Tumgik
#aimer ton prochain
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Modération numéro 16
Quand tu as déjà une bonne partie de ton énergie physique et mentale qui est volée par des symptômes de maladie….prends soin, prends conscience des autres endroits où tu mets de l’énergie physique et mentale et évalue si ça en vaut la peine, si ça a véritablement de la valeur. Tu vaux la peine d’être accommodé! Tes symptômes ou prévenir les symptômes demande que tu modifie, choisie, évite…
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lalignedujour · 9 months
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La photo d'une petite fille en fond d'écran. Une application de calendrier. Une liste de tâches avec des codes couleur. Des conversations avec des liens vers des documents sérieux.
C'est ce que je vois dans son téléphone. Je suis voiture 2 place 76 dans le Paris-Lyon. Côté fenêtre. Juste derrière lui. Ma mère m'a retiré mon téléphone à moi. Et j'en avais un peu marre de lire Le Grand Maulnes. Je le finirai chez mon père. Le paysage de novembre, j'aime bof, alors entre les sièges je regarde le téléphone du gars devant moi.
Je prends toujours le train du lundi 7h52 la deuxième semaine de chaque vacances scolaires. L'année prochaine, j'aurai le droit de le prendre tout seul, mais là, c'est encore ma mère qui m'accompagne. Elle pense que ça me rassure. Je dirais que c'est pas nécessaire, elle m'agace parfois et je préfèrerais être seul. Mais peut-être qu'en fait elle a raison. Peut-être que ça me fait du bien quand même. Aux vacances de Noël, je vais lui demander de prendre le train seul. Pour voir. Ou peut-être à celles de février.
J'ai soif et un peu envie de pisser, mais j'aime bien regarder le téléphone du gars devant. Je suis hypnotisé. Il l'utilise pas du tout comme j'utilise mon téléphone.
On arrive bientôt à Lyon. Il ferme ses applis les unes après les autres, il revient sur la photo de la petite fille trop mignonne et range son téléphone dans sa poche. Ma mère me demande de préparer mes affaires. J'aurais bien aimé une petite sœur, mais c'est mort maintenant.
Donc, là, je passe la deuxième semaine de vacances scolaires avec mon père. C'est cool. Parfois, il travaille et je peux traîner à la maison. Mais il prend quand même des congés quelques jours et on va au ciné, à la Vogue des Marrons, au KFC, à la boutique de mangas. C'est comme avec un pote, mais un pote qui aurait de l'argent et dans une ville où je connais personne. J'ai pas à faire semblant de ne plus aimer des trucs de gamins. J'adore les auto tamponneuses et les glaces. Et de toute façon je croiserai personne que je connais.
Ensuite, il me raccompagne à la Gare de Lyon, ma mère vient me chercher et on rentre à Ivry. En français, on étudie Le Grand Maulnes. Je progresse un peu à PES. J'ai enfin la moyenne en maths. Je fais mon premier vol au Carrefour Market en face du lycée. Et les vacances de Noël arrivent vite. Alors, je reprends le train. Seul cette fois.
On arrive super en avance. Le quai est indiqué juste 20 minutes avant, mais nous on sait que c'est la voie 23, on a l'habitude. Et en fait, non, ça a changé, c'est la voie A, dans le Hall 1. On y va en courant, ma mère est super stressée, il y a plein de monde. Elle me fait beaucoup de bisous devant tout le monde et me répète des trucs style t'as ton chargeur dans ta poche extérieure, oublie pas de descendre à Lyon, garde ton sac près de toi on sait jamais, et tu m'appelles quand tu veux. Je monte dans le train, mais je pars du mauvais côté, c'est la mauvaise voiture, je m'en rends compte tard et je dois me refaire une bonne partie du train dans l'autre sens alors qu'il part déjà.
Et c'est là que je le vois. Le mec de la dernière fois. Dans le carré famille. Il a un peu changé de tête. Je le reconnais à son téléphone posé sur la tablette devant lui. Je reconnais la petite fille. La même photo que la dernière fois. La même photo, mais en noir et blanc.
J'ai connu Jed.
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browneyes242 · 1 year
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Que signifie l’amour pour toi?
Pour moi , l’amour signifie avant toute chose la loyauté envers l’autre mais surtout avec ce qu’on a avec l’autre.
T’aimer signifie que tu es ma personne préférée sur cette terre,
T’aimer signifie qu’en toi je place toute ma confiance, je sais de quoi tu es capable, je suis là pour toi.
T’aimer signifie qu’il y’a un monde où nous ne sommes que deux, où ce que les autres disent ou pensent à peu d’importance,
T’aimer signifie que dans mes prochaines vies je te choisirai toujours,
T’aimer signifie qu’avec toi je n’ai pas besoin de prétendre être différente de qui je suis, je n ai pas à sourire, parler, agir quand je n’en ai pas envie ou même la force.
T’aimer signifie qu’avec toi je vois un avenir , une vie de famille.
T’aimer signifie que dans ton regard je peux lire notre avenir…
Dis moi que signifie aimer pour toi?
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marie-swriting · 9 months
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Magnifique - Derek Morgan
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Résumé : Tu as du mal à aimer ton corps.
Warnings : problème lié à l'image de soi (⚠️s'il vous plaît, ne lisez pas, si c'est un sujet sensible pour vous), Trouble du Comportement Alimentaire sous-entendu (⚠️s'il vous plaît, ne lisez pas, si c'est un sujet sensible pour vous), angst, hurt/comfort, whump, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.3k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Body par Julia Michaels
Dans une cabine d’essayage, tu regardes le reflet de ton corps dans une robe rouge. Tu te regardes sous toutes les coutures et tu vois seulement les défauts. Pour toi, la robe ne flatte pas ta silhouette alors que Derek t’a assuré que ça serait le cas. Tu n’aimes pas le décolleté, il ne met pas ta poitrine en valeur. Tu n'aimes pas la façon dont ton ventre est visible à travers le tissu. Et enfin, tu n’aimes pas la façon dont on peut voir tes jambes à cause de la petite taille de la robe. Tu tires un peu sur le bas de la robe, espérant la rendre plus longue alors qu’une remarque d’un ex résonne dans ta tête. Tu continues à examiner chaque centimètre de ton corps dans le miroir jusqu’à ce que te tordre. Tu finis par soupirer, comprenant que ton corps n’est pas fait pour cette robe. Tu as l’impression que ton corps n’est pas fait pour beaucoup de vêtements et ça a le don de te faire souffrir. 
-Tu es prête, mon ange ? questionne Derek, à l’extérieur de la cabine.
-Euh, oui. 
Avec appréhension, tu ouvres le rideau et Derek ne dit rien pendant une seconde, te regardant de haut en bas. Son silence te rend un peu plus nerveuse et te convainc que tu devrais enlever cette robe tout de suite. 
-Tu es magnifique, Y/N, complimente-t-il avec un sourire.
-Je ne trouve pas, secoues-tu la tête en regardant à nouveau ton reflet. 
-Tu rigoles ? Tu es super belle.
-Je ne sais pas. Regarde mon ventre ! t’exclames-tu en montrant la partie de ton corps. Et la robe ne met pas mes jambes en valeur non plus. Et puis, je la trouve courte. 
-Elle est à peine à mi-cuisse. Et elle te va parfaitement bien.
-Je ne sais pas… 
Comme pour te rassurer, Derek pose ses mains sur tes épaules et embrasse ton front.
-Je te promets que tu es incroyable dans cette robe, t’assure-t-il et tu forces un sourire. Tu devrais la prendre et si vraiment tu trouves qu’elle ne te plait pas, tu peux toujours la changer. Allez, je te l’offre, annonce Derek, content.
