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#alain pacadis
introspect-la · 1 month
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ALAIN PACADIS AND SERGE GAINSBOURG FOR FAÇADE MAGAZINE NO 3 (1977)
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tina-aumont · 1 year
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Marie France, Tina Aumont, Paolo Calia, Alain Pacadis ✨ « Privilège » 04/1983
Photo and caption from: https://www.instagram.com/theatre_le_palace_1978_1983/ curated by Charles Duprat.
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etiennedaho · 9 months
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"Un morceau de Donna Summer l'électrise et le sort de sa rêverie. En bas, au fond de la scène, derrière les décors, il aperçoit Fabrice qui traverse la piste. Il se souvient de leur rencontre, quatre ans plus tôt, une nuit de réveillon, au Sept, un club chic et gay de la rue Sainte-Anne, ouvert par Fabrice en 68. Il avait fait l'effort de se raser et de se laver les cheveux, de passer une veste de smoking croisée blanche, très propre, sur un pantalon en cuir noir à peu près net - même s'il gardait au niveau de l'entrejambe le souvenir acide du vomi du bassiste d'un groupe punk gallois aimé une nuit au Gibus -, un oeillet rouge à la boutonnière, une chemise noire repassée et un noeud papillon blanc immaculé." Adolescent, Alain Pacadis se passionnait pour les batailles napoléoniennes. Comment ce timide fils d'immigrés, vivant seul avec sa mère rue de Charonne, est-il devenu l'icône glam-punk qui signait les chroniques gonzo de Libé depuis 1975 ? Comment le jeune Alain, peu après sa première manif en 68, a-t-il franchi les portes du Palace et des Bains Douches, escorté par une joyeuse bande de freaks ? Davantage que le journaliste, c'est un personnage de roman que nous révèle Charles Salles, soulevant pour nous ce rideau de paillettes et d'extravagance.
Alain Pacadis figure des années palace
https://www.fnac.com/a18183414/Charles-Salles-Alain-Pacadis-face-B#omnsearchpos=1
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icariebzh · 2 months
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".../...Il est un peu en avance, toujours aucune trace de ses amis. Il s'assoit sur un banc de jardin qui jouxte le musée de l'Homme et sort de sa poche La Chambre de Giovanni. Il l'a commencé dans le métro, les premières pages lui plaisent déjà. Il prend un crayon et son carnet puis, le livre en équilibre sur ses genoux note:"...on ne peut malheureusement pas inventer nos amarres, nos amants ni nos amis, pas plus qu'on ne peut inventer nos parents. La vie nous les donne et nous les reprend, et la grande difficulté est de dire oui à la vie." "La vie nous les donne et nous les reprend" répète-t-il. Etrange, comme les mots lus dans un livre, choisi au hasard sur la table d'une librairie, peuvent résonner en nous. Il arrête de lire et, les yeux dans le vide, se souvient de la mort de son père, de ces moments où, comme sa mère, il avait arrêté de dire oui à la vie. Il n'aime pas y repenser, pourtant les mots de Baldwin l'y obligent. Il entend le souffle court et rauque de son père, la toux et les crachats. Il redoutait ces bruits qui venaient la nuit de la chambre voisine et l'avaient amené à haïr son père. Comme il aurait préféré continuer à l'aimer! Il savait bien qu'il n'y pouvait rien., qu'il ne faisait pas semblant de mourir, qu'il ne faisait pas exprès de s'étouffer, mais il lui en voulait de le déranger dans son travail et dans son sommeil, il avait l'impression qu'il abandonnait sans combattre, sans se soucier du vide qu'il allait laisser. La mort et le vide. S'il ne s'était pas rendu compte sur le coup de l'effet que cette extinction progressive avait sur lui, s'il n'avait pas compris à quel point la tristesse et la conscience de la mort s'étaient emparées de lui, il avait bien ressenti la diminution du temps que sa mère pouvait lui consacrer: leurs sorties au cinéma s'étaient arrêtées et les moments qu'ils partageaient autour des devoirs et des livres qu'il lui lisait s'étaient réduits. Le souvenir des soirées qu'il passait seul, ou pire encore avec sa tante paternelle et ses cousins insupportables, quand sa mère était à l'hôpital pour veiller son père dans la phase terminale de son cancer, lui serre encore le coeur, cette sensation d'abandon dont il n'arrivait pas à se détacher, partagé entre acceptation et jalousie. Comment pouvait-il être jaloux d'un  mourant?  