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#PAR LE POUVOIR DE LA CORRUPTION !!!
ekman · 3 days
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Le mensonge aura eu raison de nous, de nous tous, Occidentaux. C’est le mensonge qui apparait en dernier ressort lorsque l’on a analysé avec soin les raisons plausibles de la chute de ce qui fut une extraordinaire civilisation. La dynamique du gain financier, comme instrument et moteur du pouvoir réel – celui de la contrainte des nations, de leurs institutions et des citoyens – a installé le mensonge économique, politique, social comme outil de la disparition des valeurs premières de l’Occident : l’évidence du réel, la valeur esthétique, la primauté de l’éthique. 
L’argent, le prêt, la finance ont permis, tour à tour puis conjointement, de concrétiser la domination du petit bourgeois et de l’oligarque sur l’aristocrate, seule garant du sacré et de la liberté de chacun, toutes conditions entendues. En provoquant la décollation d’un roi de droit divin, c’et un peuple aveuglé par les Lumières qui a contribué à projeter sur tout un continent l’ombre portée des échafauds. 
Dès lors, la communauté des hommes a cessé d’écouter le prêtre quand ce dernier est descendu de chaire pour se laisser gagner par le vertige séculier. Son désir de contrôle a laissé le champ libre aux forces matérielles que lui-même avait contribué à renforcer. Mensonge et corruption des âmes !
Elle a aussi cessé de soutenir le soldat parce que ce dernier, endormi par le confort des paix de compromis et accablé par ses propres reculades, est devenu – pour la certitude d’une solde – le chien docile d’un pouvoir glacial qui n’avait plus rien de charnel. Mensonge et duplicité !
Elle a enfin cessé de compter sur elle-même en oubliant l’essentiel – le primat de sa survie – pour déléguer sa souveraineté à des falsificateurs, pour se vautrer dans le superflu aussi, troupeau toujours plus informe en deuil de ses balises identitaires, avide d’un progrès sans fondement rythmé par le tempo de la facilité et de l’illusion sociale. Mensonge et mensonges encore !
J.-M. M.
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albad · 7 months
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Comme toujours, la bête finit toujours par échapper à son créateur…
Il ne peut y avoir de happy end quand on joue avec les haines, aujourd’hui c’est la terreur, le gouvernement de Nétanyahou s’est allié avec encore plus intégriste que lui, vendant à son peuple une sécurité fictive, reprendre le pouvoir justifiant pour lui toutes les traîtrises et manipulations..
Mais l’orgueil et la corruption ne protègent pas de tout, on peut facilement l’oublier, mais le retour à la réalité est toujours difficile à supporter…
En réalité toute la démarche de cette coalition baroque du populisme, n’était qu’au service d’un cartel extrémiste, mais certainement pas du peuple israélien..
Le racisme fut-il accompagné d’un dome de fer, n’offre aucune garantie, car personne ne saurait bâtir un monde apaisé en trompant les siens et en persécutant ses voisins…
Des milliers d’Israéliens sont descendus dans les rues, des ambassadeurs ont démissionné pour s’opposer à la politique de ce gouvernement de la honte, l’unité du pays a été fracturée comme jamais, y compris au cœur des instances du pays, mais Nétanyahou et sa cohorte de fanatiques ont préféré caricaturer ceux qui refusaient cette escalade vers l’apartheid, on sait pourtant que lorsque l’on place caricature et intégristes dans la même phrase, ça termine rarement bien…
Aujourd’hui, la stratégie du protectionnisme radical s’est effondrée dans un bain de sang, et ce n’est peut-être que le début de l’horreur..
Si les États Unis qui ne semblent avoir été créés que dans le seul but que de vendre des armes et de faire des guerres se sont positionnés à la seconde pour soutenir la riposte, il serait peut-être utile de bien réfléchir à celle-ci, car le Hamas ne mène pas le combat seul, et ses alliés ont des moyens de pression qui pourraient rapidement provoquer un nouveau coût d’arrêt économique, dans l’hypothèse la plus sympathique…
Le mythe d’Israel infaillible vient de tomber, et le bras de fer engagé en plein flagrant délit de fébrilité, pourrait bien pousser certains "pays amis d’Israel " à la tempérance au-delà de l’affichage de total soutien..
Les enjeux de ce conflit vont bien au-delà de la bande de Gaza, ce pourquoi jusqu’à présent chacun s’est bien gardé de prendre réellement parti pour l’un ou pour l’autre dans les faits…
Contrairement à ce que certains prétendent, si la condamnation est unanime, il y a bien un " oui mais"….
Il y a un temps pour tout, mais Nétanyahou va devoir rendre des comptes aux siens, et il lui faut bien réfléchir à la guerre qu’il entend mener, car il est non seulement comptable des morts, des otages, victimes inhérentes à son arrogance et à son aveuglement, mais aussi de toute la déstabilisation potentielle inhérente à sa riposte…
L’embrasement n’est pas une menace, mais une réalité, il faudra plus que les traditionnelles gesticulations diplomatiques pour être entendus…
Tout ceci ne pouvant aboutir à ce que des populations ne soient persécutées, autant dire que la diplomatie du Rubik’s Cub risque de durer, tout ceci avec des représailles instantanées qui rebattront les cartes à chaque offensive…
Pendant ce temps là, il sera utile de rappeler que l’on peut pleurer toutes les victimes civiles de cette barbarie, sans être accusé d’abominables intentions, la compassion , l’humanité envers les populations désœuvrées n’est ni crime, ni fanatisme..
Une fois que l’on a dit cela, on se rappellera les mots de Shimon Peres:
“La guerre a un but, le terrorisme est une protestation"
Si l’on a bien compris contre quoi les terroristes protestent, le but de la guerre est bien plus trouble en réalité…
Ella Kelian
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sur-nos-cendres · 15 days
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Bonjour, en ce jour-4, nous vous présentons l'annexe des forces de l'ordre. En espérant que cela vous plaira et bonne lecture ! Nous vous rappelons aussi que le premier multi-compte est offert à l'ouverture. ♡
Malgré l'instabilité grandissante de la ville, Birmingham possède également ses forces de l'ordre et plus de trente agents à sa disposition si besoin est en plus de sa propre bridage anti-gangs. Cependant, ces forces sont teintées de corruption mais aussi de nombreux scandales ayant vu le jour il y a un an, en 2023. Révélés par les tabloïds de la ville, l'image de la police est depuis ternie. Si l'ancien Chief Superintendent de la police et de la police seulement, (Brutus Cormack, personnage non jouable) vient de démissionner suite aux craintes des habitants, ayant peur que les mensonges gangrènent leur chère ville, deux camps s'installent en coulisses, entre messes basses et regards meurtris, entre la brigade et celleux qu'iels appellent la triste police. Réintroduire l'ancien chef ou porter au sommet une nouvelle figure ? Certaines alliances se forment et il sera impossible de s'en défaire. Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer.
Devant les prunelles observatrices du public, iels paraissent soudés, bien rangés, prêts à se battre pour garder l'image dorée qu'ils se veulent de partager. Ils sont l'avenir de la ville qu'ils osent esquisser comme boucliers contre les sales critiques mais même si les forces sont séparées en deux clans, il se peut qu'il y ait beaucoup plus de mystères. Des secrets et des pactes que personne n'ira dévoiler. La brigade rêve d'éclats dorés, de faire plier les gangs esseulés. La police, elle, rêve de simplement se glisser sous un jour favorable. Qu'on puisse la voir en force puissante. Loin d'être touchée par la montée en puissance de la brigade anti-gangs. Alors, de quel côté votre cœur penche ? La loyauté ou la nouveauté ?
