Tumgik
#c'est une racaille
homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 111
Dans la semaine qui a suivit, Jimmy a fait la connaissance de nos autres clients. Le père de Pierre (lundi) a bien apprécié le changement et surtout la souplesse de notre ami. Il a même réussi à lui faire faire une auto fellation (et pourtant il est monté petit, Jimmy !) pendant qu'il l'enculait en chandelle. Ok, il ne s'est pas bouffé la tige jusqu'aux couilles mais a pu se téter le gland facilement. Et quand il a jouit, je lui ai dit de tout boire et il a bien aimé (comme il aime aussi mon sperme et celui de Marc).
Le mardi, il a trouvé très drôle que je me fasse le valet pendant qu'il se faisait démonter le cul par le maître (25 x 7,5). C'était la première fois qu'il voyait un lit à baldaquin. Il a surtout vu à quoi pouvait servir les mats placés à chaque coin du lit. Il s'est trouvé, comme Jean avant lui, attaché et écartelé, tenu en suspension par des chaînes accrochées en haut des mats.
Avec le valet, nous avons pris notre pieds avant eux afin d'être prêts, moi à récupérer ma pute et lui à servir son maître. Au retour, Jimmy m'a demandé si c'était ce genre de place que j'envisageais pour lui. Je lui confirmais que ce pouvait être ce genre de service. Mais que je lui trouverais un boss plus souple quand à le laisser libre de baiser où il voudra quand il n'aura plus l'age (surtout le physique) et que sexuellement il ne servira plus son patron.
Vendredi, le grand et gros black l'a impressionné. Ses 2m et ses 27,6 x 6,5 chapeauté d'un gros gland violet sont effectivement balaises par rapport aux 1,65m et les 14 x 3,8 de Jimmy ! Mais comme je m'y attendais, l'anus de Jimmy s'est adapté aux nouvelles conditions. Il a vaillamment pris la teub dan son cul (beaucoup plus facilement que dans sa gorge) et s'est fait secouer comme un prunier par son propriétaire. Ce black est le plus brutal de mes clients réguliers. Je note qu'il faudra que je fasse bien attention quand je lui amènerai Ed, lui est nettement plus fragile que Jimmy. Par contre sa peau pâle devrait contraster un maximum avec le noir intense de celle du client.
Le mercredi et Jeudi, je lui ai donné du taf pour qu'il se mette à niveau en français. Autant commencer par le plus visible. Lecture, écriture, rédaction. En discutant avec Jimmy je me suis aperçu qu'il a quitté l'école dès ses 18 ans et que 3 ans plus tôt il avait déjà décroché. Ça plus l'accent banlieue et le look, il fait racaille. Si je garde le style pour les clients qui n'en n'ont jamais approché à moins de 1 Km et qui ont ainsi l'impression de prendre un risque, je voudrais le faire évoluer pour qu'il puisse se faire un taf sympa après l'épisode " pute ".
Mercredi j'ai amené Ed à André (le père de Ric). Ed est plus nerveux que Jimmy. Il me questionne pour savoir quel type de mec c'est, ce qu'il devra faire... Je le rassure en lui disant qu'André est un ami, certes TBM mais qui fera attention à lui. Il doit être avec lui comme il l'a été avec Xavier la semaine passée, ouvert et volontaire. Quand je sonne à la porte, nous avons la surprise d'être invité à entrer par Ric. Je lui demande ce qu'il fait là. il nous dit que comme son père l'avait prévenu, il n'avait pu s'empêcher de venir voir le petit nouveau, et qu'il n'était pas contre une partie à 4. André arrive et me dit juste après nous avoir salués qu'il en avait tenu compte pour le montant du chèque.
Nous allons au salon. Ric en shorty et T-shirt moulant se charge de mettre Ed à poil. André et moi assistons au spectacle. Il met environ 1/4 d'heure et nous avons devant nous deux jeunes mecs à poil (façon de dire puisque Ric est lui totalement épilé et qu'Ed est dans le même état). Ils s'approchent de nous. Je me lève avec André et ils nous déshabillent. Ric s'occupant de moi. Nus et bandants une poussée sur le haut de la tête et nos deux ptits mecs se sont agenouillés bien sagement, comme pour une prière, mais non pas à Dieu mais à nos bites. Dès le premier pompage, Ric m'a avalé entier. Pour Ed, ça été plus dur. Les 7cm de long de plus que moi ont du mal à passer. C'était déjà le cas des 6cm de plus de Xavier ! Ric qui le mate du coin de l'oeil, lui explique comment faire pour que ce soit plus facile. Il prend le temps de lui montrer lui même comment faire. C'est toujours un beau spectacle de voir une bite de 27 x 7 disparaître entre les lèvres d'un jeune mec. En changeant Ed de position, André réussit à la lui enfiler en entier, brièvement mais sûrement. Ric qui pense déjà à ce qui va se passer après, laisse ma bite pour aller bouffer le cul d'Ed. A grand coups de langue, il lui détend l'anneau, lui ouvrant pour la lui glisser dedans. Ed tortille du cul tellement il apprécie. Je regarde le tableau quelques instants avant de retourner dans la mêlée et d'enculer Ric. Je rentre facile. Cela m'étonne connaissant mon Ric. Mais une fois entré, il serre et je me retrouve incapable de bouger. Il se retourne juste pour me sourire et me dire " je t'ai bien eu ! ". Il maîtrise complètement son sphincter et arrive maintenant à le détendre (ça je savais car il prend régulièrement son père et les doubles sodo que je lui ai organisé me l'avait montré) mais il resserre comme il le veut allant jusqu'à être capable d'empêcher tout mouvement dans son cul. En attendant il reprend son travail de dilatation sur l'anneau d'Ed et me laisse le limer. J'apprécie les variations de pression que son cul me transmet. Je lui dis que malgré sa préparation il faudra doser Ed en Poppers pour qu'il puisse prendre son père. Quand Ric arrive à lui mettre 3 doigts à fond, il le déclare prêt pour l'enculage. Je trouve qu'il aurait pu aller jusqu'à 4 doigts ! Nous plaçons Ed dos sur la table basse. Ric le surplombe en 69, en prenant ses jambes sous ses bras (ce qui lui relève le cul à Ed). André derrière Ed et moi de l'autre coté de l'assemblage, nous posons nos glands sur les rondelles. Je me penche pour doser Ed en poppers. Il chauffe, André me dit qu'il voit la rondelle palpiter. Je lui dis alors que c'est bon qu'on peut y aller. Simultanément, nous nous enfonçons dans les culs. Je demande à André comment il trouve. Il me répond que c'est vraiment bon un nouveau cul. Que ça faisait longtemps que cela ne lui était arrivé. Il prend soin dès la première enculade de s'enfoncer à fond. Ed gémis étouffé par la bite de Ric. De mon coté, mes mains accrochées à ses épaules, j'encule Ric, lui faisant profiter de tous mes 20cm. Il a la gentillesse de trouver cela bon (alors qu'il est habitué aux dimensions de son paternel !). André nous dit de nous désassembler, il veut profiter seul du petit nouveau. Ric se redresse et nous nous installons plus loin. André soulève le poids plume et tout en le maintenant enfoncé sur sa queue, part s'assoir dans un fauteuil. Il installe les jambes d'Ed sur les accoudoirs et lui demande de faire lui-même les va et vient. Ed n'est pas des plus musclé, il arrive en serrant les cuisses à se soulever et alors à n'être plus rempli que par le gland d'André mais il ne tient pas la position haute et redescend brutalement poser ses fesses sur ses cuisses. Là il prend tout les 27cm rapidement. Ça le fait souffler grave, mais il à l'air d'aimer car il recommence tout de suite après.
Rassuré, je me tourne vers Ric et nous décidons de nous finir en 69. Tout en le suçant, je le caresse, sa peau épilée, est douce et je passe ma main sur ses tétons et les tord au passage. Il réagit bien. C'est vrai qu'il a toujours gardé un coté maso de l'éducation de sa mère. Je lui prends alors la tête et la maintient plaquée contre mes couilles mon gland au plus profond de sa gorge. Il aime ! Je relâche et m'occupe des deux tétons à la fois. Il monte en pression et bientôt sans que j'aie à le toucher plus, il jouit. Il me pompe plus voracement et c'est moi qui cède, traçant les lignes de Cuzco sur son torse. Assis cote à cote, nous regardons son paternel achever Ed. Il lui à pris les jambes et les a placées sur ses épaules. Ed ne peut plus de lui-même retirer la bite qu'il a dans le cul. André se lève et va jusqu'à la table de la salle à manger pour le poser sur le plateau. Là, il reprend son enculade et rempli la kpote calé au fond d'Ed alors que ce dernier jute quelques millilitres sur son ventre.
