Tumgik
#Marcello Renoir
warningsine · 2 years
Note
3, 6, 10, 22, 24, 27, 28
3. Any old school favorites (pre-70s)?
A very broad question. To mention some:
"Shanghai Express" dir. Josef von Sternberg
"The House Is Black" dir. Forough Farrokhzad
"Cléo from 5 to 7" dir. Agnès Varda
"The Trial" dir. Orson Welles
"The Hitch-Hiker" dir. Ida Lupino
"The 400 Blows" dir. François Truffaut
"Rocco and His Brothers" dir. Luchino Visconti
"The Red Shoes" dir. Michael Powell and Emeric Pressburger
"The Third Man" dir. Carol Reed
"Double Indemnity" dir. Billy Wilder
"Ajantrik" dir. Ritwik Ghatak
"Bicycle Thieves" dir. Vittorio De Sica
"Pather Panchali" dir. Satyajit Ray
"Viridiana" dir. Luis Buñuel
"Accattone" dir. Pier Paolo Pasolini
"Black Girl" dir. Ousmane Sembène
"Uski Roti" dir. Mani Kaul
"Black God, White Devil" dir. Glauber Rocha
"I Am Cuba" dir. Mikhail Kalatozov
"The Hand" dir. Jiří Trnka
"The Fireman's Ball" dir. Miloš Forman
"Daisies" dir. Věra Chytilová
"Meditation on Violence" dir. Maya Deren
"The Battle of Algiers" dir. Gillo Pontecorvo
"Andrei Rublev" dir. Andrei Tarkovsky
"Shadows of our Forgotten Ancestors" dir. Sergei Parajanov
"Boy" dir. Nagisa Oshima
"Persona" dir. Ingmar Bergman
"Love and Crime" dir. Teruo Ishii
"The Insect Woman" dir. Shōhei Imamura
"La perla" dir. Emilio Fernández
"Cairo Station" dir. Youssef Chahine
"Throne of Blood" dir. Akira Kurosawa
"Touch of Evil" dir. Orson Welles
"Paper Flowers" dir. Guru Dutt
"The Passion of Joan of Arc" dir. Carl Theodor Dreyer
"A Page of Madness" dir. Teinosuke Kinugasa
"Tokyo Story" dir. Yasujirō Ozu
"Chikamatsu Monogatari" dir. Kenji Mizoguchi
"Les Enfants du Paradis" dir. Marcel Carné
"La Grande Illusion" dir. Jean Renoir
"Bringing Up Baby" dir. Howard Hawks
"Rome, Open City" dir. Roberto Rossellini
"City Lights" dir. Charlie Chaplin
"Monsieur Hulot's Holiday" dir. Jacques Tati
"Sunset Boulevard" and "Some Like It Hot" dir. Billy Wilder
6. Favorite movie from the 90’s?
Some of them:
"The Apple" dir. Samira Makhmalbaf
"Crows" dir. Dorota Kędzierzawska
"A Moment of Innocence" dir. Mohsen Makhmalba
"And Life Goes On" dir. Abbas Kiarostami
"The Piano" dir. Jane Campion
"Days of Being Wild" dir. Wong Kar-wai
"Irma Vep" dir. Olivier Assayas
"Vive L'Amour" dir. Tsai Ming-liang
"Humanité" dir. Bruno Dumont
"Beau travail" dir. Claire Denis
10. Favorite animated movie?
Already answered this.
22. Favorite Disney movie?
"The Lion King"
24. Movie that makes you cry every time?
"Call Me By Your Name"
"Brokeback Mountain"
"Portrait of a Lady on Fire"
"Aimée & Jaguar"
"The Farewell"
"My Sister's Keeper"
among others.
27. Top 5 actors?
Tony Leung Chiu-wai
Shahab Hosseini
Marcello Mastroianni
Song Kang-ho
Jean-Louis Trintignant
28. Top 5 actresses?
Cruel question, but I'll go with:
Isabelle Huppert
Setsuko Hara
Smita Patil
Anna Magnani
Hedieh Tehrani
11 notes · View notes
fantasy-scifi-art · 3 years
Photo
Tumblr media
Knights of the Blessing Woods by Marcello Renoir 
134 notes · View notes
manfrommars2049 · 6 years
Photo
Tumblr media
Maisie, The Scavenger by Marcello Renoir via ImaginaryCybernetics
8 notes · View notes
laurent-bigot · 6 years
Text
Ce n’est pas le moindre des paradoxes de l’Occupation à de nombreux jeunes acteurs de se révéler au public. La plupart rapidement au vedettariat au cours des années 50, mais si on excepte quelques chefs-d’œuvre fulgurants, Ils seront souvent mal employés.
Danielle Darrieux
Bernard Blier
Pierre Brasseur
Suzy Delair
Jean Marais
Danièle Delorme
Pierre Fresnay
François Perrier
Daniel Gélin
Dany Bobin
Micheline Presle
Martine Carol
Simone Signoret
PIERRE FRESNAY, en 1945, fut victime de la campagne déclenchée contre Le Corbeau, où il avait trouvé son meilleur rôle, avec celui du capitaine de Boieldieu de La Grande Illusion. Il était alors au sommet de sa gloire, un des tout premiers acteurs français, après une première carrière, qui comprenait entre autres le Marius (1931) de Korda et sa suite, La Dame aux camélias (1934) d’Abel Gance, Adrienne Lecouvreur (1938) de L’Herbier et L’Assassin habite au 21 (1942) de Clouzot. Après quelques mois d’interdiction succédant à quelques semaines de séjour à Fresnes, il effectuait sa rentrée dans Fille du diable (1945) de Decoin et retrouvait rapidement sa place au premier rang des vedettes françaises. De nouveaux triomphes personnels l’attendaient, dans des films parfois inégaux. Parmi ceux-ci, on doit rappeler sa mémorable composition de saint Vincent-de-Paul, dans le Monsieur Vincent (1947) de Maurice Cloche écrit par Jean Anouilh ou son savoureux Offenbach de La Valse de Paris (1949) de Marcel Achard. Son meilleur rôle de cette seconde période fut sans doute celui de Dieu a besoin des hommes (1950) de Delannoy. Après cela, le niveau des films dans lequel il parut commença à baisser. On peut encore retenir le curieux Défroqué (1953) de Léo Joannon et le vieux marquis des Aristocrates (1954) de Denys de la PatelIière. Fresnay, qui avait débuté à la Comédie-Française et continué de jouer au Boulevard, retourna au théâtre. II fit d’admirables créations, surtout Le Neveu de Rameau de Diderot et Mon Faust de Valéry, dont la télévision a gardé le souvenir. Il mourut en 1975, à Paris (où il était né en 1897).