Lui le bon élève, sérieux et travailleur, avait avait perdu l'envie d'aller au lycée du jour où  il avait compris que la maladie se son père était incurable. Il se souvient-là sur son banc, un peu triste maintenant, sans même se rendre compte de l'agitation qui s'accentue autour de lui,  des mouvements des forces de l'ordre et des manifestants qui commencent à occuper les points stratégiques- des matins où il lui était  impossible de se lever, malgré les efforts de sa mère, et où il finissait comme son père, par rester couché et louper les cours. Il avait quatorze ans quand la maladie s'était déclarée, et il avait fallu que Georges meure, deux ans plus tard, pour qu'il sorte de sa déprime.
Et comme pour marquer ce retour dans le monde des vivants, il s'était mis à porter des tenues voyantes de dandy inspirée des muscadins, à parler comme un aristocrate, à se laisser  pousser les cheveux, à fumer et à boire, à écouter du rock anglais autant que du Wagner...
Bref à se faire remarquer.
Il avait un peu honte de le dire, mais la mort de son père avait été une libération.
.../..."
Charles Salles extrait de: Alain Pacadis Face B-Editions: La Table Ronde
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journaldenimportequi · 4 months
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Samedi 30 décembre 2023
Bilan lecture
C'est le moment d'écrire le dernier récit de l'année. Ce récit consistera surtout à faire un bilan de mes lectures. Je n'ai pas été très productif cette année, il faut bien que je l'avoue. Surtout ces derniers mois. Je crois qu'il faudra que j'écrive encore une bonne année de récits pour avoir assez de matière à imprimer sur un livre (j'ai toujours le projet d'imprimer l'intégralité de mon journal sous forme de livre et rappelez vous, j'ai déjà le volume un). Bon sang je suis un fainéant, dans l'idéal il faudrait que je publie au moins un récit par semaine, but whatever...
Il y a quelques semaine mon cousin Jimmy m'a parlé de mon journal, il se trouve qu'il a fait un tour sur mon blog (j'avais mis un lien sur Facebook, c'est à dire à la vue de tous, chose que je n'avais jamais osé faire auparavant) et il m'a lu, et figurez vous qu'il a apprécié et il m'en a dit de belles choses, des choses très flatteuses que ma modestie m'empêche de réécrire ici mais sachez que ça m'a fait vraiment très plaisir et ça m'a fait penser que je n'écrivais pas tout à fait pour rien. Merci cousin !
L'an prochain sera probablement, comme cette année, une année de concerts pour moi. J'ai en ma possession deux tickets de concerts pour Cat Power à Paris et rien de moins que Eric « God » Clapton à Lyon. Cat Power vient de sortir un album fabuleux dans lequel elle reprend le fameux concert de Dylan en 1966, avec la première partie acoustique et la seconde électrique. Et elle arrive à accomplir ce miracle : faire en sorte que la musique soit fidèle au concert original et en même temps y ajouter avec sa voix merveilleuse un petit quelque chose qui rend le disque unique. Et donc, suite à ce disque elle a annoncée une tournée dont deux dates à Paris. Je n'ai pas pu m'empêcher de choper une place pour la seconde date parisienne, et tant qu'à faire j'ai pris la meilleure place qui était disponible. C'était plutôt cher, surtout qu'après il va falloir choper un billet de train aller-retour et une nuit à l'hôtel mais, hé, on a qu'une vie, le cœur a parlé et je me suis fait plaisir.
