From the series "Spectral Whisperers"
[Nocturnal Photography; 2023]
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Books of 2024: NEVER WHISTLE AT NIGHT: An Indigenous Dark Fiction Anthology, ed. by Shane Hawk and Theodore C. Van Alst Jr.
This has a bunch of authors I already love in it (Stephen Graham Jones, Darcie Little Badger, Waubgeshig Rice, and Rebecca Roanhorse!!), and several authors I've been meaning to try (like Tommy Orange, Nick Medina, and Kelli Jo Ford, to name a few), so I'm really hyped for them all to be together in one volume! Plus dark fiction is very much my jam (especially when it comes in a bright and colorful package).
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Back to shooting outdoor the other night, in a veil of thick fog.
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Tableaux Automatique: LPs - 1″:1′-0″ diorama (still) - mixed media - robert matejcek - 2023
Mark: “Empire Records, open 'till midnight. This is Mark.”
Caller: *Inaudible Dialogue*
Mark: “MIDNIGHT!"
- Ethan Embry - Empire Records
tags:
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Shooting urbain et nocturne (13/11/2022).
Ces derniers temps, je suis assez intrigué par le style de photos utilisées pour illustrer les “liminal spaces” (espaces liminaux) . Bien que je ne me sois que vaguement renseigné sur le sujet, j’ai cru distinguer certaines constantes définissant les photographies de ces lieux. Il me semble que ces photos sont généralement :
- prises de nuit, principalement en intérieur (mais quelque fois en extérieur).
- vides en terme d’humain ou d’activité humaine sur le moment où elles sont prises (donc à des horaires particulières).
- prises avec un flash dans un lieu sombre (dans la plupart des cas), histoire de faire ressortir le premier plan, voir d’estomper volontairement l’arrière plan.
- focalisées sur des structures ou des lieux “architecturalement” insolites, inhabituels, voir illogiques. Parfois cette bizarrerie semble volontairement mise-en-scène par le cadrage afin de camoufler l’utilité initiale d’une telle structure.
Par ailleurs, j’ai cru comprendre que de ces lieux ou photos engendraient chez certaines personnes des sentiments de mystère, d’inquiétude, voir d’angoisse et parfois même de nostalgie. Peut-être qu’elles évoquent des sortes de souvenirs ou des notions de rêves/cauchemars de par leur bizarrerie.
Du coup, intrigué par ce courant, j’ai essayé de créer mes propres photos de liminal spaces. Et bien que je connaisse et comprenne le fonctionnement des lieux photographiés, j’ai essayé de les rendre “dérangeants” grâce au cadrage et à l’utilisation de sources de lumières non-naturelles (flashs ou lampadaires).
Le grain présent sur mes photos et engendré par l’absence de lumière était pour une fois bienvenu ^^. Les seules retouches effectuées jouent sur le contraste, la saturation et les niveaux de luminosité. Ok, j’ai parfois supprimé un panneau ou retiré une inscription, mais rien qui ne modifie vraiment le sujet.
Si jamais une personne s’y connaissant en liminal space consulte ce post, je serais curieux d’avoir son avis / ses conseils.
P.S: les mêmes photos en couleur sont dans le post suivant.
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