Tumgik
#car moi et les cadeaux ça fait 2
homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 127
Coup de fil du garage Mercedes d'Emma, je dois leur apporter le Z8.
Je leur laisse un matin et part avec le SLK qu'ils me prêtent trainer en ville. De retour quelques heures après, le jeune commercial me tend mes clefs. Je ne fais pas attention et sort sur le parking reprendre ma voiture. Comme je ne le trouve pas, je rentre à la concession pour demander où elle est. Le jeune mec me dit de regarder mes clefs. Je m'aperçois que se ne sont pas les miennes et lui en fait la remarque. Il me dit que c'est ma nouvelle voiture. Je sors avec lui et il m'amène à une SLS AMG gris mat toute neuve. La portière aile de mouette s'ouvre, il prend les papiers dans la boite à gants et me montre la carte grise à mon nom. Une lettre y est accolée. Il me laisse et je l'ouvre. Un mot d'Emma avec un proscriptum de son ami (celui de Kev) dans lequel ils me remercient de mes services et m'offrent ce véhicule, sachant le plaisir que j'ai des voitures d'exceptions. Dans l'emplacement prévu un I-phone de dernière génération. ;Avant de démarrer, je revois le commercial pour les explications minimum sur les spécificités de cette voiture. Une fois les infos fournies et avec les félicitations du jeune mec, je démarre. Quelle musique ! Je fais chauffer le moteur doucement avant de rouler. Direction la maison d'Emma. Au porte-clefs, le bip du portail a été remis. Dans sa cour je saute hors de la voiture et sous le nez de son chauffeur, je déboule dans le salon d'Emma et ne voyant qu'elle je la prends dans mes bras pour lui rouler le patin du siècle. Quand elle arrive à me repousser, je m'aperçois qu'elle n'était pas seule. Son ami et Kev étaient dans un des canapés. Calmé, je les salue et remercie les deux complices pour leurs cadeaux. Kev pas au courant m'interroge. Je lui dis d'aller à la fenêtre et là, il comprend.
Je les traite de fous pour la voiture et le téléphone. J'ai l'impression qu'Emma attend autre chose. Elle me demande si j'ai trouvé l'écrin. Quel écrin ?? Je file à la voiture et le trouve, dedans un pendentif en rubis. Quand je les rejoins, elle me dit que c'est pour changer avec le diamant de mon oreille. Moi qui comptait faire modifier les bijoux de feue ma mère pour cela, j'aurais un caillou différent pour chaque jour de la semaine ! Kev me regarde changer la pierre de mon oreille. Je tourne sur moi pour le faire admirer. Emma et le boss de Kev rient de ma spontanéité.
Ils se barrent et je peux enfin lui exprimer ma reconnaissance. Je la porte jusque dans sa chambre. D'un coup de pied je ferme la porte et la jette sur le lit avant de lui sauter dessus. Je suis bestial ! Arrachage du chemisier et de la jupe, idem pour la petite culotte. Nue, j'attaque à la langue ses seins jusqu'à ce que ses tétons soient raides. Puis je descends à sa chatte m'occuper de son clitoris. Elle est brûlante, faut dire que depuis trois semaines c'était ceinture. Elle me pardonne car elle sait pour mes parents. Du coup elle grimpe à toute vitesse et je lui arrache rapidement une première jouissance. Elle glisse sous moi et m'embouche le sexe. Trop chaude sa bouche ! Je ne peux m'empêcher de bouger le bassin pour la lui limer. Elle me chauffe trop. Je la remonte et me kpote pour m'enfoncer dans sa chatte. Nous soupirons de plaisir ensemble à la fin de ma pénétration. Je lui laboure le sexe un bon moment avant de passer à la porte arrière. Changement d'angle et je l'encule. Son anus s'ouvre sous ma poussée et j'envahi le vestibule arrière. C'est trop bon ça aussi. Un cul c'est quand même plus serré, plus nerveux qu'un vagin même bien musclé comme celui d'Emma. Nous baisons comme des malades. Elle chauffe, me chauffe et je finis par jouir. Comme j'avais des doigts dans sa chatte, je sens son vagin serrer et elle crie que c'est bon. Nous nous décollons et je dékpote avant de la prendre dans mes bras et m'endormir comme un rustre. Je me réveille. Elle est toujours dans mes bras et j'ai dormi 1/2 heure. Je lui présente mes excuses, ce n'est pas trop mon habitude d'être aussi mal élevé. Elle me dit que niveau émotion, j'avais mon compte en ce moment et me dit qu'elle me parlera d'un projet me concernant plus tard. Je la cuisine mais rien ! J'ai beau la chatouiller, l'exciter, la lécher partout, je n'arrive qu'à obtenir un nouvel orgasme mais rien d'autre. Ce coup ci j'accompagne sa reprise de contact avec la réalité. Je continue les caresses, tétant un sein tout en maintenant deux doigts dans son vagin. Du coup je relance la machine ! Et j'obtiens un nouvel orgasme dans la foulée.
