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#capitain boomerang
spiritgamer26 · 2 months
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Suicide Squad: Kill the Justice League
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https://youtu.be/YmWFiQj70gM
Suicide Squad: Kill the Justice League - Un Chef-d'œuvre Narratif et Audiovisuel
Le secteur narratif se démarque incontestablement comme le point fort de Suicide Squad: Kill the Justice League, le nouveau jeu de Rocksteady Studios. L'histoire se déroule plusieurs années après les événements de Batman: Arkham Knight, lorsque le redoutable Brainiac débarque à Metropolis avec l'intention de conquérir la Terre. Sa cible principale devient la Justice League, qu'il capture et corrompt, les transformant en serviteurs obéissants et meurtriers.Amanda Waller, directrice de l'organisation ARGUS, réagit en rassemblant une équipe improbable de criminels, la Suicide Squad. Composée de Harley Quinn, Deadshot, le Capitaine Boomerang et King Shark, cette équipe doit éliminer la Justice League pour sauver le monde. Chaque membre de la Suicide Squad a une micro-bombe implantée dans le cou, les forçant à obéir sous peine d'explosion.Le périple pour éliminer la Justice League devient le cœur palpitant du récit, offrant une aventure passionnante et divertissante. Les héros, ou plutôt anti-héros, de la Suicide Squad sont présentés de manière exceptionnelle, caractérisés de manière unique et prêts à surprendre les joueurs avec des idées folles et des situations inattendues. L'histoire mélange habilement des moments épiques avec des gags brillants, une écriture solide et des visuels remarquables.Le doublage en français ajoute une couche supplémentaire à l'expérience narrative.Sur le plan audiovisuel, le jeu brille avec un secteur audio de qualité, des effets convaincants et une bande originale rock percutante composée par Rupert Cross et Nick Arundel. Les chansons, notamment le thème principal "Squad Up!", contribuent à l'atmosphère intense du jeu.Suicide Squad: Kill the Justice League se révèle ainsi comme un chef-d'œuvre narratif et audiovisuel, offrant une expérience immersive et captivante.
Entre Action-Aventure et Jeu de Tir de Looter
Suicide Squad: Kill the Justice League cherche à jongler entre deux tendances distinctes - celle d'une action-aventure axée sur la narration, accessible en solo, et celle d'un jeu de tir de looter avec une structure de service en direct favorisant le gameplay coopératif. Bien que l'origine de cette formule reste incertaine, le résultat final est plaisant, surtout lorsqu'on se penche sur la mécanique du jeu.Les quatre protagonistes se distinguent de manière significative, avec des contraintes d'équipement et des capacités spécifiques, justifiant le passage d'un personnage à l'autre. Harley Quinn, avec ses mouvements hérités de la saga Batman: Arkham, se déplace dans la ville grâce à un grappin et un drone. Deadshot utilise un jetpack pour voler. Le Capitaine Boomerang a une approche unique en lançant son boomerang et le frappant en un instant grâce à un gant de vitesse. King Shark réalise des sauts puissants à la manière de Hulk. La maîtrise de ces systèmes demande du temps, mais s'avère gratifiante dans l'action.Le système de combat de Suicide Squad: Kill the Justice League abandonne le freeflow éprouvé au profit d'un cadre de tir à la troisième personne, rapide et frénétique. Bien que cela puisse devenir chaotique, il fonctionne efficacement, soutenu par une variété d'équipements, un système de combo, des modifications d'armes, des grenades utiles et des coups spéciaux spectaculaires. Malgré l'importance du pillage, le jeu ne le met pas nécessairement au premier plan, offrant une expérience agréable sans trop d'attention à accorder à l'équipement.Cependant, certains éléments, tels que les talents et les améliorations introduits par des personnages tels que le Pingouin, le Fabricant de Jouets et Poison Ivy, semblent manquer d'impact perceptible sur l'efficacité des actions à l'écran. Ces éléments peuvent être négligés, donnant l'impression que certaines opportunités ont été sous-exploitées dans la conception du jeu.
Un Monde Ouvert Décevant pour Suicide Squad: Kill the Justice League
Bien que le secteur narratif et les mécaniques de gameplay de Suicide Squad: Kill the Justice League soient convaincants, la structure en monde ouvert créée pour l'occasion laisse à désirer. Metropolis, contrairement à Gotham, est présentée comme une zone de guerre plutôt qu'une ville dynamique, servant de toile de fond à des batailles répétitives. Le charme du cadre est absent, et bien que la ville soit entièrement accessible dès le début, elle ne met pas en valeur ses différents quartiers.Le monde ouvert semble être un bac à sable classique, dépourvu de la diversité et du dynamisme que l'on attendrait d'une telle conception. Les bâtiments accessibles sont rares, l'action se déroule principalement en extérieur, et les variations sur le thème, telles que les sections avec Batman, servent principalement un objectif narratif. Le principal problème réside dans le manque de variété des missions disponibles pendant la campagne, ce qui peut devenir répétitif pour ceux qui sont lassés des mondes ouverts conventionnels.L'absence de diversité dans les types de missions et la perspective d'éventuelles mises à jour ne faisant que répéter les mêmes solutions peuvent être décevantes. Il est à craindre que même la phase finale et de nouvelles tâches n'offrent que des réinterprétations simples des combats de boss principaux, avec l'espoir que des scénarios enrichis et réinventés viennent compenser cette lacune. En ce qui concerne la durée du jeu, la campagne principale peut être terminée en environ onze heures, avec une fin de partie qui promet de doubler cette durée.
Performance Technique et Choix Artistiques Contrastés
Suicide Squad: Kill the Justice League offre une performance technique solide. Quelques rares ratés ont été notés, probablement destinés à être résolus rapidement. Ces résultats sont considérés comme respectables compte tenu du type de jeu et des situations chaotiques qu'il présente.En ce qui concerne les choix artistiques, des débats peuvent émerger. La représentation de Metropolis dans Kill the Justice League diffère considérablement de celle d'Arkham Knight à Gotham. Les différences, justifiées sur le plan narratif, impactent le rendu visuel global, rendant la Métropole aride et désolée, tant esthétiquement qu'en termes de contenu. Le système d'éclairage, peut-être contraint par la nécessité de représenter l'alternance jour/nuit, a tendance à aplatir les surfaces plutôt que de les améliorer, même par temps de pluie. Cependant, les personnages, ennemis et animations sont appréciés.Les intermèdes se démarquent avec des séquences spectaculaires, une mise en scène remarquable et une réalisation impressionnante. Ces moments, riches en style et en spectacle, pourraient être considérés comme le point fort du jeu, surtout pour les fans de l'univers DC.
