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#Musée Arts Décoratifs Paris 1988
fashionbooksmilano · 2 years
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Issey  Miyake Photographs by Irving Penn
Edited by Nicholas Callaway, foreword by Isamu Noguchi, and an essay by Jay Cocks
Little, Brown and Company, Boston 1988, 96 pages, 46 col.ill., Hardcover, 26x31cm., ISBN  9780821217207
Exhibition at Musée des Arts Décoratifs in Paris 1988
euro 120,00
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Irving Penn Regards the Work of Issey Miyake displays the wordless harmony of the artistic relationship between Irving Penn, one of the great photographers of the twentieth century, and the designer Issey Miyake, one of the few figures to have taken clothing design into the realm of art. For more than a decade and across different continents, the work of one has provided a mirror for the work of the other. Miyake offers Penn the forms and textures that have been the substance of much of his long career. Penn’s photographs allow Miyake to look again at his designs as if they were completely new. This is an invaluable representation of the intuitive partnership between two artists that Miyake describes as a “silent understanding.”
14/08/22
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booksinantwerp · 9 months
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Sculpture for the exhibition 'Issey Miyake: A-ŪN' in Musée des Arts Décoratifs Paris, 1988 follow on Instagram for more
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look-at-my-dresses · 1 year
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Christian Lacroix, robe Caramba, 1988
Musée des arts décoratifs de Paris, France
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alainlesourd-14 · 3 years
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HERGÉ (Georges Remi dit)
1907-1983 Les Aventures de Tintin reporter en Extrême-Orient Le Lotus Bleu Encre de Chine, aquarelle et gouache sur papier doublé sur papier japon pour le projet d'illustration destiné à la couverture de l'édition originale du Lotus Bleu de 1936. Une large pliure verticale et deux larges pliures horizontales. 34 x 34 cm Provenance : Collection Jean-Paul Casterman, Belgique, aux propriétaires actuels par descendance. Exposition : Bruxelles, Musée d'Ixelles, Hergé dessinateur, 60 ans d'aventures de Tintin, exposition du 23 décembre 1988 au 15 janvier 1989. Bibliographie : - Philippe Goddin, Hergé, Chronologie d'une œuvre, Tome 3, 1935-1939, éditions Moulinsart, 2002, reproduit page 47 (coll. particulière) - Jean-Michel Coblence, Tchang ! Comment l'amitié déplaça les montagnes, Moulinsart, 2003, reproduit page 83 - Lire hors-série n°4, Tintin - secrets d'une œuvre, 2006, reproduit page 58 - Pierre Fresnault-Deruelle, Les Mystères du Lotus Bleu, éditions Moulinsart, 2006, reproduit page 3 - Centre Pompidou, Hergé, catalogue de l'exposition, Centre Pompidou/ éditions Moulinsart, reproduit page 332 (collection particulière) – commissaires d'exposition : Laurent Le Bon, conservateur au Musée national d'art moderne et Nick Rodwell, administrateur délégué des Studios Hergé. - Marcel Wilmet, Tintin noir sur blanc, l'aventure des Aventures, éditions Casterman, 2011, reproduit page 73 - Musée Hergé, Musée Hergé, éditions Moulinsart, 2013, reproduit page 106 (collection particulière) Les dessins en couleurs directes sont extrêmement rares dans l'œuvre de Hergé. Il utilisa cette technique principalement pour les couvertures des cinq premières aventures de Tintin. La correspondance entre Hergé et le directeur adjoint des éditions Casterman, Charles Lesne, montre la volonté des deux hommes d'introduire de la couleur dans les albums et ce malgré des procédés techniques encore onéreux à l'époque. Hergé relève ce nouveau défi et réalise ce projet de couverture très travaillé dominé par un magnifique dragon rouge. Si le projet de couverture semble avoir été reçu avec enthousiasme par l'éditeur adjoint, il se révélera trop compliqué et coûteux à reproduire en couleurs. La version finale montre une simplification des éléments décoratifs et du fond. L'image est d'abord imprimée sur papier, puis collée sur la couverture donnant ainsi son nom à l'édition dite « petite image collée ». Le Lotus Bleu est le premier album à utiliser cette maquette qui servira jusqu'en 1941. Un compromis est trouvé pour ajouter, pour la première fois, de la couleur dans les pages intérieures. Hergé réalisera cinq grandes illustrations couleur, les hors-textes, qui seront insérés dans l'album. Pour la première fois un papier blanc de qualité supérieure est utilisé, faisant de cet album le premier à ne pas prendre un aspect plus terne avec le temps. En 1934, alors que Hergé s'attelait à son nouvel album, Le Lotus Bleu, on lui présenta un jeune diplômé des Beaux-Arts de Bruxelles : Tchang Tchong-Jen. Leur rencontre et leur collaboration auront une influence décisive non seulement sur le style de Hergé, qui devient plus fluide, mais également sur le contenu des albums. Une atmosphère historique proche du documentaire règne sur Le Lotus Bleu : les sinogrammes sont lisibles, l'atmosphère d'oppression palpable, réaliste et on y retrouve Tchang, seul personnage de Hergé inspiré de sa vie personnelle. Le Lotus Bleu est le premier album où Hergé prend conscience qu'il a une vraie responsabilité vis-à-vis des lecteurs. En 1981, Jean-Paul Casterman prête le dessin à la Maison Casterman pour réaliser une lithographie qui sera offerte par l'éditeur à l'occasion des retrouvailles de Hergé et de Tchang. Une cinquantaine d'exemplaires de cette lithographie sont alors cosignés par Tchang et Hergé. Tchang quitte la Belgique peu après avoir travaillé sur Le Lotus Bleu. Il rentre en Chine en 1936 et ne pourra revenir à Bruxelles qu'en 1981. En 1988, ce dessin est exposé au Musée d'Ixelles dans le cadre de l'exposition Hergé dessinateur, 60 ans d'aventure de Tintin coproduite par la Fondation Hergé, Baran International Licensing et le salon international de la bande dessinée à Angoulême. L'album, paru en 1936, est édité en premier tirage à 6000 exemplaires vendus 20 Fr pièce par les éditions Casterman. C'est un tirage conséquent et un véritable pari sur l'avenir des Aventures de Tintin. Le Lotus Bleu est le deuxième album de Hergé publié par cette vénérable maison d'édition crée en 1776 à Tournai. La Maison Casterman reprend en 1934 la publication et distribution des albums précédemment édités par les éditions du Petit « Vingtième ». Le Lotus Bleu scelle leur deuxième collaboration et engage Hergé sur le chemin de la modernité. Tout au long de sa vie professionnelle Hergé gardera des relations empreintes de confiance avec la Maison Casterman. Il restera fidèle à l'éditeur jusqu'à son décès. Traduit en plus d'une centaine de langues, le petit reporter continue de fasciner les auteurs contemporains. Joost Swarte, graphiste et grand spécialiste de Hergé, dont il admire les albums, a pour Le Lotus Bleu une prédilection particulière : « Le Lotus Bleu est l'un de mes préférés. C'est formidable parce que c'est le premier livre qu'il a fait sur une autre culture pour lequel il a fait des recherches très sérieuses. [...] C'était un très beau livre. [...] C'était à une époque, un moment du XXe siècle où tout le monde ne pouvait pas aller au cinéma, parce que c'est assez coûteux. Hergé voulait faire une sorte de cinéma pour les enfants. » Interview pour The Comics Journal, 2012. Le Lotus Bleu est largement considéré comme l'album de la maturité narrative et politique d'Hergé, pour lequel il se documente en véritable sociologue et journaliste. Cette évolution signe le tournant humaniste de la série Tintin tout comme le perfectionnement du caractère cinématographique de l'image et du récit. Hergé fait entrer sa série dans une autre dimension. Le dessin que nous présentons est certainement la plus belle œuvre de Hergé encore en mains privées. C'est un chef d'œuvre à juste titre. Estimation 2 200 000 - 2 800 000 €
Lot 18
HERGÉ (Georges Remi dit) 1907-1983
Estimation 2 200 000 - 2 800 000 € [$]
(via L’univers du créateur de Tintin | Vente n°4085 | Lot n°18 | Artcurial)
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parkerandloulou · 7 years
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Issey Miyake at the Musée des Arts Décoratifs in Paris (1988), photo by  Junichi Akahira
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micaramel · 4 years
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Artists: Danica Barboza, Genesis Belanger, Meriem Bennani, Sascha Braunig, Florencia Escudero, Hadi Fallahpisheh, Anna Glantz, Ivy Haldeman, Christina Quarles, Emily Mae Smith, Greg Parma Smith
Venue: Petzel, New York
Exhibition Title: A Love Letter to a Nightmare
Date: July 15 – August 14, 2020
Click here to view slideshow
Full gallery of images, press release and link available after the jump.
