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#auteure française
les-toupies-h · 2 years
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Nesrine Slaoui
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ayanna-tired · 2 years
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Sortir de sa cage...
Comme j'aimerais pouvoir sortir de ma cage…
Sortir des peurs qui m'obligent à me terrer ici, dans cette chambre, sans sortir. Prendre ma vie en main, m'autoriser à espérer un avenir… voir 'demain'. Sortir de cette transe, ces angoisses constantes, la peur de mon ombre. Me lier aux autres, enfin. M'envoler et pouvoir voyager. Aller loin, choisir.
Comme j'aimerais, être libre, libre d'aller plus loin que la pensée. Prendre des risques, bouger, avancer. Grandir. Enfin.
Comme j'aimerais pouvoir sortir de ma cage, et me libérer de cette prison dorée. C'est confortable ici, on prend soin de moi, je ne manque de rien… si ce n'est de l'air pur… et de moi-même. Je voudrais être en colère, hurler qu'on me laisse sortir… mais la seule personne qui me retienne, c'est moi.
Je suis la seule à avoir la clef… la seule à pouvoir m'enlever, m'envoler… et pourtant… pourtant… je rêve…
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Je voudrais m'acheter une paire d'aile, et partir où je le souhaite. Je voudrais un nid, chaud, sécurisant… j'aimerais pouvoir me lier aux autres, cesser d'avoir peur…
Je voudrais tellement… tellement m'élancer… prendre le risque d'avoir quelque-chose à perdre ; Prendre le risque d'aimer, et l'être également en retour… Sortir de sa cage
Prendre le risque d'exister…
Et peut-être, un jour, mourir sans plus avoir de regret…
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Je voudrais trouver la clef, je voudrais quitter la sécurité, cette prison dorée
Je voudrais m'autoriser à avancer…
Faire un pas, puis un autre… enfin… pour de bon… et ne plus jamais reculer.
Je voudrais m'envoler, et voir ceux qui me sont précieux prendre leur envole à mes côtés. Comme j'en rêve… d'un vole vers le réel… en leur présence… toujours… vers demain…
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Ayanna
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fleurdusoir · 4 months
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La beauté de l'âme illumine tout un visage [...]
— Pierre Louÿs, Aphrodite
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orendil · 8 months
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Même la nuit la plus sombre prendra fin et le soleil se lèvera.
Victor Hugo, Les Misérables
English: "Even the darkest night will end and the sun will rise."
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damagedsouul · 8 months
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chtulhuu · 8 months
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Nous n'avons rien de bon à attendre du soleil ; mais les êtres humains peuvent peut-être, dans une certaine mesure, arriver à s'aimer.
''Le Mirage de Jean-Claude Guiguet'' in Interventions – Michel Houellebecq
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viensdansmatete · 1 year
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Le bonheur, c’est lorsque la Vie cesse de nous tracasser.
Taha-Hassine FERHAT
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petitmimo · 7 months
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Chose étrange qu'est la vie humaine. On rit, on danse, on se chuchote des mots doux à l'oreille.
Je n'ai jamais compris ce besoin ou cette envie d'abattre l'autre, de l'écraser, de se prouver plus fort, plus grand, plus violent.
Si j'avais à redessiner la vie humaine, je ne la ferait que de douceur et de miel. Je la remplirai de chant, d'art, d'air pure, d'eau fraîche, d'herbe folle, du chant des colombes, de l'odeur des moissons, de la caresse de la pluie, du salé de la sueur d'un travail accompli. Je la couserai de tartes à la cerise, de fromage frais, de confiture à l'abricot, de douceur sucré. Je la peindrai au milieu d'un tableau impressionniste de nacre, de perle, d'ivoire, d'ébène, de bleu royal, de cramoisie et de violet. J'effacerai les vices, les torts, la lâcheté, la tyrannie, la trahison, les mots bas. Je tâcherai d'y rajouter les caresses du bout des doigts, celles qui font frissonner, les doux baisers mouillés de rosé, la tendresse sûre et pure, celle dont on ne doute pas. Je n'oublierai pas les montagnes énormes, géantes si dociles, les rivières en guisent de larmes, les plaines verdoyante, la toundra endormie sous la neige, la mer dangereuse mais irrésistible.
Refaire la vie. La revoir sous un nouvel angle. Je n'ai jamais compris la haine, je ne l'ai jamais vraiment senti en moi, je n'ai jamais eu de plaisir sadique à voir l'autre souffrir même si selon certain, il le mérite, même si il m'a fait du mal. Je voudrais sauver, aider, planter quelque chose de nouveau, de beau, d'extraordinaire. Je donnerais raison à ceux d'avant, ceux qui ont rêvé la vie meilleure. Je racheterais leurs erreurs à coup d'amour et d'entraide.
Trop gentille, trop généreuse, trop aidante, mais qui va le faire alors? Pourquoi rester chacun sur ses gardes, chiens de faïence qui montre les crocs sans vraiment mordre. Pourquoi se craindre, pourquoi devoir toujours se demander si l'autre n'est pas la pour me mettre un poignard dans le dos? Je ne veux pas que ma bonne volonté se transforme en aigreur, des fois je me sens glisser dans l'acide, dans la froideur. J'en ressort toujours certes, mais à chaque fois avec l'âme un peu plus sale qu'avant.
