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#FIAC
schibborasso · 28 days
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Highway to hell - Elephant by Ugo Rondinone / FIAC, 2019
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tsa-pnz · 2 years
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celticculture · 8 months
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​📷 fiac mangan
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unforromass · 24 days
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Modo feriado...
*Ni la cama hice 🫠
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onlinenotebank · 6 months
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Flander’s Interaction Analysis Category System (FIACS)
Ned. A. Flanders defines, ―Teaching as an interactive process. Interaction means participation of teacher and students in the process of teaching. In this process, teacher influences the students; students also interact with the teacher. Interaction takes place among the students themselves also. It means, in the process of teaching, every body interacts with every other person involved in the…
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goldentoolsservices · 2 years
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foxeia · 2 months
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Chateau de Fiac
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RAPPORT MAGIE ET HYPNOSE? HYPNOSE DCS UNIQUE AU MONDE
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lauramolton · 9 months
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L'ostal de las abelhas (La maison des abeilles, en occitan)
film, 10 min, HD couleur, 2023
réalisé lors du festival Archipels, des artistes chez l'habitant·e, Fiac, Tarn, 2023
commissariat Félix Morel L'été, une maison vide, des tuyaux. Un bourdonnement sourd dégorge depuis les canalisations qui traversent la bâtisse. Dehors, des abeilles s'activent et s'apprêtent à changer de maison.
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En juin 2023, j'ai été accueillie deux semaines dans la famille de Laurène, Tom, Blanche et Aimé. Iels habitent une vieille bâtisse en pierres, perchée en haut d'une petite colline, dans le contrebas du village de Fiac. Cette maison s'appelle Fontrazou (qui veut dire “fontaine coupée” en occitan). Le fil rouge de l'édition du festival chez l'habitant·e de cette année (Archipels) était la montée des eaux. J'ai proposé à la famille qui m'accueillait de faire avec elleux le portrait de leur maison par le biais de ses canalisations. Pendant le tournage, un événement a eu lieu et a déclenché le début de la narration du film : un essaim d'abeilles a élu domicile dans un des tuyaux de la maison. En faisant la rencontre de Jany, leur voisine, j'ai appris que vingt ans plus tôt, un essaim s'était installé là, au même endroit.
✧ production Afiac
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fiac-ubu-solt
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jordi-gali · 2 years
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Tatiana Trouvé. Rennes -2018 – © Photo. Jean-Manuel Salingue © ADAGP, Paris Courtesy the artist, and kamel mennour Paris/London https://www.neo2.com/fiac-2018/
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MARTIN PARR/MAGNUM PHOTOS
FRANCE. Paris. FIAC International Fair of Contemporary Art. 2011.
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art-et-archeo · 2 years
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par Claire Moulène - publié le 15 juillet 2022 à 17h26
"Depuis quelques semaines, de nombreux touristes se seront probablement retrouvés nez à nez avec le viril gorille de 5 mètres de haut installé place de la Concorde à Paris, à un jet de pierre de l’Elysée. Tout de laque rouge vêtu, à la tête d’une mini-meute trop rutilante pour être sauvage, le «Wild Kong» du sculpteur Richard Orlinski est de retour dans la capitale, quelques mois seulement après avoir paradé avenue des Champs-Elysées, et un an pile après avoir porté haut les couleurs de la France à l’occasion de l’Euro de football.
