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#Même si on est encore amis
coolvieilledentelle · 7 months
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À tous les jeunes qu'on a connus. avant..
Et qui sont des vieillards. maintenant ! À toutes ces filles jadis si coquettes Maintenant en maison de retraite. Pour nous souvenir, prenons un instant Tant qu'il en est vraiment encore temps ! À tous ces garçons, hier si charmants Et qui, aujourd'hui, sont grisonnants, À toutes ces filles en mini-jupettes Ridées désormais comme des poires blettes, J'envoie ce message important Pour nous moquer un peu de nos tourments. On vieillit, on vieillit, On est de plus en plus raplati, raplati. On a la mémoire comme une "passette" On a du mal pour enfiler nos chaussettes. On est tout rabougri, déjà amorti, On oublie même parfois ses anciens amis. À tous mes virtuels correspondants Qui sont chaque jour devant leur écran À tous mes amis qui, par internet, M'envoient souvent des "blagounettes", Je souhaite qu'encore longtemps Nos échanges soient récurrents. Amitiés à tous ! Ceux qui se plaignent de vieillir doivent se rappeler que  c'est un privilège refusé à beaucoup !
Charlotte
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ekman · 1 month
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À peine a-t-on célébré la figure héroïque d’un Badinter raidi, champion incontesté du progressisme, pourfendeur de la peine de mort au nom du vaste humanisme républicain, que l’on s’empresse d’inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution. Entre esprits éclairés, frangins militants, satrapes opportunistes, féministes auto-décrétées, le congrès réuni à Versailles a rapidement pris des airs de kermesse à l’instant des résultats de la consultation. Vu l’accélération des revers présidentiels depuis deux gros mois, rendre “immuable” le droit à avorter devenait une affaire urgente. Créer en permanence des faux problèmes et relayer des causes Potemkine est devenu l’occupation principale du staff des conseillers sensés éclairer les pas d’un petit président perdu dans ses nuages blancs et sa dévorante ambition européenne. Échec face aux agriculteurs – échec de communication, s’entend, car pour le reste, ils pourront toujours monter sur leurs tracteurs pour se pendre : rien n’a changé ni ne changera. Visiblement, les Français élevés en batterie et stockés hors sol, bourrés de boosters et d’anti-tout, semblent maintenant résolus à mâchouiller des haricots verts kenyans pour accompagner leur cochon hormonal guatémaltèque. Échec aussi à la réunion des boute-feus européistes où il fut question d’imaginer la possibilité de déployer dix-sept poilus du côté de Kramatorsk au nom de la défense de l’UE et de ses valeurs formidables. Vents et contre-vents s’ensuivirent afin de signifier au pyromane élyséen que cette déclaration était à tout le moins inopportune. Même en cas de canicule carbonée, l’hiver nucléaire n’est pas souhaité. Avec l’Otan et ses affidés comme amis, plus besoin d’avoir Vladimir comme ennemi. 
L’urgence abortive s’explique mieux ainsi.
Le narratif peu inspiré des spin doctors de McKinsey a planté le décor : une droite ultra-réac comptant dans ses rangs des calotins acharnés, des phallocrates maladifs et des misogynes sadiques étant dès à présent aux portes d’un pouvoir trop bienveillant, il était absolument vital de mettre sous cloche un “droit” établi il y a cinquante ans pour faire cesser une autre boucherie, celle des “faiseuses d’anges” en l’espèce. Dès 1974, les préambules et autres prolégomènes de la loi appelaient à la prise de conscience des femmes et des hommes concernés, suggérant mille prudences autour d’un acte terrible autant qu’irréversible. Pour autant, l’histoire récente montre qu’il était déjà trop tard pour barrer la route au “jouissez sans entraves” des gorets de 1968 : au prétexte de libérer les femmes du fardeau de l’enfantement, on les assignait au rôle d’objets sexuels défécondables, conçus pour le seul plaisir de gauchistes pornocentrés et de bourgeois honteux. Belle avancée sur la voie de “l’émancipation”, lisait-on alors dans la presse progressiste. Cependant, comme ça enfantait toujours plus dans les chaumières, les canules se mirent à aspirer à un rythme soutenu les excès de plaisirs fugaces – c’est que la pilule n’était pas encore complètement entrée dans les mœurs, comprenez-vous. En outre, les capotes manquaient de romantisme, le coïtus interruptus ressemblait trop souvent à une loterie et la méthode Ogino n’intéressait que les paroissiens. Décennie après décennie, le nombre d’avortements n’allait que croître, malgré la contraception libre et quasi gratuite, le sida et les MST. La France, avec ses assoces frénétiquement pro-IVG, est devenue un phare dans le domaine. Toutes ces bonnes âmes sont parvenues à tourner un drame féminin en épopée féministe. Et pourtant. L’avortement, c’est d’abord un cœur humain qui cesse de battre. Au-delà des parfaites abruties qui se contre-foutent de la valeur d’une vie (mais adorent le bouddhisme qui est cool et hyper-respectueux), l’avortement c’est d’abord un échec, souvent un drame, toujours une défaite. C’est une borne sombre dressée sur le chemin de celle qui ne sera pas mère. Pour son compagnon, son jules ou son mari ça ne le sera pas moins, si tant est qu’il assume sa responsabilité et soit doué d’un minimum de conscience vitale. En France, la constitution autorise l’interruption de grossesse jusqu’à 14 semaines de gestation, ce qui veut dire que le foetus a déjà son visage, un cerveau et une moelle épinière fonctionnels. Cela, on ne va pas trop vous le dire et surtout on ne va pas vous le montrer, parce que l’on sait jusqu’à quel point les images de chiots dénutris sur Instagram vous émeuvent. Surtout, ne pas prendre conscience de la réalité des choses ni de l’existence des êtres. Votre sexualité, c’est votre liberté. Votre corps vous appartient. Jouissez sans entraves. Ni Dieu ni maître. Et d’ailleurs, comme vous le rappelait un bénévole du Planning Familial, on peut aussi bien assurer le renouvellement des générations avec Momo de Marrakech et Babacar de Dakar. C’est même souhaitable.
J.-M. M.
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jahanmp4 · 6 months
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Plus grosse win pour les Français honnêtement, le retour de cc!/q!Kameto va rajouter encore plus de drama parmi les passagers de l'avion.
cc!Kameto et cc!Etoiles sont bien évidemment de très bon amis irl, mais c'est devenu canon que q!Etoiles et q!Kameto sont également très proches. Ils se sont connus avant le crash de l'avion, c'est certain (je ne me rappelle pas si ils l'ont mentionné, ça fait un petit moment voyez-vous), et je trouve personnellement que q!Etoiles ne s'est jamais montré autant protecteur envers quelqu'un à part les œufs et tout particulièrement Pomme.
Ce qui rend la trahison encore plus douloureuse – et délicieuse. q!Etoiles serait prêt à faire exploser l'île si quelqu'un touche à q!Kameto, cela fait des mois maintenant que q!Etoiles garde un bon équipement pour le retour de q!Kameto, il est plus que réjouit de le voir enfin de retour, et il ne sait rien.
cc!Etoiles s'est quelque fois reposé sur du meta gaming pour justifier le fait que q!Kameto était globalement au courant de ce qu'il se passait sur l'île en partant du principe que cc!Kameto l'a vu lui-même via les réseaux sociaux, ce qui est un move de génie de la part de l'espion français. cc!Kameto joue justement sur le fait que q!Etoiles le croie innocent pour ancrer sa couverture : q!Kameto est juste ici pour passer un bon moment, q!Kameto va construire sa Kame House et tout se passera bien /ironique.
Hors RP, j'apprécie tout de même que la plupart des habitants ont exprimé leur joie de revoir q!/cc!Kameto après autant de temps et ne sont pas passé directement en mode interrogatoire intense pour ne pas lui donner la pression (seul q!Bad l'a fait, en prenant des notes sur lui, ce qui est encore mieux car l'accueil des autres lui a permis de penser un peu plus RP sans pour autant trop forcer). C'était tellement agréable à voir, les gens du QSMP sont incroyables, les admins aussi, on vous aime les admins <3
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fieriframes · 2 months
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[I am the hunter, and the hunted, joined together.]