Images:
Images courtesy of Friedrich Petzel Gallery, New York
Press Release:
The skeleton was as happy as a madman whose straitjacket had been taken off. He felt liberated at being able to walk without flesh. The mosquitoes didn’t bite him anymore. He didn’t have to have his hair cut. He was neither hungry nor thirsty, hot nor cold. He was far from the lizard of love.
–Leonora Carrington, The Seventh Horse and Other Tales
As we reopen, Petzel Gallery is pleased to present A Love Letter to a Nightmare, a summer group exhibition that will be on view from July 15 – August 14 at the gallery’s Chelsea location. The exhibition’s premise is to take into consideration contemporary visual modes and expressions that trace back to historical movements such as Surrealism, Symbolism and Pop, through the lens of our current uncertain existence. Call it vamped Surrealism and Symbolism. The show ponders how the aesthetic of modern surrealism/symbolism has been dressed up and added upon, sexualized, feminized, and reworked in the 21st Century. How does the state of a bound subconscious affect these artworks? This has become especially prevalent while the world shelters from the coronavirus pandemic and confronts centuries of inequity in a moment of historic unrest and great potential for revolutionary change. Beneath our daily struggle for normalcy bubbles a shared unconscious anxiety, fear, loneliness, despair, and trepidation of the future. In these times, the fabric of society is now both flattened into two dimensions as we socialize through screens – from our Zoom meetings, family check-ins, and “cocktails with friends,” to the daily State and Federal news conferences, Instagram stories, and Tik Tok videos – and yet simultaneously burst open in valiant action both intellectual and physical as we gather, protest, and organize in efforts to reimagine and rebuild a more just world. Our dreams have become more “vivid” and “menacing,” according to The New York Times, and, of course, in fantasy there is room for radical possibility. How might these practices of contemporary Surrealism, Symbolism and Pop, be read and implemented in reaction to the current upheaval? As one of the artists offered – how might these daydreams and nightmares be used as “forms of resistance, or in addressing trauma, enfranchising the masses, and envisioning necessary escape?” The exhibition asks how does each artist’s subjective work – painting, sculpture, installation, and video – explain a world riddled with multiple “objective” truths?
A Love Letter to a Nightmare includes work by Danica Barboza, Genesis Belanger, Meriem Bennani, Sascha Braunig, Florencia Escudero, Hadi Fallahpisheh, Anna Glantz, Ivy Haldeman, Christina Quarles, Emily Mae Smith, and Greg Parma Smith.
Danica Barboza (b. 1988, New York) is a multimedia artist who elaborates a rich personal mythology through the mediums of sculpture, drawing, writing and assemblage. Her work portrays a mystical marriage between her and a mythologized lover, and in her sculptures’ shifting identities she explores questions around celebrity, psychology, and desire. She had her first institutional solo exhibition at Schinkel Pavillon, Berlin, Germany in 2020, and recent exhibitions with Lomex (New York) and Galerie Buchholz (Cologne).
Genesis Belanger (b. 1978, USA) Belanger’s work is characterized by the treatment of objects as surrogates for the body. Sculpted in porcelain and stoneware, metal work and upholstery and tinted in fondant hues, everyday objects take on human features, made uncomfortably familiar as they begin to resemble us. Belanger’s sculptures address themes such as feminism and the objectification of the female body, the psychology of consumerism and power structures in modern history. Belanger has upcoming museum solo shows at Aldrich Contemporary Art Museum, in Ridgefield, Connecticut (September 2020) and the Consortium Museum in Dijon, France (April 2021).
Meriem Bennani (b. 1988 in Rabat, Morocco) lives and works in Brooklyn, USA. She received her BFA from Cooper Union, New York in 2012, and her MFA from the Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs, Paris in 2011. Solo exhibitions of her work have been held at C L E A R I N G Brooklyn; The Kitchen, New York; Fondation Louis Vuitton, Paris; Art Dubai; MoMA PS1, New York; and SIGNAL, Brooklyn. Her work has also been featured in numerous group exhibitions, including Whitney Biennial, New York; Biennale de l’Image en Mouvement, Geneva / Turin; Public Art Fund, New York; Shanghai Biennale; Jewish Museum,New York; Saatchi Gallery, London; MANA Contemporary, New Jersey; and Palais de Tokyo, Paris. Her exhibition, Party on the CAPS, is currently on view at the Julia Stoschek Collection, Berlin. Later in 2020, she will have a public commission at LAX airport. Meriem Bennani’s work is part of the collections of the Guggenheim Museum, New York; Whitney Museum of American Art, New York; Musée d’Art Moderne de Paris; Fondation Cartier, Paris; Kadist Foundation, Paris; and FRAC Ile-de-France, Paris.
Sascha Braunig (b. 1983, Qualicum Beach, BC) is a painter who creates nontraditional portraits and still lifes. Even as Braunig reduces bodies to witch-like cut-outs, barbed skeletons, or wireforms lit with an internal neon glow, she finds a possibility for expressing freedom and tensile strength through these humanoid scaffolds. In 2016 Braunig had a solo exhibition at MoMA PS1, and her work was featured in the 2015 New Museum Triennial. She holds a BFA from The Cooper Union and an MFA in painting from Yale University. Braunig was awarded a studio residency from the Sharpe-Walentas Studio Program in 2016–2017, a Pollock-Krasner Foundation award in 2016, and a Macdowell Colony Fellowship in 2013.
Florencia Escudero (b. 1987, Singapore) is a multimedia artist recognized for her soft sculptures that use fabric printed with digitally rendered images. Her work aims to flip the narrative of the objectification of the female body. Escudero received her MFA from the Yale University School of Art and her BFA from the School of Visual Arts. Her works have been shown at the Instituto Cervantes, New York and the Pratt Institute, New York.
Hadi Fallahpisheh (b. 1987, Tehran) is a multimedia artist that specializes in photography, performance and installation. Often commenting on conditions of displacement, his work questions the ability of representation to convey truths, revealing the gaps between public perception and personal experience. Fallahpisheh received the Artadia Award in 2019, and his work was included in 2020 in the group exhibition In Practice: Total Disbelief at the Sculpture Center.
