Tumgik
#avancer un petit peu
maddiesbookshelves · 4 months
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A Natural History of Dragons, by Marie Brennan
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The memoirs of Lady Trent narrate the life and research of Isabella Trent, world-renowned naturalist now an old woman, whose wit and humor are merciless towards imbeciles. In the first tome, Isabella, first as a young girl and then a young woman, challenges class and period conventions to satisfy her scientific curiosity and accompany her husband on an expedition in search for dragons in Vystrana...
I was scared that the memoirs format was going to be boring to read, but it was actually the best way to tell the life story of a woman who has lived so many adventures, I really liked it. The good thing about memoirs is that it allowed Isabella's personality to shine, especially her humor, and to have some hindsight on what happened. The teases about future events that she reveals later in the series really make you want to read what's next
Volume 1 introduces themes and ideas that I thought were fleshed out better later in the series, and what I considered as small flaws (a lot of things were repeated so many times I started thinking "yeah, okay, I get it") are way less prominent
As for Brennan's worldbuilding, it's deceptively simple at first glance (Victorian era but make it fantasy), but actually had so many details that make it extremely rich. Everything is inspired by countries/cultures from the real world, but Brennan mixed a lot of them and I thought it was really well executed. And the further along you get in the series, the more details sprinkled in the first 3 books come together to form the final picture. When I got to the end of book 4, I wanted to scream because of how delightful and well put together the reveals were
French version under the cut
Les mémoires de lady Trent racontent la vie et les recherches d'Isabelle Trent, naturaliste mondialement connue et désormais vieille dame, dont l'esprit et le style empreints d'humour s'avèrent sans pitié pour les imbéciles. Dans le premier volume, Isabelle, petite fille puis jeune femme, brave les conventions de sa classe et de son temps pour satisfaire sa curiosité scientifique et accompagner son mari lors d'une expédition à la recherche des dragons de Vystranie...
J'avais peur que le format des mémoires soit un peu ennuyant à lire, mais en fait c'était la meilleure façon de raconter la vie d’une femme qui a vécu autant d’aventures, j’ai beaucoup apprécié. L'avantage des mémoires c'est que ça permettait au personnage d'Isabelle de nous dévoiler sa personnalité, notamment son humour, et d'avoir du recul sur certains évènements. Les références à des évènements qu'elle nous dévoile plus tard dans la série donnait vraiment envie de lire la suite
Le tome 1 introduit des thèmes et des idées que j’ai trouvées mieux développées dans les tomes suivants, et ce que je considérais comme de petits défauts (pas mal de choses sont répétées de nombreuses fois donc au bout d’un moment je me disais "oui, c’est bon, j’ai compris") sont beaucoup moins présents
En ce qui concerne le monde créé par Brennan, il paraît relativement simple au premier abord (époque victorienne mais version fantasy), mais en réalité, énormément de détails le rendent extrêmement riche. Tout est inspiré de pays/cultures du monde réel, mais mélange pas mal de trucs et j’ai trouvé que c’était très bien fait. Et au plus on avance dans la série, au plus les détails disséminés dans les ~3 premiers tomes s'emboîtent et le tableau final se précise. Quand je suis arrivée à la fin du tome 4 j'avais envie de hurler tellement les révélations étaient croustillantes et bien amenées
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e642 · 14 days
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Le point de non retour relationnel, je le ressens comme un long soupire. Un élan pour arranger les choses, et puis, finalement, se résigner à les laisser tel quel. Un "ça ne sert à rien" chuchoter doucement mais constamment. C'est quand tu sens que ça t'impacte toujours mais plus de la même manière qu'avant. Tristesse s'est changée en colère et inquiétude en lassitude. C'est quand le ratio contribution/rétribution d'une des actions que tu t'apprêtes à faire se fait instantanément. Où avant il fallait peser le pour et le contre, là, ça s'impose à nous. Sûrement aussi quand tu ne t'arrêtes plus sur aucune inattention, manque, maladresse, tu te dis que c'est pas grave là où avant ça l'était. C'est cette perte de significativité. Cette indifférence de l'indifférence de l'autre. Il n'y a plus de conditionnel, on est plus dans le aurait pu, aurait dû, j'aimerais que, pourrait faire. C'est plus une question d'attente parce que, petit à petit, ça germe, un jour on se lève et on attend définitivement plus rien de quelqu'un. C'est sûrement ça l'acceptation. Non pas que la relation soit acceptable ou qu'on se résolve à la laisser s'atrophier, au contraire, je crois que c'est à ce moment là que naît le déclic. Le saisir c'est dur, s'en dessaisir l'est peut-être davantage même s'il n'y paraît pas quand on est dans le présent. J'ai toujours trouvé ça surprenant le travail interne qu'il se passe en nous. En les autres. Je ne crois pas qu'on puisse toujours être sûr de se lever émotionnellement intact et indemne de la veille. Ça arrive comme ça. Un jour la réserve est épuisée là où tu pensais pouvoir puiser indéfiniment. La plupart des mises à jour émotionnelles sont libératrices, parce qu'on peut enfin avancer, ou concevoir qu'on puisse avancer, mais elles sont douloureuses aussi. Si ça fait mal c'est parce que ça appelle à faire fatalement des choix qui seront visiblement peu anodins. Il n'y a rien de plus effrayant que de faire un choix en réalité. C'est pas le faire le problème, c'est l'issu, les répercussions, les conséquences. Au fond, c'est compliqué de se dire qu'on saura si notre choix nous dessert uniquement quand il sera fait. C'est pour ça que beaucoup en font peu ou le moins possible en comptant sur le reste du monde pour le faire à leur place histoire de se sentir parfaitement intègre et léger. C'est sûrement ça que j'attends aussi. J'ai toujours voulu qu'on choisisse pour moi. Cependant, je sens au fond de mon cœur cette urgence de prise d'initiative et de décision. Ça me fait mal constamment. Je me demande pourquoi ce serait à moi de faire certains choix alors que j'y suis seulement poussée. C'est injuste. Pourquoi je devrais être maître des conséquences alors que je n'ai pas été maître de l'arrivée du choix ? Pourquoi la lâcheté de certains devraient nous pousser à avoir le courage de faire des choix qui nous appartiennent certes mais dont nous ne sommes pas le décisionnaire réel ?
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desamorce · 5 months
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On dit que dans chaque image on y trouve une signification. Je ne sais pas pour vous mais j’y vois beaucoup. Des sentiments restants, une rumination constante, incessante, er bruyante, nous forçant à la poser sur papier jour après jour, année après année, afin de juste pouvoir un petit peu s’en échapper. La plume relève du passé, être coincé, avoir du mal à avancer, qui sait. Est-ce le destin de chacun d’avoir ce genre de pensées, ou juste un infâme regret.
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claudehenrion · 29 days
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Je vous souhaite une très joyeuse mort, en pleine fraternité macronienne…
Je n'ai jamais pu trouver d'explication à cette aberration : les mauvaises idées semblent être plus souvent prises en compte et mises en œuvre que les bonnes. Et je crois remarquer une accélération dans le processus actuellement en cours qui veut que de plus en plus d'idées de plus en plus mauvaises fleurissent (?) de plus en plus vite et de plus en plus souvent ! A la veille du Vendredi Saint, quel beau sujet que le dévoiement de notre mort, qui se met en place, dans une débauche de fausses informations, partielles ici, et partisanes, là, mais mensongères, toutes.
Mais pour une fois que les “bouffe-curés” et les “tue-dieu” admettent enfin que la mort peut être vaincue, comme les chrétiens le leur répètent depuis 20 siècles… on ne va pas mégoter notre plaisir, en cette Semaine Sainte où s'ouvre la phase finale de la mise en œuvre de ce caprice macronien, qui sera lancé sans qu'aient été évaluées –même un tout petit peu– les suites à long terme de cette initiative qui a toutes les chances de produire, au mieux, quelques avantages… et au pire des séries de drames dont l'humanité aurait préféré faire l'économie. Décidément, depuis le faux “vaccin” du covid, prendre des décisions mortifères est devenu un “marqueur” du progressisme, cette maladie infantile du modernisme !
Prenons la triple anti-idée terrifiante, qui a pourtant le vent en poupe, de l'invention d'un “droit à l'assassinat légal, au suicide aidé et à la mort par délégation’’. Ces trois modalités d'une même chose, la mort, ont inspiré des raz-de-marée de lavage de cerveau, de viol des consciences, de réinvention du sens des mots, et de détournement de l'attention de tous les vrais problèmes, à la macronie moribonde (NB : méfiez-vous des ultimes spasmes d'un animal blessé : ils peuvent être dangereux et faire beaucoup de dégâts !). Manque de bol, une fois encore, ça a marché, et bien des gens se sont laissés abuser, adoptant les expressions –toutes mensongères– qui ébranle,t l'intelligence.
