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#anne truit
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DIMANCHE 23 JUILLET 2023 (Billet 2 / 3)
JM avait demandé lors de son repérage à la galeriste si elle connaissait un bon restaurant dans le quartier. Vous savez qu’on aime bien mélanger les plaisirs esthétiques avec ceux de la chère…
Et c’est comme ça que nous avons découvert le « Domaine d’Olléac », un restaurant de spécialités du Sud-Ouest. Mais le temps ne se prêtant pas aux plats trop riches, nous avons opté pour un déjeuner (relativement) light et nous nous sommes régalés !
Nous reviendrons avec nos amis de Brême, Anne et Anthony (W.), quand ils nous feront la surprise de venir à Paris. Nous sommes persuadés qu’ils vont apprécier. Anthony qui est végétarien ne sera pas laissé pour compte car il y a des spécialités à base de truite dont on nous a dit beaucoup de bien.
Et nous, nous avons été tellement surpris de voir à la carte des « cuisses grenouille cuisinées avec une sauce à base de foie gras », que c’est ce que nous avons choisi. Une vraie tuerie ! Le restaurateur nous affirmé que tous les produits viennent de différentes régions du Sud-Ouest (Corrèze, Pays de Bigorre…), nous avons donc cru un instant qu’il y avait des élevages de grenouilles au pied des Pyrénées. Mais, très honnête, il nous a dit que pratiquement toutes les grenouilles qu’on trouve dans les restaurants en France viennent de pays asiatiques.
En entrée, un pâté que nous nous sommes partagés, accompagné d’une compotée d’oignons et pour finir, une « Crème Brulée », servie tiède et caramélisée, peut-être une des meilleurs qu’on ait mangée !
Le restaurateur, comme nous, « n’a plus 20 ans depuis longtemps » (parlez avec lui, c’est un monsieur qui vient de loin…) mais il est d’une gentillesse incroyable. Bien que n’ayant fait qu’effleurer la richesse de sa carte, nous lui donnons❤️❤️❤️❤️ sur 5, service compris. C’est sûr, nous vous en reparlerons…
« LE DOMAINE D’OLLEAC » / « DOMAINE DE LENTILLAC »
20 rue Rousselet - PARIS 7e
Tél : 01 45 66 88 23
Ouvert du mardi au dimanche de 12 h à 14 h et le soir à partir de 19 h 30 Toute l’année
Métro : Vaneau
Site : Restaurant le domaine d'Olleac (domainedolleac.com)
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datura21 · 2 years
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Anne-So est passée nous avons fait des images, des polas, on a parlé cuisine aussi, il y a eu des lentilles béluga au menu avec de la truite saumonée et du thon... Mais je ne vais pas tout vous révéler.
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Chroniques irlandaises: L'ivresse des tourbières (4)
Chronique irlandaise : numéro 4
Les Kelly rendirent l’invitation deux ou trois jours plus tard. Je les soupçonnais de nourrir l’arrière-pensée (légitime) de vouloir initier les jeunes générations aux us et coutumes des Français en provenance d’un pays dont la capitale était… ? Peu importe où se situait la capitale, du reste, Budapest ou Aix-la-Chapelle, dès lors que tout le monde s’accordait à reconnaître Lourdes en tant que capitale spirituelle universelle. Pour ce fameux « apéro », Ils avaient réuni dans leur étroit séjour toute la partie de leur parentèle qui n’avait pas émigré aux États-Unis. Y figuraient un cousin un peu lent et volumineux, le petit-fils. Kevin et sa fiancée. Maureen était un archétype d’Irlandaise accusé par une jupe vert pomme, des cheveux roux et une peau diaphane parsemée de taches de rousseur. Le fantôme de Deirdre , la chanteuse, s’était en un instant encadré à la porte.
L’ambiance était rapidement devenue d’autant plus chaleureuse que l’essentiel de l’espace était occupé par la reine Mary-Ann, entourée de ses dieux tutélaires. A intervalles réguliers son rocking-chair décélérait. D’un geste ample du bras droit elle arrachait le portrait de John Fitzgerald Kennedy à son stationnement sur le téléviseur afin de l’embrasser. Ou plus précisément afin de le picorer, à petits coups secs séquencés par des soupirs d’aise. God bless you ! Ensuite elle le repositionnait entre une gourde d’eau bénite et une croix de sainte Brigid et le balancement poussif de son rocking-chair reprenait . C’est James qui s’affairait au service du high tea-apéro -un audacieux concept gastronomique susceptible de remplacer un jour le brunch dans les milieux autorisés.- Il s’agissait d’un combiné de whisky, de thé noir et d’assiettées de scones aux pistaches dont la composition s’était aggravée par la mise en circulation d’un pot de confiture de rhubarbe et de ces innommables sausages à la couleur cadavérique, molles et gluantes.
On parlait truites. On chantait. On causait moutons… Le cousin avait entrepris de me faire prononcer correctement whiskey et le nom gaélique du whiskey, uisce beatha, eau-de-vie. Lassée de son interminable effort pédagogique, j’observais le dos de la main de Maureen, posée sur son genou, sur la jupe verte (des grains de son sur une prairie). Le jeune couple avait relayé le cousin pour me prendre en aparté, à propos de musique. Il fallait bien se douter que les ondes radiophoniques avaient traversé la mer d’Irlande pour pénétrer le cœur obscur du Mayo. Et non seulement ces deux-là n’étaient pas nés au temps du prix de l’Eurovision attribué à la France, mais ils auraient situé notre pays sur une planisphère. C’était, disaient-ils, la Brittany, là où ils iraient un jour, au départ de Cork. Je n’avais bien sûr rien à redire à cette approche territoriale que de mauvais esprits qualifieraient de celtomanie.
J’étais distraite par ce joli tableau, la main de Kevin qui venait de se poser sur la main de Maureen, sur l’étoffe verte, quand ça s’était produit. Brutalement.