Elle me chasse de sa maison. Retour en SLS. Quelle voiture, l'automatisme des vitesses est phénoménal et ultra rapide. Je prends un plaisir fou à la conduire. J'ai bien du mal à respecter les limitations de vitesse et prend l'autoroute uniquement pour pouvoir monter les 3 premières vitesses en quelques secondes. Il va falloir que je trouve un circuit pas trop loin pour pouvoir me faire plaisir, sinon de sera de fréquents voyage en Allemagne (il parait que coté sexe nos voisins sont assez hard, ce serait l'occasion de le vérifier !).
Quand je rentre Jimmy m'attendait. Il me dit que nous avons sommes en retard pour son rendez vous d'une bonne heure. Quand il voit ma nouvelle voiture il comprend. J'appelle le client et nous excuse en lui demandant s'il est encore libre maintenant, je ferai un geste commercial pour le retard.
Il accepte et Jimmy saute dans la voiture. 20mn plus tard il est à pied d'oeuvre. Il fait le job comme un pro. Pipage du boa qui sert de bite à ce mec, présentation d'un cul parfaitement préparé, plug en place. Après son arrachage (le plug), il s'assoit sur le client et prend sa bite entière du premier coup. C'est devenu sa spécialité et il est apprécié pour cela. Tout comme Ed est apprécié lui pour sa " fraîcheur " (vu qu'il se reprend en plusieurs fois pour le même résultat). Après que Jimmy ait " essoré " le client, et alors qu'il se douche, je propose un 1/2 tarif. Mon client souri et me dit que le service étant par ailleurs parfait, il passe l'éponge. A la fenêtre je lui montre la raison et lui dit que c'était sa livraison qui m'a retardé.
Il comprend alors tout à fait et ajoute un gros billet en me disant " pour l'entretien ". De nouveau je me confonds en remerciement et nous regagnons la maison. Marc est arrivé entre temps. Après avoir laissé Jimmy à l'appart, j'avance ma voiture au pied des marches d'entrée et klaxonne. Marc sort et m'aperçoit. Pas de réactions particulières. Il me demande si la journée s'est bien passée et m'engage à ranger ce bolide dans le garage. ;J'entre dans la maison. Il m'attend au salon apéro en main. Comme il ne me questionne pas, je ne peux m'empêcher de lui expliquer. Il écoute, me félicite et me dit que le diner sera prêt dans 5 mn.
Ce ne sera que dans notre lit que je retrouverais mon vrai Marc, dominateur, exigent, celui qui me fait kiffer plus que tous les autres réunis ensemble. Il bande, je descends le prendre en bouche. Il me bloque la tête et me défonce la gorge à moi de me débrouiller pour respirer quand je peux. Il jute une première fois maintenant sa queue au fond et j'avale miam quel dessert ! Comme il ne débande pas, je lui présente mon cul. Il crache dessus et le perfore de ses 22cm. En levrette, ses mains sur mes hanches pour maitriser mes sursauts, il m'encule grave. Des deux mains, j'écarte mes fesses pour en prendre un maximum. Il me traite de salope, de pute sans cesser pour autant de me limer l'oignon. Il me retourne pour que je lui fasse face. Sur le dos, je relève mes jambes sur ses épaules et il me saute écrasant mes couilles de ses abdos. Je ne dis rien, quand il est comme cela, faut pas en rajouter ! Je tends juste un bras pour amener sa tête contre la mienne et lui rouler un patin. Quelques minutes de roulage de pelle le calme et s'il continu à me labourer les entrailles c'est avec plus de délicatesse.
Finalement j'aimais autant quand il était plus brutal ! Je serre mon anus à le bloquer à mi pénétration. Il ne s'y attendait pas. Comme je ne le laissai pas recommencer ses va et vient, il finit par me taper dessus (pas trop violemment mais je sens bien ses jointures sous mes cotes). Ça l'a remis furieux et il m'encule de nouveau plus hard. Il sort brusquement de moi, se lève et m'ordonne de le suivre. Bien chef ! Il m'entraine jusqu'au donjon. Là il m'ordonne de m'assoir sur la selle à gode. Cette dernière ayant servi à Ric dernièrement, elle est encore équipé de notre plus gros gode, le 28 x 7 !! Graisse sur la rondelle et les pieds dans les étriers, je descends doucement dessus. Les trois quarts, Ok vu les passages répétés de la bite de Marc précédemment. Le reste est toujours plus délicat Marc derrière moi appui sur mes épaules et je m'assois toujours plus, jusqu'à sentir le cuir de la selle sur mes fesses. Il me demande si comme cela c'est meilleur ? Si je n'ai pas besoin de plus gros que lui pour jouir ?
