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#cabane hurlante
marjoange34 · 4 months
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Sims 2 Pré au lard La Cabane Hurlante@SimsetteGirl
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frisquette27 · 1 year
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Et voilà la partie 5 d'UNE AUTRE DIRECTION
Partie 5 :
Elle finit par sortir de la cabane pour le rejoindre et elle le vit là regardant vers l’horizon, certainement pensif, son corps droit, il lui tournait le dos. Elle avança doucement vers lui, tremblante elle tendit son bras, s’arrêtant à quelques millimètres, effrayée, elle hésitait. Que pouvait-elle lui dire ? comment allait- il réagir ? Il lui avait dit être en colère contre elle. Elle avait l’habitude des colères des uns et des autres à près tout elle avait grandi en Carmèlide et sa famille était plutôt colérique même leurs sentiments d’affection étaient toujours exprimés en hurlant.
Pourtant elle n’aimait pas quand Arthur était en colère vraiment en colère, Oh il râlait tout le temps, elle avait appris à faire avec, lui trouvant parfois un côté attendrissant mais sa colère par contre elle ne savait pas la gérer. Et là, elle savait qu’il devait être très en colère, pire elle avait dû le décevoir. Elle-même, elle ne comprenait pas sa propre réaction, elle avait été anéantie, elle qui lui pardonnait tout d’habitude malheureusement cette fois c’était son cœur qui avait craqué. Elle l’aimait vraiment, pour lui, l’homme pas le Roi, elle aimait tout chez lui-même ses défauts.  Délicatement elle posa sa main sur son dos, ce simple contact l’électrisa, elle devait rompre le silence mais que lui dire. Il se tourna vers elle, et il planta son regard sombre dans le sien. Elle réalisa qu’il était venu la chercher, il l’avait sauvé alors son premier réflexe fût de le remercier malgré la tristesse qui émanait de son propre regard.
« Merci »
Elle était là devant lui, en vie, il avait envie de la prendre dans ses bras pour retirer toute la tristesse de ses yeux, il voulait la rassurer, lui dire qu’elle comptait pour lui. Sa présence était indispensable, il l’avait enfin réalisé mais il ne bougea pas comme si son corps ne voulait plus répondre.
« Je suis désolé, je …enfin je voulais vous remercier pour hier » elle n’arrivait pas à soutenir son regard, elle baissa la tête honteuse. Et si, il ne voulait plus du tout qu’elle l’accompagne, si cette fois il ne pouvait plus la supporter, pire s’il la laissait là et lui demandait de rentrer au château sans lui.
Les poings fermés, la tête baissée, sa femme devant lui tremblait. Il tendit son bras vers elle et délicatement posa sa main sur son menton pour lui relever la tête, les yeux de la jeune femme étaient embués de larmes. La main toujours sur son menton, il lui caressa doucement la peau, un petit sourire se dessina doucement sur ses lèvres.
« C’est normal, vous pensez pas sincèrement que j’allais vous laissez hier….Guenièvre, jamais, plus jamais vous me faite ça ….vous restez à vue…c’est clair ! »
La jeune femme lui rendit son sourire, troublée par ses mots, elle n’arriva pas à lui répondre. Elle se contenta de secouer la tête.
« Bon, pfff …c’est bien .. j’aimerais vraiment savoir ce qui vous est passé par la tête »
Sa femme se braqua et recula apeurer. Elle ne pouvait pas lui expliquer, elle-même avait du mal à comprendre pourquoi, la douleur l’avait emportée. Elle ne pouvait pas lui dire qu’elle l’aimait et que même si elle avait renoncé à un amour partagé depuis longtemps, faire le constat terrifiant de n’être rien pour lui la submergé, et la vie n’était rien sans lui. Non elle ne pouvait pas lui dire tout ça, il allait prendre peur, être mal à l’aise avec les sentiments qu’elle éprouvait, elle ne voulait surtout pas lui faire le moindre mal.
Voyant sa femme en pleine conversation avec elle-même, il s’approcha, réduisant la distance entre leurs deux corps de quelques centimètres, sentant son souffle chaud. D’un geste rapide et maladroit il la prit enfin dans ses bras, posa ses lèvres sur sa tempe.
« Parlez-moi Guenièvre, j’ai besoin de comprendre, j’ai besoin de l’entendre …sinon je vais devoir nous attacher ensemble et cela ne vas pas être pratique pour voyager » dit-il en tentant un brin d’humour espérant dérider un peu son épouse.
Elle sourit contre lui.
« Ah ben non vous marchez trop vite, vous allez encore râler que je ne vais pas assez vite ! »
« Voilà ..donc parlez-moi, je vous promets d’être patient, en tout cas je vais essayer »
Elle tourna son visage vers lui, un sourire radieux sur les lèvres, ce qui troubla particulièrement son mari. Il la serra plus fort contre lui, humant le parfum de ses cheveux depuis cette nuit il avait découvert le parfum entêtant de sa femme, même son odeur était douceur. Il pensait que ce serait plus difficile que ça de se rapprocher d’elle pourtant c’était naturel et tellement apaisant.  Il était enfin à sa place.
La porte de la cabane s’ouvra laissant apparaitre Démetra levé pour préparer le petit déjeuner, elle surprit le couple enlacé qui à son apparition se séparèrent rapidement comme pris en faute.
« Ah vous êtes réveillés ! » dit elle un petit sourire entendu sur les lèvres.
Elle n’eut pas de réponse, Guenièvre baissa la tête à nouveau cette fois pas par honte mais par colère. Elle était toujours irritée par le comportement de son ancienne amie, ce sentiment la gênait profondément, elle qui par son tempérament était toujours accommodante, elle avait beaucoup de mal à gérer la déception que lui représentait sa nouvelle belle-sœur. Elle avait à la fois trompé son mari qui était son frère mais brisé ce qui pour elle était de l’amitié. Elle n’était plus la maitresse du Roi, non là elle avait volontairement eu des relations intimes avec son mari à elle. Arthur vit tout de suite le changement d’attitude de sa femme, elle était nerveuse, voire anxieuse, de nouveau ses poings étaient fermés mais la différence c’est qu’elle ne semblait pas avoir peur. Mal à l’aise par la situation, Arthur s’apprêtait à prendre sa femme par le bras pour l’amener plus loin mais il ne fût pas assez rapide, déjà elle s’éloignait pour rentrer dans la maison passant avec dédain à côté de Démetra.
« Je crois qu’elle m’en veut encore pour hier, j’avoue je n’ai pas pensé à elle, je l’avais complètement oublié d’ailleurs »
Arthur tiqua un peu aux paroles de son ancienne maîtresse, comment pouvait-on carrément oublier l’existence de sa femme. Lui ne l’avait pas oublié, il avait juste fait comme d’habitude, ce dont il avait envie. Troublé par ses pensées, il trouvait son attitude un peu écœurante, il comprit que c’était parce qu’il avait toujours eu ce genre d’attitude que leurs entourages avaient réagi comme-ci Guenièvre n’était pas importante. Sa culpabilité le mit mal à l’aise, il la chassa rapidement après tout cela ne devait pas être entierement de sa faute.
« ça fait longtemps que vous avez pas vu les jumelles ? »
Elle s’arreta devant Arthur alors qu’elle s’apprêtait à raviver le feu
« Oh ça fait un moment. Pourquoi ? »
« Disons que …est ce vous en avez vu une enceinte ? »
« Enceinte ? Non je ne crois pas. Pourquoi ? »
« C’est quand même bizarre ! Et vous ? »
« Quoi moi ? »
« Bah, vous n’avez jamais été enceinte ? »
« Non, pourquoi. Attendez vous cherchez si vous avez des enfants ? »
« Oui c’est un peu le but du voyage ! »
« Et vous cherchez vos enfants que vous auriez eu avec une autre femme avec votre femme ! »
« Non mais dites pas ça comme ça. D’abord c’est elle qui m’en a parlé la première »
« Pourquoi ? »
« Pourquoi Quoi ! »
« Pourquoi elle vous a parlé des enfants que vous pourriez avoir eu avec une autre ? »
« Surement pour savoir ce qui pourrais me faire plaisir ou un truc comme ça »
« Et du coup elle accepte que vous cherchiez des enfants que vous auriez eu avec une autre et en plus elle vous accompagne pourquoi, pour vous soutenir surement, ah oui elle m’étonnera toujours »
« Non mais dit comme ça tout de suite ! »
« C’est glauque ou c’est juste que vous avez une femme incroyable »
Elle lui tourna le dos et s’affaira à préparer le petit déjeuner, elle ne voulait plus poursuivre cette conversation. Ce quelle venait d’apprendre lui tordait encore plus le ventre, elle avait blessé une femme dont la gentillesse n’avait pas de limite.