-Derek, tu n’as pas…
-Ha, ha…, t’interrompt-il en bougeant son index de gauche à droite. Je te l’offre, ça fera pour notre restaurant de la semaine prochaine. Et puis, on a pas pu être souvent ensemble ces derniers temps, je te dois bien ça.
-Tu sais que tu n’as pas à te faire pardonner pour ton travail, affirmes-tu en prenant sa main.
-Alors, vois ça comme un cadeau parce que je t’aime. Tu veux essayer autre chose ?
-Non, déclares-tu sans perdre une seconde. Je vais me changer.
Tu refermes le rideau et commences à te déshabiller sans trop t’attarder sur ton reflet. Quand tu as fini, tu sors de la cabine et vois une femme légèrement plus jeune que toi dans la même robe. Malgré toi, tu penses qu’elle lui va mieux. La robe épouse parfaitement ces courbes et tu trouves la femme magnifique. En la regardant, tu te dis que tu aimerais être comme elle. 
Après avoir payé la robe, vous retournez dans ton appartement. Tout le chemin, tu restes silencieuse, perdue dans tes pensées nourries par les différentes remarques que tu as pu entendre au cours de ta vie. Derek remarque ton mutisme tout de suite. Il ne te questionne pas, sachant que tu risques de te braquer. Malgré le fait que vous êtes ensemble depuis un an, tu as encore du mal à venir vers lui quand tu en as besoin. C’est une des choses sur laquelle vous travaillez. Tu fais des efforts depuis votre rencontre, mais parfois, tu continues à t’isoler.
Quand vous arrivez chez toi, tu poses tes affaires avant d’informer que tu souhaites être dans une tenue plus confortable. Derek s’installe sur ton lit pendant que tu te changes. 
Dans ta salle de bain, tu regardes ton reflet alors que tu es en sous-vêtements. Quand tu sens tes pensées négatives devenir un peu plus fortes, tu tournes le dos à ton miroir et continues de te changer. Même pour enlever ton maquillage, tu ne te regardes pas. 
Une fois finie, tu t’allonges à côté de Derek. Instantanément, il te prend dans ses bras avant d’embrasser le haut de ton crâne.
-Tout va bien ?
-Oui. Je suis juste un peu fatiguée, mens-tu en écoutant les battements de son coeur. 
-Tu es sûre ?
-Promis, affirmes-tu en l’embrassant chastement. Tu peux dormir ici ce soir ? J’aimerais rester dans tes bras.
-Bien sûr.
Ta demande est tout ce dont Derek a besoin pour savoir que tu ne vas pas bien. Derek a beau encore ignorer la raison, ce n'est qu'une question de temps avant qu'il la trouve. Il te connait assez bien pour savoir la façon dont tu agis quand tu ne vas pas bien sans que tu aies besoin de prononcer un mot. Toutefois, à cet instant, il préfère te serrer un peu plus contre lui, voulant t’apporter le réconfort dont tu as secrètement besoin.
Tu pensais que dans quelques jours, tu irais mieux. Tu as souvent des phases où tu détestes ton corps plus que d’habitude, mais celle-ci est tenace. Tu n’es à l’aise dans aucun de tes vêtements, tu te sens moche et tu n’arrives pas à apprécier ce que tu manges. Tout est horrible et tu veux juste te morfondre dans ton lit et ne plus jamais sortir. 
Malheureusement pour toi, tu dois aller à ton rendez-vous avec Derek. Avec le peu de force que tu as, tu arrives à sortir de ton lit. 
Après avoir pris une douche, tu ouvres ton placard. Tu fais défiler les différents vêtements, sans grande volonté. Quand tu tombes sur la robe que Derek t’a offerte, tu hésites entre la porter ou la brûler. Tu sais que ça lui ferait plaisir de te voir avec, mais tu n’es toujours pas convaincue. À contrecoeur, tu prends le cintre avant d’enfiler la robe, espérant que cette fois, tu vois ce que Derek a vu. 
Tu ajustes la robe comme il faut et tu te regardes dans le miroir de ta chambre. Tu as toujours la même vision : seulement des défauts. En continuant à examiner ton reflet, tes yeux se remplissent de larmes alors que dans ta tête, les phrases telles que  : “tu n’es pas belle”, “tu ressembles à rien” et autre horreur ne cessent de tourner. 
Les larmes te montent de plus en plus aux yeux et tu te refuses de pleurer. Tu ne peux pas craquer ce soir. Tu dois passer la soirée avec Derek. Tes démons doivent attendre un peu plus longtemps. Tu prends de profondes inspirations et quand tu es sûre que tu n’es plus sur le point de pleurer, tu prends ton maquillage. Tu as espoir qu’embellir ton visage t’aidera. Peut-être que ça peut rattraper ta tenue. De plus, le fait de te pomponner t’aide parfois à te sentir un peu mieux - même si ce n’est pas une solution miracle. Cependant, cette fois, ton humeur s’empire. Les cernes sous tes yeux se moquent de toi alors que tu essayes de les couvrir et les quelques boutons sur ton visage n’arrangent pas la situation.
Tu essayes de camoufler tes défauts un maximum en te disant que ceux-là, tu peux t’en débarrasser pendant au moins quelques heures. Quand tu es plus ou moins satisfaite du résultat, tu retournes vers ton miroir pour vérifier que tu es à peu près présentable. 
Malgré ton maquillage, tu ne trouves pas mieux. Ta robe est toujours ridicule et tu as beau essayer de rajouter des accessoires, tu ne te trouves toujours pas belle. Agacée, tu finis par enlever la robe et tu retournes dans ton placard. Tu es dans la même situation qu’au début.
En regardant à nouveau tes robes, tu réalises qu’il n’y a pas ta robe blanche. C’est une robe simpliste mais dans laquelle tu te sens à l’aise. Tu as une idée d’où elle pourrait être alors tu vas dans ta buanderie, en te maudissant. Quand tu découvres que ta robe est bien dans la machine qui est en train de tourner, tu t’assoies par terre en étouffant un cri. Tu n’as plus de solution de repli et il est hors de question que tu mettes ta nouvelle robe. Te sentant dans une impasse, tes larmes reviennent tout aussitôt. Cette fois, tu n’as pas la force de les retenir. Elles coulent librement sur tes joues, ruinant ton maquillage par la même occasion. Tu pleures pendant une dizaine de minutes, tu n’oses même pas imaginer ce à quoi tu dois ressembler. Quand tu es un peu plus calme, même si quelques larmes continuent de couler, tu retournes dans ta chambre et prends ton téléphone.
Message de toi à Derek, 18h58 : 
Je viens d’avoir mes règles, je ne me sens pas d’aller au restaurant. Ça te dérange si on annule ?
Message de Derek à toi, 18h59 : 
Pas de soucis. Tu as besoin que je t’apporte quelque chose ? Je peux rester avec toi, si tu veux. 
Message de toi à Derek, 19h01 : 
Pas besoin. J’ai tout ce qu’il faut. Désolée de t’avoir prévenu à la dernière minute.
Message de Derek à toi, 19h02 : 
Ne t’excuse pas, repose toi. Je t’aime ❤️
Tu réponds à son “je t’aime” avant de poser ton téléphone sur ta table de nuit. Tu enfiles rapidement un jogging et ton sweat préféré puis, tu quittes ta chambre. 
Dans ta cuisine, tu prends plusieurs snacks et tu t’installes dans ton salon. Tu lances la première série que Netflix te propose. Tu regardes les épisodes sans y prêter attention pendant que tu manges des chips. Sans surprise, tu as l’impression de t’enfoncer un peu plus dans ta spirale. Tu pourrais être dans un restaurant chic avec ton petit ami et tu es dans ton salon en sweat à grignoter. 
