Tumgik
#Flammarion
illustratus · 8 months
Text
Tumblr media
527 notes · View notes
mots-pour-maux · 6 months
Text
Il y a parfois de ces lectures qui vous touchent, vous ébranlent. Des lectures dont chaque mots s’insinuent en vous comme le sang dans les veines. Il y a de ces lectures qui ont sur vous un effet miroir mais qui, insidieusement, vous transmettent des messages. Qui vous insufflent de l’énergie. De l’espoir.
« J’étais un enfant » d’Arnaud Gallais est tout ça à la fois. Il raconte son histoire la plus intime, l’histoire de tant d’autres enfants, la tienne, la mienne… Les conséquences désastreuses que ces violences ont eu sur lui mais qui ont fait de lui ce qu’il est; un briseur de silence ! Un activiste mû par une énergie inébranlable dans la protection des enfants !
Parce que, comme il nous le rappelle si justement « Je n’ai jamais été consentante. Aucun enfant ne peut l’être »
Tumblr media
8 notes · View notes
wildoute · 6 months
Text
Tumblr media
7 notes · View notes
dorianmathay · 8 months
Text
[Watson:]"En jetant un regard sur mes notes des soixante-dix et quelques affaires dans lesquelles j'ai, pendant les huit dernières années, étudié les méthodes de mon ami Sherlock Holmes, j'en trouve beaucoup qui sont tragiques, quelques-unes comiques et un grand nombre tout simplement étranges, mais il n'y en a aucune qui soit banale ; car travaillant, comme il le faisait, plutôt par amour de son art, que par esprit de lucre, il refusait de s'associer à toute recherche qui ne présentait pas une certaine tendance à l'extraordinaire et même au fantastique." in:(A.) CONAN DOYLE.La bande mouchetée.(The Adventure of the Speckled Band).trad.:(L.)Maricourt,(M.)Le Houbie. éd.André Martel.1947.96pp+table+catalogue. 02/1994.Librio,texte intégral. p9.
8 notes · View notes
garadinervi · 2 years
Photo
Tumblr media Tumblr media
Martin Barré, Essays by Yve-Alain Bois, Jean-Pierre Criqui, Molly Warnock, and Ann Hindry, Centre Pompidou and Flammarion, Paris, 2020 [Exhibitions: MAMCO, Genève, October 9, 2019 – February 2, 2020; Centre Pompidou, Paris, October 14, 2020 – January 4, 2021]
21 notes · View notes
detournementsmineurs · 6 months
Text
Tumblr media
“Séance de Spiritisme chez Camille Flammarion" avec Eusepia Palladino (1889) présentée à la conférence “Les Maisons Hantées dans l'Art” par Marine Chaleroux - Historienne d'Art - de l'association Des Mots et Des Arts, octobre 2023.
2 notes · View notes
digitalartform · 9 months
Text
Tumblr media Tumblr media
The Flammarion Engraving. Only in reverse. The discovery of Earth by the Celestials.
2 notes · View notes
Photo
Tumblr media
Jacques Garcia: A Sicilian Dream, Villa Elena. The celebrated interior designer Jacques Garcia has recently released a new book with Flammarion, detailing his painstaking renovation of Villa Elena, a former monastery turned private residence. The Villa embodies the epitome of Italian Baroque, taking inspiration from three of the greatest Roman palazzi; Pallavicini-Rospigliosi, Doria Pamphilj, and Colonna. Jacques Garcia has been a constant inspiration to me during my studies in interior design. I am so excited to be adding another one of his books to my collection, they are always a joy to read and complete feast for the eyes. Photography by Bruno Ehrs #jacquesgarcia #sicily #italy #villaelena #flammarion #book #designer #interiors #interiordesigner #interior #decor #decoration #interiordecor #interiordecorating #interiordecoration #interiordecorator #baroque #italianbaroque #restoration #design #sculpture #art #decorativearts (at Noto, Sicily) https://www.instagram.com/p/CkQ1QBPoNsz/?igshid=NGJjMDIxMWI=
8 notes · View notes
fielder · 2 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
after the flammarion, a commission: cover a king-cat cover (2019)
24 notes · View notes
bondebarras · 1 year
Text
One book a day...