Le nombre de paraboles, hyperboles, métaphores, fables, mensonges, bobards, et barbarismes qui ont été déversés sur nous par la Presse et la Gauche est très au delà de tout ce qui se pratique normalement. C'est simple : on ne sait plus du tout de quoi ils parlent ni ce à quoi ils pensent (car des milieux “généralement bien informés” m'assurent qu'il en resterait quelques uns qui pensent… Je ne les ai pas trouvés). Et s'il est toujours vrai que “les mots tuent”, c'est le moment où jamais : après, il sera trop tard ! Car depuis que le monde est monde, tuer, directement ou par délégation, un vieillard, un grand malade ou un embryon pas encore né mais parfaitement viable, ça avait un nom : un assassinat.
Mais dans un grand souffle libérateur, la hollando-macronie a tripoté les lettres et les syllabes, jusqu'à inventer les concepts affreux de “mort dans la dignité”, de “preuve de fraternité” (il y a des coups de pied… “occultes”, qui se perdent !), de “liberté de mourir” (et puis quoi, encore !), et de tant d'autres insanités. Nos irresponsables ont été jusqu'à inventer une soi-disant “aide à mourir”… pour le seul moment où aucune aide n'est possible ! Dieu, pour les uns, un “grand ordonnateur” pour d'autres, le “destin” pour d'autres encore, et… “rien” pour les plus pauvres d'esprit… fixe ou fixent le moment où la machine s'arrête, et personne ne peut avoir le moindre effet sur cette décision… si tant est qu'il y en ait une : on a beau bricoler l'horloge du temps, avancer l'échéance de quelques pouillèmes d'éternité, prétendre que “Moâ, ce petit dieu raté, je suis maître de mon corps” ou, comme d'aucuns, se proclamer (tout seul) “le maître des horloges”... c'est baratin & Co.
Car la seule chose qui ne fait pas de doute, c'est que nulle “force de l'ordre”, nul “agent de l'Etat”, nul GIGN, nulle “CRS 8”, nul dossier et nulle procédure “CERFA” ne pourra dire que la date de péremption est dépassée, qu'on a triché en respirant 3 fois de plus qu'indiqué sur la notice d'emploi, ou qu'un tel n'est plus qu'un nom à “zapper”, un sac noir à jeter au tri sélectif–(poubelle jaune) : la vision de la mort que peut avoir un élu macronien (je veux dire : “nul mais élu !”) est rien moins que désespérante… C'est à se demander avec quelle partie de leur corps ces trucs-là pensent ! Pour ces normateurs de l'innormable, “mourir dans la dignité” se résume à passer l'arme à gauche (NDLR : cette expression ancienne est une preuve éclatante que les mots ont un sens !) en se conformant scrupuleusement à un des 2 ou 3 protocoles prévus par une loi qui parle d'autre chose que du sujet de son titre ! Leur mort dans la dignité n'est qu'une mort dans les normes administratives.
Soulagez la souffrance, comme vous devriez apprendre à le faire, bande de Jocrisses, mais arrêtez de prétendre que vous pourriez avoir la plus petite influence sur un changement de nature de la mort : c'est la seule cérémonie à laquelle nous ne pourrons pas nous soustraire, et dans laquelle nous sommes certains de “ne pas avoir la main’‘ ! A l'opposé de leurs fatras fumeux, ’'mourir dans la dignité”, ce n'est pas “raccourcir ce qui ne doit pas l'être”, mais c'est –et ce n'est, ce ne peut être que– donner à chacun de pouvoir s'architecturer intérieurement, de résister aux sirènes trompeuses de l'époque, de trouver des contre-poids à la sous-culture du superficiel, de l'instant, de la trouille permanente, et de l'infantilisation, qui nous maintient dans une ignorance doucereuse et qui tue en nous tout sens moral, toute force spirituelle, toute résistance intellectuelle, la colonne vertébrale et le courage.
Bon ! Je sais bien que ces tentatives désespérées de rater son but affiché doivent tout à une pression morbide qui est dite “sociétale”, comme on dit dans le jargon gauchiste pour désigner l'amnésie volontaire… ce qui met la trop changeante “opinion publique” du côté des promoteurs de la vraie misère humaine : la plupart de nos contemporains ont, avec l'inévitable, un rapport fuyant, de déni et de rejet. C'est une triste évidence qui explique bien des malheurs que notre monde se fabrique en croyant résoudre l'insoluble… et qui n'existaient pas, lorsque le “métier d'homme” impliquait force, âme, courage et (j'ose !), la vie… jusqu'à en mourir.
Car mourir et vivre ne sont pas 2 choses séparées comme on nous le fait croire dans notre univers en voie de putréfaction en inutiles marches blanches, mais une seule et même chose, une seule et même aventure, un seul et même achèvement. Un éventuel “droit à mourir dans la dignité”, ce bobard fou pour politicards trop jeunes pour savoir de quoi ils parlent, ne saurait être ramené à un étalage de sensiblerie étalée complaisamment, comme sur les réseaux sociaux ! Partis comme nous le sommes… nous serons bientôt projetés dans un univers du type “Soleil vert”, ce Soylent Green, livre ou film sur la mort assistée, de Harry Harrison (1966)…  Encore un effort, Monsieur le bourreau…
Je veux bien, à la rigueur, qu'on me parle de modifier la définition de la mort : je suis poli, et j'écouterai… en pensant à autre chose. Mais alors, s'il vous plaît, messieurs les irresponsables, que ce soit avec Montaigne, avec Bossuet, voire avec Platon, Epicure, et même Spinoza… ou –comme le faisait Mitterrand– avec un Jean Guiton. Mais je vous en supplie, qu'on m'épargne le cornet acoustique miniaturisé pour pensée-clonée de ces fausses vedettes du petit écran qui sont les nouveaux “maîtres-à-ne-pas-penser” érigés au rang d'oracles par notre époque qui ne peut que devenir lamentable à leur contact (et sur ça, on est bien parti !).
Une authentique “dignité” consisterait à être de vrais humains et à le rester jusqu'au bout, souffrance ou pas. Si vous saviez dans quelle harmonie sont morts tous les êtres chers qui m'ont quitté… J'aime me souvenir d'eux, être fier d'eux jusqu'au bout, les admirer, et ne pas avoir le remords de leur avoir volé, au nom de la sensiblerie fadasse et pleurnicheuse qui a envahi nos jours et obscurci notre jugement, LEUR MOMENT absolu, le seul… le ''bilan'' de leur vie.
En lisant toutes les insanités, tous les mensonges et toutes contre-vérités qui encombrent, polluent et salissent ce débat, il m'est venu une idée que j'aimerais partager, amis-lecteurs, “pour ce quelle est’' : sans doute fausse, mais méritant peut-être qu'on y pense deux secondes : après bientôt deux quinquennats ratés, un Macron-superman, ivre de ce qu'il croit qu'il est, trouve génial de transformer notre société et tous ses membres, en clones de ce qu'il imagine être (sous-entendu : un être supérieur, au niveau des dieux, et (osons le dire, avec modestie) Dieu lui-même). Pour ce faire, il déforme les mots, les idées, l'histoire, la culture, les systèmes de pensée et de référence… et crée un univers où plus rien ne peut exister, hors de son propre (?) néant : en chamboulant tout, n'importe comment pourvu que ça soit vite, et en mettant tout ’'cul par dessus-tête”, il fait de nous des zombies incapables de résister à toutes ses folies prétendues “sociétales”.
Nous découvrons peu à peu que nous devenons non pas ce qu'il s'imagine être, mais ce qu'il est : un grand vide, un cyborg en creux, superficiel, insignifiant, sans colonne vertébrale, changeant, flou, sans bon sens autre qu'insensé, fuyant le réel, inconsistant, sans passé –donc sans présent et sans futur, et hésitant, dans un désert sidéral, entre une non-pensée et une anti-pensée. Le seul ennui, c'est que le train est lancé et que nous avons laissé faire, sans rien dire –au contraire, pour certains– ce grand pas vers notre destruction, en tant qu'humanité et que civilisation. Dis, Monsieur, comment ça s'arrête, une catastrophe en marche ?
H-Cl.
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ernestinee · 5 months
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Hier j'ai pris la route de bon matin pour aller à un enterrement dans la famille. J'ai emprunté des routes que je n'avais plus prises depuis longtemps et je me suis demandé si tous les gens étaient en heure de pointe et n'admiraient plus ces paysages qu'ils voient tous les jours ou si certaines personnes étaient comme moi, de passage, émerveillées par les reliefs, la brume, les couleurs de fin d'automne dans le soleil levant, ou si certaines personnes revenaient, comme moi, et retrouvaient avec bonheur les méandres des routes connues par cœur.
En roulant, j'avais un peu l'impression que j'étais de retour dans ma bourgade d'enfance, quittant ma vie trépidante et un conjoint trop sérieux et matérialiste pour tomber amoureuse de mon premier amour, qui est devenu un bûcheron balèze et qui va m'apprendre à aimer les choses simples, comme dans les films de Noël. Sauf que c'est pas encore Noël et je n'ai pas un conjoint matérialiste et trop sérieux.