XI - Les Esprits
À ce stade, je ne savais pas pourquoi je pensais que toute nouvelle information m'aiderait. Au lieu que je me rapproche d'une réponse, le labyrinthe venait de recevoir une nouvelle aile nommée d'après ce Trithemius.
En fait, je savais exactement quelle amie appeler.
Salut Snow, ça va ?
Snow: Ça va ! Et toi ? Comment était ton voyage à Londres ?
C'était trop bien ! Quoi de neuf ? Comment se passent les études ?
Snow: Honnêtement, je suis fatigué. J'ai vraiment hâte la fin du semestre. Je vais voir les darons pendant une semaine puis partir en vacances dans un endroit exotique et chaude aussi longtemps que possible. 
En parlant d'exotique; j’ai une question pour toi. Je me retrouve dans un mystère qui est récemment devenu obscur et je savais que tu étais la seule personne qui pouvait m'aider. Le nom Trithème, ça te dit quelque chose ?
Snow: Johannes ? Le mec qui a inventé la cryptographie et communiqué avec les esprits ? 
C’est lui. Je suis tombé sur une étrange maison d'édition qui réédite ses livres et j'ai voulu en savoir plus.
Snow: Réédite ses livres ? Bizarre, autant que je sache, aucun de ses livres n'a même été traduit. Mais je suppose qu'il y a toujours des gens qui connaissent le latin.
Dit moi un peu plus de sa cryptographie, je pensais que tu avais besoin d'un ordinateur pour ça. 
Snow: Le mec était un ordinateur. Certains des chiffres secrets étaient si compliqués qu'ils n'ont été décodés qu'il y a environ 20 ans.
Peut-être qu'on peut commencer avec des chiffres un peu moins compliqués ?
Snow: Le chiffre Ave Maria est probablement le plus drôle. Chaque lettre qu'on veut décoder a un (et parfois deux) mot latin correspondant. Par exemple, pour la lettre "E", les mots sont "dominus" et "magnus". On peut choisir entre les deux, en fait. Donc, si on veut décoder le mot "secret", le texte décrypté devient "Omnipotens dominus conditor fabricator magnus pacificus". Si on traduit ça en français, ça veut dire "Le Tout-Puissant, le Seigneur, le Faiseur, le Grand Pacificateur", une phrase qui pourrait facilement être une vraie prière latine, bien que peu créative. Son deuxième livre Polygraphie comprenait des centaines de pages de ce type d'écriture.  
Les gens ont dû penser qu'il était fou.
Snow: Oui, probablement même après son premier livre Stéganographie. 
Ah, c'est ça. Stéganographie est le livre que Mars Éditions a réédité.
Snow: Vraiment ? Pour moi c'est encore plus bizarre. Stéganographie se compose de trois parties. La dernière partie est incroyablement compliquée et contient des tableurs de données planétaires. Quelqu'un découvrait récemment que les nombres dans ces tableurs cachaient les messages secrets. Je n'arrive pas à comprendre moi-même.
Et les deux premières parties ?
Snow: Elles proposent des méthodes pour communiquer avec les esprits. En fait, les esprits spécifique ce qui Trithème mentionné par nom. Pamersiel, Padiel, Camuel, etc. Chacun régnant sur une différente partie du monde (sud, nord, etc.) et combien d'esprits subordonnés ils dirigent pendant le jour et pendant la nuit.
Quoi ? 
Snow: Oui, c'est vraiment quelque chose d'une autre planète. Chaque esprit a même son propre symbole, un sceau. Et, bien sûr, des instructions pour l'appeler.
Appeler les esprits ?
Snow: J'oubliais exactement comment, mais caché dans le livre sont des instructions pour appeler les esprits. Par exemple, si on veut convoquer l'esprit Pamersiel, on doit chanter une expression précise. Quand Pamersiel apparaît, on peut lui donner un message à transmettre à n'importe quoi. Mais, et c'est important: ce message doit être crypté avec des règles spécifiques pour cet esprit. Pour Pamersiel, on garde juste la première lettre de chaque mot. 
Si je veux transmettre le mot "secret", j'écris quelque chose comme "soudain, elle crie, ravie et triomphante"?
Snow: Exactement.
Et pour Padiel ?
Snow: C’est un peu plus compliqué. On doit prendre chaque deuxième lettre de chaque deuxième mot. Très différent que Pamersiel. Donc, si tu reçois un message, pour le décoder, tu dois savoir quel esprit l'a délivré.
Encore une fois, pour le mot "secret" avec Padiel, tu peux par exemple écrire "c'est assez, tu écartes or et argent". 
Snow: Tu es incroyablement doué pour ça. C'est correct. Une phrase un peu absurde mais aussi parfaitement Trithème-esque. Ce livre est une sorte d'annuaire téléphonique spirituel. Les gens ne savent toujours pas ce qui était le plus important pour Trithème : le spiritisme ou la cryptographie. 
Je pense que pour lui, les deux sont liés. Évidemment même l'astronomie si tu inclus le dernier partie de Stéganographie.
Snow: C'est vrai. Il a suscité l'intérêt de nombreux astronomes et mathématiciens de renom et même de linguistes, c'est ainsi que je suis tombé sur son travail. Mais je ne suis jamais allé trop loin dans le terrier du lapin.
Je pense que c'est exactement là où je vais aller maintenant.
Snow: Bonne chance. Fais attention, et dis moi si tu as besoin d'aide. 
Bien sûr ! Je te tiens au courant.
Snow: Parfait. A tout à l'heure !
Ciao !
Avec cet homme excentrique frais dans mon esprit, j'ai attrapé le livre Nuit Sans Fin et l'ai recouvert avec des yeux neufs.
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 114
La nouvelle routine s'est mise en place. Mes clients sont ravis que j'ai pu augmenter le rythme de nos rendez vous. A 4 passes par semaine vu qu'ils sont maintenant 8 ils y ont droit deux fois par mois. Avec l'augmentation de ma " disponibilité ", j'ai pu contenter 4 nouveaux clients pris pour la moitié dans les amateurs de gang bang et l'autre moitié par relation, tous TBM. C'est la marque de ma petite entreprise, la satisfaction des " hors normes " !
Marc entre dans une phase de travail intense avec déplacements et travail à la maison. Nous en discutons ensemble, ce sont des opportunités à ne pas laisser passer. Sacrifice temporaire ! Contrairement à la fois précédente, il ne sera pas obligé de m'organiser mon emploi du temps. Entre mon boulot de paysagiste, la gestion de mes deux poulains, mon taf d'escort officiel d'Emma, il ne me restera pas beaucoup de temps libre. Et là il me laisse libre de baiser avec n'importe lequel de nos amis. Juste quand ses déplacements dépasseront la semaine. Sinon je l'attendrai avec impatience. Mais je ne crois pas que je le ferais.
Je vais me retrouver donc seul un WE sur deux ! C'est Emma qui est contente, elle récupère ainsi mes samedis soirs libres pour sortir.
Mercredi dernier j'ai emmené Ed chez le grand black. A l'aller, il était content car c'était la condition que j'avais posé pour qu'il puisse à l'avenir participer à nos touzes. Quand nous sommes arrivés, Ed a été impressionné par le client. Faut dire que 2m, costaud, noir Kiwi, monté plus de 27 cm x un bon 6,5 de diamètre, ça de quoi impressionner un gamin d'1,66m par 48kg, blanc ! Le client était content que je puisse lui fournir deux jeunes hommes si semblables (âge, format) ;tout en étant si différents (origine). Il l'a tout de suite entrepris. Comme toujours, je reste dans un coin pour veiller sur ma " marchandise ". Ed se trouva nu en un temps record. Profitant de sa force et de la légèreté d'Ed, le client l'a empoigné par les hanches et l'a basculé, tête vers son sexe. Ajustement de la hauteur et Ed se retrouva la gorge empalée sur la mégabite noire. Pour pouvoir respirer et maîtriser un peu l'envahissement de sa gorge il prit appui de ses mains sur les genoux de son pineur. Le client de son coté la bouche posée sur l'anus d'Ed lui bouffait l'oignon à grand coup de langue. C'est la première fois que je voyais cette position à la verticale. Le plus impressionnant c'est qu'ils l'ont tenu un bon moment. Lorsque notre black a pensé qu'Ed était prêt, il l'a posé sur le lit et, profitant de sa position horizontale, s'est enfoncé jusqu'aux couilles dans sa gorge. J'ai entendu que chaque pénétration étranglait Ed. Je me suis approché pour lui dire de se calmer. Il s'est excusé. J'en ai profité pour vérifier la dilatation anale de mon ptit mec. Je ne tiens pas à ce que cette brute le déchire. Il lui avait bien salivé la porte et Ed s'était ouvert à presque 4 doigts. Ça plus un peu de poppers et il pourra prendre le black. Je me retire et disant que c'est Ok et qu'il peut y aller. Pour se faire pardonner, il se couche sur le dos et demande à Ed de venir lui même s'empaler sur sa queue. Malgré la préparation, je vois le visage d'Ed se crisper alors qu'il pousse pour faire entrer le gland. Je m'approche d'eux et lui passe le flacon sous le nez. Chaleur, grosse chaleur et de lui même Ed descend d'une bonne dizaine de cm. Il me réclame une nouvelle dose. Je repasse le flacon et il se retrouve les fesses collées aux cuisses noires. Là, il ne bouge plus. Je lui demande si ça va, il me répond que c'est dur mais que c'est bon aussi. Je m'écarte.