Ils avaient réclamé une autre chanson française…
Si l’on me demandait aujourd’hui à quelles extrémités peut conduire l’ingestion rapide d’un demi mug de whisky- à l’exclusion de tout excès personnel dont l’intérêt ne vaut que pour la littérature de Relay H-, je répondrais sans hésiter : à chanter du Michel Sardou. Accablée, mais tenue de sceller l’amitié franco-irlandaise, j’avais redressé la tête pour exécuter : Lààà-Baas au Connemara, ou ce que j’en avais retenu, les paroles comptant moins que la possible reprise collective sur le seul mot de Connemara. Je détachais bien les syllabes afin de permettre à l’autre équipe de passer sans encombre de Connaught à Co-Ne-Ma-Ra. Et de lancer des regards assassins aux pêcheurs de truites à première vue réticents à me soutenir dans l’épreuve. Profitant de l’ovation qui avait suivi, Niall s’était éclipsé pour revenir de chez lui les bras chargés de bouteilles de stout pendant que, mûrissant un projet de vengeance, j’avalais une bouchée à la saveur inédite. Ce pouvait être quelque chose comme un muffin bacon- rhubarbe-cacahuètes.
L’avanie est un puits sans fond dans lequel mon auditoire, conquis, semblait avoir juré de me précipiter. J’avais dû reprendre cette chanson, appuyant de façon outrancière sur le tempo de musique militaire du début et sur le lamento de crooner de la fin quand j’avais entrevu l’ombre d’un sourire moqueur sur le visage de mes coéquipiers. Je les avais intérieurement voué aux gémonies ainsi que Michel Sardou, Pierre Delanoë et la famille Kennedy jusqu’à la vingt-cinquième génération. Et puis j’avais saisi un détail, ce genre de détail qui vous fait fondre instantanément. Au moment où j’avais chanté « Maureen a dit oui » un sourire radieux en direction de Kevin avait fait pétiller les taches de rousseur sur les méplats roses du visage de sa fiancée. L’attendrissement est une circonstance qui ouvre l’esprit. Il permet d’accueillir favorablement diverses choses, par exemple cette voix off que nous entendons rarement s’élever dans notre mémoire. Elle est pourtant toujours prête à reprendre le début d’une histoire.
Elle fait : Il était une fois. Ou bien :
 « J’avais un café-théâtre tapi dans l’épaisseur minérale d’une maison templière dans une ville de Petite Bretagne. »
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Flash-back. A présent, Molly Malone est morte de fièvre en poussant sa brouette dans les rues de Dublin. Les musiciens ont rangé leurs instruments. Ils attendent au bout de la venelle, dans le camion dont une portière est ouverte. Barbouillée de chocolat, la toute petite fille s’amuse à noyer sa tartine dans son bol, la chienne s’étire au soleil devant le seuil et Deirdre se lève pour partir. Nous nous embrassons  étroitement comme le font les gens débordés du bonheur de leur rencontre mais avec ce chat dans la gorge, ce miaulement de chat écorché qui contient les mots qui se précipitent sans qu’on puisse les prononcer. Comme les millions de gens qui, sachant qu’ils ne se reverront jamais, retiennent par exemple : See you later ! Deirdre temporise un peu. Caressant la joue de la petite fille,  essuyant une trace de chocolat sur sa joue, s’accroupissant pour gratter le museau de la chienne, se relevant…. Et dans le volte-face tourbillonnant de ses jupes vertes, elle me lance une convocation :
« You seems like an irish person ! »
La chienne sur les talons, au rythme cahin-caha de la petite fille que je tenais par la main, j’avais gagné le marché tout proche. Ce surplus d’émotion lié au plaisir toujours renouvelé d’aspirer les odeurs de marée mêlées de beurre tiède grésillant sur une galetière , c’était parce que personne ne m’avait jamais dit: Tu ressembles à une Bretonne. Nous n’avons pas de signe extérieur d’appartenance à notre longue histoire comme la peau verte ou à pois bleus. Seulement une fois, des lettres écrites en rouge au pied du lit dans une maternité du centre de la France :  «  Mère d’origine bretonne. » Seulement l’AOC, la traçabilité des génitrices, en prévention des hanches luxées. Xavier Grall était mort en nous laissant son testament et les pleurs de son épagneul sous les chênes de Botlézan. Nous devenions comme un livre oublié dans le scriptorium d’un monastère dévasté par les Vikings. Sur les pages à demi-consumées se devinent encore des fragments de lettrines déshabitées, des poussières de cinabre et de cochenille, des pépites d’or terni. Mais c’est à peine lisible.
Notre lieu s’efface.
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Après quelques secondes d’absence aux « terres brûlées du Connemara », j’étais revenue chanter. J’avais poussé le raffinement jusqu’à reprendre le texte. Maureen a-t-elle dit oui ? J’y avais carrément substitué : Maureen said Yes !
La joie est communicative. Quand Mary Ann avait étendu la protection de J F K sur ma tête, j’avais oublié Sardou et même battu ma coulpe en me souvenant que, chez nous, nous chantons bien la Paimpolaise. Malgré les efforts de James qui n’avait cessé de « refaire le niveau », les mugs étaient dorénavant vides et les bouteilles aussi. Nous nous étions copieusement bénis les uns les autres sans oublier le trente-cinquième Président des États-Unis, tout sourire dans son cadre en plâtre blanc plus festonné de guirlandes de roses qu’un gâteau de mariage anglais. God bless us ! Sur le court trajet qui ramenait à Kate’s cottage, Niall avait fait une démonstration de la fonctionnalité contemporaine des murets. Ils bordent la trajectoire sinusoïdale de ceux qui cheminent par une nuit sans lune en braillant Là-bas au Connemara.
C’était une de ces nuits avec lesquelles on n’est jamais prêt d’en finir, une nuit compactée sur les tourbières. A leurs émanations sensiblement narcotiques se joignaient ce qu’il faut bien appeler une légère ivresse…Je m’étais attardée sur le banc du jardin, en réalité un champ surmonté d’une volée de corbeaux. Encore les corbeaux ! J’avais lu dans le grimoire des anciens Bretons que les corbeaux se regroupent à proximité d’une personne qui détient l’Agrippa, ce Livre qui ne veut pas mourir. J’étais pourtant certaine de ne pas avoir glissé clandestinement un livre de conjuration des esprits dans un float-tub pendant le voyage; de ne pas avoir fumé de la sphaigne séchée. Et dans cette profondeur de silence où se perd l’origine des chuchotements, cette voix venait-elle de moi ou d’un livre oublié à ciel ouvert dans les ruines d’Inishmaine Abbey , à la page qui raconte :
« Trois amants sur l’Île de Bretagne, parmi eux Trystan Ab Talwch, qui aima Essyllt Vynwen, l'épouse de March Ab Mechiawn, son oncle. » ?