Anna Glantz (b. 1989, Concord, MA) creates paintings that consider the poetic connections between personal, invented, and historical imagery set within psychological landscapes. She received a BA in Art and Linguistics from the University of California, Los Angeles and an MFA in Visual Art from Columbia University. In 2020 she will have her first UK solo exhibition at The Approach in London.
Ivy Haldeman (b. 1985, Aurora, CO; lives and works in New York) is recognized for her nuanced, and disarmingly languorous, renderings of anthropomorphized sausages swathed in pillowy buns, pantomime hand gestures, slapstick unions of heels and banana peels, and women’s suits depleted of bodies – illuminating relations between consumerism and desire while both allegorizing and eroticizing slippages among the unequal distributions of finance and femininity. Her work has been the subject of recent solo exhibitions at Downs & Ross, New York, and Capsule, Shanghai. The artist received her BFA from the Cooper Union in 2008.
Christina Quarles (b. 1985, Chicago, IL) paints abstracted figures that are subject to identity politics. Her gestural, distorted human forms explore the ways in which race, gender, and sexuality intersect to form complex identities. She will have a solo exhibition at Museum ofContemporary Art, Chicago in 2021, and her work was included in the group exhibitions Made in LA at the Hammer Museum; Fictions at the Studio Museum in Harlem; and Trigger: Gender as a Tool and a Weapon at the New Museum.
Emily Mae Smith (b. 1979, Austin, TX) is an artist whose subject matter plows the Surrealist genre with Feminist psychology. She layers her paintings with popular and underrepresented Art Historical references, often marrying them with pop culture motifs. Smith has had solo exhibitions at Le Consortium, Dijon and the Wadsworth Atheneum Museum of Art, Hartford, Connecticut.
Greg Parma Smith (b. 1983, Cambridge, MA) creates visionary paintings that combine mystical symbology with a personal and experimental painterly language that draws upon and synthesizes languages from the Renaissance, medieval illustration, as well as modernisms from Miro to Jasper Johns. Martha Schwendener explained: “His ultimate tactic seems to be to show how painting can accommodate multiple ideas and worldviews, rather than what art’s gatekeepers allow at a given moment.” Smith’s work was presented in a solo exhibition at Musée d’art moderne et contemporain, Genève in 2017 and was included in a two-person exhibition at the Contemporary Art Museum, St. Louis in 2010.
Link: “A Love Letter to a Nightmare” at Petzel
from Contemporary Art Daily https://bit.ly/2DvEbpj
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anneclairefouche · 4 years
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Le design graphique par Philippe Apeloig
Philippe Apeloig, né les 1962 à Paris est un designer graphique et typographe français. Il étudie à l’École supérieure des arts appliqués Duperré ainsi qu’à l’École nationale supérieure des arts décoratifs. 
Il porte un intérêt à la typographie à la suite de deux stages dans un studio à Amsterdam durant le début des années 80. C’est en 1985 qu’il va être engagé par le Musée d’Orsay comme graphiste, où il réalise l’affiche de l’exposition “Chicago, naissance d’une métropole” (c.f)
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Musée d'Orsay 2006-2020
 Philippe Apeloig décide de quitter la France en 1988 direction Los Angeles afin de pouvoir travailler avec April Greiman (artiste et graphiste américaine) qui est l’une des pionnières du design informatique.
Il obtient le Gold Award par le Tokyo Type Director Club en 1955, après s’être exercé au dessin de lettre à Rome trois ans auparavant. Après cela, Apeloig rentre à Paris et ouvre son propre studio. Il devient le directeur artistique du magazine Le Jardin des Modes en 1993. Il enseigne à l’École nationale supérieure des arts décoratifs de 1992 à 1998 puis retourne aux Etats-Unis pendant cinq ans. Il sera professeur à RISD (Rhode Island School of Design), puis au Maryland Institute College of Art de Baltimore où il est recruté Full time faculty par la Cooper Union School of Art de New York, où il occupe aussi la position de conservateur du Herb Lubalin Study Center of Design and Typography. 
En 1997 il est nommé consultant artistique du Louvre et devient de 2003 à 2007 le directeur artistique. Il a crée les logotypes des Musées de France, du Musée d’art et d’histoire du judaïsme de Paris, de l’Institue Universitaire de l’Architecture de Venise ainsi que du Théâtre du Châtelet de la marque Puiforcat. Il réalise en 2016 et en 2017 l’identité visuelle du Festival de l’histoire de l’art à Fontainebleau.
Philippe Apeloig travaille avec de nombreux éditeurs tels que Flammarion, Robert Laffont et pleins d’autres. Il réalise les affiche de la Fête du Livre d’Aix-en-Provence depuis 1997 et signe d’autres affiches tel que celle de la rétrospective Yves Saint Laurent du Petit Palais à Paris en 2010.
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Musée Yves Saint Laurent Paris
Pour continuer sa lancée vers les grands couturiers, c’est en 2013 que Apeloig réalise le visuel du Saut Hermès au Grand Palais à Paris. La Maison Hermès lui donne également la mission d’imaginer un carré de soie pour célébrer le centenaire de la naissance de Roland Barthes l’année 2015 mais aussi de réaliser le dessin des chiffre d’une de leur montre “Slim Hermès”.
En 2017, il est contacté par la célèbre marque Issey Miyake qui lui confie le packeging de leur parfum, L’Eau d’Issey pour l’édition 2017.
Philippe Apeloig réalise aussi la signalétique du Louvre à Abou Dabi en collaboration avec les Ateliers Jean Nouvel, ainsi que le logotype et l’identité visuelle du musée Yves Saint Laurent de Marrakech.
Le musée des Arts Décoratifs de Paris consacre à cet artiste sa première rétrospective artistique en 2013. Après trente ans de carrière regroupé dans un livre nommé Typorama, c’est l’occasion de le publier.
Le Stedelijk Museum d’Amsterdam a également exposé le travail d’Apeloig, dans le cadre de l’exposition « Using Type », en 2015-2016. L’artiste commence à fortement marquer le monde du design graphique et surtout de la typographie. C’est d’ailleurs un an après, en 2017, que la Dai Nippon Printing va l’inviter à exposer son travail à Tokyo à la GGG Ginza Graphic Gallery. À cette occasion, un livre aux éditions GGG Books est publié.
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Typorama de Phillipe Apeloig. Trente ans de carrière.
Vous pouvez retrouver ces réalisations sur son site : Apeloig.com
Sources:
Image 1: https://www.musee-orsay.fr/fr/evenements/expositions/aux-musees/presentation-generale.html?zoom=1&tx_damzoom_pi1%5BshowUid%5D=101730&cHash=92fde9367f
Image 2: https://museeyslparis.com/expositions-hors-les-murs/yves-saint-laurent-retrospective-1-1
https://apeloig.com/fr/project/typorama/
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hanamihi · 5 years
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BIBLIOGRAPHIE
JARDIN ET PAYSAGE:
. BERQUE Augustin (sous la direction de), Cinq propositions pour une théorie du paysage,  Editions Champ Vallon, Paris, 1994.
.  BERQUE Augustin, La raison du Paysage, de la Chine antique aux environnements de synthèse. Editions Hazan, France, 1995, 192 pages.
. EYSSAREL Anne-Marie et ROCHETTE Bernard, Des mondes inventés, les parcs à thème, Editions de la Vilette, Paris, 1992.
. HUCLIEZ Marielle, Jardins et parcs contemporains, Editions Telleri, Paris, 1998.
