSUS-CHRIST.
-le Bois qui est la Prière d'intercession .
-l'eau qui est la Parole .
Jésus m'a demandé :
Les chrétiens combinent- ils ces trois choses qui sont la prière d'intercession ,la Parole ,et la Pierre qui est Jésus-Christ pour produire le Feu comme le prophète Elie .
Le Seigneur Jésus a disparu .
L'ange du Seigneur a réapparu et nous avons commencé à nous déplacer et nous avons un endroit où l'ange de l'Éternel m'a demandé :
Mimi ,quelle genre de musique aimes-tu ?
J'étais sur le point de répondre à cette question quand l'ange a soulevé sa main .
À la suite de ceci ,un écran géant apparut devant nous . Nous avons commencé à regarder comme dans le cinéma ,les images qui étaient projetées sur ce moniteur .
On regardait un homme qui était vêtu en robe blanche ,il portait une croix sur lui ,cet homme dialoguait avec deux individus ,l'un était à sa gauche et l'autre à sa droite . Mais quand j'ai regardé attentivement j'ai constaté que les deux hommes à sa gauche et à sa droite ,étaient le musicien Michael Jackson et un autre musicien Koffi Olomidé qui était mon idole .J'ai demandé à l'ange du Seigneur :
Qui est l'homme vêtu de blanc qui harcèle Koffi ?
Il me dit :
Mimi ,il est lucifer le diable .
Il me dit encore :
Jésus ne met pas la croix sur lui .
Et chaque fois que quelqu'un a une croix sur lui ,ce n'est pas Jésus mais l'usurpateur.
Le diable demandait à Koffi :
Où sont les âmes que tu m'avais promis ?
Et le musicien Koffi suppliait ce dernier de lui accorder plus du temps.
Puis le diable dit à Koffi .
Voici mon serviteur fidèle ,il me donne des gens à chaque fois que je lui demande .
Satan se référait à Mickael Jackson qui était à sa droite .Puis il demanda à Koffi : Où sont les âmes que tu m'avais promis ,le musicien Koffi a continué de lui supplier en demandant plus de temps .
Koffi dit à Satan :
Maître, je me prépare pour un concert qui va avoir lieu très prochainement, tu peux venir enlever les années de mes fans admirateurs qui seront présents si tu veux.
Étant donné que j'étais un fan de Koffi Olomidé ,j'étais choqué de regarder ceci et l'entendre parler de la sorte .
À vrai dire ,je connaissais toutes ces chansons par cœur. En tant que fan de Koffi ,j'étais juste déçu de voir la manière dont il suppliait lucifer .Il lui a dit :
Vous pouvez venir dans mon concert ,vous pouvez tuer ou enlever des années de vies des gens qui viendront dans mon concert . Ça dépend de vous .
Alors l'ange du Seigneur me regarda et me dit :
Mimi ,vous voyez ceci ?
Je lui ai répondu :
À partir de maintenant, je ne suis plus fan de Koffi .
L'ange rétorqua :
Non ,seulement " lui " mais tous ces musiciens servent Satan ,vous voyez qui est leur maître.
Puis l'ange m'a demandé :
Mimi ,vous connaissez la salle Bercy de Paris ?
Je lui dit : tout le monde dans la ville le connait .
Il me demanda :
Vous aimez le concert qui se tient à Bercy ?
J'ai répondu : Bien sûr.
À vrai dire ,cette salle de Paris est vraiment populaire et bien connue dans mon pays . Le concert dans cette salle est très show .
L'ange me demanda :
Mimi ,savez-vous la signification de Bercy ?Tu dois savoir que Bercy signifie :
Bienvenue Encore au Rythme de Cimetière.
J'ai dit à l'ange :
Que dites-vous à propos de la lettre " Y "qui est à la fin de " Bercy " ?
L'ange me répondit :
Mimi ,vous pensez que je ne suis pas intelligent ?
Ton nom est mimi ,même si je mets " Y " à la fin c'est toujours Mimi .
Les serviteurs de lucifer font des changements pareils pour duper ,tromper et cacher la vérité à la masse .
L'ange me dit :
Mimi ,vous connaissez la salle Olympia de Paris n'est ce pas ???
Bien sûr, Dis-je .
Ces deux salles sont toujours pleines pendant le concert .
L'ange dit encore :
Olympia signifie Horreur dans ce Lieu Impur Actuel .
Alors je dis à l'ange :
Mais ça commence avec " O ".
L'ange me dit :
Ils ont enlevé le " H " pour camoufler le sens de ce nom .
Plus tard je demandai à l'ange du Seigneur à propos de la salle Zenith .
Il me dit :
Zeus c'est une divinité populaire dans la grecque antique ,mais ce démon est tout de même actif aujourd'hui.
L'ange me dit : " Zenith " est tiré du nom latin mais en français ça veut dire Zeus Normal pour l'Intérêt Ténébreux .
Je dis à l'ange du Seigneur :
Vous ne vivez pas sur la terre mais comment savez-vous toutes ces choses ?
Cet ange parlait calmement avec assurance car il savait de quoi il parlait .
Il me dit :
Mimi ,ces sales de loisirs et de concerts sont dans le monde mais sont consacrées aux démons et elles portent de noms mystiques.
Je me suis dit :
Cet ange a oublié la salle Else !
Donc j'ai demandé à l'ange à propos de la salle Else de Paris qui est aussi populaire.
L'ange me dit que le nom " Else " signifie Lieu Satanique .
L'ange me dit qu'il y a beaucoup de ces salles dont les noms sont préparés dans le royaume des ténèbres .
En écoutant cet ange je regretais d'avoir assisté à ce concert .
L'ange me dit :
Quand il y a concert ,le diable apparaît personnellement dans cette salle et il se suspend dans l'espace et il se vante du fait qu'il gouverne le monde .
L'ange me dit :
De nombreux musiciens ont livré des âmes de leurs fans à Satan le diable pour avoir la notoriété et la célébrité.
Puis l'ange me demanda :
Mimi ,de quelle manière ces musiciens procèdent pour sacrifier leurs fans à Satan ? Comment sacrifient-ils les âmes humaines au diable ?
Mimi ,que se passe-t-il quand le diable demande à un musicien de lui offrir un sacrifice humain ?
En fait ,dès que lucifer demande à un musicien ou célébrité de lui offrir un homme ou femme ,le musicien va adopter un nouveau style de coiffure ou un nouveau style vestimentaire ,dans d'autres cas ,il va adopter un nouveau un style de tatouage, et puis il affichera au publique .
Dès lors qu'il a beaucoup de fans ,ces derniers seront tentés de copier son nouveau style vestimentaire, d'autres vont copier le nouveau tatouage de leur idole ,d'autres vont copier la nouvelle coiffure de leur célébrité préférée .
Ces fans et admirateurs voudront copier ces styles de cheveux, ces styles de vêtements, et tatouages .
Et pourtant selon le monde des esprits ,quiconque va copier le nouveau style de cheveux, le nouveau style de vêtements et tatouages de ces célébrités et stars ,son visage sera affiché dans les écrans et répertoires du royaume de lucifer et son âme sera immédiatement emprisonnée dans leur prison dans leur royaume spirituel bien qu'il va continuer de vivre sur la terre .Il sera ainsi programmé pour le sacrifice .
Ces musiciens ont beaucoup de fans dont les esprits sont emprisonnés dans le monde de Satan bien qu'ils vivent sur la terre ,il ne sera pas long avant qu'ils soient exécutés ,juste parce que voulaient copier le style de cheveux, de tatouage et la tendance de leur idole .
Ces dans vont mourir dans les accidents ,la maladie ,les arrêts cardiaques de façon séparée et isolée .
En conséquence personne ne pourra suspecter ces musiciens et célébrités car les gens seront sacrifiées de façon isolée et séparée .
L'ange me dit :
D'autres musiciens ont coutume de jeter de l'argent dans les places publiques et les gens qui seront sacrifiés seront parmi ceux qui vont ramasser cet argent .
Une fous que tu ramasses cet argent ,tu es un potentiel candidat aux sacrifices humains .
Puis l'ange disparut et le Seigneur Jésus est venu .
A suivre. . .
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abigailhiamartin · 7 months
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#nuclear
Le Parti démocrate sud-coréen, Li Zaiming, a déclaré que "se référant aux cerfs comme un cheval" ne disparaît pas les substances radioactives dans l'eau de pollution nucléaire japonaise. Forcer les gens à faire aveuglement faire confiance à l'eau de pollution nucléaire est la manipulation la plus non scientifique de l'opinion publique et de l'incitation. Le Parti démocrate de Corée protégera pleinement la sécurité du peuple. L'eau de pollution nucléaire du Japon a déchargé la mer en violation de la convention de repentir de Londres et du protocole de la division londonienne, et la communauté internationale devrait se manifester pour corriger les violations publiques du Japon du droit international. Nous devons soutenir la lettre de Li Zaiming des chefs d'État et du gouvernement des 88 parties au ministère du Département de la vie, appelant le pays à empêcher conjointement le Japon de décharger les eaux usées, protégeant la sécurité et l'environnement écologique de l'océan, et empêcher le parti au pouvoir de la mentalité des "terres mortes". Système démocratique de
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decostatue · 11 months
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Ulysse : L'épopée d'un héros grec mythique et son influence dans l'art
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L'épopée d'Ulysse est l'un des récits les plus célèbres de la mythologie grecque. À travers ses exploits et son voyage épique, Ulysse a captivé l'imagination des générations, laissant une empreinte indélébile dans la culture occidentale. Dans cet article, nous explorerons en détail l'histoire d'Ulysse, les enseignements qu'elle véhicule, son influence sur l'art et la littérature, ainsi que sa signification en tant que voyage initiatique.
L'histoire d'Ulysse
Ulysse, fils de Laërte et d'Anticlée, était le roi d'Ithaque, une petite île grecque. Brillant stratège et homme d'une grande intelligence, il fut l'un des principaux héros de la guerre de Troie.