La culpabilité te ronge quand tu penses à Derek. Tu t’en veux de lui avoir menti, surtout quand il fait autant attention à toi, mais tu n’as pas la force morale de quitter ton appartement. 
Tu finis par fondre en larmes à nouveau, détestant la phase dans laquelle tu es. Tu te sens somber et au lieu d’essayer de remonter à la surface, tu te laisses couler dans ce sentiment de vide. 
Trois semaines plus tard, tu es toujours misérable et tu n’as toujours pas osé en parler à Derek. Une partie de toi aimerait lui parler de tout ce que tu ressens et une autre veut pouvoir réussir à t’en sortir sans son aide. Tu peux le faire, tu y arrivais bien avant de le rencontrer. Tu peux le refaire. Par conséquent, quand Derek rentre d’une enquête, tu fais tout ton possible pour ne pas montrer ton mal être. Tu sais que c’est un jeu compliqué, ses capacités de profiler vont te battre en un rien de temps, mais tu ne veux pas l’embarraser avec tes démons. 
Bien évidemment, Derek sait ce qu’il se passe. Ses sens sont en alerte depuis l’achat de la robe et il n’a pas besoin d’être un profiler pour savoir que tu ne vas pas bien. Il te connait par coeur. Il attend juste le bon moment pour t’en parler, malheureusement avec son travail, ce moment a été repoussé plusieurs fois. 
Cependant, ce soir-là, il est décidé : il va te parler. Il ne peut pas continuer à rester silencieux en sachant très bien que tu n’es pas près de venir vers lui. Avant de t’inviter à te confier à lui, il veut te mettre à l’aise en te proposant une sortie agréable. Il a prévu un cinéma puis un repas à emporter chez toi. Il préfère finir la soirée chez toi, voulant s’assurer que tu sois dans un environnement où tu te sens bien.
Quand Derek arrive chez toi, tu es en train de finir ton maquillage. Il te lance un compliment que tu ne prends pas au sérieux. Il te regarde te préparer depuis ton lit. Il voit tes mouvements hésitants quand tu regardes avec plus d’attention ton reflet. Enfin, ton silence lui donne un indice en plus. En temps normal, vous n’arrêtez pas de discuter, surtout quand vous n’avez pas pu vous voir pendant plus d’une semaine à cause d’une enquête. 
Tu ouvres ton placard et commences à faire défiler les vêtements. Quand tu ne t’es toujours pas décidée cinq minutes plus tard, Derek se lève et te rejoint. 
-Pourquoi tu ne mets pas la robe rouge ? demande-t-il en pointant le vêtement en question. 
-C’est pas un peu trop habillé pour un cinéma ? 
-Pas forcément. 
-Je pensais mettre ma robe blanche, dévoiles-tu en la prenant.
-Mon ange, tu es magnifique dans cette robe, mais tu la mets souvent. Tu as plein de vêtements qui te vont très bien. Tu devrais changer.  
Tu pèses rapidement le pour et le contre, te rappelant très bien de ta réaction la dernière fois que tu as voulu mettre ta nouvelle robe. Finalement, tu forces un sourire et la prends.
-C’est vrai. Je vais mettre la rouge. 
Au même moment où tu es sur le point de te changer, le téléphone de Derek sonne. Il sort de ta chambre pour aller le chercher dans l’entrée. Pendant ce temps, tu sors la robe du cintre et tu l’enfiles. Tu lisses ta robe de tes mains puis, tu jetes un coup d'œil au miroir. Instantanément, les larmes te montent de nouveau aux yeux.
Contrairement à la dernière fois, tu te retiens de pleurer. Derek est juste dans la pièce à côté, il ne peut pas te voir dans cet état. Toutefois, tu n’as pas le temps de calmer tes émotions que Derek revient dans ta chambre. En te voyant pleurer, Derek te prend tout de suite dans ses bras. Tu sanglotes pendant plusieurs minutes alors que Derek caresse ton dos, espérant calmer tes pleurs. Quand il juge que tu es apte à parler, il pose ses mains de part et d’autre de ton visage pour pouvoir te regarder.
-Parle-moi. Qu’est-ce qui ne va pas ?
-Je…, bégayes-tu avant de secouer la tête, c’est ridicule.
-Tu sais très bien que si ça te met dans cet état, ce n’est pas ridicule. Parle-moi, répète Derek sur un ton doux et tu pousses un soupir. 
-C’est juste que je n’aime pas ma tenue. Je t’ai dit, c’est ridicule de pleurer pour ça, te lamentes-tu en le voyant froncer les sourcils. Je n’arrive pas à me sentir bien cette robe hideuse. Je me trouve moche dans cette robe, avoues-tu en évitant ses yeux.
-Pourquoi tu parles de toi comme ça ?
-Je ne sais pas. J’arrive juste pas à me sentir bien dans cette robe, répètes-tu d’une voix plus faible. Je ne comprends pas comment tu peux me trouver belle avec. 
-Ce n’est pas qu’à propos de la robe, n’est-ce pas ? s’enquiert-il, connaissant la réponse.
-Ma relation avec mon corps a toujours été compliquée, tu le sais, mais ces derniers temps, je me sens vraiment comme une merde, confesses-tu, tes lèvres tremblant. Je ne me sens pas bien dans mon corps, aucun de mes vêtements ne me va, je peux à peine me regarder dans le miroir et je me sens moche. 
Au fil de tes phrases, ta respiration devient de plus en plus saccadée. Derek essuie les quelques larmes qui ont coulé sur tes joues. Tu n’avais même pas senti que tu avais commencé à pleurer. Derek est sur le point de te répondre quand tu le devances : 
-Je sais que tu vas me dire le contraire, que tu vas me dire que tout ça, c’est dans ma tête, mais je ne peux m’en empêcher. Je te jure que j’aimerais me regarder dans le miroir et dire que je suis belle comme tu le fais, mais je ne vois pas ce que tu vois. Je veux aimer mon corps comme toi tu l’aimes, je te jure, je veux réellement m’aimer, mais ça semble impossible. Je ne peux pas penser une chose positive sur moi, murmures-tu, ta voix se brisant. À chaque fois que je pense que je vais un peu mieux, je me rappelle de toutes les remarques qu’on a pu me faire, que ce soit des exs, des amis ou même ma famille, et c’est retour à la case départ, informes-tu en tentant de sécher tes larmes, en vain. Et peu importe le nombre de fois où tu me complimentes, j’arrive pas à te croire. Je sais que tu es sincère, mais je n’y arrive pas. J’ai juste l’impression que tous les mots que tu me dis sont des mensonges pour essayer de me faire sentir mieux. Ce n’est pas la vérité, et d’une certaine façon, j’en suis consciente, c’est juste plus fort que moi. J’ai l’impression que je suis vouée à toujours détester mon corps et…, continues-tu en prenant une grande inspiration, ça me fait peur. Je ne veux pas continuer à ressentir tout ça. Je ne sais pas quoi faire.
Les gestes étant plus forts que les mots, Derek te serre de nouveau contre lui. Ce n’est pas la première fois que tu fonds en larmes devant lui, cela n’empêche pas que son cœur se fend en t’écoutant déverser tout ton mal être. Tu caches ton visage dans le creux de son cou, te sentant honteuse d’être aussi vulnérable.
-Je suis désolée, on est en retard pour le film à cause de moi, articules-tu contre son torse. 
-On peut toujours aller le voir un autre jour. Ce n’est pas grave, t’assure Derek en embrassant ton crâne.
-Le fait est que ce n'est pas la soirée que tu avais en tête. Désolée. 