Encensée par les volutes bleuâtres de la fumée de ma cigarette s’élevait une sorte de conjuration.
« Kevin, fils de Trystan Ab Talwch amant de Maureen, fille de Deirdre et d’Essyllt Vynwen, épouse de March Ab Mechiawn, ne lâche jamais les éphélides contenues dans la paume de ta main avec tous les états de feu de ce pays, les rousseurs sulfureuses, les ondoiements fauves des chevelures et les ruissellements de l'uisce beatha, de l’eau-de vie. Dans le secret fossile de la tourbe noire se consume l’inextinguible poème charnel.»
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Les corbeaux dormaient et Belzébuth aussi, sans doute. J’avais écrasé mon mégot. Dans ma détermination à me venger des pêcheurs qui m’avaient lâchement abandonnée à Michel Sardou, je m’étais brulé le bout du doigt.
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llovelymoonn · 3 years
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on loneliness
may sarton \\ anne truit turn: the journal of an artist \\ marie alsing \\ olivia laing the lonely city \\ mitt kobayashi \\ banana yoshimoto kitchen \\ sarah teasdale morning song from flame and shadow \\ mitt kobayashi comfortable place \\ barbara kroll \\ mary oliver flare \\ celia paul dark painting of a woman (2000) \\ radiohead creep
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conformi · 6 years
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Ettore Sottsass jr, Superbox cabinet “Hotel California”, 1966 VS Anne Truitt, Parva XXIX, 1993
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paintedout · 6 years
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Anne Truitt's 35th Street studio in 1979
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artsyloch · 7 years
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Anne Truit | Parva LIV
executed 2001 acrylic on wood 12 ¼ x 12 x 3 in. (31.1 x 30.5 x 7.6 cm.)
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ecrisettaistoi · 2 years
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Je ne connais qu'un devoir, c'est celui d'aimer
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Il avait longuement hésité entre la truite saumonée du lac givrée à la norvégienne, le caneton de Challans à la vigneronne et la poulette de Bresse au moelleux de Louhans mais avait vite rejeté l'idée d'une entrée. Ils avaient assez fait bombance comme ça ces derniers jours et il restait encore de la route. Va pour la poulette. Michel avait pris la truite, Janine aussi, tout était délicieux mais Anne avait à peine picoré son saucisson chaud du Beaujolais, lui préférant les pommes de terre.
Ils riaient tous encore de leur quête de Sens, la ville et l'Hôtel de Paris et de la Poste où ils déjeunaient et de ce double sens qui avait animé la conversation sur la route. Lui en quête de sens, c'était savoureux. L'un des plus grands esprits du moment. Après le plat copieux, il passa son tour pour la tarte à l'envers des demoiselles Tatin. Ils avaient à peine bu, une bouteille de Fleury 59 à trois et commandé trois cafés pour ne pas trop s'attarder. Trois bonnes heures de route les attendaient pour rejoindre Paris si ça ne bouchonnait pas trop vers Melun. Dans un cérémonial millimétré, le serveur déposa la douloureuse avec délicatesse sur la table.
C'est lui qui régla l'addition. Il avait déjà insisté pour payer le plein en partant de Lourmarin. Alors qu'ils avaient récupéré leur vestiaire, le maître d'hôtel se hâta vers eux, le livre d'or à la main. Il s'exécuta de bon gré.
En sortant sous la pergola pour rejoindre le parking, le froid les prit instantanément sous son aile. Comme si chaque écharpe, chaque manteau s'était figé, glacé. Il remonta le col de son pardessus noir mais cette humidité imprégnait tout. Il ouvrit côté passager, recula le siège et laissa passer Janine et Anne à l'arrière, trépignant d'impatience de pouvoir refermer la portière derrière lui et échapper à la morsure de ce froid si dense. Leurs quatre respirations embuèrent l'habitacle. Contact. Le V8 toussa un peu mais se mit à vrombir avec lourdeur. Les 1 660 kilos se murent lentement et rejoignirent le bitume.
Rue de la République, rue du Général Leclerc, les numéros filaient à bonne allure pour rejoindre plus au nord la Nationale 5. Dès la sortie de Sens, le puissant coupé avala les kilomètres. Villeperrot, Pont-sur-Yonne, Villemanoche n'étaient plus que des souvenirs que la Facel laissait dans son sillage. À la hauteur de Champigny, Michel revint à une vitesse raisonnable, s'arrêtant au feu de la plus grande intersection. Vert. Les dernières maisons furent vite avalées, le monstre s'élança, dévorant l'asphalte, freinant aux abords d'une courbe légère, remettant les gaz sur le faux plat légèrement en montée. 100, il s'alluma une cigarette, 110, jeta l'allumette par la fenêtre, 120, 130, il regarda devant lui cette longue ligne droite bordée de peupliers, 140, la voiture rugit, accéléra, dérapa, frappa un arbre, rebondit, disloquée, et vint s'encastrer dans un second, quinze mètres plus loin. La carcasse ceignait l'arbre. L'arbre n'avait pas bougé. Aujourd'hui, Albert est mort. Ou peut-être hier, je ne sais pas.
