Tumgik
#Jeune fille
Text
Tumblr media
Auguste Bert :: Le spectre de la rose [Tamara Karsavina dans le rôle de la jeune fille], Théâtre de Monte-Carlo, 19-04-1911.
Tumblr media
Auguste Bert :: Le spectre de la rose [Tamara Karsavina dans le rôle de la jeune fille], Théâtre de Monte-Carlo, 19-04-1911.Le spectre de la rose : tableau chorégraphique / chorégraphie de Michel Fokine. | src Gallica ~ BnF
view on wordPress
101 notes · View notes
toutplacid · 6 months
Text
Tumblr media
La Canopée, forum des Halles (Paris 1er) – gouache, novembre 2019. VISIBLE dans l’exposition VILLE, MER, CAMPAGNE, jusqu’au 18 novembre, galerie Arts Factory, 27, rue de Charonne, 75011 Paris, tous les jours sauf le dimanche de 12h30 à 19h30. Et sinon, voici le Forum des Halles 8 ans auparavant.
21 notes · View notes
bizarreauhavre · 6 months
Text
Tumblr media
Always and never (death and the maiden) by Pierre-Eugène-Emile Hébert
27 notes · View notes
plexussolaire · 8 months
Text
Celle qui aime trop
J’écoute le podcast “Mes 14 ans.” J’en suis à l’épisode 10 où elle raconte qu’elle est en couple avec un garçon qui n’est pas amoureux d’elle, mais amoureux de son ex. Elle explique qu’en fait, elle est devenu son plan cul, qu’il reste avec elle pour ça, que c’est clair entre eux, mais qu’elle ne se l’avoue pas. Elle essaye de le reconquérir. Et elle énumère les règles qu’elle se donne pour ne pas paraître dépendante ou amoureuse, elle énumère tous les comportements qu’elle met en place pendant des mois, sans succès, pour le reconquérir quoiqu’il arrive, et reprendre le contrôle. Mais le contrôle, c’est quelque chose qu’on ne reprend pas dans cette situation. Par contre, qu’est-ce qu’il est épuisant de contrôler chacun de ses mots, chacun de ses gestes, pour trouver la posture qu’il attend, pour devenir la personne dont il retombera amoureux.
J’ai trouvé une fois ce visage, et je n’ai pu le porter que quelques heures : c’était monstrueux.
J’ai hésité à mettre ce podcast pendant que je dessinais. Je sais pourquoi j’ai irrésistiblement envie de l’écouter jusqu’au bout. Mon adolescence bat dans mon coeur comme une boule au ventre. Je suis cette gamine amoureuse qui couche pour l’amour, qui couche pour le lien, alors que celui-ci devrait être défait au plus vite, pour sa sécurité et son amour propre. Malgré tout ce que je me raconte sur le mal que ce garçon m’a fait, sur son emprise, qui était réelle, puisqu’il ne me laissait jamais partir et qu’il n’était pas bienveillant avec moi, il est important de s’avouer que j’étais bien trop jeune pour tant de mépris. Je ne savais pas me défendre, je n’avais pas les outils pour comprendre ce qui était bien pour moi et ce qui ne l’était pas. Tout cela était des couleurs qui se traversaient et se fondaient entre elles. Il aurait fallu partir plutôt qu’être utilisée, et partir où ? Tout était si flou et embrouillé, que je ne m’étais même pas rendu compte de ça, même à 30 ans, que moi aussi, j’étais devenu un plan cul, et que ça avait duré deux ans. Je ne m’en étais même pas rendu compte. Je l’aimais, ou du moins j’aimais atrocement ce qu’il m’avait fait ressentir quand j’étais encore à conquérir. Et je voulais qu’il se rende compte qu’il éprouvait encore cela, par tous les moyens. Mais de déesse vaporeuse et lointaine, je me suis abîmée jusqu’à devenir une ombre.
Je comprends sa détresse qui en moi est encore vive. J’ai vécu comme elle la première fois qui s’est faite un peu tôt certes, mais avec la bonne personne. Ce que j’ai vécu trop tôt c’est la violence d’un plan cul non désiré, d’une non exclusivité subie, au moment où je croyais encore très fort à l’amour avec un grand A. Trop jeune pour avoir le coeur et l’estime écrasés, sans autres bras qui me serrent pour me calmer et m’aimer autrement. Sans les juger suffisant, peut-être. On sous-estime parfois les blessures profondes d’un amour adolescent, mais celui-ci me revient souvent en rêve, et n’épuise pas les questions. Comment aurais-je pu m’en sortir ? Aurait-il été préférable de ne pas vivre cela ? Comment aurais-je pu empêcher toute la souffrance immense qui me pèse encore 15 ans plus tard ?
N'est-il pas un jour nécessaire de tomber à la ramasse pour savoir ce que ça fait ?
12 notes · View notes
petitmonsieur1 · 6 months
Text
Tumblr media
5 notes · View notes
hcdahlem · 11 months
Text
La Liseuse
Une belle rousse nue occupée à lire. Jean-Daniel Verhaeghe raconte comment le tableau de Jean-Jacques Henner prend vie pour Ferdinand, étudiant amoureux, et signe un conte teinté de mélancolie sur la force des arts et la puissance des rêves. Envoûtant.