La police en Angleterre ne fait pas de distinction entre police administrative et judiciaire, la recherche de preuves est avant tout le rôle des policiers. Elle se compose également de cinq pôles différents : Neighbourhood Policing (police de voisinage), Traffic (s’occupant du trafic routier), Firearms (pour la réponse armée), Marine (pour les côtes et fleuves), Horses (police à cheval pour la campagne ou les foules urbaines). La ville de Birmingham en possède les cinq. De plus, il faut noter que la police n'est pas autorisée à porter des armes à feu et possède seulement un taser. Considérée comme simple, c'est la police qui gère la plupart des petites affaires quotidiennes, comme les vols, les amendes... Tout ce qui est lié aux organisations (maisons) va directement à la brigade.
Il existe également six grades dans les forces de l'ordre anglaise, chaque agent est assermenté lorsqu'il se voit offrir le poste. Le premier grade, celui de Constable, également connu comme Police Officer, est celui du policier ordinaire, celui qui est directement en contact avec les habitants. Il faut deux ans de travail probatoire pour un Constable - après quoi, il a le droit de solliciter un poste de Detective Constable ou de Sergeant. Les promotions suivantes prennent aussi au minimum deux ans. La liste ci-dessous part du grade le plus bas au grade le plus important. Une exception est cependant faite pour la brigade, qui dispose d'un grade en plus.
La brigade anti-gang (Research and Intervention Brigade) est une unité qui a vu le jour il y a quelques années. Maintes fois dissoute puis reformée, son rôle est de protéger les habitants mais aussi les hauts-fonctionnaires contre les organisations qui ne cessent de s'agrandir. Souvent laissée dans l'ombre, c'est grâce aux scandales de 2023 qu'elle reçoit un peu de lumière et que les subventions trop de fois demandées, ont été obtenues. Se basant sur la même dynamique que la police, les promotions prennent au minimum deux ans. Iels se veulent l'élite et il est parfois difficile de pouvoir y entrer. La police ainsi que la brigade se trouvent à Ladywood.
— Constable. — Sergeant. — Inspector. — Chief Inspector. — Superintendent. — Chief Superintendent. — Crime Commissioner.
Nous ne voulions pas faire de prédéfinis pour les forces de l'ordre pour vous laisser le maximum de libertés. Cependant, nous vous demandons de faire attention à la cohérence, aux backgrounds de vos personnages. Vous pourrez sans souci, en respectant le nombre défini par postes, créer vos propre pré-liens en prenant l'annexe comme base. Vous trouverez ci-dessous la liste des postes par unité. Nous vous demandons également de noter que la police et la brigade, même si elles se partagent les mêmes locaux, ne sont pas liée l'une à l'autre et que chacune des deux possède son propre chef, Chief Superintendent pour la police et Crime Commissioner pour la brigade. Si l'une demande parfois de l'aide à l'autre, ce sont des pôles distincts qui évitent de se côtoyer.
[POLICE]
constable (6/6) sergeant (4/4) inspector (3/3) chief inspector (2/2) superintendent (2/2) chief superintendent (1/1)
[BRIGADE]
constable (5/5) sergeant (4/4) inspector (3/3) chief inspector (1/3) ; réservés. superintendent (2/2) chief superintendent (2/2) crime commissioner (1/1) ; réservé.
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raisongardee · 1 year
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Les élites dirigeantes ne cachent plus leur intention d’organiser le monde selon leurs intérêts, et le libéralisme montre de plus en plus clairement le visage violemment réformateur qu’il a en réalité toujours eu. Le voile vaguement humaniste qui a longtemps pu le rendre sympathique se déchire à présent sous nos yeux.
Au début de ce siècle encore, la contestation politique portait sur des choses que le plus grand nombre pouvait trouver relativement abstraites : l’oubli du sacré, la mécanisation des modes de vie, le repli individualiste et la fin des communautés, la dégradation des milieux naturels, la corruption des élites et des mœurs… tout cela ne préoccupait finalement qu’une minorité d’insatisfaits, et n’affectait pas l’existence d’une masse encore ivre des avantages hérités des Trente Glorieuses.
Seuls les plus sensibles et informés sentaient que quelque chose n’allait pas, et que le vert était dans le fruit du monde moderne. Nous étions marginalisés par notre intérêt pour les périodes précédentes, souvent moqué et sans force face aux arguments du progrès technique et du nouveau confort. L’image du passé était envahie par la condition ouvrière du XIXe siècle, les guerres du XXe, ou encore un moyen âge dont le cinéma ne savait mettre en scène que les brumes hivernales. En ne brillant que sur les villes modernes, même le soleil semblait témoigner contre nous.  
Il n’en est plus tout à fait de même aujourd’hui, dans un contexte économique, social et culturel qui écrase de plus en plus violemment les gens ordinaires. Les "grands récits" américanisés ont perdu une part de leur magie, le décor est usé et laisse entrevoir les vieux rouages du libéralisme.  
Même si ce grand dévoilement transforme lentement les convictions, la majorité de nos contemporains reste cependant sans réaction. Nous ne parlons pas des complices d’un système ouvertement inhumain, de ces minorités pathologiques qui restent toujours un aussi petit nombre que les résistants opérationnels, mais de la grande majorité qui ferme les yeux et refuse de voir les choses en face. Elle se détourne de ce qu’il lui est trop pénible d’envisager, et laisse le nœud se serrer aussi longtemps qu’elle peut encore respirer. Un tel aveuglement est certainement un moyen de s’épargner le malaise de la conscience, une sorte de mécanisme de sauvegarde par lequel le cerveau se met en veille et protège une intégrité psychologique menacée par la panique. Cette stratégie s’explique aussi longtemps que l’inaction reste indolore, tant que l’incendie qui ravage les premiers étages n’a pas encore atteint le nôtre, mais elle laisse aussi le mal grandir jusqu’au point de non-retour. Il est vraiment démoralisant de voir une humanité incapable d’assumer sa situation objective, aveugle aux signes qui devraient pourtant l’alerter. Un tel refoulement est peut-être le phénomène naturel par lequel nous ne faisons face qu’à la mesure de notre capacité d’endurer.
La "rationalité limitée" avec laquelle les flagrants délits de violence politique et sociale sont envisagés repose sur des types d’arguments dont il est facile de faire l’expérience :
Le déni, qui repousse sans cesse les limites du choquant et de l’inacceptable, et permet par exemple de ne pas sourciller à l’idée de signer à soi-même une permission de sortie ou de porter un masque en plein air. D’où les "il faut voir le bon côté des choses", "ça a toujours été comme ça c’est pas nouveau", "tu te prends un peu trop la tête".  
Le discrédit, qui disqualifie une réalité ou un argument en raison de l’indignité d’un de ses éléments constitutifs. De même que la corruption du clergé a largement ridiculisé la religion, les actes de violence ou complots imaginaires permettent de discréditer toutes les résistances au pouvoir en place. D’où les "tu vois bien que c’est pas clair tout ça", "quand tu vois ce qu’a fait untel tu doutes quand même un peu excuse-moi", "oui on croyait ça au début, puis on s’est aperçu qu’untel…"
Le soupçon, qui conduit à douter de tout ce qui n’a pas l’évidence d’un fait simple et direct, et à n’accorder foi qu’à ce qui est visible et immédiatement vérifiable. Le miroir déformant des médias justifie largement un tel scepticisme, mais contribue aussi à tout diluer dans un doute hyperbolique qui cantonne la réflexion à la sphère individuelle et triviale. C’est ainsi qu’on peut à bon droit "se méfier d’internet", qui est cependant aussi le seul canal d’information qui échappe au contrôle de l’Etat. D’où les "tout est faux", "de toute façon ils sont tous pourris", "on ne peut faire confiance à personne".