Pendant que Ric emmène Ed se laver et lui masser sa rondelle endolorie, André me donne mon enveloppe et il me questionne sur ma soirée d'escort-boy. Je le remercie de ses bonnes informations. Il me dit que c'est normal, un client (de sa banque) a droit à tous ses services. Je brosse le tableau vite fait, lui racontant la remise en place de notre hôte et comment je m'étais fait remarquer par les deux plus grosses pointures de la soirée. Là, il me félicite me disant comme Marc et Bruno, qu'ils n'avaient pas la réputation des facilement impressionnables. Lassés d'attendre, nous virons les deux jeunes de la salle de bain pour nous même nous laver. Quand nous les rejoignons au salon, Ric est en train de discuter avec Ed de son statut de remplaçant de Jean, lui causant des autres clients. Je ne savais pas que Jean avait bavassé comme ça sur son taf. Je remmène Ed chez lui après avoir changé de véhicule à la maison. Evidemment nous tombons sur son jeune frère qui veut savoir ce qu'on à fait tout l'après midi tout en remarquant qu'Ed sent le savon. Ed s'en débarrasse en lui disant que nous avons fait du sport (on peut appeler cela comme ça aussi !), d'où une douche avant de rentrer. Le ptit frère insiste en disant qu'il n'avait pas emmené d'affaire. Je sauve Ed en disant que nous avons été à la piscine et que je lui ai prêté un maillot, ricanement du ptit frère qui dit à Ed qu'il a du flotter dedans.
Je me sauve.
JARDINIER
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lounesdarbois · 5 months
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Ce sont les Anciens qui voient le mieux l'avenir, par exemple les vétérans de l'armée engagés dans les unités combattantes de première ligne qui un jour écrivent leurs mémoires pour qu'elles soient transmises jusqu'à nous. Ainsi de d'Aubigné, Monluc, Céline... Ainsi de Roger Holeindre. Sa fameuse citation "Si l'on descendait dans la rue on serait dissous dans le quart d'heure et les républicains armeraient les banlieues pour sauver les valeurs de la république" s'appuie non sur des spéculations d'intellectuel mais sur son expérience de terrain. Quelle expérience ?
Holeindre était un soldat des années 50-60 spécialisé dans les arrestations de terroristes, car au bout des porteurs de valise se trouvaient les porteurs de bombes, et ces bombes en explosant dans les cafés de famille le matin coupaient en 2 des fillettes, les Lola Daviet d'alors. Holeindre partait loin en mission chez les ennemis, il se déguisait en ennemi, il allait chez eux sans arme, dans leurs campements, et au signal (une sonnerie de sifflet) lui et d'autres se jetaient sur les cibles identifiées et les arrêtaient "à coup de poings dans la gueule", récit authentifié par plusieurs témoignages. Ainsi, quand un monsieur qui a démontré ce degré de courage physique recommande de ne pas descendre dans la rue on peut le croire sur parole.
Pour achever de s'en convaincre il faut relire chaque année au moins une fois Bagatelles pour un massacre (1937) pour trouver de nouveaux éclairages sur la période actuelle. Le processus de persécution des Blancs chez eux a commencé longtemps avant l'avènement de la racaille du bas (années 1970-90), lors de l'immigration de la racaille du haut (années 1920-30). Et c'est la racaille du haut qui permet la racaille du bas, aujourd'hui encore. Si vous attaquez la racaille du bas elle perdra peut-être mais la racaille du haut se lèvera immédiatement contre vous (notion du prioritaire et du secondaire chez Karl Schmitt). Regardez comme ces lâches se frottent les mains sur leurs plateaux télé depuis une semaine ! Si vous calmez la racaille du haut, non seulement la racaille du bas cessera ses déprédations mais sous un pouvoir patriote elle tournera patriote car elle est toujours le décalque de l'esprit du pouvoir. C'est le seul objectif à la fois raisonnable et moral pour le pays.
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biarritzzz · 3 months
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Le discours autour de l’immigration a vraiment changé.
Avant, on nous serinait tout le temps le couplet sur l’intégration. Aujourd’hui l’élite sait bien que ça ne fonctionne plus, qu’on a des yeux et des oreilles et qu’on sait très bien que les immigrés n’ont jamais eu la moindre intention de s’intégrer et encore moins de s’assimiler. Quelques exceptions ici et là qui confirment la règle.
Donc maintenant on nous met le paquet sur la France/l’Europe multiculturelle, la diversité est une force gnagnagna. Constat d’échec accablant.
En gros: va falloir s’y faire les zouzous. Les bagnoles de pauvres bougres brûlées au Nouvel An, les émeutes dès qu’une racaille se fait buter (pas assez souvent) ou que Fatima a envie d’un nouvel écran plasma et d'une nouvelle machine à laver, les musulmanes qui réclament de pouvoir mettre un voile, un burkini ou une burqa où qu’elles aillent, les coups de couteau chez Leclerc ou Leroy Merlin, les kebabs qui colonisent l’espace public, la viande halal dans tous les rayons, les fusillades liées au trafic de drogue toutes les semaines.
C’est pas beau le multiculturalisme? Allez, réjouissez-vous! On pourrait être le Japon et sa population à 99% japonaise. C’est chiant et nul, non?
C’est tellement mieux le multiculturalisme et la diversité. Comment? L’Europe était déjà multiculturelle pendant des siècles, vous dites? L’Europe, avec ses nombreuses langues, ses traditions variées, ses histoires similaires et en même temps si différentes?
Non mais le monde change, mon bon monsieur. C'est comme ça, faut l'accepter. Quant à moi, je vis bien entendu loin de la diversité dans mon quartier paisible de bobos, je ne prends jamais les transports en commun, je mets mes gosses dans des écoles privées et je vante le vivre-ensemble depuis mon loft de 100m2 du 16e arrondissement. Les seules fois où je suis confronté à cette merveilleuse diversité c’est quand Mamadou me livre ma commande Uber Eats. D’ailleurs et c’est bien que vous m’y fassiez penser: il faut importer encore plus de Mamadou en Europe parce que qui va me livrer mes repas que je suis trop paresseux à me cuisiner ou à aller récupérer au restaurant du coin?
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helshades · 10 months
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La pauvre Tatiana Ventôse est entrain de se prendre une douche par la gauche matrixée. On dirait limite qu'elle a conduit leurs parents à Auschwitz.
Je pense qu'ils font une réaction épidermique au faut que ses arguments se tiennent. On pourrait répliquer sur le terrain des idées mais ça demanderait du temps, de l'énergie, de la culture historique, philosophique et politique, et un sérieux examen de conscience. Or, la plupart des militants et sympathisants de gauche ces derniers temps sont des ressortissants de la gauche-caviar et ils fonctionnent à la croyance plus qu'à la pensée. Ils ont leur credo et ça leur suffit.
J'aime mieux la dernière vidéo de Tatiana, qui est plus élaborée, plus soutenue que la précédente, et donne meilleure matière à la critique — en ce sens qu'il va falloir charbonner pour la démonter intégralement. Ce qui me fascine sans doute le plus chez la rouquine du Nord, c'est cette manie qu'elle a de ressusciter la Gauche à l'ancienne, travailliste, patriote et populaire, et qui passe aussitôt aux yeux du gauchiste moyen (j'emprunte le terme à Lénine, ça date d'un siècle avant la dernière campagne vraiment socialiste de Mélenchon) pour un discours d'extrême-droite.
C'est rigolo, quand même. Les pillards font chaque nuit la démonstration de leur inféodation volontaire au capitalisme le plus décérébré ; ils vandalisent des équipements publics et des écoles ; ils appellent au meurtre des blancs, des juifs, des homosexuels, des policiers ; ils le font généralement au nom d'une religion qui cause des ravages dans la majeure partie du monde à l'heure actuelle ; et pourtant, curieusement, la Gauche presque tout entière prend leur défense, toute prête d'ailleurs à reprendre son discours de complaisance pour réclamer que le contribuable expie une faute originelle imaginaire en payant pour restaurer le mobilier dégradé, en professant sa compassion pour les racailles qui l'accablent...
