Tumgik
#auteur français
fleurdusoir · 5 months
Text
La beauté de l'âme illumine tout un visage [...]
— Pierre Louÿs, Aphrodite
153 notes · View notes
orendil · 8 months
Text
Même la nuit la plus sombre prendra fin et le soleil se lèvera.
Victor Hugo, Les Misérables
English: "Even the darkest night will end and the sun will rise."
71 notes · View notes
chtulhuu · 8 months
Text
Nous n'avons rien de bon à attendre du soleil ; mais les êtres humains peuvent peut-être, dans une certaine mesure, arriver à s'aimer.
''Le Mirage de Jean-Claude Guiguet'' in Interventions – Michel Houellebecq
22 notes · View notes
poesieenmiettes · 9 months
Text
Tumblr media
Sans titre
Voilà c'est fini
Il m'a rendu ma clé 🔑
Il est parti sans dire un mot
Il est mort le soleil !
Temps automnal
Juillet respire enfin
Il est sept heures du mat
Docteur bonheur !
Le mésange zinzibule
Dans mon vestibule
Puis se cogne sur mes vitres,paniquée
Enfin elle trouve la sortie
Le temps d'une photo
Elle s'envole vers la liberté
Pas un chat à la maison
Alléluia !Alléluia.
DomiePoésie
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
2 notes · View notes
malonesilence · 1 year
Text
Tumblr media
Extrait des Hurlements noyés un peu trop long mais c'est un passage que j'aime toujours bien.^^
5 notes · View notes
ayanna-tired · 2 years
Text
Mot de l'auteure
Je suis retombée sur les quelques mots que j'avais écris en guise d'intro à mon roman, je les poste ici...
Du combat ordinaire. Partout autour de moi, des personnes parlent de la peur qu'elles ont de mourir. Pour ma part, je n'ai jamais eu ce genre de peur (ce qui est étrange selon la plupart des gens). D'ailleurs, je suis même allée suivre une formation dans le funéraire lorsque j'avais vingt-et-un ans ! J'ai constaté en leur en parlant que souvent, les personnes qui ont peur de mourir se brident. Elles se laissent ronger par l'inquiétude du temps qui passe, se protègent de leurs propres sentiments ou régissent leurs vies par des habitudes et des rituels très stricts. Nous sommes nombreux à nous contenter de survivre plutôt que de réellement vivre. A refuser d'avoir quelque-chose à perdre, à nous préserver des dangers et des surprises de la vie. Aussi me suis-je souvent demandé : pourquoi on s'interrogeait tant sur ce qu'il y a dans la mort, alors que nous ignorons tout de ce que peut être la Vie. Cette dernière phrase ne m'a pas quittée des années durant ! Et c'est alors que j'étais encore au collège que j'ai commencé à imaginer les réflexions de quelqu'un qui est dominé par ce genre de peurs —ce qui n'était pas bien difficile vu ma mentalité de l'époque— Il me fallait inventer un personnage qui s'interdise de vivre mais qui avait une "excuse" à cela. Mais qu'est-ce qui pourrait bien pousser quelqu'un à renoncer à ce point au bonheur ? Une personne en pleine dépression certainement, touchée par le Spleen Baudelairien ! Mais cela nous l'avons déjà tous déjà vu, ou même tous vécu... Un mal qui ne s'explique pas n'est pas intéressant d'un point de vue strictement littéraire. Il fallait une excuse à cette fuite, pour que je puisse parler de la fuite en elle-même et non du problème qui était insoluble ; aussi, plutôt que “quelqu'un qui ne se bat pas”, j'ai créé “quelqu'un qui se bat mal”. Nathaniel naissait alors lentement dans ma tête, et il existait désormais pour se tromper de combat. Il ne devait pas se battre pour essayer de vivre heureux et épanoui, il devait lutter pour se persuader qu'il menait ce combat. Nath existait dans ma tête... et dans la sienne, j'avais mis la maladie.