Il reste bien 2/3 minutes sans bouger. Il remonte mais n'ose pas encore sortir toute la bite de son cul. Par contre je l'entends demander plus de gel. Le client se tartine à nouveau la kpote et Ed se rassoit. Le contraste entre les deux protagonistes est total, bien plus qu'avec Jimmy. Ed s'enhardi et entame un " pas " puis un " trot " appréciant sa nouvelle " selle ". Quand son anus s'est bien dilaté, il tourne la tête vers moi et me fait un clin d'oeil. Le black commence à le traiter de " ptite salope ", de " cul à baiser "... il le prend par les hanches et rythme lui même le mouvement d'Ed. Il (le black) se glisse vers le bord du lit et s'assoit en demandant à Ed de serrer ses cuisses contre ses hanches et de s'accrocher à son cou. Là il se lève. Il vient vers moi, me félicite de lui avoir trouvé deux jeunes aussi salopes puis s'écarte et plaque Ed contre un mur pour le fixer alors qu'il reprend le pilonnage anal. Le mec est résistant et je sais qu'il va limer un bon moment. Il bouge encore et vient poser Ed sur le plateau d'une commode, le cul juste au bord. Il n'oublie pas de graisser régulièrement sa tige. Ed est bien parti et même sans poppers donne tout ce qu'il a. Alors que le client l'écrase un peu, il s'empare d'un des gros tétons et l'aspire, le suce, en un mot le tète. Quand il le relâche pour attaquer le second, il découvre un téton raide d'un bon centimètre de longueur. Ses doigts remplacent sa bouche et le client gémis tout en continuant à limer le petit cul blanc d'Ed. Soudain, il se jette en arrière arrachant ses tétons aux bons soins de la bouche d'Ed et se bloque au fond de son cul. Il tressaute 4 à 5 fois avant de sortir. C'est seulement quand il s'est arraché qu'Ed a jute, bon point pour lui ! Comme toujours, le demi-verre de sperme qui distend la kpote est impressionnant. Nous envoyons Ed se doucher et le client me reprend l'enveloppe qu'il m'avait donné dès l'entrée pour refaire le chèque. Ce qu'il y a de bien chez mes clients c'est qu'ils sont suffisamment honnêtes pour reconnaître que parfois ça vaut plus que la passe de routine. Quand il me tend le nouveau papier, j'ai le plaisir d'y lire un montant augmenté de 50%. Pas mal !
Quand je ramène Ed chez lui, il n'y a personne, le ptit frère est au foot. J'en profite pour l'accompagner jusqu'à sa chambre. Grande, dans les 25m², posters d'équitation au mur !!! Aspect très comme il faut. Comme il n'a pas arrêté de me malaxer le paquet pendant le trajet en moto, je bande encore comme un taureau. Je le pousse sur son lit. Il a compris et défait ceinture et boutons de son 501. Je lui baisse le slip et tâte son anus. Malgré ce qu'il vient de se prendre, il s'est bien refermé et je dois saliver pour le rouvrir. J'ouvre ma combi par le bas, sors mes 20cm et les lui mets profond. Malgré ce qu'il vient de se prendre, son cul s'est bien resserré et je ne " nage " pas dedans. Je lui dis qu'il va falloir qu'il s'exerce à refermer son trou sur un crayon de bois. Il me demande comment et je lui explique les exercices de contractions annales qu'il va devoir faire si il ne veut pas que son anus ressemble à une chatte baveuse. Je reprends mon enculade sans douceur. Ed encaisse comme un pro. Son cul est trop bon. Je finis par éjaculer dedans, mes mains retenant ses hanches pour donner tout au fond de son cul. Il jute dans sa main pour ne pas en mettre partout. Je lui fais bouffer son sperme. Après m'être lavé la queue, je le quitte.
Quand je rentre, je suis seul pour encore un bon moment. Je vais à l'appart et y trouve Jimmy devant la télé. Il ne fait pas très chaud mais la piscine est chauffée et nous allons nous y délasser. Je pars pour 1h à contre courant pendant qu'il nage trankil à coté. Nous sommes interrompus par Marc qui est arrivé avec les peignoirs. Nous rentrons et Jimmy toujours " serviable " tombe à genoux aux pieds de Marc et avant qu'il ait eu le temps de réagir, entame un pipe. La bite mole prend très vite de l'épaisseur et défonce rapidement la gorge de mon petit protégé. Le mercredi, c'est le tour d'Ed et du coup il est en manque ! De mon coté je roule une pelle à mon mec. 10mn de ce régime, Jimmy exerçant des aspirations de plus en plus fortes, massant le gland derrière son larynx, Marc explose et il le gave de jus. J'en récupère une partie en roulant un patin à Jimmy.
Marc décide de garder Jimmy pour la soirée.
JARDINIER
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theoppositeofadults · 1 month
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dearest beloveds,
ça fait des siècles que je ne vous ai pas raconté ma vie de manière régulière donc!! petit update post!! (depuis début 2024)
j'ai changé de boulot en janvier!!! mon changement de boulot m'a valu une mention dans un gros journal et je ne suis plus à deux doigts d'un mental breakdown, ce qui me parait très positif, même si je m'ennuie beaucoup (et que je vais devoir recadrer un de mes collègues qui s'est attribué 2 fois cette semaine le mérite d'un travail que j'ai fait).
ma nouvelle manager est très encourageante/donne des opportunités/... donc c'est plutôt bien, même si on a des styles de travail très différent.
le reste de mes collègues.... bof, à part un ou deux des personnes très seniors que je connaissais avant - ce qui ne m'aide pas dans mon problème suivant : les gens pensent que je suis VIEILLE ! j'ai été engagée comme manager et je refuse de socialiser pendant mon temps libre avec les "jeunes" qui sont lame (et qui d'ailleurs m'excluent régulièrement!) donc les gens ne me placent presque plus dans la catégorie des jeunes. quelqu'un pensait que j'avais 30 (TRENTE) ans. j'en ai 24 !! je suis plus jeune que la moitié des stagiaires lol. problème à régler, merci de m'envoyer vos conseils pour avoir de nouveau l'air jeune et mims
parlant de collègues, je suis devenue excellente amie maintenant avec mon ancienne manager qui a été une grande partie de mon départ de mon ancien boulot. turns out, elle est très sympa quand je ne dois pas travailler avec elle !
j'ai : beaucoup de temps libre maintenant (parfois je rentre chez moi à 15h) ce qui me permet de vaquer à mes occupations principales : - - faire la sieste - cuisiner (au moins 1 fois par semaine dans ma casserole Le Creuset) - peindre, - aller au cinéma (au moins 3 fois par mois) et - faire du sport. je m'y suis enfin remise sérieusement - je fais du yoga, du pilates, des cours régulièrement, je nage,.... et je suis devenue une cycliste ! si vous voyez un vélo faire du 2km/h dans les rues de Bruxelles, c'est sûrement moi.
anyways. je vais mieux??? encore un peu dans ma "mélancolie era" mais tout le monde que je vois me dit à quel point j'ai l'air d'être en meilleure forme, ce qui me fait grandement plaisir
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kilfeur · 2 months
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Ce combat avec Adam montre la différence de pouvoir entre Alastor, Charlie, Lucifer et Alastor. Lors de la chanson entre Lucifer et Alastor il parle de ses possessions et de son pouvoir. Mais quand l'hôtel est en danger ainsi que sa fille, il montre vraiment de quoi il est capable. Donc ouais Lucifer aurait pu tuer Alastor si il avait posé une menace bien plus présente à l'hôtel. Toutefois bien qu'il y ait un marché entre Charlie et Alastor, je penche plus sur le fait qu'elle devrait le sauver à un certain point contre les anges voir même Lilith.
