Tumgik
#La station au crépuscule
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@Pigalle ピガール
https://www.youtube.com/watch?v=GYy2iRlF_hM
フランスのジョルジュ・ユルメール(1919-1989)の歌。 いろんな歌手が歌っているが、創唱はこの人。デンマーク生まれでフランスに帰化した。 ピガールはパリにある広場で、あまり治安のよくない地区にある。 A French singer, Georges Ulmar made this song. He was born in Denmark and became a French. Pigalle is a square in Paris which is not safe place. この歌は1946年にできたので、大戦直後の世相を反映した内容でもある。 今もアダルト商品の店が多くて夜は行かない方がよさそうだ。 This song was made in 1946, so it reflects the situation soon after the war.
歌詞と意味 Un petit jet d'eau, une station de métro Entourée de bistrots Pigalle 小さな噴水 メトロの駅 ビストロに囲まれた ピガール Grands magasins, ateliers de rapins Restaurants pour rupins Pigalle 百貨店 絵描きのアトリエ 金持ちのレストラン ピガール
Là, c'est l'chanteur des carrefours Qui fredonne les succès du jour Ici, l'athlète en maillot Qui soulève les poids d'cent kilos そこには道端で歌う歌手が その日の成功を祈っている ここに100キロを持ち上げる ベストを着たアスリートがいる
Hôtels meublés discrètement éclairés Où l'on n'fait que passer Pigalle 光に照らされた家具付きのアパート 人が通り過ぎるところ ピガール
Et vers minuit un refrain qui s'enfuit D'une boîte de nuit Pigalle 真夜中ごろ 歌が聞こえる ナイトクラブから ピガール
L'on y croise des visages communs et sensationnels L'on y parle des langages connues à la tour de Babel Et quand vient le crépuscule c'est le grand marché d'amour C'est le coin où déambulent ceux qui prennent la nuit pour le jour
どこにもある素晴らしい顔の前に人は十字を切る バベルの塔として知られる言葉で話す 夕闇の頃 そこは大きな愛の市場になる その夜を過ごすために彷徨う人々の溜まり場になる Girls et mannequins, gitanes aux yeux malins Qui lisent dans les mains Pigalle
Clochards, camelots, tenanciers de tripot Trafiquants de coco Pigalle ショーガールとモデル 賢い目のジプシーが 手相を見る ピガール 放浪者 露天商 ギャンブルの店のオーナー ココの悪徳商人 ピガール
Petites femmes qui vous sourient En vous disant, tu viens chéri Et Prosper qui dans un coin Discrètement surveille son gagne pain 少女たちが微笑んで 君に言う おいで可愛い人 街は賑わう 勝利のパンをこっそり見守って
Un petit jet d'eau, une station de métro Entourée de bistrots Pigalle
Et vers minuit un refrain qui s'enfuit D'une boîte de nuit Pigalle 小さな噴水 メトロの駅 ビストロに囲まれた ピガール 真夜中ごろ 歌が聞こえる ナイトクラブから ピガール
Pigalle
Pigalle
Un petit jet d'eau, une station de métro Entourée de bistrots Pigalle
Ça vit, ça gueule, les gens diront c'qu'ils veulent Mais au monde y'a qu'un seul Pigalle 小さな噴水 メトロの駅 ビストロに囲まれた ピガール 生きている どなる 人は全て求める でも世界に一つしかない ピガール
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bergsmotiv · 3 years
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Images de Savoie
En Haute Tarentaise
Val D’Isere (alt. 1850 m.)
La station au crépuscule.
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les-sept-couleurs · 4 years
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Partout la même scène se répétait, véhicules blindés patrouillant les rues dévastées, ouvrant le feu sur des pillards en train de ravager un supermarché ou une station-service, groupes de réfugiés s'en prenant aux forces de police, avec tout l'armement que permet le second amendement de la Constitution, mais plus souvent encore s'affrontant dans les rues désolées, bloc par bloc, maison par maison, appartement par appartement, /urban warfare/ façon seconde guerre du Golfe transplanté -- injection directe dans les buildings des centres financiers, les cabinets d'avocats et les agences de marketing, les parkings et les zones commerciales, l'émeute creuse sa niche au milieu des incendies repeignant les cieux de leurs crépuscules crépitants jour et nuit, partout la même scène, toujours le même scénario, le monde dont lui avait si souvent parlé son père, ce monde qu'il avait contribué à créer en assurant sa destruction, ce monde à peine pensable prenait forme devant ses yeux, un monde fractalisé, où chaque point reflétait sa totalité, c'est-à-dire la même chose, tout en donnant la parfaite illusion du contraire : une unité infinie pleine de variations et de différences, qui n'était au final qu'une fabrication du nerf optique, un /trucage/. La révolte suivait sa propre logique contaminatrice, le chaos le plus pur, le chaos des médias, le chaos des armes à feu, le chaos du futur englouti, elle menaçait d'englober plusieurs cités de l'Iowa, Cedar Rapids, Des Moines, mais aussi, à l'autre bout du continent, de nombreux quartiers de Los Angeles, habitués depuis des décennies à ces éclats de violence sporadiques qui embrasaient régulièrement la Cité des Anges, déchus depuis les origines, pour la plupart. Les pillages s'étendaient aux supermarchés biologiques, aux fermes urbaines, à tous les types de magasins possibles. C'était la topologie de l'émeute postindustrielle, soit l'émeute comme ultime postindustrie en expansion: tout-doit-disparaître, solde général de la civilisation. L'émeute était une forme de vie. Elle était même la forme de vie la mieux adaptée aux nouvelles configurations que prenait l'humanité sur cette Terre.
Maurice G. Dantec. Métacortex. 2010.
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furiousheartbeats · 5 years
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About / à propos
Une autoroute, suivie d’un supermarché ourlé d’un parking presque désert. Une fenêtre qui s’ouvre sur un panorama artificiel, puis des enseignes de commerces divers en bord de plage. Des montagnes qui tapissent l’horizon au crépuscule, ou encore une station-service d’où s’élèvent de mystérieuses fumées. De nombreux éléments reliés par une même obsession : le paysage. Selon Thierry Paquot, “le paysage consiste en un ressenti d’un site, et un site fait sens par les enchevêtrements relationnels qu’il abrite, favorise et mémorise” (Thierry Paquot, Le Paysage, La Découverte, Paris, 2016). Cette définition convient bien à mon approche de ces espaces urbains, ruraux, périphériques ou centraux, que je souhaite étudier sous différents angles : l’influence qu’ils peuvent avoir sur les individus, la façon dont ces derniers se les approprient ou encore la manière dont ils se développent, entre imaginaire et réel.
Il s’agit notamment d’interroger le rapport à l’environnement à travers l’utopie, l’architecture, la nature dans son aspect le plus brut, les notions d’immersion, d’individuation, de fantasme ou de simulacre. Comment regarde-t-on un paysage ? Qu’y cherche-t-on ? Est-il représentation plus que réalité ? De plus, comment se construit et évolue l’individu au sein d’un lieu ? Comment notre imaginaire colonisé par des représentations encadrées peut-il se détacher des mythes ou, au contraire, les embrasser dans leur totalité ? Comment une idéologie peut-elle influer sur le monde réel ? Les territoires constitués de signes sont ainsi des terrains de jeu idéaux pour une exploration topographique destinée à extraire un ressenti, une signification quelconque.
