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#bosphore
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Bosphore / Bosfor - Turkey.
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ataturquie · 3 months
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philoursmars · 8 months
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Marseille. Au musée Borély, musée des Arts Décoratifs, de la Faïence et de la Mode, il y a actuellement une expo très intéressante : "L'Asie Fantasmée", montrant comment , au XVIIIe et au XIXe s. , la France (et l'Europe), voyaient et surtout imaginaient les empires d'Orient, Chine, Japon et Empire Ottoman entre autres, avec parfois une réciprocité étonnante.
les 4 premières : Bureau Bibliothèque - sans doute Angleterre, début XVIIIe s.
les 2 suivantes : "Les Rives du Bosphore" - Dufour & Cie, XIXe s.
"La Buveuse de café" - anonyme, XVIIIe s.
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pinkasimov · 1 year
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Regard sur le bosphore
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frnndlcs · 1 year
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Bosphore, Maurice Pialat, 1964
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frenchbulletin · 1 year
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Grèce - "alliance" bulgare sur le chemin de fer pour contourner le détroit du Bosphore
Grèce – “alliance” bulgare sur le chemin de fer pour contourner le détroit du Bosphore
De Foti Fotinos Les discussions s’intensifient entre la Grèce et la Bulgarie pour le chemin de fer des ports de Thessalonique – Kavala – Alexandroupoli – Burgas – Ruse. Hier, le ministre grec des Infrastructures et des Transports, Kostas Karamanlis, a rencontré le vice-Premier ministre et ministre des Transports et des Communications de la Bulgarie, M. Hristo Alexiev, le ministre de l’Économie…
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felinefractious · 6 months
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Sakura de Saint Paer
🐱 Turkish Angora
📸 Delmarle Johnny [du Bosphore]
🎨 Black Tortoiseshell Bicolor
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ajnavoyager · 1 year
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🕌🇹🇷🧿 HAGIA SOPHIA🌃🌉🌊 #istanbul #constantinople #constantinopla #i̇stanbul #istanbuldayasam #salam #turkey #turkiye #turk #streetstyle #bosphorous #art #istambulcity #city #hagiasophia #hayasophia #hagiasofia #estambul #hayasophiamosque #magic #amazing #love #blue #ayasophia #arquitecture #asía #europe #citylife #istanbuldayasam #istanbullovers #istanbulturkiye (at Ayasofya Cami - İstanbul Türkiye) https://www.instagram.com/p/Cpz5cwsoALF/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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janameerman · 1 year
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motaedu · 2 years
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#eduardomota #drums #bateria #percussion #dr #schlagzeug #schlagwerg #batera #percussa #trommel #tambor #becken #cimbals #pratosdebateria #bosphorous #bosphoruscymbals #tama #tamamirage (at Dresden, Germany) https://www.instagram.com/p/Cifdxc1qQdI/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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borntoloos · 2 years
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frenchcurious · 7 months
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Cadillac Eldorado Biarritz Convertible 1960 au détroit du Bosphore à Istanbul. Tour de la Vierge Üsküdar. - source Cars & Motorbikes Stars of the Golden era.
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gentlyepigrams · 26 days
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Dior’s “Bosphore” is a midnight blue dream. The embroidered velvet birds’ nests, embroidered by Rébé, are accented with clusters of pearl eggs. Dior fashion history of 1956 via the V&A.
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mmepastel · 16 days
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J’ai adoré ce roman.
On est allés à Istanbul dix jours il y a de nombreuses années (avant Erdogan), et j’avais adoré ce voyage, cette ville. J’avais lu Orhan Pamuk déjà, qui m’avait subjuguée avec Neige et Mon nom est rouge. Je ne sais pas pourquoi, je me suis sentie bien là-bas. Franchement dépaysée, mais j’ai trouvé les gens chaleureux, complexes… (on a discuté avec plusieurs habitants, et bu longuement du raki avec le gars qui tenait un tout petit hôtel avec son frère, juste en face de la Mosquée Bleue), et la ville m’a parue incroyable, tant imprégnée d’un passé brillant et chaotique. Trépidante, mélangée, un vrai Tetris de cultures différentes, d’ambiances contrastées. Ultra moderne, ultra ancienne. Une mosaïque. Et cette mélancolie souriante… l’eau trouble du Bosphore…
De ce livre de Burhan Sönmez, je ne savais pas trop quoi attendre, pas une réplique d’Orhan Pamuk sous prétexte que les deux sont turcs. Et pourtant, je retrouve quelque chose de cette mosaïque mélancolique.