D'ailleurs la partie chanté d'Alastor dans la chanson final. Il y a des différences encore une fois dans la vo et vf. Dans le passage où justement où on voit son ombre puis son visage. Parlant du "Great Alastor Altruist died for his friend. Sorry to disappoint that is not( where it's end" (Le grand Alastor altruiste meure pour ses amis. Désolé de décevoir mais ce n'est pas comme ça que ça se termine) en anglais. Mais en Français ça dit "Alastor reviendra soyez bien préparés, il vous éblouira". (Alastor will be back, be well prepared, he will dazzle you) Là il ne s'agit pas d'amis mais avant tout de lui même.
Quand il se retourne en anglais il dit "The constraints of my deal will surely you have a back door". (Les restrictions de mon marché a sûrement une porte de sortie.) En français, il dit "Par mes choix, me voilà un peu plus vulnérable". Ce n'est les restrictions dont il parle mais les choix en français pourront faire allusion à Lilith, le fait qu'il reste à l'hôtel. Une dernière pour la route, en anglais "Once I figure out, how to unclip my wings, guess who will be pulling the strings. (Quand j'aurai compris comment enlever mes ailes, devinez qui va tirer les ficelles). Closer to the angels, but this time those wings are a hindrance to his freedom. En français "Lorsque j'aurai trouvé le moyen de me libérer, devinez qui va régner" ("When I find a way to free myself, guess who's going to rule".) Ce qui est j'avoue plus direct comparé à la vo mais j'imagine qu'ils voulaient plus se caler au rythme de la chanson qu'un traduction littérale.
This fight with Adam shows the difference in power between Alastor, Charlie, Lucifer and Alastor. In the song between Lucifer and Alastor, he talks about his possessions and his power. But when the hotel and his daughter are in danger, he really shows what he's capable of. So yeah, Lucifer could have killed Alastor if he'd posed a much more present threat to the hotel. However although there's a deal between Charlie and Alastor, I'm leaning more towards her saving him at some point from the angels or even Lilith.
Moreover, Alastor's singing part in the final song. Once again, there are differences between the english version and the french version. In the passage where we see his shadow and then his face. Speaking of "Great Alastor Altruist dying for his friend. (Le grand altruiste Alastor meure pour ses amis. Désolé de décevoir mais ce n'est pas comme ça que ça se termine.) in english. But in French it says "Alastor reviendra soyez bien préparés, il vous éblouira." (Alastor will be back, be well prepared, he will dazzle you) Here it's not about friends, but about himself.
The constraints of my deal will surely have a back door".(Les restrictions de mon marché a sûrement une porte de sortie.) In French, he says "Par mes choix, me voilà un peu plus vulnérable". It's not the restrictions he's talking about, but the choices in French could allude to Lilith, the fact that he's staying at the hotel. One last for the road, in English "Once I figure out, how to unclip my wings, guess who will be pulling the strings."(Quand j'aurai compris comment enlever mes ailes, devinez qui va tirer les ficelles). Closer to the angels, but this time those wings are a hindrance to his freedom. In French, "Lorsque j'aurai trouvé le moyen de me libérer, devinez qui va régner" ("When I find a way to free myself, guess who's going to rule").
Which is admittedly more direct than the english version, but I imagine they were more intent on keeping to the rhythm of the song than a literal translation.
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perduedansmatete · 2 months
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@wonderbandersnatch m'a taggué il y a mille ans pour répondre à un genre de questionnaire de proust donc je m'exécute enfin tant bien que mal:
ma vertu préférée
je copie mais l'empathie c'est une super vertu
le principal trait de mon caractère
dévouée je dirais
ce que j'apprécie le plus chez mes ami.e.s
chez mes meilleurs amis je pense que ce que je préfère c'est leur désinvolture et leur capacité à faire n'importe quoi comme si on était encore adolescents
mon principal défaut
l'indécision
mon occupation préférée
le quatuor gagnant: être à un concert, dormir, baiser et faire des listes
Votre idée du bonheur
ne pas vivre dans l'angoisse d'absolument tout
Votre idée du malheur ?
mourir sans jamais avoir eu de chat à soi
Ce que je voudrais être
je n'en ai aucune idée actuellement mais petite j'ai voulu être chanteuse d'opéra pendant un temps pour les raisons suivantes: je pensais que j'avais du talent (ceci dit jusqu'à longtemps j'ai pu chanter l'air de la nuit de la flûte enchantée et j'adorais la réputation que ça me donnait), je me disais que je gagnerais plein d'argent, que je travaillerais dans de beaux décors et surtout que je serais pas hyper connue comme si j'étais une rockstar et ça je trouvais ça cool d'être tranquille mais riche voilà et je trouve encore que c'est un bon plan finalement donc allez chanteuse d'opéra
le pays où je désirerais vivre
je sais pas si j'aimerais y vivre mais je suis obsédée par l'islande, j'ai failli y aller il y a quelques années mais covid oblige ça a été annulé bref.
la couleur que je préfère
franchement je porte que du noir donc bon, mais j'aime les couleurs reposantes sinon comme les couleurs pastel et aussi j'adore le bordeaux bien profond (mais du coup noir quand même)
la fleur que j'aime
j'aime beaucoup les petites fleurs des champs et les boutons d'or!!!
l'oiseau que je préfère
les hirondelles <3
mes auteur.e.s favori.te.s en prose
j'ai lu trop de sartre à cause de ma prof de philo de terminale dont j'étais amoureuse pour ne pas le nommer, sinon despentes, les sœurs brontë et après je ne sais pas trop car je lis rarement plus de deux ou trois ouvrages d'une même personne bouuuh la nullos
mes poètes préféré.e.s
rimbaud, baudelaire, éluard, plath et... lana del rey mouhahaha j'écris ce que je veux
mes héros favoris dans la fiction
bojack, perceval dans kaamelott mdr, le prêtre dans fleabag, scott pilgrim ce gros loser et j'ai pas trop d'autres d'idées car j'aime pas les hommes pardon (sauf les nuls et ceux qui font pitié)
mes héroïnes favorites dans la fiction
jane eyre, fleabag, amélie poulain, thelma ou louise? louise ou thelma? je sais pas donc les deux car l'une ne va pas sans l'autre, lou et reine amy dunne
mes compositeurices préféré.e.s
je sais pas si par compositeur c'est juste à l'ancienne ou compositeur de musique en général... si c'est à l'ancienne je dirais satie car je l'écoutais beaucoup fut un temps pour me calmer et j'ai pas d'autres noms car j'en écoute pas assez pour avoir des compositeurs où je me dis ouaaaa c'est mon préféré celui-là
mes peintres favori.te.s
munch, klimt, mucha, o'keeffe, schiele et pas mon père (bien qu'il adore peindre, il est plus doué avec son stylo bic qu'avec un pinceau)
le personnage historique qui me déplaît le plus
thatcher car j'ai déjà dit que j'aimais pas les hommes donc comme ça j'équilibre
ma nourriture et ma boisson préférées
j'adore manger coréen depuis toujours et je pourrais ne boire que des bloody mary (ou de l'eau, c'est très bon l'eau)
mes noms favoris
si seulement on ne m'avait pas volé mon téléphone avec ma fameuse liste de prénoms préférés parmi toutes mes listes... mais pour en donner un je vais dire anouck. je trouve ça classe.