Lors de la dernière Biennale d’art contemporain de Venise, c’est à l’entrée des Giardini, où se tient la manifestation officielle, que le zoo d’Orlinski a fait escale en avril, à l’occasion des journées professionnelles. Il y restera jusqu’en novembre, épousant ainsi à 100 % le calendrier de ce rendez-vous international incontournable sans jamais y avoir été invité. Les professionnels venus du monde entier ont ainsi pique-niqué, sans trop y prêter attention, au milieu de ces treize sculptures qui recyclent les codes et les techniques de l’art contemporain tout en l’asséchant de tout contenu. Les 500 000 visiteurs attendus cette année, et pas forcément venus pour ça, ont de quoi se réjouir…
«Il s’agit d’une ruse»
Mais avant de se pencher sur ce qu’Orlinski fait à l’art, et à ceux qui le regardent, demandons-nous d’abord ce qui lui vaut de bénéficier si régulièrement d’une visibilité sans équivalent dans les rues de la capitale et ailleurs, visibilité qui, on s’en doute, n’est pas sans conséquence sur la cote et donc le prix de vente de ses œuvres. Et comment il réussit, entre autres tours de force, à s’imposer comme primi piatti de la plus prestigieuse biennale d’art contemporain au monde. En clair, qui orchestre et qui valide les OPA dans l’espace public de ce sculpteur qui n’apparaît dans aucune collection publique, n’a jamais fait l’objet d’une invitation dans l’une ou l’autre des institutions qui maillent l’écosystème pourtant dense de l’art contemporain (musées, centres d’art, fondations, presse spécialisée etc.), mais réussit régulièrement à se placer dans les à-côtés des grandes manifestations artistiques type Biennale de Venise, Fiac, Art Basel, Festival de Cannes.
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Au Grand Prix de France de Formule 1, en 2019.  (DPPI. AFP)
«Entré par effraction»
«On nous sollicite régulièrement pour organiser ce genre d’opérations», avance la directrice de la communication des galeries Bartoux, qui représentent Orlinski. En décembre dernier, c’est le Comité Georges V qui les avait contactés pour installer un clinquant Kong sur les Champs-Elysées. Cet été, c’est sur la place de la Concorde et de la Madeleine qu’on le retrouve en compagnie de deux autres sculptures monumentales. L’opération est pilotée par le Comité du Faubourg Saint-Honoré qui réunit 120 maisons de luxe mais aussi les galeries Bartoux et la galerie Orlinski (faisant commerce exclusif de son œuvre), qui font toutes deux partie du comité artistique, quelle belle coïncidence, et ont pignon sur rue respectivement au 5 avenue Matignon et au 68 rue du Faubourg Saint-Honoré.
«Nous avons assorti notre avis favorable de la demande expresse que le Comité renouvelle, à l’avenir, ses propositions pour faire valoir la diversité des artistes que les nombreuses galeries implantées à Paris représentent, tient-on néanmoins à préciser à la mairie de Paris. Nous entendons que de nouvelles figures de l’art contemporain puissent être visibles dans l’espace public.»
Il faut dire que depuis le début des années 2010, il ne se passe pas une année sans que les sculptures d’Orlinski n’occupent l’espace public parisien. Déjà en 2012, le sculpteur avait judicieusement choisi son moment, en marge de la Fiac. Peu importe qu’il n’ait pas été convié par la directrice de cette grande foire d’art contemporain, Jennifer Flay, Richard Orlinski installe son bestiaire aux Invalides, non loin du Grand Palais où se tient la manifestation officielle. Résultat : quand le quotidien la Dépêche titre «Plus de peur que de mal, la Fiac s’est “bien passée”», c’est avec une photo du Kong d’Orlinski qu’elle illustre son article. «La seule fois où j’ai pu exposer à la Fiac, c’était au travers d’une association caritative. J’y suis entré en quelque sorte par effraction avec mes crocodiles, qui attiraient beaucoup de curiosité et qui gênaient les autres exposants», commentera un peu plus tard Orlinski. A la même époque, l’artiste Xavier Veilhan assigne Orlinski en justice l’accusant d’une pratique pas banale, et dont on ne savait même pas qu’elle pouvait relever du droit : le parasitisme. En cause, l’usage des mêmes codes couleur, du même matériau, du même aspect facetté. Au final, les juges estimeront néanmoins qu’il n’y a pas «de contrefaçon, même partielle». Orlinski a en revanche, en 2011, bel et bien été condamné pour contrefaçon d’une table lumineuse d’Yves Klein.