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jeuxgratuits · 3 months
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Suicide Squad: Kill The Justice League gratuit
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Suicide Squad : Kill The Justice League combine les caractéristiques d'un jeu d'action et d'aventure et d'un jeu de tir en monde ouvert et met l'accent sur la coopération en ligne. Le studio expérimenté Rocksteady, auteur de la série Batman : Arkham, est responsable de la création de la production. Le jeu est basé sur les bandes dessinées éponymes de l'univers DC Comics.
L'histoire du jeu
Suicide Squad : Kill The Justice League se déroule dans le même univers que la série Batman : Arkham, faisant partie de ce que l'on appelle l'Arkhamverse. Le jeu reprend les intrigues des précédentes productions de Rocksteady Studios. Cependant, le jeu ne se déroule pas dans la sombre Gotham, mais à Metropolis, sur le modèle de New York, une ville riche habitée par Superman. Les protagonistes du jeu sont Harley Quinn, Deadshot, Captain Boomerang et King Shark, à qui l'on a implanté des explosifs mortels dans la tête et que l'on a intégrés de force à l'infâme escouade Task Force X, également connue sous le nom de Suicide Legion, dirigée par Amanda Waller. Ils doivent se lancer dans une mission extrêmement difficile pour sauver la Terre et tuer les plus grands super-héros de la Ligue des Justiciers. Dans ce scénario axé sur les personnages, le maléfique Superman, qui se retrouve la cible de la Suicide Legion, joue un rôle important.
Gameplay
Le gameplay de Suicide Squad : Kill The Justice League est une combinaison du jeu de rôle et d'action classique du studio Rocksteady et d'un jeu de tir coopératif. On passe donc beaucoup de temps à explorer le monde ouvert, à faire des ravages dans Metropolis et à abattre des ennemis. Dans le jeu, nous incarnons l'un des quatre personnages jouables : Harley Quinn, Deadshot, Captain Boomerang et King Shark. Chacun d'entre eux dispose de compétences spéciales, de gadgets et d'armes, d'un style de combat et d'une façon de se déplacer dans la ville qui lui sont propres. Par exemple, le capitaine Boomerang peut se téléporter sur de courtes distances, tandis que Deadshot utilise un jet pack non seulement pour voler, mais aussi pour mettre le feu à ses adversaires. Suicide Squad : Kill The Justice League dispose d'un système de développement des personnages qui permet, au fur et à mesure de la progression dans le jeu, d'améliorer ses capacités et son équipement afin d'abattre les ennemis, y compris les puissants membres de la Ligue des Justiciers, avec encore plus de facilité.
Coop
Suicide Squad : Kill The Justice League permet de jouer en solo ou en coopération jusqu'à quatre joueurs. En mode solo, l'IA prend le contrôle des autres personnages, mais il est possible de passer librement de l'un à l'autre.
Problèmes techniques
Suicide Squad : Kill The Justice League a été développé exclusivement pour le PC et les consoles PlayStation 5 et Xbox Series X, ce qui garantit une grande qualité visuelle. L'atmosphère du jeu est plus légère que dans les précédentes productions de Rocksteady Studios et une bonne dose d'humour (souvent noir) ne manque pas. Le ton a été conservé dans le style des bandes dessinées et des films de Suicide Squad, et la vaste ville incroyablement détaillée de Metropolis, en contraste avec la sombre Gotham, est gorgée de couleurs. Suicide Squad: Kill The Justice League gratuit. Read the full article
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actors-stuff · 3 years
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Jai Courtney
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stefanoavvisati69 · 3 years
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The Suicide Squad - Missione Suicida in anteprima al Giffoni Festival
The Suicide Squad – Missione Suicida in anteprima al Giffoni Festival
Il 29 luglio al festival di Giffoni anteprima su prenotazione di “The suicide Squad – Missione suicida”, la nuova pellicola Warner (nelle sale dal 5 agosto) che torna, dopo il successo del primo episodio, a proporre una avventura in team dei più famosi supercriminali della Dc Comics, firmata dallo sceneggiatore e regista James Gunn. Margot Robbie è Harley Quinn (more…)
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alice-skull09 · 3 years
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Twenty One Pilots-Heathens(CG5 REMIX)
él si había publicado sólo que no estaba disponible aquí lo tienen
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justasimplesinner · 3 years
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SO got kidnapped, but when capitain boomerang, scarecrow, killer croc, the penguin and riddler (separately) comes to save so, he finds them released and beating the shit out of the kidnappers
these are going to be a little short, hun!
... s/o beating the shit out of their kidnappers hcs
Captain Boomerang's:
listen, Digger was panicking on the inside for the whole time it took for him to track you down and try to rescue you. out of all things people could've stolen from him, it just had to be you?? he's fucking terrified he won't get there in time and will never see you again
so when he sees you, out of your restraints, beating your kidnappers up with a fucking chair, everything just stops. he looks at you like he's seeing you for the first time and is falling in love all over again. it’s hard for him to wrap his mind around the fact that someone so small could be so powerful (almost as hard as he was getting)
you can bet your ass he will whoop and scream for you ("yeAH GO GET HIS ASS") before he realizes he should probably help you. it's more of a distraction though, considering that he desperately tries to flirt and make out with you while you both do it. but good lord, he's ready to spend his whole life with you now
Scarecrow's:
oh the second he didn't find you home, without any note from you nor a call beforehand, he knew something was wrong and started searching immediately. he pulled all the favors he had to find you as quick as possible, before your kidnappers could do something to you
it was terrifying for him - the prospect of you suffering because of your relationship with him. that his work might be the thing that took you away from him. he may not seem like it on the outside, but inside he already had two heart attacks in a row and he's crying in a corner
so when he creeps in to spread some gas and save you, and instead of you being tortured he sees you torturing the kidnappers, all of them tied to their chairs like you probably once were and using every single scare tactic known to man, he's hooked. a sense of pride overcomes him for a moment because you learned that from him and you acted like his little Mistress of Fear, and it took him a few good minutes before he woke up from his daze and decided to take part in this... experiment
Killer Croc's:
honestly, it'd take a while for Waylon to find out you've been kidnapped. at first he'd just think you finally decided to leave him and live your life peacefully without a fucking monster following you around, but after that little depressive episode he decided he needs to at least talk to you, to know why. he prefers to face your rejection head on instead of living without really knowing what happened between you two, what did he do
when he slithers into your house, he can immediately feel something's off. that boy has it a little easier than the others because of his great hunting skills. he can track you down pretty quick which makes up for the time he wallowed in self-pity (which makes him hate himself even more). he's not one for subtlety, he straight out rips off heads and limbs to get to the place your kidnappers have been keeping you in
only to find you fighting tooth and nail for your freedom, kicking, biting, scratching, doing everything and using anything you have at hand as a weapon, reducing your kidnappers to a bloody pulp. it makes him smile. he always knew you were brave, you had to be if you entered a relationship with him, and it was admirable. but he wastes no time in jumping in to your aid
Penguin's:
oh you know you have a whole team mobilized to look for you the second you don't pick up your phone when he calls you. he throughoughly searches your house, throwing money around and pulling all strings to find you, and it's pretty soon that he has a lead as to where you were kept.