ce que je déteste par-dessus tout
le capitalisme
le don de la nature que je voudrais avoir
là comme ça j'aimerais bien pouvoir voler ça m'éviterait de prendre le métro et tout ce que ça implique
comment j'aimerais mourir
version suicide: me balancer d'une falaise
version tout va bien dans ma vie: dans mon sommeil comme ça c'est tranquille je le vois pas venir, classique, pas de regret, tout est bien qui finit bien
mon état d'esprit actuel
frustrée, énervée, triste, j'aime pas cette journée alors je me suis dit que j'allais enfin répondre à ce questionnaire pour m'occuper l'esprit mais deux de mes caractéristiques premières étant l'indécision et l'incapacité à savoir quelles sont mes choses préférées c'est compliqué donc je suis d'autant plus frustrée!!!! mais j'arrive au bout donc je suis quand même contente...
les fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence
franchement j'en ai aucune idée, je crois que je suis très indulgente en général avec les fautes des autres sauf si c'est des pures merdes
ma devise favorite
le seul moyen de se délivrer d'une tentation c'est d'y céder il avait bien raison celui là si vous voulez mon avis
voilà fini!! et je tague personne car il faut être motivé pour y répondre mais si quelqu'un a envie go car c'était quand même sympa à faire alors merci @wonderbandersnatch <3
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mailamoon · 4 months
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Pour bien finir l'année, voici une petite fantaisie inspirée par l'AU Lyon de @sibmakesart. One Piece dans la capitale de la gastronomie française, Sanji alsacien, Zoro breton ❤️
Pour les francophones qui passent par ici, je vous invite à aller visiter son Tumblr, elle est super douée et son délire sur Lyon est absolument délectable (moi je plonge dedans les yeux fermés !).
C'est parti pour une petite soirée lyonnaise avec nos pirates préférés !
Un soir à Lyon...
Au cœur de la nuit, dans la ruelle, une porte s’ouvrit, laissant de la lumière éclairer la rue sombre. Un jeune homme en franchit le seuil en s’allumant une cigarette, un sac en plastique à la main.
- Hé, l’aubergine, tu sors cette nuit ? Lança une voix autoritaire depuis l’intérieur.
Le jeune homme se retourna en soufflant sa fumée.
- En quoi ça t’intéresse vieux shnock ? Fit-il d’un ton ennuyé.
- Encore ce breton ?
- C’est pas tes oignons.
- Ah, claqua la voix, fais gaffe à toi !
- C’est ça, bonne soirée, àbgenutzdi.
-HÉ !
Le jeune homme referma la porte sans attendre de savoir ce que l’autre voulait répondre. Il regarda autour de lui, visiblement à la recherche de quelque chose, mais la ruelle était déserte. Un soupir bruyant quitta ses lèvres et il grommela quelque chose qui ressemblait à « encore en retard dawer säckel de breton ». Il donna un coup de pied à une cannette qui traînait tristement sur l’asphalte. Une sonnerie retentit de sa poche et il en sortit son téléphone.
- Allo ?
- Allo, Sanji ? Fit une voie féminine.
- Nami ! T’as pas vu Zoro ?
- Beeeeh si, justement, c’est pour ça que je t’appelle.
- Il est avec vous ? Demanda-t-il en entendant Usopp et Luffy se disputer derrière elle.
- Non il est pas… TAISEZ-VOUS ! Putain, j’essaie de parler au téléphone ! Je te disais, non il n’est pas avec nous. Il m'a dit qu’il devait passer te prendre à la fin du service mais il a fait tomber son portable dans le Rhône cet après-midi. Je sais que t’avais enregistré les coordonnées du bouchon dedans…
Sanji leva les yeux au ciel.
- Donc il est perdu ?
- Tu le connais, il n’est pas capable de distinguer sa gauche de sa droite. Bref, je voulais juste te prévenir, pas que tu l’attende et… VOUS ALLEZ VOUS CALMER ! LES VOISINS VONT ENCORE APPELER LES FLICS SI VOUS CONTINUEZ ! Pardon Sanji, je te laisse.
La communication se coupa.
-GOPFERDAMMI ! Cria Sanji en donnant un coup de poing dans le vide. Il tira rageusement sur sa cigarette. C’était GRAND Lyon, qui sait où ce connard de primate avait bien pu aller ?!
Sanji se mit en route, la nuit promettait d’être longue.
C’est au petit matin que l’alsacien retrouva enfin le breton. Après avoir parcouru la ville de long en large et en travers. Après avoir espéré que non, non, non ce bon à rien ne s’était quand même pas aventuré dans les sous-sols de Lyon… Il avançait enfin vers lui.
Zoro était accoudé à la rambarde de Fourvière en train de contempler les rayons du soleil qui commençaient timidement à pointer le bout de leurs nez sur la ville.
Après de longues heures de recherches, Sanji sentait une certaine fatigue gagner ses jambes. Il s’avança sans bruit derrière son petit ami.
- Hé, nixnutz !
L’homme aux cheveux vert ne sursauta même pas. Il tourna la tête vers Sanji. Malgré ses yeux cernés, un sourire éclaira son visage.
- Te voilà enfin cuistot !
Sanji roula des yeux. L’autre lui sortait ça comme si cette fichue basilique avait été leur point de rendez-vous depuis le début. Il appuya son dos contre la rambarde en frôlant le coude de Zoro.
- Tu m’as encore fais courir, fit-il en s’allumant une cigarette et en soufflant sa fumée dans l’air cristallin du petit matin.
- Genaoueg ! Je savais que t’arriverais à me retrouver.
Sanji lui tendit le sac qu’il avait transporté avec lui la moitié de la nuit. Zoro l’ouvrit pour y trouver une bouteille de chouchen et des bretzels enveloppés dans un papier kraft. Il prit la bouteille et sortit de sa poche un couteau suisse pour la déboucher.
- Pas de verre. Constata-t-il.
- Non, pas de verre. J’ai pas envie qu’on en casse d’autres. Le vieux va encore criser si les stocks continuent de diminuer.
Zoro porta la bouteille à sa bouche pour boire au goulot. La saveur lui rappelait sa région. Il passa ensuite le chouchen à Sanji qui bu à son tour.
- La prochaine fois j’amène du schnaps.
- C’est quoi ça ?
- C’est plus fort, ça devrait te plaire. Même si je préfère un bon pinot gris vieille vignes…
- Qu’est-ce que tu marmonne ?
Le blond lui sourit et, sans un mot, s’avança vers lui pour l’enlacer en collant son corps au sien. Ils s’embrassèrent puis s’appuyèrent de nouveau à la rambarde, coude à coude en se passant le chouchen et les bretzels. Ils restèrent là à regarder le lever de soleil sur Lyon en savourant ce petit déjeuner alcoolisé improvisé.
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swgzl · 3 months
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BACK TO THE FUTURE.
Un projet sur lequel j'ai travaillé avec Monocle et Sophie. Design by Monocle, code par moi-même.
Contexte :
2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitant·e·s. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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alexar60 · 8 months
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Tomber, encore
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Il était peu rassuré, fébrile.
Il trouvait cela même débile.
Rencontrer quelqu’un sans la connaitre,
Sans avoir réellement vu sa tête.
Il a suffi d’un clic sur internet
Pour qu’une belle femme réponde direct.
Est-ce ça l’amour ? L’amour ?
Il a souvenir d’une ex-copine
Qui, au début se montrait câline.
Mais cela ne dura qu’un temps
Remplacé par la jalousie dès l’instant
Qu’il croisait le regard d’une autre.
Un simple sourire devenait une faute.
L’amour, est-ce ça l’amour ?
Je te veux mon chéri,
Et pourquoi pas pour toute la vie !
Sur quelle folle, vais-je, cette fois, tomber, encore?
Je te veux mon chéri,
Et pourquoi pas pour toute la vie !
Sur quelle folle vais-je, cette fois, tomber, encore?
Sans prévenir, ses amies l’ont inscrite
Sur un site, car il était de principe
De ne pas la laisser finir seule
A élever des chats et boire du tilleul.
A son annonce, elles ont de suite répondu
Parce qu’il semblait beau, pourtant méconnu.
Est-ce ça l’amour ? L’amour ?
Elle n’a jamais eu de chance,
Tombant sur des cons sans intelligence.
Comme le dernier qui n’a pas eu la décence
D’appeler au moins une ambulance
Après avoir laissé des bleus sur son visage.
