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#IL n'y a pas de thaumaturge !
basilepesso · 9 months
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Les tickets de caisse ont toujours servi à faire ses comptes. Aujourd'hui plus personne n'en veut, il doit y avoir un truc avec leurs putain de portables, je sais même pas comment ça marche. Tu es donc considéré comme un alien si tu veux un ticket de caisse... Je ne comprends pas cette passion qu'ont les gens pour ce fil à la patte qu'est le portable, joignable en permanence par n'importe quel impétrant. Pourtant les gens ont toujours été emmerdés, leur vie a toujours été pourrie par des conversations téléphoniques qui tournaient mal, avec des "pots de colle" et autres gens à problèmes ou en causant. Il n'y a plus aucune logique dans le comportement des gens, il suffit qu'ils aient une addiction (ces "objets à tout faire") pour que leur logique, leurs sentiments y compris leurs peurs, disparaissent. Et c'est là que c'est hallucinant. Cet objet réussit le tour de force de faire disparaître les peurs les plus coriaces, non par un effet thaumaturge, mais par le simple fait d'être "l'objet à avoir", sans lequel on est considéré comme un "rien", un "misfit".
Basile Pesso, 15 juillet 2 023 (Twitter)
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matou15 · 2 years
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La nature travaille-t-elle ? par Jean-Marie Harribey | Politis
La nature travaille-t-elle ?
Il y a une économie du vivant.
Il n'y a pas de salariat ni de capital numéraire même s'il existe un capital environnemental ,dit capital vert.
Je soupçonne l'auteur de l'ouvrage et peut-être la rédaction du journal, d'avoir un agenda caché en publiant un tel article.
Dieu n'existe pas il n'y a que l'humain qui a tous les droits dans la nature.
L'environnement englobe le naturel et l'artificiel, le droit à l'environnement, le droit de l'environnement trouveront leurs défenseurs qui agiront fermement pour calmer, d'abord, l'ire de la biosphère, intelligente, intelligible, passablement consciente et agissante.
Quant à l'espèce humaine, elle se doit de tenir son rang.
Elle ne peut déchoir à la dignité animale, ni se proposer en démiurge ou en thaumaturge.
L'humanité a déclaré la guerre à la nature, on la considère hostile alors que c'est nous, humanité incomplète, qui le sommes.
La biosphère répond à la troisième extinction des espèces par le covid-19, la nature se défend face à nos cultures de l'offense.
Vous ne materez pas la nature, elle aura raison de vous bien avant loin...
Je propose une désescalade du conflit.
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leseniordu50 · 3 years
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Il n'y a pas de thaumaturge !
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lutopisteparis · 3 years
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Il n'y a pas de thaumaturge !
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🗓 Jeudi 11 Juin 2020
⛪ Une rencontre qui change tout ✝️
📝 Prolégomènes
Avant d'analyser séquentiellement le récit de « La guérison de l'aveugle de Jéricho », il nous apparaît opportun d'en faire préalablement une étude généralisée.
1. Le récit dans les évangiles, et les différentes particularités :
Ce récit, on le retrouve dans les trois évangiles synoptiques, c'est-à-dire chez Matthieu (20, 29-34), Marc (10, 46-53) et Luc (18, 35-43). Mais chaque évangéliste possède un aspect qui lui est propre.
• Le Propre de Saint Matthieu :
Chez lui, il y a tout d'abord deux aveugles dont les noms demeurent inconnus (20, 29). Ensuite, il est le seul à laisser transparaître ou à traduire l'émotion de Jésus au moment de réaliser le miracle : « ému de compassion » (20, 34). Enfin, chez lui, Jésus guérit l'aveugle en le touchant (20, 34) quant aux deux autres, c'est par une parole qu'il le fait.
• Le Propre de Saint Luc :
Chez Luc en effet, il n'y a qu'un seul aveugle, mais celui-ci est anonymé ou anonymisé.
• Le Propre de Saint Marc :
Chez Marc, il n'y a qu'un seul aveugle et son nom nous est donné : Bartimée (10, 46). Il est le seul qui fait mention des paroles d'encouragement que lance la foule à l'endroit l'aveugle au moment de l'appeler (10, 49), et du « Rabbouni » (10, 51) quand les autres utilisent l'affection simple de « Rabbi ».