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alexlacquemanne · 3 years
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Avril MMXX
Films
L'aventure c'est l'aventure (1972) de Claude Lelouch avec Jacques Brel, Lino Ventura et Charles Denner
L'Emmerdeur (1973) de Édouard Molinaro avec Lino Ventura, Jacques Brel et Caroline Cellier
3 h 10 pour Yuma (3:10 to Yuma) (2007) de James Mangold avec Russell Crowe, Christian Bale et Ben Foster
La Veuve Couderc (1971) de Pierre Granier-Deferre avec Simone Signoret et Alain Delon
Habemus papam (2011) de Nanni Moretti avec Michel Piccoli, Nanni Moretti et Margherita Buy
La Septième Compagnie au clair de lune (1977) de Robert Lamoureux avec Pierre Mondy, Jean Lefebvre et Henri Guybet
La Princesse de Montpensier (2010) de Bertrand Tavernier avec Mélanie Thierry, Gaspard Ulliel, Grégoire Leprince-Ringuet, Raphaël Personnaz et Lambert Wilson
Cyrano de Bergerac (1990) de Jean-Paul Rappeneau avec Gérard Depardieu, Anne Brochet, Vincent Pérez et Jacques Weber
Le Sauvage (1975) de Jean-Paul Rappeneau avec Catherine Deneuve, Yves Montand et Luigi Vannucchi
Barry Lyndon (1975) de Stanley Kubrick avec Ryan O'Neal, Marisa Berenson et Leon Vitali
Jo (1971) de Jean Girault avec Louis de Funès, Bernard Blier et Claude Gensac
Le rouge est mis (1957) de Gilles Grangier avec Jean Gabin, Lino Ventura et Annie Girardot
Mélodie en sous-sol (1963) de Henri Verneuil avec Jean Gabin, Alain Delon et Maurice Biraud
Bullitt (1968) de Peter Yates avec Steve McQueen, Robert Vaughn et Jacqueline Bisset
Le cave se rebiffe (1961) de Gilles Grangier avec Jean Gabin, Maurice Biraud et Bernard Blier
1492 : Christophe Colomb (1492: Conquest of Paradise) (1992) de Ridley Scott avec Gérard Depardieu, Sigourney Weaver et Armand Assante
L'Homme de Rio (1964) de Philippe de Broca avec Jean-Paul Belmondo, Françoise Dorléac et Jean Servais
La Fille de d'Artagnan (1994) de Bertrand Tavernier avec Sophie Marceau, Philippe Noiret et Claude Rich
Symphonie pour un massacre (1963) de Jacques Deray avec Charles Vanel, Jean Rochefort et Claude Dauphin
Le Soleil des voyous (1967) de Jean Delannoy avec Jean Gabin, Robert Stack et Margaret Lee
Comment épouser un millionnaire (How to Marry a Millionaire) (1953) de Jean Negulesco avec Marilyn Monroe, Lauren Bacall et Betty Grable
Spectacle
Ben l'Oncle Soul - Tribute to Frank Sinatra (2016)
Le sommelier (2018) de Patrick Sébastien avec Didier Gustin, Philippe Chevallier, Marianne Giraud et Kym Thiriot
One World: Together at Home (2020)
Séries
Psych Saison 7
Une soirée mystérieuse - Quel cirque ! - Mariage mouvementé - Vies parallèles - Jeune femme partagerait appartement - Impair et Maire - Meurtre au bureau - Radio meurtre - Une affaire qui déride ! - La Truite sur le dos - Tous en scène ! Acte 1 - Tous en scène ! Acte 2 
Castle Saison 4
47 secondes
Maguy Saison 1
Changer de look, quel souk ! - A visage redécouvert'’
Chapeau Melon et Bottes de Cuir Saison 6, 5, 4
L'Invasion des Terriens - George et Fred - Une petite gare désaffectée - Mon rêve le plus fou - Rien ne va plus dans la nursery - Voyage sans retour
Top Gear Saison 14, 18, 19, 20, 12, 16, 22, 13, 10, 11
Du grand art ! - Surfin’ USA - Spécial Journée Circuit - Rugbymobile - Mission Camping-Car - Trois camions d’enfer - La fiesta dans tous ses états - Le choc des titans - James VS Tanner - Une voiture pour chaque situation - La traversée de Londres - Apprentis policiers - Routes de rêve - Spécial Bolivie
Meurtres au paradis Saison 9
La Lettre à Élise - De Manchester à Sainte-Marie - Opération Survie - Le Salon de coiffure
Kaamelott Livre I, II, VI
Præceptores
Livres
OSS 117 : Cité secrète de Jean Bruce
Les Aventures de Tintin : Les Cigares du pharaon d’Hergé
Le Catch : Ma vie, notre passion ! de Christophe Agius
Kaamelott Tome 1 : L'Armée du Nécromant de Alexandre Astier et Steven Dupré
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theartlover · 3 years
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Painting Ideas : Current Exhibitions | Matthew Marks Gallery
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Painting Ideas :
– Picture :
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– Description
Anne Truit, Truitt ’67 [14], 1967, Acrylic on paper, 41 x 27 1/2 inches,104 x 70 cm | abstract painting
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awhilesince · 4 years
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Thursday, 11 February 1830
9 3/4
1 1/4
Dr Tupper called as he often does on my aunt at this time of morning – went in to thank him for his book – at 10 3/4 – He had just been telling my aunt that it was in the papers this morning that Lord Graves had cut his throat – my aunt shocked – said I had never mentioned the thing to her at all – should have been if it could have been hushed up – there were private circumstances which aggravated the case – Poor Lord G– (Graves)! at the time he was so ably but quietly advocating the duke’s cause to me at Aix la Chapelle and Brussels, the duke was heaping on him the deadliest injury! – But as Dr T– (Tupper) observed this will only make him more unpopular than ever – said it was odd I had not heard from Mrs Barlow – It seems she wrote to Mr Delisle from Nice – hoped to see Dr T– (Tupper) – some evening soon, saying he knew Captain and Mrs Droz – must ask them all – 
breakfast over at 11 20/60  – wrote the above of today – read over my letter written last night to IN (Isabella Norcliffe) – chit chat – mentioned having received at Laffittes 287/. for her stays earrings and Mrs James Dalton’s veil – speak handsomely of the Poore’s – think him 
“very gentlemanly and does not give me at all the idea of being guilty of intentional rudeness to anyone – there must have been some mistake about his not speaking to you in Bath – I certainly did happen to meet them at our ambassador’s; but as it happened to be at the ball, and not at one of the more private soirées, to all of which however, Lady S– (Stuart) de R– (Rothesay) had been good enough to invite me, I cannot fancy there was to be attributed to the men local of our meeting any such influence as you imagine – I think Lady P– (Poore) a very nice person –