Par contre, "le petit Romain" qui avait un crush sur moi quand on avait 8 ans est réellement devenu un PUTAIN DE BÛCHERON OMG J'AI BIEN ENVIE DE LUI DEMANDER DE FENDRE AUTRE CHOSE QUE DES BÛCHES SI TU VOIS CE QUE JE VEUX DIRE
Puis je suis arrivée un peu en avance et j'ai ensuite vu arriver mon cousin, c'est un peu comme mon frère sauf qu'on a très peu de contacts mais on se sait présents l'un pour l'autre, et l'émotion a commencé là. J'ai croisé son regard, j'ai senti son émotion de me voir là, et j'ai été émue aussi. Il est aujourd'hui bien entouré mais je suis la seule qui reste de sa famille d'enfance et j'ai senti que ça comptait. Puis la cérémonie religieuse. Puis l'enterrement au cimetière. Puis le petit café et le morceau de tarte chez lui, où il a sorti de vieux albums pour m'offrir quelques photos de mon père qu'il avait retrouvées. Puis les conversations, rattraper des années à ne se voir que par le prisme des réseaux sociaux, se promettre de ne pas laisser autant de temps avant de se revoir. Se promettre de se revoir lors d'un événement moins triste qu'un enterrement.
(Le petit Romain m'a demandée comme amie sur fb)
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(mon cousin et moi, 1983)
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perduedansmatete · 8 months
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ce matin j'ai râlé dans mon coin car j'avais mal au ventre et que je me suis dis oh putain voilà j'ai encore des douleurs de règles une semaine avant de les avoir j'en ai marre mon corps a vraiment décidé de me faire chier depuis quelques temps genre un an ou deux mais en allant aux toilettes je me suis rendue compte que non j'avais juste mes règles et j'ai encore plus râlé car on ne peut plus se fier à rien elles sont encore en avance et ça m'énerve c'est pas normal puis j'étais pas bien car j'ai l'impression et souvent mes impressions se vérifient qu'on me ment et j'aime pas ça j'ai stalké quelqu'un aussi et ça m'a pas apporté grand chose finalement à part faire passer le temps, d'ailleurs je pense que les gens qui croient qu'on leur ment tout le temps (moi) y croient parce qu'eux-mêmes mentent et je n'aime pas mentir mais je suis bien obligée pour un ou deux trucs toujours les mêmes et ça me pèse car c'est des mensonges généralisés dans le sens où c'est le même mensonge mais à plusieurs personnes et j'aime pas ça, je pense que j'aime aussi pas trop mentir car souvent c'est pas du tout dans mon intérêt car je cache juste mes émotions et mes ressentis en me disant qu'ils ne sont pas valables ou que ça me porterait préjudice de les exprimer et ça me met dans des situations merdiques enfin bref c'est peut-être pour ça que j'ai encore essayé de faire plein de tri aujourd'hui car j'ai besoin de me vider de beaucoup de choses je crois mais j'y vais petit à petit même si à force je commence quand même à me sentir démunie de tout et pourtant j'en amasse des trucs mais j'ai besoin de me défaire de certaines choses j'ai envie d'être une nouvelle moi et ça prend du temps, dans l'après-midi mon amie qui habitait à trente secondes de chez moi m'a appelé car elle passait à l'appart une dernière fois et qu'elle savait que je voulais le voir avant de tourner la page avec elle, ça m'a fait bizarre mais j'ai bien aimé on a laissé une dernière trace en me mesurant sur la porte de la salle de bain comme ça je serai toujours là avec elle et sa famille avant le coup de peinture des nouveaux propriétaires, en repartant de l'appart on a croisé le chat que j'aime bien car il me colle tout le temps = le chat qu'elle aime pas car il la colle tout le temps, il avait l'air d'avoir extrêmement chaud donc elle a voulu le mouiller avec un peu d'eau mais c'est sorti tout seul et il a fui le pauvre mais au moins on peut dire qu'il est bien hydraté et là je suis rentrée chez moi avec l'envie de revoir fleabag car j'ai besoin d'avoir le cœur brisé mais je crois que je vais juste m'abrutir le cerveau car j'ai vu qu'il y avait de nouveaux épisodes de love is blind où ils vont se taper dessus (j'espère) donc voilà mon programme de cette fin d'après-midi et de journée peut-être si je ne m'arrête pas (passionnant n'est-ce pas)
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ascle · 5 days
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Les expressions québécoises
(Partie 1)
Il pleut à boire debout
Cette expression est employée en cas d’averse intense ou d’orage. Elle signifie qu’il pleut si fort qu’on pourrait boire debout, en levant simplement la tête vers le ciel.
Le verbe « pleuvoir » peut aussi être remplacé par « mouiller ». Par exemple : « Il mouille à boire debout ».
Se faire passer un sapin
Si quelqu’un vous dit qu’il s’est fait passer un sapin, montrez-lui un peu de compassion. Cela signifie qu’il s’est fait avoir, qu’il a fait une bien mauvaise affaire ou qu’il s’est fait arnaquer.
Cette drôle d'expression québécoise tire son nom du sapin baumier, qu’on utilise comme sapin de Noël. Pour les ébénistes, ce dernier ne vaut pratiquement rien sur le marché. En effet, les planches de sapin baumier ont tendance à craquer une fois séchées, contrairement à d’autres conifères comme le pin et l’épinette.
À l’époque, lorsque les Anglais venaient acheter du bois de construction aux Canadiens français, les francophones remplaçaient le bois de qualité par du sapin baumier, au moment de la livraison.
Tomber en amour
Explication : Celle-ci est tirée de l’expression « fall in love » en anglais. Chez nous, on tombe en amour avant d’être en amour. Et puis quand on y pense, commencer une nouvelle relation, c’est un peu comme se lancer dans le vide, non ?
Dans tous les cas, au Québec, l’amour fait mal. On tombe… Et « on casse » quand une relation se termine.
À noter, on peut aussi tomber en amour avec un pays, une ville, une chanson, etc.
J'ai mon voyage
Rien à voir avec vos prochaines vacances. Ça signifie d'en avoir ras-le-bol, en avoir marre.
Pogner les nerfs
Faire une crise de colère, d'impatience
C'est arrangé avec le gars des vues.
Pour bien comprendre cette expression québécoise il faut savoir ce que signifie "les vues" au Québec. "Les vues", "les petites vues" ou "les vues animées" sont utilisées pour parler du cinémas au Québec. Ainsi, "aller aux vues" signifie tout simplement aller au cinéma.
L'expression québécoise "c'est arrangé avec le gars des vues" veut dire que quelque chose est truqué ou falsifié. Cela veut dire que le résultat est connu en avance.
Se fendre le cul
L'expression québécoise se fendre le cul est très couramment utilisée. C'est une expression familière synonyme de se fatiguer, se donner du mal. Il s'agit donc de faire un effort et de dépenser de l'énergie pour faire réussir son activité.
Une variante est "se fendre le cul en quatre", dont l'équivalent en France serait "se plier en quatre", synonyme de "faire tout son possible".
Se r’virer sur un dix cenne
Décortiquons d’abord cette expression. Un dix cenne est une pièce de dix centimes de dollars. C’est 10 cents, 0,10$, dix sous, prononcé un peu différemment. Se r’virer, ou se revirer, c’est se retourner.
Une fois ces termes clarifiés il est plus facile de comprendre l’expression. Être capable de se retourner sur une pièce de 10 centimes, c’est être capable d’adaptation rapidement.
Exemple: Son plan a échoué. Il a fallu se revirer sur un dix cennes pour trouver rapidement une solution.
O.P.C!
Si un Français lit une lettre ou un courriel qui se conclu par la mention "OPC", il n'est pas certain qu'il comprendra bien ce que ces 3 lettres signifient.
OPC est l’abréviation sonore d’Au Plus Crisse. Cela veut dire que ça urge, qu'il faut réagir au plus vite! C’est l’équivalent du A.S.A.P américain (As Soon As Possible).
Ça prend pas la tête à Papineau
L'expression fait référence à quelque chose qui ne demande pas une grande intelligence. On utilise cette expression pour dire que quelque chose est simple à comprendre, évidente ou facilement réalisable.
La tête à Papineau fait référence à Louis-Joseph Papineau. Il s'agit d'un politicien célèbre et reconnu pour sa grande intelligence. Il a notemment mené les Patriotes durant la rébellion de 1837.
C’est d’valeur
C'est L'expression québécoise "C'est de valeur" est synonyme de fâcheux, qui est dommage.
Une expression qui provient des amérindiens. Dans leurs conversations avec les canadiens, ils utilisaient souvent des réponses concises. Lorsqu'une situation était importante et nécessitait de réfléchir aux pours et aux contres, ils répondaient que " la chose est de valeur ". Du moins c'est ainsi que les interprètes français le traduisaient. Avoir de la valeur, qui mérite d'être réfléchi en opposition à ce qui ne vaut rien. Par cette expression, l'Amérindien voulait faire entendre poliment à son interlocuteur que ses propos sont dignes d'intérêt, mais qu'il ne veut pas s'engager tout de suite à une réponse. Puisque souvent c'était relié à des choses tristes, l'expression à pris le sens de fâcheux, dommage.