L’étiquetage, qui consiste à manipuler des noms et caractères a très forte charge émotionnelle, et qui s’imposent comme des évidences a priori et universellement partagées. Tout ce qui est ainsi nommé est considéré selon la programmation et puissance affectante de l’étiquette. Après le célèbre "facho", le plus récent "complotisme" fait automatiquement regarder les faits comme des fantaisies. D’où également les "c’est encore un truc d’extrême-droite ça", "c’est raciste", "homophobe", "antisémite", "intolérant", "rigide" ou "jugeant".
De telles lectures de la situation impliquent les émotions sans la moindre analyse objective, et restent donc aussi susceptibles d’affecter les mieux armés. Dans un texte de 1945, René Guénon évoquait déjà "un secret qui est mieux gardé que tout autre : c'est celui de la formidable entreprise de suggestion qui a produit et qui entretient la mentalité actuelle, et qui l'a constituée et, pourrait-on dire, "fabriquée" de telle façon qu'elle ne peut qu'en nier l'existence et même la possibilité, ce qui, assurément, est bien le meilleur moyen, et un moyen d'une habileté vraiment "diabolique", pour que ce secret ne puisse jamais être découvert."
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nothingtherefornow · 4 months
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Comment la série Miraculous compte-t-elle équilibrer le manque de ressources de Lila par rapport à Gabriel pour la rendre encore plus menaçante et dangereuse que son prédécesseur face aux héros ?
En surfant sur un Reddit de Miraculous Ladybug, j'ai trouvé un fan suggérant que la saison 6 de Miraculous sera peut-être obligée d'introduire de nouveau super villains qui n'ont rien à voir avec Lila, car pour le peu qu'on sait, Lila ne fait juste pas le poids contre la Team Miraculous à elle toute seule.
Certes ses talents de caméléon et de manipulatrice peuvent lui permettre de créer de nombreuses situations à son avantage pour déclencher des akumatizations, et de potentiellement semer la zizanie au sein de héros ("diviser pour mieux régner" comme on dit). Mais l'existence des magical charms pouvant maintenant purifier les akuma dans une Paris presque Utopique et où la corruption du maire est de l'histoire ancienne, le fait que Ladybug et chat Noir soient maintenant capables d'utiliser le cataclysme et le lucky charm à l'infini sans se détransformer mettent Lila dans une position désavantageuse.
Dans le monde de Miraculous où la magie et l'existence de meta-humains/mutants est monnaie courante, introduire de nouveaux super villains originaux qui s'attaqueraient à Paris, et qui s'allieraient à une Chrysalis leur proposant de les rendre plus forts en les akumatisant, serait en effet une solution plausible dans la future saison 6.
Le soucis pour Lila c'est qu'aux dernières nouvelles, elle ne dispose pas de la même richesse ou des mêmes ressources que Gabriel. Ce dernier avait son jardin secret où il cultivait régulièrement de nombreux papillons qui devenaient plus tard ses futurs akuma, afin de ne jamais tomber en rade et de pouvoir continuer d’attaquer les héros tous les jours et leur donner ainsi très peu de repis, mais aussi pour pouvoir lancer des attaques de l'envergure du papillon écarlate. Je suis certaine qu'un akuma purifié par Ladybug devient ensuite inutilisable, et on ne sait pas encore si il suffit à un porteur du miraculous du papillon de se détranformer puis de retransformer pour que sa canne soit toujours automatiquement munie d'un akuma si le dernier venait à avoir été purifié. Or, un porteur du miraculous du papillon agissant pour le bien n'a pas l'air d'avoir à se soucier du même problème, car on a bien vu dans le spécial Paris que Hesperia pourrait utiliser le même kamiko, qu'il garde dans son arme, pour kamikoser plus d'une personne à la fois dans un court laps de temps. D'autant que le kamiko de Hesperia semble être assez rapide pour éviter d'être purifier s'il venait à libérer ses alliés de leur pouvoir juste avant (et de toute façon Hesperia n'a pas à se faire de soucis de ce côté là puisque la Ladybug de son monde est devenue son alliée). Et afin de pouvoir créer un second kamikosé sans le lier au même kamiko que le premeir, il suffit de prêter le miraculous du papillon à un allié pour que ce dernier ait aussi droit à son propre kamiko à utiliser.
Cependant Hesperia nous a aussi montré pourquoi le fait de n'avoir qu'un seul papillon magique fourni avec son arme était un gros désavantage par rapport au jardin d'akumas de Gabriel : le fait que Ladybug a pu retrouver Hesperia en traquant son seul kamiko, qui devait automatiquement revenir vers son créateur.
Gabriel n'avait pas à se soucier qu'on utilise ses akuma pour le traquer, car aucun akuma purifié n'est jamais revenu vers lui, et un akuma non purifié peut se multiplier, ou bien Gabrie lui même peut certainement rompre la connexion (dans l'épisode Ladybug, on a bien vu les akuma écarlate redevenir blanc et donc "purifiés" après que Gabriel se soit transformé).
Nous ne savons pas encore si le miraculous du papillon fournira toujours à Lila un nouvel akuma dans on arme chaque fois que le précedent akuma sera purifié par Ladybug, ou bien si comme Gabriel Lila sera obligée de cultiver régulièrement des papillons pour en faire des akumas. D'autant qu'avec un seul akuma a sa disposition, Lila pourrait éventuellement être traqué.e, à moins de se détransformer juste à temps après chaque combat
Et à moins de s'allier à Tomoe Tsurugi et de lui demander son aider pour créer son propre jardins de papillons, je ne pense pas que Lila n'aura pas le même luxe auquel Papillon/Papillombre/Monarch avait droit.
Un autre fan a confirmé que cette idée serait effectivement la meilleure direction à prendre.
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traduction : "Je veux dire ... Ils DOIVENT introduire de nouveaux méchants. Il n'y a aucune chance que Lila/Cerise à elle toute seule puisse avoir une chance contre les héros, surtout maintenant que Les pouvoirs de Ladybug et Chat noir ont évolué, et que Ladybug possède les magical charms (et j'assume que Lila n'est pas encore capable de créer des megakuma, du moins pas initialement)"
Bien que je pense que Lila apprendra très vite à créer des megakuma, les magical charms peuvent quand même fonctionner contre ceux-là en étant alimentés par des émotions positives. Et comme je l'ai dit plus haut, dans la nouvelle Paris les émotions positives risquent d’être bien plus répandues que les émotions négatives dans une Paris qu n’est plus sous le règne d'un maire corrompu et de se partenaires riches également corrompus.
Je ne vois ainsi que 4 façons pour que Lila/Chrysalis prenne éventuellement l'ascendant sur Ladybug et Chat Noir, et devienne une menace plus dangereuse que Gabriel ne l'était
Créer une alliance avec Tomoe Tsurugi ou un autre supervillain que nous ne connaitrions pas encore, et lui donner accès à d'autres alliés supervillains que Lila pourrait facilement manipuler pour en faire ses pions
Débloquer de nouveau pouvoirs puissants et encore jamais vus avec le miraculous du papillon, jusqu'à atteindre un pouvoir capable de contrer celui des magicals charms de Ladybug
Réussir à voler des miraculous à ses futurs camarades scolaires, et même là a tâche sera ardue car mis à part la coccinelle, le chat noir, le lapin et le paon, les autres miraculous ont changé de forme, ce qui pourra empêcher Lila de reconnaître les bijoux magiques et de les voler (à moins qu'elle parvienne à découvrir avec ses ruses qui et qui au sein de la Team miraculous)
Révéler à tout Paris la vérité sur Gabriel Agreste = Papillon/Papillombre/Monarch, et le fait que Ladybug ait volontairement dissimulé cette vérité, dans le but de semer le doute et la discorde dans tout Paris et au sein de la team Miraculous, donnant ainsi à Lila plus de moyens d'agir et de retourner certains héros et citoyens contre Ladybug
Sans ça je ne vois pas comment Lila pourra devenir une menace crédible pour Ladybug et Chat Noir.