L’heure du départ était arrivée, la matinée était passé rapidement, personne n’osait vraiment se parler même les deux compères d’habitude si volubiles étaient tendu par l’ambiance oppressante. Démetra essayait tout de même quelques sourire auprès de sa belle-sœur qui s’était muré dans le silence.
« Bon on y va, vous êtes prêtes » dit Arthur en s’adressant à sa femme
« Oui, oui …ah bah non »
« Quoi encore mais grouillez-vous bon sang »
« Bah faut que je rende sa robe à Démetra quand même »
« Non, non c’est bon je vous l’offre, ce n’est pas grand-chose je pense que je vous dois plus que ça »
Guenièvre ne pu que sourire en voyant l’air gêné de la jeune femme, après tout ce n’était pas vraiment sa faute, elle avait bien accepté pendant des années que son mari la trompe avec elle, elle n’avait certainement pas pensé à mal en tout cas même si elle décidait de lui pardonner quand elle reviendrait elle aura une conversation avec sa belle-sœur à cœur ouvert en tout cas pour qu’elle ne trompe plus son frère.
« C’est gentil ! Vous n’aurez qu’a vous servir dans mon armoire quand vous irez en Carmèlide »
« Pourquoi on irait en Carmèlide d’abord » dit son frère.
« Bah ! vous avez quand même prévu de prévenir nos parents et Grand père que vous vous êtes marié et puis il faut que la nouvelle princesse de Carmèlide rencontre son peuple non »
« La nouvelle Princesse de Carmèlide ? » dit Arthur un peu surpris
Tous la regardèrent méduser, enfin tous sauf Merlin qui avait bien compris et il prit donc la parole pour dénouer la situation.
« Non mais franchement c’est simple, vous êtes l’héritier de Carmèlide, vous êtes le prince de Carmèlide du coup votre femme elle deviens quoi du coup »
« Vous êtes héritier de Carmèlide ? » dit Démetra à son nouveau mari
« Oui et un jour je deviendrais le Roi de Carmèlide »
« Voilà » dit Guenièvre « et un jour vous serez la Reine de Carmèlide, donc quand vous irez au château vous pouvez prendre une de mes robes cela me ferait très plaisir »
« Vraiment ça vous fera plaisir »
« Oui vraiment »
Elle lui sourit et lui prit la main pour lui serrer en signe de réconciliation, Démetra lui rendit son sourire le cœur léger.
« Vous faites attention à vous »
« Mais oui » répondit Arthur avant que sa femme puisse répondre « Je vais m’occuper d’elle »
Le ventre plein de petits tourbillons, Guenièvre rougit à la phrase de son mari, rien que le fait qu’il puisse juste faire attention à son existence la rendait toute chose. Ils firent signe au petit groupe et partirent rapidement vers la forêt, Guenièvre essayait tant bien que mal de suivre Arthur qui avait comme son habitude pris son rythme sans se demander si sa femme suivait. Mais elle n’était pas contrariée, l’interlude de ce matin était belle et bien fini, elle était quand même heureuse de n’être qu’avec lui. Après plusieurs heures de marche, Arthur était inquiet sa femme n’avait pas dit un mot lui qui s’attendait à ce qu’elle monopolise la conversation, elle suivait discrètement. Il avait quand même fini par ralentir un peu, conscient que le rythme qu’il imposait était difficile à suivre pour elle. Maintenant il cherchait un sujet de conversation pour rompre ce silence entre eux.
« Du coup Démetra a fait un beau mariage, vu la tête qu’elle faisait elle ne s’était pas rendu compte qu’elle avait épousé un prince » dit-il
« Disons qu’au premier abord on ne pense pas qu’Yvain est un prince et surtout prince de Carmèlide »
« C’est sûr que cela va leur faire tout drôle en Carmèlide après le Roi Léodagan Le sanguinaire, Yvain le …en fait je ne s’aurais dire réellement ce qui pourrais aller avec lui »
 Guenièvre rit doucement, à vrai dire elle aussi elle avait du mal a croire qu'un jour son frère succéderait à son père.
« Du coup, Démetra est princesse de Carmèlide, j’avoue que je l’avais pas vu venir celle-là »
Guenièvre se renfrogna un peu, même si elle était prête à pardonner, le fait que son mari l’ai trompé avec sa nouvelle belle-sœur avait beaucoup de mal à passer.
« Oui et de ce fait vous vous êtes enfin taper la princesse de Carmèlide mais oups vous vous êtes trompé de princesse »
Sur ces paroles elle hâta le pas pour le dépasser, elle n’avait pas vraiment envie de poursuivre cette conversation. Elle l’avait mouché et sacrement se dit-il, parfois elle pouvait lui clouer le bec comme personne, en plus elle avait raison, il commençait à avoir un peu honte de la situation. Enfin de compte cela risquait d’être plus compliqué que prévu de se rapprocher d’elle.
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mysadecstasy · 1 year
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Immortel amour
Aveugles pierres blanches Petits grains de sable L’eau douce et glacée court sous la terre jusqu’à éclore dans la mer Aveugles bouts de bois Radeau de fortune Vers l’horizon qui n’en est plus un je jette mes derniers espoirs Nus et écharpés Comme des filets troués Noirs et balbutiants Ensablés jusqu’au cou à la limite de la prochaine marée Le sel dans la bouche et sur les cils Lancinante est l’attente Lancinante pour ton sourire entre les blés dansants Dans la chaleur sèche d’un juillet en Puisaye Sans vent Le dernier café avant la torpeur sourde Au pied du château d’eau Boisson fraîche et table en formica Un fermier entre et nous regarde comme deux fous Champs à perte de vue Couleur or comme les pyramides Au sommet se dresse un calvaire érodé A contrejour Soleil brûlant Tu l’observes dans sa purulence salvatrice Noir sur bleu d’acier Dans sa grandeur maligne Ébloui Monolithique et hurlant la Passion La corneille prend son envol et résonne son cri funeste Immensité dorée Porte ouverte sur l’infini horizon trempé d’embrun Ma main caresse les blés comme ta chevelure de jais Opaline ta peau émiettée sous ton chemisier offert au vent Clair-obscur tranchant comme la lame de la Justice divine Je frôle ta peau douce comme l’éternité Mes désirs prennent leur envol Sur la plage je dessine mes rêves d’enfant Dans tes yeux je vois la somme de tout le temps De ce temps passé dans des cabanes de montagne Ce temps passé à la rivière à plonger du pont Eau glacée de juillet Juillet juillet juillet c’est au présent Résonne tout ce temps à s’aimer Ma tête sur tes cuisses un brin de paille à la bouche Les volutes du ciel émerveillés Ce temps à caresser ta nuque dans les foins de la grange Jupe retroussée trois heure sonne La chaleur Transpiration Et lourdeur du silence Les chats lézardent et le lierre grimpe sur le mur Le troisième barreau de l’échelle de bois craque Tes sandales à la main tu marches nus pieds jusqu’au chemin de graviers Tu as peur des serpents moi j’ai peur du noir Quand tu souffles la bougie je crois mourir Puis je renais contre ta peau Mes pieds enlacent les tiens Je dormirais mille ans contre ton corps de miel J’embrasse tes paupières dans le silence de la nuit Le silence de l’amour en extase L’amour qui cherche hurle comme un possédé L’amour qui trempe dans son bain d’éternel regarde les étoiles brûler Sens tu le fauve rugir en moi quand les lunes s’embrassent au fond de tes yeux Sens tu la chair pétrie sous mes mains avides Suaves dans l’obscurité de l’indécision des corps Incertitude des plaisirs à choisir Nous jouions aux dés dans ce café de Cotignac quand tu as offert le repas à un pauvre homme qui est ressorti riche Ton air de madone Debout Non pas dans la douleur mais dans l’esclavage des vices Dans l’éclat des pierres brûlantes de félicité L’éclosion de la nudité des sentiments crus Animale comme la Bête Mais impénétrable Nudité pure comme l’eau de tes larmes en perles Sous l’amandier en fleurs blanches nous regardons le ciel Voguent quelques nuages Et les abeilles butinent Travaillent d’arrache-pied Jusqu’à la mort Mécanique inlassable et inamovible Comme un nœud se fait et de défait l’amour danse d’une chambre à l’autre De l’obscurité à la lumière il vogue d’un salon à l’autre Sous un lustre du Saint Empire romain germanique s’étale un lit satiné de rouge La pièce est vert foncé et emplie de plantes. Une fumée diaphane bleutée exhale des ténèbres Tu es nue En croix Dans le plus bel apparat tu attends la résurrection de l’amour L’amour dévoré par le Chaos Là où il reste des fleurs il reste des graines Et là où il reste des graines pousseront des arbres séculaires Mon royaume pour un baiser sur tes lèvres Mon amour embrasse moi Embrasse de désir et non de pitié Retournons à la nuit sur la colline au Christ admirer la lune Retournons dans la grange ranger le foin Sur le carré de soleil imprimé par l’ouverture dans le bois Oublions les tribulations de l’amour Quand il fatigue Exsangue Libérons-nous dans la nudité la plus pure Des âmes et des cœurs Et pourvu que cela soit possible Aimons-nous jusqu’à en mourir
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ellanainthetardis · 8 months
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En tant que fan de Severus, que penses-tu de l'incident de la Cabane Hurlante ?