MONSIEUR VINCENT de Maurice Cloche (1947) avec Pierre Fresnay, Aimé Clariond, Jean Debucourt
MARIUS réalisé par Alexander Korda (1931), écrit par Marcel Pagnol d’après sa pièce éponyme, représentée pour la première fois en décembre 1927 sur la scène du Théâtre de Paris, Marius est le premier volet de la trilogie marseillaise de Pagnol. Avec Raimu, Pierre Fresnay, Orane Demazis
LE CORBEAU – Henri Georges Clouzot (1943) – Pierre Fresnay
DANIELLE DARRIEUX (née à Bordeaux en 1917) avait été une des grandes vedettes d’avant-guerre et de l’Occupation grâce à des films comme Mayerling (1936) de Litvak où elle incarnait une inoubliable Marie Vetsera, ou à ceux qu’elle interpréta sous la direction de son mari Henri Decoin, Retour à l’aube (1938), Battements de cœur (1939) et Premier Rendez-vous (1941). Elle avait excellé dans des rôles de jeunes filles modernes, enjouées et mutines, mais qui finissaient toujours par tomber dans les bras du beau jeune premier. Dotée d’une voix agréable, elle susurrait souvent de jolies mélodies, un peu sirupeuses comme le voulait le goût de l’époque et généralement promises à un grand succès, comme la célèbre “chamade” de Battements de cœur. Après trois ans d’interruption, Danielle Darrieux revint à l’écran en 1945, pour une seconde carrière encore plus brillante que la première. Épanouie, mûrie, ayant pris de l’autorité, c’est alors qu’elle interpréta quelques-uns de ses plus beaux rôles, comme la reine de Ruy Blas (1947) dans le film de Cocteau et Pierre Billon ou la fantasque Amélie de Feydeau, dans Occupe-toi d’Amélie (1949) d’Autant-Lara. Mais c’est surtout grâce à Ophuls qu’elle put se surpasser, dans La Ronde (1950), Le Plaisir (sketch de La Maison Tellier d’après Maupassant, 1951) et surtout l’exquise Madame de (1953) d’après Louise de Vilmorin, où elle était une épouse frivole qui finissait par mourir d’amour. Elle fut également remarquable dans La Vérité sur Bébé Donge (1951) où elle retrouvait Decoin, dont elle avait divorcé dix ans plus tôt et dans Le Bon Dieu sans confession (1953) d’Autant-Lara. Elle est décédée en octobre 2017.
OCCUPE-TOI d’AMELIE de Claude Autant-Lara (1949), adapté de la pièce éponyme de Georges Feydeau avec Danielle Darrieux, Jean Desailly, Julien Carette
MADAME DE… de Max Ophuls (1953), adapté du roman éponyme de Louise de Vilmorin paru en 1951 avec Danielle Darrieux, Charles Boyer, Vittorio De Sica, Jean Debucou
RETOUR A L’AUBE – Henri Decoin (1938) – Danielle Darrieux, Pierre Dux, Jacques Dumesnil, Pierre Mingand
PIERRE BRASSEUR (1905-1972) tourna beaucoup et aussi de temps en temps n’importe quoi avant de parvenir à imposer son talent exceptionnel. Réserve faite de la gifle mémorable du Quai des brumes (1938) de Carné, ce n’est qu’avec les années 40 qu’il commença à trouver l’occasion de s’employer. Ce fut surtout grâce à Jacques Prévert qui écrivit pour lui quelques rôles sur mesure, destinés à mettre en valeur un abattage extraordinaire. On en eut un premier aperçu avec le peintre alcoolique de Lumière d’été (1942), le meilleur film de Grémillon, où il éclipsait ses nombreux et remarquables partenaires. Mais c’est l’année suivante qu’il allait rencontrer le rôle de sa vie, avec le fameux Frédérik Lemaître des Enfants du paradis (1943-1945), le chef-d’œuvre de Carné-Prévert. Dans cette évocation d’un “monstre sacré” du romantisme, il fut éblouissant, truculent et gouailleur à la fois, émouvant et sobre quand il le fallait, bref acteur complet et génial. Après cela, il parut presque effacé dans Les Portes de la nuit (1946) de Carné-Prévert, bien qu’il y fût excellent, mais eut l’occasion d’un nouveau grand numéro dans Les Amants de Vérone (1948) de Cayatte-Prévert. Il fut aussi un savoureux Barbe- bleue (1951) pour Christian-Jaque et un héros de Sartre dans Les Mains sales (F, Rivers, 1951), Après un truculent Buridan dans La Tour de Nesle de Gance (1954), et un pittoresque Juju pour René Clair (Porte des Lilas, 1956), il incarna de nombreux rôles jusqu’à sa mort (Les Bonnes causes, Christian-Jaque, 1962), mais plus rien de très marquant. Il fut marié à Odette Joyeux, dont il eut un fils, le comédien Claude Brasseur.
LES BONNES CAUSES est un film franco-italien réalisé par Christian-Jaque et sorti en 1963 avec Pierre Brasseur, Marina Vlady, Bourvil
LUMIERE D’ETE de Grémillon (1943) avec Madeleine Robinson, Paul Bernard, Madeleine Renaud, Pierre Brasseur
LES PORTES DE LA NUIT – Marcel Carné (1946), Pierre Brasseur
SIMONE SIGNORET (née Simone Kaminker en 1921, à Wiesbaden et morte en 1985 à Autheuil-Authouillet (Eure)) fut une des premières jeunes actrices à s’imposer comme vedette au lendemain de la Libération. Figurante et secrétaire du journaliste Jean Luchaire sous l’Occupation elle décrocha quelques petits rôles, avant d’être lancée par les films d’Yves Allégret, son premier mari, Les Démons de l’aube (1945) et surtout Dédée d’Anvers (1947) qui fit d’elle une grande vedette, dans un rôle pourtant assez conventionnel de fille de maison close, emploi qu’elle tint plusieurs fois dans sa carrière. Elle fut également fille “mauvaise femme”, ambitieuse et sans scrupule dans Manèges (1949), film très noir, le dernier qu’elle fit pour Yves Allégret, dont elle divorça peu après. Après deux ou trois films anglo-saxons sans intérêt, et quelques productions françaises très médiocres, on la retrouva dans La Ronde (1950) d ‘Ophuls et surtout dans son plus grand rôle, Casque d’Or (1951), le chef-d’œuvre de Jacques Becker. Faisant un curieux couple avec Serge Reggiani, elle y était belle, simple et émouvante, dans son personnage de fille du peuple, amoureuse et heureuse de vivre. Malheureusement, ni Thérèse Raquin (1953) de Carné, ni Les Diaboliques (1954) de Clouzot, ni La Mort en ce Jardin (1956) de Buñuel n’eurent la même valeur. Avec un film anglais assez moyen de Jack Clayton, Les Chemins de la haute ville (Room at the Top, 1958), Simone Signoret obtint un Oscar. Puis elle vieillit et changea d’emploi, tirant un parti parfois un peu appuyé des changements physiques apportés par le passage des ans. Mariée à Yves Montand, elle le suivit dans ses prises de position politiques. On lui doit un livre de souvenirs : “La nostalgie n’est plus ce qu’elle était.”
THERESE RAQUIN de Marcel Carné (1953) avec Simone Signoret, Raf Vallone, Sylvie, Jacques Duby, Roland Lesaffre
CASQUE D’OR de Jacques Becker (1952), inspiré de l’histoire vraie d’Amélie Élie, surnommée « Casque d’or », avec Simone Signoret, Serge Reggiani, Claude Dauphin
DEDEE D’ANVERS d’Yves Allégret  (1948) avec Bernard Blier, Simone Signoret, Marcello Pagliero, Marcel Dalio
JEAN MARAIS (né en 1913 et décédé en 1998), grande révélation du cinéma de l’Occupation avec L’Éternel Retour (1943), fut pendant plusieurs années le jeune premier idéal du cinéma français. Son nom demeure étroitement lié à celui de Jean Cocteau, et c’est au cinéaste-poète qu’il doit le meilleur de sa carrière. Prince charmant et monstre émouvant dans La Belle et la Bête (1945), “ver de terre amoureux d’une étoile” dans Ruy Blas (1947), anarchiste épris de sa victime dans L’Aigle à deux têtes (1947), enfant gâté des Parents terribles (1948), poète maudit d’Orphée (1949), cette série de rôles incomparables lui valut une popularité comme il y en eut peu dans le cinéma français. Sa voix étrange et sa blondeur irrésistible en firent l’enfant chéri de plusieurs générations de spectatrices. Tout cela achevait d’irriter une critique qui le bouda longtemps et fut longue à lui reconnaître un talent qui pourtant était réel. D’autres cinéastes que Cocteau surent l’utiliser, de Christian-Jaque (Voyage sans espoir, 1943) à Jean Renoir (Elena et les hommes, 1956) en passant par René Clément (Le Château de verre, 1950) et Yves Allégret (Nez-de-cuir, 1951). Jean Marais se reconvertit ensuite avec bonheur dans le film de cape et d’épée, sous la direction d’André Hunnebelle : Le Bossu (1959), Le Capitan (1960), Le Miracle des loups (1961). Son dernier grand rôle fut dans Peau d’âne (1970) de Jacques Demy.