Je me suis renseignée sur ce mal, je voulais être crédible. Mais je ne me doutais pas de ce que j'allais découvrir. Ce combat acharné, cette lutte pour la survie, pour la vie... J'ai lu des témoignages, des articles et des informations et me suis sentie étrangement concernée par tout cela. Certains malades se battent jusqu'au bout, ou décident de faire le tour du monde, de vivre pleinement avant la mort. Cette volonté farouche de vivre “pour de vrai” m'a touchée au cœur... et m'a rendue triste aussi. Mais pourquoi donc faut-il être malade pour se battre enfin ? Pourquoi ce courage ne nous touche-t-il pas tous, même ceux qui sont en bonne santé ? Pourquoi encore perdons-nous tant de temps à attendre, à avoir peur ?
Ce roman ne traite pas de la maladie, ni de la mort. Il parle d'un combat que nous avons tous à mener. Un combat pour la liberté de l'esprit, pour la Vie pleine et entière, pour le risque, le bonheur, le pardon... pour l'amour sous toutes ses formes.
Mon récit se devait d'être réaliste, le plus possible. C'est pour cette raison que les passages rudes se marient avec les moments paisibles du quotidien. Je voulais montrer un univers où le désespoir, la peur et la solitude côtoient l'espoir sincère, l'effort, le soutien, la fidélité et l'amour. Et la fin de mon roman est à l'image de cet univers : rien n'est tout blanc, rien n'est tout noir. Tout tourne autour de cette lutte infinie entre la peur et la Vie, ce combat salvateur et essentiel mais aussi terrible, douloureux et éprouvant.
A nous de faire le choix de le mener...
©Ayanna
Tumblr media
5 notes · View notes
virnalorentz · 2 years
Quote
Never forget that the most reliable person in your own life is yourself
VIRNA LORENTZ, French author.
3 notes · View notes
leer-reading-lire · 2 years
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
“Why write tearjerkers just because they get you better reviews? You know what you have to do to win an Oscar these days? Play a character who’s lost an arm, or a leg, or a mother, or a father, or preferably all of the above. Make it miserable and squalid and base, so people will cry their eyes out and call you a genius, but if you inspire people or make them laugh? You’re not even under consideration when awards season rolls around. I’m sick of this cultural hegemony of depression”.
—Marc Levy, P.S. from Paris
2 notes · View notes
octoberbluegates-fr · 8 hours
Text
J'ai décidé de commencer par le recueil du solstice d'été ^^ C'est beaucoup plus jouable que Beltane qui arrive dans une semaine XD Et comme j'ai déjà des idées pour les six contes, je pense que c'est bien parti, j'ai de l'espoir! ^^
Un petit aperçu des titres des contes que j'ai commencé :
Pas de repos pour le soleil
La couronne de fleurs et les sept roussalki
Le vampire qui se languissait du soleil
Les bonbons au miel
Le soleil qui ne se levait pas
Le chat d'Apollon
Je pense que je ferai un sondage pour décider lequel sera le bonus ^^
1 note · View note
marquisedeschatsdomie · 6 months
Text
Tumblr media
« Le petit chat m'aimait »Je serais bien resté:
La maison était bonne.
Le petit chat m’aimait.
Elle s’était mariée,
Puis s’était séparée.
A présent, elle vivait
Retirée, loin des gens, loin du bruit,
De ses quelques amis,
Mais surtout loin des hommes.
Je serais bien resté:
La maison était bonne,
Le petit chat m’aimait.
Déjà, c’était l’automne,
La toiture à revoir
Et le bois à couper.
Elle avait beau me dire de ne pas m’inquiéter,
Je pensais:
C’est un travail d’homme.
De mon côté, j’avais pas mal bourlingué,
Entrevu des amours et fait tous les métiers.
J’en avais plus que marre, je voulais m’arrêter.
J’suis passé par hasard, nous avons bavardé.
Comme c’était le soir et que le froid tombait,
Elle ne m’a pas chassé.
Elle ne m’a même pas demandé mon avis.
Elle m’a ouvert son lit pour y passer la nuit.
Il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas fait l’amour.
Combien de temps avant qu’elle le refasse un jour?
Elle s’est servie de moi pour se venger de lui.
Une fois satisfaite, elle m’a chassé du lit.
Je serais bien resté:
La maison était bonne.
Le petit chat m’aimait.
Au matin, elle a fait
Comme si j’étais personne,
Comme si de rien n’était.