Tumblr media
“ Réapprendre à vivre le “temps de la fin”, comme nous y invite le philosophe Bruno Latour, c’est aussi se libérer d’un régime d’historicité entravant, celui de la modernité et de sa flèche du temps linéaire. C’est là exactement ce que devrait signifier “devenir contemporain”. Et c’est là que l’histoire, les sciences sociales et la littérature peuvent se rejoindre pour penser ensemble ce que beaucoup considèrent désormais le nerf de la guerre - inventer un nouveau rapport au temps, point de départ depuis lequel fonder tout projet d’affranchissement, quel qu’il soit. La discipline historienne joue un grand rôle dans cet “estrangement” à l’égard de notre aujourd’hui. Elle nous incite à nous déprendre de nos évidences locales, à décrire, restaurer et sauvegarder des espaces d’expériences et des manières d’habiter le temps différentes des nôtres. Si l’histoire n’explique pas souvent le présent, pas plus qu’elle ne prétend aujourd’hui éclairer un avenir trouble, elle est capable d’accueillir “les lenteurs apaisantes de la durée et la brusquerie des événements”, comme l’écrit Patrick Boucheron ; et en faisant droit aux futurs non advenus des femmes et des hommes d’autrefois, elle offre un horizon d’attente et un temps de repos à la frénésie cannibale d’un présent tyrannique.”
2 notes · View notes
illustratus · 1 year
Text
Tumblr media
The Flammarion engraving
750 notes · View notes
mmepastel · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media
Voilà un livre délicieux. Je l’ai savouré en regrettant de ne pas avoir les thés évoqués sous la main pour pouvoir ajouter cette dimension à ma lecture. Mais après l’avoir fini j’ai passé commande pour essayer des crus inconnus de moi, car au fond, je n’y connais pas grand chose, même si j’en ai toujours bu, ou presque. Étudiante, je buvais du thé au jasmin, puis j’ai découvert à Istanbul le thé noir à la pomme dans ses petits verres évasés, que j’ai ramené en France, perdant à l’arrivée presque tout le plaisir tant celui-ci était associé au bazar dans lequel on les dégustait, les causeurs et leur narguilé, les joueurs de backgammon… il y a aussi eu une époque où j’ai pris le thé vert en grippe car j’avais trouvé qu’il me donnait de la tachycardie et m’asséchais la bouche. J’ai traversé une longue période d’infusions, mais j’ai fini par revenir au Grand Yunnan, que je trouve velouté et si beau.
Mais quand on lit Lucie Azema, on comprend que cette boisson est bien plus riche et passionnante que mon sachet de Yunnan ou d’Earl Grey même accompagné de son nuage de lait.
On part de la légende de la naissance de la boisson, une feuille de théier tombée dans une tasse d’eau chaude, en Chine, et on fait un voyage complet. Voyage géographique, historique et linguistique qui s’attache aux noms de la boisson, qui montre remarquablement comment le thé s’accommode et se modifie au contact des lieux et des cultures qui le découvrent progressivement, de l’Inde à la Russie en passant par l’Iran (comme je rêverais de visiter ce sublime pays s’il ne faisait pas si peur) ; au passage on comprend deux trois choses sur l’histoire géopolitique qui a secoué l’Asie. Et comment le monopole chinois du thé a été rompu par les aventures (dignes de Tintin) du britannique Robert Fortune, botaniste devenu espion de la Couronne, qui vole des plants, des graines, élucide le mystère des méthodes de séchage et d’oxydation de la feuille de thé, et les expédie en Inde pour y faire fleurir un commerce qui dépassera l’entendement et remplira les poches anglaise.