L’AIGLE A DEUX TETES de Jean Cocteau, adapté de sa pièce éponyme (1948) avec Edwige Feuillère, Jean Marais, Silvia Monfort, Jean Debucourt, Jacques Varennes
LE SECRET DE MAYERLING de Jean Delannoy (1949) avec Jean Marais, Dominique Blanchar, Jean Debucourt, Silvia Monfort, Jane Marken
LE SECRET DE MAYERLING est un film français consacré au drame de Mayerling, réalisé par Jean Delannoy et sorti en 1949 avec Jean Marais, Dominique Blanchar, Jean Debucourt, Silvia Monfort, Jane Marken
MARTINE CAROLE, née Maryse Mourer (1920-1967), fut pendant une dizaine d’années la star d’une période un peu creuse du cinéma français. Blonde, éclatante, un rien de vulgarité qu’excusait un côté bonne fille, elle parut dans de nombreux films, souvent médiocres, mais dont elle assurait le succès. Un succès qu’elle poursuivit pendant des années, entre ses débuts (1943) et sa consécration en 1950, par tous les moyens : un faux suicide, des idylles tapageuses, un grand sens de la publicité. En 1950, ce fut enfin Caroline chérie, assez platement réalisé par Richard Pottier, mais l’héroïne du best-seller de Cecil Saint-Laurent, au prénom prédestiné, semblait avoir été inventée pour elle. Son charme blond, appuyé par des dialogues impertinents d’Anouilh, fit merveille. Plus tard, mariée à Christian-Jaque, elle interpréta pour lui une série de films, bâtis à peu près sur le même principe : Lucrèce Borgia (1952), Madame du Barry (1954), Nana (1955). Ce furent ses plus grands succès commerciaux avec un niveau au-dessus, Les Belles de nuit (1952) de René Clair. Il est permis de juger plus intéressante son interprétation dans un film méconnu de Lattuada, La Pensionnaire (La Spiaggia, 1954). Enfin, elle restera toujours dans le souvenir des cinéphiles, grâce à un seul film, mais quel film ! Lola Montès (1955), le chef-d’œuvre sans égal de Max Ophuls, où, brune pour une fois, elle confirmait un vrai talent qui soutenait une photogénie éclatante. Ensuite, ce fut le déclin rapide, les épreuves, les trahisons de la mode, bref une fin de carrière désolante, dénouée par une mort tragique. On peut encore en extraire un dernier film : Austerlitz (1960) d’Abel Gance, où elle incarnait Joséphine de Beauharnais.
LE DESIR ET L’AMOUR  d’Henri Decoin (1951) avec Martine Carol, Antonio Vilar, Françoise Arnoul
CAROLINE CHERIE de Richard Pottier (1951), avec Martine Carol, adapté d’un roman de Cécil Saint-Laurent avec Martine Carol, Jacques Dacqmine, Marie Déa
LOLA MONTES  Max Ophüls (1955) avec Martine Carol, Peter Ustinov, Anton Walbrook
FRANÇOIS PÉRIER (né en 1919 et mort en 2002), grâce à un personnage charmant de jeune premier fantaisiste, connut une très grande popularité dans les années 40. Entrevu dans Hôtel du Nord (1938) puis révélé au théâtre, c’est sous l’Occupation qu’il devint vedette, avec Lettres d’amour (1942), petit chef-d’œuvre méconnu d’Autant-Lara, Le Camion blanc (1942) de Léo Joannon ou Bonsoir mesdames, bonsoir messieurs de Roland Tuai (1943). Il confirma les mêmes qualités d’esprit et d’intelligence dans Un Revenant (1946) de Christian-Jaque, Le Silence est d’or (1947) de René Clair ou dans Souvenirs perdus, de nouveau avec Christian-Jaque (sketch de Jeanson, 1950). Il étendit, avec un égal succès, son registre vers la gravité avec l’excellent film de Jean Faurez, La Vie en rose (1947) et avec Orphée (1949) de Cocteau, où il fut un étonnant Heurtebise. La suite de sa carrière fut plus décevante sauf Les Nuits de Cabiria (Le notti di Cabiria, 1956) de Fellini, et il se consacra surtout au théâtre où il continue de triompher.
ORPHEE est un film français réalisé par Jean Cocteau, sorti en 1950 avec Jean Marais, François Périer, Maria Casarès, Marie Déa
LE CAMION BLANC est un film français réalisé par Léo Joannon, sorti en 1943 avec Jules Berry, Blanchette Brunoy, François Périer
UN REVENANT – Christian-Jaque (1946) – Louis Jouvet, Jean Brochard, Gaby Morlay, Ludmila Tcherina, François Périer
SUZY DELAIR (née le 31 décembre 1916 à Paris) commença à la fois Comme figurante et Comme chanteuse de music-hall, débutant dans des établissements populaires parfois modestes. C’est dans un de ces lieux qu’il affectionnait que Clouzot la découvrit et prit sa carrière en main, en même temps qu’il allait partager sa vie une dizaine d’années environ. Il la fit débuter à la Continental en 1941, dans Le Dernier des six écrit par lui mais réalisé par Georges Lacombe, puis dans L’assassin habite au 21, qu’il réalisa lui-même en 1942. Dans l’un et l’autre, elle incarnait Mila-Malou, la petite amie volcanique de l’inspecteur Wens, joué par Pierre Fresnay. D’emblée, elle imposa ce personnage “d’une incroyable vulgarité”, qui prenait sous la direction de Clouzot un style assez “flamboyant” (Jacques Siclier). Toujours avec Clouzot, elle eut son plus grand rôle, dans Quai des Orfèvres (1947), celui de la chanteuse Jenny Lamour trépidante sur scène, et dans la vie adorant son “biquet” (B. Blier). Un rôle où elle avait mis beaucoup d’elle-même, de ses souvenirs de début et de sa vie avec Clouzot (on se souviendra de son numéro: “Avec son tralala” ). Elle fut aussi Lady Paname (1949) pour Henri Jeanson, dans sa seule mise en scène, un personnage assez voisin du précédent et la partenaire de Laurel et Hardy dans leur dernier film, Atoll K (1951). La même année elle faisait un duo irrésistible avec François Périer, dans le sketch de Jeanson réalisé par Christian-Jaque pour Souvenirs perdus. Dans le registre dramatique, son plus grand rôle fut celui de la fille cynique de Pattes blanches (1948), chef-d’œuvre encore trop ignoré de Grémillon. Par la suite, il faut encore mentionner Gervaise (René Clément, 1955) et Rocco et ses frères (Rocco e i suoi fratelli, Visconti, 1960). Simultanément, Suzy Delair poursuivait une brillante carrière au théâtre, lyrique particulièrement. Mais on doit regretter que le cinéma français n’ait pas su employer davantage ce tempérament dramatique exceptionnel, fait d’une authentique verve populaire.