Mais, moi, je l’aimais déjà,
J’la voulais toute à moi.
Oui, c’est vrai,
J’voulais être son homme.
J’avais vu des pays, j’pouvais les lui conter.
J’pouvais lui faire l’enfant qu’il ne lui avait pas fait.
J’pouvais remonter l’mur, j’pouvais scier du bois,
J’pouvais travailler dur et pas penser qu’à moi.
Et subir sans mot dire ses multiples morsures,
Mettre, jour après jour, du miel sur ses blessures.
Lui montrer que les hommes c’était pas c’qu’elle croyait,
Qu’un amour de jeunesse, c’est pas fait pour durer,
Qu’elle n’allait pas gâcher le reste de sa vie,
Que tout était à faire, que rien n’était fini,
Qu’dans mes rêves les plus fous, j’la voyais pas si belle,
Que j’comprenais pas tout, mais qu’j’en savais plus qu’elle.
Je serais bien resté:
La maison était bonne.
Le petit chat m’aimait.
Déjà, c’était l’automne,
La toiture à revoir
Et le bois à couper.
Je serais bien resté:
La maison était bonne
Mais seul le petit chat m’aimait.
0 notes
tinylovetoo · 6 months
Text
Tumblr media
1 note · View note
fleurdusoir · 4 months
Text
Un ciel tiède et doux de décembre, Dont les gris de cendre attendris Font de la rose aux tons pourris Une transparente fleur d’ambre ;
— Jean Lorrain, Effeuillement
50 notes · View notes
orendil · 8 months
Text
Se trouver dans un trou, au fond d'un trou, dans une solitude quasi totale et découvrir que seule l'écriture vous sauvera.
Marguerite Duras, Écrire
English: "Finding yourself in a hole, at the bottom of a hole, in almost total solitude, and discovering that only writing can save you."
38 notes · View notes
chtulhuu · 7 months
Text
(dans l'histoire, je suis le filament de l'ampoule qui grésille, un instant bref, avant de claquer)
''Je suis normal. Écrivain normal.'' in Interventions – Michel Houellebecq
5 notes · View notes
poesieenmiettes · 4 months
Text
Tumblr media
Un ancien que j'aime bien.
M'entends-tu mon amie ?
M'entends tu mon amie
dans la nuit
Quand le vent fait claquer
les volets
Quand j'ai peur de la foudre
Lorsque tout est si sombre
Entends-tu le cri de ma douleur
Ma petite hirondelle
Entends-tu mes sanglots
Au loin comme un appel
M'entends -tu crier ton nom
Comme un dernier espoir
Recroquevillé sous mon drap
Comme une pauvre chose
M'entends-tu toi l'amie
La confidente de mes nuits
Toi la louve sommeilante
Que je réveille en plein rêve.
Je t'entends et je ressens
ton mal
Il me semble t'entendre pleurer
Comme une âme désespérée
S'accrochant à mon cœur.
Je sais que tu entends
Tu sais je t'attendrais ...
Dominique Brené © ( auteure )
Crémines / 17 / juin / 2016/344
0 notes
ahphilgood · 7 months
Text
C’est un court roman, c’est une belle histoire.
Il y a fort longtemps, lorsque ce blog tournait à plein régime, j’y déposais tous les mois un épisode d’une aventure intitulée « L’arbre et la colline ».
Cette histoire, partie d’un grand-oncle dont j’ai hérité le prénom, a fait sa mue pour devenir un vrai roman. Édité depuis peu s’il vous plaît.
J’ai donc l’immense plaisir de vous annoncer que ce livre paru chez Les presses du midi, est désormais disponible en commande.
Sur le site de la maison d’édition
Sur tous les sites habituels (Fnac, LaLibrairie, Decitre, Amazon)
Et surtout dans toutes les librairies de France.
Précipitez-vous donc en commander un exemplaire. Lisez, vibrez, partagez largement l’information. Et n’hésitez pas à me faire vos retours, notamment en taguant le compte Instagram dédié : https://instagram.com/larbreetlacolline?igshid=OGQ5ZDc2ODk2ZA==
Tumblr media Tumblr media
J’espère que vous prendrez autant de plaisir à lire cette histoire que j’en ai pris à l’écrire.
1 note · View note