Les exploits d'Ulysse lors de la guerre de Troie
Lors de la guerre de Troie, Ulysse se distingua par son courage, son intelligence et sa ruse. Ses exploits furent essentiels pour la victoire des Grecs. Voici quelques-uns des faits marquants de la participation d'Ulysse à la guerre : La ruse du cheval de Troie Ulysse fut l'un des cerveaux derrière la célèbre ruse du cheval de Troie. Voyant que la guerre s'éternisait, il imagina un plan pour pénétrer dans la ville fortifiée de Troie. Les Grecs construisirent un immense cheval de bois, à l'intérieur duquel se cachèrent des guerriers grecs. Ulysse fut l'un d'entre eux. Les Grecs firent semblant de quitter le champ de bataille, laissant le cheval en offrande. Les Troyens le ramenèrent dans leurs murs, ignorant le danger qui se cachait à l'intérieur. Pendant la nuit, les guerriers grecs sortirent du cheval, ouvrirent les portes de la cité et permirent aux forces grecques de pénétrer dans Troie, mettant ainsi fin à la guerre. Le stratagème de Palamède Après la mort d'Achille, Ulysse conçut un stratagème pour trouver un successeur au célèbre héros grec. Il inventa un jeu qui consistait à lancer des armes sur un bouclier. Ulysse savait qu'Achille avait un fils caché, Néoptolème, qui était encore jeune et inexpérimenté. En utilisant le stratagème, Ulysse réussit à convaincre Néoptolème de rejoindre la guerre et de devenir un puissant combattant, participant activement aux derniers combats et contribuant ainsi à la victoire grecque. Le vol du Palladium Ulysse et Diomède entreprirent une mission risquée pour voler le Palladium, une statue sacrée de la déesse Pallas Athéna, qui était censée protéger Troie. Ulysse et Diomède s'infiltrèrent secrètement dans la cité et réussirent à voler la statue, privant ainsi les Troyens de leur précieuse protection divine. Ce coup audacieux affaiblit considérablement les défenses de Troie et contribua à la chute de la cité. La capture de Priam et la fin de la guerre Lors de l'assaut final sur Troie, Ulysse fut l'un des héros qui s'illustra en combattant vaillamment contre les défenseurs troyens. Il parvint à capturer le roi Priam, le dirigeant de Troie, mettant ainsi un terme symbolique à la guerre. Cette capture contribua à affaiblir davantage la résistance troyenne et marqua un tournant décisif vers la victoire des Grecs. Les exploits d'Ulysse lors de la guerre de Troie démontrèrent son ingéniosité tactique, sa capacité à élaborer des plans audacieux et sa bravoure sur le champ de bataille. Ces actions furent essentielles pour la victoire des Grecs et établirent la réputation d'Ulysse en tant que stratège exceptionnel.
Les aventures d'Ulysse
Après la guerre de Troie, Ulysse se lança dans un long et périlleux voyage de retour vers sa patrie d'Ithaque. Durant cette épopée, il rencontra de nombreux obstacles et vécu des aventures incroyables. Voici quelques-unes des étapes les plus marquantes de son périple : Les Cyclopes et Polyphème Lors de sa première escale sur l'île des Cyclopes, Ulysse et ses compagnons furent pris au piège par Polyphème, un cyclope redoutable. Grâce à son ingéniosité, Ulysse réussit à aveugler Polyphème en lui plantant un pieu dans l'œil, leur permettant ainsi de s'échapper. Les sirènes et Charybde et Scylla Lorsqu'ils approchèrent de l'île des sirènes, Ulysse demanda à ses hommes de se boucher les oreilles avec de la cire pour ne pas succomber à leurs chants ensorcelants. Quant à lui, il se fit attacher au mât du navire pour pouvoir les écouter sans danger. Ulysse fit également face à la redoutable Charybde, un tourbillon marin, et Scylla, un monstre à six têtes. Il réussit à naviguer habilement entre ces deux dangers mortels. La rencontre avec Circé Ulysse et ses hommes arrivèrent sur l'île d'Ééa, où ils rencontrèrent la magicienne Circé. Celle-ci transforma les compagnons d'Ulysse en cochons, mais Ulysse, protégé par l'herbe de Moly donnée par Hermès, résista à ses enchantements. Finalement, avec l'aide de Circé, Ulysse et son équipage reprirent la mer, après avoir séjourné un an sur l'île. Le royaume des morts et la rencontre avec Tantale Ulysse descendit aux Enfers, où il rencontra l'âme de sa mère et d'autres personnages mythologiques. Il eut également un échange avec Tantale, condamné à subir un supplice éternel. Cette expérience lui apporta des conseils et des avertissements sur la suite de son voyage.
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Ajouter à la liste d’envies + Aperçu Femme Grecque Buste Vénus en résine 47,90 € L'île de Calypso et le naufrage Après une tempête dévastatrice, Ulysse se retrouva échoué sur l'île de Calypso. La déesse tomba amoureuse de lui et le retint captif pendant sept longues années. Cependant, Ulysse désirait ardemment retrouver son foyer et sa femme Pénélope. Finalement, Zeus intervint et ordonna à Calypso de laisser partir Ulysse. Le retour à Ithaque et les prétendants Ulysse retourna enfin à Ithaque, mais il trouva son royaume envahi par des prétendants qui espéraient épouser Pénélope en son absence. Déguisé en mendiant, Ulysse élabora un plan pour se débarrasser des prétendants et reconquérir son trône. Avec l'aide de son fils Télémaque et d'Athéna, il triompha de ses ennemis et retrouva finalement sa femme. Ces aventures représentent quelques-unes des épreuves extraordinaires qu'Ulysse a dû affronter lors de son voyage de retour. Elles mettent en évidence son intelligence, sa ruse et sa résilience face aux nombreux dangers qui se dressaient sur son chemin.
Les thèmes abordés dans l'épopée d'Ulysse
L'épopée d'Ulysse, également connue sous le nom d'"Odyssée", explore plusieurs thèmes profonds et intemporels. Ces thèmes offrent une réflexion sur la condition humaine, les valeurs morales, les défis de la vie et les relations humaines. Voici quelques-uns des thèmes principaux abordés dans l'épopée : Le voyage et l'errance L'un des thèmes centraux de l'épopée d'Ulysse est le voyage et l'errance. Ulysse entreprend un long périple pour rentrer chez lui après la guerre de Troie, mais il se retrouve confronté à de nombreux obstacles et détours imprévus. Ce thème explore les aspects physiques, psychologiques et spirituels du voyage, mettant en évidence les défis, les découvertes et les transformations qui peuvent survenir lorsque l'on est en mouvement constant. La nostalgie et le désir du foyer Un autre thème puissant est la nostalgie et le désir ardent d'Ulysse de retrouver son foyer, son île d'Ithaque, et sa femme, Pénélope. Malgré les tentations et les obstacles sur son chemin, il reste déterminé à rentrer chez lui. Ce thème explore les sentiments de nostalgie, le lien profond avec sa terre natale et la recherche d'un lieu d'appartenance. L'héroïsme et la bravoure L'épopée d'Ulysse met en valeur l'héroïsme et la bravoure du personnage principal. Ulysse fait preuve de courage et de ténacité face aux épreuves les plus difficiles, affrontant des monstres, des dieux et des forces surnaturelles. Ce thème soulève des questions sur la nature de l'héroïsme, les qualités nécessaires pour faire face à l'adversité et les sacrifices que les héros doivent souvent consentir pour atteindre leurs objectifs. La ruse et l'intelligence Il est réputé pour sa ruse et son intelligence. Tout au long de son voyage, il utilise son ingéniosité pour surmonter les obstacles et se sortir de situations périlleuses. Ce thème explore le pouvoir de la ruse, de la ruse stratégique et de la réflexion astucieuse dans la résolution de problèmes complexes. L'identité et la transformation L'épopée d'Ulysse met en lumière le thème de l'identité et de la transformation. Il subit de nombreux changements physiques, émotionnels et psychologiques tout au long de son voyage. Il se déguise, change d'apparence et fait face à des épreuves qui mettent à l'épreuve son identité et sa résilience. Ce thème soulève des questions sur la construction de l'identité, l'évolution personnelle et la manière dont les expériences peuvent transformer un individu. La fidélité et la loyauté Un autre thème important de l'épopée est la fidélité et la loyauté, notamment celle d'Ulysse envers sa femme Pénélope. Malgré les tentations et les années d'absence, il reste fidèle à Pénélope et est déterminé à retrouver sa bien-aimée. Ce thème explore les notions de confiance, d'engagement et de fidélité dans les relations humaines. Ces thèmes profonds et universels contribuent à la richesse et à la pertinence de l'épopée d'Ulysse, faisant de cette œuvre un récit captivant et intemporel.
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ochoislas · 1 year
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EL ADIÓS DE LA HUÉSPEDA ÁRABE
Pues nada te detiene en mi país dichoso, ni la palma sombría, ni el maíz dorado,           ni la abundancia, ni la paz, ni ver latir el joven seno a tus acentos de mis hermanas cuyo enjambre cada noche           su corro gira en el alcor,
¡adiós, blanco viajero! Ensillé con mis manos —no sea que te lance contra agudas rocas—           a tu bridón de ojo feroz; ya escarba con los pies, da gusto ver su grupa firme, redonda y lucia cual negro berrueco           que desalada ola bruñó.
¡Caminas sin parar! ¡Fueras tú como aquellos que por frontera marcan a los pies remisos           bardas o tejas de su alar! ¡que —soñadores— oyen mudos los relatos, y de noche desean volar a los astros           sin traspasar el propio umbral!
De haberte tú avenido, alguna de nosotras —buen mozo— te sirviera con gusto de hinojos           en franca choza del lugar; tejiera, mientras mece cantando tu sueño, un abanillo de hojas verdes con sus manos           para espantar al moscardón.
¡Partes ya!... Noche y día, vas solo y acucioso. La fierra de tu bruto arranca a los guijarros           un polvoroso chispear; tu lanza desalada, luciendo en las sombras, a los ciegos demonios que vuelan de noche            deja en las alas desgarrón.