QUAI DES ORFÈVRES – Henri-Georges Clouzot (1947) – Louis Jouvet, Suzy Delair, Bernard Blier, Simone Renant
PATTES BLANCHES de Jean Grémillon (1949), avec Suzy Delair, Fernand Ledoux, Paul Bernard, Arlette Thomas et Michel Bouquet
LADY PANAMA est un film français réalisé par Henri Jeanson, sorti en 1950 avec Louis Jouvet, Suzy Delair, Jane Marken
MICHELINE PRESLE est née Micheline Chassagne à Paris, en 1922. Elle connut ses premiers succès au début de la guerre et de l’Occupation avec Paradis perdu (1939) de Gance et La Comédie du bonheur (1940) de L’Herbier. Ce furent ensuite deux films du même, Histoire de rire (1941) et La Nuit fantastique (1942), suivis de deux créations importantes qui ne sortirent qu’après la Libération, Félicie Nanteuil (1942) de Marc Allégret et Falbalas (1944) de Jacques Becker. Jeune fille ou jeune femme, parfois hésitant entre les deux, tous ses personnages sont marqués de sa forte personnalité et d’un talent aussi heureux dans le registre comique que dans le dramatique. Ces qualités se confirmèrent dans le fameux Diable au corps (1946), d’Autant-Lara, ou dans L’Amour d’une femme (1953) de Grémillon. Les Américains la remarquèrent et elle fut engagée à Hollywood où elle ne fit pas grand-chose, sauf “le plus mauvais film de Fritz Lang” (Pierre Rissient). Par contre, elle fut excellente dans un fameux film anglais de Losey, L’Enquête de l’inspecteur Morgan (Chance Meeting, 1959). Longtemps fiancée à Louis Jourdan, elle fut aussi mariée avec Bill Marshall, ex-mari de Michèle Morgan.
BOULE DE SUIF de Christian-Jaque (1945) avec Micheline Presle, Louis Salou et Berthe Bovy
LE DIABLE AU CORPS – Claude Autant-Lara (1947) avec Gérard Philipe, Micheline Presle, Denise Grey, Jean Debucourt
LA BELLE DE PARIS (Under My Skin) Jean Negulesco (1950) avec John Garfield et Micheline Presle
BERNARD BLIER (né en 1916 et décédé en 1989) a imposé sa rondeur joviale dans d’innombrables films. Élève de la classe de Louis Jouvet au Conservatoire, il débute au théâtre et décroche quelques petits rôles au cinéma à la veille de la guerre (Hôtel du Nord, Le Jour se lève). Il atteint le vedettariat pendant l’Occupation, dans plusieurs films où il impose une drôle de silhouette de jeune premier maigre (à cause des restrictions) et au front dégarni. On le découvre ainsi dans L’Assassinat du Père Noël (1941) et La Symphonie fantastique (1941) de Christian-Jaque, dans La Nuit fantastique (1941) de L’Herbier, dans Marie Martine (1942) d’Albert Valentin et dans Les Petites du quai aux Fleurs (1943) de Marc Allégret. Après la guerre, sa silhouette s’épaissira progressivement de film en film, ce qui ne l’empêche pas de garder la vedette jusqu’aux abords de la quarantaine, dans des œuvres aussi diverses que Orfèvres (Clouzot, 1947), L’Ecole buissonnière (Le Chanois, 1948), Sans laisser d’adresse (Le Chanois, 1950) ou Le Dossier noir (Cayatte, 1955). L’âge venu, Bernard Blier deviendra un remarquable acteur de composition, dans les registres les plus variés, passant du drame à la comédie avec le même succès, et ses rôles ne se comptent plus. Il excelle dans la méchanceté où son apparente bonhomie lui permet de saisissantes créations. Il a été plusieurs fois dirigé par son fils, le réalisateur Bertrand Blier Buffet froid 1980.
HÔTEL DU NORD – Marcel Carné (1938) – Louis Jouvet, Annabella, Arletty, Jean-Pierre Aumont, Bernard Blier
LE SEPTIEME JURE de Georges Lautner (1962) d’après le roman de Francis Didelot avec Bernard Blier, Danièle Delorme
QUAI DES ORFÈVRES – Henri-Georges Clouzot (1947) – Louis Jouvet, Suzy Delair, Bernard Blier, Simone Renant
DANIÈLE DELORME (Danièle Girard) a débuté à seize ans, dans de petits rôles que lui confiait Marc Allégret dans ses films. Elle se fit remarquer dès Les Petites du quai aux Fleurs, (1943), aux côtés d’un autre débutant Gérard Philipe. Après quelques silhouettes encore épisodiques dans divers films, elle fit ses débuts de grande vedette grâce à Colette, qui la choisit pour incarner Gigi (1949) dans la version de Jacqueline Audry. Encadrée de deux fameux monstres sacrés, Gaby Morlay et Yvonne de Bray, elle était parfaitement à l’aise, et ce fut la gloire immédiate. Son physique et sa voix de ravissante ingénue, un peu acide, firent merveille dans toute une série de films de valeur malheureusement inégale. A part Miquette et sa mère (1949), seule tentative comique de Clouzot, les meilleurs furent encore ceux de la série de J. Audry-Colette : Minne, l’ingénue libertine (1950) et Mitsou (1956), On peut aussi y ajouter Sans laisser d’adresse (Le Chanois, 1950), La Jeune Folle (Y. Allégret, 1952) et Voici le temps des assassins (Duvivier, 1955). D’abord mariée à Daniel Gélin, elle épousa ensuite le réalisateur-producteur comédien Yves Robert, dont elle partage les activités. Productrice avisée, on ne compte plus ses succès. De temps à autre on la retrouve dans un film, toujours étonnamment juvénile, notamment dans les œuvres de son mari (Un Eléphant ça trompe énormément, 1976).
MIQUETTE ET SA MERE d’Henri-Georges Clouzot (1950) – Bourvil et Danièle Delorme
VOICI LE TEMPS DES ASSASSINS de Julien Duvivier (1956) avec Jean Gabin, Danièle Delorme, Gérard Blain, Lucienne Bogaert, Germaine Kerjean
GIGI de Jacqueline Audry (1949), adaptation du roman éponyme de Colette, Gigi avec Danièle Delorme, Gaby Morlay, Jean Tissier, Franck Villard
DANIEL GÉLIN (né en 1921 et décédé en 2002) a mis près de dix ans avant de devenir un des jeunes premiers les plus aimés du public des années 50. Quasi-figurant à la veille de la guerre, il obtient quelques bouts de rôle, souvent minuscules, pendant l’Occupation. On l’entrevoit ainsi dans Premier Rendez-vous (1941) de Decoin ou dans Lucrèce (1942) de Léo Joannon. Après 1945, ses rôles s’étoffent dans des films secondaires comme Martin Roumagnac (1946) de Lacombe ou Le Mannequin assassiné (1947) de Pierre de Hérain. En 1949, Jacques Becker en fait une vedette, en lui confiant le rôle principal de Rendez-vous de juillet, son grand film sur la jeunesse d’après-guerre. Son succès personnel est très grand, et le pose en rival de Gérard Philipe alors en pleine gloire. Leur confrontation dans La Ronde (1950) d’Ophuls, semble même tourner à son avantage. Plusieurs bons films vont achever de consacrer Daniel Gélin qui, dans la vie, forme avec Danièle Delorme le nouveau couple-vedette du cinéma français. Ce sont d’abord deux délicieuses comédies de Jacques Becker, son metteur en scène fétiche : Édouard et Caroline (1950) et Rue de l’Estrapade (1952). Ce sont aussi le grand succès de Delannoy, Dieu a besoin des hommes (1950), le troisième sketch (Le Modèle) du Plaisir d’Ophuls (1951) et Napoléon de Guitry (1954), dans lequel il incarne Bonaparte jeune. Comme réalisateur, Daniel Gélin a dirigé Les Dents longues (1952), avec Danièle Delorme et lui-même en vedettes, film qui n’était pas sans qualités.