2. Le Décor : le point départ
La scène se passe dehors en Judée, à la sortie (ou l'entrée) de Jéricho (ville de la vallée du Jourdain). Jésus, le personnage principal du feuilleton des synoptiques, s’apprête à emprunter la route reliant Jéricho à Jérusalem (25 ou 37 km), entouré de ses disciples et de la foule. 
Le point de départ de Jésus n'est pas le même chez tous les évangiles Synoptiques. Quand chez Marc, Jésus guérit un aveugle (10, 46), et deux en Matthieu (20, 29) en sortant de Jéricho ; chez Luc, il guérit un à l'entrée de Jéricho (18, 35).
Cependant il n'en demeure pas moins que malgré ces orientations particulières et différentes, « le sens de l'épisode est tout à fait convergent, dans les trois évangiles Synoptiques : on est au départ d'une montée triomphale. [...] Jesus avance sur la route, suivi d'une foule nombreuse, à laquelle vont se joindre d'abord l'aveugle, jusque-là immobile, « assis au bord de la route », puis Zachée, monté sur son arbre pour voir le Christ passer par là (Lc 18, 35 et 19, 4) » (Bible chrétienne, II* Commentaire, 1988).
La montée triomphale mentionnée dans la citation précédente est l'entrée messianique de Jésus à Jérusalem (Mt 21, 1-11, Mc 11, 1-11 ; Lc 19, 28-38 ; Jn 12, 12-16) qui suit "immédiatement" la guérison de l'aveugle de Jéricho. Cependant pour Marc « ce miracle est récit de transition qui, tout à la fois, conclut le 2e partie, en ouvrant la 3e partie » (Bible chrétienne, II* Commentaire, 1988).
3. Les personnages
• Jésus :
C'est un thaumaturge, il marche, il est debout, il sort de, ou entre à Jéricho entouré d'une foule (Mt 20, 29-32 ; Mc 10, 46-48 ; Lc 18, 35-39). Sans doute a-t-il donné quelque chose à cette foule. Car la dernière phrase du texte précédant nous dit que le Fils de l'homme est venu pour servir et donner sa vie... (Cf. Mc 10, 45).
Par son refus de suivre la foule qui veut taire les aveugles, « Jésus va à contre-courant et renverse les valeurs » (Cahier Évangile, n· 137), afin de montrer que le Royaume des Cieux accueille toutes les personnes même celles qui paraissent perdues et exclues comme l'aveugle en raison de son infirmité.
• Les accompagnateurs de Jésus :
Ceux qui suivent Jésus, en constituant une opposition volontaire à l'aveugle, sont classés en deux catégories : d'une part, la foule et de l'autre les disciples. Mais tous semblent ne pas voir comme l'aveugle (Bartimée)...Car tous les Évangélistes rapportent le rabrouement de la foule envers l'aveugle (Mt 20, 31 ; Mc 10, 46 ; Lc 18, 35).
• L'aveugle ou les aveugles :
Chez Mattieu, il y a deux aveugles et chez les autres évangélistes un seul. Mais celui de Marc est particulier parce qu'il est nommé : Bartimée. Toutefois les aveugles dans les Synoptiques sont passifs, assis au bord du chemin (Mt 20, 30 ; Mc 10, 46 ; Lc 18, 35).
Ils voudraient sortir de leur obscurité mais ils sont seuls, isolés, mis à l'écart. Du coup, Ils mendient : ils réussissent à vivre parce que les autres leur donnent de quoi vivre.
4. La trame ou synopsis :
C'est l'histoire d'un jeune homme aveugle (on ne sait pas s'il l'est depuis la naissance ou non) qui vit à Jéricho et mendie pour vivre. Assis sur la route en attendant que quelqu'un lui donne quelque chose, entend du bruit, il se renseigne et on lui dit que c'est Jésus (un thaumaturge) qui passe. Alors il veut saisir sa chance en l'appelant, mais ceux qui accompagnent le thaumaturge l'empêchemt de le faire, mais lui ne lâchant rien finit par être interpelé par cet homme qui fait des miracles. Ce dernier lui demande ce qu'il veut, et il lui dit son désir de voir et, là il voit. Du coup, il décide de le suivre partout désormais...