Je suis en train de me disputer dans la section commentaires de mon dernier billet avec des gens certes charmants mais que j'estime redoutablement à côté de la plaque en termes d'analyse sociopolitique de la situation française, parce qu'ils croient notamment que les Français se seraient détournés de la Gauche véritable ; or, c'est une inversion des valeurs absolument tragique quand on considère le mode de vie des uns et des autres face aux discours gauchistes.
Je vais faire pire que donner raison à Tatiana Jarzabek, je vais donner raison à François Asselineau ! Lequel s'enquérait récemment de savoir pourquoi personne à l'Assemblée n'avait fait ne serait-ce qu'évoquer l'article 68 de notre Constitution prévoyant la destitution du Président de la République en cas de manquement à ses devoirs ? Certes, il y avait peu de chance que cela se fît mais les « Insoumis » ont déjà déposé suffisamment de motions de censure stériles pour craindre réellement l'échec législatif...
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ali123bkalisblog123 · 6 months
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الحرية اصل في الاسلام
الحرية مقصد من مقاصد الشريعة الاسلامية
ومن يدعي ان الحرية من صنيع الغرب الامبريالي الرأسمالي الصليبي فهو واهم
ومن يدعي من حثالة فرانسا ان فرانسا علمت الخلق الحرية فهو واهم وحريتهم وهم وديمقراطيتهم زيف
عندما قال عمر ابن الخطاب
متى استعبدتم الناس وقد ولدتهم امهاتهم احرارا
كان الغرب برمته لايعرف صرف فضلاتهم وقاذوراتهم
قف انتهى
الله غالب
La liberté est un principe en Islam
La liberté est l'un des objectifs de la loi islamique
Quiconque prétend que la liberté est un produit de l’Occident impérialiste, capitaliste et croisé est illusoire. Quiconque, racaille de France, prétend que la France a enseigné la liberté aux gens est illusoire, et leur liberté est une illusion et leur démocratie est fausse. Quand Omar Ibn Al-Khattab a dit Quand avez-vous asservi les gens quand ils sont nés libres L’Occident dans son ensemble ne savait pas comment se débarrasser de ses déchets et de ses ordures.
Whoa c'est fini
Dieu est vainqueur
Freedom is a principle in Islam
Freedom is one of the goals of Islamic
law Whoever claims that freedom is a product of the imperialist, capitalist, Crusader West is delusional Anyone from the scum of France who claims that France taught people freedom is delusional, and their freedom is an illusion and their democracy is false. When Omar Ibn Al-Khattab said WHen did you enslave people when they were born free The West as a whole did not know how to dispose of their waste and
filth Whoa it's over
God is victorious
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bruleeparlalune · 3 months
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Traduction française de Fear & Hunger 2 - Termina - #3
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Comme j'ai chopé un sale truc pendant les vacances, je n'ai pas pu avancer tant que je voulais sur la traduction.
Traduction faite durant le mois :
Vieille Maison : celle avec le sous-sol et l'autel des Nouveaux Dieux.
Cabane Abandonnée : la cabane à côté du train.
Une partie de la cabine du train, comprenant la discussion avec Pav, Marina qui dégrade le train (racaille), Tanaka après l'entrainement, et les pauses de Marina, Abella, Karin et Daan. Avant d'écrire ce billet, j'était en train de bosser sur les dialogues d'Osaa.
Du coup, pas grand chose ce mois-ci. Mais j'ai quand même des choses à dire !
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Ça va être assez urgent et important de trouver un moyen de décrypter les fichiers du jeu. Non pas juste les images et la bande-son, ça c'est assez facile à trouver, mais vraiment les lignes de codes. De transformer le game.exe en game.rpgproject. Il y a pas mal de dialogue où, comme je n'ai pas les moyens de faire une version masculine ou féminine, je n'ai pas le choix d'utiliser, par exemple, un verbe du troisième groupe, ou de faire une grosse bidouille qui m'éloigne clairement du sens original de la phrase :
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Surtout que je sais que c'est possible. Il y a des mods sur ce jeu, il y a eu des propositions de fangame (tous abandonnés mdr), donc il existe bien un outil pour faire ça. Je pourrais enfin faire des dialogue différents si on incarne un personnage féminin ou masculin, tutoyer les gamins (aka Levi, Marina et p'têt Olivia) et sortir des insultes plus fleuries que « Sale ordure ! ».
Vieille maison
Lorsqu'on lance la discussion de groupe, avec Daan dedans, il dit que la maison sent le moisi, le "black mold". Tout bêtement, j'aurais traduit ça par moisissure noire, mais j'en n'ai jamais entendu parler de ça de ma vie, en tout cas dans ces termes. J'ai toujours entendu juste moisi ; sur les sites des dénominateurs de France métropolitaine, ils appellent ça eux aussi moisi. Il n'y a que sur les sites québecois où ils parlent de moisissures noires, et tout le monde sait que le Québec hait les anglicismes encore pire que l'Académie Française. Du coup, j'avais pensé à le traduire comme ça :
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La mention du Stachybotrys (le vrai nom de cette moisissure) est là pour mieux marquer que ce n'est pas une odeur de moisi normale.
Comme je l'ai mentionné plus haut, j'ai un autre cas où je bloque avec le dialogue, à cause de problème technique :
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La ligne en anglais était "You, who came with the offering". Du coup, vu que je ne peux pas le traduire par « Vous, qui êtes venu(e) avec l'offrande. », je dois me contenter de cette bidouille ci-dessus.
La ch'tite ref à un film bien rigolo, j'ai repris juste le même dialogue que dans la VF.
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2. Cabane Abandonnée Rien de particulier à dire dessus.
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3. Cabine du train (1er partie)
J'ai un blocage dans un des dialogues avec Pav : "He had one long time coming. Too bad it wasn't enough". Le vrai sens de la phrase est « La balle a mis longtemps à venir. Dommage qu'une n'ai pas suffit. », car elle suit la bulle précédente, qui était " You don't think the big man deserved a bullet to the head?". J'ai du mal à trouver une phrase qui garde le même sens sans être lourdingue. Pour le moment, je pars sur cette traduction :
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Un petit parti-pris, pour la traduction "banjo-playing yokels" :
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Un autre blocage, un peu moins emmerdant, à propos d'un dialogue avec Karin, pour la ligne "Whatever is happening here, could be an alternative to that.". J'ai du mal à saisir ce que veux dire "alternative". Le mot est bizarre dans le contexte, je pense du coup que riposte colle mieux.
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Pas plus de choses à dire, je tafferai sûrement mieux le mois prochain, vu que j'suis plus en train de mourir.
À la prochaine, et tombez pas malade !
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elleferrocerium · 4 months
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En 2023
Je re-rencontre un homme aux yeux si malicieux. Sous les cheveux blancs, le crâne est rose comme une crevette.
Je regarde l’homme qui danse-vole en ailes de pardessus, devant le cercueil de son amour assassiné. Mon cœur s’est remis en marche.
Mon cœur repart en chamade. Attention.
Attention à celui qui a les yeux aux rides jolies.
C’est une folle envolée. C’est une pointe d’amour.
Au final, point d’amour, en 3 jours. Je ris. J’ai pleuré puis je ris. De m’observer être si nulle en ça. Je ne m'y entends pas en rétention d'homme.
A tout âge, on apprend. En 2023 je rencontre un goujat.
En 2023, Dominique A, Bertrand Belin, Inspector Cluzo, Arthur H, et aussi des plus et aussi des moins au Bateau Ivre.
Je fais un pogo à Aucard. J'adore Aucard comme tous les ans.
Je ne dors pas pendant une semaine. J'arrive avec mes valises à la librairie. Il y a foule et je sors les rames et ma honte.
Orelsan à Terres du Son. J'ai supporté Terres du Son comme il y a 15 ans.
En 2023, c'est l'été. J’attire la curiosité de deux petits alpagas. Je mange des larves d'insectes. Goût de chips. Je mangé des grillons. Goût d'amande. Je fais du pédalo, du VTT cross, du paddle, du canoë. J'ai le mal de mer en rêve tous les soirs au bord du lac.
Je suis claustrophobe quand je ferme le gilet de sauvetage. Ma fille rit.
En 2023 je rencontre Galaad le facho de 18 ans. Son espoir en la vie est de buter une racaille. Il a le bac, il reçoit un mail, il est admis dans un truc militaire pour devenir instructeur en arme à feu. Son papa chéri conduit un Duster avec un très gros autocollant " Support our troups". Il fait du jogging avec un sac à dos rempli de pierres.
