Tumgik
#O'Balai
griffes · 3 years
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Bricolage et jardinage pour remplacer la nage et retrouver des ailes...
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griffes · 3 years
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C'est mon lieu d'équilibre préservé, là où les aspects menaçant de la vie se dissolvent, où je trouve "une possibilité plus vaste, plus profonde, plus émouvante et vibrante de vivre le Présent."
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griffes · 3 years
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Le chat, le Martin-pêcheur et le vieux fou...
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griffes · 3 years
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Plan grand froid activé. Rentrons les minets !
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griffes · 4 years
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Le moelleux des journées d’automne... vaut de l’or...
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griffes · 3 years
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"Je pense quelquefois que si j'écris encore, c'est, ou ce devrait être avant tout pour rassembler les fragments, plus ou moins lumineux et probants, d'une joie dont on serait tenté de croire qu'elle a explosé un jour, il y a longtemps, comme une étoile intérieure, et répandu sa poussière en nous. Qu'un peu de cette poussière s'allume dans un regard, c'est sans doute ce qui nous trouble, nous enchante ou nous égare le plus ; mais c'est, tout bien réfléchi, moins étrange que de surprendre son éclat, ou le reflet de cet éclat fragmenté, dans la nature. Du moins ces reflets auront-ils été pour moi l'origine de bien des rêveries, pas toujours absolument infertiles. "
Philippe Jaccottet, Cahier de verdure
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griffes · 4 years
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Dans le jardin bruissant de la solitude, sans cesse on est porté à la caresse parce l'attention aux choses en est le maître mot : la fleur que l'on contemple et que l'on frôle, le baiser envoyé aux nuages, le salut aux oiseaux... Plus rien n'est ordinaire, tout devient très précieux - un insecte, une brindille, une pierre, une rafale de vent. Dans la solitude, je redécouvre l'émouvante fragilité des choses qui est leur duvet même et chacune m'apparaît digne d'être aimée et approchée délicatement.
Jacqueline Kelen, l'Invention de la solitude
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griffes · 4 years
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Chemins, jardins, bovins, félins, moulin et juin...
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griffes · 4 years
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"je crois bien que je pourrais aller vivre un moment avec les animaux... Ils sont si flegmatiques et si indépendants, je reste parfois une demi-journée à les regarder.
Ils ne se tuent pas au travail et ne se lamentent pas sur leur sort, ils ne passent pas la nuit à pleurer sur leurs péchés, ils ne se rebattent pas les oreilles de leur devoir envers Dieu, pas un qui soit insatisfait... Pas un qui souffre de la manie de la possession matérielle, pas un qui s'agenouille devant un autre ou devant ses semblables ayant vécu des milliers d'années avant lui, pas un de respectable ni d'industrieux sur la terre entière. "
Walt Whitman, Feuilles d'herbe
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griffes · 4 years
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J’ai dû commettre des erreurs d’éducation... Dali, assassin... quelle horreur.  Ou alors, c’est l’influence douteuse d’O’Balai mal dégrossi des mauvais quartiers... Néanmoins, avec le coq ultra-protecteur, tout le monde n’a qu’à bien se tenir et personne ne bronche !
Pauvre mésange enterrée au pied des narcisses... 
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griffes · 4 years
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La substance des jours et le bonheur du fragment...
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griffes · 4 years
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Pour me calmer, il me faudrait rapidement un massage du cuir chevelu par O’Balai, une présence animale, un cours de yoga ou de Kintzugi dans une yourte écolo, ou en dernier recours une balade dans le coin...
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griffes · 4 years
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Le Tigre de la Campagne toujours à la fête, même après Noël... Pas d’inquiétude, de son bosquet, O’Balai ne fait que regarder “la petite fleur qui danse”... 
(en référence au nom du nouveau magasin de fleurs de Cysoing (cf photos 2 et 5)... dont la propriétaire donne aussi des cours de danse).
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griffes · 4 years
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Les tigres de la campagne, l’oie et la poule Nègre-soie.
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griffes · 5 years
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“En regardant l'animal, on faisait comme les mystiques: on saluait le souvenir primal. L'art aussi servait à cela : recoller les débris de l'absolu.”
La panthère des neiges, Sylvain Tesson
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griffes · 5 years
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“Temps suspendu au... bonheur”... pendant l’émission “Passage des Arts”, samedi soir en présence d’écrivains comme Florence Burgat, Anny Duperey, Pascal Quignard et Frédéric Vitoux qui explorent leur relation aux chats, nous racontent ce qu’ils voient dans leurs yeux...  ce document célèbre tout à la fois la nécessité du silence intérieur, l’intensité de la parole et le prix de la beauté.
Louis Ferdinand Céline disait : “le chat, c’est l’ensorcellement même, le tact en ondes”... ce reportage aussi...
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