5. La maladie :
A lire, les textes, nous nous apercevons qu'en plus des aveugles que nous avons et que nous connaissons, il semble que la foule elle aussi soit aveugle puisqu'elle ne voit pas l'aveugle qui crie vers Jésus... Elle est indifférente à la situation de cet homme... : l'aveuglement de notre siècle.
6. Le miracle : la double guérison
Jésus guérit les aveugles et la foule de leur cécité, et il transforme également l'aveugle, en faisant de lui non plus un mendiant mais un disciple (Mc 10, 52)...
7. Mots clés :
Ces mots nous n'allons pas les analyser présentement, nous le ferons plus tard quand nous aborderons la séquence dans laquelle ils s'y trouvent. Cependant nous voulons déjà que vous les ayez en mémoire. Nous pouvons donc citer : " Fils de David, lève-toi, vêtement, bondir, Rabbouni, ému de compassion, aussitôt, cheminer à sa suite ..."
Que le Verbe de Dieu venu dans le monde pour sauver ce qui était perdu, comme se fit le cas à Jéricho, nous guérisse de toutes nos cécités et nous accorde le salut ...
✍🏽 Sir Lyham
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ibrahimloveallah · 5 years
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❤️❤️❤️ Vie et Œuvre de Cheikh Ibrahim NIASSE ❤️❤️❤️
Le Cheikh Al Islam est le maître de plus de deux cent millions (200 000 000) de disciples disséminés dans le monde.
LA SOLUTION AU DESARROI ACTUEL
En ces temps troubles grevés par de plates vanités les hommes fiévreux opprimés par le glaive des désirs fuligineux d'une époque en ébullition cherchent à se dégager des ténèbres qui noient leur âme et leur raison comme des être aux abois tous cherchent à s'évaporer vers les cieux immenses à l'horizon desquels brillent des lueurs d'apothéose.
Le chancre du siècle est le pogrom qui pétrifie les cœurs rend opaque la vie et baisse l'entendement. Tout pourra être essayé pour lui survivre mais seul le rétablissement du lien rompu entre le ciel et la terre est garant du salut.
Comment parvenir à desserrer l'étau de notre étroite condition ? Comment débrider l'âme et l'esprit ? Comment les débarrasser de leur langueur monotone ? Comment voler vers le ciel du bonheur, de la sérénité, de la délivrance et du salut ? C'est désireux d'apporter une médecine à la componction de notre âme en réalisant notre vocation spirituelle et de prendre l'envol vers le ciel de la libération, de la délivrance et du salut que nous nous sommes conciliés les grâces du Cheikh Al Islam El Hadji Ibrahima Niasse (RA) dont l'ouvre a provoqué une révolution copernicienne dans le gotha spirituel .Il reflète dans tout l'éclat de sa splendeur l'image des savants légataires des prophètes et marche à contre-courant du thaumaturge, de l'être sanctifié solitaire dans sa tour de retraite et du prétendu guide religieux, enveloppant l'inepte raison d'êtres désemparés d'une obscurité blafarde. Il a épousseté les centres subtils (lataa-iful abd ) de ceux qui se sont donnés à lui pour les unir dans les liens inextricables des présences divines (hadrâtul ilâhi), leur a permis d'accéder à la connaissance de la transcendance et de l'immanence divines et leur a fait retrouver la sérénité des beaux jours par la sur-existence (bagâ) en le prophète(SAW).Parler de lui, c'est parler de ce qu'il incarne au plus haut point et dont il a porte très haut l'oriflamme: la connaissance unitive (Ma'rifat) qui justifie la manifestation et notre présence ici bas.
