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#L’eau
enblancjenveux · 14 days
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On her toes. En blanc.
SculptsO
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porcelainerose · 7 months
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let's talk about how the juvenile spiderfish bathypterois is gorgeous...and the fact that bathypterois are commonly named "tripod fish" because they actually have stilts to stand on...lazy ass fish
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zegalba · 1 year
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“Comme Un Frisson Dans L’Eau” photographed by Thomas Lagrange for Vogue Paris December 2007/ January 2008
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camillehenri · 1 month
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Trying oils in sketchbook.
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praline1968 · 8 months
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Bonjour les amis 😘
J’espère que tout va bien pour vous et que vous ne souffrez pas trop de la canicule, courage c’est bientôt fini ! 🙏🏻 🍀
Bon week-end à vous tous 🌱 🌻
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petitmonsieur1 · 6 months
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Fond marin
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game-of-kinks · 9 months
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En avoir l’eau à la bouche Toutes les cartes sont dispo sur @tire-une-carte Bon jeu !
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barbiemonamie · 6 months
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Mon kiné est un génie ! Comment combattre de l'eau dans le genou ? Avec de l'eau ! Enfin des glaçons ! Mais ça reste de l’eau, non ! Apparemment, ça marche !
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bdlands · 1 day
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distraught that I only found out ab a perfume based on the garden landscape in livia’s villa when my roman history classes are ending in two weeks
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iwait4youalexg · 3 months
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Without fail every time I go perfume sniffing I end up covering my arms in multiple fragrances bc obvi the little testers aren’t enough you have to spray it on skin and then when I’m leaving I’m like god I smell so good what IS that but I can’t remember because I am wearing 20 different perfumes
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porcelainerose · 5 months
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★ quelques méduses pélagies
ma vidéo; à l'aquarium la Rochelle, le 3 novembre 2023 ♥︎
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mmepastel · 3 months
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Bon j’arrive pas à mettre les photos correctement TANT PIS 🤬.
J’ai lu un bon livre, ça y est, c’est celui-ci, avec ce drôle de titre, écrit par Monika Fagerholm, une finlandaise qui écrit en suédois.
C’est un livre étonnant, qui est très original dans sa composition, un peu circulaire, un peu répétitive. Il est question d’étés successifs en Finlande, sur une côte, où se retrouvent plusieurs familles (aux niveaux sociaux différents d’ailleurs) ; l’une vient d’Amérique et voudrait que sa vie ressemble à celle d’une star américaine ; elle lui emprunte tous ses attributs, attitude, centre d’intérêt, et surtout argent (son mari est riche et séducteur). Voilà pourquoi la narratrice parle de la vie rêvée de la plage, de l’été, sans cesse, jusqu’à ce que ça devienne une rengaine, un tic de langage dépourvu de sens. Elle s’y lie d’amitié avec Isabella, tout aussi attirée par le luxe, le désir d’enchanter chaque instant, passionnée d’elle même et pourtant terriblement désœuvrée, presque le reflet d’une personne, comme celui qu’elle aime regarder dans son miroir. Isabella a un mari et un fils, le passionnant Thomas.
On les suit dans leur amitié croissante, dans la répétition des mêmes rituels. Au début on peut être un peu surpris, voire ennuyé. Mais au fond, la narration cyclique a un effet très concret, celui de donner l’impression d’être avec elles, au milieu de ces journées infinies, que l’on finit par confondre, de sentir cet ennui à la fois mortifère et confortable, le temps se perd même un peu, ajoutant à la confusion, on a des flashs backs et des analepses, peu importe, il n’y a pas vraiment d’avant et d’après mais des fantasmes et au milieu, un jeune garçon, Thomas, qui grandit… il passe de huit à quatorze ans, et après beaucoup de stagnation dans son existence, les choses s’accélèrent tandis que les années soixante se terminent. Le monde change. Les femmes ont sans doute moins envie d’être les potiches, peut-être envie de se prendre en main et de considérer les autres choses que celles qui constituaient leur horizon. Y aurait-il autre chose en dehors de ce cercle familial et amical, au-delà de cette baie et de cet archipel ? On rêve de voyage, on joue à s’en aller, mais c’est dur de passer à l’acte, on risque le vertige, voire la chute.