Je sais que c'est souvent décrit comme une tentative de meurtre de la part de Sirius dans le fandom, et je suis d'accord pour dire que c'était con de sa part de dire à Severus comment accéder à la Cabane, mais pour moi Severus était encore plus stupide de s'y rendre. Il était quasiment convaincu que Remus était un loup-garou, alors quel était son projet en y allant ? Il pensait pouvoir vaincre le loup en duel et montrer son corps inconscient aux autres élèves pour faire virer Remus ? Il voulait abattre Remus sous sa forme de loup ? Il voulait le prendre en photo ? Sinon, perso je ne qualifierais pas ça comme une tentative de meurtre de la part de Sirius vu qu'il n'a fait que lui donner l'information sur le passage secret mais ne l'a pas attiré dans la Cabane ou piégé pour qu'il s'y rende (mais c'est tout de même une énorme trahison envers Remus qui aurait pu voir sa vie complètement détruite du jour au lendemain)
Oui je suis assez d’accord… c’était juste super con pour pleins de raisons. Je pense pas qu’il voulait que severus meure. Peut-être le voir blessé. Mais clairement il a jamais réfléchi plus loin que le bout de son nez à ce que ça aurait pu impliquer pour remus… Ou alors il pensait que severus se dégonflerait avant même de toucher le saule cogneur parce qu’il ne pense pas que severus est courageux.
Quant à severus je pense que c’est une des ces personnalités qui a une curiosité maladive. Il doit savoir. Avoir la preuve concrète de ses yeux vus le valorise dans sa propre opinion de lui-même. Après est-ce qu’il savait qu’il allait se retrouver face à un loup aussi… on sait pas exactement ce qu’a dit sirius, si? Si faut il lui a juste laissé entendre que c’était la qu’ils fomentaient leurs plans machiavéliques… il s’attendait peut-être ps a trouver un loup en liberté…
Disons que c’est pas une tentative de meurtre vraiment mais si severus était mort ça aurait été un homicide involontaire. Un peu prémédité xD
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lagriffedemaho · 3 years
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Mahoktober days 20 & 21
Broken wand & Shrieking Shack
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galit27 · 3 years
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Imagine Harry Potter | Draco Malfoy
Demandes : 
1-Je voudrais bien du genre histoire d'amour avec Drago la maison Gryffondor, meilleure amie Hermione granger et Harry Potter, pire ennemi Ginny, fille sang mêlé et brune avec les yeux marrons et pour le nom Chaïma Watson.
2- Draco affectionne cette sang de bourbe alors qu'il n'est pas sensé en aimer
Je t'aime malgré tout dit par Drago
Le personnage est à Serdaigle elle s'appelle Emma et après la rencontre comme tu veux mais j'aimerais bien que une fois qu'il soit ensemble ça soit en secret puis quelqu'un le découvre et cafte mais il reste quand même ensemble à la fin voila
  Je m’appelle Emma je suis en cinquième année et j’ai 16 ans. Malgré ma maison qui est Serdaigle, mes véritables amis sont à Gryffondor, Harry Potter et surtout Hermione avec qui je partage de nombreux points communs dont mon origine moldu. Si elle a décidé de ne pas le cacher aux autres, moi je préfère demeurer à l’abri des insultes sur mon sang. Cette année est étrange, cela fait depuis plusieurs années que je sens qu’ils me cachent quelques choses, je sais que ça a un rapport avec Voldemort. Je suis une élève studieuse, je ne veux pas donner raison aux stéréotypes sur la valeur du sang qui disent que les sangs de bourbe sont plus faibles. Un seul cours me pose problème, il s’agit des cours de Défense contre les forces du mal, c’est comme si cette vieille chouette avait vu sur mon front une cible à visé.
-             Mademoiselle Gray, vous semblez ailleurs pouvez-vous revenir parmi nous et répondre à la question ?
-             Excusez-moi, je prenais notes je n’ai… Je n’ai pas entendu votre question.
-             (Elle sourit comme l’hypocrite qu’elle était) Vos bonnes notes ne vous dispensent pas d’écouter, avoir de bons résultats ne veut pas dire que vous êtes au-dessus de tout le monde.
-             Je n’ai jamais prétendu être au-dessus de qui que ce soit. Je me suis égarée dans mes pensées et je m’en excuse.
-             Vous semblez penser que c’est en vous faisant passer pour ce que vous n’êtes pas que vous réussirez-
-             Quoi ?! Comment … Qu’insinuez-vous ?!
-             ASSEZ ! Dix points en moins pour Serdaigle et je vous conseille de baisser d’un ton.
Elle s’approcha de moi, et dans un murmure qui m’étais à peine audible :
-             Sale sang de bourbe…
---
Je mangeais lorsque je vis Hermione me faire signe de la suivre dans les couloirs. Nous nous sommes éloignés de la Grande salle avant qu’elle ne me parle. :
-             C’est vrai ce que Luna m’a dit ? Dolores s’en ai pris à toi ?
-             Elle s’en prend à tout le monde, elle ne m’atteindra pas, et elle ne doit pas t’atteindre non plus.
Des personnes approchaient et je reconnus au loin Draco Malfoy et ses chiens. Avec sa tête de prétentieux et son air suffisant. Et dire que j’avais eu un crush sur lui en début de quatrième année.
-             Tu devrais faire attention à qui tu fréquentes Gray sinon tu seras une traite à ton sang.
Et alors qu’il allait partir, je ne pus laisser son commentaire blessant sans réponse.
-             Au cas où tu ne te serais jamais écorché la peau de toute ta douce jeunesse passer près de ton misérable père, je t’apprends aujourd’hui qu’il n’existe qu’une seule couleur de sang et que le seul traite c’est toi, tu fais honte a toute forme d’humanité, misérable reptile.
Il semblait blesser car il se retourna et s’approcha de moi, il resta à bonne distance de moi.
-             Il n’y a que les faibles pour répondre qu’il n’existe aucun classement. Je t’ai peut-être surestimé Emma, finalement ton côté moldu semble plus marqué que ton sang noble.
Alors que j’avais attrapé ma baguette et que j’étais prête à jeter un sort, lorsque la voix de la vieille harpie, Dolores Ombrage se fit entendre :
-             Que se passe t’il ici ?
Je la dévisageai avec haine :
-             Eh bien ?
-             De toute façon, vous avez déjà décidé qui vous punirez n’est-ce pas ?
-             Mademoiselle Gray, vous devriez vous taire avant de faire perdre plus de points. Pourquoi cela ne m’étonne pas que vous trainiez avec Mademoiselle Granger ? Surement car les né-moldus comme vous, chercher toujours à vous réunir comme des insectes.
-             Aguamenti !
Ce fut le plus beau de tous les spectacles qui me fut donner de voir. Même les pires punitions ne pouvaient me faire regretter la scène qui se dérouler devant moi. Ombrage gesticulant pendant que l’eau se déverser sur elle. Profitant de cette distraction je dis à Hermione de retourner dans son dortoir comme ça lorsque Ombrage sera calmé elle ne punira que moi.