«Vu à la télé»
C’est le même scénario qui se rejoue à l’occasion de la Biennale de Venise cette année, où Orlinski passe une nouvelle fois outre le fait de ne pas avoir été invité et réussit à figurer au premier plan de ce grand rendez-vous international de l’art contemporain avec lequel il entretient des rapports complexes, en installant ses sculptures monumentales dans les Giardini della Marinaressa. Cette fois, c’est la galerie Bel Air Fine Art qui organise l’opération, en collaboration avec le Centre culturel européen italien. Bel Air Fine Art, avec ses consœurs les galeries Bartoux, Opera Gallery ou Carré d’artistes, est l’un des acteurs de ce marché de l’art bis dont le périmètre (de la place des Vosges à la place Vendôme, de la rue du Faubourg Saint-Honoré à Saint-Tropez ou Courchevel), et les leviers, dessine un paysage résolument parallèle.
L’autre levier de cette stratégie d’occupation massive passe par les réseaux sociaux : ses sculptures fleurissent sur les comptes de nombreuses stars, de Céline Dion à Justin Bieber, de Nabilla, dont il a par ailleurs produit une statue en or massif, à celui d’un armateur italien qui a fait l’acquisition pour son yacht d’une pièce à 15 millions de dollars. Et par un usage continu du «vu à la télé», alors qu’il égrène les plateaux des émissions populaires où ses œuvres apparaissent en majesté ou à la manière de flashs subliminaux qui impriment l’inconscient des téléspectateurs : chevaux blancs arqués pour le palmarès de Miss France en 2017 et Kong rouge à l’entrée de la villa de Miami de l’émission de téléréalité les Anges, saison 9. C’est encore lui qui a créé en 2016 le trophée des «W9 d’or», puis en 2018 celui du Grand Prix de France de Formule 1…
Richard Orlinski raconte à qui veut l’entendre qu’il est «l’artiste français le plus vendu au monde». Son succès serait la revanche ultime d’un enfant pauvre parmi ses camarades de Neuilly-sur-Seine, où il est né en 1966, devenu paria officiel d’un art contemporain nécessairement élitiste – tout en faisant fortune sur son dos. «Richard Orlinski n’est pas méfiant à l’égard de l’art contemporain officiel mais au vu du rejet dont il est parfois victime de la part des représentants de ces institutions, il considère que ce sont plutôt ces entités qui le rejettent», défend son attachée de presse.
«Réseau Courchevel»
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A Courchevel, cet hiver.  (imageBROKER. Andia.fr)
Récemment débauché par le chantier naval girondin Couach pour customiser une série limitée de trois yachts de 26 mètres de long, Richard Orlinski, qui défend l’idée de ses expos «dans des lieux gratuits», «accessibles à tous», est quand même d’abord accessible à ceux qui en ont les moyens, sa conception des lieux gratuits étant un brin circonscrite au triangle d’or parisien ou aux stations de ski les plus huppées. Courchevel notamment, où dix de ses sculptures ont été installées à la faveur du programme «L’art au sommet» copiloté par les galeries Bartoux et l’association Courchevel tourisme. «Certains pensent que l’art doit rester élitiste, moi je me bats contre ça, commente depuis les pistes pailletées Richard Orlinski à l’occasion d’un entretien dans le Figaro. Ici, il y a 200 000 skieurs qui passent par heure et qui peuvent voir les œuvres.» «Orlinski appartient à ce qu’on pourrait appeler le “réseau Courchevel”, note Elisabeth Couturier. Beaucoup de galeries s’installent à côté des palaces car il y a toute une classe de nouveaux riches qui n’a pas le temps de faire les galeries».