Le chien vomit à l'avant de leur canoë kayak.
Je visite des trucs qui se visitent. Je pense aux trucs qui se pensent.
J'écris au calme et au cagnard au bord du Cher chez E et A.
En 2023, je fais l'amour deux fois pour la dernière fois avec l'homme de ma vie qui ne m'aime plus depuis 3 ans. On ne peut pas faire l'amour à deux, seule.
En 2023, je veux acheter un bidon d'eau.
Je serre fort Fanie ma belette dans les bras deux fois par semaine car la tendresse se partage.
Je récupère des bidons d'eau dans la rue.
Je perds beaucoup de kilos. Je cours des kilomètres en portant mes parpaings.
En 2023 j'entends bien creuser une cave ou un abri antinucléaire au milieu de mon jardin. Creuser la nuit.
En 2023 j’ai peur de manquer d’eau
En 2023 je fais l'amour quelques fois avec un homme qui se demande encore après 50 ans si elle est assez grosse.
Je veux me couper les cheveux en juillet.
En 2023, S tombe dans les bras d'un camion de pompiers.
Je prends M dans mes bras parce qu'elle tremble de peur. Je serre S dans mes bras car elle tombe d’effroi. Je prends J dans mes bras parce qu'elle est trop fière. Pour le faire. Je prends B dans mes bras parce qu'elle, son amour est mort à 47 ans. Je pleure longuement.
Je me coupe les cheveux en août et ils se rebiquent en biquelettes.
En 2023 je parle et pense espagnol, beaucoup. Je pense breton beaucoup à l'intérieur de moi.
Jane B. est morte et je pleure une avalanche
Je me souviens d'Agnès Varda. De Gainsbourg. Je pense à Charlotte. Tous ils sont mes intimes. Je ne suis pas la leur. J'ai écouté tous les podcasts. J'ai pleuré pour tous ceux qui étaient tristes.
En 2023, je me fonds toujours, en grâce, avec elle et eux: la Nature. Je suis devenue longuement une biche.
Je discute avec un rouge gorge très gourmand.
J'entends une invasion de geais.
En 2023 les deux canards en planeur sont empêchés par un grand bouclier de vent de traverser l’autoroute.
Le cormoran se prend les pieds dans les glouglous tourbillonnants du Cher.
Je parle des écrevisses de Californie, qui marchent des heures pour disperser leurs gènes.
En 2023, je m'inquiète pour Miossec. Je discute avec ma collègue MC. Pour qu'elle sauve sa voix. Elle dit que c’est du carton maintenant.
En 2023 j'ai dû faire un choix de merde. J’ai dit adieu à la libido. Le choix de vivre.
Je me suis enfin lancée pour expliquer aux miens comme Noël m’est un odieux moment. Je me sens libérée de Noël.
Je pense beaucoup trop à F et son amoureux décevant.
J’écrase une souris écrasée. Je la remets sur ses pattes. Plate.
Je compte 23 oiseaux. Mangés par mon chat.
Je mange une tarte au fenouil et au saint nectaire. Les Studio, un lieu safe, une deuxième maison, une tanière.
J’aime encore plus mon vélo d'amour, ma ville-cité, les cinés Studio, mes chats.
J’ai de nouveaux voisins. Ils sont gentils et silencieux.
Je fusionne avec ma fille enchantée.
Je glisse sur l'asphalte. Fais du roller à toute bombe
En 2023 je suis correspondante fière des Studio, je vais voir un match de Roller Derby.
Mes lunettes me vont bien.
En 2023, au Bateau Ivre j’ai porté à bout de bras une drag queen magnifique et terrifiante de désespoir.
Je compte 31 oiseaux.
Tu fais chier Paprika - c'est le chat.
J'aime encore plus fort Piment- c'est le chat.
En 2023, j’affine la légende de moi. Comment les autres nous voient. Est-ce soi ? Est-ce un bazar de soi ?
Je m’interloque.
Je réponds à la journaliste.
J’ai mon comportement-ben-ouais.
J’en fais trop mais avec conviction.
J’écoute les autres.
En 2023 je rencontre un plaintif,
Ça me fait chier.
Ma fille prépare une cape jaune fluo en crochet pour le chat.
J'aime mettre des chaussettes colorées. C'est du soleil aux chevilles dès le matin, et la fierté.
Je crois que j'ai fait une grosse boulette au boulot. Il y a 15 ans, j’ai couché avec le mari d'une collègue avant qu'il soit son mari, avant qu'elle soit ma collègue. Il y a des trucs à ne pas raconter mais aussi bon, je ne pouvais pas deviner hein. La reine des boulettes mais c'était drôle.
Je m’interpelle.
J’ai failli pleurer. Le film était si réussi. Ce n’est pas un film. Little Girl Blue. Et la tendresse en ce jour.
La boutique Emmaüs s’est rapprochée de la maison tendrement. Ma fille et moi déposons quelques euros pour des tas de vêtements à mettre en tous sens. C’est chaud et coloré, c’est vivant et plein de cœur de plein de gens.
Je parle beaucoup avec l’homme aux yeux malicieux. Il est tendre froid, il aime et n’aime pas, il est seul et entouré. Il aimerait, mais abandonne. Il aime, mais pas trop longtemps. Il ne sait pas, il est perdu au milieu de sa vie
On met les vêtements au congélateur pour ôter les phobies de punaises.
En 2023, j’ai envie de donner une vie entière et mon royaume pour la santé de mon fils.
Je fusionne tendrement avec mon amie I au poignet qui se tord de rire, mon amie A qui fuit à l'intérieur, mon amie A à l'épaule qui tressaute d'envie, mon amie B au bras qui s'enfuit déjà. Oublier le temps.
Je mange une galette FCPE. Ecoute attentivement ma copine D, chargée de comm'. On ne croirait pas comme cela, mais elle aussi a besoin des autres.
En 2023 je marche sur le fil des émotions de mon fils. Je me sens éléphant dans son magasin de porcelaine.
Je ne peux plus pleurer.
C'est l'hiver. J’écris au calme et encheminée chez E et A. J’y rencontre Totoro le vrai.
En 2023 je pense encore avec tendresse au goujat plaintif.
J’aime tant serrer dans mes bras celui aux yeux si malicieux et perdus.
Je fais arrêter les voitures pour la traversée lente du brocard. Il me sourit.
Le douanier Bolo, lui, ne laisse rien passer, son képi lui va comme un gant.
En 2023, je fais un doggy bag avec les macarons au fois gras du séminaire.
Dans le train du retour, j'ouvre mon doggy bag devant le gros monsieur qui fait semblant de lire le dernier F.O.G. Il regarde par-dessus, un peu en biais comme tous, les fesses rouges serrées de la belle lurette entrée après moi dans le wagon. On ne regarde plus mes fesses comme une belle belette.
J'emmène ma fille au spectacle encore. Elle parle au micro.
Mon fils est dans le dur.
En 2023 l’homme de ma vie qui ne m’aime plus depuis trois ans envoie en sms en décembre. Qu’en faire.
Quand.
Paprika ramène un 32ème oiseau.
Avec la cape jaune fluo en crochet, sa saison 2024 sera une saison maigre.
On ne peut pas laisser ce chat gourmet liquider tous mes efforts pour la biodiversité de ces jardins urbains.
Il n’y aura plus un seul hérisson dans deux ans, dit l’article.
Le 31 je marche seule dans les rues qui se donnent et j’m’en fous de ces chaines qui pendent à nos cous. J’apprends ce qu’est un Rashômon. Je reste jusqu’au bout du bout du film, je sors la toute toute dernière de la salle de la toute toute dernière séance. Je rentre à pied. Je verse des petites étoiles dorées dans les boîtes à lettres des gens de mon quartier.
Je monte une toute dernière fois en 2023 sur mon tabouret magique pour mieux y voir ce qui est tout petit, de haut.
Un petit tour de 2023.
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claudehenrion · 5 months
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Pathétiques...
Dans une déroute totale de l'intelligence, l'affreux édifice des théories dystopiques, absurdes et mortifères que les idéologues de Gauche ont trop longtemps imposées au monde entier –et à la France-- par la ruse, la force, le mensonge et la mauvaise foi, se fissure et se délite (lentement, mais tout vaut mieux que sa continuation : il est vraiment insupportable !). On savait que cette énorme accumulation de mauvaises idées, plus fausses, plus perverses et plus létales les unes que les autres, devait finir par s'effondrer : sa survie n'était pas une hypothèse envisageable. Mais on ne savait pas quand... C'est maintenant, Dieu merci : le ''top-départ'' à été donné. Alleluïa !