Le Comte de Frontenac, gouverneur de la Nouvelle-France, dans une lettre adressée à la cour de France le 20 octobre 1691, parle d'une escarmouche avec les Iroquois où ces derniers perdirent quarante-cinq hommes. «Cet échec qui était de valeur pour eux, pour me servir de leurs termes, parce que parmi leurs morts, il y avait de leurs principaux chefs, les ralentit beaucoup»
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selidren · 10 days
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
2/10
Je ne souhaite pas revenir sur mon expérience de la guerre. Je me suis tout de même ouvert de votre remarque sur les allemands à Albertine, mais nous avons été interrompus par Marc-Antoine, l'aîné de mes fils, qui a fait valoir son point de vue d'une façon bien bruyante, arguant que ce sont les hommes de peu qu'on a envoyé sur le front, et que les vrais responsables de la boucherie ne sont que des bourgeois bien abrités derrière les lignes. Pardonnez mon fils, ce n'est encore qu'un enfant et il s'est mis à lire Marx ces derniers temps. Je n'y connais pas grand chose, mais je me demande si c'est une lecture bien pertinente pour un garçon de douze ans. Albertine ne cesse pourtant de me dire combien Marc-Antoine est intelligent, et si je me fie à mon propre intellect à son âge, cela semble peut-être plus compréhensible. Quand à vos douleurs, ce n'est pas mon sujet de conversation préféré, mais sachez que j'ai les mêmes dans le bras, et qu'il est des jours et des nuits où elles ne laissent pas en paix.
Je suis cependant catastrophé d'apprendre pour le mariage de votre fille. Ce garnement ne mérite pas les biens de ses pères et j'ose espérer que jamais un homme ne traitera mes filles de cette façon. Les scandales m'ennuient. Et pour votre épouse, ne vous en faites pas, elle finira par saisir l'importance de votre tâche et vous laissera en paix avec ses états d'âme. Il est malheureux qu'elle n'ait pas les mêmes centres d'intérêt que vous, comme cela vous auriez au moins pu lui proposer de vous accompagner. Vous pourrez toujours lui dire pour la rassurer qu'elle n'a pas les difficultés de mon Albertine : mon épouse déteste partir loin des enfants, mais notre passion commune pour l'Egypte est si grande que le choix n'est pas aisé pour elle.
Sur ce, je retournes à mes exercices de graphie. Me voici revenu à l'école élémentaire à tracer des séries de majuscules à la plume. J'imagine qu'en désespoir de cause, je pourrai toujours engager un secrétaire bien que l'idée me répugne : jamais il n'aura dans ses écrits le niveau d'exigences auquel je m'astreins.
Votre cousin, Pr. Constantin Le Bris
P.S : Mes condoléances pour le décès de votre neveu Thomas. Je ne l'ai pas bien connu, mais mon neveu Alexandre m'a assuré que c'était un jeune homme fort aimable.
P.S 2. Albertine vous fait savoir qu'elle se fera grand plaisir d'écrire à votre épouse.
Transcription :
Adelphe « Ah Tintin, tu as déjà fini de manger ? »
Constantin « Exact. Je m’y suis mis en avance, je suis toujours d’une horrible maladresse avec mes couverts et je ne voulais pas contrarier Grand-Mère. »
Adelphe « Tu aurais pu attendre Madame Legens. Elle aurait au moins réchauffé ton repas. »
Constantin « Je ne suis plus un enfant, Adelphe. J’en ai bien plus qu’assez de dépendre des autres pour n’importe quelle tâche futile. »
Adelphe « Fort bien. En attendant, te voilà à manger froid. »
Constantin « Et toi alors ? Tu ne manges pas avec les autres ? »
Adelphe « J’ai une réunion tôt à la distillerie. Les gars veulent créer un syndicat, et ils souhaitent une heure de concertation avec la « délégation patronale ». J’imagine que c’est moi. Ah, et je sais allumer le poêle accessoirement. »
Constantin « Bon à savoir. Tu me montreras comment faire à l’occasion. J’ai encore du travail, des lettres en retard, donc je vais monter. A moins que tu veuilles que je te tiennes compagnie. »
Adelphe « Pas besoin. Je vais finir rapidement. Ah et Tintin, tu as encore mal à ton bras ? »
Constantin « Non, pas spécialement. »
Adelphe « Ne me mens pas, je t’ai entendu grogner toute la nuit depuis ma chambre. »
Constantin « Ce n’était rien, vraiment. Tu dors donc si mal ? Encore tes cauchemars ? »
Adelphe « Non, une simple petite insomnie passagère. »
Constantin « Menteur, tu as les yeux rouges et des cernes ! »
Adelphe « Bon… je pense qu’on devrai arrêter de se mentir Tintin. »
Constantin « Tu as raison, nous ne sommes pas assez doués pour cela et en plus cela ne nous rassure ni l’un ni l’autre. »
Adelphe « Il faut croire qu’on s’est tout les deux bien abîmés ces dernières années. »
Constantin « Sans doute… Ah et j’y pense ! Ne laisse pas Marc-Antoine discuter avec les ouvriers. Je n’ai rien contre le socialisme, contrairement à mon père, mais il est en train d’en faire une obsession ! »
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bruleeparlalune · 5 months
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Traduction française de Fear & Hunger 2 - Termina - #2
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Comme prévu, nouvel update sur la traduction française de F&H2. Ça avance lentement mais sûrement, en espérant que je puisse la sortir avant la prochaine MAJ du jeu. Haha.
Traduction faite durant le mois :
Les objets : les noms et descriptions des objets, de la nourriture, des objets de soin, des livres et les morceaux de gens ou d'animaux ou d'autres bestioles pas protégées par la SPA.
Les noms des ennemis et de leurs membres.
L'extérieur du train. Comprends la discussion du début de jeu, ainsi que les discussions de hub.
Première rencontre avec Per'kele.
Maison de l'homme des bois. Avec le sous-sol.
Une partie de la vieille ville, qui correspond à la zone du soldat 1, de l'extérieur du manoir du maire et Karin à l'entrée de la maison.
Petit sneak peak juste en dessous !
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Il y a quelques points que je veux particulièrement remonter. Par justification de traduction, d'appel à l'aide, ou parce que c'est particulièrement intéressant.
Les ennemis
La majorité vont être traduit : Villageois/Villageoise, Fusilier, Homme-Pillier, Vieille aux rats, Dance Mécanique, Clébard Fétide, Cocon Imparfait, Lunette Chialeuse...
J'en profite du coup pour proposer la traduction de Moonscorch, qui serait du coup Flambelune. Cela donnera le cancer de la Flambelune, et un Flambeluné.
J'hésite grandement à traduire les nom Needles et Stitches, qui pourrait être traduit par Seringues et Soutures, mais ça ne sonne pas top. Mais ça fait flic de laisser des nom en anglais dans une trad française.
En parlant de flic, je comptais traduire Bobby par Flic/Flicaillon/Poulet, mais ça enlèverai le contexte du nom. En Angleterre, bobby est un mot familier pour désigner les policiers londoniens, avec leur casque bombé. Vu le design de l'ennemi dans le jeu, le nom restera.
Par contre, Bellend sera traduit par Gland. C'est très important.
Avis à la population, mais surtout aux experts : pour l’ennemi Sew Job, le mot existe bien en anglais, mais je ne trouve pas d'équivalent en français. Enfin si, ce serait Travaux de couture, mais ça sonne faux. Pour le moment, le nom placeholder pour cet ennemi serait Peau Rapiécée. Question pour les gentils messieurs et madames de mon PC qui font de la couture : est-ce que vous avez un mot pour Sew Jobs, dans votre domaine ?
2) Première rencontre avec Per'kele
Point général, car il concerne tout le texte, mais j'ai dû bidouiller un peu pour garder le texte le plus neutralement genré possible.
3. Extérieur du train
La manière dont est fait le jeu, chaque zone comprend tous les dialogues et textes possible dedans, que ce soit les Party Talk, les diagnostiques médicaux, les discussions avec les NPC, lorsqu'on fouille dans des objets... En même temps, des textes se répètent entre chaque zone, alors qu'ils devrait être dans l'onglet Common Events... Après, ce sont des textes que je ne traduit qu'une fois, puis je les recopie dans les autres zones. Je n'aurai pas à les retraduire et ça m'avancera le travail.
Cette partie là a été longue à traduire, car elle comprend à la fois la discussion du début de jeu (et les alternatives selon le personnage qu'incarne le joueur), mais aussi toutes les discussion de hub (Marcoh et Tanaka qui boxe, Olivia qui creuse la terre, Henryk qui fait sa popotte dehors, Daan qui clope). Il y a d'autres zones comme ça, qui sont pas mal chargée de texte, comme l'intérieur du train, le bar jazz, et l'intro des personnage.
Pas mal de dialogue sont des ref à d'autres média, comme par exemple la référence à Jimmy Buffet quand on demande un coup à boire à Daan au bar (je reviendrai sur celui-là plus tard). Là, lorsqu'on essaye de l'embrigader dans notre groupe alors qu'il est au complet, il refuse en disant qu'il sera juste un "party poison". Je n'ai pas réussi à trouver si c'était une expression idiomatique ou bien une référence. La seule référence que j'ai trouvé, c'est un titre de MCR (qui est nul à chier imo). Du coup, dans le contexte, je pense qu'il voulais dire "plombeur d'ambiance".
