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#Jacques Peyrelevade
huariqueje · 7 years
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Bouquinistes et Notre-Dame de Paris    -   Jacques Peyrelevade  , 2006
French,b.1939-
Oil on canvas, 33 x 48 cm.
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aristide-france · 3 years
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Quelques extraits de Michel Rocard de Pierre-Emmanuel Guigo.
Combien d’hommes politiques peuvent se targuer d’avoir dialogué à de nombreuses reprises, jusqu’à se faire des amis et des soutiens politiques avec les sociologues Alain Touraine , Edgar Morin, Pierre Bourdieu, les philosophes Paul Ricoeur, Patrick Viveret, les politologues Gérard Grunberg, Roalnd Cayrol, Georges Lavau, Frédéric Bon, Dominique Missika, les économistes François Stasse, Pierre-Yves Cossé, Jacques Mistral, Elis Cohen, les juristes Guy Carcassonne et Olivier Duhamel, les historiens Pierre Rosanvalon, Jaques Julliard et Alain Bergounioux ? Et cette liste et loi d’être exhaustive…
Comment dès lors expliquer que, malgré 60 ans de politique et de militantisme, Michel Rocard soit resté en bonne partie étranger au savoir-faire courant de la vie politique Française ?
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Dès 1960, il se montrait d’ailleurs lucide sur l’impacte des médias de masse. Si son regard est globalement positif à l’époque, il pointait déjà le potentiel des effets négatifs : « ces grands moyens d’information de masse appellent à l’enthousiasme et à la colère, à l’adhésion ou au refus, toujours au réflexe, jamais au raisonnement. » Peut-être faut-il y voir la source de sa misanthropie grandissante. Depuis le 10 mai 1981, ils fuit les regards et les micros des journalistes, montre son agacement à l’égard de certaines questions, attitudes qui lui étaient inconnues avant son échec de 1980. Cette austérité nouvelle, le Bébête Show qui émerge alors, le retranscrit en le transformant en corbeau de mauvais augure, le célèbre « Rocroa ».
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Mais dès 1982, la situation semble se détériorer rapidement. La reprise n’arrive pas, la croissance stagne, le chômage continue de grimper comme l’inflation et les déficits comme l’inflation et le déficit public s’accroît lourdement. Le déficit budgétaire est multiplié par 3 au cours de l’année 1982 ! La dette extérieure est, elle, multipliée par 4 en 3 ans. Le gouvernement change de braquet en deux temps, d’abord en juin 1982 avec une première dévaluation, suivie par une deuxième en mars 1983. L’indexation des salaires sur les prix est abandonnée, le contrôle des changes est instauré et les impôts sont nettement réévalués.
Ce retournement de stratégie économique du gouvernement semble donner raison à Rocard, même s’il n’a guère été consulté. C’est Delors et Mauroy qui ont été décisifs, le président choisissant de préférer leur option, préservant ainsi la place de la France au sein de la CEE, plutôt que de suivre l’avis des visiteurs du soir, suggérant une sortie su système monétaire européen.
Le ministre du Plan ressent une grande frustration de ne pouvoir participer à cette évolution décisive. Peyrelevade témoigne : « Mauroy et Delors ont réussi, en 1982, à mettre fin à une période un peu folle. Rocard aurait dû être leur allié naturel. Mais il avait pris une attitude de victime : il critiquait sans arrêt. Rocard a joué « perso ». Il avait souvent raison, mais il exaspérait tout le monde. Il s’est marginalisé lui-même. »
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blogpresso · 7 years
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Le rugby français rattrapé par les affaires de Bernard Laporte
Le président de la Fédération est soupçonné d’être intervenu en faveur du club de Montpellier alors qu’il était lié à son président par contrat.
Le Monde | 30.08.2017 à 10h20 • Mis à jour le 30.08.2017 à 10h40 | Par Adrien Pécout
Faudra-t-il, un jour, écrire un second volume des Petites histoires secrètes du rugby (Solar, 2013) ? Depuis deux semaines, son auteur, Bernard Laporte, est confronté à de nouvelles « petites histoires », qui fragilisent cette fois fortement sa position à la présidence de la Fédération française de rugby (FFR).