Cela pourrait d'ailleurs expliqué pourquoi Lila a mentionné avoir hâte de retrouver Marinette tout en mettant la broche du papillon sur elle, mais sans mentionner Ladybug (si on part du principe que Lila ne sait pas que Ladybug = Marinette), car Lila devrait être suffisamment intelligente pour comprendre que le pouvoir seul du miraculous du papillon n’est plus suffisant contre Ladybug, et Lila devait donc au début avoir uniquement eut l'intention de se servir des pouvoirs du miraculous contre Marinette pour lui pourrir la vie (quoi de plus facile que de s'akumatiser elle-même en Caméléon ou bien Volpina)
Cependant, aller savoir qu'est ce qui a fait peur à Lila à la fin de Re-création, et si cela va jouer un rôle important dans son futur rôle de super villaine papillon
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alain-keler · 8 months
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Dimanche 3 septembre 2023.
Paris, place Saint-Michel. Rassemblement de membres d’un collectif « Défendre la démocratie israélienne ». Pas beaucoup de monde, pas assez de monde. Il fait beau, chaud, il y a encore un air de vacances. 
Je vais transcrire une partie du tract distribué. Il a le mérite d’être clair :
  « La coalition gouvernementale formée par le Premier ministre israélien B. Netanyahou en décembre dernier veut procéder à une »réforme judiciaire » affirmant que celle-ci corrigera « l’activisme judiciaire », ajoutant que les juges de la Cour Suprême ,e sont pas élus par le peuple.
Cette « réforme » et les autres initiatives législatives du gouvernement israélien actuel représentent la menace la plus importante depuis 75 ans à laquelle Israël doit faire face.
 Cette « réforme » est une tentative des extrémistes religieux et des ultra-nationalistes d’étriper la démocratie israélienne en attaquant ses gardiens. C’est aussi un moyen pour B.Netanyahou, accusé de corruption, fraude et abus de confiance dans trois affaires, d’échapper à la justice.
 … Ce gouvernement messianique et dictatorial a déposé 225 projets de loi qui visent à contrôler les médias, contrôler les professeurs dans les écoles publiques, réviser le code électoral pour mieux bâillonner l’opposition, discriminer les LGBT et les arabes israéliens ; transférer encore plus de pouvoir aux tribunaux rabbiniques pour mieux effacer les femmes de l’espace public et en faire des citoyens de seconde zone. Sans parler des milliards de shekels distribués aux colonies et aux ultra-orthodoxes au détriment de l’école publique, du logement, de la sécurité.
La démocratie israélienne est au bord du gouffre. Tous  les samedis soir depuis janvier dernier-36 semaines à ce jour-des dizaines de milliers de citoyens manifestent dans le calme, à Tel Aviv et dans 150 autres lieux du pays pour défendre leur démocratie ».
  Tout est dit, ou presque.  À titre personnel, j’approuve cet appel qui fait écho aux manifestations pour préserver la démocratie en Israël. J’ai été depuis longtemps très critique de l’occupation de la Cisjordanie et de la manière dont sont traités les palestiniens par les colons et l’armée. L’assassinat de Yitzak Rabin avait condamné le processus de paix avec les palestiniens. L’extrême droite et les messianiques sont au pouvoir aujourd’hui.
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claudehenrion · 8 months
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C’était mieux avant…
Je ne sais pas si c'était mieux “avant” (et d'abord, avant quoi ?“). Plus exactement, l'âge venant, je n'ai plus le courage de clamer que ‘’Oui, c'était mieux’’ aussi haut et aussi fort qu'il faudrait le faire  pour qu'une ’‘contre-force” s'oppose enfin aux mensonges péremptoires des gens qui nient cette évidence, en espérant ainsi faire oublier par toutes leurs victimes, bien trop braves et bien trop “tolérantes” (je veux dire : vous et moi !) qu'ils ne nous ont apporté que des cataractes de décisions mauvaises, des tsunamis de catastrophes tous azimuts et des tornades de mal vivre pour tous ceux qui sont soumis à leur vouloir –bien plus mauvais que bon !
En revanche, ce que je sais, pour parler comme Jean Gabin, et ce dont je me souviens clairement, c'est que “avant”, c'était plus facile. Et plus drôle, aussi. Et plus “sympa”. Et plus doux à l'homme, surtout… Car franchement… mis à part les avantages indéniables que de réels progrès scientifiques nous  ont apporté dans notre vie quotidienne (santé, espérance de vie, confort domestique, vitesse et plaisir des voyages et quelques autres), il faut bien admettre que tout le fatras conceptuel et idéologique qui a escorté les pseudo-valeurs soi-disant philosophiques qui conduisent notre vie (là où il vaudrait mieux ne pas aller !) nous enferme dans le contraire de ce qui pourrait être “bon” pour l'homme. Mais surtout, “avant”, l'homme avait appris de l'Histoire –et de son intelligence– à ne pas gaspiller, de ne pas sur-dépenser, de ne pas être inconsidéré dans tous ses comportements… “Avant”, semble-t-il, on pensait, au lieu d’obéir… Les français dits révoltés permanents ont laissé la place à des confinés sans raison, à des vaccinés sans savoir vraiment pourquoi, à des porteurs de masques inutiles et aux suivistes de toute instruction et de toute opinion ''venant d'en haut''.
(NDLR : ces 5 dernières années ont vu les “progrès” dont nous parlions plus haut être détournés par les mauvaises idées à la mode, et être ramenés à la caricature de ce qu'ils auraient pu devenir si on les avait orientés dans un sens différent. Exemples : (1)– la médecine s'est effondrée sur elle-même, dans le suivisme politique irraisonné, dans une corruption par les honneurs, les titres et la griserie d'apparaître ''au 20 heures'', et dans le refus de toute attitude scientifique, pour un virus dont les dégâts sont une fraction de ce que la propagande a tenté de nous faire avaler, très loin des horreurs apocalyptiques annoncées et répétées “ad nauseam” (relisez ce qu''ils'' disaient il y a 3 ans : tout était faux !). Mais la vérité commence à filtrer un peu partout, enfin !. (2)– le confort domestique, que la bêtise et l'inculture des nuls au pouvoir finira bien par transformer en hiver sans chauffage… et en plein de pénuries –qui deviendront dramatiques, s'ils persistent à détruire tout ce qui marchait si bien, sans eux ! (3)– quant aux transports…  ’'on a tout faux’’, jusque dans les moindres détails. Des idées dites modernistes ou progressistes qui ne sont qu'anti-humaines –ou, pire que tout,  “woke”– ont fait du monde “ex-civilisé” (?) un enfer, sans vainqueur et pour cause : il ne peut y avoir que des perdants ! Et c'est hier, 31 Août 2023, que la vente de véhicules diesel a repris sa place , devant les électriques ou hybrides qui sont ''le mensonge du siècle''... qui sont passés en tête... un petit mois).
Dans le domaine politique, la discussion et l'échange d'idées ont été interdits. Seules restent l'insulte, la dérision, la culpabilisation de l'opposant (devenu un ennemi à tuer), et la psychiatrisation de toute opinion contraire à la “doxa” –sans cesse changeante, mais toujours dans le sens qui va du mauvais vers le pire : “il ne pense pas comme je-ne-sais-plus-qui a dit qu'il fallait penser ? Je refuse donc de lui serrer la main et je recommande qu'o, l'enferme dans un asile !''. Quand on relit les passes d'armes (qui allaient jusqu'au duel !) entre des Jules Ferry, Albert de Mun, Léon Daudet, Léon Gambetta, Georges Clémenceau ou Jean Jaurès… on doit se demander si ces hommes-là n'étaient pas infiniment plus intelligents que nos ratiocineurs mal élevés actuels, sans culture, sans envergure (et depuis peu sans cravate), dépenaillés, indignes des responsabilités que des électeurs (dont on se demande à quoi ils pensaient en glissant leur bulletin dans l'urne) ont chargé d'assassiner leur futur !