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Les "Bremen pigs" de Karin. On n'a pas l'air, en français, d'avoir un équivalent de l'insulte "pigs", sauf dans le cas de la police, où c'est poulet. Du coup, Karin dira dans la traduction "chiens de Bremen" ou "chiens brêmois", qui gardent le côté insultant et la comparaison aux animaux.
Je crois avoir bien passé en revu sur quoi j'ai taffé ce mois-ci. Avec les vacances de Noël, je devrais pouvoir mieux travailler dessus et bien avancer.
Prochaine update le mois prochain !
Joyeux Noël et bonnes vacances à tous !
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homomenhommes · 5 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 31
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Le dimanche matin je klaxonnai devant la maison des jumeaux. Aussitôt, ils nous rejoignirent avec juste un petit sac. Dans la voiture l'un des jumeaux s'installa près de moi, l'autre se plaça derrière son frère et le pris dans ses bras avec le dossier du fauteuil. Je demandais le contenu du sac. Il contenait slip, Kpotes et gel. Je les assurais que pour les deux derniers éléments, la maison fournissait. A l'arrivée à la maison, Marc nous accueilli dehors. Il me prit dans ses bras et nous nous sommes roulés un patin (histoire de faire comprendre aux jumeaux les pratiques de la maison) avant que je lui présente mes nouveaux amis.
J'ai senti les jumeaux un peu impressionnés par Marc. Il faut dire qu'il est loin de faire ses 40 ans et que sa forme physique vaut la mienne !
Il leur proposa de faire un peu de sport et nous sommes descendu à la salle de muscu. Cette dernière fait toujours de l'effet. Ils allaient entrer quand Marc leur signala les conditions d'utilisation : Jock uniquement. Les jumeaux étaient gênés car ils n'en avaient pas. Je leur ouvris le placard et leur dis de choisir dans la 30aine de modèles et couleurs présente. Ça été l'occasion de se retrouver tous à poil. Marc les félicita pour leur physique. Il rougirent un peu et l'un des jumeaux lui retourna le compliment s'arrêtant juste avant de dire " pour un vieux ". J'ai vu que Marc remarquait les toisons indisciplinées et je me suis dis intérieurement qu'avant la fin de la journée ils seraient rasés aux moins sur les couilles. Les jock enfilés, nous avons fait le tour de la salle, laissant les jumeaux tester les appareils (Marc et moi nous nous étions entraînés plus tot dans la matinée). Nous profitions des conseils pour les toucher, tâter, palper et caresser. Les 4 bites ne tardèrent pas à se dresser et à déformer le filets des jocks. A l'occasion d'un changement de machine, Marc et moi avons attrapé chacun un des jumeaux et serré dans nos bras, nous les avons embrassé en leur bouffant la langue. Si la virilité de la prise les a surpris, aucun des deux ne s'est reculé, et rapidement ils répondirent à nos avances.
Nous avons échanger nos jumeaux, pas de différence !! impossible de les distinguer l'un de l'autre. Physique identique, bouche et langue de même nervosité et avidité... il va falloir en tatouer un !!! Les queues impatientes sortent de la poche des jocks et viennent se frotter les unes contre les autres. Les 22cm de Marc le place en tête et hallucine les deux nouveaux, mes 20cm suivent et ils nous dévoilent de bons 18 larges qui n'ont rien de ridicule. Marc leur demande si ils verraient un inconvénient à passer chez le " coiffeur ". ils ne comprennent pas du premier coup et il leur montre le travail fait sur moi (rappel il ne me reste qu'une bande de 1cm de large de ma bite à mon nombril). Après réflexion et la remarque que lors des pipes les poils entre les dents c'est moyen, ils se laissent emmener dans la salle d'eau contiguë et se laissent raser et épiler. Lorsque c'est fini, ils se tâtent les couilles, le périnée et l'anus lisses comme à leur naissance !
De retour dans la salle, Marc vérifie le travail. Le passage de sa mains sur leurs zones nouvellement défrichées les fait bander et leurs 18cm viennent se plaquer contre leurs ventres. Nous reprenons nos activités où nous les avions laissées et les langues se battent de nouveau. Nous nous retrouvons bientôt tous les 4 par terre sur les tapis de gym embrassant et lèchant tout ce qui passe à portée de nos bouches. Les 69 arrivent vite et chacun se régale de la bite de son voisin. En s'écartant un peu, nous faisons un cercle où je suce un des jumeaux qui suce Marc, ce dernier pipant le deuxième jumeau qui lui avale ma bite.
Des bites, Marc et moi glissons vers les anus après une étape à leur bouffer les couilles lisses comme de grosses prunes, nous sommes aller détendre leurs anus à grands coups de langue. Après un léger arrêt sous l'effet de surprise, ils ont augmenté la cadence de leurs pipes, au moins ils ne sont pas insensibles du cul !
Alors que celui de Marc se détendait bien, d'un coup d'oeil, j'avais remarqué qu'il lui avait déjà mis 2 doigts, le mien faisait de la résistance et j'eu du mal à faire pénétrer mon majeur. Par contre à partir du moment où j'ai pu lui masser la prostate intérieurement, il s'est ouvert comme une fleur et j'ai pu rapidement lui enfiler un 2ème doigt. Sous cette nouvelle stimulation anale, ils ont cessé de nous sucer, concentrés sur les sensations que nous leur provoquions.
Nous les avons redressés sur les genoux à 4 pattes l'un à coté de l'autre et avons continuer notre massage interne. De temps en temps je vérifiais l'excitation de mon jumeau en passant ma main entre ses jambes pour tâter sa bite turgescente. Sur les avant bras, il se sont rapprocher et se sont roulés une pelle tout en geignant de plaisir. Nous en avons profité pour nous Kpoter et présenter nos queues lubrifiées à leurs anus. D'un même mouvement et en même temps, Marc et moi avons investi notre jumeau. D'un coup sec, nous avons pénétré nos glands. Bien que plus fin que Marc, j'ai eu autant de résistance à mon entrée. Bien accrochés aux hanches nous avons continué notre progression. Le mien avait tendance à souffler plus fort que son frère mais il acceptait quand même la situation. Bien bloqué au fond, nous y sommes restés quelques instants qu'ils s'habituent à nos sexes. Celui que j'enculais, s'est retourné vers moi pour me dire que c'était sa première sodomie passive, car dans leur " couple " c'était lui qui enculais son frère. Je lui demandais alors comment il trouvait cela, et il me dit que c'était bon.
A partir de la, nous nous sommes mis en mouvement et leur avons limer le cul de concert, alternant mouvements longs et lents avec du pilonnage intensif du fond de cul. Trois fois nous avons cessé tout mouvements pour faire retomber l'excitation et éviter leurs éjaculations. Mais 1/2 heure plus tard, ils jutaient sur les tapis en gueulant. Les spasmes de leurs anus nous amenèrent au même état et nous retirant brusquement, nous leur avons recouvert le dos de notre sperme avant de rouler sur le coté. Chacun est venu nous remercier en nous roulant un palot bien profond. Je demandais alors si le dépucelage n'avait pas été trop douloureux. Il me dit que les fois où son frère avait essayé, c'avait pas été top mais que là, le fait de se faire mettre tous les deux en même temps l'avait excité au point d'accepter facilement la chose.
Après une bonne douche à 4, style salle de sport, je leur ai massé leurs petits trous d'une crème apaisante histoire que leurs anus garde un bon souvenir de notre premier passage. L'heure du déjeuner était dépassée depuis longtemps et les exercices que nous venions de faire nous avaient creusé l'appétit. Nous sommes remontés à la cuisine juste vêtus de nos slips. Du frigo j'ai sorti de quoi se restaurer, et pendant que nous récupérions nos forces, Marc a essayé d'en savoir plus sur nos jumeaux. D'abord leurs prénoms, car depuis que Jean me les avait présenté sous le vocable des " jumeaux ", nous n'avions pris le temps d'aller plus loin. D'origine russe, leur père les avait affligé de prénom slave et celui dont je m'étais occupé nous a dit s'appeler Vassili et son frère Ptior. Marc leur demanda alors ce qu'ils cherchaient comme rapports sexuels ? il leur demanda ce qu'ils pensaient des meufs et ils lui répondirent qu'ils ne connaissaient que la mère de Jean. Quand je leur ai assuré qu'avec elle, ils avaient tirer le maximum d'une femme, pipe gorge profonde, chatte, cul, double sodomie et seins, que beaucoup d'entre elles n'en feraient pas le quart, il ont reconnu que les mecs leur assuraient plus de plaisirs, même s'ils ne connaissaient que Jean, Marc et moi, en dehors de leurs rapports quasi masturbatoires. Marc leur demanda alors si cela les intéressaient d'approfondir leurs connaissances sur le sujet. D'un même cri, ils nous assurèrent de leur envie d'aller plus loin, mais pas uniquement comme passif ci cela était possible.
Marc les assura qu'ils feraient ce qu'ils voudraient et iraient jusqu'où ils décideraient. La philosophie de notre " groupe " étant le plaisir avant tout.