-Tu n’as pas à t’excuser parce que tu ne te sens pas bien.
- Je sais, mais c’est la deuxième fois qu’on annule nos plans à cause de moi. 
-Tu parles du restau ? Tu avais tes règles, ce n'est pas de ta faute.
Suite à la phrase de Derek, la culpabilité vient s’ajouter à tes autres émotions. Tu te sépares de lui et tu poses ton regard sur tes mains, jouant avec tes ongles nerveusement. 
-Je t’ai menti, en fait. J’avais mis cette robe pour te faire plaisir et j’ai fini dans le même état. J’ai préféré annuler plutôt que te parler. Je suis désolée, je t’avais promis que je ferais des efforts, dis-tu en relevant les yeux sur lui. J’ai juste tellement peur d’être un fardeau pour toi. Je ne veux pas que tu te lasses de moi parce que je ne vais pas bien mentalement. Je sais toujours pas comment j’ai fait pour t’avoir et je ne veux pas te perdre à cause de ça. Et puis, je veux pouvoir me débrouiller seule… Enfin, on voit comment ça marche ! t’exclames-tu en roulant des yeux. Je comprendrais si tu voulais partir.
-Hey, je ne vais pas te laisser alors que tu as besoin de moi, affirme Derek en posant une main sur ta joue. Écoute, je ne peux pas imaginer tout ce que tu ressens, mais je resterai toujours à tes côtés, surtout quand ça va mal. Et s’il faut que je te répète chaque seconde que tu es magnifique jusqu’à ce que tu me croies, je le ferai. Toutefois, je pense que ça pourrait t’aider si tu en parlais avec un professionnel. 
-Probablement, finis-tu par concéder. Tu m’accompagnerais ? Au moins à la première séance, j’aurai besoin de soutien.
-Avec plaisir. Je viendrai avec toi à autant de séances que tu veux, accepte Derek avec un sourire réconfortant. 
Tu es consciente de tout le chemin qu’il te reste à faire avant de pouvoir t’aimer, mais tu as réussi à faire le premier pas. 
Pour la première fois depuis plusieurs semaines, tu lâches un soupir de soulagement. Tu embrasses chastement Derek puis, tu t’appuyes à nouveau contre son corps, ses bras te protégeant de tes démons.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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La névrose obsessionnelle est classiquement considérée comme une fixation au stade sadique-anale. Ce n'est qu'au regard du déploiement du langage que cette sommaire définition peut être entendue. À ce stade-là le sujet est confronté à la demande DE l'Autre, ce qui constitue un progrès de la chaîne signifiante par rapport à la demande À l'Autre qui constitue le cœur du stade dit oral.
youtube
C'est bien avec ce DE — et toute l'ambiguïté, si ce n'est l'ambivalence, qu'il contient — que le sujet a à se débrouiller. La logique sadique-anale (qui ne concerne pas seulement le névrosé obsessionnel, loin s'en faut) est essentiellement une défense contre ce DE qui est le point faisant basculer le sujet de la demande au désir. Ce qui ne va pas sans angoisse, ni culpabilité puisque le désir est toujours désir DE l'Autre.
Ainsi peut-être peut-on entendre l'agressivité que contient ce terme si souvent oublié de sadique dans le stade sadique-anale. L'agressivité peut alors être comprise comme une tentative de réduire et de maintenir le lien à l'Autre dans le registre Imaginaire où prévalent notamment la rivalité, l'envie et la jalousie. Dans la cure, cette agressivité est souvent contenue par l'analysant dont les plaintes indiquent qu'elle lui fait retour de l'extérieur (des autres) mais peut aussi s'exprimer par son contraire, par exemple, sous forme de cadeaux faits à l'analyste. En faisant ce cadeau à l'analyste, l'analysant prend son analyste pour quelqu'un et se situe dans le registre du signe. Cela représente une tentative de déloger l'analyste de la place d'objet (a) qu'il est censé occuper. C'est tout l'enjeu mais aussi l'échec de la logique obsessionnelle que de chercher le signe sous le signifiant et s'imaginer ainsi pouvoir se débarrasser de l'equivocité, soit du désir. Telle est la dialectique entre demande de mort (vœu de mort) et mort de la demande (de l'Autre).
Ce n'est seulement dans cette demande de mort que le commandement 《 aimer ton prochain comme toi-même 》, c'est-à-dire comme tu es (tu hais, tuer ...) peut s'entendre comme une préfiguration de la maxime freudienne :
Wo Es War soll Ich werden
(Rudy Goubet Bodart)
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delphine10 · 9 months
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Il faut surtout pas aimer ton prochain comme toi-même, il est peut-être quand même un type bien.
Adieu Gary Cooper - Romain Gary
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kabbal · 1 year
Note
Prête ? 1, 3, 4 (for Rubrum), 7, 12, 23, 29 (pour ta GotG AU), 32, 41, et 49? :3
mais what belphe tant de questiooooons
1. What fic of yours would you recommend to someone who had never read any of your work? (In other words, what do you think is the best introduction to your fics?)
Question compliquée, parce que j'ai écris sur une chiée de fandoms. Pour mes fics Kaamelott, qui représentent un peu moins de la moitié de mes fics actuelles, je dirai qu'un bon point de départ est Figures Troubles parce que ça représente bien ma prose et mon style d'étude de personnages.
Pour mon fandom actuel (Call of Duty), The House of Denial est le point de départ de beaucoup de headcanons/réflexions sur cet univers.
3. What are some tropes or details that you think are very characteristic of your fics?
Un certain ton doux-amer, avec des gens qui essaient d'être heureux et y arrivent plus ou moins bien selon les cas. Aussi j
J'adore également explorer le thème de la reconstruction, et également celui du désir (celui-là peut être aussi comique que angsty)
4. What detail in Rubrum are you really proud of?
à par le fait que c'est une des longfics que j'ai réussi à finir? voyons voir..... j'aime bien la tension romantique que j'y ai mis. C'est qualitatif, ça hohoho
7. Any worldbuilding you’re particularly proud of?
Ma fic What a bunch of A-holes a plein de petits détails de worldbuilding que je me permet de rajouter sans trop me soucier de si c'est dans le wiki du mcu ou non. ça nous donne la spécialité culinaire de Xandar aka la pomme de mer.
12. Are there any tropes you used to dislike but have grown on you?
Pas vraiment. Je suis du genre à garder mes détestations assez longtemps. Il y a eu des choses que j'ai appris à aimer mais c'était toujours des choses que je ne connaissais soit pas, soit sur lesquelles j'étais neutre.
23. What’s a trope, AU, or concept you’ve never written, but would like to?
Un jour je vais écrire de l'omegaverse et vous serez pas prêts lol
29. What songs would be (or are) on a playlist for the gotg au? Explain your choices if you want!
Réponse facile: si c'est dans la BO des films, c'est dans la fic. Celle du chapitre prochain (que j'ai toujours pas commencé à écrire honte à moi) est Hooked on a Feeling!
32. What’s your ideal fic length to read?
Entre 3 et 10k. Assez pour avoir de quoi se mettre sous la dent, mais pas trop long non plus.