. LASSUS Bernard, De l’ambiance au démesurable, Editions Musée des arts décoratifs, Paris, 1975.
. LASSUS Bernard, Jardins imaginaires, Editions Telleri, 1998.
. LE DANTEC Jean-Pierre, Jardins et Paysages,  Editions La Rousse, Paris, 1996.
. LESAGE Olivier, L’oubli du paysage, Travail de fin d’étude, Ecole nationale supérieure du Paysage, 1998.
. LYALL Sutherland, Designing the new landscape,  Editions Thames and Hudson, London, 1991.
. MAHEN Jean (sous la direction de), Paysage: Parcs urbains et suburbains,  Editions du Centre Georges Pompidou, Mars 1988.
. MURET J.P., FOURCHIER P. de, PAOLETTI M.C., Espaces Extérieurs urbains,  Editions Centre de Recherche d’Urbanisme, Paris, 1977. . ROGER  Alain, Court traité du Paysage,  Editions Gallimard, France, 1997, 220 pages.
. ROUGERIE Gabriel et BEROUTCHACHVILI Nicolas, Géosytèmes et Paysages, bilan et méthode,  Editions Armand Colin, Paris, 1991, 302 pages.
. ROYALE Saline, Le jardins et la nature dans la cité,  Editions Institut  Claude-Nicolas, Ledoux-Arc et Senans, février 2002.
. SANSOT Pierre, Jardins publics, Editions Payot et Rivages, Paris, 1993.
. STEIN Rolf, Le monde en petit, Editions Flammarion, Paris, 1987.
SOCIOLOGIE:
. BERQUE Augustin, Etre humain sur la terre,  Editions Gallimard, France, 1996, 220 pages.
.CROUSSY Guy, La génération de la communication,  Editions Jean-Pierre et Presses Universitaire de Lille, Frnace, 1989, 210 pages.
. GIRAUD Michel, Le temps des métropoles,  Editions Carrere-E. Simion, Paris, 1987, 154 pages.
. LUSSATO Bruno,L’échelle humaine,  Editions Robert Laffont, - Centre de Recherche d’Urbanisme, Paris, 1996, 320 pages.
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fashionbooksmilano · 2 years
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Hélène Henry
Les Tissus de la modernité
Stéphane Boudin-Lestienne • Alexandre Mare
Editions Gourcuff Gradenigo, Montreuil 2021,144 pages, environ 200 illustrations, 22 x 29 cm.,  Ouvrage broché, Bilingue, ISBN 978-2-35340-342-4
euro 39,00
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Née en 1891, passionnée par la peinture et la musique, Hélène Henry n’a jamais suivi aucune formation spécifique lorsqu’elle arrive à Paris, à 25 ans. Elle commence par acheter un petit métier à main, s’installe dans un atelier et crée des écharpes qu’elle vend à des couturiers comme Worth ou Nicole Groult. Elle apprend seule à se servir de son métier à tisser et en 1923, elle montre des essais à Francis Jourdain, dont les poteries l’inspirent. Il expose ses créations dans sa boutique et la présente à Pierre Chareau et au cercle de leurs amis « modernes » (Paul Poiret, Pierre Legrain, Jacques-Emile Ruhlmann). La même année, elle s’installe dans un atelier plus grand. H. Henry dessine et peint : bandes, rayures, damiers, motifs géométriques ou dégradés subtils d’une seule teinte. Elle expérimente de nouvelles techniques pour juxtaposer ou opposer des matières ou des points de tissage, en invente de nouveaux. Par le jeu des reliefs et des masses, ses créations semblent être réalisées en trois dimensions. Elle est la première en France à utiliser des fibres artificielles, rayonne ou viscose-fibrane, qu’elle croise avec des fils de coton et de laine. En 1925, elle participe à l’ambassade française du pavillon de la Société des artistes décorateurs (SAD), qui lance le style Arts déco lors de l’Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de Paris, où ses tissus sont exposés dans le bureau-bibliothèque de P. Chareau et dans la salle de repos. Elle quitte la SAD en 1929 pour participer à la fondation de l’Union des artistes modernes (UAM), aux côtés de Mallet-Stevens, Herbst, Jourdain, Templier, Charlotte Perriand, Sonia Delaunay et d’Eileen Gray, entre autres. Elle reçoit des commandes pour la Villa Noailles de Mallet Stevens, à Hyères (1924) ; le palais du maharajah d’Indore (1930) ; le palais de la Société des nations, à Genève ; le paquebot Normandie ; l’Exposition internationale des arts et techniques de Paris en 1937. Après la guerre, elle participe, avec ses anciens amis de l’UAM, aux expositions de la section « Formes utiles » du Salon des arts ménagers où elle décline ses écossais, ses bandes et ses constructions rigoureuses. Mais ses créations, réalisées à la main, en exclusivité pour un client précis, ne trouvent plus preneur : ses remarquables pièces uniques ne peuvent lutter avec les tissus industriels qui arrivent sur le marché européen. Elle supervise cependant le tissage de ses modèles jusqu’à sa mort, en 1965. 20 ans plus tard, son talent est redécouvert grâce à des galeristes spécialisés et à des expositions comme Les Années UAM, au musée des Arts décoratifs de Paris, fin 1988-début 1989, ou Pierre Chareau, au Centre Pompidou à Paris, (1993-1994).
05/01/22
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tribalarts · 5 years
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Vue de l’exposition d’art africain et océanien à la galerie du théâtre Pigalle, Paris, 1930. Groupe de sculptures et de masques africains. © Société française de photographie (SFP) – Droits réservés.
A exposition exceptionnelle, publication remarquable : Galerie Pigalle. Afrique. Océanie. 1930. Une exposition mythique/A Mythical Exhibition— bilingue français/anglais publié à cinq cents exemplaires —, est un futur « collector ». Les auteurs ont eu pour ambition de reconstituer cette manifestation légendaire à partir des quarante-six plaques de verre stéréoscopiques — restées longtemps oubliées dans les réserves de la Société française de photographie — et des journaux de l’époque, et de retrouver et documenter l’ensemble des objets ayant participé à cet événement.
Financé par le baron Henri de Rothschild (1872-1947), le Théâtre Pigalle se situait au 10-12, rue Jean-Baptiste Pigalle, dans le 9earrondissement, à Paris. Médecin de formation mais passionné de théâtre, il fit construire cette salle en hommage à sa maîtresse, la comédienne Marthe Régnier (1880-1967), ce qui fit scandale à l’époque. Il laissa à son fils Philippe (1902-1988) le soin de coordonner la construction. Quatre années furent nécessaires pour édifier et aménager cet établissement qui constituait le summum de l’architecture et des équipements scéniques de l’époque.
Krull, Germaine (1897-1985), [Paris. Théâtre Pigalle]. Façade extérieure vue de côté, 1929. Négatif sur verre au gélatino-bromure d’argent. Dim. : 18 x 24 cm. © BHVP/Parisienne de photographie/Estate Germaine Krull, Museum Folkwang, Essen.
Krull, Germaine (1897-1985), [Paris. Théâtre Pigalle]. Intérieur. La salle vue de la scène, 1929. Négatif sur verre au gélatino-bromure d’argent. Dim. : 18 x 24 cm. © BHVP/Parisienne de photographie/Estate Germaine Krull, Museum Folkwang, Essen.