«Il veut être discret»
Est-ce que tout cela est bien grave ? Si l’occupation quasi-exclusive par un seul «artiste» de l’espace public de Paris ou d’ailleurs a de quoi faire sérieusement tiquer, il est vrai que ces nouveaux collectionneurs peuvent bien acheter ce qui leur chante, après tout ça les regarde. Le problème n’en demeure pas moins que l’art de Richard Orlinski creuse le malentendu qui depuis les années 90 mine l’art contemporain : dialogue de sourds entre des détracteurs, nombreux, qui n’auront de cesse de souligner sa nullité, son snobisme ou sa vacuité, et des défenseurs acharnés, qui auront sans doute trop tardé à tirer un trait net et précis pour l’autonomiser d’un marché de l’art qui fait miroiter une réalité très éloignée de celle de 99 % des artistes aujourd’hui. La machine Orlinski pousse tous les curseurs au maximum : caricature d’un art vide de sens et sommes astronomiques en jeu. Symptôme d’une industrialisation de l’art contemporain, il entretient et alimente la confusion sur les frontières de l’art au nom d’une démocratisation qui n’en a que le nom.
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Richard Orlinski et sa sculpture «Le Chat», en partenariat avec Puma. (Abdesslam Mirdass/Hans Lucas)
«Sans objection»
Dernier hic lié à ce système de production : l’opacité qui règne sur sa gestion des numéros d’inventaire et autres éditions limitées. Selon son ancien bras droit, qui s’est retourné contre lui dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte en 2019 par le Parquet national financier pour «blanchiment de fraude fiscale aggravée», Orlinski userait de quelques petites astuces : «Il a fait énormément de “doublettes” : c’est-à-dire que le client est persuadé d’avoir un exemple unique ou une série limitée mais il trouve des trucs comme numéroter une série en chiffres romains, et la même en chiffres arabes. La série des crocodiles par exemple, officiellement à 500 exemplaires, existe donc deux fois et même trois fois, car il existe aussi des versions avec la tête du crocodile à droite, et une autre avec la tête du crocodile à gauche.»«Il n’y a aucune “astuce” dans la numérotation des œuvres, rétorque l’attachée de presse. Richard Orlinski respecte strictement les dispositions légales et réglementaires en vigueur, très spécifiques, sur les œuvres numérotées en chiffres romains et les œuvres numérotées en chiffres arabes, que cela concerne les œuvres originales ou les œuvres multiples. Il en est de même pour les crocodiles : ce sont deux sculptures différentes avec deux positions distinctes (la tête, le corps et la queue) qui ont été réalisées à la suite des demandes de certains collectionneurs, désireux de pouvoir disposer de pièces qui se répondent visuellement.»
Au-delà de ces stratégies marketing, Richard Orlinski fait aujourd’hui l’objet d’une enquête préliminaire toujours en cours, comme nous l’a confirmé le Parquet national financier. En attendant d’en savoir plus sur les avancées de cette enquête, il y a de quoi rester médusé par sa surexposition dans l’espace public. Ou par son apparition dans son costume de DJ le soir de l’investiture d’Emmanuel Macron, au Louvre, en 2017. Et enfin, alors qu’il avait été condamné pour contrefaçon d’un grand artiste français, par sa nomination comme chevalier des Arts et des Lettres par arrêté du 18 décembre 2020… «La candidature a été proposée le 14 octobre 2020 par Bernard Montiel, via le cabinet, se souvient la ministre de la Culture de l’époque, Roselyne Bachelot. Le bulletin numéro 2 du casier judiciaire, délivré le 26 octobre, portait la mention “néant”. L’avis du préfet d’Ile-de-France, était “sans objection”. La candidature, présentée au grade de chevalier, a finalement reçu un avis favorable du conseil des Arts et des Lettres pour une nomination directe au grade d’officier, en raison du rayonnement international du travail de l’artiste.»"
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whatdoesshedotothem · 2 years
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1834 Aug[u]st Sun[day] 24
8
..