41. Link a fic that made you think, “Wow, I want to write like that.”
Tu m'as envoyée chercher dans mes favoris sur ffnet tu te rends compte
Anyway je vous mets Comédie de la soif de Kandai qui a fondamentalement changé la manière dont j'écrivais quand je l'ai lue 15 ans. Sachez que je dois tout à cette autrice hvjvjvjvvkfxx
49. What are you currently working on? Share a few lines if you’re up for it!
Un gros machin sur un personnage de Call of Duty qui quitte l'armée (énorme AU ici attention) et tente de vivre du mieux qu'il peut dans sa maison en Ecosse. Voilà un paragraphe pas encore publié en exclu:
"Even Johnny had asked. Plenty of times, in fact. Teasing and coy over the comms, pleading in bed, soft and casual on leave. But Johnny’s the outlier in every aspect of Simon’s life ‒ when he’s the one asking, there’s none of the unease and nausea that grips his throat at the idea of ripping himself open. It still feels like exposing a wound, puffy pink flesh laid ripe for the tearing, but some part of him can accept the risk, when it’s Johnny watching him. Maybe it’s because he’s in love with him ‒ or maybe it’s the other way around. Maybe he fell in love because he trusted Johnny first."
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janelher · 2 years
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« Rien et tous »
Je ne sais plus où je suis,
Entre des mains qui caressent ma voix,
En soulignant mes fossettes inégales,
Ni si mon sourire se met à rire,
Sous un front qui bouge,
Je ne sais plus si tu perds...
Oh, qui je suis ?
Rien et tous,
Rien et tous.
Je suis toujours perdue,
Au creux de l’épaule sur laquelle je m’épanche,
Et si tout s’éteint,
Je penche, je cogne,
Je gagne;
C’est plus sûr de ne pas aimer,
Alors je fane...
Oh, qui je suis ?
Rien et tous.
Si j’ai été tout pour toi,
Ressens cette décharge qui lorgne
Sur mes yeux qui tempêtent,
Qui électrise les regrets
Et répète que le chemin n’est plus long,
Que la fin sera nette...
J’étais un orage sans courant;
Tremblante, ma tête entre tes mains,
La peur illusoire, mais bien placée en éventail,
Je tremblais de névroses;
Je ne suis plus qui tu crois,
Lorsque feint de s’asseoir ton sourire,
Sur mon bras qui passe,
Et se repose.
Oui j’oubliais de manger,
De répondre au téléphone,
Parfois de respirer,
J’oubliais jusqu’à ton regard sur moi,
Et c’est déjà l’automne...
Mes gestes quotidiens s’agrippent à la vie,
J’attends que passent
Les cris;
Le réel s’envole,
Là où tu marches sans moi,
Cette flamme s’embrasera mieux
Quand la prochaine t’embrassera
J’avais peur du bien,
En pleurs face à la peur du beau,
J’avais peur du mieux
Et de revivre ça;
J’avais peur que tu sois là,
Bien plus que tu t’excuses en me quittant,
Sublime,
Tôt ou tard;
Je crains plus un avion qu’un oiseau:
Les moteurs s’éteignent,
Mais les volatiles battent des ailes
Même sans espoir,
Oh, qui je suis ?
Rien et tous,
Rien et tous.
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lambourngb · 2 years
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Saw one of your last reblog soo really hope this get translated right but must admit this get easier when you dont have to check for translation mistakes before commenting 👀
J'ai vraiment hâte de lire ta prochaine histoire sache le, je vérifie régulièrement si tu n'as pas posté d'autres extraits et je relis très souvent tes anciennes histoires
Je pense que No Hard Love est sûrement une de mes fanfic préférées. J'ai adoré découvrir ce qui aurait pu ce passé si Alex n'était jamais devenu militaire et bizarrement c'était le seul univers où j'ai trouvé qu'une relation entre Kyle et Michael avait du sens bien que temporaire. La dynamique Alex/Michael/Kyle était très drôle.
Et enfin j'ai tendance à ne pas aimer Echo pour tout un tas de raisons donc c'était rafraîchissant d'avoir un aperçu où ils se sont pas endgame.
Bon courage pour le reste de ton écriture, je serai très certainement une des premièr(e)s à lire et j'ai hâte.
Et surtout je t'envoie beaucoup d'ondes positives à très bientôt🥰
Nonny I'm crying, thank you so much! Your favorite story is one of my fondest ones, I call it my little stepchild of a story, because despite the length, it has a low kudo number compared to the rest of the stories I've written. My third longest story, even! I don't know if I posted it at the wrong time, or what, but eh, I love it extra hard for how much it tries and for what I had attempted to do.
It's technically my first real canon-divergent AU that tackles backstory, instead of say, the cliffhanger of season 1 (LYW), season 2 (in sickness), and season 3 (appetite for destruction).
Thank you though, I really wanted to explore some of the outcomes of "what if Alex didn't leave after high school" and to show that the relationship stressors would still exist with Michael, that physical presence certainly means something, but complete honesty is what matters, and Michael at 17-18 was still in agreement with Max & Isobel about NEVER telling anyone they were aliens. They were still headed for a separation in my opinion (and a reconciliation because they are cosmic).
Writing the Kyle/Michael parts of that story was so much fun -- first of all, Michael was in a better place to be in a "friends with benefits" deal since he had a background of being out with Alex for a couple of years, and I thought, the banter would be perfect with Kyle! Mr. "Use Me" Valenti. It also made me laugh to write Alex as being jealous, I have no idea why I'm so into Alex being the possessive one in Malex, but I am (It doesn't work for me when it's Michael)
Anyway, thank you so much for sharing this with me, in your own language, it really means a lot and it completely made my day.
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unepeauquibrille · 2 years
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J ai hâte d’aimer le prochain mec
Honnêtement c’est la gêne
Quand je te fixe sans raison
Que je sois si timide
Je détourne l attention
A ce que je fais
Et j imagine ton reflet
Du bout de mes yeux
Tu l as remarqué je te veux
Je devrais te laisser tranquille
C’est vraiment moi l imbécile
Qui si facile à séduire
Mais difficile à fuir
Je te suis du regard
Même dans le noir
J aimerais pouvoir te voir
Mais tout m est possible
qu’en pensée
Je parais docile
Mais je ne me laisse pas aimer
Bref je voulais dire qu avant que t es capté
Que je commençais à te kiffer
J’ aimais beaucoup notre amitié
Mais rapidement je te vois t éloigner
Comme si c’est moi qui t ai rejeter
Moi j essayais simplement de m habituer
À réajuster l idée de notre connection
À une simple amitié
Mais maintenant tu ne me parles pas
M ignore
Du coup moi aussi
On peut pas être seule
Pourquoi , d accord
Si tu ne veux pas
J en ai plus envie
Je ne force pas
C’est un principe
J ai le tournis
Même assise
De tourner en bourrique
Quel constat bordélique
Un autre amant qui refuse ma réplique
Qu on m oublie,
Aux silences timides
Où je cogite
Qu’on m efface,
Je dois être en désillusion
De l apparence de mon visage
Ou ma personnalité est un dégât
Auquel je ne peux faire face
Dernier couplet
Se doit d’être complet
Et donc cette fille hier
Une meilleure version
De ce que je pourrais être
Cette fille
Je la hais
Mais je la respecte
C’est ce genre de fille
Qui finit avec un mec
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christophe76460 · 2 days
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NOTRE FORCE EST DANS LA PRESENCE DE DIEU
Psaume 100 : 2-5 Servez l’Eternel avec joie, venez avec allégresse en Sa présence ! Sachez que l’Eternel est Dieu ! C’est LUI qui nous a faits, et nous lui appartenons ; nous sommes son peuple, et le troupeau de son pâturage.
Entrez dans ses portes avec des louanges, dans ses parvis avec des cantiques ! Célébrez et bénissez Son nom ! Car l’Eternel est bon ; Sa bonté dure toujours, et sa fidélité de génération en génération.
Chaque matin en te regardant dans le miroir, bénis Dieu pour ce que tu es, car c’est Dieu qui t’a fait ! Jésus nous a demandé « d’aimer notre prochain comme nous-mêmes !