Trois architectes français associèrent leur nom à cette entreprise : Henri Just, Pierre Blum et Charles Siclis, ce dernier s’attachant à la décoration intérieure et extérieure de l’édifice. La première représentation,Histoires de France, fut donnée par Sacha Guitry, le 8 octobre 1929. La salle, richement plaquée d’acajou, était surmontée d’une coupole lumineuse. La scène, entièrement mobile, permettait des changements à vue. Ce théâtre possédait non seulement une cabine cinématographique des plus modernes, mais également un orgue Cavaillé-Coll. Il ne devint un cinéma qu’à partir de 1932 et le premier film projeté fut La Nuit du carrefour, de Jean Renoir. Au théâtre Pigalle, Henri de Rothschild proposera une nouvelle conception de l’espace intérieur avec une vaste galerie d’art, installée au sous-sol, où seront organisées des expositions destinées à une démocratisation de la culture. Le spectacle inaugural de 1929 sera ainsi accompagné par une présentation d’œuvres du peintre Jean Siméon Chardin (1699-1779). Avec la guerre, le théâtre cessa son activité et il fut détruit et transformé en garage en 1959.
Vue de l’exposition d’art africain et océanien à la galerie du théâtre Pigalle, Paris, 1930. Au premier plan, tabouret Bamiléké, Cameroun (ex-coll. Pierre Loeb). © Société française de photographie (SFP) – Droits réservés.
Vue de l’exposition d’art africain et océanien à la galerie du théâtre Pigalle, Paris, 1930. Au centre, poteau, îles Marquises et, à droite, statue du roi Glélé, Fon, Bénin. © Société française de photographie (SFP) – Droits réservés.
Aucune exposition d’art « primitif » d’une ampleur comparable à celle du pavillon de Marsan, L’art indigène des colonies françaises et du Congo belge— organisée par l’Union des arts décoratifs (octobre 1923-janvier 1924) —, n’avait eu lieu à Paris jusqu’à cette fameuse année 1930 où trois expositions marquantes virent le jour. La première, celle qui nous occupe ici, à la galerie du théâtre Pigalle (27 février-mi-avril), élaborée par Tristan Tzara, Pierre Loeb et Charles Ratton, la deuxième, à la galerie de la Renaissance (art océanien des colonies françaises, planifiée par Stephen Chauvet, 11, rue Royale, 23 mai-6 juin) enfin, à la galerie Mettler (174, fg Saint-Honoré) où quelques pièces de l’île de Pâques furent présentées. Ces trois expositions, qui offraient un panorama complet des arts d’Afrique et du Pacifique accessibles à l’époque, furent les dernières à être organisées, dans le domaine privé, avant la crise économique et sociale qui débuta dans les années 1930. Les clichés pris par les membres de la Société d’excursions des amateurs de photographie, le 29 mars 1930, constituent les seules et précieuses traces visuelles de l’exposition de la galerie Pigalle. Dès son ouverture, soutenue par la presse qui relaya largement l’événement, elle s’imposa comme une manifestation à succès, à la mesure de l’importante fréquentation du théâtre, puissant pôle culturel parisien. Elle fut l’occasion pour Carl Einstein (1885-1940) de publier, en français, dans Documents(« À propos de l’Exposition de la Galerie Pigalle », n° 2, vol. II, 1930 [Die Kunstauktion, 2 mars 1930, pp. 194-197]) un important essai sur l’art africain. À cette époque, l’art « primitif » ne constituait plus, pour un large public, une découverte, et le fait d’exposer ces objets sous un angle esthétique était une chose relativement admise. Déjà, en 1919, l’exposition imaginée par Paul Guillaume à la galerie Devambez (10-31 mai), avait eu pour ambition de révéler aux visiteurs ces objets en tant qu’œuvres d’art. Malgré tout, certaines résistances virent le jour parmi les plus conservateurs des journalistes et jusqu’au propriétaire du théâtre. Peu après le vernissage, Henri de Rothschild décida de faire retirer plusieurs statuettes jugées impudiques. Tzara protesta immédiatement en diffusant un communiqué de presse : « Je m’étonne que la pudeur de Monsieur de Rothschild se soit alarmée au bout de trois semaines et que sous prétexte que l’exposition est visitée par des jeunes filles, il ait pris une mesure de rigueur à l’encontre de charmantes statuettes. Il n’y a pas d’impudeur en art, mais s’il pouvait y en avoir, la statuaire nègre, qui est très stylisée, pourrait être considérée comme bien plus chaste que la statuaire grecque. Or, personne ne songe à procéder à des expulsions dans les musées et les jardins publics [Tristan Tzara, Une controverse artistique et judiciaire]. » Devant l’obstination de Rothschild, Tzara l’assigna en référé au tribunal. La presse relata la controverse artistique et judiciaire. Finalement, Rothschild réintégra les statuettes sans faire de commentaires mais laissa son directeur artistique, Valentin Marquety, calmer le jeu en déclarant : « […] Voyez-les ; elles ont regagné leur place et vous pouvez constater que la pudeur n’a pas à s’offusquer. D’ailleurs, nous avons l’intention de placer un écriteau à l’entrée de l’exposition, où nous prierons les personnes sensibles de s’abstenir de la visiter !… [« M. Tristan Tzara et M. Henri de Rothschild sont d’accord… », J.B. , Paris-Midi, 2 avril 1930]. » Et, comme on pouvait s’y attendre, le scandale fit venir du monde et il y eut foule au théâtre Pigalle !
Figure d’ancêtre, Fang, Gabon. Bois. H. : 55 cm. Ex. coll. Roland Tual. © Coll. privée.
Figure dogon, Mali. Bois. H. : 69 cm. Ex. coll. Georges de Miré. © Coll. privée.
Vaste panorama des meilleures collections françaises, l’exposition de la galerie du théâtre Pigalle aura fait appel à un nombre élevé de prêteurs (cinquante-deux), certains mentionnés pour la première fois. Ratton, Tzara et Loeb choisiront deux cent quatre-vingt-dix objets africains et cent trente-huit océaniens, esthétiquement représentatifs des styles déjà reconnus. Le catalogue publié à cette occasion, aurait été rédigé par le peintre Raymond Fauchet, secrétaire général, avec la collaboration de Tzara et de Ratton. Les organisateurs de l’exposition souhaitèrent n’exposer que le meilleur. Le parti pris fut celui de la juxtaposition, éloignée de toute typologie, pour ne laisser parler que la forme : « Le temps n’est pas lointain où l’ethnographie qui, seule jusqu’ici s’est occupée des manifestations artistiques de ces peuples, devra abandonner ce sujet à l’archéologie et à l’histoire de l’art. » (Introduction non signée du catalogue).
Si la grande majorité des pièces provenaient des colonies françaises — en particulier du Gabon, du Mali et de la Côte d’Ivoire —, et belge avec les arts décoratifs kuba de la République démocratique du Congo, on pouvait y admirer également des œuvres des colonies britanniques —Nigéria et Ghana — et, exceptionnelles pour l’époque, des œuvres monumentales peu connues du Cameroun. De précieux objets en or, en bronze et en ivoire furent également largement représentés.
Vue de l’exposition d’art africain et océanien à la galerie du théâtre Pigalle, Paris, 1930. Crochet à crânes et sculpture, Papouasie Nouvelle-Guinée (ex-coll. Walter Bondy). © Société française de photographie (SFP) – Droits réservés.
« Galerie Pigalle – Afrique – Océanie. 1930. Une exposition mythique ». Catalogue Océanie, p. 280.