Peut être qu'un jour, dans très longtemps, un historien (s'il en existe encore, ce qui voudra dire que l'Humanité aura surmonté la crise de démence dont elle essaye de s'extirper en ce moment-même) arrivera à trouver une explication à la passivité suicidaire avec laquelle les hommes du XX ème et du début du XX! ème siècles se sont laissés convaincre que le laid était beau, le faux, vrai, le mensonge, vérité et la folie, intelligence. Car c'est exactement ce qui nous est arrivé... et ce dans des proportions telles qu'il nous est encore très difficile de prendre conscience de la gravité de notre confusion mentale et de la fausseté de toutes les représentations erronées qui servent de pseudo système de référence à un nombre encore bien trop grand de nos contemporains, trop souvent jeunes, hélas !
A force d'avoir été trompés sur la vérité, abusés par leurs mensonges, violés dans nos croyances et bafoués dans notre bon sens par des décennies de martellement ininterrompu de contre-vérités éhontées, nous en étions arrivés à un point où même l'évidence ne suffit plus à nous convaincre... (On l'a vécu ''en direct'' avec le covid... D'ailleurs, certains croient encore, contre toutes les preuves indiscutables, au cauchemar dans lequel le Pouvoir nous a fait vivre... ou survivre !). Et ce d'autant plus que l'ordre actuel, qui n'est que désordre, est toujours là et que ses gourous exécrables continuent à nous répéter, aidés par le système de contrôle de la ''vérité-vraie'' qu'ils ont mis en place avec la ferme intention de le voir '''durer 1000 ans'' –comme d'autres fous l'ont fait, avant eux-- que la vérité est dans leurs petits livres rouges et pas dans les faits, que ce qu'on voit est faux, et que l'évidence est trompeuse.
Un seul fait, récent et à la fois affreux et porteur d'espoirs, suffit à démontrer l'immensité vicieuse de leur système pourri : le drame de Crépol. Les efforts faits par le gouvernement (et ceux qui le suivent ou croient encore ce qui vient de lui) ont atteint des stades d'impudeur et des niveaux d'impudence qui forceraient l'admiration s'ils n'étaient pas si pitoyables et si désolants. Nos irresponsables ont fabriqué des bobards honteux pour essayer de faire croire qu'il s'agissait d'un ''fait divers'', puis d'une ''rixe'', puis d'une ''escarmouche'' entre bandes rivales, (toutes choses que personne de sensé n'a cru, fût-ce une fraction de seconde), puis ils ont exigé des ''preuves concrètes'' qu'il y avait ''intention de nuire'' –avec Marion Maréchal, sur FR3-régions--, avant de se résoudre, essoufflés d'avoir tant menti (et sciemment), à donner urbi et orbi des instructions pour que les citoyens, ces minables incultes (à leurs seuls yeux), ne puissent pas savoir les noms des coupables... Nos dirigeants-menteurs, nos soi-disant élites délitées et des journalistes sans honneur sont tombés bien bas...
Ils avaient créé un tel trouble dans les esprits qu'ils en étaient presque arrivés à faire accepter aux braves gens que lorsqu'une ''section d'assaut'' de racailles monte une expédition punitive contre un bal de village et débarque, avec des lames de 20 ou 30 cm , des barres de fer et d'autres outils contondants, en criant ''On est ici pour planter des Blancs'' (mots rapportés par Match et le Dauphine libéré), quand ils blessent 17 personnes et assassinent un adolescent... le seul sujet dont parlent ''nos'' médias, ''notre'' gouvernement et ''notre'' représentation autrefois nationale désormais partisane, c'est que ''le fait que Marion Maréchal ou Eric Zemmour en parlent... est une récupération odieuse'' (dixit Madame Borne, qui s'étonnera ensuite que plus personne ne croie un seul mot de ce qu'elle peut éructer...).
Elle voudrait nous convaincre que si c'est elle qui en parle, n'est-ce pas, c'est bien, puisqu'elle est dans le camp de la bien-pensance, qui a su nous faire croire pendant trop longtemps qu'il était ''le bon côté''... alors que si c'est le Pen, Maréchal ou Zemmour qui prononcent les mêmes mots, ils deviennent récupération, honte et manque de respect pour les victimes et leurs familles. Mais même contre toutes les preuves de leurs mensonges et contre la ''vox populi'' qui monte et s'enfle, ces prébendiers, accrochés à leurs avantages comme des arapèdes à leur rocher, continuent à nous pourrir la vie avec leur fiel... alors que leurs seuls résultats visibles sont que, non contents d'avoir dressé les français les uns contre les autres comme rarement, ils ont amené, avec leurs idées dégueulasses, le ''face-à-face'' qu' avait annoncé Gérard Collomb, le dernier, peut être, des socialistes honnêtes...
On a tous conservé en mémoire la ''lettre ouverte'' de ce pauvre mari d'une jeune femme jolie et heureuse de vivre, qui avait été assassinée au Bataclan un 13 novembre 2015, par d'autres monstres : le ''système'' l'avait tellement conditionné et son cerveau avait été tellement lavé qu'il en était arrivé à dire puis à écrire, contre tout ce qui caractérise toute humanité :''Vous n'aurez pas ma haine''. Je ne sais pas ce que ce pauvre homme est devenu, après cette chute dans leur piège, mais je crains que son épouse ne viennent le revisiter la nuit pour lui faire honte... ce qu'il mérite !
Le plus injuste, dans cette effroyable dérive de toute intelligence, c'est que la ''Psychologie des foules'' a été découverte et rendue célèbre par un homme de Droite, Gustave le Bon (qui, contrairement à ce qu'en a fait la Gauche lorsqu'elle a découvert ce ''machin'' si dangereux pour l'humanité et si efficace pour les gens mal intentionnés qui s'en empareraient), ne s'est jamais abaissé à la transformer en ''moyen de violer les foules''. La ''Propaganda'' moscoutaire en a fait une arme de combat redoutable qui a laissé des traces de sa malfaisance jusque à nous, un demi-siècle plus tard... Pour ces ''nuisibles'', tout est clair : la Gauche décrit, corrige, et montre le (mauvais) chemin... et la Droite ne peut être bonne qu'à ''récupérer''. D'où, sans doute, cette phrase inquiétante que j'entends partout, depuis peu, dans tous les milieux : ''ça va péter'' !
Je ne sais pas (encore) à quelle merveilleuse conjonction des planètes nous devons la véritable onde de choc qui est en train de libérer le monde (et la France, mais pas assez vite, elle) de la férule de toutes les idéologies perverses, néfastes et mensongères qui ont, à la fois, empuanti, déglingué, perverti et rendue malheureuse la Planète.
La seule bonne nouvelle du moment, c'est que, pays après pays, les Nations qui appartinrent longtemps à notre belle ''civilisation occidentale'' mais qui se sont laissé entraîner dans les horreurs du progressisme et de la modernité réunies, mettent le nez hors de l'eau et retrouvent ''les chemins de la Liberté'' –mais à l'opposé complet de ceux que souhaitait Sartre qui, dans sa folie asservissante de toute humanité, les imaginait communistes ! Espérons que ce beau mouvement ne va pas faire long feu, et que l'Homme va enfin pouvoir retrouver ce qui fit si longtemps sa grandeur... et l'Occident son action, finalement très bénéfique, sur le monde... ''Aliquid novi sub sole ?''. L'espoir refleurirait-il à nouveau, sur la Terre ?
H-Cl.