APERÇU BIOGRAPHIQUE DE CHEIKH IBRAHIM NIASS
Le Cheikh Al Islam est le maître de plus de deux cent millions (200 000 000) de disciples disséminés dans le monde et dont le moins illustre est exempt du pire pêché qui enlaidit et engourdit l'homme l'associationnisme qui a justifié l'envoi de messagers par Dieu à toute l'humanité il est beaucoup plus appelé Baye au Sénégal car à l'image du prophète Ibrahim (as) père du pure monothéisme, le Cheikh a ouvré toute sa vie durant à extirper les croyants de la langue poisseuse de l'associationnisme afin de les baigner dans la mer purificatrice de l'Unitude divine. Les ouvres reflétant l'homme, il est considéré à juste titre comme un étirement dans le temps de la réalité de notre père Ibrahim (AS) dont il a perpétué l'exaltante mission de purification intérieure.
LA NAISSANCE DU CHEIKH AL ISLAM
Le Cheikh est né de deux parents croyants, nobles, vertueux, endurants, et cultivant la crainte. Sa mère Astou JANQAA, fille de Ibrahim est d'une lignée noble. Son père, AL Hadji 'Abdallâhi Niasse, fils de Bakari, fils de Muhammadu AL Amîn, fils de Samba fils de Ridâ détenait un immense savoir et maîtrisait le Coran dont il fut un éminent exégète. Il s'est occupé seul de l'éducation de tous ses enfants, triomphant ainsi sur la volonté des autorités coloniales d'enseigner le français aux fils de marabouts afin de les bouter hors de la culture islamique. Cheikh Ibrahim fut sans conteste le plus illustre d'eux , lui qui naquit un jeudi après ('Asr), le 15 du mois de Rajab en l'an 1320 après l'hégire du Prophète (SAW), soit en 1901 après la naissance de 'Issâ (AS), dans un village dénommé Taïba niassène localité fondée par son père.
Taïba 1 (qui signifie ce qui est pur) est sémantiquement et physiquement auréolé d'un halo de pureté dont les senteurs exhalées font prendre à l'âme qui la hume son essor vers la nue de la perfection. La pureté de TaÏba lui est-elle intrinsèque? Son épicentre est-elle l'être des ascendants de Baye qui l'on incarné dans toute sa splendeur? Ou sa pureté est-elle l'empreinte de celle du Cheikh Al Islam? Quelque soit l'origine de la pureté de la localité, le voyage vers Taïba est le symbole de l'élan vers la pureté intérieure dont le terme est la parfaite illumination.
LE CHEIKH AL ISLAM ET SES ETUDES
Le Cheikh Al Islam étudiait le coran sous la direction de son père et le mémorisa entièrement selon la version «warch»alors qu'il était dans sa tendre enfance, ce qui lui valut le titre de «Hâfiz». Il rechercha le savoir, dont il maîtrisait différentes branches, auprès de son père, alors que la lumière de la beauté divine brillait sur lui et que le secret de la guidée du Prophète (SAW) était enfoui en lui.
Après le décès de son père, en l'an 1340 de l'hégire, à l'âge de 76 ans (de l'année lunaire) alors qu'il n'avait que 20ans, il n'étudia plus chez aucun maître.
Et pourtant la totalité des savants qu'il a croisés durant ses longs et riches périples ont proclamé l'excellence et la vastitude de son savoir plus qu'encyclopédique. Il commença l'exégèse du Coran avec une maîtrise et une originalité stupéfiantes. Il ajoutait dans ses séances plus que n'en disaient les livres des exégètes et se donnait l'ample liberté d'apporter des correctifs dans le sens des traductions habituelles. De la lettre du texte brut, il tirait l'esprit en ne se fondant que sur le Saint livre. Il enseignant d'ailleurs que c'est le Coran qui lui expliquait le coran. Pour cette raison il ne s'aidait que du Coran et des Hadith. Pour l'interprétation du livre. Pour sa première séance d'exégèse du coran, il envoya emprunter à l'un de ses frères le livre «Hâchiya Sâwi» qui fait autorité dans ce domaine. Celui-ci lui opposa son refus sans demander de qui il tenait l'autorisation d'une telle initiative. Il rétorqua à celui qu'il avait dépêché: «Mon frère un tel ne sait-il pas que si tout le savoir était perdu, je pourrais par la préférence(fadl) et la louange (rendue à Dieu) ramenait tout ce savoir sans que rien n'y manque?».