Il disait qu’elle n’était pas sage.
L’amour, Est-ce ça l’amour ?
Je te veux ma chérie,
Et pourquoi pas pour toute la vie !
Sur quel malade, vais-je, cette fois, tomber, encore?
Je te veux ma chérie,
Et pourquoi pas pour toute la vie !
Sur quel malade vais-je, cette fois,  tomber, encore?
Madame, excusez ma maladresse…
Monsieur, ne croyez que je paraisse…
Je ne cherche qu’une amitié sentimentale
Et moi,  une relation sans scandale.
Et si au début du repas, ils étaient tendus,
Leurs rires ont supprimé les malentendus
L’amour, est-ce ça l’amour ?
Alex@r60 – août 2023
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morphinedoutretombe · 4 months
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Ne fleurissez pas ma tombe... Je refuse de reposer sous un bouquet de mensonges... La solitude a toujours été ma véritable amie... Dans les flaques de mes larmes, je ne vois que mon propre reflet... Déformé par la souffrance... Mes cicatrices sont l'unique tendresse que j'ai connu... L'humanité est le poison qui coule encore dans mes veines... Laissez moi m'épanouir dans la pénombre... Que ma voix ne résonne que dans les ténèbres... Afin d'y trouver ma place... Mon identité... Aussi unique que ma sensibilité à fleur de peau... Si blafarde... Je ne suis ni princesse ni reine de quoi ou qui que ce soit... Seulement une créature qui rêve de liberté d'exister dans un monde façonné à son image... Mon corps n'est qu'un détail... Mon esprit fuira par la moindre faille... Même en cage, je m' évaporais dans les airs... Sans un mot ni même un murmure... Juste mon absence comme la vôtre que je supporte depuis une éternité...
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chinomiko · 2 months
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Hey ! 🤗
Aurais-tu des conseils à donner pour des personnes souhaitant apprendre à dessiner ?
Ps : je te suis depuis le début de la création du jeu Amour Sucré et ton évolution est incroyable ! Ton travail est super inspirant ! Je te souhaite une bonne journée et une bonne continuation ! ❤️
Coucou Ca fait longtemps alors ! Merci beaucoup ❤️❤️❤️
Je pense avoir déjà répondu à cette question ici en anglais, alors je vais juste le traduire en Français en espérant que ce soit suffisant :) (mais sinon vous me direz ! )
Les conseils que je peux donner n'ont rien de vraiment magique, mais les voilà !
Amusez-vous en dessinant, c'est bête, mais c'est le PLUS important avant tout. Surtout quand c'est en tant que loisir, pour le plaisir.
Il vaut mieux arrêter votre dessin à un moment donné où vous prenez encore plaisir à travailler dessus (et y revenir plus tard) que de continuer à dessiner jusqu'à ce que vous soyez frustré/énervé dessus. Ca permet de garder un sentiment "positif" sur notre dessin et notre envie de dessiner.
Prendre le temps de travailler et apprendre les bases du dessin. Oui ça peut être casse pied, oui ça peut ne pas vous intéresser, mais au bout du compte c'est toujours utile et nécessaire. Et il serait dommage de s'en rendre compte "trop tard", c'est à dire d'avoir perdu des années d'apprentissage alors que vous auriez pu, y accorder juste un petit peu de temps régulièrement et ça vous aurez déjà permis de cumuler du savoir et progresser plus vite par la même occasion.
Si vous ne pouvez pas, ou n'avez pas envie de dessiner pendant un certain temps, ce n'est PAS GRAVE. Vous pouvez toujours apprendre beaucoup de choses juste en gardant l'œil et en observant, en analysant votre environnement (la forme et le volume d'un objet, comment se propage la lumière sous tel éclairage etc... ) Donc apprendre à observer et pas juste regarder.
Trouvez des amis dessineux, dans une ambiance saine (indispensable). Vous pouvez être un moteur extrêmement positif et motivant les uns pour les autres et créer une vraie émulation. Ca me manque personnellement de ne plus avoir ça !
D'un point de vue plus direct et plus "dans" la pratique, comme pour ce qui concerne des tutoriels, je recommanderais vraiment la chaîne de Marc Brunet. (en anglais) Je le trouve très sympa, il a beaucoup d'expérience, et il sait partager de manière amusante. Ses vidéos sont toujours fun à regarder et vous trouverez une grande variété de sujets ou thématiques selon vos besoins. C'est facile d'accès pour les débutants et même si vous êtes un artiste plus confirmé, il y a encore beaucoup à apprendre de lui.
J'espère que ces petits tips vous aideront, bonne chance dans votre parcours artistique ! 😊
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 109
Vendredi :
J'emmène Jimmy chez le père de Ric, hé oui, les amis en premier. Son troisième client sera le père de Pierre. Les autres passeront après.
Même si il s'occupe encore beaucoup de Ric, il n'est pas sans porter intérêt à ce que je peux lui proposer comme nouveauté. ;Je lui précise juste en arrivant qu'il n'a pas l'expérience de son Ric et donc qu'il faut qu'il y aille cool. Il me dit qu'il se souvient très bien des débuts.
Il me remet mon enveloppe. Je feuillette les billets pendant qu'on le suit dans son bureau. Comme Xavier, il a majoré la somme. Je le remercie, il me dit que c'est normal pour me remercier du service apporté. J'empoche. Il s'assied derrière son bureau et demande à Jimmy de se mettre nu. Ce dernier s'exécute, ce n'est pas trop mal. Quand il en arrive à descendre son slip, je vois bien qu'André (le vieux) bande comme un taureau. Il ne peut cacher ses 27cm x 7 qui dépassent du plateau de son bureau. Jimmy est surpris. C'est vrai que même à coté de Xavier, la bite d'André fait monstrueuse. Il se lève de son fauteuil, fait le tour du bureau et appui ses fesses dessus. Sa bite sort de par la braguette. Il passe une main dedans pour passer ses couilles à l'air libre. Jimmy comme hypnotisé, avance s'agenouille et le prend dans sa bouche. Je l'observe faire, pour pouvoir corriger au retour. Il s'applique sur le gland et arrache à André un satisfécit. Ce dernier m'en fait part et dit reconnaitre ma patte dans sa façon de travailler un gland. Je lui demande si c'est un problème, il me répond que s'en serait un si c'était du mauvais travail mais que ce n'est pas le cas.
Il pose sa main sur la nuque de Jimmy et appui doucement pour lui faire comprendre d'en bouffer un peu plus. Aussitôt Jimmy se met à pomper. J'observe la mâchoire, il ouvre grand pour en prendre le maximum et sa gorge se déforme sous la poussée d'André. Dan cette position (à genoux devant André debout) il ne peu en prendre plus de ma moitié. André le soulève comme une plume et le pose en travers du bureau, la tête pendante sur le bord. Jimmy connait cette position qui lui permet d'en prendre plus en gorge. De lui-même il pousse sa tête en arrière et ouvre grand la bouche. André s'y engouffre et lui tenant la tête entre ses mains, s'enfonce derrière la glotte. Malgré tous les efforts de Jimmy, il laisse 3 bons cm dehors. Quand André sort, il s'excuse de ne pouvoir faire mieux. Ce dernier lui caresse la joue et lui dit que ce n'est qu'une histoire de temps (Ric lui arrive à la bouffer totalement), et il lui renfourne sa bite. Se tournant vers moi, André me demande si de l'autre coté, il aura autant de mal. Je le rassure et lui certifie qu'il pourra y entrer tout son matériel. Aussitôt dit aussitôt fait et il le fait pivoter pour avoir son cul devant les yeux. Il se baisse et va tâter de la langue l'anneau qu'il ne va pas tarder à défoncer. Il le mouille bien mais je lui dis qu'il faudra quand même mettre du lubrifiant. Il se redresse, se kpote et se couvre de gel. Il pose son gland sur l'anneau et me demande du poppers. Je lui dis qu'avec Jimmy ce n'est pas nécessaire, il s'ouvre aux dimensions désirées sans artifices. Rassuré, il s'enfonce dans les profondeurs des on boyau. Comme prévu, Jimmy s'ouvre bien et son anus se déplisse pour accepter la saillie. André me fait la remarque qu'il se sent quand même bien serré malgré la facilité de pénétration. Il s'enfonce jusqu'aux couilles. Jimmy tourne la tête vers moi et je lui fais un signe de la tête pour le féliciter. Il regarde alors André avec un sourire qui lui barre le visage. André commence alors un limage en règle. Lentement dans un premier temps, pour bien habituer le boyau au diamètre de son mandrin puis, plus rapidement. Jimmy se redresse et passe ses mains derrière le cou d'André, je saurais plus tard que son dos raclait la surface du bureau et que ce n'était pas agréable.