he's going to raise hell - nobody touches what's his. all of his best thugs are armed up to the teeth and barge into the warehouse you've apparently been kept in with full force, bullets and grenades flying around while he waits for the heat to die off a little before he comes in as well. everything changes when his crew calls out for him and the second he gets to the main area (insulting the fact that his men didn't barge in to save you like they were paid to do), he suddenly stops
you're right there, gun stolen off of one of your kidnappers in your hand as you practically walk all over them in your heels, insulting and threatening all the time, coming up with many ways of making them pay (one even including his lovely pet shark!) and suddenly Oz sees you as more than just his usual eye candy. he sees you as his deadly, lovely fiance. because he's definitely fucking proposing after this
Riddler's:
Eddie is pretty paranoid, so when you don't pick up his call, he immediately checks on your apartment, your neighbours apartments, the whole street you reside on live feed. and when he sees your house thrashed with no sign of a living being inside, his blood runs cold. this man will do everything and force anyone to help him. he needs you back. nobody has a right to take you away from him. you can't suffer just because he's made some enemies in his time. you can't... die.
he's on the verge of a mental breakdown for the whole time he looks for you. with the help from other rogues, he gathered a large crew and after hacking into every fucking camera system in Gotham to track you down, he finally narrows down your position and let me tell you his heart is beating out of his chest the whole way there. he quickly and smoothly takes control over the building, eliminating any enemies in his way to get to you and gets to the security room to check the cameras as to where you are and announce his presence to the kidnappers on speakers
so when he sees you on screen, insulting and beating up a grown ass man- no, several men with nothing more than just a metal pipe, his brain stops functioning for a moment. he just sits there and admires you handling yourself. it excites him, knowing damn well that you could easily overpower him too... maybe he wanted you too... it takes a while for him to get his focus back as he gathers some men and practically runs to you like his life depended on it. there really are no words exchanged - which is surprising, considering that it's Edward. he just straight out make outs with you before everyone's eyes. god, he's so glad you're his
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fallenangelofsalt · 4 years
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Powers/Abilities: Huntsmen Crew edition
[Snowflake:
Mirror Dance: he can create 6 clones using the human SOULs he absorbed back in his AU. Since the humans are awake, each human is granted control over a clone. The only difference from the original(appearence wise) is that the red changes to the color of the SOUL controlling it. Each clone will have magic corresponding their SOUL.
Rainbow Magic: he can borrow magic from the human SOULs and use it. Cannot be used during Mirror Dance.
Shortcuts: can use shortcuts in the same AU and to another.
Bone Attacks: classic Sans attacks but stronger.]
[Ira:
Shortcuts: can use them a lot, often using them during battle to get behind the enemy or to dodge.
TP: SOUL condition i talked about in another post.
Vigilance: can “fell” a persons stats, pretty much a constant state of CHECKing.
Wrath’s Rage(her axe): she can throw and swing them at the enemy, normally summonig 2 of them. The handle is infused with gravity magic, so she can simply call it back like a boomerang.
Bone Attacks: classic underfell!sans attacks.]
[Ava:
Greed: their inventory is bigger than normal.
Gravity: their gravity magic is so powerful they can control it fully in a 100 meter radius. They also tend to use it for flying.
Dragon’s Hoard(their shield): just think of Capitain America’s shield + boomerang gravity magic.
Bone Attacks: classic Sans attacks.]
[Luxu:
Flames Of Lust: they can use the LUST trait in their SOUL as fire magic. It also makes their body heat higher than normal, making it easier to endure low temperatures but higher ones can be dangerous.
Hell’s Call(their spear): Luxu is basically undyne but with a flametrower.
Bloodlust: basically their LUST trait acts up in the middle of a fight and instead of getting horny they go berserk. They get stronger, faster, more agressive, and full of energy, but may lose control of themselves and attack someone they shouldn’t.]
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[Regarder] The Suicide Squad - Streaming Gratuit en Français
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The Suicide Squad : dates, casting, intrigue, teasers, bandes-annonces… Toutes les infos !
Les super-vilains du DCEU sont sur le point de se déchaîner à nouveau dans la pièce sombre. Prévu pour cet été, The Suicide Squad mettra en vedette Harley Quinn, le capitaine Boomerang et plus encore. Qui sera responsable de l'achèvement de la mission suicide. Un long métrage explosif qui ne sera cependant pas la suite du très décevant Suicide Squad. Date de sortie, scénario, casting, voici tout ce qu'il faut savoir.
En plus de ses super-héros emblématiques, DC Comics regorge de méchants effrayants. Certains ont des personnalités très complexes comme le Joker ou Harley Quinn. D'autres sont tout aussi omniprésents que le Peacemaker, sorte d'anti-héros prêt à commettre des massacres pour la paix. Par conséquent, ils ont tous un fort potentiel narratif que DC Films cherche à exploiter dans ses productions audiovisuelles.
Sorti en 2019, le Joker de Todd Phillips a été un énorme succès, notamment grâce au jeu d'acteur époustouflant de Joaquin Phoenix. En revanche, on ne peut pas en dire autant de la Suicide Squad de David Ayer lancée en 2016. Développant les aventures de la Task Force X, une armée de super-vilains mobilisés par les autorités pour mener à bien une mission impossible, il est très déçu. La faute en particulier à un scénario complètement décousue et incompréhensible, comme nous l'avions souligné à l'époque dans notre critique de Suicide Squad.
Cinq ans plus tard, James Gunn (Les Gardiens de la Galaxie) a repris le flambeau pour créer le deuxième volet de la bande folle de méchants de DC. Dans le but de faire oublier le premier film désastreux dont on ne se souviendra donc pas. Le réalisateur semble en tout point confiant dans son plan : "C'est le plus grand film que j'aie jamais fait", avoue-t-il être en devenir. En prévision de sa sortie, voici toutes les informations que vous devez savoir sur The Suicide Squad.