Utopies & hétérotopies
“A simple, beautiful life”. La devise de la ville de Seaside, en Floride, s’appuie sur une quête d’idéal partagée par de nombreux individus de par le monde. Le réalisateur du film The Truman Show, Peter Weir, ne s’y est d’ailleurs pas trompé en faisant de cette coquette station balnéaire le lieu de résidence de Truman, dont la vie tout entière constitue une forme d’utopie factice, aussi forcée que corrompue. L’envers du décor, le jeu des faux-semblants et le bonheur de façade finissent toutefois par être révélés au grand jour dans une succession d’événements qui entraînent le personnage principal au cœur d’une spirale paranoïaque oscillant sans cesse entre regains d’espoir et dérives dramatiques. En 2008, un psychiatre du nom de Joel Gold s’est ainsi inspiré du titre du film pour rassembler des cas de patients persuadés d’évoluer dans de véritables mises en scène de leur propre réalité, laquelle ne serait rien d’autre qu’une sorte de simulation où chaque individu tiers jouerait un rôle secondaire bien défini : The Truman Show Delusion.
Sans forcément aller vers cet extrême, considérer le paysage comme un plateau de cinéma ou une scène de théâtre permet de mettre en évidence la puissance évocatrice de certains lieux, tels que les grands espaces américains ou les villes construites autour d’un objectif de divertissement, de représentation. Le regard que l’on porte sur un lieu peut alors relever de la lecture d’un mythe, et ce jeu de la fiction et de l’imaginaire offre un terrain propice au rêve ainsi qu’un immense potentiel d’histoires. De fait, une narration singulière peut être créée au sein de territoires qui se laissent apprivoiser en dépit de leur héritage parfois envahissant. Une question se pose alors : comment s’articulent la perception et la fiction au sein d’un lieu ?
L’inquiétante étrangeté du quotidien
Dans la scène d’ouverture du film Blue Velvet, un homme arrose les plantes de son jardin impeccablement tondu et dont les superbes roses rouges ornent une clôture blanche, symbole absolu du fantasme de propriété de la classe moyenne américaine. Ce moment paisible est violemment interrompu lorsque l’homme, victime d’un malaise, s’effondre soudain dans l’herbe mouillée. Si le paysage en tant que lieu public ou partagé porte un fort potentiel narratif et fantasmatique, l’espace domestique n’est donc quant à lui pas en reste. Qu’il s’agisse de son propre habitat dans lequel on tente souvent de recréer une forme de cocon ou qu’il s’agisse de celui des autres, cet espace est sans conteste une source de réflexion essentielle sur l’architecture et ses implications dans la société.
“La croyance en l’importance de l’architecture est fondée sur l’idée que nous sommes, pour le meilleur et pour le pire, des personnes différentes dans des lieux différents - et sur la conviction que c’est la tâche de l’architecture de rendre plus clair à nos yeux ce que nous pourrions idéalement être” - Alain de Botton, L’Architecture du bonheur, Mercure de France, 2007
Les représentations autour de l’habitat agissent ainsi de bien des manières sur les individus et peuvent par ailleurs mettre en exergue une forme d’inquiétante étrangeté du quotidien, lorsque le trivial se mue en sentiment - angoisse, nostalgie, rêve... En outre, la maison “générique”, celle que l’on retrouve dans les dessins d’enfants ou les maquettes de lotissements, représente une forme de base qui, déclinée à travers différents médiums, me permet de développer des propos variés. Ce questionnement m’amène à tenter de brouiller les pistes entre intérieur et extérieur, intime et public. C’est ce qui attire parfois mon regard vers des fenêtres éclairées lors de sorties nocturnes, fascination semble-t-il partagée par d’autres :
“I take photographs of houses at night because I wonder about the families inside them. I wonder about how people live” - Todd Hido, House Hunting
En effet, je m’interroge beaucoup sur la façon dont vivent les gens, ce qui constitue leur banalité, leurs normes... Cette curiosité émane sans doute de mon propre processus d’individuation, au cours duquel je me suis énormément questionnée sur la manière dont les autres percevaient et vivaient les choses, et je tente donc aujourd’hui d’apporter mon point de vue sur ce sujet, à défaut d’une réponse qui ne pourrait être qu’imprécise.
Le faux, la mise en scène et la recherche d’authenticité
Si la création d’un récit autour d’un lieu entraîne une mise en scène principalement mentale, les notions de faux et d’imitation intégrées au lieu lui-même lui confère un tout autre aspect (cf. les parcs d’attractions, les terrains d’exercices militaires ou encore les répliques de villes européennes construites en Chine). Ces villages Potemkine d’un nouveau genre peuvent faire écho au façadisme en architecture ou encore aux décors, dioramas et trompe-l’œil de musées, plateaux de tournage, etc. offrant ainsi des amorces cinématographiques et scénaristiques ou soulignant la poésie de lieux triviaux. La réalité d’utopies corrompues, le passage d’un état à un autre, l’imminence d’un événement pouvant traduire des sentiments intérieurs... sont ainsi des sujets récurrents dans ma pratique, qui se nourrit notamment des paradoxes humains et d’une recherche d’authenticité certaine.
(Texte extrait du livret de recherche du DNA - “Topographie fantasmée” - EESAB Quimper, juin 2019)
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fuckyeahroadtrippin · 5 years
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Jour 51: Vermont, part 2
On a commencé la journée en allant faire un tour sur la plage de North Beach, à côté du camping. Super panorama, comme à la mer mais avec de l'eau douce, et surtout des montagnes et des forêts dans l'horizon. En face l'état de New York, au nord Québec. Les lacs font les meilleures plages.
On a pris la route vers l'est pour aller randonner à Smugglers' Notch, une station de ski. Par beau temps, la route était franchement sublime. On a franchi un col bien raide et sinueux et hésité à prendre des remontées mécaniques pour le sommet (un peu cher) avant de se laisser orienter par un ranger sur une rando qui commençait en haut du col qu'on venait de redescendre. On a commencé par pique-niquer sur une boardwalk qui traversait un étang créé par des barrages de castor. Puis on a remonté le col pour la rando.
Elle était franchement super, pas très longue mais très raide, remontant le long d'un petit ruisseau pour aboutir sur Sterling Pond, un lac sublime, isolé et silencieux, au milieu des montagnes et des arbres. En remontant encore 200m, on a eu droit à une vue sur la face nord, pleine de pistes de ski et de telesièges en estivation.
Après la redescente, on est allés boire un hard cider local au village voisin de Stowe, avant de reprendre notre traversée jusqu'à Montpelier, la capitale d'état la moins peuplée des États-Unis (7000 habitants). Puis on a poursuivi vers le New Hampshire (devise de l'état sur le panneau d'accueil: Live free or die. Fuck yeah!), le long d'une route encore plus spectaculaire à la lumière du crépuscule: montagne luxuriante, lacs, faces rocheuses... On a fini la journée devant un feu de camp à l'Apple Hill Campground, à Bethleem NH, au bord des White Mountains.
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psycause · 5 years
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J'ai passé une mauvaise nuit parce que je me suis réveillée sans arrêts. J'avais une prise de sang à faire ce matin et j'avais peur de rater l'heure. Du coup j'ai fais deux rêves mais le premier m'a perturbée.
J'étais au cœur d'une équipe de police, on c'était installés dans un local aux alentours d'une station-service parce qu'on avait localisé la prochaine attaque de nos deux suspects. On pouvait apercevoir, au milieu d'un grand parking, une seule et unique voiture, vieux modèle et un homme accoudé sur le coffre de celle-ci. Une de mes collègue est partie vers la station se cacher pour avoir un angle de tir, les ravisseurs étaient deux et ils adoraient se payer notre tête. Un de mes collègue est sorti, arme à la main, et a couru vers le suspect, lui restait immobile et on pouvait presque deviner son sourire à travers le crépuscule. Je me suis mise à crier que c'était un piège puis je l'ai suivi pour le couvrir. Lorsque mon collègue devant moi était à quelque mètres du premier suspect, je me suis fais attrapée par-derrière, main sur la bouche et bras dans le dos, impossible de me débattre. Je l'ai vu tuer mon collègue et je me suis réveillée quand il ma tiré une balle dans la tête.