---
Le lendemain lorsque je retrouvai Hermione, Harry, Ron et Ginny à Pré au lard, je ne pouvais m’empêcher de gratter la phrase gravée littéralement sur mon avant-bras : J’arrêterai de me prendre pour ce que je ne suis pas. J’ignorai le regard noir de la jeune Weasley, entre elle et moi ce n’était pas l’amour fou, pour cause, elle voyait en moi une adversaire pour gagner le cœur d’Harry. Hermione me sourit de façon compatissante, et Harry souleva sa manche pour me montrer sa cicatrice-phrase :
Harry : - Tu étais jalouse de pas avoir la même que moi ?
Hermione : - Par Merlin, j’ai cru qu’elle allait te tuer.
Ron : - Dommage que j’ai loupé ça.
Emma : - Tu aurais dû voir sa tête ça valait largement la punition !
Ginny : - Et qu’est ce que tu comptes raconter à ta famille d’accueil ?
Emma : - Sale garce ! Qui t’as dit ses bêtises ?
Ginny : - Donc c’est vrai ?
Hermione : - Qu’est ce que ça veut dire Emma ?
Ginny : - Meilleurs amis, pas de secret c’est ça ?
Et sur ses mots de peste elle s’en alla.
Emma : - Je suis désolée je ne savais pas comment vous le dire, je suis orpheline.
Ron : - Pourquoi tu ne nous l’as pas dit ? Ça n’aurait rien changé ?
Emma : - Tu sais que lors de la Répartition dans les maisons, j’ai failli aller à Serpentard ?
Harry : - Oui comme moi, je ne vois toujours pas le problème ?
Hermione compris :
Hermione : - Tu es orpheline, tu as failli être répartie à Serpentard …
Emma : - Et comme tout le monde le sait, j’adore faire des farces, des bêtises ; je travaille dure et n’hésite pas à apprendre des sortilèges non enseignés, comme le sortilège Aguamenti que l’on apprend qu’en sixième année. J’ai peur que l’on me voit comme Tom Jedusor, comme Voldemort. Je suis désolée.
Je partie avant que l’on ne me dise quelque chose sur le ton de la pitié. Je me baladais au bord de la forêt, lorsque Draco s’approcha, seule, de moi.
Emma : - S’il te plait, je ne suis pas d’humeur.
Draco : - Je suis venue m’excuser.
Je le regardais dubitative :
Emma : - Toi ? Venir t’excuser ? Où est le piège ?
Draco : - Pourquoi il y aurait un piège ?
Emma : - Quelqu’un t’as lancé le sortilège de l’imperium ?
Draco : - Arrête un peu avec ton sarcasme ! Je ne peux pas venir simplement m’excuser.
Je me sentis un peu honteuse lorsque je le vis s’éloigner.
Emma : - Ecoute je suis désolée, je ne voulais pas être aussi énervante, c’est juste que généralement, les gens ne s’excusent pas. Tu devrais t’excuser auprès d’Hermione, moi, j’ai l’habitude, je sais encaisser.
Draco : - Tu sais encaisser ? Je ne pense pas vu comment Ombrage a crié après que tu l’ais arrosé. Je présenterais mes excuses à Hermione si c’est ce que tu veux.
Je ris nerveusement :
Emma : - Depuis quand mon avis compte ?
Draco : - Depuis toujours Emma.
Je le regardai complètement perdu. Il s’approchait doucement et pris ma main.
Draco : - Je… J’ai du mal à exprimer mes sentiments mais… depuis que je t’ai vue, j’ai ressenti quelque chose, de l’attirance. Mais lorsque j’ai vu qui tu étais vraiment lors des quelques cours que l’on partage, je suis tombé amoureux de toi et je sais que tu ressens quelque chose pour moi, je ne sais pas quoi mais je sais que tu ressens quelque chose ; car si ce n’était pas le cas tu ne m’aurais pas retenue tout à l’heure, j’ai plein d’autres exemples si tu veux.
Je ris avant de le stopper
Emma : - Non s’il te plait laisse moi croire que mes émotions ne sont pas si… Facile à lire.
Il rit à son tour :
Emma : - Ok, tu as raison je ne suis pas la personne la plus subtile. Mais…
Il m’interrompu en m’embrassant. Après quelques temps, je l’éloignai et le regardais choquer :
Emma : - Et ton père ? Je suis … Enfin je ne sais pas ce que je suis.
Il sourit avant de me répondre :
Draco : - Je croyais que mon père était misérable ?
Emma : - Oui mais je sais que son avis compte pour toi.
Draco : - Que tu sois une née moldu, ou un sang-pur… Je m’en fous. L’autre soir, lorsque j’ai appris que tu étais une née moldu, au début, j’ai cru que j’allais te détester et puis, je me suis rendu compte que rien n’avait changé.
Je souris :
Emma : - Personne ne m’avait jamais dit quelque chose d’aussi gentil.
Draco : - Donc, si je te demande de sortir avec moi, tu répondrais oui ?
Emma : - Être ta petite amie ?
Draco : - Tout ce que tu veux tant que je suis avec toi.
Emma : - Ok, oui, une seule condition.
Draco : - Je t’écoute.
Emma : - Il faut que ça reste entre nous pour le moment.
Draco : - Si tu as peur de mes amis, tu n’as rien à craindre d’eux.
Emma : - Non, enfin ça me rassure, mais c’est surtout que je ne me vois pas aller voir mes amis et leur dire que je sors avec toi alors que je viens juste de leur apprendre que j’étais orpheline.
Draco : - Tu es orpheline ?
Emma : - Oui… On devrait rentrer avant de dépasser le couvre feu.
Draco : - D’accord mais d’abord…
Il m’embrassa avant de me prendre dans ses bras.
---
Plusieurs semaines étaient passées, Draco et moi avions réussi à garder le secret. Nous étions à Pré-au-Lard près de la Cabane Hurlante en train de nous embrasser lorsque nous avons entendus des gens se rapprocher, puis s’éloigner. Alors que nous pensions être enfin seul, et que l’on se re embrassa. J’entendit un halètement de choque et mon prénom, lorsque je me retournai je vis Ginny et son regard de fouine. Alors que j’allais l’arrêter, elle se mit à courir vers Pré-au-Lard.
Emma : - Merde ! Fais chier ! Ils vont croire que je les ai trahis.
Draco : - Tu n’as qu’à dire que je t’ai surpris en t’embrassant.
Emma :- Quoi ?!
Draco : - Je ne veux pas te forcer à choisir entre tes amis et moi. Je sais qu’il compte pour toi, comme une famille.
Emma : - Draco… Les semaines que j’ai passé avec toi m’ont permis de ressentir un sentiment que je n’avais jamais eu, l’amour. Je ne veux pas perdre mes amis, et encore moins toi.
Draco : - On n’est même pas sûre que Ginny va aller leurs dire.
Emma : - Crois moi, elle le fera.
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laboutiquedusorcier · 3 years
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Entre Le Chaudron Baveur, Gringotts, Square Grimmaurd ou encore pour les plus courageux/courageuses la célèbre et terrifiante Cabane Hurlante…
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ao3feed-snape · 3 years
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Et si James Potter avait été malade ?
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by Memepotter952504
Sirius rend visite à James à l'infirmerie avant de se rendre à la cabane hurlante. Il voulait voir la tête de Snivillus quand il ferait face à Remus en tant que loup-garou. Cela lui apprendrait à écouter les conversations des autres ... Sauf qu'une fois que Snivillus apparut, Sirius se rendit compte de l'étendue de son erreur...
Words: 642, Chapters: 1/1, Language: Français
Series: Part 12 of 100 façons de mourir
Fandoms: Harry Potter - J. K. Rowling
Rating: Mature
Warnings: Major Character Death
Characters: Severus Snape, Sirius Black, James Potter, Albus Dumbledore, Remus Lupin
Additional Tags: One Shot, Character Death, Werewolves, Werewolf Remus Lupin, Bad Jokes, Discord : Les défis galactiques
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justpaulinhere · 6 years
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Drabbles Snapiens - Chapitre 2
Image trouvée sur le tumblr de quelqu’un (j’ai oublié, mais je vais le retrouver, désolé.)