The Suicide Squad : est-ce une suite ou un reboot ? Suicide Squad sera indépendant du premier opus tant décrié. D'où le fait que le film ne s'intitule pas Suicide Squad 2. Comme le souligne le producteur Peter Safran, aucune référence aux événements relatés dans Suicide Squad ne sera faite dans le film. Ce n'est donc pas une suite. Mais on ne peut pas non plus dire qu'il s'agit d'un redémarrage total étant donné la présence de plusieurs protagonistes apparus dans le film de 2016. "C'est pour cette raison que le film s'appelle Suicide. James Gunn's Squad", a déclaré le producteur, cité dans Comicbook. .
Suicide Squad : quelle intrigue ? Ce long métrage tirera une fois de plus les ficelles du récit de la Task Force X. Pour rappel, il s'agit d'une équipe impitoyable et impertinente de méchants et de super-vilains. Sous la protection de l'entêtée Amanda Waller, des troupes sont officieusement mobilisées pour mener à bien des missions jugées trop dangereuses pour l'armée. Si l'objectif est atteint, la peine de prison pour les criminels est réduite. Mais ils n'ont aucun intérêt pour le jeu révolutionnaire, comme le souligne avec justesse leur patron :
« Vous connaissez les règles. Si vous terminez la mission avec succès, vous obtenez dix ans de rémission. Mais si vous me désobéissez de quelque manière que ce soit, je ferai exploser un engin explosif derrière votre cou », peut-on entendre dans la bande-annonce. L'intrigue commencera dans l'enfer de Bella Reve. La prison avec le taux de mortalité le plus élevé de l'autre côté de l'Atlantique, est remplie de criminels assoiffés de sang désespérés pour goûter à de nouveaux horizons.
Pour ce faire, certains acceptent de rejoindre la Task Force X pour participer à des missions qui s'annoncent très complexes. Après avoir récupéré les armements sacrés, ils seront envoyés sur l'île de Corto Maltese. Un lieu mystérieux où gagnent de nombreux antagonistes comme le terrible Starro mais aussi des guérilleros et des néo-nazis. Le but est d'effacer toutes les traces de l'opération Starfish. Selon Empire, cela inclura la suppression des prisons et des laboratoires datant de l'ère nazie où les détenus ont subi des expériences.
Il faut donc faire face à Starro, un extraterrestre qui prend la forme d'une étoile de mer géante. Dotée d'une intelligence extraordinaire, cette créature cherche à asseoir sa domination sur le monde. Nous pouvons également voir sa puissance d'attaque impressionnante et ses spores grouillantes dans la dernière bande-annonce de The Suicide Squad.
Suicide Squad : quel casting ? En plus du retour de Margot Robbie dans le costume chocoholic de Harley Quinn, on retrouvera également Jai Courtney qui reviendra camper dans Captain Boomerang. Comme mentionné ci-dessus, le grand patron Amanda Waller sera là, joué par Viola Davis. Parmi les nouveaux venus, on a hâte de voir l'apparition de John Cena qui jouera le rôle de Peacemaker. "Un homme qui croit en la paix à tout prix, peu importe combienak personnes qu'il a dû tuer dans le processus", selon le portrait peint par le réalisateur.
Sylvester Stallone fait également partie de l'aventure, prêtant sa voix à King Shark, l'antagoniste apparemment plutôt maladroit d'Aquaman. Il faut aussi s'appuyer sur Idris Elba qui apparaîtra sous les traits de Bloodsport. Ce super méchant est derrière les barreaux pour avoir tenté de tuer Superman avec une balle de kryptonite. Il a quand même réussi à envoyer l'homme d'acier en réanimation. Légèrement motivé par l'idée de rejoindre la Suicide Squad, le sniper va changer d'avis pour éviter que sa fille ne soit emprisonnée.
Voici le reste du casting de The Suicide Squad. A noter toutefois l'absence de Will Smith (Deadshot) ou Jared Leto (Joker) :
Joel Kinnaman : Rick Flag Steve Agee : King Shark (mouvement) et John Economos Peter Capaldi : Clifford DeVoe David Dastmalchian : Abner Krill Daniela Melchior: Ratcatcher II Michael Rooker : Brian Durlin Alice Braga : Sol Soria Pete Davidson : Richard Hertz Nathan Fillion : Floyd Belkin Sean Gunn : John Monroe Flula Borg : Javelot
Suicide Squad : quand sortira-t-il ? En France, The Suicide Squad sortira en salles le 28 juillet. Un mélange d'action et d'humour dans une perspective avec laquelle nous aimerions pouvoir vivre. En attendant sa sortie, vous pouvez retrouver différentes bandes-annonces ci-dessous :
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Vos propositions nous paraissent malheureusement manquer d'ambition
On pourrait désigner le débat du jour par l'expression « débat boomerang » ou « débat sparadrap », en référence au fameux sparadrap dont le capitaine Haddock ne parvenait pas à se défaire dans l'album de Tintin L'Affaire Tournesol.
En effet, dans l'euphorie des premiers temps du quinquennat, ce gouvernement avait supprimé l'ISF, pensant ainsi, par cette « courageuse » décision, tirer un trait définitif sur l'idée « saugrenue » de taxer les plus fortunés de nos concitoyens. L'ISF était accusé de faire fuir les riches, privant ainsi nos entreprises de leurs capitaux. Pourtant, aucune étude n'a étayé cette thèse.
Entre 2011 et 2017, le nombre de redevables de l'ISF était même passé de 287 000 à 358 000 ménages. Les riches n'ont pas pu revenir, puisqu'ils n'étaient pas partis ! En revanche, alors que l'ISF rapportait 5 milliards d'euros par an à l'État, l'impôt sur la fortune immobilière en a fourni 1,3 milliard en 2019. Comme le Gouvernement a aussi diminué la fiscalité sur les revenus du capital, ce sont 4,5 milliards d'euros qui manquent chaque année dans les caisses de l'État, soit plus de la moitié du budget annuel du ministère de la justice.
Durant le confinement, des millions de personnes auront vu leurs revenus s'effondrer. De nombreuses petites entreprises seront malheureusement confrontées à la faillite, leurs salariés se retrouveront au chômage, leurs ex-dirigeants sans revenus. Dans ces conditions, les plus fortunés d'entre nous, rebaptisés à une époque « premiers de cordée », doivent comprendre qu'il est dans leur intérêt de contribuer beaucoup plus fortement et durablement au financement des services publics et de la solidarité, dont ils bénéficient aussi, comme tout un chacun.
La crise sanitaire a ébranlé le monde et replacé au cœur du débat politique les questions fiscales, et notamment la fiscalité des gros patrimoines et du capital. Nous le constatons quotidiennement, mes chers collègues, le sujet s'impose. De nombreuses voix s'expriment, d'horizons et de sensibilités très divers : ils sont syndicalistes, économistes, philosophes, intellectuels, et également, Vincent Éblé le rappelait, responsables politiques de la majorité présidentielle.