Imagination débordante. Je devrais peut-être penser à arrêter de regarder esprits criminels pour m'endormir...
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jean-fran-malo · 2 years
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Rando d'automne au dessus de la station de ski de Ceillac, en route vers le lac des prés Soubeyrand, où lac miroir (démonstration dans les prochaines photos). Le sentier, un GR bien balisé, large et bien entretenu, chemine le long du torrent de la Pisse. Ce torrent rejoint celui du Mélézet par une magnifique cascade. La cascade de la Pisse est un spot de grimpe l'hiver sur la glace. Pas de grands mammifères croisés, à part ceux qui cheminent sur deux pattes. Sinon j'ai pu observer des mésanges, les premières huppées (3 ou 4) virevoltant au pied des arbres, puis 3 mésanges noire à l'étage au dessus (entre 2 et 4 mètres) parmi les branches. Un peu plus loin par deux fois la cassenoix moucheté a montré sa silhouette et son bec effilé. J'ai entendu un pic vert et l'aboiement lointain de deux chevreuils, plus quelques corvidés. Et pour finir, dans la pénombre du crépuscule, une mésange nonnette a joué a cache cache dans les branches de mélèzes... #Ceillac #Queyras #hautesalpes #randonnée (à Ceillac) https://www.instagram.com/p/CVuj5LJlkKb/?utm_medium=tumblr
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gilda14 · 3 years
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B.à.S. : Merci pour votre compression
Une partie de notre travail concerne des particuliers et se passe essentiellement par mails. Certains jours on dirait que souffle un vent de folie sur leurs messageries. La collègue qui s’y collait ce jour n’en revenait pas des bizarreries, probables effets de correcteurs automatiques zélés.  Elle a donc reçu (entre autres fantaisies) un très courtois Merci pour votre compression, que j’ai trouvé charmant. C’était une journée venteuse et je n’avais pas pris de vélo à l’aller, il me faudra travailler demain à les remettre d’équerre après les petits sabotages récents. J’ai toutefois laissé un vélib électrique dernier disponible de la station devant la piscine, me tenter pour la traversée de Paris au retour.  C’était le crépuscule, une circulation réduite intra-muros. J’en suis restée émue de beauté.  Sur la passerelle vélos-piétons de devant le musée d’Orsay nous étions trois cyclistes, trois femmes, à nous être arrêtées un instant, simplement pour regarder. Il y a pire sort que d’être confinées dans l’une des plus belles villes du monde avec un droit, même limité, de circuler en extérieur. Vraiment pire.
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South Island Road trip
Nous avons profité du pont d’ANZAC (Australian and New Zealand Army Corps) day, et des vacances scolaires d’automne pour partir 5 jours à la découverte du nord de l’île du sud. 
Notre périple nous a conduit de Nelson à Kaikoura en passant par St Arnaud dans le parc des Nelson Lakes, Hanmer Springs, Christchurch, Akaroa et Wainui. 
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St Arnaud, la première étape de notre périple, est une bourgade sur les rives du Lake Rotoiti, lac de 7,5 km de long au cœur de la région montagneuse des Nelson Lakes. La région offre de nombreuses possibilités de randonnées et une station de ski dont on nous a vanté les mérites pour le mois de juillet, mais nous nous sommes contentés d’une courte balade en bord de lac avant de reprendre la route. Nous n’avons pas croisé un chat, mais quelques canards et quantité d’anguilles! 
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Nous sommes ensuite revenus à Hanmer Springs où nous étions allés avec Lucien il y a 5 ans et avons retrouvé avec plaisir les sources chaudes. Les enfants ont également bien profité du trampoline du Motel!  
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Le lendemain, direction Christchurch! Nous avons arpenté la ville un dimanche ensoleillé et malgré les traces encore bien présentes de la destruction causée par le tremblement de terre de 2011, ce qui frappe est le dynamisme de la ville, l’architecture, les galeries, le Street Art. On y est resté une journée, ça aurait mérité plus! 
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Le soir même, nous avons pris la route de villégiature des habitants de Christchurch pour la Banks Peninsula. La Péninsule de Banks est un ancien volcan éteint érodé qui s’avance dans l’océan pacifique. La péninsule se présente sous l’aspect d’un massif de collines de forme ovale et dont le littoral est découpé en de nombreux caps, péninsules et ports naturels. 
James Cook découvrit la péninsule en 1770, et la nomma en l’honneur de son botaniste Joseph Banks. Il était persuadé à ce moment-là que la péninsule était une île. 
Quelques années plus tard, des baleiniers français eurent l’idée de créer une colonie française en Nouvelle Zélande, la zone de pêche à la baleine étant excellente. Le capitaine Jean-François Langlois acheta la péninsule aux Maori et leur donna un premier versement, le reste devant de faire au moment de la prise de possession du territoire à leur retour. Le capitaine retourna en France et organisa l’envoi d’une expédition de colonisation. Hélas, les Anglais avaient pris possession de la totalité de la Nouvelle Zélande quelques semaines avant le retour des Français. Ceux-ci durent se contenter de deux villages de la péninsule, dont Akaroa. 
Nous avons loué un “bach” à Wainui, face à Akaroa, vue sur la baie, dans le bush et décoré avec goût, on aurait là encore bien prolongé le séjour! 
“Tom’s bach” version dedans: 
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Et “Tom’s bach” version dehors (cette vue!!): 
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Nous avons visité Akaroa, adorable village côtier, avec de nombreuses réminiscences de la colonisation: tous les noms de rue sont en français par exemple. 
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Nous sommes allés voir les dauphins Hector, petits dauphins de Nouvelle Zélande à front blanc, qui se caractérisent par leur aileron dorsal arrondi. Nous avons aussi eu la chance d’admirer phoques, albatros et petits pingouins bleus. 
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Le lendemain, nous avons repris la route direction Kaikoura, route récemment rouverte à la circulation après le tremblement de terre de 2016, d’une magnitude de 7,8 sur l’échelle de Richter. Les dégâts sont encore bien visibles et beaucoup de portions de route ne sont qu’à une voie, l’autre ayant dégringolé dans la mer. 
Entre montagnes et mer, Kaikoura bénéficie d’une faune marine variée qui attire de nombreux touristes. Un gouffre océanique de 1000m de profondeur à quelques dizaines de mètres de la côte fournit une alimentation abondante aux baleines, dauphins et autres animaux marins.   
Nous avons profité de la lumière de fin de journée pour faire une promenade près de la colonie de phoques, avec toujours des vues à couper le souffle. 
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L'aube et le crépuscule sur south Bay valent le détour! 
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Le lendemain, grâce au cadeau de Noël de Bérangère et Eric, nous nous sommes offert une sortie en mer pour voir les baleines, nous avons vu de près 2 ‘Sperm Whales’ (cachalots), avec le jet d’eau caractéristique qui permet de les repérer. Chacune des deux baleines a eu la gentillesse de nager en surface une dizaine de minutes, avant de plonger majestueusement, nous offrant la vue de la queue ruisselante sur fond de montagne. Un moment magique! 
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Et nous avons eu aussi autour du bateau une cinquantaine de dauphins Hector et Dusky, qui s’en sont donné à cœur joie, courses, sauts, plongeons, un vrai bonheur! 