Concernant Clapton, il s'agit tout simplement d'un des rares (deux ou trois, avec les Stones) musicien de légende que je n'avais encore jamais vu, là aussi il fallait absolument que je chope une place, alors voilà : Eric, here I come !
Ces derniers jours j'ai été plutôt heureux, malgré ma solitude relative (après tout me voilà encore célibataire depuis trois mois déjà), et, ça peut paraître un peu fou mais c'est vrai, la littérature, l'art, sont bel et bien les responsables de mon bien être, tout ça compte beaucoup pour moi et par chance j'ai actuellement de bonnes lectures.
Je viens de me rendre compte que je n'ai pas parlé de noël mais il faut dire que les noëls se suivent et se ressemblent. Disons que nous avons cette année encore nous nous sommes réunis chez mon frère avec sa belle famille, nous avons, encore une fois, mangé et échangé des cadeaux, mon neveu Paul était enchanté et sa joie était mon plus beau cadeau cette année là. C'était aussi le premier noël de ma nièce Pia, si mignonne... Concernant les cadeaux, si vous me lisez depuis longtemps vous vous douterez que j'ai reçu des livres, de quoi alimenter mon bonheur pour les mois à, venir.
Demain, c'est le réveillon du jour de l'an et je n'ai rien prévu de spécial, ce sera l'éternel repas fancy suivit d'un film (je crois que nous regarderons La Rose Pourpre Du Caire de Woody Allen dont j'ai le dvd posé sur ma bibliothèque depuis des semaines et que je n'ai pas encore vu, il paraît que c'est un de ses meilleurs films).
Pour conclure, comme je l'ai fait l'an dernier et je le ferais chaque fin d'année, voici mon bilan lectures de l'année 2023 :
Alain Pacadis, itinéraire d'un dandy punk (Alexis Bernier, François Buot)
Palimpseste (Gore Vidal)
Le Brady, cinéma des damnés (Jacques Thorens)
Le poète russe préfère les grands nègres (Edouard Limonov)
Papa Hemingway (A.E. Hotchner)
Le dernier ermite (Michael Finkel)
Knulp (Hermann Hesse)
La vérité et rien d'autre (Mike Tyson)
Hemingway, histoire d'une vie 1, 1899-1936 (Carlos Baker)
Le salon (Oscar Lalo)
Mick, sex and rock'n'roll (Christopher Andersen)
Thérébenthine (Carole Fives)
Je Le Jure (Frédéric Dard)
La bande à Gabin (Philippe Durant)
Je suis vivant et vous êtes morts (Emmanuel Carrère)
Les derniers jours des chefs nazis (Luc Mary, Philippe Valode)
Hemingway, histoire d'une vie 2, 1936-1961 (Carlos Baker)
Marchands d'art (Daniel Wildenstein, Yves Stavrides)
Vous me croirez si vous voulez (Professeur Choron, Jean-Marie Gourio)
Souvenirs d'un marchand de tableaux (Ambroise Vollard)
J'avoue m'être trompé (Federico Zeri)
Au delà de l'avenue D (Philippe Marcadet)
La prochaine fois que tu mordras la poussière (Panayotis Pascot)
Please kill me (Legs McNeil, Gillian McCain)
Le passant du Bowery (Clément Ghys)
Mémoires d'un nomade (Paul Bowles)
Woody Allen (John Baxter)
Rockambolesque (Sacha Reins)
Van Gogh (Steven Naifeh, Gregory White Smith)
Autoportrait (Helmut Berger)
Et dans l'éternité je ne m'ennuierai pas (Paul Veyne)
Bande son : Cat Power Sings Dylan, Cat Power
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Je suis fatigué d'écrire toujours les mêmes choses pour des gens qui ne comprennent rien.