Je n'ai pas le droit de bouger. Mon cul se fait aux 7cm de diamètre et je n'ai bientôt plus mal. Il me fait alors me relever et me dit de me mettre sur le tatami les épaules au sol et le cul relevé. Il attend un moment que mon anus se referme. Dans ma tête je cherche quelle va être l'étape suivante. Je suis encore à chercher que je me prends une fessée magistrale suivie d'une autre sur l'autre fesse. Je suis surpris nous n'avions jamais encore expérimenté ce genre de plan. Je serre les dents et encaisse. A la fin, quelques cris m'échappent quand même ! Je me rends compte que la nouvelle voiture et accessoires, lui reste en travers de la gorge ! Pourtant il sait bien qu'il est mon seul et unique mec !!
Je le laisse se défouler. Je sens quand même mes fesses rougir et me chauffer. Soudain il s'arrête. Je l'entends s'éloigner mais ne bouge pas sans ordre. Il revient vers moi, étale sur mes fesses de la graisse à gode ça soulage. Je n'ai pas le temps d'en profiter qu'il m'enfile un gode taille moyenne. Il rentre tout seul malgré que mon anus se soit refermé. Il me le cale, fausses couilles contre les miennes. D'après mon expérience ce doit être la bête de 24 x 5. Quand je vois ses pieds de chaque coté de moi, je sais ce qui m'attend, double sodo ! Il place son gland contre la fausse bite en plastique et pousse. De mon coté aussi je pousse. Son gland s'aplatit et entre. Je souffle car même avec le souvenir des 28x7, je dois me dilater plus encore. J'écarte mes fesses des deux mains pour faciliter la pénétration ce qui me vaut de me faire traiter de nouveau de salope, trou à bite et pute !
Il me jette un flacon de poppers. Je sniff comme si c'était de l'oxygène. Merci ! La tête me chauffe maintenant autant que mes fesses et je me dilate juste ce qu'il faut pour qu'il m'encule totalement. Il me ravage le cul, répétant que ce dernier lui appartient, qu'il en fait ce qu'il veut, qu'il va me mettre à l'abattage puisque je n'aspirais qu'à être une pute. Et me dit qu'il fera appel aux mâles nécessaires à ma condition de chienne !! Dans le brouillard du poppers, j'ai soudain peur de comprendre, chienne = chien. Il veut me faire saillir par des clebs ???? Question ;1 : ont-ils de grosses bites ? Question 2 : et les griffes ???
Je suis à la masse ! Il ne va pas le faire ! C'est juste qu'il est très en colère de mon comportement vénal...J'espère !
Il se vide en moi. Je ressens bien six fois son sperme juter hors de sa bite. Il décule et se couche à mes cotés. Je m'aplatis. J'expulse le gode et me couche sur son torse et lui fait un bisou dans le cou. Il serre les bras autour de moi je tourne mon visage vers lui et lui dis un " je t'aime " qui me vaut d'être encore plus serré contre lui. Il baisse les yeux et nous nous regardons fixement. Il me dit un " je t'aime aussi " (rarissime !!). Je me détends, rassuré sur mon sort, peut être échapperais-je aux clebs ! Je m'endors vaincu par la fatigue et le stress. Je me réveille seul avec juste une couverture de survie métallisée sur le corps. J'ouvre un oeil et j'aperçois une paire de chaussures. Je relève la tête et je vois Samir un plateau de petit déjeuner en main.
Je m'assois enroulé dans la couverture comme s'il ne m'avait jamais vu nu ! Il pose le plateau devant moi et me demande si cela va bien. Je m'étonne de sa question. Il me dit alors que hier soir ils ont entendu pas mal de bruits venant du donjon, au point que Jimmy était venu dormir entre eux deux. Je ne me rappelais pas avoir crié sous les coups de Marc. Il va falloir surtout que j'isole mieux leur appartement.