Une bien belle aventure, appréciée par petits et grands, et un sommeil réparateur après ces journées bien remplies! Zzzzzzzzzz
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1-3-2018 Cette année 2018, l'hiver est une grande année à neige. NOUS AURIONS AIMER MONTER DANS LES CEVENNES, MAIS le risque de rester bloqué est trop grand, la photographe Martine ANCIAUX ME FAIT PENSER AUX ENFANTS QUI FONT DES CAPRICES? ET SI ON Y ALLER? THOMAS André
22-4-2017 Hommage et Condoléances à sa famille au policier tué dans son travail à Paris le 21-4-2017, et courage au  2 policiers blesséS ainsi que la passante DE CET ATTENTAT SURVENUE AUX CHAMPS ELYSES
MERCI A CES HOMMES,FEMMES,POLICIERS, GENDARMES,MILITAIRES,POMPIERS, HOSPITALIERS, QUI DONNENT LEURS VIES POUR QUE NOUS PUISSIONS VIVRE LA NÖTRE
Amis Internautes, Le cycle de la nature, et de l'humanité, est d'une précision affolante, et pourtant nous hommes, et femmes, aimerions garder auprès de nous nos êtres chers le temps de nos vies Dans la vie il y a la vie et la mort, la nature est identique dans ce processus,  nous avions vu l'automne, et le dépouillement des arbres, et la mort des fleurs, aujourd'hui en plein printemps , les arbres se parent de leurs nouvelles collections de feuilles, les fleurs montrent leurs bourgeons, jusqu'à nous qui nous découvrons dès qu'un brin de soleil parait. Pourtant , et on doit le dire, ceux qui sont partis ne se remplacent jamais. THOMAS André
2-3-2017 La course du temps s'intensifie, le soleil se lève déjà plus tôt, après les feuilles mortes, et les premiers frissons, il a pris sa place par la neige notre hiver,et bientôt, ce ne sera plus qu'un lointain souvenir,en effet, les premières fleurs et bourgeons éclosent, annociateur du printemps, en attendant, voici un poème sur l"automne que j'avais écrit, il y a longtemps. AMITIES THOMAS André
©AUTOMNE poème THOMAS André©
Comme la fin d'un jour, L'automne est le crépuscule des saisons, Le moment, ou la nature opère sa mutation sans retour, Où sa vie va se transformer doucement, sans raison,
Car enfin, pourquoi ce renouvellement, Pourquoi tant de changements, Et combien de transformations, Avant que l'arbre dénuder reste la, en station.
Au premières couleurs de rouge, Se passent la transition, Opérant sur les feuilles, leurs premières colorations, Les transformant rapidement, avant qu'elle ne bougent,
En effet, aux premiers souffles de vent, Ce tronc, qui les portaient si fièrement, Se dénudent rapidement, Et comme un arbre mort, se métamorphose rapidement,
Je me suis toujours demandé Quelle sensation, cet arbre, encore couvert la veille de sa parure, Pouvait ressentir en se retrouvant nu, au petit matin sans fioriture, Comment était il capable, de l'accepter.
Alors, presque imperceptiblement, il s’endormira, Mettant en œuvre, toutes ces défenses, Pour subir l’hiver, et ses durs frimas, Et lentement atteindre, le matin du printemps.
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© AUTUMN poem THOMAS André ©
As the end of a day, Autumn is the twilight of the seasons, The moment, or the nature, operates its mutation without return, Where his life will be transformed gently, without reason,
For, finally, why this renewal, Why so many changes, And how many transformations, Before the tree strips remain in the station.
At the first colors of red, Transition occurs, Operating on the leaves, their first colorings, Transforming them quickly, before it moves,
Indeed, at the first breath of wind, This trunk, which carried them so proudly, Stripped quickly, And as a dead tree, metamorphoses quickly,
I've always wondered What a sensation this tree, still covered on the eve of its ornament, Could feel when he found himself naked, in the morning without flourish, How was he able to accept it.
Then, almost imperceptibly, he would fall asleep, Implementing all these defenses, To endure the winter, and its harsh frost, And slowly reach, the morning of spring.
Si la vidéo vous plaît, pensez à visiter notre site www.photopeinture.com (et à désactiver votre bloqueur de publicités sur notre chaîne) AMIS INTERNAUTES ABONNEZ VOUS SI CELA VOUS INTERESSE amicalementMARTINE ANCIAUX
PRESENTATION Nature en Cévennes Automne Pensée Photo&Photo-Peinture Anciaux Martine Thomas André© THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète, http://thomasandre.orgfree.com/poemes.html, MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, photo painting, Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer, http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com Si il est une saison pour les amoureux de la Nature, ou il faut aller en Cévennes, c’est la saison de l’automne. La diversité des couleurs dans la nature vous enchanteront.
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ete2019 · 4 years
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Regarde-la passer. Où va-t-elle, libre sur son vélo. Penses-tu qu’elle rentrera ce soir ?
Non bien sur qu’elle ne rentrera pas, elle ira chez une copine ou chez son amoureux, pourquoi rentrerait-elle? Bien sur qu’elle ne rentrera pas, sa mère la gifle, son père vient d’avoir un enfant.
Elle est belle. J’ai regardé son compte instagram, j’ai d’abord pensé que ce n’était pas de son âge et puis que si, bien sûr que c’est de son âge, elle fait ses expériences, elle s’approprie son corps, elle vit, c’est juste à moi de ne pas le regarder. Je te laisse.
Mais en quittant son amie, elle pensa que ce n’était plus de son âge à elle, minauder, se regarder dans la glace, plaire et surtout ne pas plaire, vouloir être encore cette jeune fille de quinze ans. Ne plus la regarder, cela ne me regarde pas.
-Vous ici
-Moi ici.
-un café?
-un café, j’habite ici maintenant.
-depuis le confinement?
-depuis le déconfinement, je viens d’ouvrir un compte dans cette banque là-bas.
Elle m’a serré la main d’une manière que je ne connaissais pas, avec les deux mains, please, be my guest. Peut-être que c’est comme ça que le curé serrait les mains des gens quand ils allaient mourir, au village. Elle avait dû apprendre ça lors d’un stage d’entreprise, un de ceux où l’on saute à l’élastique avant de s’écraser, avant qu’un sportif de haut niveau qui passe à la télé n’ait eu le temps de venir vous parler de préparation mentale au palais des congrès, à la périphérie de la ville.
Bienvenue dans notre communauté. Je venais d’ouvrir un compte dans son entreprise, une banque, quoi. C’était très convivial, au début. Puis elle m’a proposé un café, puis deux « vous en voulez un autre ? ». J’ai alors pensé que j’aurais dû me maquiller, mieux me réveiller, que je devais avoir un air fadasse, à côté d’elle. Nous étions toutes les deux enfermées dans un box et quand une employée de l’accueil est venue lui dire un mot j’ai compris que les patrons avaient des bureaux avec des fenêtres, une de celles dans lesquelles je me regarde toujours quand je passe devant ce bâtiment, cette banque quoi. Je trouvais ma conseillère, c’est comme ça qu’elle se nomme, assez déterminée, avec ses taux pour avoir, un jour, elle aussi, une vue sur la rue . « Bon, les taux vous connaissez ? », j’ai haussé les épaules en remuant mon café. Alors, elle m’a expliqué tandis que je remarquai son piercing dans l’oreille et puis un autre piercing sur la langue, sur la langue, un piercing sur la langue, elle parlait, ce piercing, les taux, la langue, parlait encore, entourait des chiffres,.   Et elle me posa des questions auxquelles j’étais incapable de répondre, ses piercings.  Et puis le son de sa voix a changé. Les taux, elle a commencé à parler avec cette façon un peu bêbête que prennent parfois les gens pour imiter les nigauds. J’ai sursauté. C’était donc ça : ce matin-là je ressemblais encore à la fille de 3eme B, potiche, ahurie, blafarde, celle qui n’avait jamais galoché quiconque, alors qu’elle avec ses deux piercings, maquillée, affranchie finirait avec un bureau, vue sur la rue.