RENDEZ-VOUS DE JUILLET Jacques Becker (1949) avec Daniel Gélin, Nicole Courcel, Brigitte Auber, Maurice Ronet
RETOUR DE MANIVELLE de Denys de La Patellière (1957), adapté du roman éponyme de James Hadley Chase avec Michèle Morgan, Daniel Gélin, Bernard Blier, Peter van Eyck
LA RONDE de Max Ophüls (1950), le scénario du film est tiré de La Ronde, une pièce de théâtre de l’écrivain autrichien Arthur Schnitzler avec Jean-Louis Barrault, Danielle Darrieux, Daniel Gélin, Fernand Gravey, Odette Joyeux, Gérard Philipe, Simone Signoret, Simone Simon
DANY ROBIN (née en 1927) commença par décrocher un premier prix du Conservatoire de danse et se produisit à l’Opéra. Puis elle étudia la comédie et décrocha également un premier prix de Conservatoire. Marc Allégret la fit débuter dans un petit rôle de Lunegarde (1944), puis on la remarqua dans Les Portes de la nuit (1946) de Carné et dans une scène du Silence est d’or de Clair (1946). Le public apprécia rapidement son jeu aigu et son physique de blonde ingénue souriante. Elle forma longtemps un couple idéal avec Georges Marchal, beau jeune premier à la mode, et tourna de nombreux films, où malheureusement les chefs-d’œuvre sont rares. De son abondante filmographie, il faut retenir : Les Amoureux sont seuls au monde (Decoin, 1947), La Soif des hommes (S. de Poligny, 1949) en compagnie de Georges Marchal et de la pathétique Andrée Clément, Deux Sous de violettes (1951), un film réalisé par Jean Anouilh, trop oublié des historiens, La Fête à Henriette (Duvivier, 1952), Julietta (1953), jolie réussite de Marc Allégret d’après Louise de Vilmorin, Frou-Frou (Genina, 1954). Dans Napoléon (1954) de Guitry, elle était Désirée Clary, la fiancée abandonnée de Bonaparte. Plus tard elle fut la partenaire de Peter Sellers, dans un film anglais tiré d’une pièce d’Anouilh, Les Femmes du général (The Waltz of the Toreadors, 1962). Elle fut aussi une des rares Françaises à avoir l’honneur d’être dirigée par le grand Hitchcock dans L’Etau (Topaz, 1969).
LA FETE A HENRIETTE de Julien Duvivier (1952) avec Dany Robin, Michel Auclair, Michel Roux, Henri Crémieux, Louis Seigner
LES AMOUREUX SONT SEULS AU MONCE d’ Henri Decoin (1948) avec Louis Jouvet, Dany Robin, Renée Devillers
JULIETTA de  Marc Allégret (1953) avec Jean Marais, Dany Robin, Jeanne Moreau, Denise Grey
A voir également
VISAGES FAMILIERS DU CINÉMA FRANÇAIS (partie 1)
  Ce n'est pas le moindre des paradoxes de l'Occupation à de nombreux jeunes acteurs de se révéler au public. La plupart rapidement au vedettariat au cours des années 50, mais si on excepte quelques chefs-d’œuvre fulgurants, Ils seront souvent mal employés. Ce n'est pas le moindre des paradoxes de l'Occupation à de nombreux jeunes acteurs de se révéler au public.
4 notes · View notes
bibouchonlifestyle · 4 years
Photo
Tumblr media
🙏Hommage à Michel Piccoli. Acteur français né le 27 décembre 1925 à Paris et mort à 94 ans le 12 mai 2020. . Michel Piccoli, monstre sacré du cinéma français, a joué dans plus de 200 films, de La Grande Bouffe (Marco Ferreri, 1973) à Habemus Papam (Nani Moretti, 2011), son dernier grand rôle. . Fils d’un violoniste, il passe son adolescence en Corrèze où sa famille a fui l’occupation, pendant la seconde guerre mondiale. De retour à Paris et passionné par le théâtre, il fait ses débuts sur les planches. . En 1962, Michel Piccoli obtient un rôle dans le long-métrage de Jean-Pierre Melville, Le Doulos. L’année suivante, l’acteur est révélé, à 38 ans, grâce à son rôle de mari délaissé dans Le Mépris de Jean-Luc Godard, dans lequel il donne la réplique à Brigitte Bardot. .  Dès lors, l’acteur est sollicité par les plus grands réalisateurs : Jacques Demy, Agnès Varda, Jacques Rivette, Jean Renoir et Hitchcock lui-même lui confie un rôle dans le thriller L’Etau. . Michel Piccoli donne la réplique aux plus grands de son époque : Marcello Mastroianni, Philippe Noiret ou encore Annie Girardot. Acteur fétiche de Claude Sautet, le duo va tourner de nombreux films; Les choses de la vie, Max et les ferrailleurs, Vincent, François, Paul…et les autres, Mado… . Au cours des années 1980, l’acteur joue notamment pour Michel Deville ou encore Claude Lelouch. Il remporte de nombreux prix; Prix d’interprétation masculine au festival de Cannes en 1980 pour Le saut dans le vide, l’Ours d’argent du meilleur acteur en 1982 pour Une étrange affaire, le prix du meilleur comédien du Syndicat de la critique en 1984 pour Terre étrangère.  . Michel Piccoli poursuit sa carrière sur les planches dans les années 2000. . . www.biboucheetbibouchon.com #citation #citationdujour #instacitation #michelpiccoli #piccoli #hommage #rip #likeforlikes #like #phrasedujour #biographie (à Saint-Germain-en-Laye, France) https://www.instagram.com/p/CAhq6ucg7nS/?igshid=1hvss4flbi8m7
0 notes
osfabulososxmen · 4 years
Photo
Tumblr media
BATMAN & CATWOMAN 🔥 Art by Marcello Renoir @marcellorenoir | @marcello_renoir #especialgotham #catwoman #batman #dc #dccomics #love #loveit #dcgirls #girlpower #cosplay #dccomicsart #artwork🎨 #artwork #sabadou #quadrinhos #nerds #gibi #gotham #gothamcity #cosplaygirl #brasil #brazil #batmancosplay #igcomics #dccomicsart #mulhergato #serpentcomics #serpentcomics⚡🐍⚡ https://www.instagram.com/p/B7vuPE-Bd8a/?igshid=1rj28eim5al3i
0 notes
ocioenlinea · 5 years
Text
Salas alternativas del 11 al 17 de octubre de 2019
Tumblr media
VIDEOSALA CAAV Lerdo de Tejada 2071, entre Marsella y Chapultepec. T/3615-8470. Entrada libre.