Alain Pacadis (Un jeune homme chic)
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lucdesportes · 2 years
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Alain Pacadis.
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instantcitynews · 4 years
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A l’image de l’étrange et provocateur Alain Pacadis, chroniqueur déglingué des nuits parisiennes, apparaissent alors les nouveaux punks, ces dandys urbains et sophistiqués qui dorment le jour et arpentent la nuit les institutions festives qui s’ouvrent en cascade. 💋SeXy Yesterday...
Plus de Frenchies ➡️ instant-city.com !
Et n’oubliez pas de liker la page Facebook Instant City ❤️
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merzbow-derek · 7 years
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POST-SCRIPTUM 808
DASHIELL HEDAYAT, Obsolete (1971)
Sous la pochette rose gaufrée illustrée se cache une sorte de croisement musical entre La Machine molle de Burroughs et À rebours d’Huysmans, mâtinée de Manifeste électrique aux paupières de jupe. Inspiré par un auteur de polar américain et un poète perse suicidaire, le nom du signataire s’impose d’emblée une invitation au voyage, alors qu’il s’appelle en fait Daniel Théron.
Peu de temps avant la réalisation d’Obsolète, enregistré au printemps 1971 bien que déjà composé dès 1969, sous le patronyme de Melmoth cette fois (du nom d’un roman gothique irlandais fait d’analepses mises en abyme), Dashiell Hedayat enregistre La Devanture des ivresses, disque dépravé au succès d’estime dans les milieux branchés, curieusement auréolé du grand prix de l’Académie Charles Cros.
Moins sombre, Obsolète fonctionne par associations libres inspirées du cut-up tel que mis au point par William S. Burroughs et Brion Gysin, ce qui en fait également une sorte d’équivalent musical du culte Rose Poussière de l’écrivain Jean-Jacques Schuhl, source d’inspiration des dandys Yves Adrien, Alain Pacadis et Patrick Eudeline. On y retrouve la même obsession pour les paradis artificiels que chez le poète électrique Michel Bulteau (du groupe Mahogany Brain pendant un temps) et le « dernier des immobiles » Matthieu Messagier, des ambiances sonores proches de Soft Machine habillant un flow (presque toujours) parlé, dont le timbre envoute et agit tel un narcoleptique.
Dans cet univers fantasmatique subtilement désuet, Dashiell Hedayat parait littéralement jouir de sa décadence en se perdant volontairement dans les méandres oniriques d’un rêve paranoïaque et drogué, comme en témoignent des images d’entretien captées pour la télévision française et l’émission Discorama de Denise Glaser. « C’est tout de suite un piège, « Qui êtes-vous ? » On n’est pas vraiment quelqu’un. Personne n’a vraiment une identité. Je suis plutôt sur le voyage de la schizophrénie… Alors, tout de suite, « Qui êtes-vous ? » coupe toute conversation possible. On n’est pas seulement ce qu’on fait, Dieu merci ! »
Dans Obsolète, Dashiell Hedayat évoque le speed (« horse power »), le sexe à n’en plus finir (« entre ses seins et ses cuisses, je sombre »), et un drôle de trip (« les chats dans l’escalier »). Soutenu comme tous les autres morceaux par une des meilleures formations alignées par Gong (Daevid Allen, Gilli Smyth, Didier Malherbe, Christian Tritsch, Pip Pyle), Chrysler Rose devient un hit underground (mérité) régulièrement repris dans les anthologies dignes de ce nom consacrées aux années 1970 françaises.
Malheureusement, Dashiell Hedayat n’enregistre plus après ce disque sorti par le label du mécène Chantal Darcy, elle-même financée par le marchand d’art Aimé Maeght et conseillée par le critique visionnaire Daniel Caux, enseigne également éditrice (entre autres) de La Monte Young et Charlemagne Palestine. Après avoir traduit Tarantula de Bob Dylan, il se consacre entièrement à la littérature, d’abord expérimentale, sur les excellents Selva Oscura, Le Bleu, le bleu, Jeux d’intérieur au bord de l’océan et Le Livre des morts-vivants, variations convaincantes des univers de William S. Burroughs et Claude Pélieu ; puis commerciale, sous le pseudonyme (un de plus) de Jack-Alain Léger ; et enfin controversée, sous l’identité de Paul Smaïl, auteur d’Ali le magnifique et Tartuffe fait ramadan.