L’auteur est d’origine kurde et c’est là son troisième livre ; je ne le connaissais pas avant.
Plein d’histoires sont imbriquées autour du personnage central, Avdo, un vieil homme maître marbrier dans un cimetière stambouliote, qui vit dans une baraque au cœur dudit cimetière. C’est un homme heureux, malgré un passé difficile et tragique. C’est un homme bon, et pour ceux et celles qui croisent sa route, il est devient souvent un ami, un confident. Il est soucieux des autres, et ne fait pas de grande différence entre les vivants et les morts, sans doute par déformation professionnelle, mais aussi parce qu’il a appris à faire sans les gens chers qu’il a perdus. Il dialogue autant avec les étoiles que les tombes. A travers son histoire et celles de ceux qu’il croise, le romancier tisse une toile complexe qui éclaire par bribes l’histoire complexe du pays, ses beautés, ses richesses, ses violences et ses blessures. On a donc à faire avec de très nombreux personnages issus de mondes et d’époques différents. Avdo est spirituel sans être croyant, et il voit clair dans le jeu de l’imam de la mosquée d’à côté (lequel est plus intéressé par l’argent que par dieu) avec qui il a pourtant des relations cordiales.
La vérité c’est qu’il est orphelin, et qu’il ne sait pas qui il est puisqu’il ne sait pas qui est sa mère (selon sa pensée). Il est donc syncrétique par essence. Il préfère croire les histoires des hommes et des femmes et la vérité de leurs cœurs plutôt que de se conformer à des préceptes. Tout petit, il a été recueilli par un homme qui ne savait plus comment il s’appelait lui-même, puis par un maître marbrier qui lui a transmis sa passion. Avant de connaître l’amour et de donner rendez-vous sous les amandiers…
Dans ce livre, il est fortement question d’identité. De nom. Qui est-on vraiment ? Que signifient les noms que l’on nous donne ou ceux que l’on porte ou ceux que l’on se choisit ? Quelle est la part qui nous est donnée, celle qui nous appartient ? Il s’agit d’une quête intime, presque d’une enquête parfois.
Il est aussi beaucoup question d’amour, souvent immuable, qui survit à la mort et crée du possible autour de soi.
C’est un magnifique livre, émaillé d’humour discret, délicat, qui bouscule nos façons de penser, occidentales et rationnelles. Entre le conte et la fable, avec beaucoup de poésie, et du thé, très sucré.
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spaceoperetta · 1 year
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I did spend an afternoon in the modern part of Istanbul - I had fun walking down Istikal Street! It's the main shopping drag. Had a kebab, walked a miles or so to one end, had turkish ice cream from Mado (honey almond and pistacho, doesn't melt like american ice cream - goat milk makes it firm) and walked back.
I walked /so much/ on my final day in Istanbul - the busiest walking day of the tour, period - Grand Bazaar, Mosque of Suleyman the Magnificant, Istikal Street - that I'd aggravated a foot issue and was a little grumpy and tired by the end, (and I lost my fleece hat at some point) but a cruise on the Bosphorous river calmed me down a bit.
I was really impressed by Istanbul, overall. I felt safe, I enjoyed my rides on both subway and tram, and I was impressed by all the sights I saw.
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felinefractious · 6 months
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Sissi de Saint Paer
🐱 Turkish Anogra
📸 Delmarle Johnny [du Bosphore]
🎨 Black Smoke Tortoiseshell Bicolor
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