André se déchaine et je sens qu'il va bientôt jouir. Il se redresse brusquement, soulevant Jimmy du bureau. Il le tient bien enfoncé sur sa queue et je le vois trembler à chaque éjaculation. Jimmy ne peut se retenir et lui jute sur son gilet de costume.
Il m'offre un whisky pendant que Jimmy se douche dans la salle d'eau attenante. Il me demande comment est ma deuxième recrue. Je le lui décris et ajoutant que pour lui c'est poppers ou pas de pénétration. Il me répond que le principal c'est de pouvoir entrer. Il me dit aussi qu'avec un peu "entrainement, Jimmy sera capable de l'avaler entier comme Ric, j'acquiesce.
Je lui demande comment ça va avec son fils. Il me dit que ce dernier lui donne toute satisfaction, aussi bien à la fac que dans son lit. Je lui dis que bientôt, il devra se faire à l'idée que Ric puisse se trouver un mec à lui. Ça me vaut un regard noir. Je l'assure que je serais toujours là pour lui fournir de quoi s'amuser. Il me dit surement moins disponible que son fils. Je lui réponds alors qu'à terme, un ptit mec comme Jimmy pourrait lui être un serviteur full services.
Il me dit qu'il n'y avait pas encore pensé mais que ce serait surement la bonne solution pour lui.
Jimmy nous rejoint et nous cessons cette conversation.
Nous rentrons. En cours de route (nous sommes en voiture) je lui demande comment il a trouvé André. Il me dit qu'il l'a trouvé sympathique. Je lui demande si un jour il pourrait envisager d'entrer à son service, il ne comprend pas et je lui explique ce que pourrait être sa vie future. Il réfléchit et me dit que si c'est ce que je pense être le mieux pour lui alors pourquoi pas. Je lui dis que ce n'est pas encore d'actualité mais que s'il le voulait, nous pourrions envisager une formation " maitre d'hôtel / secrétariat" plutôt que son taf de jardinier. Il me dit que ce serait peut être mieux alors. Je me promets d'en reparler à André et de voir ce qui existe comme formation dans les environs.
Quand Marc rentre je lui fais part de mes cogitations. Il est d'accord avec moi. La formation secrétariat / maitre d'hôtel en sus des services sexuels pourrait être une bonne porte de sortie pour Jimmy. Comme on est vendredi, j'en touche deux mots à Samir et lui demande par la même occasion comment le père de Jimmy prenait les choses. Il me dit que c'est une bonne idée et que pour le vieux de Jimmy y'avait pas à s'en faire, il avait annoncé à son entourage que son fils s'était trouvé un travail dans une autre ville et qu'il était obligé d'y vivre.
Samedi matin Classique, cours et baise pour le père de Jean.
Samedi après midi Je suis un peu tendu, ce soir je fais excort-boy dans le grand monde !! Je passe l'après midi à me préparer, épilation, rasage. Je me lime les ongles pour les avoir tous à la longueur parfaite. Marc vient m'inspecter. Il me trouve parfait (ça m'avance ce genre de remarque !) puis prend la pince à épiler et l'approchant de mon visage retire deux poils un peu trop longs de mes sourcils. Il me claque les fesses et me dit que maintenant c'est vraiment parfait.
Je suis trop impatient et j'arrive dès 17h chez Emma. Elle a finit par mettre au courant son personnel (une vielle cuisinière / femme de ménage et le valet / major d'homme de feu son mari). Ils sont à son service depuis des années et lui sont d'une fidélité à toute épreuve.
Je fais connaissance. Après tout je suis un employé comme eux (enfin pas tout à fait quand même). Devant mon léger stress, la cuisinière me prépare une tisane calmante mais énergisante quand même, pas question que je m'endorme au beau milieu du dîner.
Je vais me changer avec Emma. Quand je suis nu, elle s'aperçoit du soin avec lequel je me suis préparé. Ce n'est pas qu'habituellement je sois négligé mais là, j'ai vraiment fait une préparation spéciale. Elle me caresse, je lui dis de cesser car je vais bander et même avec un costume bien taillé, ça va se voir. Aussitôt elle glisse à genoux et enfonce ma bite dans sa bouche. Je veux me retirer mais elle s'accroche et me pompe jusqu'à ce que j'explose. Ce qui est assez rapide vu mon stress. Je suis bon pour une douche ! Quand j'en sors, Emma est presque prête. Il ne lui reste qu'un ajustement de maquillage. Je revêts la tenue qu'elle m'a préparé. Slip Aussiebum wonderjock, chaussettes, chemise blanche avec les boutons de manchettes en diamants blancs, pantalon de costume anthracite, chaussures noires, cravate et enfin la veste du costume. Je secoue les épaules et elle tombe naturellement. Je n'oublie pas de passer la montre qu'elle m'a offerte. Dans la glace, je vois un autre homme, plutôt un frère (que je n'ai pas) que moi.
Emma est enchantée du résultat. Quand nous sortons de ses appartements, j'ai droit à une bise de la vieille cuisinière et un regard approbateur du major d'homme. Ce soir la grosse Mercedes est de sortie, le major d'homme faisant aussi chauffeur. Nous arrivons avec une bonne demi-heure de retard. Le 1/4 d'heure c'est pour les hommes ! Dans la cour de la propriété déjà une dizaine de véhicule haut de gamme sont garés, avec au coté de certains un chauffeur en train de fumer.
Monté du perron (la propriété est très grande et la maison ressemble plutôt à un château), on nous ouvre, je laisse passer Emma en premier (elle connait le lieu). On nous débarrasse de nos manteaux et nous conduit vers un salon d'où monte un certain brouhaha. L'entrée d'Emma fait sensation. Je remarque quelques femmes dans l'assistance, mais aucune ne peut rivaliser avec elle (sauf en bijoux, deux en sont couvertes).
Elle m'entraine vers notre hôte qui la salut d'un baise main parfait. Elle me présente comme son escort-boy. Je lui serre la main avec un beau sourire pour lui montrer que je suis complètement à l'aise avec cela. Il essaye de me la broyer. Mon costume cache assez bien ma musculature et il ne s'attendait pas à ce que l'inverse se produise. Toujours en souriant, je lui demande s'il veut s'essayer à qui fera pipi le plus loin. Il ne me répond pas et engage Emma à saluer ses autres invités. Nous faisons le tour. Deux hommes d'un certain âge sont accompagnés de jeunes hommes aussi élégants que moi, présentés comme leurs neveux (faut pas prendre les gens pour des billes !!, ce sont des escorts comme moi... enfin moins beau que moi quand même !). Un troisième me demande qui a gagné le concours. Je mets quelques secondes à réaliser qu'il avait entendu ma conversation avec notre hôte et à son sourire, j'ai compris que je me l'étais mis dans la poche.
Pendant le diner, je suis placé à la droite d'Emma elle-même à la droite de notre hôte et coincé de l'autre coté par un des vieux à escort-boy. Je suis les seuls des trois à être aussi bien placé, les deux autres sont relégués avec les accompagnantes. Si ils sont bien ce que je pense, ils vont être malheureux !
Notre hôte essaye plusieurs fois d'amener Emma vers plus de confidence me concernant pendant que mon voisin de droite m'entretien d'industrie, de commerce international et de finance. J'essaye de sortir avec à propos mes connaissances fraîchement acquises. Ça a l'air de marcher et j'arrive à faire illusion. Quelques analyses d'Andrée me valent même un regard impressionné et un aparté où le vieux aimerait que son " gigolo " s'intéresse à autre chose qu'à son fric. Au moins il est lucide à défaut d'avoir eu du discernement concernant son choix d'accompagnateur !