La discussion nous a remis les bites au garde à vous. J'avais envie de me faire défoncer le cul et proposais alors à Marc de leur faire connaître le baisodrome de l'étage. Sous leurs regards interrogatifs, nous les avons conduit à la chambre spéciale (2 lits de 2mx2m et des glaces partout (murs et plafond). Là, Marc et moi les avons projetés sur un des lits et les avons pipés directe en gorge profonde. Ils étaient très excité par les effets que cela procurait sur leurs glands. Ils n'avaient jamais imaginé pouvoir entrer une bite entière dans une bouche avant que je le fasse dans la gorge de la mère de Jean et que nous le répétions actuellement sur eux. Je cessai un instant pour leur dire que je leur montrerais comment faire. Ils étaient très intéressés par cela.
Bien raide, je Kpotais le miens et après avoir graissé le bout, me retournais et lui dit de m'enculer. Marc dit alors au sien (de jumeau) de venir me clouer le bec avec sa pine. Rapidement ;, je me suis trouvé avec les deux extrémités bouchées par une bite similaire. Mon enculeur après être entré doucement, à accéléré et agrippé à mes hanches me rentrait sa bite entièrement. Ma bouche recevait de la même manière celle de son frère. J'avais l'impression qu'un seul mec arrivait à me remplir des deux bouts. Après un bon moment où les deux frères pendant lequel ils ont échangé deux ou trois fois leurs places, Marc est venu m'achever. Il m'a mis sur le dos. J'ai relevé mes jambes sur sa poitrine et il a pris possession de mon cul. Les jumeaux sont alors venus devant moi et se sont branler jusqu'à me juter sur le torse. Marc, lui, m'a rempli le cul bloqué au fond alors que de le sentir me doser, je jutais à mon tour sur mes abdos. Enculer et me faire mettre = un WE parfait !!
Comme je reconduisais les jumeaux chez eux, nous avons discuté un moment. Cette journée leur avait fait comprendre ce qu'ils aimaient vraiment et surtout leur avait ouvert les yeux sur un potentiel de baise autrement plus intéressant et varié que leur simple relation fraternelle. Ils étaient prêts à tout pour participer à nos WE de baise.
A leur demande je suis descendu saluer leur paternel. Alors que ce dernier reconduisait à la porte de leur maison une belle femme, ça a été une surprise de constater qu'il avait le même type physique et le même age que Marc.
Les jumeaux sont venus l'embrasser et ils lui ont demandé si elle avait été bonne au lit. Ça été à mon tour d'halluciner ! et à la réponse positive de leur père, Vassili lui dit que de leur coté, ils avaient passé une journée de baise fantastique, que vraiment leur truc c'était plutôt les mecs et qu'ils s'étaient trouvés un groupe pour leur apprentissage. Gêné, je ne savait plus où me mettre quand leur père me salua en me demandant si j'en faisait partie du groupe. Toujours troublé par sa présence, je bafouillais un oui, les jumeaux tordu de rire devant mon manque d'assurance inhabituel. Jetant un regard interrogatifs à ses fils concernant mon émoi, ils lui dirent que mon ami lui ressemblait beaucoup. Je le lui confirmais, cela le fit rire et il me dit qu'il n'y avait pas de problème, il n'aimait que les femmes.
Les jumeaux réagirent en lui disant qu'ils avaient essayé mais que ça valait pas un mec ! et que même se faire une meuf tous les deux en même temps ne valait pas de sodomiser en couple un cul de mec.
Je ne revenais pas de la liberté de propos qu'ils avaient avec leur père. Enfin, cette dernière déclaration leur valu une demande d'explication. Ils durent alors s'expliquer en détail. A la fin, il reconnu que là, ses fils avaient été plus loin que lui qui se contentait de baiser une meuf par les trois trous.
Je les laissais à leur échange d'expérience, regrettant que chez mes parents le ton n'y soit pas aussi libre ! peut être que la position quasi célibataire du père y était pour quelque chose ? Je suis rentré tout songeur vers Marc qui m'a accueilli d'un grand câlin en me remerciant pour les jumeaux.
Quand je lui ai parlé de leur père, il s'est amusé de mon trouble et me dit qu'à mon air, il fallait s'attendre à élargir encore le groupe. Comme je me récriais, il me dit qu'il commençait à bien me connaître !
JARDINIER
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eiffel21 · 9 months
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Tomber, encore
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Dans un tourbillon glacial, elle avance coûte que coûte. Le chemin glissant rend sa marche malaisée et pourtant elle avance. Ce qui peut l’arrêter ? A peu près rien ni personne. C’est un combat qu’elle a décidé de mener, contre les éléments et le monde entier. Une détermination sans faille dans un corps d’un mètre cinquante, surplombée d’une tignasse rousse et épaisse qui, dans un timide rayon de soleil, illumine brièvement la lande. Elle essuie d’un geste machinal les larmes sur ses joues, au milieu de taches de rousseur. Point de tristesse pour autant, juste le vent et le froid qui ne l’épargnent pas.
Pas après pas, les heures se succèdent, la nuit s’avance. Aucune lueur, aucun village aux alentours. Il faudrait être fou pour s’aventurer dehors par ce temps, dans le brouillard, sur la côte escarpée qui plus est. Mais l’instinct de la rouquine la conduit vers une cabane perdue et délabrée qui, comme elle, a résisté jusque-là aux assauts du vent. Avec une gratitude intérieure, elle jette rapidement une peau de chèvre sur son dos et s’endort aussitôt. Dehors, la tempête de neige approche.
Au petit matin, sur la lande blanchie par les bourrasques de lourds flocons de la nuit, pas un bruit ni aucune âme qui vive. La cabane a rendu son dernier souffle. Elle s’est allongée mollement sur les rêves de vengeance de la jeune femme et sur son corps transi de froid. Avec pour seul témoin, la neige qui continue de tomber, encore.       
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the-ninth-moon · 3 months
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Aes et fonctionnement rpgique
Petits rappels rapides sur l'univers et l'atmosphère de the ninth moon :
Le forum aura pour vocation d'être un med-fan plutôt smooth, dans lequel vous aurez la possibilité de jouer votre aventure tranquillement sans vous soucier des quêtes évolutives, ou bien de  pimenter à fond votre expérience avec des trucs compliqués (mais géniaux !) de jeu de rôle, genre inventaire, capacités, évolution, quêtes et lancers de dés...
Le choix est tel que vous pourrez choisir votre fiche selon la manière dont vous appréhenderez votre aventure : une plus concise, une plus développée avec pourcentages de compétences.
La seule chose obligatoire sera de choisir une race parmi les quatre développées et de pouvoir situer à peu près votre futur personnage dans la carte de l'empire.
Voici les possibilités rpgiques à explorer :
un système de quêtes annexes, rps de groupe sur inscription qui vous permettront de gagner des cristals et des objets importants pour les intrigues notamment.
un système de lancer de dés, type " échec ou réussite " ou encore utiles pour les loteries diverses.
un système d'inventaire, de montées en niveaux, de % de capacités, qui influeront grandement sur les intrigues et quêtes générales.
Cette liste est non-exhaustive, cela vous donner un avant goût.
PS : je recherche toujours un.e partenaire staffien.ne pour vivre cette aventure, le forum avance hyper bien, mais tout est encore modulable selon vos désirs. <3
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luma-az · 8 months
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En mer
Défi d’écriture 30 jours pour écrire, 18 août 
Thème : sieste/oui mon capitaine
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Partout, une mer d’azur s’étale à perte de vue. Le bateau est le seul point dépassant sur l’horizon. En dehors d’une petite brise, à peine suffisante pour avancer, c’est ce qu’on pourrait appeler le calme plat.
Perché dans le nid-de-pie, je succombe à la tentation d’une petite sieste. Après tout, qu’est-ce qui pourrait arriver ?
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Le bateau est désert.
Je ne comprends pas. Je me suis réveillé à peine une heure après avoir fermé les yeux, deux peut-être, trois grand maximum ! Ils ne peuvent pas avoir tous disparus aussi vite ! Et où est-ce qu’ils seraient passés ?
J’arpente le pont comme une âme en peine, en appelant mes camarades. En vain. L’angoisse me tord les tripes. Il n’y a aucune trace de lutte. Toutes leurs affaires sont encore là. Le café est froid dans la tasse du capitaine. Les dés des gars qui n’étaient pas de quart sont encore posés par terre, à coté des piécettes. Ça n’a aucun putain de sens !
Je cours partout, je cherche. Je regarde dans la mer, mais je ne vois aucune trace. Comme il n’y a plus personne à la barre, le bateau s’est mit vent debout et il est resté dans la même zone depuis, je pourrais voir quelque chose – un foulard, un chapeau, n’importe quoi qui flotterait sur les vagues et me dirait une bonne fois pour toute qu’ils sont tombés à l’eau. Mais non, je ne vois rien.