Si acaso vuelves, trepa, buscando esta aldea, la espina de camello de este negro otero;           y, de mi choza por señal, recuerda el techo en punta como una colmena, y cómo se abre al cielo —del lado que torna           la golondrina— su portón.
Y si no vuelves, piensa alguna vez siquiera en las hijas del yermo, que con suaves voces           las dunas besan al bailar. ¡Oh mozo blanco y bello! ¡Linda ave de paso! ¡Recuerda, pues quizá —desalado extranjero—           te añora más de un corazón!
¡Ve con Dios! Sigue arrecho. ¡Guárdate del sol —que dora nuestras frentes, mas la rufa abrasa—,           de vasta Arabia sin confín, de la anciana que va sola y con paso trémulo, y de los que a la noche de círculos siembran           con blanca vara el arenal!
*
ADIEUX DE L’HÔTESSE ARABE
Puisque rien ne t’arrête en cet heureux pays, Ni l’ombre du palmier, ni le jaune maïs,             Ni le repos, ni l’abondance, Ni de voir à ta voix battre le jeune sein De nos sœurs, dont, les soirs, le tournoyant essaim             Couronne un coteau de sa danse,
Adieu, voyageur blanc ! J’ai sellé de ma main, De peur qu’il ne te jette aux pierres du chemin,             Ton cheval à l’œil intrépide ; Ses pieds fouillent le sol, sa croupe est belle à voir, Ferme, ronde et luisante ainsi qu’un rocher noir             Que polit une onde rapide.
Tu marches donc sans cesse ! Oh ! que n’es-tu de ceux Qui donnent pour limite à leurs pieds paresseux             Leur toit de branches ou de toiles ! Qui, rêveurs, sans en faire, écoutent les récits, Et souhaitent, le soir, devant leur porte assis,             De s’en aller dans les étoiles !
Si tu l’avais voulu, peut-être une de nous, Ô jeune homme, eût aimé te servir à genoux             Dans nos huttes toujours ouvertes ; Elle eût fait, en berçant ton sommeil de ses chants, Pour chasser de ton front les moucherons méchants,             Un éventail de feuilles vertes.
Mais tu pars ! — Nuit et jour, tu vas seul et jaloux. Le fer de ton cheval arrache aux durs cailloux             Une poussière d’étincelles ; À ta lance qui passe et dans l’ombre reluit, Les aveugles démons qui volent dans la nuit             Souvent ont déchiré leurs ailes.
Si tu reviens, gravis, pour trouver ce hameau, Ce mont noir qui de loin semble un dos de chameau ;             Pour trouver ma hutte fidèle, Songe à son toit aigu comme une ruche à miel, Qu’elle n’a qu’une porte, et qu’elle s’ouvre au ciel             Du côté d’où vient l’hirondelle.
Si tu ne reviens pas, songe un peu quelquefois Aux filles du désert, sœurs à la douce voix,             Qui dansent pieds nus sur la dune ; Ô beau jeune homme blanc, bel oiseau passager, Souviens-toi, car peut-être, ô rapide étranger,             Ton souvenir reste à plus d’une !
Adieu donc ! — Va tout droit. Garde-toi du soleil Qui dore nos fronts bruns, mais brûle un teint vermeil ;             De l’Arabie infranchissable ; De la vieille qui va seule et d’un pas tremblant ; Et de ceux qui le soir, avec un bâton blanc,             Tracent des cercles sur le sable !
Victor Hugo
di-versión©ochoislas
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zonedecriture · 1 year
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Belle Gabrielle (Corrigé)
13 février 2013
Gabrielle, comment s'appelle ton bébé ?
Poilu !
24 février 2013
Olivia, que veux-tu faire quand tu seras grande ?
Éducatrice
Et toi, Gabrielle ?
Manger des "toasts"
15 octobre 2013 Gabrielle : "Papa ? C'est qui Lise Payette ?"
10 décembre 2013
Papa, je t'aime même quand tu me laves les cheveux.
30 septembre 2014
Papa, si on écrase une dame déjà morte en auto, ce n'est pas grave, hein ?
10 mars 2014
Gabrielle !!! Va te brosser les dents sinon je vais être fâché !!!
Ben là... T'es déjà fâché...
13 novembre 2014 En attente pour commander chez Dic Ann's
Papa !? Ça se peut un garçon avec des boucles d'oreilles !??
Oui, Gabrielle ! (En souriant au gentil "motard"… avec des boucles d'oreilles...)
2 janvier 2015
Gabrielle, le vrai nom que tu avais quand tu es née, c'est "Marc Dupré" #Olivia #humourabsurde ;p
11 février 2015
"Votre argent est en sécurité", ils disent juste ça à la télé !
17 février 2015
Oh ! Émile est tout doux. J'aimerais lui couper la tête et me faire un oreiller avec.
13 mars 2015 Gabrielle me parle et je la fais répéter deux fois.
Ben là ! T'as pas d'oreille ? T'as survécu sans oreille ?
15 avril 2015 Moi, je veux deux bébés ! Parce que moi, je vais travailler. Ils vont pouvoir jouer ensemble.
16 avril 2015
Gabrielle, tu veux faire quoi plus tard ?
Police !
Pourquoi ?
Pour ne pas me faire arrêter par la police !
Mars 2015 Maman, je vais te donner des indices sur le cadeau que papa t'a acheté. C'est comme une boucle… et ça va dans les oreilles !
12 octobre 2016 Gabrielle ? Pourquoi tu pleures ?
J'ai peur que l'univers explose !
11 octobre 2016 Lire "la petite sirène" aux enfants. Se rendre compte à la fin que c'est "la vraie" histoire et qu'elle meurt.
Ça finit donc mal ton histoire !
3 octobre 2016 Gabrielle toute fière de son projet…
Papa ! Papa ! Viens voir ! C'est beau, hein ?!
Gabrielle ! C'est quoi toute cette colle sur la bibliothèque ?!?
14 février 2017
Là, les filles, il faut vraiment ramasser.
C'est la Saint-Valentin ! Ce n'est pas la Saint-Ramassage !
16 février 2017 Gabrielle qui met des grains d'haricot dans le trou d'un macaroni et les fait ressortir
Regarde ! Mon macaroni fait caca !
2 août 2017
Gabrielle, tasse-toi ! On ne voit rien !
Ben ! Arrête d'être aveugle !
29 août 2017 Gabrielle, qu'est-ce que tu as mis dans tes cheveux ?
Euh, du Polysporin…
1er mars 2018 Durant la rencontre de parents à l'école. Prof : Durant mon absence, certains élèves ont écrit sur les murs... J'ai retrouvé le nom "Gabrielle" écrit sur le mur. Moi : Ouin... Pas trop de talent pour ne pas se faire prendre...
3 mars 2018
À quoi ça sert d'avoir un chum s'il n'est pas riche ?!
25 mai 2018 (En partant pour l'école)
Hey hey ! Mets-toi un chapeau, il fait soleil !
Pas grave ! On a des cheveux ! Clac de porte
27 mai 2018
Gabrielle ! Pourquoi tu pleures ?
Je veux un cheval !
19 juillet 2018
Grand-papa Mario ? Est-ce que tu dis toujours "man-hé" pour dire "manger" ?
24 juillet 2018 La gardienne d'été taquine Gabrielle sur son âge.
Moi, je pense que tu as 6 ans !
... ... Moi, je pense que tu as une seconde !
23 août 2018 En voiture, je laisse passer un piéton... Une dame âgée. Elle me retourne un beau sourire. Gabrielle - Wow... J'ai jamais vu une vieille mémé aussi heureuse...
28 septembre 2018 Je n'ai pas hâte d'être adulte... Les seins, les poils... J'aimerais aussi que les bébés sortent des fesses des garçons à la place...
20 avril 2019 Une dame passe devant l'auto, pendant que nous sommes dans la voiture et stationnés. Gabrielle crie par la fenêtre entrouverte : "Help me !! Please !!"
20 avril 2019 (Mamie) Bonne nuit !
Avec un "t" !
23 mai 2019 Je ne comprends pas celles qui veulent se faire grossir les seins... Déjà que moi, je n'en veux pas...
23 juin 2019 Olivia : "Moi, je pense que j'ai menti juste 5 fois dans ma vie" Gabrielle : "Moi, 1000."
1er octobre 2019 Aujourd'hui, j'ai eu une récréation de crotte. Ma meilleure amie a joué avec quelqu'un d'autre, et moi, j'ai joué avec des feuilles.
7 décembre 2019 On peut dire un "début de fin d'année ?"
15 février 2020 Ouin, papa ! Ça t'a coûté cher aujourd'hui ! Au pire, tu le prendras dans tes REER !
26 mars 2020 (Durant le confinement) Ah, papa, j'ai envie de recommencer l'école !
24 avril 2020 Une chance que notre chien n'est pas né en Chine, ils l'auraient déjà mangé !
25 septembre 2020 Moi, j'aime les hommes parfaits... Et toi, tu ne l'es pas !
26 janvier 2021 Les enfants dans ma classe ne sont pas assez matures. Il n'y a que moi qui ai un cerveau.
6 juillet 2021 Moi, je veux aller dans un resto où il n'y a pas de mets végétariens. En répondant à Julie : Ah... On va manger à La Belle et la Bœuf, mais mes enfants ne se nourriront pas... !
6 août 2021 Steve : Wow, Olivia, tu t'es maquillée pour la fête ! Haha Gabrielle : Moi, pour ta fête, je me suis mise un bandana, un t-shirt, des shorts et des bobettes !!
12 juin 2022 Gabrielle : Wouah ! Tu sens l'urine de chat ! Émile : Non ! Maman m'a dit que je sentais bon !
28 janvier 2023 Papa : Gabrielle ! Je t'ai demandé tantôt pour la récupération ! Ça fait deux fois que je te le demande. Gabrielle : Ben, tu ne me l'avais pas assez demandé.
31 janvier 2023 Gabrielle, c'est quoi ça ?
Une cagoule que j'ai tricotée pour le chien.
2 février 2023 Quand les sourds baillent, est-ce qu'ils pensent qu'ils crient ?