« Qui êtes-vous ? » lui demande dans une belle intuition la douce et stylée Denise Glaser en 1969… Disons qu’on n’en sait guère plus aujourd’hui qu’à l’époque, sinon que… « Tout est si vague… Je ne sais même plus si pense… J’étais à contempler les anneaux de Saturne… Les os friables de la came… J’étais le singe du travelo... Mon cul comme une plaie ouverte… Mon nez où s’engouffraient les autos comme dans un tunnel… Des étoiles qui tournaient partout… » On est tous défoncés.
( Yves Adrien, par là )
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theunderestimator-2 · 7 years
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Punk glamour in the years of the early french punk scene: 
Patrick Eudeline, notorious rock critic and later on lead singer & guitarist of one of the earliest french punk bands, Asphalt Jungle, and Alain Pacadis, iconic dandy-punk journalist and nightclubber who literally spent his life on sex, drugs and rock 'n’ roll, in the company of emblematic figures of the ‘70s Parisian nightlife, such as Marie-France, Dina et Marlène in 1978 (photos by BJEP, a photographers’ collective consisting of Alain Bali, David Cosset & Jean-Luc Maby, who wish to publish their images under a single signature).
(via)
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shaddad · 2 years
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andy warhol e alain pacadis, 1977, por marion kalter
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already-14 · 2 years
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Les Enfants de la nuit
Eva Ionesco
Après Innocence, le roman de l’enfance, voici celui de l’adolescence et de toutes les premières fois. De manière rêvée, parfois crue, Eva Ionesco retrace une existence violente dans le monde de la nuit, à la fin des années 1970. L’enfant trop en avance erre seule et sans but, jusqu’au collège et à la découverte de l’amitié avec Christian Louboutin. Elle l’aime ; lui, homosexuel, va désormais la protéger et faire avec elle les 400 coups. Puis viendront Vincent Darré, la belle Edwige, Alain Pacadis et enfin, au bout de la nuit et des rencontres parfois limite, frôlant le danger et la mort, ce sera la découverte de l’amour fou, Charles Serruya. Il a 29 ans et elle 13. Christian, Eva, Vincent, la bande traverse le Paris mondain, celui de la mode et des grandes fêtes mythiques du Palace, mais aussi, plus populaire et secret, celui de Pigalle, de Montparnasse ou de la Main bleue à Montreuil. Travailleurs immigrés, militants homosexuels, sapeurs africains, travestis, journalistes à Libération, c’est un Paris divers, mêlé, sans tabous qui se côtoie. Avec les copains, on michetonne, on vole, on se drogue, on fait des strip-teases forains, en groupe c’est si amusant. Paris est une fête, on y danse, la foule est joyeuse, c’est l’aventure, la vie devant soi… Mais en arrière-fond trône la mère d’Eva, l’inquiétante Irène, accusée par le juge pour enfant d’avoir fait mener une existence contre nature à sa fille et de la vendre. Une assistante sociale mène l’enquête et Eva se mure dans le silence, terrifiée à l’idée de voir la petite bande menacée par la police. Poétique, rocambolesque, le récit restitue l’âme d’un Paris disparu. Quête éperdue de l’amour, il est aussi une adresse à l’amitié, à la tendresse, à ceux qu’on a chéris depuis l’enfance et qu’il est impossible d’oublier.
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tina-aumont · 1 year
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21st March 1983 - Tina Aumont and her friend Alain Pacadis (and someone unidentifyed between them) at the 5th annyversary of Theatre Le Palace.