-Et vous?
-Je viens d’arriver, je suis là pour dix jours
Il venait d’arriver dans la petite maison vide de ses parents, dans les Landes. Une maison héritée du grand-père militaire, sans faste et sans éclat. Une maison dans laquelle on ne pouvait rien laisser, aucune affaire, l’humidité finissait par tout saloper. C’est le problème ici l’humidité.
Il était arrivé de Paris à la mauvaise heure, 14 heures, c’est la mauvaise heure parce que c’est ni trop tôt, ni trop tard et on ne sait pas par quoi commencer : le ménage, les courses, la sieste, rien faire ? Il fallait surtout commencer par aérer, enlever cette odeur, traînante et tenace d’humidité, de renfermé. Il ne resterait que dix jours, elle  n’aurait pas le temps de partir. Elle finirait  même par s’incruster dans les fibres de ses chemises, tenace et traînante.
Il avait ouvert les placards de la cuisine qui étaient vides, à part cette boîte. Une jolie boite de madeleines, de Dax. La jolie boîte des Madeleines de Dax restait là, dans le placard de la cuisine. Cette boîte ne lui évoquait rien, aucun souvenir, ni de l’enfance passée aux abords de la forêt, ni de sa famille qu’il ne voyait plus. Peut-être qu’en la regardant, c’était plutôt une idée générale des gens de Province qui lui venait à l’esprit, puis un livre de Simenon, au bout du rouleau peut-être. Alors peut-être que si  cette boîte lui rappelait quelque chose de son enfance,  c’était les heures passées à lire Simenon.
Ce qui était bien et c’est pour ça qu’il était venu, c’est qu’il n’aurait pas de contact avec le monde extérieur, concentration required. Il serait obligé d’aller au café pour parler avec sa femme ou son fils ou son galeriste, oui le galeriste pour préparer cette expo. Oui cette idée lui plaisait, sauf qu’il n’avait pas de galeriste, qu’il n’y avait pas d’expo, que depuis longtemps son énergie avait laissé place à la frustration.
Il voulait tout réduire au minimun, il ne prendrait plus sa voiture pour se rendre au centre de ce village de la côte atlantique. Sa démarche serait sans doute inappropriée, curieuse, mais à chaque fois qu’il longerait la départementale,  une image  de  Stallone  errant au crépuscule du soir aux abords des villes viendrait se superposer à celle de la route droite au milieu des pins. Et c’est ce qu’il aimerait bien, repenser à ce film ou à d’autres, alors que la sueur générée par l’effort, la chaleur, le soleil serait désagréable et gênante.
-Vous vous êtes installée dans la maison de vos grands parents?
Nos parents nous déposaient là au début de l'été. Les maîtresses de mon père, les amants de ma mère. Parfois on partait avec ma tante et ma grand-mère, les deux voitures se suivaient, les grands avec ma tante, les petits avec ma grand-mère. Ma tante conduisait très mal,  ma grand-mère très lentement. Passé le croisement de Lesperon, on guettait le clocher d'Uza, on guettait le clocher  “ Le clocher!”.
On descendait de la voiture, on enlevait nos chaussures, on ne les remettait qu'à la fin de l'été, on courait vers l'arbre couché par le vent. Si les voisins n'étaient pas là, on passait la barrière pour faire le tour de leur jardin, on (n’) avait pas d'éducation.  Ma grand-mère passait l'été à préparer les repas, les  tomates farcies, avec du riz,  le midi, souvent. Ma tante s'installait à table les seins nus, mon grand-père lui demandait de se couvrir,  "c'est les vacances" répondait-elle. Mon cousin et mon frère avaient rencontré deux sœurs. Ils étaient assis à la droite de mon grand-père. Mon grand-père nous emmenait pêcher, ils nous engueulait parce qu'on parlait trop, on lui disait qu'il ne pêchait que des anguilles, que ça puait. On regardait les tourbillons du ruisseau, on se demandait comment ça faisait un tourbillon, arrivés au fond, “il faut donner un coup de pied et on remonte”. A Contis -Plage, on marchait pied-nus sur le goudron chaud, on passait devant l'église et la maison jaune. Ma grand-mère nous achetait des gaufres, on s'entassait dans sa voiture, dans le coffre, juste avant d'arriver à la maison, on se collait  les gaufres sur le nez. Et Ça recommençait
Non, mais il faut que j’y aille demain pour aérer, vous voulez venir ?
Oui pourquoi pas, je passe vous prendre ici, sur cette place, à 10 heures
Ok
j'ai claqué la portière et je lui ai souri. Nous avons roulé. Quand nous sommes arrivés, tout était vide et fermé, le sable recouvrait la route. nous avons marché dans les rues de la petite station balnéaire, désertée. Un instant, nous avons cru à une ville fantôme. Nous nous sommes assis et nous n'avons rien dit. Rien.
J’ai ouvert la fenêtre et tout avait changé. Ils ont coupé les arbres et construit des maisons. Le sol est humide, la terre est ingrate. La moisissure a recouvert tous les livres.
Je regardais dehors et mes jambes ont recommencé à trembler. Je me suis tournée vers lui et, pour me donner un peu de contenance, j'ai commencé à lui parler. Je lui ai parlé de mes vacances ici, de mon grand-père que je n'aimais pas, de mes oncles qui buvaient et qui me regardaient, ils avaient cette petite chanson qui suinte de partout, des reproches qui m'étaient destinés. On me reprochait aussi d'être laide et de.
-J’aime bien la maison de vos grand parents,
-je ne sais pas si je l’aime, et je ne sais pas pourquoi je veux toujours revenir ici.
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bergsmotiv · 3 years
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En Haute Tarentaise, Savoie
Val D’Isère (alt. 1850m)
La station au crépuscule
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ce1ce2marcelcallo · 4 years
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Qu'as-tu vu au crépuscule d'hier ?
Bravo à Jeanne qui a trouvé les réponses. Est-ce que toi aussi tu as pu envoyer un lointain coucou aux astronautes de la station spatiale internationale (ISS) ?
Si tu as observé le ciel à 19h50, tu as pu voir un point lumineux (comme une étoile) filer à toute allure de l'Ouest vers l'Est (donne moi dans le bon ordre ces points cardinaux!).
La station spatiale est en orbite au-dessus de la Terre (comme la lune, elle tourne autour de la Terre) à environ 400 kilomètres (environ la même distance qu'entre Nantes et Paris).
(À toi de retrouver la distance.)
Six astronautes y vivent en même temps, pour un séjour d'environ six mois (puis ils reviennent sur Terre et sont remplacés par d'autres). Ces six personnes sont donc confinées pendant six mois, dans un espace qui représente à peu près la superficie des batiments de notre école. Tu vois, nous vivons presque un entraînement pour devenir astronaute :)
Voici un film du point filant que l'on a vu hier depuis la terre.
Sais-tu comment s'appelle cette heure du jour où la nuit va tomber (le nom ou l'expression) ? Le crépuscule ou l'heure entre chien et loup.
Et le message de l'astronaute Jessica Meir, qui nous a pris en photo au même moment ! Est-ce que tu retrouves ton habitation ?!