DRAMA DOS PERSONAS D: Carl Dreyer Con Georg Rydeberg, Wanda Rothgardt, Gabriel Alw Suecia, 1945. d: 78 min. Cuando el prestigioso doctor Arne Lundell termina el trabajo más importante de su vida, un colega de la universidad de Estocolmo, el doctor Sander, presenta una denuncia contra él por plagio. Marianne, esposa de Arne, hace todo lo posible para animar a su angustiado marido que no alcanza a comprender los motivos de esta injusta acusación. En estas circunstancias, Sander aparece muerto. Viernes 11, 16:00 y 18:00 h
DRAMA OPHELIA D: Claire McCarthy Con Daisy Ridley, Naomi Watts, George MacKay, Clive Owen Estados Unidos, 2018. d: 114 min. Ophelia, es una joven adolescente e impetuosa que reside en el castillo de Elsinore como una de las personas de confianza de la Reina Gertrude. Su personalidad no pasa desapercibida ante los ojos del Príncipe Hamlet, a quien conquista rápidamente. Ambos se enzarzan en un apasionado romance secreto mientras su reino se encuentra al borde de entrar en guerra, plagado de traición y de intrigas palaciegas. Sábado 12 y domingo 13, 16:00 y 18:00 h DRAMA BERBERIAN SOUND STUDIO D: Peter Strickland Con Toby Jones, Tonia Sotiropoulou, Cosimo Fusco Reino Unido, 2012. d: 92 min. En la década de los setenta, el Berberian Sound Studio fue el estudio de postproducción de sonido más barato y sórdido de toda Italia; por él pasaron las películas más perturbadoras. Gilderoy, un tímido ingeniero inglés experto en sonido, viaja a Italia para encargarse de mezclar el último “giallo” de Santini, el gran maestro del cine de intriga, pero pronto se verá atrapado en un mundo prohibido. Lunes 14, 16:00 y 18:00 h DRAMA BOYS IN BRAZIL D: Alexandre Carvalho Con André Bankoff, Mauricio Evanns, Marcello Airoldi Brasil, 2014. d: 92 min. Dos adolescentes gay viajan en compañía de un tío también gay al desfile LGBT en Sao Paulo, en donde atestiguan un violento ataque homofóbico. Después de ayudar a la víctima, el grupo resuelve salir del closet en el año siguiente. Martes 15, 16:00, 18:00 y 20:00 h DRAMA LA MARSELLESA D: Jean Renoir Con Pierre Renoir, Lise Delamare, Louis Jouvet Francia, 1938. d: 135 min. La Revolución Francesa vista a través de los ojos de sus participantes directos (desde los campesinos hasta el propio Luis XVI) es el tema de este drama de época dirigido por el maestro Jean Renoir. Miércoles 16, 16:00 y 18:15 h OPERA STRAUSS | ELEKTRA Con Iréne Theorin, Waltraud Meier, Eva Maria Westbroek Conductor: Daniele Gatti Wiener Philharmoniker, Wiener Staatsopernchor, 2015. d: 109 min. Detrás del pesado portón de hierro que cierra el acceso al patio interior del palacio se encuentra la recámara. Cerca del final, se abre el portón y se ve colgando cabeza abajo, sujeta a un gancho de carnicero, a Clitemnestra, asesinada. ¿Es un animal sacrificado? La puesta en escena de ‘Elektra’, de Richard Strauss, es el último gran estreno de ópera del Festival de Salzburgo. Jueves 17, 16:00 h
No.1152. 111019
0 notes
clovisbrasilart · 5 years
Photo
Tumblr media
Capa de Esquadrão Vitória Capa: @clovisbrasilart Roteiro e desenhos : Giorgio Galli Arte Final : Clóvis Brasil e Giorgio Galli Cores: Marcello Renoir e Giorgio Galli #art #esquadrãovitória #jackkirby #vintagecomics #painting #oilpainting #oiloncanvas #comic #gamer #tattoo #movie #music #cartoons #animes #watercolor #acuarela #aquarelle #superheroes #fantasyart #digitalart #artwork #dibujo #scifi #studyart #sketchbook #stanlee https://www.instagram.com/p/BuraTMwH-De/?utm_source=ig_tumblr_share&igshid=1s2tg96s68g4b
0 notes
cosplayhubit-blog · 6 years
Text
Guida a Cartoomics 2018 published on Cosplay Hub
Guida a Cartoomics 2018
Tumblr media
Cartoomics è la grande festa del fumetto, del cinema e dei videogiochi. La nuova edizione della Fiera di Milano si terrà da venerdì 9 a domenica 11 marzo 2018, con tante interessanti novità e diversi ospiti. Per la sua 25esima edizione molti gli appuntamenti da non perdere nelle date della manifestazione. Alla fiera di Milano Rho, nei padiglioni 12, 16 e 20, sotto la direzione artistica di Filippo Mazzarella, grande attenzione all’editoria italiana con tante novità.
L’evento propone ai visitatori mostre, incontri, anteprime, incontri con ospiti speciali e d’onore, ma anche premiazioni e lezioni, per parlare di tutto quello che riguarda il mondo del fumetto, del cinema, dei game. Un appuntamento da non perdere per tutti gli appassionati del genere, un evento che ormai da 25 edizioni è un vero e proprio punto di riferimento.
Cartoomics Milano 2018, ospiti e programma
Tanti gli ospiti che saliranno sul palco di Cartoomics. Ci saranno Zerocalcare, Maurizio Nichetti, Marco Cecchetto, Silver, Roberto Recchioni, Giulio Giorello, Fabio Canessa, Franco Trentalance, Vince Temperare, Sergio Stivaletti, Simone Morandi, Emanuel Simeoni, Emiliano Mammuccari, Emilio Cozzi, Andrea Mutti, Marcello Garofalo, Luca Barnabè, Davide Barzi, Roberto Rossi Gandolfi, Alex Crippa, Carlo Cavazzoni, Giorgio Viaro, Giulio Sangiorgio e molti altri ancora.
Ospite d’onore di Cartoomics Artists Award 2018 sarà Francesco Tullio Altan, mentre Bruno Bozzetto sarà l’ospite d’onore di Cartoomics Directors Award 2018. L’ospite straniero è Javier Garrón (Secret Warriors e ResurrXion) con Marco Checchetto.
Il programma di eventi prevede più di 100 incontri con ospiti internazionali come Panini Comics, Panini Comics/Topolino, Bao, Saldapress, Astorina, Sergio Bonelli Editore, Inkiostro, RW, Shockdown, It Comics, Hazard, Magic Press, Renoir, Tunué, Cronaca di Topolinia. La grande novità di quest’anno è Cartoomics University, uno spazio dove seguire lezioni di grandi protagonisti italiani. Da non perdere la mostra “Omaggio a Sergio Zaniboni”, ma anche la mostra “Il fumetto è arte”, così come lo spazio dedicato alle autoproduzioni.
CosplayCity a Cartoomics 2018
In occasione del 25esimo compleanno della manifestazione, non poteva mancare un grande evento dedicato ai cosplayer. Saranno moltissimi gli appassionati che saliranno sul palco con i loro costumi, i loro make up, i loro accessori, ma anche tutta la loro passione e la loro dedizione. Le sfilate dei partecipanti al contest di quest’anno saranno protagonisti del padiglione 12 della Fiera Milano di Rho. Grazie alla community di EPICOS, ci sarà una cosplay experience davvero unica.
I contest EPICOS
Punto di forza di CosplayCity sono proprio i contest presentati da Luca Panzieri e dal suo team. Il regolamento è disponibile sul sito di Cosplay City
Venerdì 9 marzo / Soft Cosplay Contest Sono ammesse tutte le categorie e per partecipare è sufficiente presentarsi alle 16.00 sotto al palco. Verrano premiate le categorie Miglior Maschile e Miglior Femminile con un biglietto omaggio per partecipare alle 2 giornate successive di Cartoomics.
Sabato 10 marzo / CINECosplay Award Torna il CINECosplay Award, per i cosplayer appassionati di cinema, film d’animazione, telefilm e musical (gara dedicata a Cosplay tratti esclusivamente da Film e Serie TV).