La vie de Severus Snape est-elle réellement tragique ? Chers Lecteurs, vous êtes probablement nombreux à avoir versé votre petite larme lorsque a) Severus meurt dans la cabane hurlante, b) la vérité sur ses agissements nous est révélée.
Avant tout, on pourrait se demander ce qu'est le tragique. Le mythe d'Œdipe en est un bon exemple, on prédit à un prince qu'il tuera son père et qu'il épousera sa mère. Réaction logique : il fuit sa ville natale. Problème : sur son chemin, il croise un vieillard, il le tue. C'était son père. Il croise un monstre, le Sphinx, il le tue et délivre la ville de Thèbes de son emprise. On lui offre la main de la reine en échange, problème : c'est sa mère.
Moralité : Personne n'échappe à son destin, et plus on le fuit, plus vite on se le mange, comme une mouette se prend une baie vitrée.
En un sens, on pourrait considérer que la vie de Severus Snape suit bien cette destinée tragique. Son père est un moldu de la pire espèce, qui boit et qui le bat sans doute, lui et sa mère. À ce stade, je ne me rappelle plus si c'est bien mentionné par les livres/films ou si c'est juste une construction d'auteur de fanfiction. Je dirais que ça reste plus que probable dans les deux cas. Mais le destin offre une échappatoire à Severus : Poudlard ! Grandiose, vraiment. C'est ironique. Il s'y fait humilier par les Maraudeurs, et y découvre l'art de la magie noire. Il n'échappe à un enfer que pour tomber dans un autre, et la magie noire le précipitera entre les serres de Voldemort.
Enfin, il y rencontre l'amour. Génial ! Elle se barre avec son pire ennemi, la garce ! Snape a bon cœur, lorsqu'il voit qu'elle est en danger de mort, il fait tout pour la sauver, elle et le connard qui lui sert de mari. Mais on ne peut pas lutter contre son destin, non ? Elle meurt quand même !
À cet instant, peut-être que ses tourments pourraient prendre fin, non ? Non ! Snape décide de protéger Harry. Bon en même temps, là, il l'a cherché aussi… Protéger un gamin qui passe son temps à s'attirer les pires emmerdes imaginables, ce n'est pas de tout repos, et en plus, il peut voir à chaque instant les yeux de Lily sur le visage de James. Génial !
Le morveux est tellement imprudent qu'il finit par permettre à Voldemort de revenir à la vie. Snape se retrouve donc à devoir servir l'homme qui a tué l'amour de sa vie. Le seul avantage c'est que ça lui permet d'être un espion et de mieux pouvoir garantir la pseudo-sécurité de Harry.
Dans cette tâche, son meilleur allié est Dumbledore, une figure rassurante jusqu'à ce que Snape apprenne a) qu'il s'était un peu fait manipuler pendant tout ce temps, b) que, encore une fois, il a tout fait pour protéger quelqu'un qui va devoir mourir quand même : Harry. Et encore une fois, il va devoir assassiner la figure rassurante de Dumbledore.
Conclusion : Snape dépasse largement Œdipe quand il s'agit d'accumuler les fails dans sa vie(1).
Mais le pire dans toute cette histoire, c'est encore de devoir passer une vingtaine d'années à enseigner l'art des potions à une pelletée de sales cornichons sans cervelle.
FIN
(1) Mais pas encore au point de dépasser Guillaume le Gentil (voir la vidéo d'e-penser).
Vous pouvez trouver tous les texte originaux ici.
Ce texte est une réécriture des Drabbles Snapiens.
Ce texte est inspirée de la saga Harry Potter de J. K. Rowling, et ne m'appartient pas.
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graour · 4 years
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Kohtp et moi avions quelque temps longé la frontière entre amitié et amour, lui du côté de l'amour, moi sur les rives de l'amitié, à nous faire des signes par-delà, à nous lancer des petits galets galants que, pour le traverser, on faisait ricocher sur l'eau-lisse-du-fleuve-frontière et que l'autre récupérait en face comme il pouvait, si le caillou n'allait pas trop vite. Progressivement, le fleuve frontière s'était élargi, avait pris des anses, s'était trouvé des îles et là ou tout le monde ne voyait qu'une ligne d'eau sombre et dangereuse, qui ne pouvait qu'être crainte ou franchie, nous avions appris au contraire à nous y baigner en riant, sans souci des Amitiens nous hurlant de revenir ni des Amoureux encouplés nous montrant leurs maisons avec un sourire de ���vous aussi, vous pouvez être heureux…”. Nous ne nous étions pas placés tels des fil-de-féristes sur la frontière pour y éprouver le vertige bien connu ami/amant. C'était plutôt la frontière qui s'était évasée, en pays d'eau, pour nous accueillir. Au milieu des flots, nous ne manquions pas d'une berge sèche pour nous poser et faire notre petit cabane forcément un peu semblable aux autres cabanes d'amoureux ; nous filions simplement dans le courant du plaisir d'être ensemble et de saisir les poissons à même l'eau à pleine main. De part et d'autre sur les berges, le paysage qui défilait ne changeait pas beaucoup, mais le fleuve, lui prenait à chaque méandre de nouvelles couleurs sang bleu, sirop de citron ou menthe fraîche et s'enluminait davantage d'anses et d'îles flottantes où venaient se reposer les oiseaux de longue migration. Kohtp avait bien été tenté d'agripper la racine d'un arbre pour revenir au pays et quitter le lit du fleuve pour un autre plus carré et plus sec, mais progressivement il s'était pris à aimer le jeu intense et compliqué des courants et à la fin il se demandait juste vers quelle mer nous allions - sans se douter qu'aussi bien nous remontres vers la montagne, peut-être même vers la pluie dont nos gestes étaient faits. Si j'aimais Kohpt ? Je l'aimais et je ne l'aimais pas, souvent en même temps, comme Capt. J'aimais sa virilité, sa simplicité. Je ne me posais pas vraiment la question, pas pour fuir la réponse, mais parce que tous les poissons sensuels que nous attrapions ensemble étaient réponses, les taches de soleil sur l'eau, le calme d'une crique, la furie d'un rapide, tout : réponse. Et réponse d'aucun “mais où je dois tracer la frontière ?” puisque nous étions dedans et que nous déboulions si vite que les barrages des castors eux-mêmes ne parvenaient pas à couper deux volumes d'eau l'un de l'autre. Tout ça, de toute façon, c'étaient des problématiques de berges et de bergers et l'Amour, le beau pays sage, je ne l'aimais que dissous, lorsque notre eau en ravinait les rivages et que des pans de sa terre, s'y affaissant, teintaient la rivière de sable et de filets roux.
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warofroses-perso · 4 years
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SULIVAN FLUME
Faceclaim conseillé : Reece King, Marcus Sivyer. Faceclaim autorisé : caribéen, brun.