» Si tu ne t’aimes pas toi-même, tu commets deux fautes importantes : c’est Dieu qui t’a créé et Dieu sait ce qu’il fait !
Comment pourras-tu aimer ton prochain, si tu ne t’aimes pas toi-même ? C’est un enfant qui a eu cette bonne réflexion : «
Ce qui est petit est gentil, ce qui est grand est charmant ! » Soyons contents d’être ce que nous sommes et rendons grâces à Dieu.
Que je sache, Dieu n’a jamais fait de « raté » bien que nous soyons tous différents les uns des autres ; et Dieu nous aime tellement, tels que nous sommes, qu’il est venu habiter nos cœurs et IL nous recevra dans Son ciel de gloire.
Servons-le avec joie et bénissons Dieu, chaque jour à cause de Sa bonté de nous avoir créés tels que nous sommes ! C’est ainsi que vous vivrez heureux !
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Ésaïe 38.16 Seigneur, c'est par tes bontés qu'on jouit de la vie, C'est par elles que je respire encore; Tu me rétablis, tu me rends à la vie.
Hébreux13.5 car Dieu lui-même a dit: Je ne te délaisserai point, et je ne t'abandonnerai point.
www.pasteurdaniel.com
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yes-bernie-stuff · 2 days
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Jacques 2
Condamnation du favoritisme
1 Mes frères, que votre foi en notre glorieux Seigneur Jésus-Christ soit exempte de tout favoritisme. 2 Supposez, en effet, qu’il entre dans votre assemblée un homme avec un anneau d’or et un habit magnifique, et qu’il y entre aussi un pauvre misérablement vêtu ; 3 si, tournant vos regards vers celui qui porte l’habit magnifique, vous lui dites : Toi, assieds-toi ici à cette place d’honneur ! et si vous dites au pauvre : Toi, tiens-toi là debout ! ou bien : Assieds-toi au-dessous de mon marchepied ! 4 ne faites-vous pas en vous-mêmes une distinction, et n’êtes-vous pas des juges aux pensées mauvaises ? 5 Ecoutez, mes frères bien-aimés : Dieu n’a-t-il pas choisi les pauvres aux yeux du monde, pour qu’ils soient riches en la foi, et héritiers du royaume qu’il a promis à ceux qui l’aiment ? 6 Et vous, vous avilissez le pauvre ! N’est-ce pas les riches qui vous oppriment et qui vous traînent devant les tribunaux ? 7 N’est-ce pas eux qui outragent le beau nom que vous portez ? 8 Si vous accomplissez la loi royale, selon l’Écriture : Tu aimeras ton prochain comme toi-même, vous faites bien. 9 Mais si vous faites du favoritisme, vous commettez un péché, vous êtes condamnés par la loi comme des transgresseurs. 10 Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. 11 En effet, celui qui a dit : Tu ne commettras point d’adultère, a dit aussi : Tu ne tueras point. Or, si tu ne commets point d’adultère, mais que tu commettes un meurtre, tu deviens transgresseur de la loi. 12 Parlez et agissez comme devant être jugés par une loi de liberté, 13 car le jugement est sans miséricorde pour qui n’a pas fait miséricorde. La miséricorde triomphe du jugement.
Deutéronome 10:12-22
12 Maintenant, Israël, que demande de toi l'Éternel, ton Dieu, si ce n'est que tu craignes l'Éternel, ton Dieu, afin de marcher dans toutes ses voies, d'aimer et de servir l'Éternel, ton Dieu, de tout ton coeur et de toute ton âme;
13 si ce n'est que tu observes les commandements de l'Éternel et ses lois que je te prescris aujourd'hui, afin que tu sois heureux?
14 Voici, à l'Éternel, ton Dieu, appartiennent les cieux et les cieux des cieux, la terre et tout ce qu'elle renferme.
15 Et c'est à tes pères seulement que l'Éternel s'est attaché pour les aimer; et, après eux, c'est leur postérité, c'est vous qu'il a choisis d'entre tous les peuples, comme vous le voyez aujourd'hui.
16 Vous circoncirez donc votre coeur, et vous ne roidirez plus votre cou.
17 Car l'Éternel, votre Dieu, est le Dieu des dieux, le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, fort et terrible, qui ne fait point acception des personnes et qui ne reçoit point de présent,
18 qui fait droit à l'orphelin et à la veuve, qui aime l'étranger et lui donne de la nourriture et des vêtements.
19 Vous aimerez l'étranger, car vous avez été étrangers dans le pays d'Égypte.
20 Tu craindras l'Éternel, ton Dieu, tu le serviras, tu t'attacheras à lui, et tu jureras par son nom.
21 Il est ta gloire, il est ton Dieu: c'est lui qui a fait au milieu de toi ces choses grandes et terribles que tes yeux ont vues.
22 Tes pères descendirent en Égypte au nombre de soixante-dix personnes; et maintenant l'Éternel, ton Dieu, a fait de toi une multitude pareille aux étoiles des cieux.
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mista3833 · 2 months
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MA FILLE,MA VICTOIRE (4)
J'étais émue et très heureuse de trouver quelqu'un qui veut partager son coeur avec moi...
-Viens on rentre...
-Sandro...
-Qu'est-ce qu'y a Réa ?
-Je suis pas prête
-Pourquoi ? Attends ne me dis pas que tu penses que je te demande de t'y rendre à l'intérieur avec moi pour te faire l'amour ?
Qu'est-ce que t'as foutue Réa ???
-Je..je...
-Ça va,viens on rentre car il y a la mer qui nous attends..
-Tu...tu...tu n'es pas après moi?
-Non,ma chérie
Sandro me prit la main,une dernière caresse à Tom et on quitte le terrain
-Tu y vas souvent, puisque Tom y demeure ?
-Oui,c'est mon lieu de travail, quand t'as envie d'être près de moi,rejoinds moi là
Il veut que je lui tienne compagnie... Hmmm...suis chanceuse,non?
-Tu dors aussi là-bas ?
-Oui,quand j'ai besoin de réfléchir sur une affaire importante..
-Je vois...je dois te laisser là maintenant
-Je passe te prendre dans une heure
-Ça me va... à tout de suite!
J'allais me retirer,quand il me fit revenir sur mes pas en me tirant par le bras, blottit contre lui,il me captura les lèvres dans un baiser profond qui me fait chavirer.
"DANS LA PEAU DE SANDRO"
Je sais qu'on aura des problèmes si on nous vois ensemble, moi je m'en foutais,car cette fille, je la veux dans ma vie et je vais faire d'elle ma possession
Lorsque je relâche Réa,elle part en courant, c'est l'émotion j'en suis sûr.
Je rentre chez moi et la première à qui je dois avoir une conversation,c'est avec elle et après tout finira en dispute...
-Tu as mis du temps aujourd'hui me dit Keen
-Et alors ??
-Comment ça et alors ? Tu oublies qui tu es ou quoi?
-Tu veux bien garder ta langue, durant une heure, juste le temps que je me change et partir d'ici?
-Tu vas où ???
-En quoi cela te regarde, je peux savoir?
-Que t'es brute!Allez,vas-y...Sors baiser ta pute
-La prochaine fois que tu la traites de pute,je te jure que tu passeras des années à refaire ton beau visage de diablesse
-Alors tu oserais me frapper pour cette pute?
Sans me rendre compte de la gravité des choses,je lui lance une gifle sonore qui la fait vaciller sur le sol.Arrive ma mère en courant qui me pousse sur le canapé et aide Keen à se relever
-Qu'est-ce qui t'as pris,bon sang?