Un proverbe prétendu chinois affirme que ’'le poisson pourrit par la tête’’. Vrai ou faux, c'est une explication du drame que nous vivons chaque jour et où de plus en plus de nos compatriotes commencent enfin à voir clair et à exiger des comptes… mais il est trop tard, hélas, car c'est tout le corps social qui est atteint par le cancer intellectuel qui a pourri la fonction politique et la ''res publica'' dans son ensemble : chacun râle contre son voisin, on en vient aux mains pour une priorité à droite refusée. Le covid (tel que fantasmé par des politicards) a divisé la société et déchiré les familles en deux camps ennemis dont celui qui se croit vainqueur ne rêve que “d'emmerder” l'autre, Président compris.  Et des lois prétendues “sociétales”, en vérité scélérates, ne font que cristalliser des désaccords  endémiques et tolérés, et les rendent définitifs, totaux,  absolus et même obligatoires, comme ce fut le cas pour le covid !
Deux exemples : (1)– J'ai vécu, jeune garçon, la guerre mondiale précédente, et j'assure que la haine de et pour Pétain, du temps de ceux qui savaient de quoi ils parlaient –dont De Gaulle lui-même !– n'a jamais atteint le niveau de vulgarité automatique qu'il est aujourd'hui obligatoire d'afficher… (2)– Le phénomène colonial a été si manipulé et tellement réécrit mensongèrement, qu'il contraint les populations de ex-colonies à vivre dans un monde de haine, revendicatif, auto-bloqué dans des attitudes qui ne peuvent que leur apporter le malheur individuel –sans leur donner la revanche collective qu'ils fantasment, puisque le discours des politiques, du Président au Pape François, jamais à court d'une bourde, a rendu la “faute” coloniale (même inventée et fabriquée) impardonnable “en soi”, au point qu'il est interdit de ne pas conspuer jusqu’amot ‘’colonie’’ lui-même ! Pourtant, il suffit de voir ce qui se passe dans tous les pays de l'ex-Empire français – un putsch ou une révolution par jour et par pays... ou presque-- pour comprendre que l'opposition ''blanc-noir'' n'est pas le sujet !
En fait, c'est toute la société qui est bloquée dans presque tout notre Occident, autrefois admiré, maintenant honni par les ennemis de toute humanité. La France et les Etats-Unis proposent deux chemins opposés vers la mort d'une civilisation : immigration mortelle ici, pourrissement idéologique là-bas (mais covid ici ET là-bas !). Ce qui semble plus grave, à terme, c'est que le corps social est brisé à la fois dans sa globalité et dans ses détails, police contre “justice” (?), école contre famille, sud contre nord, ville contre campagne, infirmières contre hôpitaux, police contre ''quartiers'', et j'en oublie. Il faut avoir le courage de le dire : notre situation est catastrophique : la quasi-totalité des mesures qui ont été prises par nos leaders depuis 10 ans étaient non pas mauvaises mais horribles : dans tous les domaines –civil, sécuritaire, scolaire, décadence dite “sociétale”, laxisme immigrationniste, mais aussi en ce qui concerne le climat, l'environnement, l'Histoire, l'écologie, le militaire, le législatif, le financier, le fiscal, le moral (et la morale, bien plus encore) et –c'est un comble !– un mélange anti-religieux et islamophile... il n'y a qu'un cocktail de poisons mortels.
Des milliers de décisions inutiles, farfelues, débordantes d'amateurisme ou de nullité crasse, suant de fausses bonnes intentions, et contre-productives “dans la masse” ont ravagé tout le corps social, ont détruit l'ordre, le consensus, tout lien cohérent (le dernier “lien”, dans la Cité, est… la haine pour l'Occident du Sud et pour Poutine du Nord… et pour notre voisin et notre famille, s'ils ne sont pas vaccinés !),. Sauf exception, tout notre arsenal de solidités anciennes est remplacé par une impression de ne plus être nulle part, de ne plus être solidaire de rien, de ne rien devoir à personne, mais de réclamer des “droits de'' et des ''droits à''…). Un Hobbes moderne redonnerait vie à l'expression “homo homine lupus”, l'homme est un loup pour l'homme, en version 2022.  Quand ce cauchemar va-t-il s'arrêter, s’il est temps encore ?
H-Cl.
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windsofchxnge · 2 years
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WINDS OF CHANGE — projet fantasy (atla, tlok, the dragon prince & fae).
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Hello tout le monde !
Aujourd'hui, je viens vous présenter un petit projet sur lequel je travaille dans l'ombre depuis quelques temps avec des ami·e·s. ♥ Vous pouvez découvrir les premières informations sur l'univers ci-dessous, on espère que ça vous plaira !
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— Forum fantasy dont l’action se déroule dans un univers inventé, qui puise ses sources dans diverses inspirations ;  Avatar: The Last Airbender, The Legend of Korra, The Dragon Prince et la mythologie des fae, ainsi que plusieurs autres univers qui sont cités dans l'annexe sur nos inspirations.
— Mots-clés ; magie, mystères, exploration, aventure, conflits, enjeux.
— Il existe quatre peuples de Fae, chacun étant rattaché à un élément qui détermine leurs pouvoirs (Air, Eau, Feu, Terre). Si les Fae peuvent manipuler ces formes de magie et leurs variantes, leur élément a également une influence sur elleux. 
— Le monde d’Eyora est divisé en quatre nations, n’étant pas nécessairement chacune représentative d’un seul élément. Qiujin, royaume hétéroclite divisé en plusieurs cités-états ayant leurs propres particularités et leur propre ambiance. Vayuura, terres de mythes et légendes, où une menace se met à gronder de plus en plus fort par-delà les ruines. Sílfgard, royaume plongé dans un hiver éternel, au coeur duquel se dresse le portail vers le monde des Esprits. Izqara, région désertique profondément inégalitaire, ravagée par la corruption. 
— Parallèlement au monde physique, on retrouve une autre dimension, immatérielle et difficilement accessible aux Fae ; celle du Monde des Esprits. Ceux-ci sont des personnifications de divers aspects de la Vie et de la Nature qui jouent un rôle significatif à Eyora. 
— Depuis quelques années, un groupuscule s’est formé dans l’ombre, s’intéressant de près aux Esprits et mettant en place une nouvelle forme de magie, appelée la magie du Chaos. Cette faction s’oppose à celle tenant les rênes depuis des siècles, qui veille à la préservation de l’harmonie entre les divers habitants d’Eyora. 
— Les intrigues tourneront autour de différents thèmes, alliant aventure, exploration et politique. Il ne sera pas obligatoire d’y participer, celles-ci ne faisant qu’apporter un plus que vous êtes libre d’exploiter ou non dans vos rp.
— Plusieurs annexes sont déjà rédigées et nous ouvrirons un serveur discord prochainement pour vous partager plus d’informations sur le projet (pour l’instant, on ne veut pas se mettre la pression, et on avance à notre rythme, mais promis vous en saurez plus bientôt).
N'hésitez pas à vous abonner à ce blog si vous voulez suivre la progression du projet !