CHILDHOOD & FAMILY : Au contraire de nombreux camarades, Sulivan peut se targuer d’avoir vécu une enfance agréable. Fils du célèbre propriétaire de la boutique de sucreries Honeyduck, c’est dans la bourgade écossaise de Pré-Au-Lard qu’il a grandit. Si durant les années de la guerre, le village de sorciers avait perdu de sa superbe, le rendant presque désert, ce ne fut qu’une aubaine de plus pour le petit garçon pouvant se balader comme il le souhaitait dans les ruelles abandonnées. Privé de gamins de son âge, c’est avec Mme Rosmerta, Aberfoth, Mme Piedodu et tous les autres propriétaires de boutiques que Sulivan a fini par se sociabiliser. Aujourd’hui encore, il ne paie que rarement ses consommations ou ses achats dans le village à cause de la solidarité entres les commerçants. En tout cas, rare sont les sorciers à pouvoir se venter de connaître aussi bien Pré-Au-Lard que Sulivan. En effet, il n’a jamais cessé de l’explorer ce village pittoresque et ses alentours les plus sécuritaires. Il lui arrivait aussi très souvent d’aider ses parents à la boutique, particulièrement les jours de sortie des élèves de Poudlard. Il adorait toujours ces journées car il savait qu’il pourrait apprendre des tas de nouvelles choses en écoutant discrètement les potins véhiculés par les hordes d’adolescents surexcités. HOGWARTS : A onze ans, Sulivan était sûrement l’un des élèves de première année le mieux informé à propos des coutumes, du règlement et du mystère que l’école de sorcellerie représentait. Il se fit ainsi sacrément remarquer dans le Poudlard express car il pouvait répondre à toutes les questions même les plus chevronnées. Particulièrement excité à l’idée d’être réparti dans la maison qui l’accueillerait pour les sept prochaines années, Sulivan n’avait pourtant aucun doute sur celle qu’il s’apprêtait à rallier. Pour lui il avait toujours été clair qu’il était un poufsouffle, un vrai. C’est donc avec une très grande fierté qu’il vint faire gonfler leur rang. Plutôt sérieux en ce qui concerne le travail scolaire, Sulivan se donne du mal pour garder des notes moyennes dans toutes les matières. C’est surtout une question de rendre fier son père qui lui était particulièrement mauvais. Très investi dans la vie de l’école, il participe souvent aux ateliers animés pour les élèves ayant perdu un proche dans la guerre des sorciers. Même si lui a eu la chance de ne pas être touché, cela ne l’empêche pas de se sentir concerné et d’avoir envie de les aider. PERSONALITY : Observateur, Sulivan est quelqu’un de très ouvert, peu enclin à juger avant de connaître et d’avoir découvert réellement le sujet étudié. Que cela soit une personne ou un sujet de société, il adore le décortiquer sous tous les angles avant d’émettre son jugement dernier. ABOUT THE WAR OF ROSES  : Même s’il a du mal à l’admettre, l’exclusion de la guerre des roses l’a profondément agacé. Il aurait voulu participer. Il aurait voulu avoir sa chance lui aussi. Il est certain qu’il aurait été doué qui plus est. CONNECTIONS : > Meilleur ami avec Cleve McKinnon et Diemos Bell : Souvent, être ami avec ces énergumènes, ça lui demande une énergie folle. Rien que supporter les bêtises qu’ils peuvent déblatérer est une épreuve en soi. Mais Sulivan a les épaules solides et les rires partagés n’a aucun prix. > Soupçonne la lycanthropie de Chiara Lobosca : Les légendes sur le cabane hurlante ont bercées toute l’enfance de Sulivan. Il avait l’interdiction formelle de s’en approcher mais il ne pouvait s’empêcher de l’observer de loin. Il a très vite réalisé que les cris effrayants qui en provenaient avaient une récurrence bien particulière; les pleines lunes. Quand il a confronté son père à ce fait, Ambrosius lui a juste répondu de se taire. C’était presque une confession pour lui. Il réalisa également avec les années que les cris ne retentissaient plus les soirs d’été lui faisant ainsi soupçonné la mise en cause de l’école. Aussi, il fut particulièrement attentif aux disparitions d’élèves à ces dates cruciales. Et il remarqua facilement l’état de fatigue de Chiara avant et après chaque pleine lune. Il n’a encore jamais osé abordé le sujet mais laisse planer quelques piques bien placées. > Ami de Lance Dolohov : Sulivan n’est pas le genre à ne pas regarder plus loin que le bout de son nez. Alors ce camarde un peu renfermé, il s’est décidé de ne pas le juger sans l’avoir décelé. Et il a été très surpris de ce qu’il a découvert; un mec super. Loin de tous les clichés qui peuvent être véhiculé sur lui. Depuis, Sulivan s’en est fait un ami. Une camaraderie s’est installée. > Ami avec Feyre Archenon : Sulivan est un refuge pour les moments difficiles. Deux bras toujours ouverts pour offrir des étreintes réconfortantes. Sulivan serait prêt à tout pour la protéger. Aussi dans les liens de : Nymphadora Tonks.
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marjoange34 · 4 months
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Sims 2 Pré au lard La Cabane Hurlante@SimsetteGirl
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3cvinci · 4 years
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Romans : nos nouveautés de février.
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La Fille d’avril, Annelise Heurtier :
Comme pour la plupart des jeunes filles dans les années 1960, l'avenir de Catherine est tout tracé: se marier, avoir des enfants, puis... s'en occuper le plus clair de son temps. Un jour, elle est contrainte de rentrer du collège en courant. C'est une révélation: quel sentiment de force, de liberté! Mais courir, surtout pour une femme, est une chose alors impensable. Pourtant Catherine s'interroge, rêve d'une vie différente, s'entête... Jusqu'où sa détermination la mènera-t-elle ?
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Love, Simon (Moi, Simon, 16 ans, Homo Sapiens), Becky Albertalli :
Simon Spier vit dans une petite ville en banlieue d'Atlanta, avec deux soeurs, un chien, et les trois meilleurs amis du monde. Il est fan d'Harry Potter, a une passion profonde pour les Oréo,  fait du théâtre. Et il est raide dingue de Blue, un garçon rencontré sur le Tumblr du lycée. Simon le croise peut-être tous les jours, mais il ne sait pas qui il est. Ils se disent tout, sauf leur nom. À part Blue, personne ne sait que Simon est gay…
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Expérience Noa Torson, tome 1 : Ne t’arrête pas, Michelle Gagnon :
Entre Millenium et Jason Bourne ! Noa se réveille sur une table d'opération, une cicatrice en travers de la poitrine. Elle ne sait ni où elle est, ni ce qui lui est arrivé. Alors elle prend la fuite. La jeune et talentueuse hackeuse espère semer facilement ses poursuivants, mais elle se trompe. Pour la première fois de sa vie, Noa a besoin d'aide. Car elle est la clé d'un terrible secret, et ceux qui la traquent ne la laisseront pas s'échapper…
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Qui ment ?, Karen McManus :
Une intello, un sportif, un délinquant, une reine de beauté... un meurtrier. Qui allez-vous croire? Dans un lycée américain, cinq adolescents sont collés: Bronwyn (l'élève parfaite), Addy (la fille populaire), Nate (le délinquant), Cooper (la star du baseball) et Simon (la commère du lycée). Mais Simon ne ressortira jamais vivant de cette heure de colle... Et les enquêteurs en sont vite sûrs, sa mort n'est pas accidentelle. Dès lors qu'un article écrit par Simon contenant des révélations sur chacun d'eux est découvert, Bronwyn, Addy, Nate et Cooper deviennent les principaux suspects du meurtre. Ce qui est sûr, c'est qu'ils ont tous quelque chose à cacher...
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Tu seras partout chez toi, Insa Sané :
Seny vit en toute quiétude en Afrique, avec ses parents, entourés de ses jeunes copains et surtout au coude à coude avec Yulia qu'il chérit tendrement. Bercé par les contes et légendes de son pays, il ne se rend pas compte de l'arrivée de la guerre et de la violence qu'elle suscite un peu partout. Afin de le protéger, ses parents le sortent un jour de son sommeil pour l'envoyer vivre chez son oncle « de l'autre côté de la terre », en France…
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Brexit Romance, Clémentine Beauvais :
Juillet 2017: un an que « Brexit means Brexit » ! Ce qui n'empêche pas la rêveuse Marguerite Fiorel, 17 ans, jeune soprano française, de venir à Londres par l'Eurostar, pour chanter dans Les Noces de Figaro. À ses côtés, son cher professeur, Pierre Kamenev. Leur chemin croise celui d'un flamboyant lord anglais, Cosmo Carraway, et de l'électrique Justine Dodgson, créatrice d'une start-up secrète : BREXIT ROMANCE. Son but? Organiser des mariages blancs entre Français et Anglais pour leur faire obtenir le passeport européen. Mais pas facile d'arranger ce genre d'alliances sans se faire des nœuds au cerveau... et au cœur !
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Droneboy, Hervé Jubert :
Depuis deux mois, dans cette forêt du sud-ouest de la France, des zadistes luttent contre un projet de barrage qui doit ravager une zone protégée. Grâce à son drone, Paul ne perd rien de leur affrontement avec les forces de l'ordre. Mais ce contexte de guérilla est propice aux pires dérapages. La moindre image peut devenir une arme, et son auteur payer le prix fort.
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Un Si petit oiseau, Marie Pavlenko :
Abigail rentre chez elle. Elle ne voit plus personne. Son corps mutilé bouleverse son quotidien, sa vie d'avant lui est insupportable. Comment se définir quand on a perdu ses repères, qu'on ne sait plus qui on est, que la douleur est toujours embusquée, prête à exploser? Grâce à l'amour des siens. Grâce aux livres. Grâce à la nature, au rire, aux oiseaux. Avec beaucoup de patience, peu à peu, Abi va réapprendre à vivre. Après Je suis ton soleil, le nouveau roman poignant de Marie Pavlenko.