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ekman · 2 years
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Autant vous le dire : j’en ai croisé, des enculés. Et pas des petits, ni des minces. Pas de l’amateur ou du velléitaire. Non : moi j’aime ferrailler avec de gros enculés bien dégueulasses. Des cyniques, des pourris du fondement qui te donnent envie de brûler ce monde de merde – pour paraphraser Georges Abitbol. Par expérience, je sais qu’il existe cependant une catégorie au-delà de toute nomenclature, qui regroupe des mecs hors cadre, la crème de l’Enculerie Suprême, j’ai nommé les ministres de la Macronie. Ne vous emballez pas ! Croyez-vous que je vous parlerai de Darmanin, le menteur invétéré du Stade de France qui présente ses excuses “contre” les victimes (dixit) ? Non ! Pensez-vous que je vais évoquer Dupont-Moretti, avec sa tête de vieux morse alcoolique et ses pudeurs du genre “je vous promets, je ne serai jamais Garde de Sceaux”, déclamées à l’envi sur les plateaux de téloche ? Bien sûr que non ! Non là tout de suite, je pense à un cador, un vrai, un authentique... une sorte d’Ayrton Senna de la sodomie sur circuit, le Diego Maradona du fist à gourmette, j’ai nommé l’incroyable Pap Ndiaye. Je ne crèverai pas l’abcès de sa génétique transcontinentale, ce serait à la fois simpliste et dangereux. Dépassons ces constats trop faciles qui voudraient lui conférer une âme de Rubempré dans un corps de Bokassa, et attachons-nous à écouter ses déclarations sur l’éducation de sa progéniture – après tout, n’est-il pas ministre de l’Éducation Nationale et de la Décérébration Planifiée ? Notre cher grand homme a déclaré : “[mes enfants] sont aujourd'hui scolarisés dans un établissement privé qui est sous contrat et, donc, qui remplit une mission de service public et ils étaient scolarisés avant en REP +. Il y a des moments qui, dans le développement de l’enfant, peuvent être compliqués. C'est le choix de parents d'enfants pour lesquels, à un moment, les conditions d’une scolarité sereine et heureuse n'étaient plus réunies.” Rien que ça, pourriture ! On remarquera le soin apporté par le grand chef wokiste de parler de la “mission de service public” dévolue à cet “établissement privé”, l’alliance de ces termes permettant de minorer le fait pourtant têtu que cette racaille encravatée a foutu sa descendance à l’École Alsacienne. Oui, l’École Alsacienne, c’est à dire l’établissement de référence de l’élite techno-friquée qui se reproduit sans cesse et toujours à la tête de l’État. Il nous prend vraiment pour des jambons avec ses airs de saint, le Pap. Puis il nous confie que ses nains ont des problèmes d’épanouissement – ce dont on ne saurait douter compte tenu des croyances débiles de leur géniteur. Il évoque “des moments compliqués dans le développement de l’enfant”, phrase à rapprocher du fait “qu’ils étaient scolarisés avant en Réseau d’Éducation Prioritaire Renforcée” – comprenez qu’ils tentaient d’apprendre la table de deux en zone de guerre. Sans doute a-t-il imaginé une expérience de mixité socialo-ethnique qui s’est avérée être calamiteuse, comme elle l’est pour des centaines de milliers de mômes contraints de subir la violence et les hurlements d’hominidés maghrébins et sub-sahariens. Eux, en revanche, n’auront jamais la chance d’être exfiltrés par un père membre de l’élite dirigeante. Pas de scolarité heureuse ou sereine pour ces gosses-là. Franchement, tu comptais nous faire avaler cette pilule avec tes formules alambiquées et ta bonne tête de nœud, Pap ? J.-M. M.
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aurevoirmonty · 2 years
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Les salauds.
Ce monde, totalement inversé, est de plus en plus abject, repoussant chaque jour davantage les frontières de l'abomination. Ce n'est d'ailleurs pas tant la sauvagerie et les crimes odieux qui sont une nouveauté, la violence et la folie criminelle étant hélas tragiquement et étroitement liées à l'histoire humaine. Ce qui fonde l'émétique spécificité de notre époque, c'est l'euphémisation et la banalisation systématique et systémique de ces phénomènes ainsi que l'invraisemblable indulgence dont bénéficient les auteurs des pires atrocités imaginables.
Depuis des années, des néo-barbares tuent, torturent, violent, lynchent et tabassent ,dans un contexte de quasi-impunité, les victimes s'accumulent dans une très large indifférence tandis que toutes les institutions officielles (de la Justice aux médias en passant par le cinéma et la littérature…) ne semblent avoir d'autres préoccupations que de cajoler et de victimiser les populations dont sont très majoritairement issus les sadiques et les criminels qui sèment quotidiennement la mort et la souffrance. Personne, pourtant, ne cherche à les condamner pour ce qu'ils sont « ethniquement », « religieusement » ou « culturellement » mais bien uniquement pour ce qu'ils font, c'est à dire des actes infâmes et inhumains qu'aucune société dite civilisée ne devrait tolérer et encore moins tenter « d'expliquer » ou de « minimiser ».
Alors que tous les moyens possibles, même les plus radicaux, devraient être mis en œuvre pour mettre hors d'état de nuire ces prédateurs sans foi ni loi, pour qui la vie humaine ne semble avoir aucune valeur, ces moyens sont mis tout au contraire au service de la culpabilisation de la population autochtone victime passive (puisqu'on lui a appris à l'être, qu'on la émasculée dans ce but) des « déséquilibrés » importés, le seul souci des autorités paraissant être d'empêcher toute réaction naturelle, tout rébellion face à cette litanie d'agressions, de vexations, d'humiliations et de crimes. La sécurité et même la vie des français semblent moins importants que leur rectitude morale «antiraciste » et leur soumission aux dogmes mondialistes et sans-frontièristes. « Qu'ils meurent, que leurs filles soient violées, qu'ils rampent sous les coups et les crachats des racailles, peu importe tant qu'ils « ne font pas d'amalgame » et qu'ils ne sont pas « récupérés par l'extrême-droite » ! ». On n'est désormais plus dans la négation du réel, ni même dans l'ethno-masochisme, mais dans une véritable pulsion de mort tournée contre son propre peuple, une hargneuse volonté punitive envers cette populace franchouillarde qui tarde trop à se faire remplacer.
Malgré les grands discours, les journées des bisous et de l'amour universel, tous ceux qui cautionnent, à un degré ou un autre, cet état de faits sont exactement l'inverse de ce qu'ils prétendent être. Ces soi-disant humanistes au grand cœur sont en réalité des salopards pur jus, pas le moins du monde émus par le sort des victimes dès lors que celles-ci n'entrent pas dans le cadre de leur agenda idéologique, de leur mythologie tartuffe d'un « vivre-ensemble » qu'ils évitent d'ailleurs soigneusement de s'imposer à eux-mêmes.
Il ne sert pour autant à rien de vitupérer, de s'exclamer qu'ils « devront rendre des comptes ! ». Ils n'en rendront pas plus demain qu'ils n'en ont rendus hier. Du moins tant que nous continuerons à jouer le jeu truqué qu'ils nous imposent, tant que nous n'accepterons pas l'évidence que cet état, ce système dans son ensemble sont en guerre ouverte contre nous et que toutes les oppositions officielles ne sont que de vaines et fastidieuses impasses. Nous n'avons pas les moyens de les renverser, de les « punir » ou de nous « venger », mais nous avons la possibilité, et le devoir, de déserter le terrain de jeux auquel ils veulent nous cantonner, de rompre avec les laisses qu'ils nous imposent, de sortir enfin de la matrice qu'ils ont forgée. C'est pourquoi, malgré la colère, malgré la tristesse, malgré la tentation de la haine, il n'y a encore et toujours qu'une seule voie : construire.
Construire nos alternatives, construire nos communautés, nous rassembler, nous protéger mutuellement, protéger les nôtres, bâtir nos citadelles, tant intérieures que matérielles, travailler à notre autonomie, ne plus donner un sou à toutes les émanations de ce système, continuer à expliquer, à instruire, à éduquer, à former, à aimer, à prier, à chanter. La sécession, maintenant. C'est ainsi qu'un jour les salauds, comme les traîtres, payeront.
Xavier Eman
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 116
Je range le pendentif et Jimmy qui arrive, s'étonne de mon piercing et me félicite que ça me va bien.