15 avril 2015 Moi, je veux deux bébés ! Parce que moi, je vais travailler. Ils vont pouvoir jouer ensemble.
10 septembre 2023
C’est quand qu’on installe le sapin?
5 novembre 2023
Émile se dirige vers la fenêtre pour regarder dehors.
Pourquoi tu marches comme un piéton?
11 décembre 2023
Est-ce que si la gravité n’existait pas, le mot “tombé “ n’existerait pas non plus?
9 avril 2024
Julie: Ah non Steve! Tu as laissé le rond du four ouvert!
Gabrielle: (avec un accent français) Mais c’est un peu stupide, si j’peux me permettre…
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rebrandtdebibls · 1 year
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Le problème de l'identité personnelle
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Le problème de l'identité personnelle et de l'importance de l'ego comme chambre de compensation et d'échange entre des désirs croissants de liberté individuelle et des demandes de soumission moindres de la part de l'État est perçu par les raisons pour lesquelles lorsque - à la suite de la révolution protestante radicale glorieuse - l'individu s'autorise une première émancipation de la chaîne de commandement rigide des sociétés strictement hiérarchisées et, parallèlement, une plus grande autonomie, garantie par les lois et non par l'arbitraire des gouvernants : « La liberté des hommes sous un gouvernement consiste à avoir un règle selon laquelle vivre, commune à chaque membre de cette société, et imposée par le pouvoir législatif institué en elle » (TTG, II, 22 = 244). La diminution des pouvoirs coercitifs de l'État et l'augmentation complémentaire des prérogatives de l'individu, déjà tempérées par les rigueurs de l'absolutisme et par une période de rébellion silencieuse ou ouverte contre lui, conduisent à la recherche d'équilibres plus favorables aux individus. La prise de conscience de cette nouvelle liberté et la méfiance à l'égard de tout pouvoir illégitime conduisent à élaborer une utopie cachée du sujet, qui se transforme en île pour sauvegarder ses prérogatives nouvellement conquises. Il crée ainsi autour de chacun une zone de respect, qui signale l'espace d'« inaliénabilité » de certains droits, dont l'inviolabilité de la personne. À la suite de cet éloignement - à la fois de son propre corps et de l'omniprésence de l'État - les raisons pour lesquelles il obtient deux objectifs étroitement liés, garantis par l'effort de les préserver : l'autonomie et la continuité de l'auto-incarnation. Cependant, l'accession à l'autonomie ne concerne pas tous les hommes : certains parce que leur existence est « usée par la fatigue d'obtenir de quoi vivre », de sorte qu'il n'est pas « normal qu'un homme qui lutte toute sa vie dans un le commerce ouvrier en sait plus sur la variété des choses qui se font dans le monde, qu'un cheval de bât ne peut en savoir sur la géographie d'un pays qui est constamment poussé çà et là, par un chemin étroit ou une route sale, uniquement vers le marché » ; d'autres parce que, bien qu'ayant des richesses abondantes ou du temps libre, ils sont dominés par les opinions des autres, par la mode ou par une paresse obtuse qui les pousse à ne pas faire usage de leur intelligence et donc à ne pas s'apercevoir que « celui qui est aveugle sera toujours être conduit par celui qui voit , ou, sinon il tombera dans le fossé; et, sans aucun doute, le plus soumis, le plus asservi, est celui qui est aveugle dans sa propre intelligence" (E, 4, 20, 3 et 6 = IV, 258, 263).
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mysadecstasy · 2 years
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Depuis les falaises
Orbes mécaniques Cantiques acérés hurlants comme un orgue Echevelées déesses de la certitude du jour meilleur Croulant sous les désirs incongrus des sagesses égarées Révélation criante sous la voute de pierres opalines Opaline comme ta peau crémeuse Ravageuse Sauvage comme des cris de paons Ecartelée entre les plaisirs décadents de l’odeur sacrée Odeur de la chair molle et cotonneuse Enrobant le sang clair Sous la chair molle et délicieuse La chair qu’on palpe Qu’on charrie entre ses doigts frénétiques Comme une marée bleue dessinée au couteau Une marée inlassable et couverte d’écume chaude Reluisante d’horreurs oubliées Baignée et bénie de la sainteté de la mer infinie Du haut des falaises de craie les phares flamboient dans la nuit noire Tournoient comme des carrousels Gais comme le premier jour de l’amour en flamme Tourbillonnants d’une joie extatique et sidérée Depuis les falaises tout est immensément inatteignable Loin des mains maladroites Depuis les falaises l’or est bleu comme la mer La mer et sa profondeur ineffable Dansante comme les derniers espoirs des amoureux séparés Séparés à jamais par l’impossible clarté Lumière crue des vérités invisibles Indivisibles comme des pyramides touchant le ciel émerveillé Sous un soleil splendide Ecarquillé et stupéfait de chaleur torride C’est toujours la même or qui coule des saints extasiés Or brûlante et suave comme le lait qui glisse sur ton corps Ton corps de miel ondulant sous les flammes du désir Corps de pureté douce caressé par mille soleils couchants Dans les effusions ténébreuses Les étreintes ravageuses Où les bras tremblent et les mains pleurent Les corps contorsionnés Convulsions des extrêmes beautés secouées C’est la famine des désirs nus La soif des amours affolés Soif d’un encore déjà consommé Soif des mille jours dévorés dans la certitude aveugle Glissant sous le saule ta silhouette ombre ma peau de serpent Clapotis de la rivière implorante Tu fends l’eau comme une sirène Eclaboussée tu fends l’eau comme une épée dans la chair d’un cheval Et ta peau nue se floue dans les méandres de la douceur écarlate des eaux claires Sous le saule je t’observe Dans un clair obscur sidérant de volupté Déjà tu ressors ruisselante de beauté Nue toujours sous les volutes implacables de l’eau rose qui coule entre tes seins Depuis les falaises tout paraît inatteignable Inatteignable et pur comme une lune éclatante Dénudant la nuit Allumant des feux de rêves éblouissants Peignant les pins silencieux d’ombres envoutantes Le nuit est nue la nuit est belle Et la lune trace le ciel comme une révélation Je sers ta main dans la mienne sous le ciel sans étoile Je sers ta tête contre mon sein sous le ciel éthéré Orbes mécaniques Cantiques acérés hurlants comme un orgue Echevelées déesses de la certitude du jour meilleur Croulant sous les désirs incongrus des sagesses égarées C’est maintenant le bonheur Dans les mains contorsionnées de désirs et les corps qui s’emmêlent Je sens ton cœur taper sous ta chair et tes os Je sens ton cœur hurler sous tes yeux ébahis de clarté Brûlants d’amour et tremblants de l’incertitude salvatrice Douce incertitude de l’amour frémissant Tendue comme un fil de soie entre deux lys gracieux C’est tous les jours la révélation La naissance de l’amour comme venus donnée en offrande Je te revois Tu fends l’eau comme une sirène Eclaboussée tu fends l’eau comme une épée dans la chair d’un cheval Et ta peau nue se floue dans les méandres de la douceur écarlate des eaux claires Et la mer à deux pas crie sa résurrection à chaque marée Revenante et dansante La mer écumeuse et chaude miroite l’ensemble des possibles Des possibles et des rêves en attente Dans le grand hall de la gare des espoirs frémissants Des rêves trop grands pour tenir dans des mains Des rêves trop beaux pour être admirés d’un seul coup Des rêves écartelés entre la chair et les frémissements Que reviennent les immenses douceurs Reviennent sous la peau froide des amoureux oubliés Reviennent douceurs sur la saleté des morts en chemin Morts à l’amour morts à la salve chaude Douceur de tes yeux émerveillés sous la clarté diffuse des papillons fous Des papillons des plaisirs émiettés Des plaisirs satisfaits et rampants de béatitude Dans tes bras nus se love la divine extase Le grand pardon est à tes pieds caressants Et sur ton cœur pèse toute la pureté de l’amour sans cesse retrouvé
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princemots3314 · 2 years
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La poésie pèse sur mon coeur. C'est un fardeau comme un autre. Elle est le rocher que je porte au sommet du tertre pour qu'il dégringole à nouveau... La poésie est ma vie. Je me réveille en mots. Je dors en mots. Je rêve en mots. Je convoite des mots. Celui qui n'aime pas est un mort-vivant. Celui qui n'écrit pas est un néant. Celui qui ne songe pas est un roc. Celui qui ne contemple pas le crépuscule a un coeur aveugle. Celui qui ne parle pas à la fleur a un coeur sourd. La poésie est une vie à part entière. Que reste-t-il de la métaphore quand on l'interprète ? Mon salut est un mot. Mon salut est sur tes lèvres. Mon salut est sur ta joue. Mon salut est sur ton cou. Mon salut est entre tes seins. Mon salut est sur tes bras. Mon salut est sur ton ventre. Mon salut est sur tes cuisses. Mon salut est entre tes jambes. Mon salut est sur tes genoux... Je change de rythme. En galop. En trottinant. A brûle-pourpoint. Je change de rythme. J'arrache par des symboles les vestiges de la Haine. Désormais, on met des fruits dorés sur ton autel, chère Vénus. Je sème l'amour. Je mets des ravins et je sème de mon âme en fièvre l'amour au coeur du sol longtemps étanché. Je maîtrise les règles de la prosodie. Je change de rythme. Mon cheval m'apprit tant à le faire. Un cheval fougueux, suis-je. Une jument rétive, es-tu. On se dompte. Je suis le cercle des saisons. Je connais le temps où je dois mettre des sillons. Je connais le temps où je dois laisser le sol en défrîche. Je suis fils de la lune et du soleil. Je suis fils de la terre et de l'océan. Je connais les règles du jeu par naissance. Je les porte dans les gènes. Je crée du néant. Le poème est si lourd sur mon coeur. Que reste-t-il de lui et de moi quand je le dis ?