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La Grâce du dindon déplumé, Juliette Rontani :
Angélique Bouchon porte très mal son prénom. Grincheuse, sarcastique, piquante et solitaire, son bonheur réside au fond d'un paquet de chips barbecue englouti devant une bonne série. Avec sa voix rauque, ses grosses lunettes et sa dose explosive d'auto-dérision, elle ne passe jamais aussi inaperçue qu'elle le voudrait. Elle a une famille foutraque, des amies expansives, des copains pas malins, elle "fréquente" un garçon ténébreux qu'elle aimerait sortir des ténèbres, mais pas totalement non plus. Enfin, elle va raconter tout cela...
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Aristote et Dante découvrent les secrets de l’univers, Benjamin Alire Saez :
Une histoire d'amour d'une profondeur et d'une justesse bouleversantes. Ari, quinze ans, est un adolescent en colère, silencieux, dont le frère est en prison. Dante, lui, est un garçon expansif, drôle, sûr de lui. Ils n'ont a priori rien en commun. Pourtant ils nouent une profonde amitié, une de ces relations qui changent la vie à jamais... C'est donc l'un avec l'autre, et l'un pour l'autre, que les deux garçons vont partir en quête de leur identité et découvrir les secrets de l'univers…
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Les Aventures de Tom Sawyer, Mark Twain :
Tom n'aime rien tant que l'école buissonnière, les expéditions avec ce voyou de Huck, la vie de pirates sur une île du Mississippi, sans oublier la petite Becky. Mais sa tante Polly ne voit pas cela d'un très bon œil ! Et si elle savait que Tom et Huck, cachés dans un cimetière pendant une terrible nuit, ont vu tuer un homme...
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Sukkwan Island, David Vann :
Une île sauvage de l'Alaska, tout en forêts humides et montagnes escarpées. C'est dans ce décor que Jim emmène son fils de treize ans pour y vivre dans une cabane isolée, une année durant. Après une succession d'échecs, il voit là l'occasion d'un nouveau départ. Mais le séjour se transforme vite en cauchemar...
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Désolations, David Vann :
Sur les rives d'un lac glaciaire en Alaska, Irene et Gary ont construit leur vie et élevé deux enfants aujourd'hui adultes. Mais après trente années d'une vie sans éclat, Gary est déterminé à bâtir sur un îlot désolé la cabane dont il a toujours rêvé. Irene se résout à l'accompagner dans ce projet fou en dépit des inexplicables maux de tête qui l'assaillent. Leur fille Rhoda, tout à ses propres rêves de bonheur, devient peu à peu le témoin impuissant du face-à-face implacable de ses parents, tandis que s'annonce un hiver précoce et violent qui rendra l'îlot encore plus inaccessible. Après Sukkwan Island, prix Médicis étranger 2010, le second livre de David Vann est une oeuvre magistrale sur l'amour et la solitude.
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Le Coucou, Virginie Verhaeghe-Liotard :
Nés à la même époque mais dans deux quartiers bien distincts du Nord de la France, Aline et Stéphane n'étaient pas destinés à se rencontrer... Pourtant, leurs chemins se sont croisés. Stéphane, issu d'un milieu populaire et dont la laideur n'a d'égale que l'intelligence, tombe alors sous le charme envoûtant d'Aline la privilégiée, la jolie fille superficielle, désireuse de réussir à tout prix, et qui le méprise ouvertement. À la suite d'un traumatisme causé par la découverte d'un secret familial, Stéphane, animé par une haine viscérale vis-à-vis d'Aline, imagine un plan pour prendre sa revanche. En effet, lors de ses études scientifiques, il découvre le monde passionnant des parasites, desquels il se sent proche. Et, c'est en explorant leurs stratégies de vie étonnantes qu'il trouvera le moyen de mettre sa vengeance à exécution...
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Cent ans, Herbjørg Wassmo :
Cent ans séparent Herbjørg Wassmo de son arrière-grand-mère. Cent ans d'histoire, d'amours, de déchirements, durant lesquels quatre générations de femmes se passent en flambeau la honte familiale. À travers les passions et luttes silencieuses de ses ancêtres, dans le cœur aride des îles Lofoten, Wassmo reconquiert la douleur des origines. Pour naître à soi-même, enfin.
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Le Livre de Dina, tome 1: Les Limons vides, Herbjørg Wassmo :
Sur les glaces sauvages de l'extrême Norvège, dans le clair de lune, une jeune femme trône en déesse obscure. Enfant recluse, responsable de l'accident qui emporta sa mère sous ses yeux, elle grandit loin de tous, poursuivie par le cri des ombres. Elle est Dina, Ève brûlante, éternelle indomptée qui chevauche à travers vents et livre au monde sa litanie furieuse.
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L’Héritage de Karna, Herbjørg Wassmo :
L'extrême nord de la Norvège, à la fin du XIXe siècle. Benjamin rentre au pays après ses études de médecine à Copenhague. Les retrouvailles sont tumultueuses avec ce pays froid et désertique, isolé entre mer et montagnes. Le comptoir de Reinsnes n'attire plus guère de monde, et les étagères de la boutique d'Anders restent vides depuis que le vapeur ne vient plus faire escale. Benjamin ne rentre pas seul: il débarque sur le quai avec un paquet gigotant et hurlant sous le bras, Karna, sa fille, fruit d'amours illicites avec une infirmière danoise morte en couches. La petite-fille de Dina s'ouvre au monde qui l'entoure, s'éveille à la vie, et aux passions qui la déchirent.
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Un Jumeau singulier, Donald Westlake :
Art rencontre Liz. Liz a une sœur jumelle, Betty. Entre en scène Bart, frère jumeau d'Art. Mais Art et Bart ne sont qu'un, et Liz et Betty sont bien deux. Deux, ça va, trois, c'est trop. Quand un quatrième fait son apparition, la folie n'est pas loin...
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Monstre Sacré, Donald Westlake :
Prendre une cuite mémorable, quand on s'appelle Jack Pine, c'est placer la barre très haut. Autant dire qu'ensuite, il n'a pas envie de donner une interview. Mais toute star se doit de soigner son image, aussi affronte-t-il stoïquement l'épreuve. Au fur et à mesure que la mémoire lui revient, Jack s'enferre dans des confidences de plus en plus embarrassantes, qui laissent apparaître sa véritable personnalité et trahissent quelques cruelles vérités sur l'industrie du cinéma. Jusqu'au coup de théâtre final.
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Le Temps de l’innocence, Elizabeth Wharton :
Le jeune Newland Archer tombe sous le charme de la comtesse Olenska, qui désire divorcer, ce que le clan familial et social américain des années 1880 ne peut accepter. On sait que les thèmes favoris d'Edith Wharton sont la solitude, l'amour frustré, la difficulté de vaincre les barrières sociales pour parvenir à la pureté de l'individu. Le milieu américain de l'époque à la fois frivole et implacable, est admirablement décrit; c'est l'atmosphère de la vieille New York puritaine et de ses nouveaux riches. Tout le récit mène vers un suspens où la véritable nature de May Welland, la femme légitime d'Archer, est révélée. Un grand livre sur un homme déchiré entre deux femmes, prisonnier d'un milieu, face à une passion qu'il n'a pas le courage de vivre.
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La Griffe du chien, Don Winslow :
Seigneur de la frontière américano-mexicaine, Art Keller, agent de la DEA, l'a juré sur la tombe de son adjoint : il emploiera tous les moyens, légaux ou illégaux, pour mettre un terme au trafic qui inonde son pays. Face à lui, Adán Barrera règne sans partage sur les sicarios. Ni la justice ni la foi ne veulent plus rien dire. Seul l'instinct s'impose: celui qui tue, celui qui sauve…
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Savages, Don Winslow :
Ils sont trois, Ben, Chon et Ophelia (dite O.). Un trio à la Jules et Jim qui produit et commercialise de l'hydro, un cannabis cultivé hors sol, sans matières organiques, et qui s'éclate gentiment – sexe, volley-ball, bière et dope – à Laguna Beach, Californie du Sud. Un beau matin, la reine du Cartel de Baja décide d'éliminer cette concurrence qui fait tache dans son empire. Le trio refuse avec panache l'offre de rachat et la belle vie californienne tourne au cauchemar quand O. est kidnappée…
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Le Bûcher des vanités, Tom Wolfe :
Le roman choc de Tom Wolfe, où il est question de la chute d'un gagneur de Wall Street, sur fond de convulsive fresque new-yorkaise. Vraiment saisissant!