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kilfeur · 4 months
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De ce que je vois c'est que Viren est le préféré des fans et je peux comprendre mais de l'autre, je me sens un peu seule de me sentir neutre à son sujet. Je peux comprendre pourquoi ce personnage a plu aux fans. Un homme qui au début voulait protéger l'humanité bien que par la suite, on apprend aussi que c'était un moyen d'obtenir le pouvoir. Viren est un perso nuancé et on le voit bien. Mais je me souviens que quand il a mentit à Soren et Claudia, sur l'ordre de Soren au sujet de tuer les deux princes. Je me suis dit "Mais quel connard !" C'est l'un des trucs les plus salauds qu'il ait fait, ça et laisser Aaravos corrompre la forge de Lux Aurea. Parce que ouais la reine là bas, était une connasse ! Mais les elfes du soleil n'ont rien demandé surtout Janai qui voyait quelque chose en Amaya par exemple. Viren est un perso intéressant mais malheureusement il me fait pas le même effet que ferait un autre perso qui suivrait ce genre chemin.
Après faut dire que dans les trois premières saisons, je préférais Harrow pour le côté tragique du personnage. Et aussi parce que la lettre qu'il a donné à Callum est l'une de mes scènes préférés dans la série.
From what I can see is that Viren is a fan favorite and I can understand that, but on the other hand, I feel a little lonely being neutral about him. I can understand why this character appealed to fans. A man who at first wanted to protect humanity, although later we also learn that it was a means to power. Viren is a nuanced character and you can see that. But I remember when he lied to Soren and Claudia, on Soren's orders, about killing the two princes. I thought, "What an asshole!" That's one of the foulest things he's ever done, that and letting Aaravos corrupt Lux Aurea's forge. Because yeah, the queen there was a piece of shit! But the sun elves didn't ask for anything, especially Janai, who saw something in Amaya, for example. Viren's an interesting character, but unfortunately he doesn't have the same effect on me as any other character who follows this kind of path.
I must say that in the first three seasons, I preferred Harrow for the tragic side of the character. And also because the letter he gave Callum is one of my favorite scenes in the series.
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Il n’y a pas d’Autre de l’Autre
«C’est même le principe de la relation intersubjective comme telle, c’est que cet Autre comme lieu de parole nous est immédiatement et effectivement donné comme sujet, c’est-à-dire comme sujet qui nous pense nous-même comme son Autre.
C’est là le principe de toute stratégie : quand vous jouez au jeu d’échecs avec quelqu’un,
vous lui attribuez autant de calculs que vous en faites.» Lacan - Les formations de l’inconscient
Ce qui s'appelle l’Autre avec un grand A (le grand Autre de la psychanalyse), c'est l'instance convoquée par le sujet - qu’il le veuille ou non - du fait même d’être parlant, qui donne un sens (ou pas) à ce qu’il dit, y compris (et même surtout) lorsqu’il se parle à lui-même.
Le grand Autre donne son architecture subtile à la "substance sociale", les significations explicites et implicites, le sens et le non-sens, de chacune des paroles et des actes qui signifient le sujet.
Le paranoïaque ne croit pas au grand Autre, raison pour laquelle il s'imagine toujours un autre derrière l'Autre en ramenant le grand Autre à la dimension d'un petit autre (le semblable) qui manipule et tire les ficelles, ce qui revient in fine à nier l'Autre en tant que tel, c'est à dire l’altérité radicale du lieu de la parole, la forme langagière en tant que telle qui conditionne l’accès au langage…
Moi est le je de l’Autre.
Dans la «communication», chacun ne fait que recevoir de l'Autre son propre message sous sa forme inversée.
L'inconscient c'est le discours de l'Autre, le désir c'est le désir de l'Autre, l'Autre c'est le nom donné à la vérité présupposée qui fait structure de tout discours, la vérité à laquelle nous avons à nous référer implicitement, d'autant plus lorsque nous nous mentons à nous-mêmes.
L'Autre est l'ordre des règles non-écrites qui régit nos paroles et nos actes, la garantie ultime qu'il y a bien une vérité sur laquelle peuvent s'appuyer nos mensonges...
Il ne suffit pas de savoir qu'on est manipulé, encore faut-il savoir qu'il n'y a personne à la place du manipulateur.
Voilà ce que veut dire: l'Autre barré de la psychanalyse (le primat du signifiant sur le sujet).
La manipulation suprême — bien qu’il n’y ait personne à la place du manipulateur — est celle qui nous conduit cependant à penser que nous sommes victimes de forces occultes toutes puissantes.
Mais le "monde", qu’est-ce donc si ce n’est notre fantasme qui se soutient d'un certain type de pensée?
Se délivrer de l’empire de l'opinion constitue un premier pas hors du fond de la caverne.
Depuis sa posture de victime innocente, impassible et indignée, la Belle Âme qui dénonce la corruption du monde y participe pleinement, en donnant consistance, persistance et réalité, à cette corruption du monde qu'elle dénonce.
La fausseté de la position subjective de la Belle Âme réside dans son refus de voir que son éternelle posture de victime indignée face aux cruelles circonstances masque la collusion et la complicité que sa participation implique, qu'elle le veuille ou non.
La leçon de la psychanalyse n'est pas: "renoncez à vos rêves et à vos désirs dénués de sens, la vie est cruelle, acceptez-la telle qu'elle est..." mais plutôt: "vos jérémiades et gémissements ne sont qu'hypocrisie car ils sont le paravent derrière lequel vous vous adaptez à cette réalité faite de manipulation et d'exploitation."
«Je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...»
K. rejette le rôle de victime, dans ses conclusions, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration, c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux.
Voilà le travail de l'idéologie au quotidien, dont nous n’avons qu’une vague impression car nous sommes immergé dans le discours dominant, dont la fonction est de nous mettre dans les conditions de théâtraliser notre indignation, en finissant par dire «je ne suis pas d’accord» ou «je suis d’accord», après avoir ravalé la complexité de chaque position du sujet dans le monde au système préformaté par l’opinion.
Plus le sujet est narcissique, plus il a besoin de l’Autre pour y faire porter ses reproches et sa plainte, et plus il accroît sa dépendance à son égard.
Plus les politiciens sont corrompus, plus ils ont besoin de l'ordre des apparences, des médias en tant qu'ils jouent le rôle de l'Autre "supposé-croire", même si c'est pour les critiquer, les moquer, les vilipender, le plus important c'est que soit maintenue mordicus la croyance de "l'opinion" dans le jeu de fausses oppositions qui leur a valu — et continuent à leur valoir — l’accession au pouvoir...
Lorsque K. quitte la Cathédrale, deux policiers en civil l'attendent pour l'emmener dans un immeuble abandonné et l'exécuter.
Dans la version d'Orson Welles, la raison pour laquelle K. se fait liquider est l'exact contraire de celle invoquée dans le roman (il représente une menace car il a découvert la fiction fondatrice à partir de laquelle le pouvoir existant étend son empire).
La manière dont Welles lit Le Procès transcende les deux approches dominantes de Kafka: l'obscurantiste-religieuse tout autant que la naïve-humaniste, K. est effectivement coupable, mais ce qui le fait coupable, c'est précisément sa protestation d'innocence, le fait qu'il argue avec autant d'arrogance de son innocence, en plaçant toute sa confiance dans une argumentation naïve-rationnelle.
Dans l'univers de K. tu dois d'abord prouver ta culpabilité, les innocents ne pouvant en aucun cas être pardonnés.
L’erreur de bonne foi est, de toutes, la plus impardonnable, dira Lacan…
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(édit : jetez un oeil au Reblog de @thehappyegg je vous promets ça vaut le détour)
Kaamelott Prompt
Anna meurt en couche laissant Loth veuf en charge d'un jeune Gauvain.