(Traduction du message "plutôt rare de voir le Royaume-Uni, l'Irlande et une petite partie de l'Europe, sur une même image, sans un nuage...espérons que ce soit un signe de "meilleur temps" à venir pour tous. Bonne nuit à ma famille et mes amis d'outre-atlantique)
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jibelow · 5 years
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Mon immeuble, mon quartier... 家のとなり Voilà donc où j'ai habité pendant près de 6 mois à Tokyo, ou plus précisément à Nakano-Shinbashi [中野新橋].
A 30 minutes à pied de Shinjuku en suivant la kandagawa [神田川] (la rivière du coin), j'habitais dans un immeuble de 6 étages, sur le toit duquel je me rendais souvent puisqu'on y trouve les machines à laver (à pièces) et les sèche-linge (à pièces aussi).
Depuis le toit la vue est bien sympa puisqu'on aperçoit Fujisan [富士山], le Mont Fuji par jour de beau temps.
Nakano-Shinbashi, mon quartier, parfois abrégé en Nakashin [中新] (les japonais adorent les abréviations) me manquera: il est à la fois tranquille, pratique, avec plein de restaurants, d'échoppes où j'ai mes habitudes et autant de personnes à qui je dis bonjour.
Je me souviendrai des sumotori que je croise parfois au 7-eleven (il y a un centre d'entraînement dans le quartier), du chapeau de la barmaid au Lloyd Grande, de mes premiers pas au ramenya ken-yuu, du gentil vendeur de takoyakis, et du cuisiner masqué qui fait de délicieux sutadon. Particularité du quartier: la station de métro de Nakano-Shinbashi a servi pour le tournage d'un James Bond. En effet, le chef des services secrets Nippons se sert de cette station comme base dans "On ne vit que deux fois".
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retexlhrdn · 5 years
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             C’est à l’orée d’une salle bâtie sur le papier, aux quatre crayons. Le tout est uniformément net et vite embrassé. Une lumière logique y souffle des ombres de convention. Telle plage dont l’étendue est suffisante pour être sentie comme, le sol nappe ; le plafond couvre - et le sujet (seul point aveugle au bord de ce réceptacle de clarté), hésite un peu (malgré l’absence d’angle-morts et coins obscurs). La pluralité des points de fuite désaxe son regard dans ses cheminements - champ élargi. Comme par les côtés de ce relâchement propre aux œuvres de climat, un mouvement de convergence accéléré accentue l’obliquité, l’exagère jusqu’à l’effet d’une certaine déclivité réciproque des deux plans majeurs à priori parallèles que sont le sol et le plafond, rendus comme basculants : haussant, baissant… Ciel ! Au presque point de décliner, le sol prêt de culminer. L’imminence du concours de leurs bords (ce penchant entretenu par le perspecteur), polarise l’attention  sur la zone au fonds de l’étrication à mesure, - y tendent toutes fuites, les lignes avec leurs plans et les regards : lointain fabriqué par réduction, comme repoussé pour jamais en ailleurs mais de proximité, QUI - paysage - les confins de la terre et du ciel évoque, aux ardeurs crépusculaires... ailleurs (d’ailleurs), dans lequel j’ai volontiers lu la réminiscence d’une fenêtre bandeau corbuséenne encrépusculée… Oui, car l’orange de cette bande… (la couleur, charme). Oui… et trainant mon œil aux regards poussifs jusqu’au fini de ce profond qui l’emmurant l’entrouvre, j’ai cru voir... non, je ne peux me résoudre… les lecteurs d’horizon, accoucheurs de songes, voyants et sondeurs de reins ont déjà dit beaucoup de choses dans l’ordre d’un déchiffrement… Voulez-vous connaître ce que j’ai cru voir ? C’était mon propre œil comme enlacé par coïncidence… Oui, une éclipse se serait produite par l’alignement de la lumière à basse fréquence du crépuscule avec la fenêtre bandeau l’encadrant et mon œil que cette lueur oblongue bandait par réflexion… j’ai senti cette couleur locale par mon œil reflétée comme une gratuité délassante d’un instant, liée plaisir d’aligner nos vues avec d’autres à travers l’histoire… à s’abimer dans le souvenir des autres en des vues élargies, jusque dans l’immuable. Oui, mon œil… allez, je te pousse un peu…
           Et haute perchée, verticalement élevée (la dernière avant le ciel): plateau suspendu… est la situation suggérée de cette salle. Il y a une boucle esquissée, deux trapèzes qui plaquent des pans de bleu – au‐delà anguleux ; et la boucle mène aux pans de bleus, la boucle aventureuse… Face aux quadrangles plafonnant, le miragineux des flaques d’ombres du parterre allongent des silhouettes anthropomorphes. Ce qui produit
           un flottement ; une ambiguïté de nivellement : son aspect surface aquatique la place niveau zéro - de l’eau -, quand les alentours suggérés l’établissent dernière avant le ciel, le grattant.
            Quelque part entre l’englobant où s’opérerait le déboitement de l’entre quatre murs, l’enclos à découvert… entre le relâchement des œuvres de climat et la concentration dramatique à l’horizontal ; entre la chose lointaine amoindrie pour jamais dans son éloignement et rapprochée par son éclat, l’effet d’un intérieur oscillant pour un paysage: un paysage intériorisé ; serait l’idée d’une telle salle, d’une telle région : région – habitable – d’un état.
           Cinq cloisons, saillants du fond d’où elles s’implantent, strient ces environs: irruptions d’interruptions qui introduisent du discontinu. Ces minceurs tranchantes sont orientées pareil aux profils différents, en façon de flotte tournée à l’oblique (et toutes tranches face au regardeur). L’une d’elle jaillit comme un renversement de l’onde idéalisé… ou une tranche de flot concrétisée ; les autres ont l’allure de voiles prises au vent. Souvent du foyer le vent positif est absent, l’architecte se le doit. Ici l’idée de cette force persiste: celle qui fait passer les nuages, claquer les drapeaux et tourbillonner les journaux… soulève les cheveux ; semble solliciter ces panneaux… les distraire de l’effort supposé de leur charge… qui ondulent, ondoient, se tendent ou se gonflent parmi l’atmosphère immobile - toutes immeubles qu’elles soient - Ces minceurs tranchantes, nonpareilles, orneraient ? Elles ornent. La mise à la voile de ces cloisons fait prendre du large. Certaines voilures, vues d’un rivage, découpent la continuité de l’horizon… N’y voyez-vous pas apparaître une marine? Entr’oublions nous un moment et voyons la… Au glissement régulier un jour de bon vent! Voici un dépaysement, aussi poncif, et un anachronisme… anachronisme de cette perspective même! A ver navios !
           La voie est dégagée pour qu’un personnage ou plusieurs y soit projeté… 
           Ainsi le mobilier bas, où l’on ne se couche qu’offert en une pose pathétique,
comme
au creux d’un isolat de remous,
de pellicules, de feuilles de flots solidifiés,
entre des coupes
des tranches de flots concrétisées
Leur répartition ici ou là, comme en échos, dispersées entre les panneaux et les ombres de cette salle vacante ; l’exclusivité du modèle répété induisant l’invitation à une même attitude – et cela continument jusqu’à l’étage inférieur entr’aperçu par la trouée presque centrale ouverte tout de suite au pied du regardeur: étouffante, tyrannique, cette persistance dans l’unité d’intention… du point de vue de l’habitable. Ce qui nous fais dire, avec l’auteur, que c’est un théâtre final où dépenser enfin ce temps que nous offre le soleil.