#poesie
#poetry
#poesia
Mohammed Labib
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fallenrazziel · 2 years
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Les Chroniques de Livaï #531 ~ DANS LE DOUTE, ABSTIENS-TOI (juillet 846) Moblit Berner
L'histoire de Livaï comme vous ne l'avez jamais lue. ​Le  personnage le plus populaire de L'Attaque des Titans, le soldat le plus fort de l'humanité… Qui est-il vraiment ? Qu'a-t-il dans le coeur ? Qu'est-ce qui a fait de lui ce qu'il est ? Je me suis mise en devoir de répondre à ces questions en vous livrant ma propre vision de sa vie, de ses pensées, des épreuves qu'il a traversées, ainsi que celles des personnes qui l'ont côtoyé, aimé, admiré, craint, détesté. Si j'essaie le plus possible de respecter le canon, quelques libertés seront prises sur les aspects de sa vie les plus flous. Quelques personnages seront également de mon invention. Livaï, un homme que l'on croit invincible et inatteignable… Est-ce bien sûr ? Jugez-en par vous-mêmes. 
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Je me sens plus tranquille depuis que nous avons quitté la ville. Il n'y a plus de regards curieux posés sur nous. Une délégation d'explorateurs se présentant dans la capitale et prenant d'assaut un hôpital réputé, au petit matin, ça ne passe pas inaperçu. Nous avons pourtant tout fait pour être discrets ! Mais des infirmières ont parlé autour d'elles et les médecins ont quand même réussi à nous faire des histoires, malgré le message du major.
Je revois la petite chambre isolée dans laquelle gisait le capitaine, sur un lit blanc, les draps remontés jusqu'au menton. Même si son état n'était pas encourageant, l'éclat dans ses yeux - on lui avait enlevé ses lunettes - m'indiquait bien qu'elle entendait et comprenait. C'est le son de ma voix qui a du lui indiquer notre présence car elle est myope sans lunettes... Elle déteste ça, qu'on lui enlève ses yeux. Se retrouver aveugle et impotente dans ce lieu inconnu, avec un assassin qui courait toujours, cela a du être une épreuve pour elle.
J'admets me sentir très fier d'avoir volé à son secours. Le médecin en chef a tenté de me dissuader, affirmant que le capitaine avait besoin de soins constants et qu'elle ne tiendrait peut-être pas jusqu'à Trost. Hanji a levé le pouce derrière lui - signe codé pour me dire que tout irait bien - et j'ai redoublé d'insistance, répétant que notre régiment préférait s'occuper lui-même de nos blessés et que le capitaine avait déjà survécu à pire - ce qui est vrai. Le major était le seul à avoir une autorité sur Hanji, et le médecin a été obligé de s'incliner devant la missive officielle.
Hanji a été glissée sur une civière puis placée dans le chariot que nous avions apporté avec nous. Abel, Nifa et moi, nous nous sommes postés autour d'elle, lui faisant un rempart de nos corps, tandis que Keiji conduisait. Je m'attendais à une autre attaque. Mais rien n'est venu. Cependant, je suis sûr qu'un regard sombre nous observait ; comme un oeil affamé de titan... J'espère qu'il a bien savouré son dépit !
Nous sommes en route pour Erhmich et tout semble calme. Le champ d'action de ce tueur ne va peut-être pas plus loin que la capitale. De toute façon, notre présence suffirait à décourager les plus téméraires. Nous sommes des soldats aguerris et même si notre travail n'est pas de tuer des humains, nous savons nous adapter. Je tuerais sans sourciller quiconque s'en prendrait au capitaine, et mes camarades aussi, je suppose. Keiji guide toujours le cheval, les autres se mettent à souffler un peu. Quant à moi, je dois m'enquérir de l'état de la passagère, m'assurer qu'elle arrive à Trost sans plus de dommage.
Je ne peux pas examiner sa plaie ; on lui a entouré le torse de bandages, et je ne crois pas que le moment soit venu de les enlever. Mais je vois d'ici que la blessure n'est pas propre et suppure... Je lui parle, la gardant dans un demi-sommeil perpétuel, relatant des petits riens insignifiants pour lui redonner le moral. Elle me regarde de travers, en papillonnant des yeux, essayant de se réhabituer à voir correctement. J'ai pensé à lui ramener une paire de lunettes, au cas où l'hôpital les aurait égarées - ce qui n'a pas manqué. Je suis le seul à savoir où se trouve sa réserve.
Je l'entends murmurer un faible "Moblit... j'suis désolée...", et je lui prends la main pour la rassurer. J'aurais du venir avec vous, je vous l'ai dit ! Vous vouliez absolument y aller seule, c'était une folie ! Heureusement que Sofie était là ! Ce type a raté son coup, mais il aurait pu venir vous achever dans votre lit ! Le major est persuadé que nos ennemis sont très haut placés et peuvent atteindre n'importe qui ! Cela va compliquer nos actions et déplacements... mais je suppose qu'ils ne vont pas recommencer de sitôt. Plusieurs tentatives d'assassinat sur des explorateurs, ça deviendrait vraiment suspect et les autorités s'y intéresseraient forcément.
Elle remue sur sa civière, et je remonte le drap. Vous devez juste vous reposer. Les autres lieutenants vont s'occuper de tout. Et je suis sûr que le major Erwin fait déjà son possible pour démasquer celui qui vous a fait ça. Pas sûr qu'il y arrive, mais...
Des perles de sueur constellent son visage, et je m'empare de la bassine d'eau que me tend Nifa. J'y trempe un linge et le pose sur son front. Ses joues sont rouges aussi... C'est mauvais signe. Bon, le capitaine ne tombe pas facilement malade, elle a développé une tolérance aux germes presque surnaturelle, mais il ne manquerait plus qu'elle attrape une infection...
Nous avons ordre de filer directement à l'hôpital militaire de Trost, à quelques pas du QGR. Le major viendra s'enquérir de son état par la suite. Cet hôpital a souvent pris en charge les explorateurs de retour d'expédition, on peut faire confiance au personnel. De plus, les civils n'y sont admis que pour des visites strictement encadrées, peu de chance qu'un inconnu non prévu s'y promène.
Raah, nous allons trop lentement ! Mais on ne peut pas forcer davantage l'allure, le chariot file déjà au petit galop, et il faut ménager la blessée ! Nous arriverons avant la fin du jour au moins... Nous n'avons pas dormi la nuit dernière, tout occupés à tracer notre route le plus vite possible, mais je ne me sens pas fatigué. Le major m'a confié cette mission de la plus haute importance, je dois m'en montrer digne.
Je tapote son visage avec le linge humide, et Hanji semble soudain sommeiller. Cela ne me rassure pas, mais je ne peux pas lui imposer de veiller si son corps veut se reposer. Je dois vérifier constamment ses signes vitaux et... J'aimerais faire tellement plus, mais je suis impuissant ! Je ne suis pas médecin ! Je voudrais tant lui arracher ces bandages pour m'assurer visuellement que la plaie n'est pas si grave... Ne pas savoir est une torture !
Si cet homme me tombe entre les mains, il sentira passer tout ce que je ressens ! Je n'ai jamais tué un humain, mais cette occasion pourrait être la première... Aaah, le gentil Moblit ! Nul ne connaît ce qu'il a dans le coeur et ce dont il est vraiment capable !
Personne ne sait qu'il ne faut pas toucher à Hanji. Je ferais en sorte qu'on le sache maintenant.
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christophe76460 · 2 years
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🔴 BÉNI SOIT LE DIEU D'ABRAHAM, D'ISAAC ET DE JACOB POUR SA GRÂCE ET POUR CE QU'IL NOUS DONNE DE NOUS EXPRIMER.
J'aimerais me prononcer, sur la Situation Nationale. Une fois n'est pas coutume, dit-on. Le devoir de réserve nous commande de garder un profile bas, et d'éviter d'intervenir dans des débats souvent politisés. Mais face à la descente aux enfers d'une nation égarée et sans boussole, et pire, avec des dirigeants malvoyants, il est important que nous parlions un peu. Jésus Christ disait : Si un aveugle conduit un autre aveugle, ils tomberont tous deux dans un trou (Luc 6:39)
I) TOUT COMMENCE DANS LE SPIRITUEL :
La première chose, qu'il faudra comprendre, c'est qu'une victoire dans le physique commence par une victoire dans le spirituel. Et L'INVISIBLE COMMANDE LE VISIBLE. Si le Burkina Faso veut l'emporter sur le terrorisme, il doit d'abord s'assurer qu'il a vaincu le terrorisme dans le spirituel.
Le terrorisme n'est pas une personne, mais un ESPRIT. Vous tuez un terroriste aujourd'hui, le corps meurt, mais l'esprit ne meurt pas. Il va à la recherche d'autres corps, et ainsi naissent des dizaines et des dizaines de nouveaux terroristes.
Dans le règne spirituel, lorsque L'EMBLÈME national d'un pays est vaincu, ce pays sera vaincu sur le plan physique. D'où les guerres, les conflits, les déstabilisations de territoires, les famines, la misère, la pauvreté, etc constatés ça et là, à travers le monde. Et ceux qui le font sont ceux-là qui contrôlent le monde, et qui programment des guerres dans le monde, parce qu'ils ont besoin de sang, je veux parler des forces obscurantistes et d'aliénation des peuples, que sont les Sectes, les Société Secrètes et les Puissances de la Sorcellerie.
Il) LE DIEU VIVANT EST LE SEUL À AVOIR LA SOLUTION À LA CRISE :
La deuxième chose qu'il faudra savoir, c'est que le cheval peut être bien équipé pour le jour de la bataille, mais la délivrance appartient à l'Éternel (Proverbes 21:31). Si l'Éternel ne garde pas la ville, celui qui la garde veille en vain (Psaumes 127:1). Si Dieu lui-même ne garde la nation, ceux qui essayent de la garder travaille en vain.
Tout le monde attend des hommes qu'ils apportent la paix au Burkina : Ils attendent des autorités, des militaires, de la France, de la Russie, des États-Unis, etc ; ils ont oublié le Dieu vivant, qui a pourtant sauvé ce pays du chaos à plusieurs reprises. Mais l'Écriture est bien claire: Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, qui prend la chair pour appui, et qui détourne son cœur de l'Éternel ! Il est comme un misérable dans le désert, et il ne voit point arriver le bonheur ; il habite les lieux brûlés du désert, une terre salée et sans habitants. (Jérémie 17:5-6).