Je n'ai emprunté ce livre que par respect et quête de bénédictions de notre père qui s'en servait, mais nullement pour y baser et rechercher un quelconque savoir».
De nombreuses communautés d'étudiants, de gens en quête de savoir et des savants affluaient vers lui. Il disait «Mon ouverture (à Dieu) était complète alors que j'étais au berceau et c'est depuis, que l'ensemble des hommes du caché se sont soumis à mes décrets. Aucun pas, d'Est en Ouest, n'est franchi sinon pour embrasser ma boue (constitutive). Et comment cela pourrait-il ne pas être alors que mon être est celui de Muhammad (SAW), son essence s'étant entièrement incarnée en mon être et ma beauté ?
Qui me voit, voit le Prophète (SAW), son essence et sa forme. Tous mes contemporains sont saufs et s'élèvent à l'exception de celui qui refuse de suivre ma voie, prisonnier qu'il est de sa passion.
Ce que j'avance, je ne l'énonce ni sous l'emprise de l'euphorie, ni à des fins de prosélytisme. Je suis celui qui accorde à chacun des élus mon aval avant qu'il ne soit agréé. C'est par moi que guérira l'énorme plaie du monde. C'est par mon effusion que la religion élèvera son étendard. Qui veut viendra à cette effusion de grâces divines avant sa mort, qui veut t également se détournera comme le font les damnés Quiconque cherche à éteindre cette lumière, Allah refuse de l'éteindre quelques répulsions qu'en éprouve mes ennemis»
QUELQUES QUALITES DE CHEIKH IBRAHIM NIASS
Le Cheikh possédait de très belles et nobles qualités, toutes marquées du sceau de la complétude lesquelles suscitaient l'attirance de tous ceux qui le connurent. Il entretenait des relations avec des personnes de nationalités diverses. Il ne proférait que les meilleures paroles et était d'une grande générosité. Il était véridique et son cœur pur était rempli de crainte pieuse. Il était magnanime et disait «j'ai un regard pour le fils d'Adam par lequel il m'est impossible de le détester». Il était toujours occupé et ne connu jamais de moments de répit. Il n'était pas prisonnier du repos et du prélassement. Il dit un jour à un de ses fils : «Tu ne dois accorder aucun crédit au mot repos dans ce monde, car il n'y en point». Il était tour à tour l'Imam qui lisait les prônes et dirigeait les prières, le professeur émérite, le juge droit et juste, le prêcheur vivifiant, l'éducateur et l'élévateur aux hautes stations spirituelles, l'invoquant par le zikr, l'exégète et le savant au savoir pur et sublime. Il était un lecteur assidu du Coran qu'il clôturait bi hebdomadairement: il lisait et récitait hebdomadairement le Saint Livre. Il était très préoccupait par la communauté de Muhammad (SAW) et disait : «Mon dessein est de la conduire à la présence du Bon Très Miséricordieux qu'est Allah». Il n'adoreront ainsi plus personne sinon Allah. Il tenait en estime ses disciples et les couvrit de bienfaits qui les lièrent à sa personne au point qu'un noble savant mauritanien Al Mukhtar Old Muhamd Baba écrivit ses vers : «Je suis l'esclave du Cheikh Ibrahim. S'il veux il me vend, s'il veut il m'anobli. Il m'a asservi par les honneur, car l'honneur possède le noble.» Il plaçait une solide confiance en Dieu et le priait en toute pitié malgré la faveur qui lui était accordé. Il disait : «Allah m'a donné le savoir et le pouvoir d'agir sur les choses. Si j'ordonne en disant «soit» mon injonction sera suivi sans tarder d'effet. Mais j'ai pris Allah pour garant. Je ne suis pas et c'est par l'ordre divin que j'agis. Cela par politesse et bonne conduite. Pour cela il m'a choisi (pour être son) ami.» Beaucoup de gens ont agit autrement après avoir bénéficier du secret du «Kun», Soit ! Il était doux, indulgent, patient et ne nourrissait aucune animosité pour ses ennemis.
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