Ne pas paniquer ne pas paniquer ne pas…
Je cours jusqu’à la cuisine. Les réserves d’eau et de nourriture sont intactes. En étant seul, je devrais pouvoir tenir des m…
Mais je ne vais pas rester seul aussi longtemps, bien sûr. Comment je pourrais être seul aussi longtemps ? Quelqu’un va forcément me trouver avant ! On est sur une route commerciale, quelqu’un va voir le navire, et…
Je fouille dans la malle à pavillon et en sort ceux qui indiquent une urgence vitale, et que le bateau se rend sans résister. Peut importe qui me trouvera, ils viendront !
Maintenant, il faut que… il faut que je m’organise. Le bateau est bien gréé, si je reprends la barre je peux avancer. Même si je ne suis pas sûr de la direction. Je ne suis pas capitaine ni officier, moi, je n’ai jamais eut à faire tous ces calculs compliqués, mais je saurais à peu près me repérer au soleil ! Et je ne veux rien de bien extraordinaire, juste me rapprocher de la côte. Oui, oui, plus je serais proche des terres, plus il y a des chances qu’on me voit et qu’on vienne  me sauver. Oui. Ce n’est qu’une question de jours. De semaines, tout au plus. Tant que je ne croise pas de tempête, je peux m’en sortir. J’en ai pour des mois de provisions, après tout.
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Je ne sais pas depuis combien de temps nous errons en mer.
Au moins je ne suis plus seul. J’ai fabriqué le coq Brisepâte, pour me tenir compagnie quand je fais l’inventaire des vivres. Le mousse Filedroit, pour les moments  où j’ai envie de me lancer dans de grandes explications sur le métier de marin ou de lui raconter mes aventures excitantes. Les matelots Bonnepinte, Grandepinte et Bellechopine, pour les soirs où j’ai envie de boire un petit coup. Bizarrement, j’ai fini le rhum bien avant de finir la farine à biscuits.
Ah, et j’ai aussi fait le capitaine Briselame – aucun lien de parenté avec le coq. Ma fierté, honnêtement. Il est habillé avec les vrais vêtements du capitaine, il a même son monocle, et il a une paire de moustaches en étoupe qui ferait peur à n’importe quel abordeur. Il me rassure quand je me sens perdu. Je lui parle beaucoup. Il me répond parfois. Sans lui, je ne sais pas comment je m’en serais sorti vivant quand j’ai affronté la première tempête. Bon, le bateau est dans un piètre état, c’est plutôt une épave à la dérive maintenant qu’un vrai navire, et mes espoirs d’atteindre une côte fondent comme neige au soleil. Mais je suis vivant. Merci mon capitaine.
J’ai faim. J’ai mangé la viande séchée. J’ai mangé les fruits secs. J’ai mangé les biscuits. J’ai mangé la farine. J’ai mangé les vers qui mangeaient la farine. J’ai mangé les pommes, aussi. Enfin, celles qui n’ont pas fini  dans ma tentative de faire de l’alcool maison. C’était atroce, mais ça m’a occupé un moment.
Maintenant, je n’ai plus grand-chose à faire à part regarder l’horizon. Le capitaine tient la barre, aidé de quelques cordages. C’est important de maintenir le cap, même si c’est dur vu le peu de gouvernail qu’il reste.
Je regarde l’eau en rêvassant quand j’entends le chant.
Jamais encore je n’avais entendu un chant aussi beau. Comme si les portes du paradis s’étaient ouvertes pour moi. Je me penche et là, sous les vagues, dans l’eau cristalline, je les vois tous ! Tout l’équipage est là, qui me sourit et me fait des grands gestes pour que je les rejoigne. Des sirènes sont avec eux. Mais c’est bien sûr ! Ce sont elles qui les ont sauvés, il y a si longtemps !  Je n’ai plus qu’à les rejoindre !
Je commence à enjamber le bastingage quand j’entends le capitaine Briselame qui crie, de sa voix de tonnerre :
« Dégage-moi tout ça et remonte sur le pont !
— Mais… ce sont des sirènes !
— Justement, espèce d’imbécile ! Elles viennent pour te noyer et te dévorer, comme tous les autres ! Remonte tout de suite et va te mettre de la cire dans les oreilles jusqu’à ce qu’elles se lassent !
Je suis déchiré. Je n’en peux plus de vivre comme ça. Je ne veux plus !
Mais dans ce monde de folie, j’ai reçu un ordre, et c’est la seule chose qui a encore du sens, alors qu’est-ce que je pourrais répondre d’autre que :
— Oui mon capitaine ! »
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nuitdemai · 6 months
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Les avancées du projet
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Bonjour, bonsoir à tout le monde. Plusieurs petites annexes ont été postées depuis la création de ce Tumblr, j'espère que le ton et l'ambiance du forum vous donnent déjà envie !
Je venais pour vous tenir au courant des avancées de ce projet, et j'ai de bonnes nouvelles, tout avance plutôt bien. Les lieux, les descriptions, ainsi que tous les sujets administratifs ont été rédigés. En somme, il ne me reste que quelques détails, comme les emojis, un peu de relecture et... Le design du forum.
Sauf que je m'en doutais, le codage étant ma kryptonite, j'ai beaucoup de mal à avancer là dedans, et comme je suis un peu difficile, je n'arrive pas non plus à obtenir un résultat convaincant, même avec le libre service. C'est pour cela que je cherche un.e codeur.se pour m'aider, contre rémunération bien entendu. Ce projet me tient vraiment à coeur et j'ai hâte de pouvoir le lancer. J'ai une maquette de l'index déjà prête, et si cela est dans mes moyens, je serais ravie de pouvoir collaborer avec une personne ici plus à l'aise que moi pour coder 🥺
Bref, si le projet vous tente, ou que vous connaissez quelqu'un qui connait quelqu'un qui... N'hésitez pas ♥️
Par ailleurs, mon ask est ouvert à toutes questions et suggestions, donc là encore, n'hésitez pas si jamais ♥️
Je vous souhaite une belle semaine !
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aisakalegacy · 22 days
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Printemps 1918, Al Simhara, Égypte (10/20)
Malgré le manque de légèreté de nos conversations, cela m’a fait plaisir de revoir mon ancien camarade. D’ailleurs, à l’heure où je vous écris, il est maintenant fiancé : il a correspondu toute la guerre avec celle qu’il pensait voir devenir sa future belle-sœur, Marie Rumédier, dont je vous parlais plus tôt, qui lui a remonté le moral et permis de tenir dans les tranchées. Quand Earnest Simmon l’a délaissée pour ma fille alors qu’elle se remettait à peine de la disparition de son frère, il lui a finalement rendu la pareille…
[Transcription] Jules Le Bris : Je suis heureux de voir que ton moral n’a pas pris de coup. Bert Simmon : Pour tout de dire, si, il en a pris, et mon frère te dirait sûrement que je bois trop. Mais on avance, hein ? Jules Le Bris : Tu sais, ça fait des mois que je me demande ce qu’il se serait passé si j’étais resté avec vous. Jules Le Bris : Rumédier a disparu, Zéphir est mort… Et nous, on reste debout. Qu’est-ce qu’on a de plus qu’eux ? Jules Le Bris : J’ai été réformé si tôt… Et vous, vous êtes restés dans la boue et dans le feu. Bert Simmon : Tu y as laissé ta jambe, Le Bris. Elle est déjà payée, ta dette. Jules Le Bris : Je sais que c’est irrationnel, mais j’ai souvent le sentiment de vous avoir abandonnés. Bert Simmon : Tu n’y es pas. Le petit, et moi, et même Rumédier, on se disait souvent : « qu’aurait fait Le Bris ? ». Quel que soit l’obstacle, on se disait que toi, tu y aurais survécu, avec peut-être une balafre en plus ou deux. Tes histoires d’ours et de persévérance, même après ton départ, elles nous ont aidé à tenir. Jules Le Bris : La cérémonie va bientôt commencer… Bert Simmon : J’ai compris. C’est une petite île, on se recroisera. Je connais deux ou trois vétérans. On aime bien se retrouver pour manger un morceau, boire un coup, et discuter un peu. Je te présenterai à l’occasion. Jules Le Bris : Les bottines doivent suivre les babines, comme on dit. Bert Simmon : Je m’y tiendrai !
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bourbon-ontherocks · 1 year
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(Previously, on the HPI rewatch...)
Bon là on est clairement  sur le début de la fin, aka l'épisode où j'ai commencé à perdre toute santé mentale.
Déjà la gêne COLOSSALE de la scène d'introduction je meurs
eLLe a dEmaNDé à dOrMiR chEz lUi... 🥹
IL LUI A TENU LES CHEVEUX 😭😭😭
Non mais je sais pas si vous vous rendez bien compte, là. Il lui a tenu les cheveux pendant qu'elle vomissait. A deux heures du mat. Après avoir été la chercher au poste ou on ne sait où alors qu'il avait sûrement mieux à faire. Mr. "C'est SALE" qui se lave les mains dix fois par jour a tenu les cheveux de Morgane bourrée. C'est -- j'ai même plus les mots, à ce stade c'est une déclaration d'amour et c'est la chose la plus romantique qu'il ait jamais faite pour elle 😱
NON je m'en suis toujours pas remise
"Vous m'avez tenu les cheveux, c'était gentil..." je la vois TELLEMENT lui sortir ça bourrée, retenez-moi... 😩
Pour rappel, c'est littéralement et uniquement cette phrase qui est à l'origine de Show you where it's dark. Just saying.