Ainsi, M. Richard Ferrand, président de l'Assemblée nationale, déclarait il y a quelques jours : « S'interroger sur une contribution des plus aisés, pourquoi pas ? ». Mme Fiona Lazaar, députée La République En Marche du Val d'Oise, nous dit que « les plus riches devraient contribuer davantage », et le président du groupe Modem, soutien de la majorité, M. Patrick Mignola, qu'« il faut créer un impôt sur la fortune improductive ».
Évidemment, les contempteurs de l'ISF ne restent pas l'arme au pied dans ce débat ; on sent dans la majorité une espèce de crainte que la digue idéologique finisse par céder. Ils montent au créneau, comme on dit, pour défendre la citadelle coûte que coûte.
M. Darmanin : « L'idéologie fiscale n'a jamais fait une bonne politique », ou encore : « L'ISF est un impôt idiot » – on disait la même chose de la taxe professionnelle ; il est curieux de constater que, dans ce pays, les impôts payés par les salariés soient les seuls intelligents ! M. Le Maire : « L'ISF, c'est le combat du XXe siècle », ou encore : « Rétablir l'ISF serait de la pure démagogie ». Tout Bercy est mobilisé. Madame la secrétaire d'État, je me permets de vous citer : « Avec le retour à l'ISF, on se trompe de combat ».
Des formules choc, aux mots bien choisis ; mais, au fond, jamais de démonstration étayée !
Ces propos sont doux aux oreilles de nos collègues de la majorité sénatoriale. M. Retailleau déclarait il y a quelque temps : « Je suis contre le rétablissement de l'ISF. » Cela a, au moins, le mérite d'une très grande clarté et d'une grande cohérence.
C'est dans ce contexte que nos collègues du groupe socialiste et républicain avancent l'idée d'une imposition de solidarité sur le capital. Exit l'ISF, voici donc l'ISC. Examinons un instant les termes de cette proposition, dont certains, je veux le dire d'emblée, nous laissent un peu sur notre faim.
Il en est ainsi du relèvement du seuil d'assujettissement, que vous voulez porter à 1,8 million d'euros. Chacun ici se souvient que le seuil d'assujettissement à l'ISF était, avant 2007, fixé à 800 000 euros ; il avait été relevé à 1,3 million d'euros sous la présidence de M. Sarkozy, et, malheureusement, maintenu à ce niveau pendant le quinquennat de M. Hollande. Le texte de votre résolution est donc, de ce point de vue, en retrait.
Nous soutenons en revanche l'idée d'une progressivité de l'imposition du capital. Si nous partageons donc vos constats, vos propositions nous paraissent malheureusement manquer d'ambition, vu l'ampleur des difficultés qui sont devant nous, tant sur le plan économique que sur le plan social.
Faire contribuer les hauts revenus serait de nature à conforter la notion de consentement à l'impôt, afin que chacun contribue à raison de ses facultés.
Concrètement, il faut que les informations sur les portefeuilles financiers, par exemple, soient transmises automatiquement par les banques françaises et étrangères à l'administration fiscale. Rétablir cet impôt en le rénovant serait aussi un début de réponse à la très forte demande de justice fiscale, et par là même de justice sociale, émanant de nos concitoyens.
Ce débat n'est pas un débat franco-français ; il a lieu partout, chez nos partenaires européens en particulier : en Allemagne, en Espagne, en Italie,…
M. Vincent Segouin. En Grèce !
M. Éric Bocquet. … des idées du même style sont à l'étude et font l'objet de réflexions qui animent le débat politique.
Si la proposition de résolution de nos collègues socialistes avait été une proposition de loi, notre groupe l'aurait évidemment amendée afin de l'orienter vers une meilleure répartition de la richesse et vers davantage de justice fiscale et de lutte contre les inégalités, qui explosent. Cette initiative nécessiterait une réflexion globale sur la fiscalité, et nous ne doutons pas que ces sujets reviendront très vite dans nos débats.
En l'état, nous ne pouvons émettre un vote positif sur cette proposition ; nous opterons donc pour l'abstention.
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elyalovi · 4 years
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-“Flash vs. Arrow”
(The Flash temporada 1, episodio 8)
-“The Brave and the Bold”
(Arrow temporada 3, episodio 8)
El primer crossover oficial del Arrowverso que iniciaría la costumbre del crossover anual comprometiendo casi todos los programas alrededor del episodio 8 antes del midseason finale. Luego que el equipo Arrow ayuda al equipo Flash a atrapar al malo de la semana, Roy Bivolo (Paul Anthony), el equipo Flash le devuelve el favor ayudando al equipo Arrow a atrapar al Capitain Boomerang (Nick E. Tarabay). Lo más destacable del episodio es la dinámica mentor/alumno de Oliver (Stephen Amell) y Barry (Grant Gustin) que llega a evolucionar a dos héroes diferentes que aprenden el uno del otro.
->Nos preparamos para #CrisisonInfiniteEarths: Los episodios que debes ver antes del megacrossover del año
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flixcelibrity · 5 years
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Les photos de la Suicide Squad révèlent de nouveaux costumes pour le capitaine Boomerang et d'autres https://ift.tt/2B642A3
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Raw
Il n’est pas toujours aisé de savoir comment jongler avec ses sentiments. Vous savez ceux que vous ressentez crûment et qui touchent à votre sécurité la plus profonde. 
Il y a souvent ce jeu de boomerang qui va et vient en mon coeur. On oscille entre zone de confort et d’inconfort pour la même chose, dans le même lieu et en d’autres temps. 
On ne sait s’il faut lever l’ancre, ou la poser, lever le voile et revêtir le courage des marins à l’aube d’une nouvelle aventure ou alors si nous préférons tout simplement jouir encore un peu du molleton de notre bon vieux quilt et rêver en regardant les flammes danser dans l’âtre de la cheminée. 
Qu’est-ce qui nous pousse à partir vers de nouveaux horizons? Serait-ce ce sentiment désagréable de submersion lorsque nous croulons sous les questions de nos apprentis, lorsque nous ressentons que la mer dans laquelle nous évoluons n’est pas propice à tous les moussaillons à bord ou serait-ce simplement parce que le capitaine ne ressent plus la fougue de l’ancien temps?
Est-ce lâche de quitter le navire? Est-ce juste de le laisser pour un temps? M’en voudrais-je de passer à l’action? A t-il le droit de rêver à sa barre en regardant l’horizon pour un temps, juste le temps de se demander et maintenant quelle est la direction? 