« Je n’ai rien dissimulé. (…) Tout est légal »
Au cœur de la mêlée, l’ancien entraîneur de Toulon a pris le temps avant de répliquer. « Je n’ai rien dissimulé. (…) Tout est légal », a-t-il assuré dans un entretien au Parisien, mis en ligne dans la soirée du mardi 29 août. Le nouveau président de la FFR, élu en décembre 2016, est soupçonné d’avoir favorisé le club de Montpellier alors qu’il entretenait des relations d’affaires avec son président.
Lire aussi :   Rugby : soupçonné de favoritisme, Bernard Laporte rompt son contrat avec Altrad
La veille, la « fédé » a déjà tenté de « restaurer (…) la confiance » : elle a annoncé la rupture immédiate du contrat d’image conclu en février entre Bernard Laporte et le président de la formation héraultaise, Mohed Altrad. En tant que dirigeant de la société BL Communication, Bernard Laporte devait toucher 150 000 euros pour animer quatre conférences ou séminaires, selon les révélations publiées le 13 août par Le Journal du dimanche : des interventions prévues dans les mois à venir pour le groupe Altrad Investment Authority, qui fabrique du matériel pour le secteur du bâtiment.
Quatre démissions à la suite
Le 27 août, toujours dans Le JDD, un témoignage a ajouté au trouble : Bernard Laporte aurait sollicité la commission d’appel de la FFR pour qu’elle se prononce « dans un sens beaucoup plus favorable à Montpellier », selon Philippe Peyramaure, « avisé » d’une supposée intervention. Représentant de la Ligue nationale de rugby (LNR) au sein de ladite commission, l’avocat parisien a présenté sa démission en guise de protestation.
Au centre des questions ? Le fait que la commission d’appel a allégé, à la fin du mois de juin, des sanctions prises par la commission de discipline de la LNR
Parmi les treize membres de la commission d’appel, trois autres démissions ont suivi en l’espace de deux jours : celles de Benjamin Peyrelevade, Julien Bérengeret et Vincent Chaumet-Riffaud. Trois départs qui affaiblissent d’autant la fédération.
Au centre des questions ? Le fait que la commission d’appel a allégé, à la fin du mois de juin, des sanctions prises par la commission de discipline de la LNR pour divers dossiers : une histoire de banderoles de supporteurs ainsi que les suspensions de deux joueurs montpelliérains, les frères Du Plessis, Jacques et Jannie.
Lire aussi :   Rugby : Laporte nie tout favoritisme, mais reconnaît avoir donné « un éclairage politique »
Bernard Laporte reconnaît avoir appelé au préalable le président de la commission d’appel, Jean-Daniel Simonet. « Dans le respect de [son] indépendance », précise-t-il au Parisien. Un peu plus tôt, par communiqué, M. Simonet assurait aussi avoir agi de façon « conforme à la  jurisprudence » et démentait avoir fait l’objet de pressions.
La ministre des sports attend avant de se prononcer
Le patron du rugby tricolore a été sélectionneur du XV de France puis secrétaire d’Etat aux sports sous le gouvernement Fillon (2007-2009). Restera-t-il à la FFR jusqu’au terme de son mandat de quatre ans ? A la hâte, la fédération a proposé la création d’une « haute autorité de lutte pour la transparence et l’équité dans le rugby ».
Mardi, la nouvelle ministre des sports, Laura Flessel, se donnait encore « quelques jours » avant de se prononcer. A propos de la campagne pour l’organisation de la Coupe du monde 2023, « la candidature se fera avec ou sans Bernard Laporte », a-t-elle insisté sur BFM-Sports. La Fédération internationale de rugby élira le pays hôte, le 15 novembre, entre l’Afrique du Sud, l’Irlande ou la France.
Là aussi, la partie se complique : parmi ses principaux sponsors, le dossier français compte le groupe Altrad, qui restait silencieux mardi. Un sponsor dont le nom s’est aussi installé sur le maillot du XV de France, qui était resté immaculé jusqu’en mars 2017.
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