she had been remarkably civil to me even tho I have not yet told her she was inquired about in a letter I had the other day from a person whose remembrance  tho slight she would probably not dislike   I mean Miss Hobart Miss MacLeans niece  Lord Buckinghamshires ssister  there is all the finery that I have written conclude with love to all 
“and tell them I am determined that, by hook or by crook, I will not be forgotten” – …. good night my dearest Sibbella – Ever very faithfully and affectionately yours AL– Anne Lister”
speak of Mrs James Dalton 3 times and always in the letter as aunt Maria – at 12 5/60 off to Captain Hall’s – the honourable Captain de Rous there RN– (Royal Navy) and his friend Captain commander R.N. (Royal Navy), Langford – the former had been buying, Quai Voltaire he said between the Pont des Arts, and neuf, some little etchings which he believed to be Rembrandt’s – has 6 of them – had given 2 francs for one of them – they were worth 10/. a piece – he is collector – quite understands Rembrandt’s etchings – a thickish 8vo (octavo) published describing them all – both the 2 RN–s (Royal Navys) gentlemanly – they went away about 1 1/2  – I unluckily asked Captain H– (Hall) to sketch me as he had done Captain L– (Langford) sat 3 times without intermission from 1 40/60 to 2 1/2 for 3 miserable attempts no more like me than like Captain H– (Hall) himself – of course, I said all I could for them – that there was the character of myself etc. etc. tired of death of so wasting my time, but said it with good grace; for after the 1st attempt, he said he got quite into the thing and wished me to sit again – 
home at 2 3/4 – wrote the last 8 lines – said I thought I should not go to the ball   in fact I have no one to go with would not ask the Halls to go with them   they would rather be entoures by Lady Hislop etc. than me and I should never think of the Halls but in dire necessity – I care not for the ball but shall be glad to have a companion by and by – 1/4 hour nap in my chair till 4 – my day, how wasted! Dressing – dawdling over 1 thing or other – Forest to have come at 4 3/4 – not come at 5, so sent for the coiffeur that live’s  Monsieur Senés house place neuve de la Madeleine no 2 – 
got to the Pringles (Hotel du Mont Blanc rue de la paix no 25) at 6 – a Mrs Alexander and Miss Hill there – by and by came the 2 Misses Pringle, then the bride and bridegroom Mr and Mrs P– Pringle – sat down and dinner (12) at 6 50/60 – 3 silver covered dishes each – only one soup I think, and at the bottom – this removed and soles top and a large “truite saumonée” salmon trout at the bottom – these were removed and nothing replaced them – the side dishes which had waited all this time were of course quite cold – there were petits patés, and lamb cotelettes, and a large standing pie like, looking paté called a volauvent, and a piled up in steps dish like a hash of calve’s head the large pieces of tongue forming a prominent part, and a mould of something like savoury jelly or brawn, and I did not see the other thing – Bordeaux, Sauterne, and champagne white and red – waited a long time after the fish was removed – the host and hostess not asking anybody to have anything and the servants not handing things round – at these was a partial attempt at the latter and Mr P– (Pringle) invited all to have volauvent the dish that was misplaced and brought to him to serve – waited for the 2nd course – Dindon aux Truffes top, a large dish full (6 or 8, woodcocks bottom – 2 jellies (reddish) and yellow à l’ordinaire) each side middle and all 4 corners vegetables – stewed celery, Brussels sprouts, Epinards, and something else – pommes de terre à la maître d’hotel for they were handing round and Mr P– (Pringle) ate them with his woodcock – at Dessert the 2 jellies removed – a cream top and ice bottom (but somehow before the ice came Mr P– (Pringle) had a Charlotte Russe of which I ate – not good –) – and apples and sweet biscuits and gateaux etc. for dessert – an expensive, cold, not good dinner – but everbody talked and played the agreeable and all went off well – Mrs P– (Pringle) tho’ sat inanimate – seeming to make no play neither as to conversation nor anything else – a fine woman with lately a heat in her face that appears to spoil beauty – she seems quiet, and amiable, but not to have much in her – it was about 9 when we left table – Mr and Mrs and the 2 Misses P– (Pringle), Captain and Mrs and Miss Hall, Mrs Alexander, Miss Hill and Lord St. Clare or Sinclair, and Mr Ogelvie Sir something Ogelvie’s son obliged to come home on leave of absence from India on account of his health and myself = 12 – a soirée after dinner – ladies to the amount of 24 or 25 and a few gentlemen altogether about 30 – filled the salon sufficiently – the P–s (Pringles) going tomorrow morning at 11 –expressed all civil regrets – talked to a Mrs Gowan, and Lord Sinclair, and the Halls, and much to Mr P– (Pringle) and his sister – their mother 2nd cousin to Lady Hardwick, and young Mrs P– (Pringle) cousin of some sort to Lady S– (Stuart) de R– (Rothesay) Mr P–‘s (Pringle’s) father that I used to know at Mr Duffin’s died in 1827 – his place 5 miles from Selkirk, 4 miles from Abbotsford and Sir Walter Scott – Mr P– (Pringle) hoped to see me there – would shew me all the lions – the Misses P– (Pringle) and their mother have bought a house 46 Charlotte square Edinborough and hope to see me – beg me to consider it a home they fancied me quite an old acquaintance – talked a little to Mrs P– Pringle at the end of the evening – seemingly a very quiet, good person – all the party came away about the same time – home at 11 – 
note of invitation to dine at the embassy tomorrow – the servant who brought the note wanted an immediate answer, but impossible as I was gone out to dinner – wrote and sent George immediately with the following 
“Miss Lister se fera l’honneur de diner chez l’ambassadeur d’angleterre et Lady Stuart de Rothesay vendredi prochain 12 Fevrier à six heures et demie”
directed “the Lady Stuart de Rothesay” – 
sat talking to my aunt 1/2 hour and came to my room at 11 40/60 – spoke to Cameron about its being indispensable for me to have someone to dress my hair – should be glad if she could manage it and suit me – if not it would be no fault on her part as I was quite sure she always did the best she could –, and I was with Mrs Lawton and Mrs Belcombe and her family do the best I could to get her a place – the man thus waiting said she would require perhaps 15 less at 3/. each and 25 or 30 sols for a person of whose to make a block for practising on – she must consider whether she would be at this expense – of course, I could not pay for her learning her business, but would raise her wages if she could dress my hair, and suit me better –