Après le repas, je le prépare. Lavement, épilation, lavement, puis je le plug. Le trajet en moto devrait faire son effet au travers de ce petit engin. Sous-vêtements sexy, jogging de marque et ma petite racaille est prête. Presque une heure de route (et pas à 90Km/h !) et je sonne chez mon client. Entre 30 et 40 ans, grand brun, carré. Il me tend mon enveloppe et menotte Jimmy les mains dans le dos, il voulait un trip " commissariat / arrestation ". Je mate et m'aperçois que Jimmy était sûrement déjà être passé par là car il était super naturel dans le rôle. Le client aussi, je vais me renseigner mais ce serait un vrai flic que cela ne m'étonnerais pas. Du coup discrètement avec mon portable je fixe quelques photos où son visage et l'action sont bien visibles. Je me crois dans un film porno. Jimmy s'est pris au jeu et il fait parfaitement la petite frappe embarqué pour trafic de shit. Il négocie sa liberté contre l'utilisation de son corps. On peut voir le paquet du mec, appuyé des fesses sur le bord de son bureau, gonfler et tendre le jeans de façon totalement indécente. Il finit par attraper la tête de Jimmy et à lui écraser le visage contre. Quand il sort son matériel, c'est impressionnant. Une grosse tige foncée avec les poils taillés très courts ce qui la rend encore plus imposante. Il prend la tête de Jimmy entre ses mains et lui enfonce son braquemart dans la gorge. Comme Jimmy tousse, il le claque (pas trop fort, ça va). Il continu et Jimmy s'adapte. Je le vois même aller au devant pour s'étouffer avec le gland. Il le fais se lever de sa chaise tout en maintenant la pipe. Plié en deux et ne pouvant se retenir avec ses mains, Jimmy est en bascule vers l'avant sur le sexe du mec. Il se trouve bientôt les fesses à l'air, le jogging repoussé juste en dessous d'elles. Le mec, une mains sur la tête de Jimmy pour la pipe, a utilisé l'autre pour tester son anus. Surpris par le plug, il me regarde. Je lui dis que je l'avais préparé. Il me remercie et tire dessus. Jimmy pousse un cri sourd (le gland du mec occupe toujours sa gorge) quand son anneau s'est dilaté brusquement. Après trois à quatre passages, le client a décidé de passer aux choses sérieuses et de l'enculer. Le torse plaqué sur le bureau, les mains toujours entravées dans le dos, Le faux/vrai flic lui a écarté les pieds. Puis les mains bien à plat sur chaque fesse, il les a écartées. J'osai lui rappeler la kpote avant qu'il ne l'oublie emporté par le trip. Il se couvre. Puis après avoir craché sur l'anus de Jimmy, force sa porte arrière. Jimmy mime un refus de la chose, gueulant qu'il était pas un PD, essayant d'y échapper en se tortillant. Le grand type le bloque d'une main sur son cou, l'appuyant sur le bureau et commence la pénétration. Je suppose que Jimmy serre son petit cul car malgré sa taille, il aurait pu rentrer plus vite si ce dernier l'avait voulu. Ce n'est qu'une fois la bite bien calée au fond de son cul que Jimmy abdique et laisse faire le mec tout en lui répétant " j'suis pas comme ça ", " pas PD ", assortis de " arrêtez Msieur ", " s'il vous plait "... Un vrai porno ! En attendant ça lui fait de l'effet au mec. Ses mains posées sur les hanches de Jimmy, il l'encule. Profitant bien de sa capacité à tout prendre, il écarte ses fesses pour aller plus profondément. D'après ce que je peux voir, il a l'air de prendre son pied grave ! Il le détache soudain mais c'est pour refermer les menottes par devant. Je comprends mieux quand il tourne Jimmy sur le dos, lui relève les jambes et reprend la sodo. Le mec est très résistant car il se passe une bonne heure avant qu'il ne jute.
Alors que Jimmy est sous la douche, le mec resté à poil discute un peu avec moi. Il est super bien foutu et me fait bander ! Je ne sais pas si j'aurais l'envie d'attendre d'être rentré à la maison pour me soulager dans Jimmy ! Il a bien apprécié le trip et me demande si je pourrais lui organiser le même trip avec plusieurs jeunes mecs. Dans ma tête je vois Ed et pourquoi ne pas récupérer temporairement Jean. Celui là, je suis sûr que ce genre de plan l'amuserait (en plus de la grosse teub du mec).
Je lui dis qu'il faut que je vois cela mais que si ça se fait, ce serait plutôt un mercredi ou un samedi après midi. Financièrement ce ne sera pas non plus la même chose avec deux mecs. Il me propose le double de la passe actuelle. Je fais mine de réfléchir et de lui même il triple. Là j'accepte. Il me demande si je pourrais pas lui en trouver plus. Je lui demande combien. Il me dit au moins un troisième et me propose direct un " contrat " multiplié par 4. En moi même je me dis que je vais y aller progressivement. Ça fera durer son trip plus longtemps et ça me rapportera plus ! Il m'emmène alors au sous sol de sa maison et me montre un commissariat en réduit. Un bureau avec machine à écrire, devant une chaise en bois avec des menottes accrochées au dossier, un radiateur en fonte accroché au mur pas très loin et, au fond, derrière des panneaux escamotables, une cellule à barreaux ;avec couchette en bois. J'admire l'installation. Il se coupe en me disant que c'est une reproduction fidèle de ce qui existe. Il s'enflamme en m'expliquant que comme cela il peut isoler un gars le laissant juste entendre ce qui se passe à côté sans voir. Ce qui peut être angoissant pour lui et donc le préparer psychologiquement à la suite. Il m'a l'air bien calé sur le sujet ! au jour dit, je veillerais à ce que ce soit Jean qui soit dans cette position, il est le plus costaud mentalement.
Quand nous remontons, Jimmy est prêt. Nous le quittons non sans que j'ai promis de le rappeler rapidement. Jimmy serré contre moi, malaxe mes couilles et ma bite qui n'avait pas besoin de cela pour bander. Du coup, arrêt dès la première aire de repos. Je le pousse dans les WC pour handicapés et juste la braguette relevée (because combi cuir), je baisse son jogging avec son slip pour l'enculer direct. C'est divin ! Depuis deux bonnes heures que je bande, je commençais à avoir mal aux couilles. Je le prends brutalement tellement je suis excité. Il apprécie, accroché au lavabo. La pression monte vite et je me lâche au fond de son cul. Je le branle et il jute dans le lavabo. ;Nous sortons casque sur nos têtes, heureusement car deux mecs étaient à la porte en train de nous écouter probablement, nous n'avions pas été des plus discrets !!
Le reste du retour s'est fait plus serein, malgré l'accrochage de Jimmy à mon paquet.
Quand nous sommes arrivés Marc était là. Juste le temps de poser la moto et le casque et j'étais dans ses bras. Il est trop mon mec ! Le patin a tellement duré que quand nous nous sommes décollés, Jimmy était parti à l'appart. Dans l'entrée, pendant que j'ôtais ma combi, il m'a pris l'oreille pour l'examiner. Un soupir a ponctué l'inspection. Une fois en shorty et T-shirt, je suis allé chercher l'écrin pour lui montrer le " caillou " puis je l'ai placé sur l'anneau en inox. J'étais à ce moment là un peu stressé en attendant le verdict. Il l'a bien senti et m'a fait attendre encore un peu. Finalement il a du avouer que ça ne m'allait pas trop mal. Je l'ai vite retiré pour ne pas l'énerver plus longtemps. Je n'ai pas attendu le soir pour me jeter sur lui. 4 jours sans lui, je suis en manque. Chemise arrachée, pantalon descendu sur les chevilles avec le slip, j'ai pu emboucher mon mâle. Trop bonne sa bite, directe au fond de ma gorge. Je me suis acharné à le pomper jusqu'à ce qu'il me gave. Calmés quelques instants, il m'a pris dans ses bras pour m'embrasser de nouveau. Je lui ai dit que je l'aimais, même si j'acceptais les cadeaux d'Emma. Il m'a traité de crétin. Comme je le sentais reprendre forme, je l'ai poussé dans un fauteuil et me suis assis sur lui. Une jambe sur chaque accoudoir, mes mains accrochées à ses épaules, je me suis laissé descendre doucement. Contact avec le gland, positionnement correct au centre de la cible, je sens qu'il mouille, puis pallier 3/4cm plus bas, histoire de me prendre le gland. La position statique ne peut pas durer, mes cuisses sont tendues. Quand je relâche mes muscles, je m'enfonce inexorablement sa queue au fond de mon trou. Assis sur ses cuisses, nous nous embrassons avidement, voracement, passionnément. Rapidement j'ai besoin que sa bite me ramone. Il m'aide un peu et c'est moi qui lime mon cul sur sa teub. De temps en temps il monte le bassin pour limiter le retrait mais dans l'ensemble je fais tout le travaille. Face à face, à chaque fois que je suis sur ses genoux, on se roule une pelle. Mais mes cuisses me tirent de plus en plus et nous changeons de position. J'écarte les objets posés sur la table basse et à genoux, y plaque mon torse. Marc écarte mes cuisses, avant de reprendre mon cul. Couché sur moi, il tire ma tête sur le coté et nous continuons à nous embrasser. Trop excité par nos retrouvailles, nous jouissons assez rapidement. Marc s'écroule sur moi ;le temps que nous récupérions quelques forces.