Iscrizioni: dalle ore 10.00 alle ore 13.00 direttamente in fiera. Inizio Contest: ore 15.00 Saranno premiati: – Miglior FILM – Miglior SERIE TV – Miglior FILM D’ANIMAZIONE – Miglior ATTORE – Miglior ATTRICE – Miglior MAKE UP – Premio Speciale Cosplay Hub
Domenica 11 marzo / Gran Cosplay Contest Domenica sarà il turno del Gran Cosplay Contest di Cartoomics, a partire dalle ore 14. Parteciperanno, con esibizione o solo sfilata, costumi ispirati a cartoons, anime, comics, fantasy, film, fumetti, card game, giochi di ruolo, manga, pubblicità, quiz, gothic, jrock, telefilm, videogame e original.
Iscrizioni dalle ore 10.00 alle ore 13.00 direttamente in fiera. Inizio Contest ore 14.00 Saranno premiati: – Miglior Cosplay Singolo – Miglior Cosplay Assoluto ARMOR – Miglior Cosplay Assoluto SARTORIALE – Miglior Original (original, fantasy, steampunk, vampire, ecc) – Miglior Gruppo – Miglior Coppia – Miglior Interpretazione – Miglior Accessorio – Miglior MakeUp – Miglior Cosplay Kid (under 14) – Premio Speciale Cosplay Hub
Tumblr media
Da non perdere anche il New Lara Croft Cosplay Contest, dedicato alla nuova protagonista di Tomb Raider, al cinema dal 15 marzo 2018. Il contest è organizzato da CosplayCity ed EPICOS, in collaborazione con Cartoomics, Movie Time Machine, Tomb Raider Italia – Official e il supporto della Warner Bros. Pictures Italia. Ci sarà anche uno stand dove poter scoprire le potenzialità della stampa 3D, grazie ad ANCoS Confartigianato.
Cosplay Hub con EPICOS a Cartoomics
Non potevamo mancare a un anniversario così importante e, grazie agli amici di EPICOS, offriremo a tutti i cosplayer che verranno a trovarci:
Set fotografico professionale gratuito.
Video box per tutti i cosplayer che vorranno lasciare il proprio messaggio o un semplice saluto
Interviste e dirette con Silvia Minella e Chiara di Berardo
Cartoomics Milano 2018, biglietti
I biglietti di Cartoomics 2018 hanno un costo giornaliero di 13 euro se acquistato in cassa e di 11 euro se acquistato online o in cassa con il coupon sconto che si può scaricare dal sito.
Il venerdì, come da tradizione, i cosplayer entrano gratis presentandosi all’ingresso già in costume. I bambini da 7 a 12 anni pagano 5 euro (solo in cassa), mentre quelli da 0 a 6 anni non compiuti entrano gratuitamente (solo in cassa). L’abbonamento individuale per due giorni costa 19 euro in cassa e 16 euro online. Per 3 giorni 25 euro in cassa e 20 euro online.
Cartoomics Milano 2018, date e come arrivare
  Cartoomics Milano 2018 si svolge da venerdì 9 a domenica 11 marzo 2018 presso la Fiera di Milano Rho, SS 33 del Sempione 28 a Rho, in provincia di Milano. Cartoomics 2018 osserva i seguenti orari: tutti i giorni dalle ore 9.30 alle ore 19.30.
La fiera si può raggiungere in automobile, dalle autostrade A7-Genova e A1- Bologna e A4-Torino, da Milano tramite l’autostrada A4 Venezia e tramite Autostrada A8 direzione Varese-Como e Autostrada A4 direzione Torino, dalle autostrade A8-Varese e A9-Como, dalla barriera di Milano Nord, direzione A4-Venezia. La Fiera Milano ospita un parcheggio di pertinenza, ma l’automobile può anche essere lasciata in corrispondenza delle fermate della metropolitana rossa, verde e gialla.
La fiera è raggiungibile tramite metro, con un biglietto di andata e ritorno del costo di 5 euro, valido per due viaggi da Milano fino alla stazione di Rho Fiera sulla Linea 1 della metropolitana rossa e viceversa. Durata massima di 105 minuti l’uno. In aereo, si possono prendere gli autobus, le navette e i treni per poi cambiare con la metropolitana, mentre in treno si può anche scendere direttamente alla Fermata Rho-Fiera Milano molto comoda.
0 notes
tailspinfr · 6 years
Text
It's time that we began to laugh and cry and cry and laugh about it all again
Tumblr media
Bob Dylan m'aide chaque année, mais en 2017 j'ai écouté Tangled Up In Blue encore plus souvent que d'habitude, à cause de la version alternative qui m'a hantée. J'ai déplié le sens de ma phrase préféré The only thing I knew how to do was to keep on keeping on, like a bird that flew. Il n'y a pas eu un jour où je n'ai pas ressenti cela au plus profond de moi. Chaque jour a été la suite obligatoire du précédent. Alors c'est Dylan qui me menait jusqu'au prochain jour. Et je commençais à voir ma vie comme les couplets de la chanson.
Thought you'd never say hello, she said, you look like the silent type
youtube
J'ai commencé l'année par le silence assourdissant de janvier et chaque journée a amené sa question, suivie d'une autre.
Keep on keepin' on
Comme tous les ans je me suis dit que je n'écrirai pas mon bilan. Puis finalement je crois que j'en ai besoin cette année plus que jamais. On m'a dit de chérir le fait d'écrire, de réussir à remplacer les peurs par des mots ou du moins à les accompagner.
Toute l'année j'ai attendu ma métamorphose. J'ai vraiment cru qu'elle arriverait, je restais tapie dans l'ombre, pensant y vivre le moment où mon ancienne peau tomberait au sol. Dessous je pensais être un dragon féroce, sans peur et sans angoisses. Au lieu de ça j'ai muté en cette enveloppe encore plus fragile, encore plus friable. Alors il a fallu à la place que je l'accepte. Adieu aux métamorphoses.
J'ai essayé les tisanes new age pour m'aimer, j'ai essayé de parler. Et tout ce que je trouvais c'était plus d'inquiétude. Quand je regardais dans les yeux de ceux que j'aimais j'en voyais encore plus. Il a fallu relever ceux qui me relèvent habituellement mais je ne les ai aimés qu'encore plus. Il y a eu de l'attente, dans les salles blanches, les halls. Il y a eu des larmes. Il y a eu des mots qui transpercent à des moments inattendus. Il y a eu parfois tes yeux sans larmes. On avait les mains moites quand on se serrait tristement.
Il y a eu de la trahison, des gens qui ne paient pas, on m'a marché sur les pieds et j'ai eu de la colère à revendre. J'ai enfoncé mes ongles tellement fort dans ma peau que je m'en suis laissé des marques, des petites cicatrices de rancœur. Le monde extérieur, le monde intérieur ressemblaient à une énorme brume insupportable. La colère et l'angoisse sont souvent devenues un seul et même sentiment. Est-ce que j'avais encore envie d'écrire des mots sur la page pour des clopinettes ? Est-ce qu'il y a autre chose à faire ? Est-ce qu'il y a une autre personne à être ? Est-ce qu'il faudrait tout plaquer ?
J'ai vu pas mal de comédies musicales, j'ai même écrit beaucoup sur le sujet et à chaque fois que j'avais un coup de mou ça me relevait une nouvelle fois. Mon intérêt pour Judy Garland a gagné en intensité cette année en découvrant le merveilleux A Star Is Born de George Cukor et j'ai passé des mois à lire ses interview et biographies avec passion. J'ai lancé un blog et j'ai découvert que j'avais plein de choses à dire sur le sujet et c'était bien de les partager et puis finalement c'est peut-être ce qui m'est arrivé de mieux cette année.