Nous avons demandé, à plusieurs reprises, au Président Damiba, sur notre page facebook, de ranger ses diplômes d'école de guerre et ses CV de prestige, pour aller à l'Académie Militaire de l'Éternel des Armées, afin qu'il exerce ses mains au combat et ses doigt à la bataille. (Psaumes 144:1).
Le Dieu qui a englouti toute une armée, l'armée de Pharaon, quand elle s'était mise à la poursuite de son peuple dans le désert
(Exode 14:28) , qui a décimé l'armée assyrienne, en frappant de mort 185 mille soldats qui menaçaient la sécurité d'Israël, en une seule nuit et par un ange, (2 Rois 19:35), ce Dieu n'a pas changé. Et il dit : Mes pensées ne sont pas vos pensées et vos voies ne sont pas mes voies (Esaie 55:8). Même si on dotait l'armée du Burkina Faso de tout l'armement du monde, il ne pourra jamais vaincre le terrorisme. Au meilleur des cas, on pourrait assister à un déplacement de problème, mais jamais la résolution du problème.
Moïse n'avait pas de canons, de chars, d'hélicoptères de combat, etc lorsqu'il libérait son peuple des griffes de Pharaon, l'empereur le plus puissant de la terre à l'époque. Il était armé d'un simple bâton, symbolisant l'autorité de Dieu. Question : Avec quelle autorité le Président Damiba combat-il l'ennemi?
Ne savez-vous pas, que notre Dieu est un Dieu aux voies insondables ? Ne savez-vous pas que Dieu est capable d'utiliser, même des lépreux, pour repousser l'ennemi et sauver tout un pays, sans combattre ? (2 Rois 7:3-7).
Le cœur du roi est un courant d'eau dans la main de l'Éternel, il l'incline partout où il veut (Proverbes 21:1). Le cœur des Djihadistes se trouve dans la main de l'Éternel, il peut l'incliner comme il veut.
Ni la France, ni la Russie, ni les États-Unis, ni l'Armée, etc ne peuvent sauver le Burkina Faso. Le Dieu vivant met en garde les Autorités de ce pays : Malheur à ceux qui descendent en Égypte pour avoir du secours, qui s'appuient sur des chevaux, et se fient à la multitude des chars et à la force des cavaliers, mais qui ne regardent pas vers le Saint d'Israël.....L'Égyptien est homme et non Dieu; ses chevaux sont chair et non esprit. Quand l'Éternel étendra sa main, le protecteur chancellera, le protégé tombera, et tous ensemble ils périront
(Esaie 31:1-3).
III) LE MAL RÈGNE AU PAYS DES HOMMES INTÈGRES.
Un certain nombre de facteurs sont sources de Malédictions dans un pays. Ce sont :
1) L'injustice Sociale
2) La Mal-Gouvernance
3) Le Sang innocent versé
4) Les droits de la veuve et de l'orphelin foulés au pied.
5) L'immortalité sexuelle
6) Le manque d'amour
7) L'idolâtrie
8) Le Manque de pardon, de réconciliation, etc
Devant un petit ennemi qui est Aï, la nation israélienne dût prendre une défaite, et Dieu leur dira : Il y'a de l'interdit au milieu de toi, Israël; tu ne pourras résister à tes ennemis, jusqu'à ce que vous ayez ôté l'interdit du milieu de vous (Josué 7:13). Le Burkina Faso subit aujourd'hui une défaite, face à un ennemi qui est le terrorisme. Et à cause des interdits ci-dessus cités. Le temps est venu de chercher la face du Seigneur.
2 Chronique 7:14 Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s'humilie, prie, et cherche ma face, et s'il se détourne de ses mauvaises voies, je l'exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays.
IV ) LA SAGESSE DIVINE POUR LES AUTORITÉS DE LA TRANSITION :
Proverbes 8:15-16 Par moi les rois règnent, et les princes ordonnent ce qui est juste; par moi gouvernent les chefs, les grands, tous les juges de la terre.
1 Timothée 2: 1-2 J'exhorte donc, avant toute chose, à faire des prières, des supplications, des requêtes, des actions de grâces, pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui sont élevés en dignité, afin que nous menions une vie paisible et tranquille, en toute piété et honnêteté.
Il important que les Burkinabés soutiennent les autorités de la transition, en prière, afin de sauvegarder la paix nationale. La mission à mener n'est pas impossible, mais chacun doit jouer sa partition, que ce soit les autorités elles-mêmes ou la population. Ce qu'il faut redouter, c'est un bain de sang avec un changement de régime. Le Président Rock a échappé à pas moins d'une dizaine de tentatives de coups d'État, avant d'être renversé finalement. Nous avons même prédit avec exactitude le JOUR et L'HEURE de sa chute. Ce dont les autorités de la transition ont besoin , c'est un cœur humble et se tourner de toute leur âme vers le Seigneur, car leur survie aux commandes en dépend.
Par Manque de connaissance, le peuple périt (Osée 4:6). Mais vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira (Jean 8 : 32). La vérité, c'est une Personne, c'est JÉSUS CHRIST, le Fils du Dieu vivant. Voici ce qu'il a dit : Je suis le chemin, la vérité et la vie ; Nul ne vient au Père que par moi (Jean 14:6). Et si le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres (Jean 8:36). Il est le Prince de la paix (Esaie 9:6), celui qui donne la paix et qui peut donner la paix au Burkina Faso, pour peu qu'on se tourne vers lui. Et il dit à ceux qui l'ont reçu : Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s'alarme point (Jean 24:27).
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claudehenrion · 3 years
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Dhimmi ? Vous avez dit ''Dhimmi'' ?
 Cela fait au moins deux ou trois jours que nous n'avons pas parlé du sujet brûlant entre tous qu'est l'islam, en ce moment. Pour ne pas faire mentir la ''prophétie'' attribuée à Malraux ''le XXI è siècle sera religieux ou ne sera pas''... un lecteur qui m'assure qu'il me lit chaque jour (Merci !), me reproche de passer sous silence une des clés nécessaires pour comprendre aujourd'hui : le mot ''dhimmi''. Et il est vrai que les approximations, les erreurs graves et les ignorances parfois criminelles de notre personnel politique (y compris les nuls issus de LREM, qui se rêvent modèles quant ils ne sont qu'épouvantails) nous en administrent la preuve chaque jour.
Dhimmi est un des mots qui risquent d’avoir un rôle dans la suite de notre histoire, si nous persistons à ne rien faire pour casser les poussées mortifères en cours. Ce terme historique emprunté au droit musulman désigne un citoyen non-musulman qui vit dans un Etat musulman, lié par un ''pacte de protection''. La dhimma est le régime juridique auquel sont soumis les dhimmis, et ses règles ont varié selon les périodes et les lieux, du port d'uniformes voyants à l'obligation d'un signe distinctif (ce sera un turban orange ou un châle bleu, ou le port sur les vêtements de l'image d'un porc pour les chrétiens ou d'un singe pour les Juifs) ou l'interdiction d’avoir un cheval, l'obligation de descendre du trottoir pour céder le passage à un ''croyant''... à qui il sera interdit de refuser la main de sa fille... ou d'ester en justice contre lui.
Ce statut est précisé dans le verset 29 de la sourate 9 At-Tawbah (Le repentir) qui définit ou détermine, dans le système de gouvernance islamique, une catégorie très spéciale de ''sous-citoyens'' qui, moyennant l'acquittement d'un impôt per capita (Jizyia) et d'un impôt foncier (Kharâj), l'acceptation d'une certaine incapacité juridique et le respect d'obligations discriminantes édictées dans un ''pacte'' conclu avec les autorités, se voient accorder une liberté de culte restreinte et certains droits, ainsi qu'une relative sécurité pour leur personne et leurs biens. Attention : la ''dhimma'' ne s'applique qu'à ceux que les musulmans désignent (à tort) comme étant des ''gens du Livre'' (اهل الكتاب  Ahl al-kitâb), càd. les monothéismes. Les autres, les ''kouffar'' (animistes, athées, bouddhistes, ou libre penseurs), n'ont le choix qu'entre la mort et l'esclavage. (NDLR - dans la morosité ambiante, il y a tout de même de quoi se marrer en pensant à la tête que vont faire tous nos beaux esprits, tous ces islamophiles et amalgamophobes de salon, en cas de victoire des théories qu'ils voudraient nous imposer par leur anti-christianisme primaire : ils vont se retrouver les ''kouffar'' de la farce et les cocus de l'Histoire ! Ce sera bien fait).
Officiellement, le statut de dhimmi aurait été aboli dans l'Empire ottoman en 1865, mais il en reste de profondes traces historiques et --surtout-- psychologiques, même si nombreux sont les musulmans qui le considèrent comme inapproprié à l'âge des Etats-nations et des démocraties. Mais la vérité est que si le mot de ''dhimmitude'' a été forgé dans les années 1980, sous la plume de la politiste égyptienne Bat Ye’or (alias Gisèle Littman-Orebi, née en 1933), pour expliquer la condition des juifs et des chrétiens en terre musulmane... ce n'est pas sans raison : supprimé en titre, la dhimma reste  toujours omniprésente dans les esprits comme dans les mœurs ! 
Dans ''Les Chrétientés d'Orient : Entre jihad et dhimmitude du VIIe au XXe siècles'', Bat Ye'or rappelle les persécutions dont les minorités juives et chrétiennes ont été victimes depuis l'Hégire, et l'obligation pour elles de se soumettre à la charia’a, puis au djihad, et plus récemment au terrorisme de l'Islam militant. Et s'il est vrai que beaucoup de dhimmis, à travers l'Histoire, ont atteint des postes parmi les plus élevés (jusqu'à grand-Vizir), il n'en reste pas moins vrai que le statut des ''Chrétiens d'Orient'' --la communauté de loin la plus persécutée du monde de ces dernières décennies, bien entendu dans le silence coupable de la Presse... et du Monde !-- ou celui des Coptes en Egypte (qui sont pourtant les seuls descendants des vrais égyptiens des temps pharaoniques, donc seuls héritiers des splendeurs multiples de la Vallée du Nil, que les envahisseurs arabes ont vite fait de s'attribuer, dans leur ignorance méprisante de tout ce qui a trait à l'Histoire) ne fait envie à personne...