Sait-il déjà ce qu’il se prépare en son sein et dans le creux de son âme? Aurai-je le courage? Sais-je déjà où orienter la voile? Est-on obligé de rester en mer?
Est-là la seule exploration? 
Je lis souvent dans les chroniques ces temps-ci le désespoir de certains qui ne trouvent terre et par manque d’énergie s’ôtent la vie à force de perdre pied.
J’ai pensé qu’il fallait outiller le navire différemment, lui offrir de nouvelles voiles, rafraîchir le goudron, trouver des réponses aux questions de chacun, attribuer à chaque mousse un rôle dans lequel il se sente écouté et vivant. Cela marche un temps. Mais comme à chaque fois le vent tourne. 
C’est lorsque Éole décide de plus de défis et d’une nouvelle direction que le commandant sent la barre sous ses doigts et le pouvoir créateur de la direction qu’il peut lui donner. Que faire? 
Alors, le tumulte vient de l’intérieur du navire. Faut-il accepter la révolte? Je n’ai pas le temps de voir les choses arriver que l’ouragan se forme déjà. Les questions défilent. L’indignation gronde. Et revient la question : continuer ou non? 
L’oeil du cyclone, que je pense toujours être la fin de celui-ci, me replonge, m’endort dans cette sorte de langueur confortable et où je me découvre encore un nouveau talent et où je décide de forger de nouvelles compétences et de nouveaux horizons. 
Mais jusque quand laisserai-je cette douce berceuse m’engourdir? 
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L'AUSTRALIE
Histoire de l’Australie, jeune d’un peu plus de deux siécles
L’Australie au temps des dinosaures
Il y a des centaines de millions d’années, les océans de notre terre n’abritaient qu’un unique super continent, Pangea. L’histoire de l’Australie commence avec la division de Pangea en deux moitiés, deux nouveaux continents : Laurasia, qui formera plus tard l’Europe, l’Asie et l’Amérique du Nord ; et Gondwana, une vaste masse dont se détacheront l’Amérique du Sud, l’Afrique, l’Antarctique et… l’Australie. Ce nom, « Gondwana », se retrouve encore dans certains parcs naturels de la côte est : il décrit également les forêts, listées au patrimoine mondial de l’UNESCO, qui sont les dernières survivantes d’une époque où le continent rouge était une toison verte au climat tropical et à la végétation luxuriante. Dans ce passé obscur et lointain, l’Australie était peuplée de dinosaures dont on retrouve aujourd’hui encore les os fossilisés dépassant de la terre au beau milieu des immenses propriétés poussiéreuses de l’outback.
Histoire de l’Australie : Les premiers colons, les aborigènes
Àl’échelle de ces milliers de millénaires de lente évolution, l’arrivée de l’homme sur le continent australien, c’était à peine hier. Pourtant, la culture aborigène est la plus ancienne au monde : il y a entre 40.000 et 60.000 ans, les aborigènes foulaient pour la première fois le sol australien. Le mystère de leur arrivée demeure entier, et même si des théories permettent de rationaliser la venue de ces premiers colons de la race humaine, leur exploit n’en inspire pas moins le respect : à une époque préhistorique, ce sont des hommes originaires d’Asie du Sud Est qui auraient réussi le tour de force de se rendre jusqu’en Australie à bord de simples canoës.
Les aborigènes s’installent et au fil de leur existence semi-nomade se dispersent à travers le continent. Pour survivre, ils pratiquent la chasse, la pêche et la cueillette, aidés par des outils faits de bois et de pierre – certains au design unique, comme le célèbre boomerang. Mais au-delà de leur existence physique, les aborigènes se forgent également une existence spirituelle : les mythes du « Dreaming », le Temps du Rêve, donnent vie à un paysage où chaque colline, chaque fleuve, chaque repère géographique est le fruit des pérégrinations des Ancêtres. Ces esprits magiques adoptant généralement une apparence animale sont sacrés, et ce sont eux qui tiennent le rôle de créateurs du monde. En l’honneur de leurs Ancêtres et pour illustrer leur vie quotidienne, les aborigènes laissent aussi derrière eux des milliers de sites de peintures et de gravures traditionnelles dans différents styles.
Pendant des dizaines de milliers d’années, la vie continue ainsi dans le respect des Ancêtres et de la terre, et dans l’isolation absolue de l’un des derniers bouts du monde.
Le siècle des grands explorateurs et des nouveaux colons
CC’est seulement au 17ème siècle que les européens entrent en jeu : en 1606, le capitaine hollandais Willem Janszoon visite la côte ouest de la péninsule du cap Yorke, dans le nord tropical du Queensland. Au fil du siècle à venir, d’autres explorateurs européens, dont le britannique William Dampier, visitent la côte de ce continent mystérieux qu’on appelle alors la Nouvelle Hollande mais personne ne tente de s’y établir. On peut faire débuter l’Histoire de l’Australie à cette époque.
Il faudra attendre 1770 et la venue du célèbre capitaine James Cook, qui prend possession du continent au nom du Royaume Uni, pour que débute l’ère de la colonisation. À cette époque, on estime que le peuple aborigène compte entre 300.000 et 750.000 hommes et femmes répartis en 250 nations, parlant autant de langues. Malgré ces chiffres et en dépit des indigènes rencontrés, aux yeux des européens l’Australie est libre à prendre : ils la considèrent comme « terra nullius », une terre vide d’hommes que les nouveaux colons pourront s’approprier sans contraintes ni cas de conscience.
De cette terre lointaine et « dépeuplée », les autorités décident de faire une colonie pénitentiaire : le 26 janvier 1788 le capitaine Arthur Phillip jette l’ancre à Port Jackson, site de la toute nouvelle colonie du New South Wales, « chef lieu » qui deviendra plus tard Sydney. Sous son commandement, 11 navires transportant provisions, outils, matériel et 1500 âmes – dont pas moins de 750 prisonniers. Cette fois, les européens sont venus pour rester et le destin du continent est scellé : le 26 janvier restera à jamais marqué dans l’histoire et devient la date de la fête nationale d’Australia Day qui commémore chaque année la création de la nouvelle nation australienne.
Une date de l’Histoire de l’Australie à double tranchant, puisque pour le peuple aborigène, elle pourrait aussi bien marquer le deuil de leurs propres nations : dépossédés de leurs terres traditionnelles, ravagés par les maladies importées par les colons et victimes de violentes altercations, les aborigènes sont rapidement poussés vers leur perte.