 Mai 2014, remise en chantier 2017
             03/2018. J )( ouvrais donc par le coup d’œil qui embrasse le tout, et vite ; balayant les environs, raisonnant du seul point d’où voyons. Dans l’ordre de la perception. Un départ en somme dit banalement - ce qui va de soi historiquement domine ; et ainsi en va-t-il de la banalité de cette vue, de sa nette banalité : une perspective au point de vue central d’objets tournés à l’oblique. La trop nette banalité de cette salle claire me fait piquer du nez… mon œil ! Clarté déjà‐là et quelques scrupules utiles au suspend, suspens... J’introduisais du vague senti... Vite, du vague des premiers pas. D’un effet de perspective – j’en disais la fabrication et accusai le lointain fabriqué par le perspecteur, d’une fuite en avant. Firmament ! Je soumettais les plans au risque d’une collision, percevant une réminiscence de la fenêtre bandeau corbuséenne.
 J’ai dû dire dans cette ouverture quelque peu poussive : le point de vue de la perspective centrale des modernes, la tendance qu’ont les lignes de sol à monter et les lignes de plafond à descendre dans les études d’architecture – l’usage de la fuite accélérée – le mouvement de convergence accentué. L’idée de l’essieu à distance infini. Les étapes raisonnées, la lumière logique, la dimension syntagmatique du modèle perspectif avec son appareil formel. Je concluais cet effet d’optique, produit ou non (je ne sais plus) par son dessin ou par ma description... par un désemboîtement (déboitement). Puis situais l’endroit entre ciel et terre – spéculant encore (d’après quelques signes) : niveau zéro, entre eau et ciel (dernière avant). Un plof ? Laisse un flaque : un flottement. Amphibie. Ainsi je faisais tanguer la description qui est murmure... flux et reflux. Par l’effet des panneaux – ou tranches de flots concrétisés-, et Combien sont-ils… je mettais à la voile, et gonflée prenais le large. Un personnage spéculé reprit du texte se bronze en conclusion suspendue. Approximation. La hauteur prise, le champ élargi, la longue distance, distances activées (dynamiques), l’air du large. Le recul,  a minima de l’écart et le relâchement de climat. L’œil – sujet réduit à un point : de vue ; point de vue, sujet, perspecteur,  regardeur, auteur… locuteur, critique – l’artiste en jeune homme, l’étranger. Je joins mes conjectures à ses vues, visées (le scandale, l’ironie, la méditation). Ton de la suspicion, pseudo-suspend… surprises. Evénements impossibles. Dire ce que je fais (discursif). Je concluai en disant que l’heure était offerte par le Soleil : extase, joie, rayon. Il n’y a pas de soleil, il n’y a pas d’heurée, ni de vent. C’est très clair, en pleine lumière, comme condition à l’effet de la vision perspective. Une lumière logique souffle des ombres de convention. Et l’idéologie de l’exposition totale ? L’éclairagisme de l’exposition universelle de 37? L’illumination de la sixième face du cube, l’absence d’aucun écoinçon d’ombre ? Oui, mais la nuit tombe imperturbablement sur les Heures Claires, et c’est compté.
             Et le regard poussif porté par devant soi, vers la zone où déclinent les murs… Dans le mouvement les lignes fuient, l’armature linéaire court vers la ligne d’horizon… D’ailleurs, au fond…  est l’autre bord (côté), la zone de déclin… Ces lignes par trop fuyantes, à l’épanchement exagéré par le mouvement de convergence accéléré, me leurrent. Par perversions discrètes du système de représentation, la concentration dramatique se situe vers l’horizon, là-bas ; dans le drame horizontal du jour… Crépuscule et le suicide. Au presque point de culbuter, attirant mon attention quand le relâchement climatique la disperse. Au presque point de décliner… au presque point de culminer ; et dont une bande ardente et nette en ferait flamber la collision sourde… lueur coïncidente. L’aspiration du plan basculant : polarisation dramatique, attraction. L’espace décline, la lumière baisse, je descends. Et que, quand bien même la salle serait en soupente, l’au moins nécessaire horizontalité du plan de station… a minima de l’écart entre les plans qui m’encadrent. L’effort de l’un retenu par celui de l’autre… Appréhension du risque de collision… ; ce qui va tanguer et de quel côté. Chute ! (Nous murmurons). Flux et reflux. Et tout ceci quoique le dessin soit net. Quoi qu’il en soit, où les obliques s’interrompent, la fuite est bornée.
            Soit que soutenant le recul de mon œil unique et immobile, il en soit comme rejeté en arrière par l’amoindrissement du fond ainsi éloigné...
Que le recul de l’œil unique et immobile soit comme rejeté en arrière par la réduction du fond ainsi éloigné, l’évaluation de distance biaisée. Que le fonds s’étriquait… Et cela tant que… non, je ne peux me résoudre… les lecteurs d’horizon, sondeurs de reins et voyants ont dit beaucoup trop de choses dans l’ordre d’un déchiffrement… Et s’il m’arrive un instant de sentir, lueur coïncidente, cette couleur locale par mon œil reflétée: c’est gratuit et délassant. Je parle du délassement qu’il y a à aligner nos vues avec des humains à travers l’histoire un moment. Du plaisir qu’il y a à s’abimer dans le souvenir des autres. Vues élargies, jusque dans l’immuable. Oui, mon œil, je parle de la chaleur qu’il y a à s’en souvenir – à regarder le souvenir des autres. L’instant délassant de la coïncidence (conjonction) – d’une fenêtre cadrant une lueur reflétée par un œil.
            J’ai cru voir... Voulez-vous connaître ce que j’ai voulu voir,
bien cru ou volontiers lu? J’ai cru mon œil unique et immobile comme rejeté en arrière par une évaluation de distance biaisée. Et cela tant que… Le souvenir d’une fenêtre bandeau encrépusculée. Son sifflement. L’œil était bandé par l’éclat du souvenir... enlacé par coïncidence. Environ éclipse entre le crépuscule qui coïncide avec la fenêtre bandeau et se reflète dans mon œil. L’alignement d’un œil avec une fenêtre en longueur à l’heure perceptible de la lueur à basse fréquence du crépuscule, bande l’œil par reflet. L’alignement d’un œil avec une fenêtre en longueur cadrant le crépuscule bande le globe oculaire par réflexion. La couleur chauffe – l’œil brûle. La salle flambe (du point de vue du dessin une allumette suffirait). Traînant mon œil aux regards poussifs, s’il arrive que cette lueur à basse fréquence s’y reflète – m’enlace délassante – (non ébloui).
Le reflet de cette lueur à basse fréquence dans mon œil le délasse. Autrefois, lustrant mon œil aux regards poussifs…
             … et dont la déjà dite muraille et bornant, et continue, et lointaine... pourrait être matérialisé en un mur de braise bien contenu…
            Ou         coffre crépusculaire qui rouge sur jaune s’étale  dont la lueur atmosphérique de basse fréquence transmise est: rouge… bande ardente et nette qui en ferait flamber la coïncidence… sur le plan du dessin une allumette suffirait. Jadis l’aurore qui ose aux doigts de rose et la braise qui charme et chauffe.
            Sans brouillage ni coup de vent ni trompe l’œil, qu’il puisse assouvir les désir de vues élargies. Scruter… un regard circule… rien ne bouche, tout arrive. La voie est dégagée pour qu’un personnage quelconque ou plusieurs y soit projeté. D’après le texte il resterait immobile parmi des murs qui circulent. Dans cette salle à fonction de déambulation, évoquant la pure dépense de temps d’une salle d’attente de rien... la voie serait dégagée pour un personnage quelconque qui y serait rarement coincé tout en pouvant s’y cacher.
            Scorcio, crispation d’enveloppes… Son aspect surface aquatique, niveau zéro perchée grattant le ciel… Cloisons-voiles : ce qui en mer emmène ici a fonction de soutien, de paravent. Un vent positivement absent les sollicite.