thinking much of being asked to dine at the embassy thankful to god for all his blessings and praying that I might never on any occasion forget my gratitude to the author of all good   my first impression was to kneel down and be thankful    oh that I may always think first to thank god for all his blessings – 
while dressing this afternoon came note from Mr Lindley enclosing letter 2 3/4 pages from Miss MacLean to introduce this Mr Lindley (Augustus Frederick) 
“a very particular friend of my aunt Machan’s who has requested me to introduce Mr Lindley to you – he is grandson of the Lady Elizabeth Murray who was daughter to the duke of Athole, so that he is cousin to the present duke – my aunt mentions that he is intimately acquainted with president Polignac – and perhaps you can tell him the best mode of introduction to Lord and Lady Stuart de Rothesay but as my aunt also says he is going to Paris expressively to visit the Royal family – I should think his introduction sufficient – he will tell you how I look – I have not the pleasure of his acquaintance yesterday being the 1st day I ever saw him” 
…..!!! I immediately wrote a note back by his servant to say I was sorry I was not at home yesterday but should be at home any time between 12 and 2 today and should be glad to see him – he said in his note he should be glad to call any Time I would appoint – his note dated “Hotel de Lille et d’Albion“ – after undressing sat musing a little – Dr T– (Tupper) said this morning Fahrenheit had been at 31° Fahrenheit out my window at 36 at 10 a.m. and about 31° I think on coming to my room tonight –
left margin: Miss MacL–‘s (Maclean’s) letter Saturday the 3rd instant ”Mrs Lawton sat for some time with me on Monday – I never saw her looking so well, so fat, and rosy – and the picture of happiness so cheerful – she talks of paying you a visit soon” !!!
(SH:7/ML/E/12/0162) (SH:7/ML/E/12/0163)
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Chroniques irlandaises:Pas de Maroilles pour Rosie (1)
Préambule
J -6 . C’est le délai requis pour exhumer la check-list et commencer à préparer les bagages sans avoir à hiérarchiser les priorités entre l’indispensable -mettons chaussettes, brosse à dents, saucissons secs- et le superflu . Du vin rouge, produit de luxe Outre-Manche. Du vin blanc et des pieds de menthe pour Rosie. Au final il ne me restera que quelques heures pour négocier la place vacante accordée par les pêcheurs afin d'emporter plus de livres qu’il n’est possible de lire ou relire en une semaine . Combat récurrent pour faire reconnaître un des symptômes les plus manifestes de mon TOC (Trouble Obsessionnel Compulsif de Lectrice): ma bibliothèque ne tient pas en place. En imposer une partie dans un véhicule surchargé par l’équipement sportif de pêcheurs de truites s’est toujours avéré être une épreuve que la force ne suffit pas à résoudre. Plutôt l’art de la dissimulation qui consiste à insérer jusqu’au dernier moment un livre entre deux boîtes de mouches. Mais le livre essentiel, le livre à ne vraiment pas oublier, c’est le Journal irlandais d’Heinrich Böll bien qu’il soit parfaitement inutile de le relire. Il devrait être connu par cœur depuis la toute première fois, depuis qu’il fut sélectionné en qualité de TripAdvisor privé.
Heinrich Böll a fait ce voyage en Irlande en 1955. Nous sommes dans la nuit. La jeune épouse d’un médecin suit le long des falaises le tracé du chemin au bout duquel, vers le 24 septembre de chaque année, Mary McNamara met un enfant au monde. J’avais alors écrit :
« L’ongle laqué d’argent de la jeune épouse du médecin qui s’ennuie (les épouses de médecins de campagne s’ennuient partout jusqu’à ce qu’elles rencontrent un jeune gandin), donc, son ongle creuse des milles de moor, suit le faisceau des phares qui plongent vers la falaise et rejaillissent des ténèbres. »
La nouvelle était vite parvenue en Amérique. Les pieds crispés sur les barreaux du lit, Maureen McNamara venait de mettre au monde un fils. Au-delà des falaises, il me suffit de poursuivre de l’ongle le tracé d’immémoriales navigations à la recherche du Nord du monde :
« Ce Nord cosmique choisi comme point d’orientation dont seule une marche ascensionnelle peut rapprocher . » (Henry Corbin,  L’homme de lumière, cité par Kenneth White).
Depuis ce Nord embarquèrent des princes gaéliques et des moines à la tonsure singulière pour croiser en l’Armorique. Ils y installeraient leur thébaïde, donnant leurs noms à des îlots inhospitaliers, essaimant au travers de la Petite Bretagne des ermitages sur lesquels, dans le murmure des fontaines, surgiraient des chapelles entre les bruyères. Ils s’y égrènent encore, anarchiquement, à chaque seconde, dans une autre langue. Faire et défaire des valises pour investir les lieux où l’on est sans cesse convoqué, c’est gérer une entreprise import-export de territoires...
On me signale qu’il faut apporter les friandises de Gavotte « qui restent » pour la chienne de Rosie. Je ferai leur connaissance à toutes les deux puisque que ma dernière fois c’était dans une autre location, près d’un pub de bord de route. Une petite bâtisse trapue jaune safran assaillie par la vigne vierge à l’intérieur de laquelle se désagrégeaient de gigantesques truites empaillées. Les petites annonces locales obsolètes y étaient encore en place.  Ce devait être 2 BC. (Before Covid) …
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Les friandises tiendront peu de place. Ce « qu’il reste » de croquettes et les laisses ont été données aux chiens des SDF. Et au retour, seulement l’écuelle, à jeter. Le collier – cuir beige un peu patiné à la boucle dont l’odeur se sera dissipée –, à brûler. Quelques pincées de cendres saupoudrées dans les courants de la baie traceront une mince traînée grise à la crête des vaguelettes. Puis l’écume, sa provocante blancheur. (Question de gwenn ha du à explorer : pourquoi Anne de Bretagne a-t-elle substitué le noir au blanc du deuil des reines de France ?)