Plus tard, en slip dans la cuisine devant un café, nous nous sommes racontés les 4 jours d'absence de l'autre.
JARDINIER
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basilepesso · 5 months
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En tapant sur Fb "viol d'une jeune fille en Vendée", vous ne trouvez qu'une occurrence de cette affaire.
Actu.fr, fait rare, indique que le supposé violeur est un réfugié dès le chapeau (sous-titre), puis annonce rapidement que c'est un Djiboutien, donc noir africain.
Précisons tout de même que la jeune fille est une droguée.
La Vendée est un des seuls territoires relativement épargnés en France, je dis relativement car je parle surtout des campagnes.
Châteaubriant (Loire-Atlantique) non loin de La Roche-sur-Yon a ainsi été le théâtre de l'affaire Fichet, du nom de la famille harcelée par une bande de racailles "racisées", jusqu'à ce que cette bande mettre le feu à leur maison en tentant de tuer la famille, en juillet 2 020, sans que cela n'émeuve une seconde la poupée Chucky élyséenne, ni "les Juifs", qui nous somment en nous menaçant de nous ranger derrière Tsahal pour "raser Gaza" car, entre autres, "nous sommes les prochains sur la liste" (TM).
Basile Pesso, 9 novembre 2 023 (Fb)
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"Un homme âgé de 26 ans a été mis en examen pour le viol d'une adolescente de 13 ans à La Roche-sur-Yon (Vendée), ce lundi, avant d'être placé en détention provisoire. C'est la deuxième fois qu'il est mis en examen pour viol en l'espace de deux ans, indique une source proche de l'affaire, confirmant une information de Ouest France.
Le suspect, de nationalité djiboutienne et qui bénéficie du statut de réfugié, est sorti de prison il y a quelques mois, après avoir passé deux ans en détention provisoire. Il n'a pas encore été jugé dans l'affaire du premier viol. Cette fois, l'homme est soupçonné d'avoir abusé sexuellement d'une jeune fille qu'il connaissait, dans un appartement de La Roche-sur-Yon, vendredi dernier." Article d'Actu.fr : "La Roche-sur-Yon : Un homme soupçonné d'avoir violé une mineure de 13 ans écroué"
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helshades · 10 months
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Tu sais pourquoi on voit souvent les gens dire que le lumpen et la droite sont compatibles ? Est-ce que c'est par rapport à l'exploitation de ce dernier ?
Partiellement. Mais si tu (re-lis) ce cher Engels – de son petit nom Friedrich, le gendre de Karl – qui a théorisé l'existence du Lumpenproletariat et laissé à la postérité quelques commentaires acerbes au sujet du petit peuple des banlieues chaudes, tu t'aperçois que dans la pensée marxiste-pour-de-vrai, on n'est pas nécessairement fanatique des marginaux juste histoire de se sentir une âme de philanthrope...
En fait, Engels est très dur avec les voyous du sous-prolétariat, en soulignant leur absence totale de conscience de classe, leur immoralité, leur volatilité, leur paresse... qui les rendent incapables de mener une lutte organisée, et donc de s'unir aux ouvriers du prolétariat pour mener une révolution fondée sur l'émancipation par le travail et le partage de la richesse issue du travail.
En fait, en guise d'exemple Engels s'appuie sur une révolution italienne avortée de 1848 : les lazzaroni, les voyous napolitains, ont fait le coup de poing contre les révolutionnaires au côté de la soldatesque par pur opportunisme et ont largement contribué à la défaite des révoltés. Le sous-prolétariat est violent, par habitude, presque par nature selon Engels, et le patronat l'utilise volontiers, l'utilise en fait assez régulièrement pour briser des grèves en allant embaucher n'importe qui pour remplacer des grévistes, par exemple. C'est assez typique.
La rumeur populaire veut que les voyous de banlieue s'en sortent plutôt bien par rapport à l'ouvrier moyen ou au petit-bourgeois en plein déclassement ; que les dégradations répétées de leur environnement coûtent cher au contribuable alors que les petits-jeunes-des-cités touchent des aides de l'État en se contentant de dealer et commettre divers délits pour lesquels ils ne sont jamais vraiment punis. En l'occurrence, il se dit que la police ferme largement les yeux sur les émeutes, surtout par rapport à la répression massive des derniers mouvements sociaux. Je ne pense pas qu'Engels aurait tenu un discours très différent. Je sais que Lénine aurait voulu taper sur la tête des LFistes à grands coups de gourdin, par contre.
Ce qu'il y a de certain, c'est que la droite et l'extrême-droite ont toujours su exploiter la racaille à leurs fins, la seconde peut-être plus encore que la première, parce que les fachos et assimilés ont toujours pu compter sur l'appétit de violence des déclassés (à Lyon, les fafs défilent cette nuit façon milice en braillant des Bleu ! Blanc ! Rouge ! La France aux Français !) mais aussi parce que c'est assez facile de passer des marchés avec des trafiquants.
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lonesomemao · 6 months
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LE VENT AMOUREUX DE MINUIT
Haut-Karabakh
Un dictateur azéri
Contre une Arménie
Qui cherche la démocratie
Le problème n'est donc pas religieux
Mais politique arrière-fond hégémonique
En défense
Patriarcat de Constantinople
Poutine à son sujet
Devient dubitatif
Que faire ? C'est l'ornière
Des jeunes jouent à la racaille
Folie Emotive al'qaïda récupérée du spatial
Et Michel Denisot va mal
Mercredi 20 septembre 2023
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jade-curtiss · 10 months
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'm'en suis tiré sans dms shady, comme pensez vous j'prend le temps de checker mes reçus? Faut qu'on m'le dise, pis j'laisse jamais personne me parler (pis si y le font j'les traite en stalker après 2 secondes)
J'me faisais déjà stalker avant d'intégrer le millieu et ce pendant des années. Tout le monde a niaisé l'affaire jusqu'à ce qu'un de mes stalkers vire fou pis qui attaqué un de mes amis. J'ai tellement ri de lui. Comme wow bouffon, tu sais que le stalker est potentiellement violent pis toi tu décide y'est cute. Okay, okay, go. 👀
Comme tsé défendre les stalkers généralement ça donne ça. Dire au monde qui se font stalker ça donne ça aussi. Personne stalk par amour. C'est une question d'amour de soi avant tout. C'est juste de la consommation d'individu pis vu les résultats comme rendu là go all in pis cannibalise moi parce-qu'à part me rappeller que j'ai jamais pu aimer personne normalement sans que ça feel comme ça.
On devrais avoir le droit de tirer au moins un coup sur un stalker, au moins un. Ça donnerais l'exemple. Entre me faire violer (shit happens) pis me faire stalker, le stalkage c'est pire. Vraiment pire. Pis ben j'ai tendance a rentrer en syndrome de Stockholm une fois sur trois 🫠chu vraiment un fucking clown.
Tsé le monde laid qui veulent te changer a leur image pour tu sois une sorte de waifu...ayoye crissez vous toute une balle. Comme si j'vous fait cette game là c'est que ça se joue a deux cette vibe là. Pis moi ce que j'aime dans vie c'est de réduire des hommes cis a ce qui me réduisent vu que c'est eux qui commence le jeu. Pis moi j'veux juste les castrer, because why not? C'pas du monde avec qui ont fait des enfants qui me font ça, c'est juste de la racaille. Comme si j'attire de la racaille exclusivement, normal j'agisse ainsi. Pis j'me sens pas mal, vu les circonstances, si ça les traumatise assez pour qui fassent pu jamais ça, ma job est faite. Y'a du monde qui travaille ici. 😔
Non c'est non tsé, si ça deviens un oui, ça va être un "oui" très shady.
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crimesnews · 10 months
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Émeutes en France:les médias inféodés à la racaille...
france24.com/fr Les acteurs de terrains au front pendant les émeutes:"Et maintenant,il faut tout rattraper".
Les choses se calment,par l'appel des revendeurs de drogue (s).*
Si les "acteurs de terrains" avaient une quelconque efficacité,il n'y
aurait,ni drogue, ni violences de toutes sortes en France ou ailleurs,
en Occident,c'est tout l'inverse:
Au Royaume-Uni, en Suède etc.
*Lire sur ce blog:Émeutes en France et trafic de drogue (s).
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