Voyage sensoriel également, qui explore les différentes couleurs des thés, montrant que leur perception change d’un pays à l’autre (on parle de thé sombre, le pu-erh, de thé rouge en Chine, pour le thé qu’on appelle thé noir ici), mais on découvre avec ravissement le thé bleu, jaune ou blanc. Et les sens qui sont aussi recensés et explorés (n’ayez pas la naïveté qu’il ne s’agit que de goût et d’odorat ! La vue, le toucher et l’ouïe comptent aussi : le battement du fouet qui prépare le matcha, la cuillère contre le samovar… pour ne citer que quelques exemples). A ces couleurs et sensations se mêlent les habitudes de convivialité, qui prolongent le voyage avec sa dimension émotionnelle ; j’ai adoré la coutume iranienne autour de l’offre d’une tasse de thé qui doit être déclinée plusieurs fois selon un rituel codifié.
Bref, vous l’aurez compris, ce petit livre érudit est merveilleux. Vous voyagez au fil de la prose délicate de Lucie Azema, qui raconte avec un vrai talent des choses très compliquées mais les rend accessibles, et n’oublie jamais les émotions dans son récit, les petites anecdotes et les grandes, le tout petit et le très grand du destin de la feuille de thé. Elle passe de l’intime à l’universel avec aisance ; et on a envie de partager avec elle une tasse de thé, et de s’ancrer dans l’instant et dans l’histoire, tout ensemble.
L’autrice n’oublie pas non plus d’évoquer les « petites mains » qui cueillent, la misère cachée derrière le ravissement du palais, les oubliés du luxe, les destins broyés par les exigences du commerce.
Bref c’est un livre qui paraît léger et qui semble effleurer le sujet (tant celui-ci est ample) mais qui dit énormément en peu de mots, et me parait au contraire très intelligent et astucieux pour avoir synthétisé aussi brillamment des thématiques aussi différentes et complexes. Cerise sur le gâteau, le livre donne envie de lire Pierre Loti (je me souviens de son café charmant sur la colline stambouliote) et bien d’autres auteurs de tous horizons.
NB : j’ai notamment commandé du thé vert japonais, le sencha, loué par l’autrice, et qui promet des arômes marins et iodés ! Comment résister à une telle promesse ? Je vous dirai mon ressenti.
2 notes · View notes
alanisyd · 2 years
Photo
Tumblr media
❝Flammarion❞ [adaptação de 1888]
2 notes · View notes
dorianmathay · 4 months
Text
(P)ARDENNE.UN ART CONTEXTUEL; Création artistique en milieu urbain, en situation, d'intervention, de participation. éd.FLAMMARION. coll. Champs,arts.2002.pp255. :"La position de l'art 'contextuel' en résumé : mettre à bonne distance représentations (l'art classique), détournements (l'art d'esprit duchampien), perspective autocritique où l'art se considère et se dissèque lui-même, de façon tautologique (l'art conceptuel). | Son pari : faire valoir le potentiel critique et esthétique de pratiques artistiques plus portées à la présentation qu'à la représentation, pratiques proposées sur le mode de l'intervention, ici et maintenant. Là où le réalisme historique, au XIX[ième] siècle, n'avait pu s'arracher à l'habitude de la représentation, l'art 'contextuel' qui le prolonge entend pour sa part s'incarner. À travers lui se voient posées maintes questions, toutes relatives aux contingences de la vie présente : qu'est, au juste, la 'réalité', cette somme de circonstances ? L'artiste peut-il être en phase avec elle ? Une esthétisation viable de la politique, de l'économie, de l'écologie, des médias... est-elle possible ? Autant d'interrogations qui nous tourmenteront encore longtemps, sans nul doute, mais auxquelles ce[(s)] type de création[(s)] apporte des réponses différentes de l'approche artistique[(s)] classique. " (p 13)
Tumblr media
2 notes · View notes
fieriframes · 2 years
Text
Tumblr media
[Gréco, Juliette, Je suis faite comme ça (Paris: Flammarion, 2012).]
4 notes · View notes
leozztt · 2 years
Photo
Tumblr media
⚚ #hermie #hermes #hermestrismegistus #hermesthethricegreatest #hermeticism #alchemy #flammarion #flammarionengraving #cartoon #art #digitalart #leozztt (Based on the Flammarion wood engraving. Original artist unknown.) https://www.instagram.com/p/Chuz7U7JHqy/?igshid=NGJjMDIxMWI=
2 notes · View notes