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La Traversée de apparences, Virginia Woolf :
Véhément, ironique, prémonitoire, le premier roman de Virginia Woolf. Le début de sa traversée. L'éclosion de sa voix. L'obsession, déjà, de l'eau, de la mort, du désir inapaisé. Etre précipitée dans la mer, baignée, ballottée par les eaux, promenée parmi les racines du monde.... Est-ce de Rachel, l'héroïne de ce voyage, qu'il s'agit, ou bien de Virginia?
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Vers le phare, Virginia Woolf :
Une soirée d'été sur une île au large de l'Écosse. Pôle de convergence des regards et des pensées, Mrs Ramsay exerce sur famille et amis un pouvoir de séduction quasi irrésistible. Un enfant rêve d'aller au Phare. L'expédition aura lieu un beau matin d'été, dix ans plus tard. Entretemps, mort et violence envahissent l'espace du récit. Au bouleversement de la famille Ramsay répond le chaos de la Première Guerre mondiale. La paix revenue, il ne reste plus aux survivants désemparés, désunis, qu'à reconstruire sur les ruines. Des bonheurs et des déchirements de son enfance, Virginia Woolf a fait la trame d'une œuvre poétique, lumineuse et poignante qui dit encore le long tourment de l'écriture et la brièveté de ses joies: visions fragiles, illuminations fugaces, “allumettes craquées à l'improviste dans le noir”.
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mysadecstasy · 1 year
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Le Dévoilement
Au pied d’un horizon intouchable Sous les plaines lascives Offertes Sous les plaines colossales dévorées par les confins du monde Le sang bout À l’infini sous les plaines Il bout comme tes yeux effarés Chaud et tumultueux Pauvre purulente Terre Tous ses abcès ouverts À dos d’un cygne d’or l’innocence cherche son Salut Par-delà les ruines Au-dessus des brasiers Après le grand massacre Sous un déluge de désirs virevoltés Enlevés à chacun Arrachés à son cœur Par la main droite décharnée de la Bête Sa main gauche brandissant fièrement le Sceptre Blême Annonciateur Les quatre Cavaliers de l’Apocalypse surgissent depuis les cieux ténébreux Fougueux et invincibles Sont à leurs trousses la mort et la désolation Dans la houle de l’océan se dessine la dernière issue Embrasser la dernière marée qui s’abat fièrement sur le phare À la proue du monde éclaté sous des couches et des couches de non-dits Des oui Des non Des peut-être Tus Des je t’aime restés coincés dans des poitrines Dans des ventres Et qui y sont morts Dans le silence hurlant des tripes retournées et des cœurs écharpés Qui pour crier l’amour quand il file dans la steppe inconnue comme un cheval au galop Qui pour crier l’amour quand dans des yeux mouillés on ne sait distinguer quelque reflet Hésitation lancinante Doigts désespérés Qu’importe alors… Maintenant il faut fuir Partir avec la dernière vague Ses amours sous le bras et ses souvenirs dans la tête Mais pour aller où… Soudain Vision stroboscopique du monde exalté dans sa dernière effusion Gouffres de feux et de Passions Tout est dévoré désormais Tout est dévasté L’odeur de brûlé se répand jusqu’au ciel sacré Consummatum est L’Apocalypse a eu lieu Enfin c’est le Dévoilement Nageons maintenant vers l’éternité trempée d’or Vers l’indestructible pureté de tes yeux gris-verts Vers l’amour éternel fusse-t-il une icône Vers l’amour éternel pourvu qu’il ait ton visage Ou ton odeur du matin Odeur du midi Odeur du soir Ainsi tu diffuses ta présence au fil du temps insaisissable Comme un oiseau chante ici et là en virevoltant sans penser Dans mes mains ton odeur que je chéris comme un calice d’or En mon cœur ta chair chaude comme ton sang bleu Serre moi Défais moi Hurle moi Détraque moi Défoule moi Arrache moi Maquille moi Drape moi Et apprête moi pour ce périple à deux Apprête moi pour la longue traversée De vagues en vagues Arracher l’écume Arracher l’écume avec les dents Sous un soleil pillé et nu Un soleil presque triste mais bien là encore Plaintif comme un violoncelle Beau et déchiré Debout et chancelant comme ayant bu trop de Meursault Apprête moi alors Pour aller de vagues en vagues Dévorer la mer et l’horizon toujours tel un paradis L’horizon Se mélangeant avec l’eau fuyante et vaporeuse Écume et glace De la houle à la houle De phares en phares Aborder quelque part Oublier la mer S’établir Oublier la mort Oublier la mer Aborder quelque part Te serrer dans mes bras dans notre cabane de bois et d’amour S’allonger sur la couche Les braises crépitantes Bruissements fugaces des bêtes alentour Dans la nuit noire où même la lune dort d’un sommeil sans voix J’ôte lentement ma main de ton sein et vais arpenter la grève Ton sein rose et tendre Arpenter la grève Sans destin et sans désir Libre de toute servitude Libre car comblé par l’instant À cet instant où je sens ta peau chaude contre mon dos Ton corps m’enserrer de caresses Papillons ivres Et revient la mer Toujours elle De vagues en vagues Jusqu’au bout du recommencement La flamme vacille La bougie fond lentement Jusqu’au bout de notre réalité Jusqu’au bout de nous Immense Terre Mer infinie Impénétrables de détachement La flamme vacille Jusqu’au bout de nous Au bout de tout L’amour sera notre éternité Notre place au paradis
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ellanainthetardis · 1 year
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Yo j'ai vu le challenge des questions pour auteurs de fics ressurgir sur mon dash, alors j'en profite pour t'en poser aussi, sur les Cicatrices du coup!
quelle est la scène que tu as préféré écrire jusqu'à maintenant?
y-a-t-il une scène que tu es vraiment impatiente de pouvoir écrire?
y-a-t-il une scène que tu voudrais réécrire différemment?
Hello! Du coup on parle de la trilogie je suppose pas juste de la fic?
(c'est dur parce que ça fait mille ans que je l'écris cette fic )
quelle est la scène que tu as préféré écrire jusqu'à maintenant?
Les deux scènes que j'avais préféré écrire dans Les Cicatrices, c'était le match de Quidditch contre Gryffondor et la scène où Severus sort Harry de la Cabane Hurlante. Dernièrement les scènes que je préfère écrire, j'avoue, c'est les scènes Severus/Tonks ou Severus et Sirius, même si j'adore aussi les scènes familiales entre Harry et Sev.
Sur LDS, cela dit, une des scènes que j'avais très envie d'écrire c'était la scène où l'Ordre se retourne contre Severus et lorsqu'il est démasqué.
y-a-t-il une scène que tu es vraiment impatiente de pouvoir écrire?
Je suis impatiente d'ENFIN pouvoir révéler l'espion. XD
y-a-t-il une scène que tu voudrais réécrire différemment?
En vrai, on va pas se mentir, si je retouchais les Cicatrices ou l'Armée y a pleins de choses que je ferais différemment (mieux calculer les âges des uns et des autres par exemple, mais on ne parle pas de ces petits problèmes mathématiques) parce que forcément j'étais plus jeune et j'avais moins d'expérience. Le style me parait hyper enfantin maintenant.
Merci pour ces question <3
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stupeshit · 6 years
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Rave party ou trisomique party ?? Vu ceux qui l’organisent (fuckboys crew c leur nom de groupe askip) vous comprendrez mes doutes
Fuckboys crew, dis-tu ? Tu veux parler de l'usine à MST, du psycho-rigide technophile et de celui qui chouine devant La La Land en se branlant sur l'autre cracmolle sans âme ? Donc la jeunesse en est réduite à se fier à ces trois gars ? A croire que l'inspiration commence sérieusement à manquer chez Poudlard. Pas étonnant que vous vous baisiez tous comme des chiens si la médiocrité vous sied et vous plait tant. En attendant, si vous souhaitez assister à un spectacle affligeant, allez mater des gamins ne sachant même pas décapsuler une bière à la Cabane Hurlante, vers minuit. Dicks only.
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