From Theatre Le Palace Instagram curated by Charles Duprat.
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blakegopnik · 4 years
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ANDY WARHOL PROVES EXISTENCE OF SPACE-TIME WORMHOLES
THE DAILY PIC: Why can’t anything ever be straightforward when it comes to Andy Warhol? A famous interview he gave turns out to exist in two quite different versions.
Not long ago, Jay Reeg, one of our great Warhol aficionados, sent me a scan of a Warhol interview printed in the December, 1977, French edition of Playboy. It looked just the same as the great, much-cited interview with Warhol in High Times from that same year—except where it didn’t.
For one thing, French Playboy states, very clearly, that the interview took place on September 9, 1977, and was conducted by Glenn O’Brien (now deceased) and a club-scene journalist named Alain Pacadis (also deceased); in it, Warhol talks about the day he’s just spent—in Paris. (His Diaries show him there on Sept. 9.) All well and good ... expect that the High Times interview was the cover story in its August issue—which would probably have hit newsstands in July—and Glenn O’Brien later claimed that the interview happened around June, in Warhol’s studio on Broadway, and he doesn’t even mention Pacadis or Paris.
As printed, the two interviews are so close that they must come from the same recording. But the French one has some great stuff that’s not in High Times, and even where there’s overlap the details of what Warhol says sometimes differ, usually in seemingly pointless ways: Talking about his planned Andymat diners, in “French” Warhol says they’ll feature frozen food (which was true) whereas in High Times he mentions plans for turkey.
Below are a few of the passages from Playboy that aren’t in High Times:
– WARHOL: I’m about to show a new series in Venice.... Just big drawings of penises, anuses, things like that.
----------
– PLAYBOY: Your last show consisted of a series of canvases showing hammers and sickles. Do you feel close to communist ideas?
—WARHOL: Not at all: I made some silkscreens based on esthetic ideas. We were in Rome where Paul Morrissey was shooting “Flesh for Frankenstein,” and wherever we went, the walls had huge hammers and sickles brushed onto them, in bright colors. I got the idea to make that the theme of an exhibition of silkscreens in black and red. They look like wall decorations...
–PLAYBOY: Has the Soviet Union contacted you to buy some of your canvases?
– WARHOL: No, none of the Eastern countries have made advances. Those canvases have only sold to private collectors. But I love socialist realism: Those portraits of Lenin going up to the podium or of revolutionary scenes. They’re at the root of American hyper-realism.
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– WARHOL: I want my canvases to shock their buyers. People who buy my latest silkscreens of erect penises won’t necessarily be sex maniacs.
----------
– PLAYBOY: Are there a lot of punk clubs in New York?
– WARHOL: Yes, but they’re not dance clubs, they’re just places where people hang out. People sit around at tables and drink beer or spirits while the musicians are up on stage. In London or Paris, it’s different: Young people dance to the music.... In New York, people aren’t like that. In lots of places, there’s no liquor license: You can’t drink alcohol, and it makes them cool.... [The punks] play much better that before. I love the Talking Heads, for example. But punk has always existed: Callas was terrifically punk. At the Factory, my ’60s studio, we were always listening to her.
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– PLAYBOY: What’s the strangest thing that you’ve been asked to sign?
– WARHOL: A newborn baby, in New York. I wrote “Andy Warhol” on it so that it would become a work of art. Another time, I was asked to sign a transvestite’s breasts. But mostly, people make me sign fake Warhols; I like that.
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– PLAYBOY: What do you think of sex?
– WARHOL: It’s one of the most important things. People always ask me which I like better, sex with a boy or a girl. Actually, I prefer to jerk off. I’m the only person who knows exactly how to make me come best, so why ask someone else to do better?
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– WARHOL: One thing’s for sure: Most of the people who make things happen in New York are gay. I don’t see why we should hide that.... S&M has started to catch on. In New York, a new leather bar opens every week. You have to live in your times: People change; customs change.