L
L
N
She with me in my bed half hour this morning but quite quietly – all sorts of tradespeop[le] –
Victor c[oul]d n[o]t get the addr[ess] for the bellows – Perrelet ca[me] ga[ve] h[i]m b[a]ck the watch w[i]th direct[io]ns
to gi[ve] it to Miss Berry at Bellevue or inq[uire] for her of Blondel Embassy porter – Perrelet w[e]nt for the
bellows - br[ou]ght b[a]ck the man, and I b[ou]ght 2 p[ai]r - s[e]nt Victor to Lesage for the Ecran à secrétaire  
and h[a]d it pack[e]d to go on the top of the imper[ia]ls - wr[ote]a large siz[e]d 1/2 sh[ee]t full and enclos[e]d it in
envelope to ‘Mademoiselle Mademoiselle Ferrall chez la comtesse Emilie de Blucher
à Copenhague’ and s[e]nt it w[i]th 2 p[ages] of 1/2 sh[ee]t civ[i]l no[te] (in Fr[en]ch) ‘Pour la retour de
Madame Madame la comtesse de Bourke, F[au]b[our]g S[ain]t Honoré n°53’ und[e]rcov[e]r, w[i]th a
1/4 sh[ee]t civ[i]l no[te] of th[an]ks to hims[elf], to ‘Monsieur Monsieur Edouard Ferrall Faub[our]g S[ain]t Hon[or]é
n°53’ – Kind en[ou]gh to Miss F- [Ferrall] gl[a]d to ha[ve] seen h[e]r broth[e]r - ver[y] m[u]ch improved - ver[y] good look[in]g and agreeable – knew no young man mo[re] like[l]y to do well - hop[e]d to still see th[e]m all ag[ai]n at Copenhagen - w[oul]d let
h[e]r kno[w] when I c[oul]d mo[re] nearly fix the ti[me] - hop[e]d n[o]t to be forgott[e]n - sh[oul]d ha[ve] writ[ten] oft[ene]r
th[a]n the once she h[a]d heard fr[om] me s[in]ce my ret[ur]n to Eng[lan]d b[u]t my let[ter]s n[o]t worth post[a]ge - th[a]t n[o]t
the case w[i]th hers, and begg[e]d h[e]r to wr[ite] - ga[ve] my addr[ess] at Shibd[e]n and s[ai]d th[a]t w[a]s sure to find me –
sh[oul]d rejoice to the last mom[en]t of my life I h[a]d co[me] ho[me] when I d[i]d – my a[un]t’s satisfact[io]n, and,
.:. my own, h[a]d mo[re] th[a]n repay me for the doz[en] s[u]ch journeys - sh[oul]d ha[ve] writ[ten] to her sist[e]r
at-her-elbow, b[u]t h[a]d n[o]t ti[me] - w[oul]d try to leave a few lines for L[ad]y Har[rie]t w[i]th L[ad]y St[uar]t –
mere[l]y civ[i]l th[an]ks to M[ada]me de B- [Bourke] n[o]t doing at the top unluck[il]y forg[o]t to date my note at the end - s[ai]d M. Ferrall
knew of no let[ter] for me ab[ou]t the carr[ia]ge - b[u]t I still hop[e]d – if noth[in]g c[oul]d be done, still th[an]ks
to M[ada]me de B- [Bourke]  a well en[ou]gh writ[ten] note? tho’ mys[elf] astonish[e]d at the rapid[it]y w[i]th w[hi]ch the phrases
pour[e]d fr[om] my pen - c[oul]d n[o]t ha[ve] writ[ten] so quick[l]y in Eng[lish]! - s[e]nt Victor off w[i]th th[i]s pack[e]t
to M. Edw[ard] Ferrall - br[eak]f[a]st by snatches till 1 - F[ahrenheit] 66° at noon – heavy r[ai]n bet[ween] 2 and 3 for
ab[ov]e an h[ou]r – left the serv[an]ts to dine, and A- [Adney] and I w[e]nt in a fiac[re] to r[ue] S[ain]t Vict[oi]r[e] at 3 40/.. - hav[in]g
forg[o]t to leave my passp[or]t for horses, dr[ove] off to the Poste aux chev[au]c changed ab[ou]t 2 y[ea]rs s[in]ce to r[ue] Montblanc F[au]b[our]g M[on]t
-martre, ord[ere]d 4 horses - b[a]ck at Meurices’ at 5 20/.., and p[ai]d all in the pub[lic] Salle à manger,
(serv[an]ts 2/. a day includ[e]d in the bill as in Dov[e]r st[ree]t) and off fr[om] Paris at 5 35/.. just as
the 4 horses I h[a]d ord[ere]d ca[me] up to the door – Victor h[a]d g[o]t horses by borrow[in]g so[me] gent[lemen] passp[or]t!