Léodagan, désireux d'ouvrir une alliance avec ses voisins du Nord, décide de marier sa fille Guenièvre au roi Loth et d'unir leur nation pour bouter les romains hors de la Bretagne. La force de la coalition que forment les Pictes, la Carmélide et les Orcaniens est dévastatrice et il ne leur faut pas beaucoup d'effort pour vaincre l'envahisseur. 
Réticente à épouser un homme qui se rapproche de l'âge de son père, Guenièvre se promet de s'enfuir. Mais l'amour est une plante tenace qui peut naître d'entre les plus durs des rochers et guérir le plus triste des cœurs. 
Malgré tout, la pourriture qui habite l'âme de Loth et son penchant pour la traîtrise peuvent-ils vraiment disparaître ou au contraire la jeune reine va-t-elle être intoxiquée par le pouvoir et la corruption ? 
Les romains chassés et Excalibur toujours fermement ancré dans son roc sacré, il ne reste plus qu'une seule question à laquelle répondre : qui va prendre le trône et devenir roi de Bretagne ?
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albad · 10 months
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🔎ANTICOR, QUI LUTTE CONTRE LA CORRUPTION, PRIVÉE D’AGRÉMENT
En France, chaque jour est une marche supplémentaire vers le fascisme.
Anticor est une association de lutte contre la corruption qui compte 6500 adhérents. Elle instruit des dizaines de dossiers de corruption au sein de la classe politique. Il y a deux ans, Anticor obtenait un agrément de haute lutte. Elle vient de le perdre. Cet agrément est essentiel, car il lui permet de porter plainte et de se constituer partie civile dans des procédures judiciaires.
Sans Anticor, Alexis Kohler, le bras droit du président, ne serait pas aujourd’hui inquiété par la justice pour «prise illégale d'intérêts».
Anticor était attaqué en justice pour ses positions jugées «trop à gauche» et les liens de sa présidente avec le média Blast, dirigé par le journaliste d'investigation Denis Robert, qui avait révélé le scandale Clearstream. Assigné en justice, Anticor faisait face au juriste Frédéric Thiriez, avocat au Conseil d’État, nommé par Emmanuel Macron en 2019 pour réfléchir à la réforme de l’ENA.
Au procès, l'avocat a cité des articles de presse à charge publiés dans le Journal du Dimanche, Causeur ou Le Point contre Anticor. La pseudo «enquête» du JDD avait été désavouée par la suite pour son manque de déontologie. L'avocat a pourtant obtenu gain de cause ce vendredi 23 juin.
Sans agrément, Anticor ne pourra pas poursuivre ses 159 dossiers. L'association peut redemander un agrément, mais c'est directement le gouvernement qui décide. Un scandale, en terme de séparation des pouvoirs. Ce sera à Élisabeth Borne de trancher. Pour rappel, il y a seulement 3 mois, Macron s'en prenait à Anticor pour avoir fait poursuivre son bras droit Alexis Kohler.
En France, plutôt que de faire baisser la fièvre, les autorités préfère casser le thermomètre. Macron avait déjà supprimé l’observatoire de la pauvreté, mais aussi l’observatoire de la laïcité, jugé trop à gauche. Le ministre de l'Intérieur a récemment menacé récemment la Ligue des Droits de l'Homme. S'il n'y a plus d'instance indépendante pour travailler sur la pauvreté, les droits de l'Homme ou la corruption, le sujet n'existe pas. C'est pratique. Bienvenue en dictature.
Contre Attaque
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loomoffateleprojet · 1 year
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Joseon
EX-FAMILLE IMPÉRIALE SANG PUR / ROYALISTES | ANTI-SECRET MAGIQUE
Famille impériale de Corée durant des siècles, ils furent l'une des rares familles à régner à la fois sur des sorciers et sur des moldus. Réputée sans pitié, la famille Joseon a toujours préféré inspirer la crainte que l'amour de son peuple. Chez les Joseon, on est expert dans la magie noire, et aussi pour ce qui est de la métamorphose. Des métamorphomages on en trouve bon nombre dans cette lignée, et ce depuis des centaines d'années.
Si c'est la colonisation Japonaise qui les chasse et les contraint à l'exil, c'est aussi le peuple sorcier de Corée qui les a poussé à l'exil, las des abus de pouvoir, de la corruption et de la noirceur de leur famille souveraine. En 1910, des sorciers coréens organisent un attentat contre la famille Impérial et nombre d’entre eux meurt ce jour là, ils s’exilent alors sans autre choix, en danger dans leur propre pays. Sans foyer, c'est en France qu'ils trouvent refuge sous le couvert de la famille royale, mais également accueillit à bras ouvert par le Ministère des Affaires Magiques.
Sans foyer, sans emploi, la famille Joseon a rapidement rebondi, et même si l'idée de travailler les révulse un peu, ils ont pu acquérir avec leur fortune diverses demeures luxueuses dans Paris, et le restaurant le plus réputé de tout Paris : Les Délices d'Ambroisie. Mais ils ne s’arrêtent pas là, et on pris la tête du Pavo Scintillans qui deviendra progressivement le cabaret le plus en vogue de France. Ils veulent s'imposer comme des magnats de l'immobilier, même si leur but reste à la fois de retourner dans leur pays et de reconquérir leur trône, et peut-être essayer de gravir le trône de France un jour.
Ils sont favorables à un retour à la monarchie absolue française et sont hostiles au secret magique. Alliés de la famille de Valefor, ils n’apprécient guère la famille Romanov qu’ils considèrent littéralement comme des moins que rien car ils ont tout perdu dans leur fuite de Russie. S’ils jouent les amis en façade, l’entente est glaciale dans les coulisses.
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aurevoirmonty · 1 year
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« Lorsque nous, les nationaux-socialistes, célébrons la fête du Christ, elle revêt une signification toute particulière pour nous. Après tout, nous sommes aujourd'hui engagés dans une lutte qui est tout à fait similaire à la lutte qui a rempli l'époque que nous célébrons aujourd'hui. Il y a environ deux mille ans, le monde avait à peu près la même apparence et les mêmes caractéristiques qu'aujourd'hui : des états de pouvoir qui régnaient apparemment sur la terre, mais au-dessus de ces états de pouvoir, un pouvoir encore plus grand ; tout comme aujourd'hui, l'or, le matérialisme, régnait alors, le non-idéal, l'égoïsme, toutes les impulsions extérieures régnaient, alors comme aujourd'hui et aujourd'hui comme alors, la vie intérieure est abandonnée au profit d'une vie purement extérieure. […] Lorsque nous, nationaux-socialistes, célébrons la fête du Christ, nous avons reçu dans notre lutte l'idée très vivante que ce jour est l'anniversaire de l'homme qui a mené la lutte la plus féroce, la plus formidable, aussi longtemps qu'il a vécu, contre la violence et la corruption de cette violence que nous combattons aujourd'hui, pour qui il n'y a eu ni considération ni concession, mais pour qui le calice a été vidé jusqu'à la lie sanglante dans la conviction que la lutte est nécessaire pour le bien de l'humanité. Je sais qu'en de tels moments, beaucoup ressentent en eux-mêmes le sentiment de la nécessité de la charité, et nous aussi, nous voudrions tous garder la paix, la paix avec tous les hommes qui sont de bonne volonté. Car c'est là la seule grande limite, car Celui qui a émis le commandement n'a pas non plus connu la paix avec ceux qui n'étaient pas de bonne volonté, il n'a connu que la lutte jusqu'au bout. L'homme que l'on se plaît tant à faire passer pour un simple Prince de la Paix est pour nous le plus noble héros de guerre de tous les temps, qui a connu l'ennemi, l'a persécuté, ne lui a jamais laissé de repos, et dont le testament est l'éternel rafraîchissement de la lutte contre ces ennemis. Si certains disent qu'il n'est pas chrétien de combattre et de soumettre les autres nations, nous pouvons répondre : Nous ne voulons rien faire d'autre que ce que ce Prince de la Paix a fait : purifier le temple de notre peuple de ceux qui en ont fait un repaire de voleurs, qui en ont fait un lieu malfaisant, purifier le temple allemand de ceux qui ne veulent y faire que des affaires, qui ne connaissent aucun idéal, qui entraînent tout dans la boue, le purifier de ceux qui n'ont aucun sentiment pour tout ce qui est grand, idéal, noble. Nous voulons mener ce combat exactement comme ce Prince de la Paix nous l'a enseigné un jour. Le Christ est pour nous le combattant dont l'entrée dans le monde d'alors s'est faite en fanfare, qui a été reconnu par les ennemis de ce monde et persécuté jusqu'à la mort, haï au-delà de la mort, de sorte que près de deux millénaires n'ont pu éteindre cette haine. Le Christ est pour nous le symbole d'une foi et d'une confiance sans limites. Lorsqu'une nation entière est prostrée, regardant l'avenir avec désespoir et éternellement remplie d'abattement, nous pouvons dire qu'ils ne sont pas de vrais chrétiens. En tant que chrétiens, nous voyons la lutte géante qui a commencé il y a 2.000 ans. C'est la source de cette grande foi pour nous, que nous puissions voir qu'un idéal peut effectivement prévaloir s'il est héroïquement défendu, prêt à s'épuiser jusqu'au bout, que sans cet effort il ne peut y avoir de victoire, mais qu'il est nécessaire de s'épuiser jusqu'au bout. Si ce sens du sacrifice de Celui dont nous célébrons la naissance devenait la propriété commune d'un peuple, aucune puissance diabolique au monde ne pourrait le faire tomber. Seul notre découragement pourrait le forcer à descendre. Si nous avions une fraction de cette confiance héroïque, la puissance qui fut alors renversée ne pourrait jamais lever la tête avec autant d'audace et d'insolence pour s'imposer à nous.