LE FICUS 🪴🪴🪴
Morgane qui bloque en boucle sur Karadec à poil c'est beaucoup trop drôle, girl, your obsession is showing
"Vous et moi on a mis un peu de temps avant de trouver une manière de travailler ensemble, je voudrais pas que cet incident vienne tout gâcher..." vous croyez que c'est aussi ce qu'il lui a dit dans la voiture entre Calais et Lille ? 😢
"On attend la PTS" suivi de Morgane qui déchiquète le punching ball, elle n'essaye même pas, je l'adore
"Vous allez faire la gueule toute la semaine ?" "Ouais" La synchronisation de Gilles et Daphné est absolument parfaite 😂
Bon par contre c'est quand-même la troisième enquête de la saison avec une mère qui a perdu son fils, faudrait se renouveler un peu, là...
"Non mais sérieux vous avez cinq ans, quoi.." Morgane ? Morgane ?! Heu, hôpital, charité, tout ça, ça te dit quelque chose ?
On a le droit de prendre sa voiture en Ehpad ? Non parce que là Henri nous apprend que sa mère est morte au volant, mais dans l'épisode suivant il nous dit qu'elle était en Ehpad depuis des années, I'm confused.
Morgane qui vit dans sa voiture et qui se fait virer du parking tout en mentant à Théa, c'est quand-même un des trucs les plus déprimants du monde 💔 ...
... Par contre Morgane qui s'incruste au dîner en tête-à-tête d'Adam et Roxane, c'est hilarant.
J'ADORE la subtilité de Roxane qui sort "Non mais y'a vraiment des gens sans gêne" en parlant totalement de Morgane sans que Morgane s'en rende compte, en vrai elle est beaucoup trop cool pour Adam 😅
Et puis ça me fait mourir de rire que globalement Roxane soit plus amusée qu'autre chose par le débarquement de Morgane, alors que Adam est au bout de sa vie
Et c'est LUI qui passe son temps à s'excuser, comme s'il était responsable du fait que sa collègue s'incruste, this speaks volumes about him tbh 😆
"C'est délicieux, mais c'est vrai que c'est un petit peu fade" Pahahaha, cette femme manie l'oxymore d'un façon magistrale 🤣 mais du coup est-ce que ça veut dire que sans Morgane elle aurait subi en silence ? Donc au fond, elle la remercie pour son initiative ketchup-mayo ?
Allez, rien que pour le plaisir, je vous mets petit goret Morgane qui s'en fout partout en imax
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"Je le trouve vraiment craquant quand il s'énerve" et bah NOUS AUSSI
Bon, j'le dis ou j'le dis pas ? Karadec is officially a slut, c’est juste dommage que pour une fois qu’on a l’occasion de voir cet aspect de sa personnalité, ça soit pas avec Morgane... 😏
Mais sinon c'est juste adorable que ce soit lui qui décide de rogner sur les horaires pour prolonger les câlins, Mr. “le meilleur moyen d'être à l'heure c'est d'être en avance” ? 🥰
Morgane qui débarque à littéralement une seconde et demie d'une scène de sexe explicite 🤭😘
Roxane qui est morte de rire pendant l'intervention de Morgane, j'arrive pas à savoir si c'est Clotilde qui a pas gardé son sang-froid ou pas, mais elle est tellement plus chill qu'Adam, good for her
Et aussi, pourquoi Adam est aussi stressé à l'idée que Morgane fouille dans son pantalon ? Elle risque d'y trouver quoi, des capotes ?
HPI 🤝 Kaamelott => grumpy trouple energy
Vous pariez que Karadec les reverra jamais ses vingt balles ?
"J'étais jalouse des autres femmes, j'ai compris que j'étais en train de m'attacher, etc..." non non non, c'est pas DU TOUT on the nose haha
Céline et Daphné qui veulent aller draguer en mode non mais c'est un super plan et on y va absolument pour le boulot... LOL
Le "Pardon !" vénère de Daphné quand elle se casse après avoir suggéré à Morgane de s'excuser me fait toujours autant rire 😅
PAR CONTRE
Le fait que ça catalyse Morgane qui va s'excuser auprès de Ludo parce qu'elle réalise qu'elle va le perdre comme elle a perdu tout le monde dans sa vie, ça me 😭
Les explications sur la piste de danse... Encore une occasion manquée de voir Céline sortir à Morgane qu'Adam a failli démissionner pour elle 😢 Sinon vous avez remarqué que Céline danse la macarena ?
Le CHAOS absolu de cette sortie, quand-même, entre Céline et Morgane qui sont passées à ça 🤏 de se pécho sur un suspect pendant que Daphné vit sa meilleure vie sur la piste de danse 😅
La voix de Morgane qui déraille quand elle s'excuse auprès de Ludo gets me every fucking time 💔😰 Audrey Fleurot sait tellement bien jouer quand elle veut...
J'y crois pas, elle continue à sortir des bobards à Adam sur son soi-disant hôtel, et lui pas dupe il dit rien mais il sait très bien qu'elle ment c'est TELLEMENT mignon
Il lui a gardé une assiette, hello 😍
"Vous vous brossez réellement trois minutes ?" oh putain je commence à faire des palpitations 🙊
POURQUOI ils se brossent les dents ensemble comme un vieux couple, d'abord ??? Qui fait ça ? Vous faites ça quand vous hébergez un collègue en galère, vous ? Genre Adam était TELLEMENT pressé d'aller se coucher, il a pas pu attendre trois minutes ? Mais enfin 😆
Et Morgane qui remet sur le tapis le fait qu'elle l'a vu à poil
LE BROSSAGE DE LANGUE 😱😱😱   
Sérieusement, si on m'avait dit qu'un jour je shipperais des gens qui se brossent la langue je l'aurais pas cru
La naissance de 💫 Brosse Adam 💫 , ladies and gentlemen
"Vous vous lavez la langue ?"
Le SOURIRE de Morgane
Elle se fout de sa gueule mais en même temps on voit la vulnérabilité et l’attirance qui percent sous le masque, et je --- 😩😩😩
la GÊNE ABSOLUE
Adam qui sait plus où se mettre 🤣
"Vous avez des projets, ou...?" c'est pas DU TOUT parce qu'elle l'a vu sur le point de mettre lesdits projets à exécution avec Roxane, non non non
LA TENSION 🥹🥹🥹
Ce moment où ils n’ont PAS PU ne pas penser à s’embrasser
On ne m’ôtera pas de l’esprit qu’ils en mouraient tous les deux d’envie 🫠
Leurs regards dans le miroir, ils peuvent même plus se regarder en face oh my god 😩
Morgane qui geint "éteindre la lumière" comme si elle était au bout de sa vie (she probably is)
(Local Woman Just Hit On Her Very Not Single Boss, etc)
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Hold on I need a minute
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J'adore, parce que l’argument massue de Morgane c’est "le mec a réservé ses billets d'avion vachement à l'avance et il choisit la place à côté des toilettes", heu, deux semaines avant pour un vol international, vous appelez ça à l'avance, vous ?
"Au début il m'agaçait mais petit à petit... [...] c'était plus fort que nous" La façon dont Adam regarde Morgane pendant tout ce passage me tue. C’est l’épisode où elle réalise qu’elle est amoureuse, mais on dirait que c’est LUI qui se sent concerné, j’en peux plus 🥵
"Je tombe enceinte à chaque fois que je suis amoureuse" Ah non, hors de question. Leave Morgane’s uterus alone 2k23
Je rêve, ils ont même pas pris la peine de créer un fil WhatsApp crédible, là on dirait que la conversation vient de démarrer avec Ophélie alors que c'est sa cliente depuis trois mois 😅  l’amateurisme technologique de TF1 me surprendra toujours
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"Et Gilles qui a fait... sans doute un tas de trucs" 😂😂😂
La façon dont Adam est complètement obsédé par Morgane dès qu'elle ne vit plus chez lui ça me rend dingue. Je le vois. Roxane le voit. Les acariens dans sa moquette le voient. Lui, non, il voit pas.
Tu m’étonnes que Roxane fasse des recherches sur Morgane, après...
Morgane qui hallucine Adam en train de se brosser la langue dans la cellule du commissariat -> poetic cinema 😍
ELLE LUI A PIQUE SA BROSSE A DENTS EN BAMBOU
La révélation finale de Morgane est absolument magique, pas parce qu’elle prend conscience de ses sentiments, mais parce que ce show s'auto-fanvid c'est extraordinaire 😅 
Ce montage de tous leurs petits moments 😘😘😘 Les moments où elle fait rire Adam... leurs câlins... leur complicité 🥹🥹🥹
Et mention spéciale aux petits bébés chats qui se font des léchouilles, ça me fait mourir de rire à chaque fois et c’est exactement comme ça que je veux les voir en saison 3 (ouais je sais c’est mal barré, BUT STILL, gimme my kittys 😻😽)
Oh ! Pour une fois je finis pas un épisode avec le cœur en miettes dis-donc !
M’enfin c’est juste histoire de reprendre des forces avant la suite, hein...  😏
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