Pour les colons et les bagnards, les premières années sont les plus difficiles : ils doivent affronter la faim et la maladie tout en essayant de se familiariser avec un environnement bien différent de celui de leur mère patrie.
De 1788 à 1792, les prisonniers représentent la majorité de la population de la colonie – en tout, 160.000 condamnés seront envoyés en Australie entre 1788 et 1868, date d’arrêt des déportations criminelles. Mais graduellement, ce sont aussi des hommes libres qui commencent à composer la population locale : anciens condamnés ayant regagné leur liberté après avoir purgé leur peine et nouveaux colons arrivant par bateau, attirés par la promesse d’un nouveau continent où le travail ne viendrait jamais à manquer et où la terre pourrait s’acquérir pour une bouchée de pain.
Mais pour acquérir cette terre, encore faut-il savoir où chercher : le 19ème siècle sera placé sous le signe de l’exploration. Celle-ci commence par voie des eaux : en 1802, le capitaine Matthew Flinders boucle la première circumnavigation du continent.
Une longue aventure qui pâlit pourtant en comparaison des difficultés rencontrées dans les terres, où il faut attendre 1813 avant que les européens ne parviennent ne serait-ce qu’à franchir le rempart des Blue Mountains, la chaîne à l’ouest de la colonie de Port Jackson. Les expéditions s’étendent alors de plus en plus loin : Hume et Hovell font un aller-retour entre les sites des futures Sydney et Melbourne, Charles Sturt arpente l’outback du New South Wales en quête d’une chimérique mer intérieure, Burke et Wills décèdent en tentant de traverser le continent, John MacDouall Stuart réalise l’exploit à leur place.
La ruée vers l’or et le décollage de  l’Australie
Au fil du temps et des explorations, de nouvelles colonies apparaissent : les britanniques s’installent sur l’île de Van Diemen’s Land (future Tasmanie) en 1803, sur les berges du fleuve Brisbane en 1824, sur les rives de la Swan River (future Perth) en 1829, à Port Phillip (future Melbourne) en 1835 et à Glenelg (future Adelaide) en 1836. Cette dernière colonie est unique en son genre : alors que toutes les provinces australiennes furent initialement des colonies pénitentiaires entièrement fondées sur le dur labeur des bagnards, le South Australia détient l’honneur d’être le seul état du pays à avoir été créé par des hommes libres aspirant à des idéaux de tolérance politique et religieuse.
Après ces débuts ardus et miséreux, l’Australie sent enfin souffler le vent de la prospérité quand, en 1851, des prospecteurs découvrent de l’or dans le New South Wales et le Victoria. Sans attendre, c’est la ruée vers l’or : séduits par la promesse d’une fortune imaginée facile, des milliers d’immigrants en provenance d’Europe, d’Amérique du Nord et de Chine convergent droit vers l’Australie pour aller tenter leur chance dans les ruisseaux.
La population gonfle : de 76.000 habitants en 1851, la colonie du Victoria passe à 530.000 habitants en 1859 ! Une vertigineuse augmentation démographique qui a tôt fait de créer des tensions : sur les concessions bondées, racisme, concurrence et mécontentement à l’encontre du gouvernement qui surtaxe et méprise les prospecteurs sont autant de facteurs qui contribuent à une explosion d’émeutes et de violence. Heureusement, les autorités réagissent et en modifiant les lois parviennent de nouveau à régulariser la situation.
L’Australie peut profiter de sa richesse nouvellement gagnée : d’autres gisements d’or sont découverts dans le Queensland et le Western Australia, l’élevage et l’agriculture prennent leur essor et l’ensemble de ces industries bénéficient du développement des transports de marchandises par train et par bateau.
L’économie est florissante et les villes s’agrandissent à toute vitesse, avides d’une urbanisation et d’une sophistication qui leur permettront de rivaliser avec Londres sans rougir. Pour autant, le côté « far west » de l’Australie n’a pas disparu : les « bushrangers » sévissent encore dans les campagnes.
Ces hors-la-loi vivant de vols et de larcins et échappant à la police en se réfugiant dans les profondeurs du bush étaient peut-être de simples criminels à leur époque, mais du point de vue de l’Australie moderne ils font partie intégrante du folklore d’une époque disparue. Le plus célèbre d’entre tous, Ned Kelly, avait même eu la légendaire ingéniosité de se revêtir d’une armure « fait maison » dont les plaques métalliques le protégeraient de toute blessure par balle. Rattrapé par la justice, Ned Kelly mourut pendu en 1880.
Vers l’autonomie puis l’indépendance
Durant la seconde moitié du 19ème siècle, les nouveaux australiens sont de plus en plus confrontés à la question de leur gouvernement : Londres accorde graduellement une certaine mesure d’autonomie à ses colonies australiennes. Motivés par leur souhait de démocratie, les australiens inventent de leur côté le principe du vote secret, permettant à chacun de sélectionner le candidat de son choix en privé.
Le suffrage universel est adopté dès 1855 par le South Australia et les autres colonies suivront rapidement. Bien sûr, à l’époque, universel est une notion toute relative : seuls les citoyens britanniques de sexe masculin sont autorisés à voter. Il faudra attendre 1861 pour que les femmes puissent voter aux élections locales, et 1895 pour que ce privilège s’étendent à l’élection du parlement.
Les aborigènes seront à leur tour autorisés à voter quelques années plus tard, juste à temps pour les premières élections fédérales : en 1901, les colonies jusque lors indépendantes et disparates s’unissent en une seule fédération, le Commonwealth d’Australie. Une étape essentielle et fondatrice pour la nation, malheureusement marquée par le racisme : l’une des premières politiques du parti élu au pouvoir sera celle de l’Australie blanche (« White Australia ») visant à « contrôler » les immigrants en provenance d’Asie, d’Inde, du Pacifique et à préserver les origines ainsi que les valeurs européennes/britanniques des nouveaux australiens. Il faudra attendre 1970 pour que cette politique soit peu à peu abandonnée.
L’Australie au cœur des conflits mondiaux
Si jusque lors l’Australie pouvait sembler être laissée plus ou moins à son sort, son relatif isolement se termine à l’aube du 20ème siècle quand éclate la Première Guerre Mondiale. Entre 1914 et 1918, plus de 400.000 australiens – soit entre 30% et 50% de la population masculine éligible du pays à cette époque – se portent volontaires pour aller combattre aux côtés du Royaume Uni.