En deux mots Quand Jeanne débarque à l’université, la belle rousse fait tourner bien des têtes. Mais c’est Ferdinand qui réussit à conquérir «La Liseuse», le surnom donné à la jeune fille qui ressemble au tableau de Jean-Jacques Henner. Ensemble, ils partent admirer la toile qui va s’immiscer dans leur vie. Et panser les blessures. Ma note ★★★ (bien aimé) Ma chronique La belle rousse et…
Tumblr media
View On WordPress
2 notes · View notes
smeh17 · 2 years
Photo
Tumblr media
(via GIFER)
5 notes · View notes
dominiclanglois · 2 years
Video
Preview - Un seul homme, n’importe qui !
2 notes · View notes
conatic · 3 months
Text
Un corps retrouvé le long des voies à Rhode-Saint-Genèse : la victime est une jeune fille de 16 ans - Le Soir
https://www.lesoir.be/563863/article/2024-01-25/un-corps-retrouve-le-long-des-voies-rhode-saint-genese-la-victime-est-une-jeune
Source: lesoir.be
0 notes
pinkasimov · 1 year
Text
Posée sur le rocher
Tumblr media
View On WordPress
1 note · View note
galeriedali · 1 year
Text
0 notes
wibblyowzah · 9 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Portrait of a Lady on Fire (2019) dir. Céline Sciamma
6K notes · View notes
toutplacid · 1 year
Photo
Tumblr media
Promeneuse et pigeons rue du Capitaine-Ferber, Paris 20 — aquarelle, pierre noire, gouache blanche, carnet nº 97, janvier 2013
28 notes · View notes
dailyflicks · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Do all lovers feel they're inventing something? I know the gestures. I imagined it all, waiting for you. PORTRAIT OF A LADY ON FIRE (2019) dir. Céline Sciamma
2K notes · View notes
plexussolaire · 1 year
Text
Tenir ta main
Longtemps je me suis tournée vers l’adolescente que j’étais en n’y voyant qu’une étrangère. Un être vil et mal formé, la voix un peu aigüe, un peu criarde, qui pleure souvent et se plaint tout le temps. Longtemps je lui en ai voulu d’avoir fait des choix et pris des chemins qui m’ont mené à un endroit dans ma vie qui ne fait pas sens, d’avoir choisi la compagnie de personnes qui n’étaient pas bonnes pour moi, des actions qui m’amenaient à ma désolation. Je lui en voulais, d’avoir été si faible, si veule, de ne pas avoir saisi sa chance comme les autres, d’avoir loupé des opportunités fructueuses. Je ressens encore la honte et la douleur qu’elle a ressenti sans véritable distance. Je ressens de la colère quand cette plaie se rouvre. Je n’arrive pas à la comprendre, et je porte sur elle le regard qu’on portait sur moi : une chose pénible et bruyante, inintéressante, qui ne mérite pas d’être aimée tant elle est bizarre, et chiante, et empêche tout le monde d’être tranquille. Une chose qu’on laisse seule et dont on se moque dès qu’elle ouvre la bouche. Une chose qui crève en silence entre les murs épais de sa chambre des heures durant et qui ne fait rien pour y remédier.
A cause d’elle, je gèle tous les après-midi. A cause d’elle je crois que je ne vaux rien, que je ne sais rien faire de mes dix doigts, que je ne m’intéresse à rien. Que je suis gauche, et qu’au fond je n’apprends jamais à bien faire quelque chose car je n’en suis pas capable. A cause d’elle je remets tout au lendemain, et je sens des larmes envahir mon ventre quand il faut réparer quelque chose ou apprendre quelque chose que je ne sais pas faire. Ma colère à son égard à quelque chose de viscéral : je suis prise d’animosité farouche quand je devrais la prendre contre moi.
Ce regard est injuste. Cette animosité n’est pas la mienne, mais celle qu’elle a subi, et subit encore à travers moi. Parce que l’adolescente a été blessée au plus profond de son être, au fond d’une plaie ouverte depuis dix ans qui pourrissait et brûlait déjà en silence. Elle s’est retrouvée seule dans le noir, pendant cinq ans, avec une lame replantée chaque jour, dans la même plaie, chaque heure, sans amour pour lumière. Et je vais choisir aujourd’hui de la remercier avec la révérence la plus basse qui puisse exister, parce qu’elle a été pour la deuxième fois de sa vie brisée avec une violence inénarrable, et puis elle a survécu. Parce que les choix qui ont été faits et qui nous déplaisent, sont ceux d’une jeune fille qui devait survivre envers et contre tout, sans aide, sans soutien, persuadée de fautes qu’elle n’avait pas commises, et qui venaient de toutes parts. Une jeune fille a survécu au travers d’heures plus douloureuses les unes que les autres, (à ce moment de l’écriture, j’ai voulu changer la musique comme si j’étais sur l’ordinateur depuis lequel elle écrivait à tout prix pour respirer). Elle a survécu pour que je me retrouve ici, aujourd’hui, en sécurité, dans un appartement que j’aime et qui m’appartiens, avec un chat qui se repose dans un coin de la pièce, près de la fenêtre, à deux doigts d’aller prendre une douche bien chaude pour aller retrouver mon amie un peu plus tard. Je la remercie d’avoir survécu pour ce moment-là, et pour tous les moments de joie et de connexion qui colorent les journées à venir. Comme une mère qu’on oublie dans un coin de la photo, je la remercie d’avoir été présente, et d’avoir avancé quoiqu’il en coûte, vers la vie. Je rendrai l’animosité à qui elle appartient, et lui verserait sur les épaules l’amour à grands flots qu’elle méritait depuis l’enfance.
26 notes · View notes
greengableslover · 22 days
Text
Tumblr media Tumblr media
PORTRAIT OF A LADY ON FIRE | PORTRAIT DE LA JEUNE FILLE EN FEU (2019) dir. Céline Sciamma
732 notes · View notes