expl[aine]d to the postill[io]ns on arriv[in]g at S[ain]t Denis – they want[e]d 1/2p. for th[e]ms[elves] for wait[in]g they s[ai]d 3/4 h[ou]r, and
1/2p. for the oth[e]r postill[io]ns, - ga[ve] the form[e]r - declin[e]d the latt[e]r say[in]g I w[oul]d settle it w[i]th Meurice, if
as they s[ai]d, he w[a]s oblig[e]d to pay the 1/2p. – fine till ab[ou]t 2 – heavy r[ai]n bet[ween] 2 and 3 for ab[ov]e
an h[ou]r – fair ab[ou]t 4 p.m. – fine ev[enin]g and night b[u]t coldish
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already-14 · 2 years
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Max Ernst. Projet de couverture pour la revue LVII, N°16, 1964. Via fiac
(via Max Ernst | DantéBéa)
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omagazineparis · 2 months
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Joséphine : la nouvelle "Place To Be" parisienne
« Osez, osez Joséphine… » chantait Alain Bashung en 1991. Et osez, ils l’ont fait ! en investissant le Théâtre du Chatelet, haut lieu historique français, pour le faire renaître en un nouveau club branché en plein cœur de Paris.  Faisant son ouverture durant la semaine de la FIAC, le Joséphine redonne aujourd’hui vie à un des nombreux joyaux architecturaux de la ville de Paris. C’est le 17 octobre que Konbini donne le ton en organisant la soirée d’ouverture du club dans une ambiance électro-jazzy rythmée par le dj anglais Bonobo. Mais au lendemain de l’événement, c’est le silence radio. En effet, le Joséphine fait planer le mystère jusqu’à sa réelle date d’ouverture le 31 octobre 2019. Chez Ô Magazine on adore le mystère, c'est pourquoi nous l'avons testé pour vous ! En fait, il s'agit de la toute première fois qu’on transforme un tel endroit en un lieu de fête. Et c’est un sans faute! Repensé par les designers Ben Kelly et Virgil Abloh, le Joséphine nous plonge dans une ambiance légère et prestigieuse. En effet, la charge historique des lieux est conservée. D'autant plus qu'une touche moderne et acidulée y est ajoutée, jouant parfaitement avec la limite de l’ancien et du moderne. Ainsi, on se retrouve dans un décor décalé à l’équilibre parfait qui ramène à la vie un lieux vieux d’un demi-siècle. Étalé sur 900m2 et deux étages, le Joséphine nous coupe un peu plus le souffle à chaque pas supplémentaire. Et la cerise sur le gâteau ? une vue imprenable sur la tour Saint-Jacques et Notre-Dame de Paris. En ce qui concerne le côté muscial, le Joséphine se veut détendu et actuel. Dj live électro, house, jazzy et hip-hop pour une soirée sans « chichi ». Pourtant, malgré son cadre prestigieux, ici, on ne se prend pas la tête : on y vient pour danser et discuter avec ses amis. En effet, le Joséphine vient casser les codes du club parisien classique : on y vient comme on le veut. Chez Joséphine, il est question de prôner l’individualité de votre style et le multiculturalisme. Oui, tout le monde est le bienvenu !  Le Joséphine nous embarque dans une ambiance élégante et décomplexée et nous donne envie de danser toute la nuit. Alors vous l'aurez compris, on craque carrément pour lui ! Vous ne l'avez pas encore testé ? Venez le découvrir du jeudi au samedi de 23h à 6h00. On attend avec impatience votre retour ! ;)  Joséphine, 17 avenue Victoria, 75001 PARIS À lire aussi : Une application innovante pour sortir entre copines Read the full article
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