Le traumatisme de cette première guerre d’importance est grand, les pertes lourdes : 60.000 morts et 160.000 blessés. Pour commémorer ce drame militaire, une date a été choisie : le 25 avril, ANZAC Day (« Australian and New Zealand Army Corps ») est jour de fête nationale en Australie. Il s’agit là de la date anniversaire de l’arrivée des troupes australiennes à Gallipoli, en Turquie, où en l’espace de 8 mois de combat plus de 8000 soldats australiens trouvent la mort.
l’Histoire de l’Australie sur la première moitié du 20ème siècle continue sur la mauvaise pente : dans les années 1930, l’Australie est victime de la Grande Dépression. Grande exportatrice de laine et de blé, elle voit les prix des marchandises s’effondrer et les bénéfices réduis à néant. L’économie s’enlise, le taux de chômage s’envole, l’endettement s’accroit et les gens mécontent manifestent dans les rues. En 1939, le pays se relève à peine de la crise lorsqu’éclate la Seconde Guerre Mondiale. Les australiens apportent de nouveau leur soutien aux forces Alliées, mais cette fois ils ne combattront pas seulement en Europe : la menace japonaise est à leurs portes.
Pour la première fois, l’Australie est victime d’attaques adverses sur son propre sol : le 19 février 1942, les japonais bombardent Darwin, détruisant une bonne partie de la ville. Des dizaines d’autres raids aériens auront lieu jusqu’à la fin de la guerre. Pour tenter de stopper l’invasion japonaise qui s’annonce, les australiens se battent aussi chez leurs voisins : à Singapour, ils sont contraints de se rendre et 15.000 sont faits prisonniers. En Nouvelle Guinée, dans les terribles conditions de la jungle équatoriale, les soldats australiens tiennent bon pour protéger leur patrie. Cet événement, lui aussi, est marqué au fer rouge dans la conscience historique collective de la nation, et aujourd’hui encore les descendants de ces soldats se rendent jusqu’en Nouvelle Guinée pour marcher la Kokoda Track, un véritable pèlerinage dans les traces de leurs ancêtres.
L’Australie multi-ethnique et multiculturelle
Après la guerre, l’Australie peut enfin repartir du bon pied. La paix est revenue, la santé économique aussi : il n’est plus question de dépression mais de boom. L’industrie secondaire se développe à pas de géant et le continent ouvre grand les portes à l’immigration. Bien que la plupart des immigrants soient toujours d’origine britannique ou irlandaise, c’est le début de l’Australie grecs, italiens, turcs et libanais sont parmi les dizaines de nationalités à venir s’établir à l’autre bout du monde.
Tous trouvent rapidement du travail dans les usines ou grâce aux projets de grande envergure lancés par le gouvernement, tels que l’ambitieux projet hydroélectrique des Snowy Mountains, exigeant la construction d’une quinzaine de barrages et de 7 stations électriques.
En 1959, la population australienne franchit la barre des 10 millions. L’industrie primaire, elle aussi, se porte bien : les prix de la laine et du blé sont remontés et l’Australie exporte ses denrées en masse. Dans les années 60-70, le pays prend de plus en plus d’assurance et développe son identité nationale, culturelle et artistique : Sydney fête l’ouverture de son iconique opéra, le cinéma australien se développe, et un auteur australien remporte le Prix Nobel de littérature.
Les droits sociaux des aborigènes deviennent de plus en plus reconnus, ils obtiennent pensions, allocations, extension de leurs droits de vote et reconnaissance de leurs droits sur leurs terres ancestrales. Malgré tout, il faudra attendre l’élection de Kevin Rudd en 2007 pour que le gouvernement australien présente enfin des excuses officielles au peuple aborigène pour leur mauvais traitement lors de la colonisation.
L’Australie et les défis du 21éme siècle
En 2011, l’Australie s’est établie comme une nation riche, jeune et forte. À sa tête, une femme : Julia Gillard, qui a succédé à Kevin Rudd de façon mouvementée. Et si la bonne santé du pays suggère un avenir radieux, il reste encore de nombreux dossiers épineux sur le bureau du gouvernement : mauvaise intégration du peuple aborigènequi souffre du chômage, de violence, de drogue et d’alcoolisme, immigration illégale difficile à contrôler des « boat people », inquiétudes environnementales et question ouverte de la viabilité d’une population en constante augmentation sur le continent le plus aride au monde… Autant de défis que l’Australie se prépare à affronter au 21ème siècle.
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actors-stuff · 3 years
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Jai Courtney
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sophietdbaus · 6 years
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Jour 24 - 2 août
Après une surprenant bonne nuit sur le bateau vu qu’il n’y avait pas de vagues, nous avons pris le petit déjeuner sur le pont. Le capitaine nous a emmené à quelques minutes de navigation dans la Luncheon Bay, où nous avons enfilé nos combinaisons pour aller faire du snorkeling, de la plongée au bord de la côte avec juste un masque et un tuba. L’expérience était magique! J’ai vu pleins de poissons de toutes les formes et de toutes les couleurs, des gros poissons et des petits poissons. Il y avait des poissons bleus, jaunes, violets, orange, tachetés, rayés… C’était magnifique! Les coraux ont endommagés par un cyclone l’année dernière, donc ils n’étaient pas très développés. Heureusement, nous avons fait du snorkeling à un autre endroit, dans la Cockatoo Bay, qui a été épargnée par le cyclone et qui regorgeait donc de coraux en tous genres. On se se cru dans le Monde de Némo, il y avait des tas de coraux différents, des anémones, des éponges et bien sûr, des poissons! J’aurai aimé avoir une GoPro a ce moment là pour capturer et partager ces images magiques, mais je n’avais que mes yeux, et c’était largement suffisant pour en garder un souvenir inoubliable!
Ensuite, nous sommes remontés sur le bateau où nous avons séchés au soleil en attendant le déjeuner. L’après midi, nous avons navigué entre les îles et jusqu’à Airlie Beach. Le capitaine nous a dit que le Boomerang, notre bateau, était un ancien bateau de course, vainqueur de plusieurs coupes internationales. C’était très agréable d’être assise les pieds quasiment dans l’eau, et d’apprécier la vue magnifique des îles en étant rafraîchie par le vent. Une fois que nous avions ralenti et que nous nous rapprochions du port, j’ai conduit le bateau. Nous sommes arrivés à la marina d’Airlie Beach vers 16h.
Je suis retournée à l’auberge, pris une douche, écrit quelques carte postale et il était déjà l’heure de retrouver le groupe qui était avec moi sur le bateau pour boire un verre et manger. J’étais surprise car nous n’étions pas très nombreux, mais nous étions assez pour passer une bonne soirée, ma dernière à Airlie Beach.
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concouriste-blog · 6 years
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Jeu concours pour tenter de gagner une figurine du Capitaine Boomerang avec Le Sérigraphe.
Le concours se termine le 8 novembre 2017.
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