Peut-être est-ce que l’épisode de « distanciation sociale » aura mis fin à la séculaire promiscuité virile autour des pintes de Guinness au comptoir chez  Burke’s and sons? Mais le temps qui passe n’aura eu aucune prise sur cet espace. Seules traces de résistance, quelques ruines témoignent de l’irrésistible effacement de l'Histoire. Dans cet embarcadère épargné par la culture latine, sur ces lacs insondables cernés de tourbe et de sphaignes, de pierres lunaires , de montagnes aux flancs fauves parsemés de tâches écrues, laineuses, règne une sorte de silence primordial.
Il a précédé le vent.
Et le langage.
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Pour seule porte d'accès à ce silence, le testament bardique.
J’ai été sous une multitude de formes
Avant d’être sous une forme matérielle:
J’ai été une épée droite et bariolée
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Je crois à ce qui est visible,
J'ai été une larme dans l'air,
J''ai été livre à l'origine
(Taliesin, VI ième siècle)
A Botzulan une nuit de 1981 pleurait l’épagneul de Xavier Grall. Ici où ma bergère australienne n’est jamais venue, le temps est celui dans lequel je devrais la retrouver à mon retour.
Six jours, donc,  pour ne rien oublier et en même temps ne retenir que l’essentiel. Ah ! Rosie voudrait aussi du fromage. Mieux conviendrait un  fromage à pâte douce car passer brutalement du cheddar au Maroilles ou au Munster pourrait lui provoquer un choc anaphylactique.’
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bernardcamus · 6 years
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The Sleepy King 35 — Cohen upside-down - 8/11/17
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A whisper in november for Leonard Cohen, for friends, for poets & bluesy women. �� mots couverts sous novembre, pour les amis, pour le bleu des femmes, pour Leonard. Poèmes de Mario Cesariny de Vasconcelos, Natalie Thibault & Daphné B. Poems by Mario Cesariny de Vasconcelos, Natalie Thibault & Daphné B. Musique et poésie avec Benoît Chaput de L'Oie de Cravan. Trente-cinquième émission, 8 novembre. Music & poetry with Benoît Chaput from L'Oie de Cravan. Thirty-fifth show, nov 8th.  photo : Lucca Joy Barratt & Leonard Cohen (Tony Barratt)
Archives : https://www.mixcloud.com/sleepyking/
1/ Leonard Cohen - Slow 2/ Musa Dwarf - Jääätelio 3/ Emmylou Harris & Daniel Lanois - Stranger song 4/ Myriam Gendron - Avalanche 5/ Giant Sand - Texting Feist 6/ Leonard Cohen - True love leaves no traces 7/ Claudine Longet - Let's spend the night together 8/ Kahimi Karie - Lolitapop Dollhouse 9/ Xenia Rubinos - Whirlwind 10/ Vivi - Mi bord à toé 11/ Ti-l'Afrique - Pop Sould Seka 12/ Tetuzi Akiyama - time between 13/ Daphné B. - Delete (poèmes-extrait) 14/ Natalie Thibault - L'Oiseau de ma mère (poèmes - extrait) 15/ Jo Bur - Ouate 16/ Truite - Truite 17/ Nate Scheible - With any kind of luck 18/ Mark Fosson - March improvisation 19/Marceau - Newlong 20/ Bottleneck Jay - Anna 21/ Muddy Waters - Still a fool 22/ Blind Owl Wilson - Alan's intro 23/ Blind Owl Wilson - Going up the Country 24/ Mario Cesariny de Vasconcelos - 25/ Precious Bryant - Hey Baby 26 /Jo-Ann Kelly - Sit down on my knee 27/Courtney Barney & Kurt Vile - Peepin’ Tom 28/ Blind Mamie Forehand - Would’nt Mind Dying 29/ Lulu Jackson - Careless Love 30/Lonnie Johnson - Careless Love 31/ Jessie Mae Hemphill - Standing in my doorway crying
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lespaiquehiha-blog · 4 years
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It may be that the relative silence and the almost wholly natural visual world of my childhood (blurred by myopia) renders me especially sensitive for the entirely logical reason that my sensory thresholds were set unusually low. What other people do not see at all can look to me not only perfectly plain but also too much, heavy, overemphatic.
- Anne Truit
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 VESTIBÜL RESTAURANT - VIENNE
L’arrivée devant ce restaurant est tout simplement remarquable puisqu’il se situe au rez-de-chaussée du Burgtheater et face à la majestueuse mairie. Aux commandes de ce lieu incroyable de beauté, le Chef Christian Domschitz. Et quel chef ! Il nous a non seulement régalé avec des plats raffinés et originaux tout au long du dîner, mais il nous a aussi séduites par son tempérament passionné et dynamique. N’hésitez pas à le solliciter pour connaître l’histoire des lieux, il vous répondra dans un français impeccable.
Après avoir fait ses armes dans le sud de la France et en Suisse, le voici installé ici depuis quelques années. Nous débutons la dégustation par un vin pétillant local qui n’a rien à envier à nos champagnes. Se succèdent ensuite, des plats joliment présentés mais surtout délicieux : truite locale juste saisie, relevée avec agrumes, de la cannelle et des pignons, foie gras avec une sauce à la betterave, le plat signature tant attendu : la choucroute de homard d’un raffinement étonnant. Puis une pièce de bœuf délicieusement tendre, accompagnée de petites endives savoureuses... Les desserts terminent de nous enchanter avec, entre autres, un moelleux au chocolat parfaitement maîtrisé, des glaces et des créations de saison, qui ont chacune une histoire imaginées par le Chef. Nous noterons les conseils avisés du sommelier qui nous a fait découvrir d’excellents vins locaux en accord avec les mets dégustés, tout au long du dîner. 
Ce restaurant, vivement recommandé par le Guide Michelin, est une adresse incontournable pour une soirée romantique, gourmande, pleine d’histoire et de charme en plein cœur de Vienne. Le rêve pourra même continuer grâce à un ouvrage astucieux pensé et écrit par le Chef sous la forme de fiches recettes permettant de reproduire à domicile les délices du soir.