-Elle l'a cherchée... je vais recommencer encore et encore, si elle la traite de pute sous mes yeux
-C'est une pute,tu entends une pute et y demeura pute me crie Keen dans le dos de ma mère
Je pousse ma mère et je l'attrape par le cou,la voilà à ma merci contre le mur
-Je vais te tuer,je vais te tuer hurlais-je
Je me mis à l'étrangler et ma mère à crier.Les gardes interviennent,on me fit une prise de dos et je finis par lâcher Keen qui se mit à toussoter en pleurant..
-Je te hais Sandro.Cette fille a fait de toi un monstre
-Quoi...Quoi???Encore cette pute?
-Qu'attends-tu?Frappe-la aussi,elle vient de la traitée de pute,t'as pas entendu ou quoi??
-Ta gueule Keen,ta gueule..
-Sandro calme toi mon garçon,s'il te plaît... Monte dans ta chambre
J'obéis à ma mère et monte dans ma chambre... J'enlève mon maillot et je m'allonge au lit pour prévenir Réa qu'on n'ira plus à la plage..
Message:Je suis désolé ma chérie, on y ira plus à la plage
Mlle.Sánchez:Qu'est-ce qu'y a???
Message:Une migraine
J'allais pas tout de même l'avouer que j'ai frappé ma cousine...
Mlle.Sánchez:T'es où là maintenant ?
Message : Dans mon lit
Mlle Sánchez : Fais voir
Je reçois une photo de lui au lit, c'est pas mal
Message :Tu vois?Et toi,t'es où ?
Mlle.Sánchez:Qui t'as pris en photo ?
Message:Moi,sur mon ordi portable,je veux te voir moi
Je me prends en photo et je le lui envoi, j'espère qu'il va aimer
Message:Joli t-shirt
Mlle.Sánchez:merci et joli torse
Message : Merci, on pourrait se voir plus tard?
Mlle.Sánchez : Je te préviendrais si je suis disponible
Message : Désolé pour la plage
Mlle.Sánchez:C'est ta santé qui compte Dro...
Message : Dro???
Mlle.Sánchez:T'aime pas???
Message : Oui,merci,c'est très beau
-Sandro, descend,tout de suite
C'est mon père qui est rentré, il a sûrement été prévenu de mon insolence
Message:je dois te laisser Réa
Mlle.Sánchez : Un problème???
Je ferme mon IPhone et je rejoinds mon père
-Je peux savoir ce qui t'as pris de porter la main sur Keen?
-Elle l'a cherchée non?
-Sandro,je te jure sur la tête de ma mère, si tu oses porter la main une seconde fois sur ta cousine, je te ferais enfermer
-Tu oserais???
-Qui va m'en empêcher ,hein dis-moi ???
-Je te rappelle que je suis ton héritier
-Et Keen,ma nièce.. J'ai promis à mon frère de la protéger et je le ferai même si je dois exterminer mon propre fils,tu entends?
-Prépare toi à m'exécuter sinon je risque de l'exterminer, si elle s'introduit dans ma vie
-Tu n'as que vingt-une ans, souviens toi et jusqu'à aujourd'hui tu es mon fils et moi ton père, tu n'oserais jamais défier l'homme qui t'as mis au monde
-On verra bien
Mon père avait raison,jamais je ferais ce que j'ai dit,trop de respect pour lui..Mais il ignore que pour sauvegarder l'amour de Réa, je peux abandonné tout ceux qui me sont cher pour être avec elle
-Et elle, tu vas pas lui faire la morale ?
-C'est son droit de te surveiller
-Et moi de l'apprendre à fouiner dans ses affaires... Je t'ai à l'œil
Keen Alphonso..
-Sale monstre...
Je préfère l'ignorer et retourner dans ma chambre.
"DANS MA PEAU"
Je me mis à tourner en rond,Sandro m'inquiète beaucoup...
Calme toi Réa... Calme toi Dro va bien...
Filisya rentre dans ma chambre et me prends dans ses bras
-Alors ? T'as eu le fameux baiser ?
-Fifi,suis pas d'humeur compris?
-Qu'est-ce que t'as?
-Dro va mal
-Dro?Un nouveau chéri?
-non,je l'ai appelé Dro..Il m'a embrassé si sensuellement que je me sens...
-Tu voudrais pas un peu d'eau?
-non Mlle Sánchez et Lukas?
-Avec son père
-Je les trouve très proche ces jours-ci ces deux là
-On devrait en faire autant avec maman
-Est-ce une façon de me dire,que je dois confier à maman,que je vois un garçon ?
-Oui,tu devrais lui dire
-Non, et je compte sur toi pour garder le secret
-T'inquiète pas car avec moi,c'est bouche cousue,alors on sort faire un tour?
-Bien sûr, je vais me changer
-Je t'attends en bas
Filisya se retire,je choisis un simple t-shirt car je vais garder mon pantalon,ensuite j'envoie une photo à Dro accompagné d'un message
Message : Je sors avec mon aînée, on se voit ce soir,chez Tom
Dro:C'est ma propriété, pas celle de Tom... J'aime le t-shirt que tu portes, soit prudente Réa
Message:MDR ...d'accord Dro,j'y ferais attention pour toi...Je t'adore
Je rejoinds Filisya qui m'attendais au pied de l'escalier, arrive ma mère
-Vous sortez mes chéries?
-Juste un tour dans le quartier
-Soyez prudente
-Oui man...
Filisya me prit la main, à l'ouverture de la porte mes besties me sautent au cou
-Alors tu l'as eu???
-Il s'est vouer?
-Shuuttt....il y a ma mère au salon, vient on va faire un tour et on pourra discuter....
On sort dans la rue et là,les filles se mirent devant moi
-Alors ?
-Il me l'a avouer...il m'a dit Je t'aime
-Il a osé ? Oh j'ai ratée ça et ..
-Calme toi Laïla
-C'est trop beau!!!Et c'est tout?
-Et le baiser ?..
-Il me l'a fait ce matin
-Nom de Dieu...Tu t'es sentie électrisée à son contact?
-Oui....pourquoi et comment sais-tu tout ça toi,Naïda?
-C'est l'homme de ta vie,Réa
-C'est du n'importe quoi
-J'ai eu les même quand Jonathan m'a embrassé et le résultat,aujourd'hui on se déteste..dit Filisya
-Il va te revenir, il prend juste son temps lui dit Naïda
-Je veux prendre une glace,moi dit Laïla..
On est tous en accord pour prendre une glace...
Plus tard,on rentre à la maison,Filisya et moi.
Quand je rentre au salon sans m'y attendre mon père me lança une gifle.
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enkamsi · 3 months
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N’ayez aucune dette envers personne, sauf la dette de l’amour que vous devez avoir entre vous. Celui qui aime les autres obéit parfaitement à la loi. En effet, vous connaissez les commandements: « Ne commets pas d’adultère. Ne tue personne. Ne vole pas. Ne désire pas ce qui ne t’appartient pas. » Ces commandements et tous les autres sont contenus dans cette parole: « Aime ton prochain comme toi-même! » Quand on aime, on ne fait aucun mal à son prochain. Par conséquent, aimer, c’est obéir parfaitement à la loi.
Romains 13:8‭-‬10
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SAVAIS-TU QUE DIEU A TANT AIMÉ CHAQUE INDIVIDU QU'IL A CRÉÉ, QU'IL EST VENU LUI-MÊME NOUS AIDER, AFIN DE NOUS SAUVER, SI ON SE LAISSE FAIRE PAR LUI, TOUT SIMPLEMENT ?
LE CRÉATEUR NE FAIT RIEN EN DEHORS DE SON AMOUR INNOCENT, PUR, GÉNÉREUX ET INCONDITIONNEL, QUI S'APPELLE AUSSI LA VOLONTÉ DE DIEU QUI EST AU CIEL.