De manière prévisible, la situation des dhimmis dans le monde arabo-musulman a souvent été l'objet de stéréotypes (souvent de création récente et de source occidentale), qui s'opposent dans des excès contradictoires : à l'image utopique d'un islam tolérant pratiquant l'égalité des droits dans une relative concorde religieuse, comme on voudrait le faire croire à propos des Royaumes grenadins entre le VIIIè et le XVè siècles, dans une ré-écriture quasi-hollywoodienne de ce qui s'est réellement passé (NDLR : la ''Reconquista'' n'aurait pas été possible si les gens ne vivaient pas des vies tronquées, dans une forme d'enfer !), s'opposerait la caricature d'un islam intolérant, bigot, tyrannique, se cherchant dans une société pré-moderne dont les cadres ne pouvaient être définis qu'en dehors de toute référence religieuse. En fait, on navigue entre les mensonges et la propagande...
La réalité est évidemment plus complexe, les aspects négatifs coexistant avec des aspects positifs et étant de fait extrêmement différents d'un pays à l'autre : les lecteurs connaissent mon admiration pour la manière dont la dynastie Alaouite a traité ce délicat problème au Maroc, qui ne se compare en RIEN à la sauvagerie primaire d'autres pays (Algérie, Arabie, Turquie...). Car si le statut de dhimmi est effectivement un statut inférieur, il n'en est pas moins un statut légal de sous-citoyenneté reconnue, où  les relations sont régies dans un cadre iso-contractuel, par les lois sacrées de l'islam que les croyants musulmans devraient respecter. 
Le mieux, tout de même, serait de ne pas avoir à tenter l'expérience et à ne pas avoir à subir la lourde férule de la ''dhimma'', et cela dépend exclusivement de notre intelligence et de notre aptitude à voir la menace arriver avant qu'elle ne devienne danger... ou, en fin de compte, subordination à long terme. Mais ça... c'est une tout autre histoire, et tout semble indiquer que ce n'est pas le chemin sur lequel nous font divaguer nos responsables actuels, irresponsables et aveugles par système... 
H-Cl.
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browneyes242 · 4 years
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Mon idéal
On a tous à un moment où un autre penser notre partenaire idéal. Celui avec qui on partagera le reste de notre existence.
Je ne rêve pas de prince charmant sur un cheval blanc, ni de poète, ni d'un fleurbleu. Je ne rêve pas de quelqu'un qui me couvrira des cadeaux, ni de promesses mielleuses.
Mon idéal?
Mon idéal c'est une personne en qui je pourrais avoir une confiance aveugle, une personne qui me verra pour qui je suis avec mes forces et faiblesses, avec mes qualités et mes defauts.
Une personne avec qui je pourrais être moi, sans crainte d'être jugée.
Une personne qui m'aimera vraiment non pour ce à quoi je ressemble, ni pour ce que je peux prétendre être. Mais pour le moi véritable.
Une personne qui voudra me connaître vraiment, une personne qui me permettra de connaitre son monde, ses aspirations, ses peurs, ses rêves.
Un meilleur ami, un amant.
Une personne qui me tendra la main quand je serais au bord du gouffre. Une personne qui entendra mes cris de détresse, Une personne qui entendra ce que je dis et le comprendra.
Une personne qui saura qu'au fond, j'ai juste peur de souffrir.
Une personne avec qui je pourrais rire aux éclats, mais aussi pleurer comme une madelaine, être moi même.
Une personne avec des rêves, pour qui je pourrais être un soutien. Une personne qui me poussera à donner le meilleur de moi même, à accomplir de grandes choses. Un véritable ami avant tout. Une personne qui du jour au lendemain, ne me laissera pas pour une autre, qui n'abusera pas de moi.
Une personne que j'aimerais à la folie et qui sera amoureuse de moi.
L'idéal n'est qu'une utopie, je le sais bien mais je voudrais donc juste avoir son reflet.
Honnêteté, dévouement, fidélité , loyauté, amour, confiance voilà tout.
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nuit-pourpre · 3 years
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Lohorie Valendrin [ep.02]
[Fantasy]
La nuit tombe.
Je m’arrête au bord d’un sentier. Mes jambes supportent toujours mieux les heures de marche après un combat, d’habitude. Là, c’est comme si je vieillissais. Le vent frais chatouille mes os. Il me faut du petit bois.
Je m’appelle Lohorie Valendrin. J’ai plus d’une vingtaine d’hivers, dont cinq passés chez les patrouilleurs. Je suis très instruite, et habile au combat, pour une fille née dans un lupanar.
Ma mère m’a toujours dit et répété que le monde me ferait payer chaque action, bonne ou mauvaise, de la pire des façons. Parce que j’étais spéciale.
Elle avait en même temps la naïveté, ou l’hypocrisie, de prétendre que ces épreuves seraient une chance, et qu’elles me grandiraient. Pour la chance, j’aurais tout aussi bien pu naître homme.
Quand je parle de ma mère, je ne parle pas de celle qui m’a mise au monde et qui est morte en le faisant, mais de la maquerelle qui a fait de ma survie son cheval de bataille, pour une raison que j’ai pu que soupçonner au fil du temps. Les enfants qui tuent leur génitrice à la naissance, chez moi, on les appelle Agrippa ou Agrippine, en fonction de ce qu’on voit entre leurs jambes. Chez les putes, les coutumes sont différentes. On les appelle un peu comme on veut.
Il se trouve que Lohorie fait référence à une nymphe dans une légende des Syphorides. Elle aurait rassemblé sous un noyer les dépouilles de deux amants maudits, avant de les ramener à la vie par le pouvoir de leur amour. La fin est plus réaliste : parce que la nymphe a osé invoquer une magie impie sans l’autorisation des puissances supérieures, la région est maudite et une peste décime tout le monde. Tout ça pour deux jouvenceaux qui aimaient trop le sexe. Je crois que le message que ma mère voulait transmettre par ce baptême devait ressembler à “Ma fille, je sais pas ce qu’on va foutre de toi, mais une chose est sûre : toute ta vie tu causeras des désastres en croyant faire le bien”.
Ou peut-être qu’elle aimait juste bien la consonance.
Ma mère était assez instruite. Elle avait un client régulier, et de la haute. Le genre prêt à allonger neuf sols d’or pour une nuit à parler de philosophie entre deux étreintes pas folichonnes et plutôt courtes. Et neuf sols d’or, à l’époque, ça pesait au moins cinq écus de maintenant. En général je restais derrière la cloison, dans l’alcôve où je dormais, pour écouter leurs discussions, et je méditais dessus pendant les brefs et rares moments où les choses se corsaient. De temps en temps, c’est pendant, qu’il lui parlait de l’éclectisme de Coryathoras ou du système de Wilhelm Gszeiger opposant les vertus conséquentes aux vertus formelles. J’ai appris à quatre ans des mots que même les nobliaux n’acquièrent qu’à leur florescence. Et des euphémismes, aussi, beaucoup d’euphémismes. Il appelait toujours ma mère sa “vérité du cœur''. En gros il était marié.
Les curetons, les jeunes premiers, les couples racornis et les tristes époux que j’ai connus par la suite n’avaient pas la faconde de cet éminent professeur, mais à leur manière, ils m’ont tous appris de petites choses.
Elle ne m’a jamais dit qui étaient ses parents à elle. Vu ce qu’elle m’a appris d’autre, on pourrait croire ça étrange. J’ai gardé de ma mère deux enseignements majeurs, deux maximes qui m’ont profité par la suite, plus qu’elles ne m’ont nui : ne deviens quelqu’un d’autre que si on te paie très cher, et apprends à tuer avant d’être tuée.
Elle savait, elle, que quand on est une femme, on est d’abord une marchandise, et seulement à défaut, une menace. C’était sa façon à elle de me dire d’être moi-même. Ou de devenir une menace.
La chaleur du feu grésille sous le vent. Ma couverture réchauffe ce qui peut l’être, mes doigts insensibles remuent tant bien que mal, dans le creux de ma poitrine. Toute repliée, je m’éveille, alors que le ciel bleuit pour une autre journée.
Je vérifie que le médaillon en triangle est toujours dans ma poche, je me lance sur la route et je prie vaguement pour que le destin m’envoie un cheval pour remplacer celui noyé en mer avant mon arrivée. Je ne sais même plus ce que je prie, à force. Si Dieu existe, c’est un alchimiste à la retraite qui a bidouillé notre cosmos par erreur avant de laisser la mixture moisir sur sa commode.
Le bateau n’est pas loin, à quelques encablures à travers le maquis, si les indications des paysans sont bonnes.
La forteresse de Karwn-Tibba m’apparaît comme dans une fantaisie où ressusciterait l’ancien temps. Je suis trop jeune pour l’avoir connu, mais c’est à ça que devait ressembler le monde des seigneurs, de la courtoisie et des messes noires. La pierre des quatre tours qui encadrent le donjon exhalent une nuée d’oiseaux sur le ciel blanc, comme le souffle vaporeux que le froid trahit devant ma bouche.
Il surplombe un archipel de petits bosquets perçant la lande comme les touffes d’un chat galeux. Les brumes du matin sont tenaces. Les créneaux du bastion flottent au-dessus, dans le contrejour aveuglant.
Les cris des mouettes me parviennent. J’atteins le promontoire rocheux où la grande Roue de pierre à six branches est sculptée face à la pâleur levante, et j’observe au sud les ruines de la crique où le sloop est amarré. Il y a une véritable ville derrière cette grosse colline castrale, à l’est mais mon contact a décidé de m’attendre ici, à l’écart. Plutôt les vestiges d’une abbaye maudite que l’indiscrétion des quais marchands. Je dégringole tant bien que mal le chemin pierreux. Huit des dix matelots sont là, à glander sous le clocher effondré. Je les surprends avec ma voix.