Meilleurs films vus en 2017 :
Madame De (Max Ophuls, 1953)
A Star is Born (George Cukor, 1954)
Le Guépard (Luchino Visconti, 1963)
Jackie (Pablo Larrain, 2017)
Lost city of Z (James Gray, 2017)
Moonlight (Barry Jenkins, 2017)
Running on Empty (Sidney Lumet, 1988),
Voyage à deux (Stanley Donen, 1967),
La règle du jeu (Jean Renoir, 1939),
Holiday (George Cukor, 1938),
Le miroir (Andreï Tarkovski, 1975),
Les yeux sans visage (Georges Franju, 1960),
A Matter of Life and Death (Michael Powell et Emeric Pressburger, 1946)
Les films ont laissé des images dans ma rétine, Judy Garland chantant son désespoir dans une lumière veloutée (A Star Is Born), une valse menée par Vittorio de Sica (Madame De), un regard caméra qui a transpercé mon âme (Le Miroir), une ombre qui part dans la jungle (The Lost City of Z), un stairway to paradise (A Matter of Life and Death), des yeux paniqués derrière un masque (Les yeux sans visage). Et parfois ce sont des musiques qui me sont restées, la bande originale de Jackie, toute en chute et en tension triste, et aussi Fire and Rain de James Taylor, entendue dans Running on Empty de Sidney Lumet, que j'ai gardé dans les oreilles toute l'année, et qui m'a sans cesse rappelé l'image de cette famille qui chante à l'unisson. C'était un titre qui allait bien avec le soleil et la naissance de l'été. Et bien sûr j'ai sans cesse écouté The Man That Got Away.
youtube
On a vu Miracle Mile au cœur de l'été et on a marché main dans la main sur le pont des arts face au coucher du soleil, les yeux encore plein de l'explosion nucléaire sur grand écran.
Je n'ai pas beaucoup écouté de nouveaux disques, peut-être que je vieillis. Gershwin m'a accompagnée, surtout An American in Paris que j'écoutais en regardant le ballet du film. Gene Kelly m'a remplie de bonheur. En octobre, j'ai enfin vu Nick Cave sur scène et ça ressemblait à une incroyable messe. C'était l'un des concerts les plus fous que j'ai pu voir et quand il a chanté Jubilee Street les larmes salées étaient cathartiques. On l'écoutait tous comme s'il avait toutes les solutions.
J'ai écouté Nino Rota et la bande originale de La Dolce Vita dans le car qui me ramenait à l'aéroport de Rome la tête pleine de ces ruines sublimes, de ces douces nuits italiennes et de la beauté presque surréaliste de la ville. Encore une fois frappée en plein cœur par la magie de l'Italie. J'étais pleine d'amour pour ceux qui m'avaient invitée à y aller, et je les remerciais de me donner la chance de pouvoir quitter Paris au cœur de cette année fauchée. On a ri et bu des spritz, on s'est baladées à Cinecittà sur les traces de Marcello et Federico et la vie était en effet sacrément douce. Plus tard dans l'année, on a bu un café devant les étendues blanches de la montagne et la beauté piquait les yeux.
youtube
Meilleurs moments musicaux de 2017
Écouter Fire and Rain de James Taylor
Redécouvrir le ballet d'Un Américain à Paris au cinéma
Voir Nick Cave au Zénith
Rufus Wainwright au Bouffes du Nord
Réentendre Bloody Mother Fucking Asshole de Martha Wainwright en lisant des témoignages de femmes partout sur Internet
La fille de neige à l'Opéra Bastille
Écouter Nino Rota à Rome
C'était dur et ça faisait mal de lire les #metoo et on s'est toutes souvenues de ces moments dans le métro où on est suivies par des "je vais te baiser salope". En 2017, c'était quand même beau de voir les femmes se rallier et souvent j'ai lu et écouté des meufs (dans La Poudre et Un Podcast à soi) et j'étais fière.
youtube
En juillet je me suis soudainement souvenue de Rufus Wainwright, que j'avais un peu délaissé, et j'ai réécouté sa musique en boucle. Et puis en décembre j'ai posé ma tête dans mes mains pour le regarder avec admiration sur la scène des Bouffes du Nord et j'avais de nouveau 15 ans. C'était un concert d'une incroyable générosité, où il a chanté ses compositions, quelques standards, des reprises, où il a raconté des anecdotes et où l'on a ri et pleuré le plus sincèrement du monde, à l'unisson. Grâce à lui j'ai fini l'année en réécoutant Leonard Cohen et So Long, Marianne. Quand Rufus Wainwright a chanté "I used to think I was some kind of Gypsy boy", j'ai senti des larmes de joie couler sur mes joues, et j'avais le cœur plein de cette gratitude, celle de savoir que la musique viendra toujours, toujours me sauver. Quelle chance qu'elle me remue aussi profondément.
youtube
J'ai lu aussi, et surtout des femmes. Joan Didion qui me parlait de deuil, Toni Morrison et son écriture incroyable, Zadie Smith sur fond de Fred Astaire, Despentes, Miano, Brit Bennett. Elles m'ont ouvert de nouveaux horizons. Je ne les raconterai pas en détail, parce que j'ai réussi à parler d'à peu près toutes mes lectures sur le blog cette année, mais voilà quand même mon petit best of.
Meilleurs livres lus en 2017
The Year of Magical Thinking de Joan Didion
Swing Time de Zadie Smith
La saison de l'ombre de Léonora Miano
Tar Baby de Toni Morrison
The Mothers de Brit Bennett
La Montagne Magique de Thomas Mann
On ne sait vraiment pas ce que 2018 nous prépare. Qu'écrirai-je dans mon bilan l'année prochaine ? Est-ce que j'aurai changé, muté, est-ce que je me serai transformée ? On finit l'année dans les larmes de joie, et c'est la meilleure façon de faire. Dans les bras de ceux qu'on aime. On verra demain ce qu'il faut faire pour continuer.
"Ring out the old year, ring in the new".
youtube
1 note · View note
giorgio-galli-blog · 6 years
Photo
Tumblr media
Faltando pouco menos de um mês para #ccxpoficial e a gente está fazendo a nossa parte! Estarei na mesa H25 do Artists' Alley com dois lançamentos: Esquadrão Vitória (40 pgs, cor, formato 24,5X16, com colaboração de Clovis Brasil e Marcello Renoir), uma HQ de super-heróis que é uma grande homenagem ao Rei dos Quadrinhos Jack Kirby e à Era de Prata, mostrando "o que aconteceria se..." seus personagens tivessem sido criados no Brasil na década de 70; e Almanaque do Salomão Ventura - Caçador de Lendas nº1 (48 pgs, PB, formato 24,5X16), edição especial republicando a primeira edição (A Maldição do Saci), além de dois contos inéditos, preview da quarta edição e diversas pinups feitas por um time de primeira (Allan Alex, Alex Genaro, Rob Moran, Mario Cau, Will e Carlos Brandino), Espero vocês lá em São Paulo de 6 a 10 de dezembro! #lançamentos #giorgiogalli #salomãoventura #esquadrãovitória (em CCXP - Comic Con Experience)
0 notes
fantasy-scifi-art · 3 years
Photo
Tumblr media
Fanart: Supergirl, Angel of Steel by Marcello Renoir
129 notes · View notes
fantasy-scifi-art · 3 years
Photo
Tumblr media
Portrait: Morning Mindset by Marcello Renoir 
50 notes · View notes
fantasy-scifi-art · 4 years
Photo
Tumblr media
Portrait: Shining Pumpkin Girl by m-renoir
61 notes · View notes
fantasy-scifi-art · 4 years
Photo
Tumblr media
Caska, Berserk by Marcello Renoir
95 notes · View notes
fantasy-scifi-art · 4 years
Photo
Tumblr media
Rogue by Marcello Renoir
59 notes · View notes