Vestibül, Universitätsring 2, 1010 Wien, Autriche
© 2017 Anne B. & Sophie B. - Toute reproduction interdite - Tous droits réservés.
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1840 Thursday 20 March (part 1)
7 3/4
12 35/..
Had the Brügens’ cook with a 20 lbs sterlet Sevrouga that he cut up for our instruction – gave him 3/50 then
breakfast at 9 3/4 and had the courier till 11 –
Explained – shewed him the general Ataman’s figures calculation by which he appeared to have paid above 80/. too much on the post horses since Saratoff – said I should pay every thing myself in future and to avoid all possibility of his forgetting in future what he was to have I should pay him every week his 14/. i.e. 2/. per day – he said the general had made a mistake each horse was 6 kopek per verst – he would speak to the general –
Mademoiselle Briezemann came at 11 in the calêche as agreed – the courier in the anteroom – out at 11 10/.. – we drove 1st to the cathedral in the Kremlin – service in the ground ? de chaussée, chapel where we had been before – the church and premier shut – only used in summer – sent for some one to open it – after a little waiting the the priest came – Mademoiselle Briezemann thought he could not take anything – au contraire – gave 1/2 silver Rouble which afterwards got us to see the bishop’s chapel that was at 1st deemed quite inaccessible except on Sundays – gave at the latter merely a grivna 10 S.K. to the poor old bearded man (not a priest) who opened the door –
the cathedral an 1er premier same size as the one below but lofty and handsome by its hight and 7 story-high (7 tiers of pictures or images one above another) iconostase a mass of gold and gilding – the 4 colours xx over the 4 immense square (3 yards square) pillars of the crypt squared at the base by picture frames about 3 yards square and then round to the top – on these 4 colours stands the great dome and from each of these colours to each of the two opposite xxxxxxxxxxxxxxxxxxxx outside walls springs a semicircular arch on which stands the litle dome at each of the 4 corners of the church –
from the cathedral it being already after 12 (nobody calls before 12 but from 12 to 2 or 3 à la rigeur one may call for some time so late as 3) called on Madame Rebender (left ademoiselle Briezemann chez la baronne she not being dresssd for a visit to Madame Rebender) sat 20 minutes with her and her daughter – very civil –
then to la baronne Taubé- enrouée and eurhumée – throat tied up in flannel as on Tuesday – perhaps 10 minutes there till after one –
then to the vineyard a Russian whose brother daughter in law keeps his picturesque cottage clean and neat – the little sitting room carpeted with felt – a mill worked by a horse gin-wise to supply the place of the wind-mill when there is no wind to pump the water to about 8 feet above the garden and this height enough to carry in a wood spout drain to every part of the vineyard – 300 X 200 sajenes (of 7 feet English each as Ann tells me from some book authority – the Germans here call a sajène a fathom) = the vineyard = a rectangle of 300 X 200 = 60.000 sajènes = 5000/ rubles of receipts per annum for grapes and cayenne pepper of which much grown here expense = 3000/. per annum :. therefore 2000/. net profit per annum for his own labour and outlay – he has been offered 12000/. for the property but will not take it –
Madame Achmatoff has one of the largest vineyards here – a hundred peasants – receipts (say our Brügens) 20000/. par annum but she not able to look well after things to pay expense that equal or more than equal the receipts –
saw the man’s glacière – last summer he received 100/. for what he had left when other people’s ice was melted – we went (down a little inclination) in at a low door (5 feet high? or so much?) to a little mud floor anteroom cellar for common things and immediately opposite the left door (3 feet or 3 feet 6 inches?) into the ice house glacière – we saw the large masses of ice through the floor – sunk about 2 sajènes deep from where we stood – a log-chamber – hay put over the top of the ice – nothing but the sand for the floor – he had a wood floor at 1st, but took it away – the sand better – the meat he had had frozen (deals in meat but none wanted now in carême) he had cut up and was going to salt – the man has bruised the salt in a large iron mortar apparently – the vines all earthed up in heaps about 3 feet or more square about 2 inches or so of cep (stalks) just peeping up above the earth – will be unearthed in 3 weeks from this time –
bought an archine of pinky taffeta to line Ann’s bonnet for 1/. no silks made here – all from Persia or Moscow or France – no manufactures here – nothing beyond winding the silk produced here –
the fishery the main thing, the staple – the fish the man brought (vide 1st line of today) was a male:. therefore no caviar or roe – but a live stratum (1 or 2 inches broad?) along lining each side where roe would other wise have been – between these close along the back commencing about from the gills, for 10 inches or more long, was the organe (the stomach?) of which they make the col de poisson (Isinglass) – en avant de cet organe, je liver and an egg-like whitish queerish organ that the man called the coeur as translated by George – the long gut reached with in a few inches of the setting on of the tail – a blind gut i.s. hermetly closed at the end – I did not make out that it was in connection with what I have supposed the stomach – the viasiga is the spinal cord – in fact le système nerveux the cosps médullaire – the man cut the bone through as it were a line of clothed blood to get to the cord and then drew it out with force – twice the length of the animal – the man said either that it went up and downalong each side of the spine within, or that it was spiral – difficult to understand through George – I had called in the master of the house but he no wiser – the fish has the least imaginable mouth hid by its long pointed snout – vide Schnitzler ü694 ‘on prend l’Esturgeon, le sterlet¹, la Sévrouga, la Bélouga, la carpe, le Saumon², le brochet, la Truite saumonnée, etc. etc.’
¹ Sévrouga xxxxxxxx (Cebproza sevriouga) being is the Russian name of the Sterlet qu’on ne trouve Nul part except dans le Volga and the Caspian –
² Saumon blanc here called simply poisson blancm le poinsson le plus cher and most esteemed here
ЛещЪ (brême) was the fish we had boiled chez le chef de police (Ivanoff) the night we arrived and that we thought so excellent – it is the cheapest and :. therefore the least valued fish here – the Ataman’s 8 ? for 1/20 have enough to serve them all a whole day –
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