S’il faut porter au crédit des surréalistes la découverte de l’art océanien, aucun d’entre eux ne participa à l’exposition (Tzara, l’un des organisateurs, avait rompu depuis longtemps avec le mouvement, bien qu’il entretienne encore des relations personnelles avec certains de ses membres). La Papouasie Nouvelle-Guinée triomphait, suivie par l’archipel Bismarck, puis la Nouvelle-Calédonie et les îles Salomon. La Polynésie était présente avec, principalement, quelques objets de Nouvelle-Zélande, des Marquises et de l’île de Pâques.
Figure uli, Nouvelle-Irlande. Bois. H. : 73 cm. Ex-coll. Pierre Loeb. © Coll. privée.
Figure d’ancêtre, île de Tanimbar, Indonésie. Bois. H. : 64 cm. Ex-coll. Roland Tual. © Coll. privée.
La galerie du théâtre Pigalle constitua ainsi une véritable vitrine de choix pour la promotion de l’art « primitif » auprès d’un public qui ne fréquentait pas ou peu les galeries d’art. La qualité des œuvres exposées — beaucoup sont aujourd’hui considérées comme des œuvres majeures— et la visibilité qu’offrait ce lieu d’exposition moderne participa à l’engouement nouveau pour ces arts : « […] ce sont les effets à retardement en Europe de la crise de 1929, puis le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, qui vont bientôt stopper l’essor de ce nouveau marché. Il faudra attendre les années 1950 pour que, en France comme aux États-Unis, la suite de cette histoire s’écrive, sur les fondations et selon les structures établies dès 1930. C’est en cela sans doute que Pigalle restera, au moins symboliquement, comme l’exposition d’art “primitif” la plus influente de cette première moitié du XXe siècle. » (Nicolas Rolland).
« Galerie Pigalle – Afrique – Océanie. 1930. Une exposition mythique ».
« Galerie Pigalle – Afrique – Océanie. 1930. Une exposition mythique ». Catalogue Afrique, p. 180.
Galerie Pigalle. Afrique. Océanie. 1930. Une exposition mythique/A Mythical Exhibition, œuvre collégiale sous la direction de Charles-Wesley Hourdé et de Nicolas Rolland. Bilingue français-anglais. Publié par Somogy éditions d’Art, Paris, 2018. Format : 25 x 29 cm, 344 pp. 148 ill. coul. (dont 53 pl.), 299 N/B et duotone (dont 54 pl.). ISBN : 979-10-699-2616-5. Tirage 500 exemplaires. Relié : 250 €.
« Galerie Pigalle, 27 février 1930 » A exposition exceptionnelle, publication remarquable : Galerie Pigalle. Afrique. Océanie. 1930. Une exposition mythique/A Mythical Exhibition…
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apstdaa · 6 years
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EXPOSITIONS ESTIVALES
Avec un peu de chance, il pleuvra tout l’été ! Voici donc des musées/lieux d’exposition où vous réfugier avec vos carnets.
• FINISSENT EN JUIN
MODE / Dancing in the street, Peter Knapp et la mode 1960-1970 > jusqu'au 10 juin à la Cité de la mode et du design, Paris
ATC / La France vue du Grand Siècle. Dessins d'Israël Silvestre (1621-1691) > jusqu'au 25 juin au Musée du Louvre, Paris
ART et DESIGN / Parcours Saint Germain Quand l'art contemporain investit tout le quartier de Paris. > jusqu'au 10 juin
• FINISSENT EN JUILLET
ATC / Théâtre du pouvoir Quand l'art est au service du pouvoir, la politique se met en scène. > jusqu'au 2 juillet à la Petite galerie du musée du Louvre, Paris
ARCHI / Georges Henri Pingusson (1894-1978), une voix singulière du mouvement moderne > jusqu'au 2 juillet à la Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris
MÉTIERS D'ART / Reliures précieuses dans les collections de la BnF au musée du Louvre > jusqu'au 2 juillet
CINÉMA / Caro - Jeunet, le cinéma s'affiche à Montmartre > jusqu'au 31 juillet à la Halle St Pierre, Paris
(En profiter pour faire un tour dans les magasins textiles... !)
MODE / Martin Margiela > jusqu'au 15 juillet au Palais Galliera, Paris
MODE / Foujita, peindre dans les années folles > jusqu'au 15 juillet au Musée Maillol, Paris
ATC / Tintoret, naissance d'un génie (Renaissance Italienne) > jusqu'au 1er juillet au Musée du Luxembourg, Paris
ATC ART / Artistes et robots Les robots envahissent le Palais et ce n'est pas de la science fiction > jusqu'au 9 juillet au Grand Palais, Paris
NUMÉRIQUE / Capitaine futur et la supernature Exposition familiale à la découverte des nouvelles technologies et de la création contemporaine > jusqu'au 15 juillet à la Gaité lyrique, Paris
ARCHI / Dominique Perrault - La Bibliothèque nationale de France, portrait d'un projet (1988-1998) > jusqu'au 22 juillet à la BNF Francois Mitterrand, Paris
(+ les Globes de Louis XIV (espace permanent))
HISTOIRE / Napoléon stratège > jusqu'au 22 juillet au Musée de l'Armée
ART / Rodin et la danse > jusqu'au 22 juillet au Musée Rodin, Paris
ATC / Mary Cassat, une impressioniste américaine à Paris > Jusqu'au 23 juillet au Musée Jacquemart-André, Paris
DESIGN / Nendo à Sèvres (exposition suite à leur résidence à la Cité de la Céramique) > jusqu'au 25 juillet à la Galerie de Sèvres, Paris
MODE / Scènes de mode, correspondances visuelles entre couturiers de 1890 à aujourd'hui > jusqu'au 29 juillet à la Cité de la mode et du design, Paris
ATC / Chagall, Lissitzky, Malévitch, l'avant-garde russe à Vitebsk (1918-1922) > Jusqu'au 16 juillet au Centre Georges Pompidou, Paris
ATC / Delacroix (1798 - 1863) > jusqu'au 23 juillet au Musée du Louvre, Paris
PLURI / Géométries Sud, du Mexique à la Terre de Feu > ouverture le 11 juillet, à la Fondation Cartier, Paris
• FINISSENT EN AOÛT
HISTOIRE / Pasteur, l'expérimentateur > jusqu'au 19 août au Palais de la Découverte
ATC / Van Dongen et le Bateau-Lavoir > jusqu'au 26 août au Musée de Montmartre, jardins Renoir, Paris
DESIGN / Dehors, la ville de demain > jusqu'au 29 août à la Galerie VIA, Paris
ART / “Détournement” de Stéphane Thidet (installation artistique) > jusqu'au 31 août à la Conciergerie de Paris
DESIGN / UAM, une aventure moderne (un épisode charnière de l'histoire de l'art européen) > jusqu'au 27 août au Centre Georges Pompidou, Paris
COM / Mai 68, les images ont une histoire > jusqu'au 26 août à la BNF Francois Mitterrand, Paris
• PENDANT TOUT L'ÉTÉ
MODE / Parcours inaugural au musée Yves Saint Laurent Musée Yves Saint Laurent, Paris
ATC / Néandertal, l'expo Musée de l'Homme, Paris
ATC / Gustav Klimt, un voyage au cœur de la Sécession Viennoise Atelier des lumières, Paris
ATC / Les impressionnistes à Londres : artistes en exil 1870-1904 Petit Palais, Paris
GRAPHISME / Roman Cieslewicz, la fabrique des images Musée des Arts Décoratifs, Paris
MODE / Margiela, les années Hermès (expo loupée du Momu !) Musée des Arts Décoratifs, Paris
DESIGN / Diego Giacometti (L'exposition présente également des pièces des étudiants de l'ECAL (école de design suisse réputée)) Musée Picasso, Paris
ARCHI / Habiter mieux, habiter plus Pavillon de l'Arsenal, Paris
ARCHI / Junya Ishigami, freeing architecture Fondation Cartier, Paris
SCIENCES / Météorites, entre ciel et terre au Museum National d'Histoire Naturelle
(Pour s'améliorer en dessin, passez-y la journée et dessinez à la galerie de paléo, sous la serre du jardin des plantes…)
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estudiodedecoracion · 6 years
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Pierre Charpin
Pierre Charpin. Diseñador, artista y escenógrafo.