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jaimelagrenadine · 10 months
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L'habit ne fait pas la tchoin - #jaimelagrenadine ©
☀️ > www.instagram.com/jaimelagrenadine_off 🛍️ > www.jaimelagrenadineshop.com
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cerisiere · 2 years
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« Pourquoi dit-on "tomber amoureux" ? Elle, elle attendait de l'amour qui l'élève. C'est pourtant le contraire qu'elle a connu, une chute vertigineuse. »
— Trois, Valérie Perrin
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edgarmoser · 1 year
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dalbret 2/4/1876 - 3/3/1927
youtube
dalbret - "comment !...l'amour c'est ça ?...
1908
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les-toupies-h · 1 year
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Jane Sautière
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ayanna-tired · 2 years
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Mot de l'auteure
Je suis retombée sur les quelques mots que j'avais écris en guise d'intro à mon roman, je les poste ici...
Du combat ordinaire. Partout autour de moi, des personnes parlent de la peur qu'elles ont de mourir. Pour ma part, je n'ai jamais eu ce genre de peur (ce qui est étrange selon la plupart des gens). D'ailleurs, je suis même allée suivre une formation dans le funéraire lorsque j'avais vingt-et-un ans ! J'ai constaté en leur en parlant que souvent, les personnes qui ont peur de mourir se brident. Elles se laissent ronger par l'inquiétude du temps qui passe, se protègent de leurs propres sentiments ou régissent leurs vies par des habitudes et des rituels très stricts. Nous sommes nombreux à nous contenter de survivre plutôt que de réellement vivre. A refuser d'avoir quelque-chose à perdre, à nous préserver des dangers et des surprises de la vie. Aussi me suis-je souvent demandé : pourquoi on s'interrogeait tant sur ce qu'il y a dans la mort, alors que nous ignorons tout de ce que peut être la Vie. Cette dernière phrase ne m'a pas quittée des années durant ! Et c'est alors que j'étais encore au collège que j'ai commencé à imaginer les réflexions de quelqu'un qui est dominé par ce genre de peurs —ce qui n'était pas bien difficile vu ma mentalité de l'époque— Il me fallait inventer un personnage qui s'interdise de vivre mais qui avait une "excuse" à cela. Mais qu'est-ce qui pourrait bien pousser quelqu'un à renoncer à ce point au bonheur ? Une personne en pleine dépression certainement, touchée par le Spleen Baudelairien ! Mais cela nous l'avons déjà tous déjà vu, ou même tous vécu... Un mal qui ne s'explique pas n'est pas intéressant d'un point de vue strictement littéraire. Il fallait une excuse à cette fuite, pour que je puisse parler de la fuite en elle-même et non du problème qui était insoluble ; aussi, plutôt que “quelqu'un qui ne se bat pas”, j'ai créé “quelqu'un qui se bat mal”. Nathaniel naissait alors lentement dans ma tête, et il existait désormais pour se tromper de combat. Il ne devait pas se battre pour essayer de vivre heureux et épanoui, il devait lutter pour se persuader qu'il menait ce combat. Nath existait dans ma tête... et dans la sienne, j'avais mis la maladie.
Je me suis renseignée sur ce mal, je voulais être crédible. Mais je ne me doutais pas de ce que j'allais découvrir. Ce combat acharné, cette lutte pour la survie, pour la vie... J'ai lu des témoignages, des articles et des informations et me suis sentie étrangement concernée par tout cela. Certains malades se battent jusqu'au bout, ou décident de faire le tour du monde, de vivre pleinement avant la mort. Cette volonté farouche de vivre “pour de vrai” m'a touchée au cœur... et m'a rendue triste aussi. Mais pourquoi donc faut-il être malade pour se battre enfin ? Pourquoi ce courage ne nous touche-t-il pas tous, même ceux qui sont en bonne santé ? Pourquoi encore perdons-nous tant de temps à attendre, à avoir peur ?
Ce roman ne traite pas de la maladie, ni de la mort. Il parle d'un combat que nous avons tous à mener. Un combat pour la liberté de l'esprit, pour la Vie pleine et entière, pour le risque, le bonheur, le pardon... pour l'amour sous toutes ses formes.
Mon récit se devait d'être réaliste, le plus possible. C'est pour cette raison que les passages rudes se marient avec les moments paisibles du quotidien. Je voulais montrer un univers où le désespoir, la peur et la solitude côtoient l'espoir sincère, l'effort, le soutien, la fidélité et l'amour. Et la fin de mon roman est à l'image de cet univers : rien n'est tout blanc, rien n'est tout noir. Tout tourne autour de cette lutte infinie entre la peur et la Vie, ce combat salvateur et essentiel mais aussi terrible, douloureux et éprouvant.
A nous de faire le choix de le mener...
©Ayanna
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fleurdusoir · 4 months
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Un ciel tiède et doux de décembre, Dont les gris de cendre attendris Font de la rose aux tons pourris Une transparente fleur d’ambre ;
— Jean Lorrain, Effeuillement
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orendil · 8 months
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Se trouver dans un trou, au fond d'un trou, dans une solitude quasi totale et découvrir que seule l'écriture vous sauvera.
Marguerite Duras, Écrire
English: "Finding yourself in a hole, at the bottom of a hole, in almost total solitude, and discovering that only writing can save you."
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damagedsouul · 6 months
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