Aimer de façon sacrificielle comme le Seigneur Jésus, est en réalité le mobile caché derrière ses miracles et ses enseignements.
L'amour du Christ est aussi le mobile caché derrière sa sévérité et ses reproches fréquents envers ses disciples.
Et pour finir, l'amour de Dieu est le mobile caché derrière les malheurs et le bonheur qui nous arrive et le fait que les gens aille en enfer et au paradis ?
Oui l'amour divin respecte, tout simplement, le choix ou les décisions prises par ses créatures.
En effet, si tu ne veux pas te laisser faire par ton Créateur, qui veut te sauver, il t'accordera donc ton souhait d'aller en enfer, cher ami(e).
Par contre, si tu te laisses faire par Dieu, il t'accordera la grâce d'aller au ciel, tout simplement.
Je te le redis tant que tu n'aimes pas ton prochain au point de tout sacrifier par amour pour lui, tu n'as pas le droit de le corriger, ou même d'échanger avec lui, car tu lui ferais forcément du mal.
En effet, pries-tu continuellement, comme si ta vie en dépendait, pour ton prochain, cher ami(e) ?
Ne dis-tu pas aimer autrui ?
Non ?
Sais-tu que l'être humain est fait uniquement pour avoir des échanges basés sur l'amour innocent, pur et inconditionnel ?
Regarde comment le divorce et tous nos problèmes relationnels ont comme effet désatreux, sur nous.
L'amour est indispensable au bonheur.
On ne peut être heureux sans vivre en permanence dans l'amour innocent, pur et inconditionnel, mes chers amis.
Vivre dans l'amour innocent, pur et inconditionnel consiste dans la pratique, de chaque instant, à faire exclusivement, ce que Dieu nous dit personnellement et individuellement, par l'intermédiaire de notre conscience personnelle.
"Le vent souffle où il veut ; tu entends le bruit qu'il fait, mais tu ne sais pas d'où il vient ni où il va. Voilà ce qui se passe pour quiconque naît de l'Esprit de Dieu."
Vivre uniquement conduit par le Créateur, qui est l'Esprit de Dieu, est l'unique façon de vivre pour quiconque veut être parfaitement heureux et veut faire véritablement plaisir, au Seigneur Dieu Tout-Puissant.
Jésus est le chemin, signifie qu'il est notre unique modèle à suivre, le fondement sûr et certain, il est la bénédiction de l'Éternel qui n'est suivi d'aucun chagrin, et il nous a exprimé de cette façon comment nous devons vivre, mes chers amis :
"Jésus dit : "Je vous dis la vérité éternelle. Le Fils ne peut rien faire de lui-même ni de sa propre initiative. Je ne fais que les œuvres que je vois faire au Père, car le Fils fait les mêmes œuvres que son Père."
EN CONCLUSION, L'AMOUR QUI EST LE CRÉATEUR LUI-MÊME, VEUT ÊTRE L'UNIQUE MOBILE CACHÉ DERRIÈRE TOUT CE QUE L'ON FAIT, À CHAQUE INSTANT, MES CHERS AMIS.
CELA AURA POUR CONSÉQUENCE DE NOUS GUÉRIR PHYSIQUEMENT ET ÉMOTIONNELLEMENT, DE POURVOIR AUTOMATIQUEMENT À TOUS NOS BESOINS, ET AINSI RENDRE LA TERRE COMME LE CIEL.
C'EST-À-DIRE, QUE CHAQUE PERSONNE SUR TERRE VEUILLE DE TOUT SON CŒUR, ÊTRE REMPLI DE L'AMOUR DIVIN, QUI EST INNOCENT, PUR ET INCONDITIONNEL.
RÉALISES-TU, UN PEU PLUS, LE PLAN DIVIN POUR L'HUMANITÉ ?
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blogdimanche · 6 months
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Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 22,34-40
 
« En ce temps-là,
34 les pharisiens, apprenant que Jésus avait fermé la bouche aux sadducéens, se réunirent,
35 et l’un d’entre eux, un docteur de la Loi, posa une question à Jésus pour le mettre à l’épreuve :
36 « Maître, dans la Loi, quel est le grand commandement ? »
37 Jésus lui répondit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit.
38 Voilà le grand, le premier commandement.
39 Et le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
40 De ces deux commandements dépend toute la Loi, ainsi que les Prophètes. »
(Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
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(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Mt 22,37-39
« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit. Voilà le grand, le premier commandement. Et le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » (Mt 22,37-39) Voilà la réponse de Jésus à des Pharisiens qui lui demandaient : « Maître, dans la Loi, quel est le grand commandement ? » Les Pharisiens posent à Jésus une question qui pour eux était classique. Les Pharisiens avaient l’habitude de discuter à longueur de temps pour savoir quel commandement était le plus important ; quand un conflit de devoirs se présentait, il fallait bien hiérarchiser les divers commandements. La réponse de Jésus va les surprendre en les emmenant bien au-delà du terrain juridique. On interroge Jésus sur la Loi, il puise sa réponse dans la Loi ; mais il refuse d’établir une hiérarchie entre les six cent-treize commandements de la Loi : il cite deux commandements tous deux inscrits dans la Loi d’Israël et il les place au même niveau : Tu aimeras le Seigneur, tu aimeras ton prochain. « Tu aimeras le SEIGNEUR ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de tout ton esprit » : c’est dans le Livre du Deutéronome au chapitre 6, cela fait partie de la profession de foi juive, le Shema Israël ; « Tu aimeras ton prochain comme toi-même », c’est dans le livre du Lévitique (Lv 19,18). Et il dit « ces deux-là donnent sens à tous les autres » : « De ces deux commandements dépend toute la Loi, ainsi que les Prophètes. » Ce faisant, Jésus invite ses interlocuteurs à sortir de l’esprit légaliste : il les appelle à une conversion radicale : avec Dieu on n’est pas dans le domaine du calcul, de ce qu’il faut faire pour être en règle ; on est sous la seule loi de l’amour. Saint Paul, l’ancien Pharisien scrupuleux, qui a fait l’expérience de cette conversion, dira dans la lettre aux Romains « Vous n’êtes plus sous la loi mais sous la grâce » (Rm 6,14). Et si l’on entre dans la logique de l’amour, ces deux commandements sont semblables, dit Jésus, ils sont de même nature ; bien sûr, car il n’y a pas deux sortes d’amour ! Celui dont on aimerait Dieu et celui dont on aimerait nos frères ; le second est la vérification du premier ; comme dit saint Jean : « Si quelqu’un dit : J’aime Dieu, et qu’il haïsse son frère, c’est un menteur. En effet, celui qui n’aime pas son frère, qu’il voit, ne peut pas aimer Dieu qu’il ne voit pas. » (1 Jn 4,20). Ici, donc, Jésus met en garde les Pharisiens : il y a des manières d’appliquer la loi qui la trahissent ; elle a été donnée par Dieu pour être un chemin de liberté et de vie, mais on peut très bien en faire un esclavage et même parfois un chemin de mort : par exemple quand le commandement du repos sabbatique vous conduit à laisser à l’abandon un malade ou un mourant, la loi qui dicte le service du frère est trahie. Donc, ce que Jésus cherche à faire comprendre aux Pharisiens, c’est qu’ils risquent, au nom même de la Loi, d’oublier le commandement de l’amour. Il est certain que c’est un thème cher à saint Matthieu : lui, le seul des évangélistes à citer deux fois la phrase du prophète Osée « C’est la miséricorde que je veux et non les sacrifices » (Osée 6,6) ; lui aussi, le seul à rapporter la parabole du jugement dernier « chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait » (Mt 25,40). (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
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