Pierre Charpin (1962, Saint-Mandé, Île-de-France, suburbios del este de París, Francia) se graduó en Bellas Artes en la Ecole Nationale Supérieure d’Art de Bourges en 1984. En la actualidad vive y trabaja en Ivry-sur-Seine, cerca de París.
Es hijo del escultor Marc Charpin, del que seguramente aprendió pacientemente a ver la pieza en proceso de fabricación antes de que se revelase finalmente. Desde principios de los años 90 se dedica a diseñar objetos y muebles.
La investigación formal de Pierre Charpin materializa ideas con formas únicas y arquetípicas de una forma poética y minimalista. “Para mí no hay diferencia entre trabajar para la industria o para una galería“.
El enfoque discreto y suave de Pierre Charpin se caracteriza por la armonía y la simplicidad que desprenden todas sus creaciones.
Su lenguaje formal es simple y colorido pero deja espacio para el humor y para el juego. “Trato de transmitir mensajes delicados y sensibles que no siempre encajan con la gran difusión“.
Así por ejemplo, en 1990 realizó su primera exposición individual en la Galerie Perkal (París) donde presentó su investigación sobre la posibilidad de muebles “antropomórficos” y una serie de objetos de vajilla de plata fabricados en 1988.
Después de trabajar en 1993 y 1994 en Milán, en el Estudio del diseñador británico George Sowden (uno de los fundadores del grupo Memphis), regresó a París.
En 1995 recibió la beca de investigación “Carte Blanche” de la VIA (Valorisation Innovation dans l’Ameublement), que concede cada año a los diseñadores cuya originalidad y madurez del enfoque creativo sea excepcional, como parte de la misión de promoción y desarrollo de la creación francesa a través de uno o más premios “Carta Blanca“.
Estas becas ofrecen a los fabricantes, editores y distribuidores la oportunidad de descubrir y conocer a la gente con talento, y que además van a ser los creadores del mañana.
En 1996, diseñó varios proyectos de asientos para “La Colección Tropical” (La Maison du Meuble Créole, Isla de La Reunión).
Ese mismo año (1996) participó y fue el curador responsable de la exposición “Montado en Ivry” en el Crédac (Centre d’Art Contemporain d’Ivry-Sur-Seine).
En 1997 participó en la 1ª Bienal de Diseño en Saint-Étienne, en la que atrajo la atención de la empresa minorista Vroom por su investigación sobre el coche como objeto, resultado de un taller con estudiantes de las Beaux-Arts de Saint-Étienne.
En 1998, Brunati empezó a distribuir su sillón “Slice“, que sería reeditado en 2014 por Cinna – Ligne Roset.
Ha participado en proyectos de investigación con asociaciones, como los realizados de 1998 a 2001 en el C.I.R.V.A. (Centre International de Recherche sur le Verre et les Arts Plastiques en Marsella, Francia), diseñando objetos de vidrio.
Y de 2003 a 2005 en el CRAFT (Centre de Recherche sur les Arts du Feu et de la Terre en Limoges, Francia) diseñando objetos de porcelana.
También ha hecho colaboraciones de diseño de productos con empresas internacionalmente conocidas como: Alessi; Cristalleries de Saint-Louis; Hermès; Japón Creative; Ligne Roset; Magis; Manufacture Nationale de Sèvres; Montina; Pamar; Tectona; Venini; The Wrong Shop, y Zanotta.
En 2004 Pierre Charpin fue el ganador del concurso internacional para el diseño de La Carafe “Eau de París“.
Desde enero de 2010 el Ayuntamiento de París se encarga de gestionar el agua de la ciudad a través del organismo municipal “Eau de Paris“, tras 25 años de gestión privada.
Para celebrar este momento se reeditó la garrafa de agua de París, una botella de cristal, de cuello ancho y sin tapón, creada por el diseñador Pierre Charpin. Las garrafas costaban unos 12 euros y se podían comprar en las tiendas de menaje de la ciudad y en el Pavillon de l’eau.
En el 2005 su florero “Triplo” para Venini, figuraba en la lista de selección para el Compasso d’Oro. El mismo año (2005) en el que fue nombrado “Créador del año” en el Salon du Meuble de París.
El más reciente galardón ha sido en 2017, elegido Diseñador del año en el salón Maison & Object de París.
Después de montar una primera exposición individual de su obra en 1999, la Galerie kreo (París) tiene el derecho exclusivo de producir ediciones limitadas de sus piezas presentadas en exposiciones individuales desde 2005 : “Plataforma” en 2006; “All’Aperto” en 2008; “81 / 2” en 2009; “Ignotus Nomen” en 2011, y “Marbles & Clowns” en 2015.
Algunas de sus exposiciones individuales son : “Una muestra di mobile” (1998) Galería Post Design (Milán); “Torno subito” (2001) Galería de los Curiosités, Museo de las Artes Decorativas (París); “Oggetti Lenti” (2005) Galería de Diseño Milano; “Entre los jarrones” (2009) en el MUDAC (Museum of Contemporary Design and Applied Arts) de Lausanne; “Pierre Charpin en el apartamento 50” (2014) Cité Radieuse (Marsella); “Villégiatures, Design Parade 10” (2015) villa Noailles (Hyères), y “Atmosphera” (2015) SpheraExposición (Kyoto).
Pierre Charpin ha sido además el escenógrafo de sus propias exposiciones en el MUDAC (Museum of Contemporary Design and Applied Arts) de Lausanne, y en 2011 “Pierre Charpin au Grand-Hornu, veinte años de trabajo” en el Centre d’Innovation et de Design au Grand-Hornu (Bélgica).
Así como también ha sido el escenógrafo para exposiciones temáticas como “Quali cose siamo“, en la 3ª Trienal del Museo del Diseño (Milán), organizada por Alessandro Mendini en 2010.
En paralelo con su trabajo como diseñador, de 1998 a 2008 dio clases de diseño en la École supérieure d’Art et de Design de Reims, y desde 2006 ha sido profesor en el Departamento de diseño industrial de la ECAL-Universidad de Arte y Diseño en Lausana.
Las piezas de Pierre Charpin han sido incluidas en muchos libros de diseño junto con otros creadores.
Su trabajo también ha sido objeto de varias publicaciones monográficas como “Pierre Charpin à Vallauris” y “Pierre Charpin au CIRVA” (2000); “Nouvelles formes pour Sèvres” (Bernard Chauveau Éditeur, 2008) y “Entre les Vases” (Birkhaüser, 2009) coincidiendo con su exposición en el MUDAC (Museum of Contemporary Design and Applied Arts) de Lausanne (Suiza).
En 2014, JRP Ringier publica su primera monografía “Pierre Charpin“.