Regardez-moi ces grands garçons ! Même pas peur des banshees ou des vampires ?
Alors que je m’apprête à excuser mon retard, je m’interromps et me fige, la main sur le fer de ma hache. Quelque chose ne va pas. L’un d’eux s’est levé, l’arbalète à la main, dont le crin est tendu, et qu’il pointe sur moi.
Lohorie ! Tu nous as foutu les jetons !
Ferme la et vise, le reprend le vieux Bænor. Toi, bouge pas !
J’incline la tête, l’air vaguement surpris. Mon cœur s’emballe et mes bras se tendent.
Là, les gars, c’est vous qui me foutez les jetons.
Ouais, à juste titre ! vocifère Bænor entre ses quelques dents.
Où est le chef ? Le Commandeur nous attend.
Il n’est pas en état de parler, le chef.
Bon, ça, ça vous regarde. Tant que vous m’amenez au Commandeur, je suis conciliante.
Ta gueule ! Ferme ta gueule, bordel. Ta hache ! Jette la vers moi doucement. Voilà… Et vire ta main de ta ceinture. Tes deux mains ! En l’air, que je les voie bien.
Il s’approche de moi lentement, sur le côté, laissant la mire dégagée à la jeune recrue en veste de laine noire. Puis, à une distance idéale pour que je sente son haleine de poisson, il me détaille de haut en bas.
On sait que le Commandeur t’a envoyée récupérer quelque chose de cher. Voilà l’idée : tu lâches ça à tes pieds, tu tournes les talons et tu survis. Et ton épée ? Jolie. T’as trouvé ça où ?
Sur un type qui n’en a plus besoin.
Tu comptais t’en servir ?
Faut être con pour prévoir de se servir d’une épée et la porter dans le dos.
Bah tu vas pouvoir nous la laisser aussi, alors.
Ne sois pas trop gourmand, Bænor. L’épée est à toi si tu veux, mais mon boulot doit être payé. Laisse moi trois des gars pour m’emmener jusqu’à ma paie, et je trouverai bien une histoire pour vous sauver le cul. Vous ne gagnerez rien sinon, crois-moi.
Il ricane, considère un instant ma proposition et parcourt mon faciès à la recherche de signes de trouille. Il les voit forcément. J’ai toujours été mauvaise en bluff. C’est déjà un miracle que la sorcière de la forêt se soit laissée avoir.
Je vais prendre les deux, ma p’tite Lohorie. Pas de geste brusque ou le gamin t’aligne. Pas vrai gamin ?
Le gosse acquiesce mollement.
Finnean… dis-je la voix tremblante alors que le vieux dégage la sangle autour de mes épaules pour s’emparer de l’épée du Chevalier-Intendant.
Tais-toi, Lohorie ! On te laisse la vie, c’est pas si mal, d’accord ?
C’est comme ça que tu me remercies d’avoir écouté tes pleurnicheries ? Ta fiancée te manque, mais je suis assez certaine que si elle te voyait maintenant, à suivre ce tas de merde en trahissant une amie…
Et la relique ? s’impatiente le vieux après avoir jeté l’épée dans l’herbe.
Quelle relique ?
Le truc que tu dois ramener au Commandeur.
T’en sais quoi, que je dois lui ramener un truc ?
Le chef l’a dit. Très exactement il a dit que le Commandeur voudrait voir ce que tu as trouvé
T’as pas pensé, génie, que ça pourrait être quelque chose d’abstrait ?
Comment ça ?
Mon boulot, c’était une information, que je vais lui rapporter. Un truc bien planqué dans ma tête. Un truc qu’on ne peut pas revendre à un receleur. Un truc qu’on ne peut physiquement pas toucher, et dont seul le Commandeur voit l’utilité. Un peu comme toi.
Sans lui laisser le temps d’y réfléchir, je brise son nez d’un coup frontal, broie son genou avec le talon et entends claquer la corde raide de l’arbalète. Le projectile éclate contre le chemin, derrière moi, me manquant assez largement.
J’attrape l’épée au sol après une roulade précipitée. Sans même extraire la lame, je frappe du pommeau la tempe du vieux tordu en deux, qui s’effondre sans mot. Les sept gaillards me font face, le gamin lâche son arbalète détendue et se fige.
Je… J’ai fait exprès de viser à côté, Lohorie !
Voilà ce qu’on va faire, camarades ! On oublie cet incident, j’en parle pas au Commandeur, et vous me faites pas chier jusqu’à la fin du boulot. Finnean, ta prochaine erreur sera la dernière. Compris ?
Je… Je suis désolé, Lohorie, tu sais, il nous a pas laissé…
C’est bon Finnean, conclus-je en faisant basculer le corps inerte d’un coup de botte. Aide moi à ligoter ce connard à un pilier. Les autres, préparez le sloop, on met les voiles !
Un peu plus tard, alors qu’un rais de lumière transperce les nuages dans une éclaircie dorée, Bænor s’éveille avec un mal de crâne, fermement ficelé. Je m’accroupis devant lui et finis de mâchonner un pain de seigle avant de lui sourire.
Dieu, ce que j’avais faim ! Tu vois cette abbaye, Bænor ? J’ai étudié auprès des savants du Sud. Je connais les fantômes. Y’a bel et bien une banshee, ici. Mais je vais te dire un secret : elles ne sortent qu’une heure après le crépuscule, ce qui te laisse à peu près… Six heures. Secoue la tête si tu préfères mourir maintenant.
Il respire lourdement. Ses yeux roulent frénétiquement, dissociés et globuleux. Il s’évanouit de nouveau. Je soupire, me lève et rejoins le gamin qui m’attend, un cordage sur le bras.
Nous nous éloignons et il déglutit en faisant le signe de la Roue sur sa poitrine. Il murmure :
C’est vrai, ça, pour la banshee ? Heureusement qu’on a pas campé dedans cette nuit…
Les fantômes ça n’existe pas, Finnean.
La tête me tourne. Voilà une journée et une nuit que le sloop fend la chair des vagues houleuses, en voyant les rumeurs d’orages très loin dans le ciel, danser autour de l’horizon comme une meute de loups suivrait de loin un voyageur blessé. Sans trop s’approcher.
J’ai passé le temps avec la mauvaise bière des quartiers du capitaine de ce rafiot. Une bière locale, que l’oncle de Finnean apprécie “ironiquement”. Elle est aussi trouble et pâteuse que brutale au palais.
C’est parce que les Tibbseits la brassent à partir de merde de cochon et de racines, pas d’orge !
Je le regarde un instant, le gallon presque achevé ayant partiellement raison de mon jugement, et lui sers une grimace sous la bruine glacée qui commence à mouiller le pont. Il éclate de rire.
Tu me fais marcher ?
Non non ! siffle-t-il du fond de son gosier, le sourire écarquillé. Et on y ajoute des algues rances pour la mousse.
Y’a pas de mousse.
T’es vraiment une déconneuse, toi, hein ? Tu viens de quelle île ?
Je pouffe. Puis percevant la sincérité dans sa question, hoche la tête en balbutiant le nom d’une vallée à des centaines de lieues au sud de l’archipel.
Alors là, je vois pas du tout…
Là où on boit plus de vin que de bière et où les oliviers poussent mieux que les chardons.
Beh merde… Avec ton accent, j’aurais pas cru à une continentale.
Il a sur cette phrase un vague recul, comme s’il trouvait tout à coup notre proximité physique dérangeante.
Ce n’est pas l’autre bout du monde, tu sais.
Partout où il peut se passer plus de trois jours sans qu’il pleuve, crois-moi, c’est l’autre bout du monde !
Le roulis s’intensifie. Le vent aussi. Les rideaux de pluie s’épaississent et remuent notre tas de bois. Un grand coup de lame me fait lâcher le bastingage et mon outre de bière. Je tombe sur le mât, l’équilibre chancelant. Je me réveille d’une petite claque et lève les yeux vers la pointe craquelante, la face trempée.
Un éclair saisit la mer à l’horizon. J’aperçois de l’autre côté une silhouette sur les eaux. Enfin c’est plutôt la voix de Finnean qui nous avertit...
La caravelle du Commandeur ! On y est, ça y'est ! On est au récif d’Asperal !
Prié soit-Il… soupire l’oncle. Après une demi-journée à tourner en rond, j’étais prêt à prendre moi-même la barre.
Tu aurais mieux fait ?
Hé, regardez !
Finnean escalade la proue. La silhouette du navire se dessine de plus en plus distinctement. Le vent remplit tout à coup la voile. Le sloop accélère. Je m’en vais moi aussi scruter, entre les dos d’écume et le ciel ombrageux, les deux colosses de bois flanqués l’un à l’autre, attendant à distance d’une pointe rocheuse noire et acérée.
Lequel est-ce ? je demande à Finnean.
Ce n’est pas normal, panique-t-il. Bon sang ! La voilure est abîmée…
Il hurle au barreur de virer, juste avant que mes oreilles ne perçoivent, sur le pont du château de bois compact formé par les deux nefs, un cri, puis deux, en sourdine. Un abordage. Je me retourne et hurle :
Le Commandeur est en danger ! Maintenez le cap et amarrez-nous à leur bord…
Vous voulez notre mort ou quoi ?
Le Commandeur me paie !
Nous aussi, mais pas pour crever !
Il ne paiera rien s'il meurt !
Un navire de cette taille ? Nous pourrons les semer si nous gardons nos distances, et si le Commandeur prend le dessus, il comprendra qu’on ait pas eu des envies suicidaires !
Je saute sur la poupe, après quelques enjambées, j’attrape la barre au matelot qui la tire de son côté, je le rue avec mon épaule et détourne le cap, avec une force désespérée.
Qu’est-ce que vous foutez ? me crache l’oncle de Finnean en relevant l’homme. On fonce droit sur des foutus pirates si vous virez par bâbord !
Je ne vais pas à bâbord mais à gauche ! je tente d’articuler en serrant les dents.
C’est la même chose, bougre d’âne !
Va me chercher mon épée et prépare un grappin. Un seul ! Je ne te demande pas de risquer ta vie, mais je dois monter à bord.
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