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warholiana · 4 years
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Why can’t anything ever be straightforward when it comes to Andy Warhol? A famous interview he gave turns out to exist in two quite different versions.
Not long ago, Jay Reeg, one of our great Warhol aficionados, sent me a scan of a Warhol interview printed in the December, 1977, French edition of Playboy. It looked just the same as the great, much-cited interview with Warhol in High Times from that same year—except where it didn’t.
For one thing, French Playboy states, very clearly, that the interview took place on September 9, 1977, and was conducted by Glenn O’Brien (now deceased) and a club-scene journalist named Alain Pacadis (also deceased); in it, Warhol talks about the day he’s just spent—in Paris. (His Diaries show him there on Sept. 9.) All well and good … expect that the High Times interview was the cover story in its August issue—which would probably have hit newsstands in July—and Glenn O’Brien later claimed that the interview happened around June, in Warhol’s studio on Broadway, and he doesn’t even mention Pacadis or Paris.
As printed, the two interviews are so close that they must come from the same recording. But the French one has some great stuff that’s not in High Times, and even where there’s overlap the details of what Warhol says sometimes differ, usually in seemingly pointless ways: Talking about his planned Andymat diners, in “French” Warhol says they’ll feature frozen food (which was true) whereas in High Times he mentions plans for turkey.
Below are a few of the passages from Playboy that aren’t in High Times:
– WARHOL: I’m about to show a new series in Venice…. Just big drawings of penises, anuses, things like that.
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– PLAYBOY: Your last show consisted of a series of canvases showing hammers and sickles. Do you feel close to communist ideas?
—WARHOL: Not at all: I made some silkscreens based on esthetic ideas. We were in Rome where Paul Morrissey was shooting “Flesh for Frankenstein,” and wherever we went, the walls had huge hammers and sickles brushed onto them, in bright colors. I got the idea to make that the theme of an exhibition of silkscreens in black and red. They look like wall decorations…
–PLAYBOY: Has the Soviet Union contacted you to buy some of your canvases?
– WARHOL: No, none of the Eastern countries have made advances. Those canvases have only sold to private collectors. But I love socialist realism: Those portraits of Lenin going up to the podium or of revolutionary scenes. They’re at the root of American hyper-realism.
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– WARHOL: I want my canvases to shock their buyers. People who buy my latest silkscreens of erect penises won’t necessarily be sex maniacs.
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– PLAYBOY: Are there a lot of punk clubs in New York?
– WARHOL: Yes, but they’re not dance clubs, they’re just places where people hang out. People sit around at tables and drink beer or spirits while the musicians are up on stage. In London or Paris, it’s different: Young people dance to the music…. In New York, people aren’t like that. In lots of places, there’s no liquor license: You can’t drink alcohol, and it makes them cool…. [The punks] play much better that before. I love the Talking Heads, for example. But punk has always existed: Callas was terrifically punk. At the Factory, my ’60s studio, we were always listening to her.
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– PLAYBOY: What’s the strangest thing that you’ve been asked to sign?
– WARHOL: A newborn baby, in New York. I wrote “Andy Warhol” on it so that it would become a work of art. Another time, I was asked to sign a transvestite’s breasts. But mostly, people make me sign fake Warhols; I like that.
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– PLAYBOY: What do you think of sex?
– WARHOL: It’s one of the most important things. People always ask me which I like better, sex with a boy or a girl. Actually, I prefer to jerk off. I’m the only person who knows exactly how to make me come best, so why ask someone else to do better?
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– WARHOL: One thing’s for sure: Most of the people who make things happen in New York are gay. I don’t see why we should hide that…. S&M has started to catch on. In New York, a new leather bar opens every week. You have to live in your times: People change; customs change.
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Dans un monde où le rêve et le réel ne font plus qu'un.
Alain Pacadis (Un jeune homme chic)
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