            Intermède sur le vent positivement absent. - Au mouvement du vent est substitué celui de l’éclairement tournant avec l’heure. La lumière souffle des ombres aux cloisons qui vibrent et peuplent le parterre. Ombres pensées de corps déposés à l’heure… des coucheuses crispées. Un même souffle les meut différemment. L’effet du vent est fixé, les mouvements de fluides tronqués et concrétisés, la lumière est prévue, graphique. Les rayons orientés traversent, sont réfléchis, interrompus ; portent des ombres sur les formes, dématérialise...
          Elles ornent la vue d’autant plus par ce côté même par lequel, plaisir du peintre irrévélé à lui-même, elles sont tournées – avec les découpures que font les profils de leur raccourcis polychromes sur la blancheur des entoures - et ne doivent pas être porteuses. Car les deux jaunes, la blanche à arrête rouge ont la tournure singulièrement distraite de leur fonction supposée, l’air d’être sollicitées par d’autres forces que celles de l’effort supposé de leur charge…
          D’un coup donc, d’une pièce aussi ; quasi autonomes, aisément isolables, comme collées… ondoyant pour l’une, les autres bombées, toutes tendues, souvent pointues – et toujours minces. L’élancement de leurs arrêtes arabesques, leurs galbes enfin...  De ces matériaux fluides qui durcissent après la coulée, moulés (coque ou voile de béton, plâtre) – permis par la technique stimulant l’imaginaire des bâtisseurs.
            Drames solaires, vie héliotropique d’organismes simples… Soleil de midi, suspend de minuit. Clarté vaste comme la nuit… Ce temps que depuis la nuit des temps nous offre le soleil.
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indevoyages-blog · 5 years
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Explorez ces destinations touristiques de l'Inde en cet été
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Les vacances d'été sont au coin de la rue. Pour ceux qui espèrent se libérer et accumuler quelques souvenirs avec leurs proches en cette fin de printemps en Inde, il existe des stations de pente étonnantes. En dépit de ces zones accidentées, il existe d'autres sites intéressants à visiter en Inde en été.
1. Manali
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Une occasion à Manali évoque des images de montagnes verdoyantes au milieu de chaînes de montagnes couvertes de neige, un rafraîchissement indispensable et une escapade décontractée. Manali est l’un des plus beaux endroits à visiter en Inde en été. Il se transmet avec des paysages mercerisants, une végétation luxuriante et une végétation merveilleusement variée.
Instructions étape par étape pour atteindre:
L'aéroport le plus proche est Bhuntar, à 50 km de Manali
La tête de rail la plus proche est à Chandigarh, à 291 km de Manali
Excursion: Manali à 546 km de Delhi
Durée parfaite: 3-4 jours
Activités:
Profiter de l'expérience sportive de la vallée de Solang est l'une des meilleures activités estivales de l'Inde. Essayez le parapente, le zorbing, le quad et bien d'autres ici
Rendez-vous au Rohtang Pass pour jouer dans la neige en été
Détectez les animaux à ailes transitoires les plus charmants dans un asile des créatures volantes adjacent
Enquêter sur Kullu au hasard que vous avez plus de temps à proximité
2. Shimla
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Shimla est une station de ski exceptionnelle située dans le nord de l’Inde et figure parmi les excursions les plus réputées en été qui réussit merveilleusement à capturer le paradis indien avec le vernis britannique. Il est transmis avec une histoire riche et est béni avec une magnificence régulière. Si vous recherchez une retraite à la fois relaxante et amusante, Shimla doit faire partie des endroits les plus cool à visiter en Inde en mai et juin.
Instructions pour atteindre:
L'aéroport le plus proche est Chandigarh, à 115 km
La tête de ligne la plus proche est Kalka
Excursion: Shimla est à 360 km de Delhi
Durée parfaite: 3-4 jours
Activités:
Rue du centre commercial qui intéresse le plus le visiteur
La colline de Jakhu est un court trajet en voiture de Shimla. Visitez le temple de Lord Hanuman ici
Une autre étape importante est la Loge du vice-roi, qui a été aménagée sous la domination britannique.
Si vous êtes obsédé par le polo, faites escale à Annandale, à 4 km de la crête.
3. Ladakh
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L'excursion fantastique de chaque motard, le paysage montagneux beige du Ladakh, marque une différence captivante entre les lacs et le ciel bleus. L'été est considéré comme le meilleur moment pour visiter le Ladakh, ce qui en fait l'un des plus beaux objectifs de l'été en Inde. Les communautés religieuses bouddhistes populaires de l'Inde, par exemple, le monastère de Thiksey ajoutent des tonalités dynamiques à la scène.
Instructions étape par étape pour atteindre:
L’aéroport de Leh, au Ladakh, est très associé aux communautés urbaines comme Delhi.
La gare de Jammu Tawi est située à environ 700 km de la ville de Leh, dans le Ladakh. C'est la gare ferroviaire la plus proche du Ladakh.
Excursion: La ville importante la plus proche du Ladakh est Delhi, à 1 300 km. Au cas où vous organiseriez une excursion de Delhi au Ladakh, garantissez alors que vous prenez suffisamment d'arrêts en cours de route et permettez-vous de vous adapter.
Durée parfaite: 5-7 jours
Activités:
Enquêter sur les parcours difficiles du Ladakh sur un Enfield.
Profitez de la tranquillité à côté du lac émeraude Pangong Tso.
Promenez-vous à dos de chameau à travers les dunes de sable de la vallée de la Nubra, l'un des lieux les plus fréquentés du Ladakh.
4. Nainital
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Entouré de somptueuses pentes, Nainital figure parmi les plus beaux objectifs d’été de l’Inde. La simple disponibilité et les nombreux choix pratiques en font une escapade de fin de semaine privilégiée dans les zones urbaines comme Delhi et Chandigarh.
Instructions étape par étape pour atteindre:
L’aéroport de Pantnagar est le terminal d’avion le plus proche de Nainital, situé à 60 km.
La gare la plus proche de Nainital est la gare de Kathgodam, distante de 20 km.
Excursion: Delhi est la vraie ville la plus proche de Nainital. La distance entre les deux est de 300 km.
Terme parfait: 2-3 km
Activités:
Appréciez la dérive dans le lac Naini - une activité remarquable parmi les meilleures activités à Nainital.
Trek à Tiffin Top pour une perspective envoûtante sur la tombée de la nuit ou l'aube.
Allez voir des créatures volantes à Pangot et au sanctuaire d'oiseaux de Kilbury.
5. Mount Abu
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Mount Abu est la principale station de ski au Rajasthan. La ville de Mount Abu offre au voyageur beaucoup de brouhaha et, une fois de plus, si vous êtes à la recherche de l'harmonie, visiter les sanctuaires jaïns est un must. Arrêtez-vous au lac Nakki pour un trek rapide à la dérive et vous reconnaîtrez à quel point il fait revivre.
Instructions pour atteindre:
L'aéroport le plus proche est à Udaipur, à 207 km du mont Abu
La route la plus proche est Abu Road, à 29 km du mont Abu
Durée parfaite: 2-3 jours
Activités:
Le lac Nakki constitue le point de mire de la fascination. Vous pouvez y consacrer quelques minutes de détente et apprécier un tour en bateau.
Promenez-vous au point de tombée de la nuit pour voir le plus beau crépuscule
Visitez le sanctuaire mondialement connu de Delwara
Prenez le temps de visiter ce havre de vie sauvage, prestigieux pour sa variété de fleurs et ses teintes.
Pour plus d'informations s'il vous plaît visitez inde voyage
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