L’histoire est racontée à la hauteur des yeux d’enfant de Thomas, à qui il n’échappe pas grand chose, même s’il ne comprend pas tout. Il découvre les silences des adultes, devine leurs mensonges, la cruauté et la bonté, la forêt, les fonds marins, joue à être scientifique, architecte, puis archiviste d’une famille en décomposition.
J’ai trouvé que l’enfance et son extra lucidité était incroyablement bien rendue. Ce ne sont pas les femmes que j’ai trouvées merveilleuses, mais cet enfant, sa solitude et sa sensibilité, sa faculté d’absorption et d’adaptation, ses réflexes de survie. Un héros inhabituel, discret et profondément touchant.
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camillehenri · 1 month
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Still sketching.
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ciboulo · 1 year
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Je dis pas que le monde avait raison en me disant qu’en m’entraînant, j’allais être plus stable. Mais depuis que je cours 1 à 2 fois semaine et que j’ai commencé le yoga, mes humeurs et mon énergie sont plus stable
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luma-az · 2 years
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Plongée
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Les plongeurs s’enfoncent profondément dans la mer, lentement, patiemment. Les ruines sont loin, bien cachées au milieu des rochers et des algues. Les poissons s’approchent, curieux, ne s’enfuyant que quelques secondes avant le contact, comme une volée de pigeons. Des pigeons aquatiques sur une place engloutie, picorant au sol et tournoyant autour d’une statue mousseuse.
Une fois arrivés, la lumière des torches révèlent des formes familières – maisons carrées, fenêtres carrées, même ces millénaires sous l’eau n’ont pas pu adoucir la géométrie de cette architecture typiquement humaine. Les algues forment des rideaux qui flottent à la brise. Les jardins sont verdoyants. Les murs aussi. Les explorateurs avancent, toujours à portée de vue d’un autre, prudents mais déterminés. Ils parlent par signes. Là-bas. Attend. Je viens. Ok.
C’est lent. Un bon rythme sous les eaux. C’est ainsi que la mer doit être visitée.
Ce n’est pas la première fois qu’ils viennent. Ils connaissent l’ensemble de la ville, ont tracé des cartes vues du sommet, ont récupéré des pièces intéressantes, mais ils commencent à peine à entrer dans les maisons, et il reste énormément à faire pour toutes les explorer. L’endroit était immense quand il était humain. A présent qu’il appartient aux poissons, il reste assez colossal. Peu d’habitations se sont écroulées, au final. A croire qu’à l’époque on construisait pour durer. Ou que les poulpes et les crabes sont doués pour l’entretien.
D’ici, la lueur du soleil n’est qu’une grisaille timide qui filtre à travers trop de couche de bleu. Les torches sont indispensables. Puissantes, mais paradoxalement elles augmentent les ténèbres alentours. Devant soi, tout est clair. Sur les cotés, tout est noir.
Tout devrait l’être.
Les plongeurs commencent à percevoir, du coin de l’œil, de fugaces lueurs, des clignotements, comme si un point lumineux apparaissait pour disparaître aussitôt. Après quelques échanges de signes, ils se mettent d’accord et éteignent leurs lampes.
Tout autour de la ville, il y a des milliers de points lumineux. Une lueur pâle, discrète, qui tranche à peine dans les ténèbres. Difficile de situer son origine. Est-ce que ce sont de minuscules points tout proches, ou d’énormes points très éloignés ? Tout ce que les plongeurs peuvent dire, c’est qu’il n’y a plus le moindre poisson autour d’eux. Et que les lueurs se rapprochent. . .
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museenkuss · 2 years
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New rule: if I try a Chanel scent and don’t like it, I keep my mouth shut and try it again some time later.
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