Sus diseños están incluidos en muchas colecciones privadas y numerosas colecciones públicas como Fonds National d’Art contemporain (París / La Défense); Musée National d’Art moderne / Centre de Création Industrielle (París); Musée des Arts Décoratifs (París), y Museo de Arte de Indianápolis (Estados Unidos).
Pierre Charpin (pág. web).
Pierre Charpin con dibujos sobre papel “Termitière” (2015), y re-edición del sofá “Slice” (2016) para Cinna – Ligne Roset.
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marthaohara · 7 years
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Be Inspired By The World’s Top 10 Interior Designers
Be Inspired By The World’s Top 10 Interior Designers – Best Design Projects is always side by side with the world’s top interior designers. And there is no better inspiration source for interior design ideas, decor trends and latest projects than the top interior designers. For that reason, Best today’s article honours the world’s top 10 interior designers and each one’s concept, to give you the best inspiration by the best interior designers.
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Kelly Wearstler
Kelly Wearstler’s eponymous global luxury lifestyle brand is renowned for its distinctive designs and sophisticated soulful vibe pioneered by the celebrated interior designer. The brand’s breadth of influence spans from residential and commercial interior design to curated collections of furniture, lighting, rugs, fabrics and trims, wall coverings, luxe bedding, fine china, decorative home accessories, jewelry and objets d’art. With a signature style that juxtaposes raw with refined, melds color, sophistication and spirited spontaneity, and seamlessly blends diverse periods of furniture under one roof, Wearstler has revolutionized the look, feel and meaning of modern American design. Wearstler’s designs attract and inspire an enviable roster of A-list clientele from the film and music industries, as well as top celebrities, and tastemakers worldwide. Her trademark sumptuous and vibrant interiors imbue luxury hotels and grand residences from Beverly Hills to the Caribbean and around the globe.
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Jean-Louis Deniot
Featured on the ELLE Decor and AD 100 lists of the world’s preeminent talents in architecture and interior design, Jean-Louis Deniot has long been in the business of creating atmospheres. His décors are his playground, spaces where spontaneity and magic are de rigueur. Recognized worldwide for his eclectic and emblematic interiors, Jean-Louis Deniot plays in a multiplicity of repertoires, never sticking to purity of style, rather letting his academic training translate into a vocabulary that is both informal and bold. If he does contemporary, it is always with a weighty dose of history and references infused into it to produce a timeless yet timely scenario.
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Minimalism is not for Jean-Louis Deniot as neither is excess. Balance and osmosis is what he is after, offsetting the sometimes rigid facet of architecture with an inmost vision of refinement, comfort and openness making his creations around the world havens to revel in. For him, style equates lifestyle and must promote harmony and wellbeing.
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Peter Marino
Peter Marino, FAIA, is the principal of Peter Marino Architect PLLC, an internationally acclaimed architecture, planning and design firm founded in 1978 and based in New York City. He is assisted by six Associates with 160 employees and offices in Philadelphia, PA and Southampton, NY. His cultural design projects include the Zwinger Porcelain Collection and Meissen Animal Gallery at the Dresden Museum in Germany and a 2010 retrospective of the work of Claude and François-Xavier Lalanne at the Musée des Arts Décoratifs in Paris, France.
Photo credits: http://ift.tt/Vz6gko
Read also: Be Inspired By Luxury Interior Design Projects By Kelly Wearstler
David Collins Studio
David Collins was born in Dublin, Ireland on March 1, 1955. He studied architecture at the Bolton Street School of Architecture in Dublin. He established the David Collins Studio, an interior design firm based in London, in 1985. One of his first interior designs was chef Pierre Koffmann’s La Tante Claire in Chelsea. He then designed chef Marco Pierre White’s Harvey’s in 1988. Later, he designed The Gilbert Scott, chef Marcus Wareing’s restaurant at the St Pancras Renaissance Hotel. Another Wareing restaurant that he designed was the Blue Bar in Belgravia. He went on to design The Wolseley, the Delaunay Hotel, J Sheekey, Brasserie Zédel, Colbert, Gordon Ramsay at Royal Hospital Road, and Nobu Berkeley St. He also designed retail interiors for Jimmy Choo, Alexander McQueen and Harrods. Additionally, he designed The Charles, an apartment building on the Upper East Side in New York City. He was a close friend of Madonna: he designed her London and New York apartments and she used a poem that he wrote as the basis of her 1998 song “Drowned World/Substitute for Love”, for which he received a co-writing credit.
Photo credits: http://ift.tt/Vz6gko
Marcel Wanders
Marcel Wanders is a Dutch designer, and art director in the Powerhouse studio in Amsterdam, who designs architectural, interior and industrial projects. He became internationally known by his iconic Knotted Chair produced by Droog Design in 1996. His work is ubiquitous; designing for leading international companies such as Flos, Alessi, Puma, KLM Royal Dutch Airlines, MAC Cosmetics, Cappellini, B&B Italia, Moroso and Target. Wanders also designs for architectural projects, such as the Kameha Grand hotel in Bonn, the Mondrian South Beach hotel in Miami and the Villa Moda store in Bahrain. In addition to running his studio, Wanders is cofounder and Artistic Director of the successful design label Moooi (2001).
Photo credits: http://ift.tt/Vz6gko
Kelly Hoppen
With 40 years experience at the forefront of the design industry, Kelly Hoppen is one of the most celebrated and sought after interior designers in the world. Hoppen‘s idea is to give the most personalized and proper interior for the client’s lifestyle. She assures that each interior is tailor-made to their requirement and delivers the best on every aspect. The best thing about Kelly Hoppen’s interiors is the blend of practicality and luxury, resulting in a bespoke design that accentuates the environment.
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Philippe Starck
One of the world’s top 10 interior designers is Philippe Starck, a French designer known since the start of his career in the 1980s for his interior, product, industrial and architectural design including furniture. Philippe Starck designs deluxe objects and posh condos and hotels around the world. Always witty and engaged, he takes special delight in rethinking everyday objects. Philippe Starck is a legend of modern design. He’s known for his luxurious hotels and boites around the world — notably the Peninsula Hotel restaurant in Hong Kong, the Teatron in Mexico, the Hotel Delano in Miami, the Mondrian in Los Angeles, the Asia de Cuba restaurant in New York — designing the total environment from layout to furniture to linens.
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Rockwell Group
With global offices to support a far-reaching vision, Rockwell Group is an interdisciplinary firm that emphasizes innovation and thought leadership in every project. Founded in 1984 by David Rockwell, they create extraordinary experiences and built environments the world over. Based in downtown New York with offices in Madrid and Shanghai, they specialize in a wide array of work from luxury hospitality, cultural, and healthcare projects, to educational, product, and set design.
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Victoria Hagan Interiors
Victoria Hagan is an award-winning designer whose work reflects the New American Classic — a modern sense of luxury  that is fresh,  restrained and iconic. Since founding her eponymous firm 25 years ago, Victoria Hagan has been celebrated for her intelligent integration of architecture and interior design. Based in New York City, Victoria’s 26-person firm works on luxury residences throughout the country, providing a full range of interior design and renovation services, all bearing her signature classic American style.
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Marmol Radziner
At last, but not least important of the World’d Top 10 Interior Designers is Marmol Radziner, a full-service architectural firm that provides architectural design, landscape design, interior design, furniture design, and jewelry design. In addition, we provide construction services, as a design-build firm. We operate our own custom cabinet shop and metal shop. We want our collaborative design vision to be realized coherently and elegantly.
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