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#beatlesque au
paul-simon-juggling · 1 year
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I asked an AI to physically describe Paul and Art and it is đź‘Śadamantđź‘Ś that they are both over 6 foot for some ungodly reason.
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rollingstonemag · 6 years
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Ce live des Lemon Twigs pourrait bien vous redonner foi en ce que vous voulez
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Les frères D’Addario présentaient « Go to School » sur le plateau de Jimmy Kimmel aux États-Unis
En 2016 déjà, les frères Brian et Michael D’Addario sortaient Do Hollywood, premier album de glam pop brillant de bout en bout – une performance d’autant plus remarquée, les deux jeunes gens atteignant péniblement la vingtaine au moment des faits. Ils viennent tout juste de revenir avec Go to School, concept album racontant les déboires d’un jeune singe faisant son entrée à l’école, avec son lot d’envolées mélodiques et d’émois amoureux.
Un disque un brin différent, qui gagne en richesse ce qu’il perd en pop et en immédiateté, mais qui confirme une constante chez les deux frangins : une folie, un sens de la démesure et de la flamboyance qui fait plus qu’honneur à leurs illustres influences.
Et de flamboyance il est question ici : les Lemon Twigs sont venus défendre leur petit dernier sur le plateau de Jimmy Kimmel, animateur d’un célèbre late show pour le compte de la chaîne américaine ABC. En jouant The Fire (qu’on vous présentait en playlist il y a quelques semaines), titre à deux vitesses partant de la ballade jusqu’à une explosion pop « beatlesque, » Michael (le plus jeune frère) prend son rôle de leader par le col et lui colle deux baffes, histoire de réveiller tout le monde. Une performance surjouée mais totalement maîtrisée, qui ramène à l’âge d’or du glam des années 70, des solos de guitare jusqu’aux postures un brin grotesques de Michael.
Qu’ils y croient, qu’ils se moquent de nous ou qu’il s’agisse d’un subtil mélange des deux, un peu de ferveur dans ce monde désabusé, ça fait plaisir.
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francois-and-marie · 7 years
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Notre coup de cœur musical du week-end ira au dernier opus de Ty Segall intitulé “Ty Segall” sorti ce vendredi. Un album un peu plus calme (c'est relatif) et dans une veine plus proche de Manipulator sorti en 2014. On adore particulièrement Orange Color Queen et surtout Take Care (To Comb Your Hair) aux sonorités très “Beatlesques”. Du bel ouvrage pour ce premier album de l'année, à quand le prochain album Monsieur Segall ?
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rollingstonemag · 6 years
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Ty Segall & White Fence en totale symbiose dans "Body Behavior"
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Avec un nouvel album dans les cartons prévu pour le 20 juillet, les gars Ty Segall et White Fence ont décidé de passer la seconde
On vous en parlait il y a deux mois, le prolifique Ty Segall officialisait son nouveau projet, collaboratif cette fois, avec Tim Presley, aka White Fence. Les deux amis s’étaient déjà retrouvés en 2012 avec un premier disque euphorisant, ils reviennent avec « Joy », qui sort dans les bacs le 20 juillet prochain.
Avec le tout premier extrait, « Good Boy », le duo démontrait qu’il n’y allait plus par quatre chemins. Une direction lo-fi, beatlesque au possible. Ce nouveau morceau, « Bad Behavior », n’échappe pas à la règle. Même si son final, plus heavy, sonne définitivement Segall, il est certain qu’il s’agira, à l’image de sa précédente aventure avec le Freedom Band, d’un des segments les plus intéressants de sa carrière. Une belle aventure spatio-temporelle dans les contrées 60’s, que les deux gaillards invoquent ici sans blasphème.
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« Joy » suit le dernier album solo de Segall, « Freedom’s Goblin ». Quant à White Fence, voilà son deuxième projet, après Hippo Lite avec l’ensorceleuse Cate Le Bon. Dès l’automne, Ty Segall et White Fence se produiront à domicile, pour une poignée de date à travers l’Amérique du Nord et les États-Unis, de Portland à Seattle, jusqu’au Desert Daze Festival en Californie.
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rollingstonemag · 6 years
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Brothers : un premier EP rayonnant
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L’été sonne à notre porte avant l’heure : c’est le duo Brothers qui nous présente son premier EP, pastille sucrée qu’on accueille à bras ouverts !
Brothers, c’est un projet rémois, plus particulièrement né des talents fusionnels de Julien et Thibault. Première pierre sur l’édifice : cet EP, ponctué en 5 titres. On vous présentait il y a quelques semaines le clip du single, « May We Meet Again », réalisé par Kyan Khojandi, avec Natoo en guest. Aujourd’hui, le morceau s’ancre aisément dans un full ; un joli patchwork de chansons pop, aux résonances grandement « beatlesques ».
De nos jours, il y a de ces artistes francophones émergents qui arrivent, tout de même, à proposer quelque chose de frais… et ô miracle, Brothers en détient le flambeau. Le groupe brise le cliché de la variété hexagonale et s’ancre dans une ampleur plus « internationale » (pour preuve, ça chante anglais). Et ce n’est pas tant l’originalité de l’instrumentalisation – qui s’efforce de ne pas fonctionner sans cesse sur une alternance couplet/refrain -, qui nous enchante, mais bien l’exécution du produit, dans son ensemble.
Ce projet est à la hauteur de ses artistes, sans jamais aller au-delà de leurs capacités. La production vacille entre l’organique et le synthétique. C’est qu’on entend là une batterie, là-bas une guitare grinçante, puis un synthé. Des détails sonores nous surprennent sans cesse et on s’y sent bien. Bref, la recette prend et fonctionne. Elle fait des étincelles, même.
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Alors que « Children Of This War » vogue sur la même densité que « May We Meet Again » et aurait pu faire office de parfait single, le morceau sait aussi se poser, faire le pont vers « Nightmare ». Nocturne, cette ballade fait la part belle à la gratte distordante de son refrain. Un bel état d’âme, vite réconforté par « Morning », pépite la plus pêchue du disque. Mais Brothers prend son envol sur « Birds », qui se termine en une orgie instrumentale, diminuendo en de simples voix. On a hâte de voir où le duo peut nous emmener pour la suite. En attendant, on risque de déguster sans modération cette tranche de musique, tout au long de l’été.
Samuel Regnard
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