Emma qui me surveille sans en avoir l'air, apprécie que je me sois mis dans la poche mon voisin. C'est un grand capitaine d'industrie (plutôt général vu l'âge). Quelques instants plus tard, il me demande ce que je fais dans la vie, oublieux que je sois arrivé au bras d'Emma. Je lui dis que je viens de monter ma propre société de design d'espace vert. Il me demande mon âge et s'étonne que j'en sois déjà là.
Après le diner, je vais aux toilettes, j'y retrouve les deux autres escort-boy en train de vérifier leurs mises. Je demande qui accompagne le vieux qui était à coté de moi pendant le diner. Le brun s'avance, je le préviens qu'il à intérêt à se montrer intéressé au taf de son boss si il veut rester dans son entourage. Sa réponse me montre qu'il ne comprend pas, tant pis pour lui si il perd sa situation. Le second me drague plus qu'ouvertement puisqu'il me met la main au paquet en me disant qu'il kiffe les hétéros. Nous sommes pressés, il me fait bander. Je sors ma bite et il me l'avale direct. Il me pompe comme un affamé alors que l'autre se barre. Il est très efficace et je dois le repousser au moment ou je jute en évitant de tacher sa veste. Nous nous réajustons. Il me dit que son vieux n'est plus actif et que c'est juste comme un trophée qu'il l'accompagne partout. Je lui confie que pour moi tout va bien de ce coté là. Il me dit que la prochaine fois il souhaiterait que je l'encule. Je lui dis pourquoi pas, après tout je sais qu'il ne dira rien, il a trop à perdre.
Dans la soirée, Emma s'accroche plus d'une fois à mon bras, surtout quand notre hôte est près de nous. Comme il m'envoit un Scud destiné à me faire passer pour un con, je le remets en place à l'aide d'une des infos hyper confidentielles que m'a donné André. Il cesse aussitôt se demandant bien comment j'avais pu avoir accès à cela. Au retour, j'ai droit aux félicitations d'Emma, avoir mouché deux fois son connard d'associé et m'être mis dans la poche les deux plus importants personnages de la soirée l'avait enchantée.
Elle relève la glace sans tain nous séparant du chauffeur, puis me tombe dans les bras. Notre pelle m'a électrisé et fait bander grave. L'espace étant quand même exigu, j'ai arraché sa culotte pour pouvoir lui manger la chatte. Elle était toute mouillée et me dit avoir attendu cela depuis notre arrivée chez notre hôte. Je déboucle ma ceinture et me kpote vite. Elle m'enjambe pour s'assoir sur mes genoux et s'enfiler ma bite en elle. Est-ce le lieu, l'excitation du moment, ses félicitations, toujours est il qu'elle m'a fait jouir avec son vagin.
Changé, ;je reprends ma voiture, elle me glisse mon salaire du soir.
JARDINIER
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bttf-rpg · 3 months
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2024. A l’orée du Parc National de Yosemite se trouve une petite ville dont personne ne se soucie. A Mariposa, la vie est tranquille, sans vague. On ne s’inquiète pas des problèmes du vaste monde, principalement parce que les nouvelles mettent du temps à arriver. Coupée de tout, il semblerait que Mariposa soit passée à la trappe quand les avancées technologiques ont envahi l’Ouest des États-Unis. Les câbles électriques qui entourent la ville sont vieux, défaillants. On a appris à ne pas se fier à la technologie, et surtout pas à s'appuyer sur elle. Pas de téléphone dernier cri, pas de 5G dans les rues, pas de réseaux sociaux pour venir influencer le quotidien des habitants. C’est une vie particulière, car en dehors des frontières de la ville, le monde est géré depuis des décennies par ces technologies qui n’en finissent plus d’avancer. L’ère moderne s’est faite une place dans les domiciles, dans les poches, dans les cerveaux. On ne peut plus la quitter, sauf ici. Ici où le temps lui-même semble s’être arrêté. Si le calendrier tourne au même rythme qu’ailleurs, les influences culturelles, les styles, les activités, n’ont pas évolué depuis les années 1980. Trente ou quarante ans plus tôt, on a fait le choix de tout arrêter, de ne plus changer, et aujourd’hui on a un peu oublié comment tout a commencé. Certains disent que c’était le choix du conseil municipal, effrayé de voir le monde évoluer à une vitesse folle. D’autres pensent que Mariposa est sujet à une expérimentation du gouvernement, mais cette théorie ne plaît pas à tout le monde. La plupart des gens, de toute façon, ne s’en préoccupent pas tellement.
Parce qu’ici, on mène une existence paisible en appréciant ce qu’on a, plutôt qu’en se souciant de l’extérieur. Les jeunes grandissent entre le skatepark et la salle d’arcade, les moins jeunes se bougent sur des vieilles musiques de fitness. C’est une petite communauté qui vit à Mariposa, où l’on fait de son mieux pour prendre soin de ses voisins et vivre en paix. Et puis il y a le rendez-vous du samedi soir, celui où presque toute la ville se rend. Chacun dans sa voiture, ou peut-être regroupé à deux ou trois pour ceux qui n’ont pas peur des rumeurs. Le parking du drive-in se remplit au coucher du soleil, tout le monde allume sa radio pour suivre un film qui est sorti plus de vingt ans auparavant. Ce n’est pas ici que sortent les nouveaux films, mais tout le monde s’en fiche. L’intérêt du drive-in, c’est de s’y retrouver en famille, entre amis, avec ses voisins. Qu’importe si un film passe en boucle pendant un mois ou si ce sont toujours les mêmes qui finissent par revenir. Les habitants de Mariposa sont ancrés dans leurs habitudes, ils n’aiment pas tellement que les choses changent. Et pourtant, chaque fois qu’un touriste traverse la ville, il apporte avec lui un peu de ces nouvelles de l’autre monde, brisant l’illusion que la terre entière n’est pas coincée dans les années 80. Mais combien de temps la ville pourra-t-elle encore tenir ainsi ?
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alicedusstuff · 6 months
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Juste moi qui pensait avant de dormir…
-version française-
Wukong n'était pas sûr s'il avait envie de pleurer ou de crier. Son corps tout entier ressemblait à un cœur qui battait trop fort contre sa poitrine.
Il regarda le sol avec rage. Puis, ses mains, ces mains impuissantes qui avaient été dans l'incapacite d'arrêter Macaque.
"C'était stupide, stupide, stupide, stupide, stupide!"
Wukong attrapa chaque côté de sa tête et tira sur ses cheveux. Son corps s'affaissa alors qu'il criait , le front collé à son ombre. C'etait le dernier vestige du portail par lequel son ami venait de le recracher pour échapper à un châtiment qu'il n'aurait jamais vu venir.
Il revoyait encore Macaque le tirer dans le portail au moment où la montagne lui tombait dessus. Il le vit lui sourire si gentiment. Pourtant Wukong pouvait entendre un "Je te l'avais dit" moqueur dans l'arrière de sa tête. Il eu juste le temps d'apercevoir Macaque user de sa magie pour porter un glamour qui changerait le singe de l'ombre, en la personne qu'il avait tenté de protéger.
Wukong ne pouvait oublier comment le noir passait au orange, les six oreilles disparaissaient pour en devenir deux, et les pupilles ressembler aux siennes.
Wukong se maudit.
Qu'est-ce qui l'a poussé à s'opposer à Bouddah ?
Il leva les yeux vers l'endroit ou devrait se trouver la montagne où Macaque devrais certainement être bloqué. Devrait il aller le voir? Macaque lui en voudrait t-il ? Voulait il même le voir ? Le coeur de Wukong se serra. Il ne pouvait pas y retourner. Il n'en avait pas le droit...il...n'était pas prêt pour ça. Il ne supporterait pas la colère de Macaque. Pas après qu'il lui est promis une vie de bonheur.
"Et si il mourrait sous cette montagne? "
Les ongles de Wukong gratèrent la terre de la montagne de fleur et de fruit, et un petit rire bref lui echappa. Non...Macaque avait une longévité demoniaque. Il ne mourra pas...n'est ce pas ?
Wukong reflechit un moment avant de se mordre l'interieur des lèvres. Il allait quand même s'assurer de nourrir Macaque tout les jours...si le singe de l'ombre ne lui en veux pas trop.
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