Nous sommes au milieu d'une lutte héroïque qui n'en est qu'au début de son œuvre, au début de la lutte héroïque qui saisit toutes les profondeurs de l'histoire humaine, qui remonte jusqu'au passé le plus lointain, qui apporte partout une lumière qui peut rendre des millions de gens profondément satisfaits et heureux. Car ce combat nous explique en même temps le combat du Christ, notre Seigneur, il y a 2.000 ans. Son combat nous donne une perspective complètement nouvelle sur cette lutte, et nous permet d'y puiser une force immense qui peut nous fortifier pour la lutte que nous sommes obligés de mener. Pourquoi célébrons-nous la naissance de cet unique ? Si le monde restait tel qu'il est, celui-ci aurait vécu, souffert et serait mort en vain. Non, ce monde doit être changé, il doit mener là où cet individu l'a pointé. De même qu'il disait alors : Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu [‘Mt 22, 15-21’], de même nous pouvons dire aujourd'hui : Rendez au peuple ce qui est au peuple, mais ôtez à ceux à qui il ne faut rien donner, parce qu'ils ne méritent rien par leur valeur, mais que ce qu'ils possèdent a été acquis par les qualités pour lesquelles ils ont été autrefois flagellés et chassés du temple. […] Pour nous, la fête du Christ est plus qu'un simple souvenir sentimental, c'est en même temps une obligation […].
Adolf Hitler, dans son discours à Munich du 11 décembre 1928
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raisongardee · 1 year
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“Toujours en soupçon de l’armée qui pourroit lui faillir à l’instant critique, la tyrannie chercheroit un plus sûr appui dans la corruption. Aidée et poussée par ces cinq ou six dont parle La Boëtie, elle créeroit certaines classes privilégiées qui, seules investies des droits politiques, partageroient avec elle les avantages attachés au pouvoir, pouvoir absolu, puisqu’il seroit, sous quelque forme qu’il s’exerçât, dépourvu de contrôle efficace et réel. Deux ou trois cent mille individus ainsi choisis constitueroient dans la nation une autre nation, une aristocratie dominatrice organisée pour contenir le peuple et pour l’exploiter. De concert avec le despote, ils feroient seuls les lois, et les feroient à son profit et au leur. Pour eux tous les emplois, toutes les charges, toutes les commissions lucratives, le gouvernement des provinces, le maniement des deniers. Disposant du crédit et de la fortune publique, maîtres de l’administration civile et judiciaire, tout leur seroit matière à spéculation et moyen de richesse… Aussi quel dévouement à la tyrannie qui les auroit rendus communs au bien de ses pilleries ! Ils ne la croiroient jamais, ni eux avec elle, assez à l’abri de ce qui subsisteroit d’esprit de liberté dans la nation. Leur pensée du jour et de la nuit seroit de l’étouffer dans la boue de leur législation infâme, infâme par son but, infâme par la bassesse de ses ruses hypocrites.”
Félicité de Lamennais, « Préface à De la Servitude Volontaire », 1835. 
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havaforever · 1 year
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LA CONSPIRATION DU CAIRE -  Avec Boy from Heaven, qui aurait pu s'intituler Le Caire nid d'espions, Tarik Saleh passe manifestement un cap, et avec quel éclat. Le principal lieu de l'action n'est pas n'importe lequel : l'université Al-Azhar, véritable phare de l'enseignement et de la pensée de l'Islam, dont le pouvoir de fascination trouve son équivalent dans le Vatican. 
Le siège de l’élite spirituelle du pays, un endroit que le gouvernement égyptien a de tout temps chercher à noyauter, en influençant l'élection du Grand Imam. C'est précisément ce moment capital que Boy from Heaven a choisi de montrer, à travers l'itinéraire d'un novice, modeste fils de pêcheur, amené à interagir malgré lui entre les puissances religieuses et politiques. 
C’est ainsi que notre jeune étudiant en sciences islamiques, va devenir un pion important de la politique égyptienne, ce qui transforme La conspiration du Caire en un thriller politique passionnant. Si les luttes entre les différentes factions, joutes qui sont l’objet d’une mise en scène dignes de celle d’un opéra, sont particulièrement intéressantes à observer, il en est de même de la façon dont évolue Adam. Sa métamorphose se joue sous nos yeux par l’audace de ses manœuvres au milieu de ce qui s’apparente à un panier de crabe, et la transformation de sa présence à lui-même. C’est en relisant Le nom de la rose d’Umberto Eco qu’a germé chez Tarik Saleh l’idée de raconter une histoire similaire se déroulant dans un contexte musulman.
C'est un film haut de gamme, passionnant de bout en bout, impressionnant par ses images de groupe comme pour ses nombreux tête-à-tête, maîtrisant les mouvements amples aussi bien que les plans rapprochés. La Conspiration du Caire n'est pas plus anti-religieux que Habemus Papam et c'est sans doute du côté de l’État égyptien que Tarik Saleh va se faire de nouveaux nombreux ennemis, dans son pays d'origine, anti-démocratique au possible et gangrené par la corruption (le film n'a évidemment pas été tourné sur place mais tout y sonne juste, y compris l'agitation cairote). 
Rien à redire non plus sur l'interprétation impressionnante du jeune Tawfeek Barhom et du chevronné Fares Fares, d'ailleurs méconnaissable. Un film brillant en tous points, tant dans ses silences que dans sa riche dialectique.
NOTE 17/20 -  Du très bon cinéma, instructif et dépaysant, à la fois policier et sociopolitique, sans excès de didactisme. Le réalisateur de "Le Caire Confidentiel" confirme son savoir-faire, son sens du rythme et du montage, et l'humanisme de son propos.
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