J'avale mon petit déj et passe sous la douche. Dans les grandes glaces, je vois mes fesses qui ont encore le souvenir des mains de Marc. Samir aussi les voit. Il m'accompagne et c'est lui qui me lave. Il est d'une délicatesse extrême. Je lui demande s'il a déjà subit ce genre de pratique. Réponse positive. Il me sèche avec autant d'attentions et appel Ammed pour qu'il me fasse un massage. Couché de nouveau sur le tatami, je me laisse faire entre leurs mains expertes. J'en ressors les muscles détendu, déstressé, prêt à attaque la journée. Je les remercie. Je dois travailler un peu, Olivier attend depuis déjà une semaine les plans définitifs du parc d'une villa qu'il fait construire !
JARDINIER
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e642 · 4 months
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Bon. Faut faire un point là. Hier soir je sors de 10h de BU avec ma famille nombreuse (groupe de projet). J'ai eu l'impression d'être super nany trop grave, jme suis pris la tête avec une d'elles aussi. En même temps c'est possible d'être aussi conne ? C'est bien la seule à s'étonner d'avoir redoubler 2 fois. Fr en 4 ans t'es allé jusqu'en L2, moi en 4 ans, jsuis allée en L2 d'une autre filière après avoir eu une licence. Dsl je rage mais elle rend fou a pas réfléchir, à croire que c'est payant. Je sors à 19h et là je capte que j'ai 2500 trucs à faire avant demain. Car demain, donc aujourd'hui, je rentre chez mes darons pour les vacances de Noël (j'ai trop hâte de voir ma tante alcoolique pour le 24 et 25, son taux d'alcoolémie me manque trop -non-). Évidemment étant adulte maintenant et loin, faut tout ranger, laver, préparer la valise, tout débrancher, couper l'eau, jeter les poubelles ect. + J'avais d'autres trucs à faire et à penser à surtout pas oublier. Donc jdors pas, jme prends un coup de speed monumental et jcommence à penser a plein de trucs: jpensais à prendre le train plus tôt pour faire une suprise à mon mec et arriver en avance chez lui sans le prévenir après jme suis demandée s'il méritait vraiment que jme casse le fion à ce point, jsuis arrivée à la conclusion que non. Ensuite, jme suis demandée pourquoi moi je le trompais pas, est ce que c'était par conviction et respect ou est-ce que j'avais juste pas eu d'occasion. Je tairai cette conclusion. Après jme suis demandée si ma mère m'aimait puisque les remboursements de ma mutuelle arrivent sur son compte et qu'elle veut pas me passer mes 150€ investis en échographies, et examens. Pk elle me laisse dans la merde ? Après jme suis rassurée sur les cadeaux que j'allais pas offrir ou ceux qui seraient nazes car mon mec m'offre le mien aujourd'hui, selon le niveau je pourrai aviser, ça m'a soulagée, j'espère il m'a rien offert de fou. Après j'ai pensé au fait que les partiels c'est bientôt et que la seule chose que j'ai fait à peu près bien c'était m'assoir en amphi mais rien d'autres. Bref ça m'a pris du temps de penser à ça. Donc j'ai pas dormi en fait. Là je commence à tout ranger et tout faire niquel. Comme j'suis folle, je prends tout en photo: la porte fenêtre fermée, les multi prise bien éteintes, l'eau coupée, la porte fermée (ça me permet de pas angoisser pour rien). J'arrive à partir pour le train en avance j'suis contente, puis, sur le chemin, le premier tiers je pense, j'ai une pensée intrusive : "dis meuf tes sûre de pas avoir laissé le gaz allumé par hasard ? T'sais que tout pourrait exploser et t'aurais aucune assurance parce que ce serait juste de ta faute grosse merde, va voir". Après réflexion je cède. Je cours à mon appart. Et ce n'est que dans l'ascenseur que j'ai réalisé 2 choses:
j'ai des plaques à induction
jvais rater mon train
Voilà. Jen peux plus.
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i7traductionfr · 1 year
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Carte d'Anniversaire de Yamato : 16 Idoles Album
Partie 1 / Partie 2 / Partie 3 
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Part 2 : La fête d’anniversaire de mes souvenirs
*Dans un manoir japonais traditionnel*
Invités : Joyeux troisième anniversaire, Yamato-kun~~~ !
Chiba Shizuo : Yamato, regarde, tous les cadeaux que nos invités t’ont apportés. 
Yamato : Waaah ! Il y en a tellement !
Chiba Shizuo : C’est bien plus que ce que j’ai pu envoyer pour le Nouvel An.
Acteur Célèbre : Ce n’est pas vrai, Chiba-san.
Chanteuse Célèbre :  Chiba-san a offert à mon enfant, l’équivalent d’un an de nouilles somen ! Il était ravi !
Comédien Célèbre : C’est pareil pour mon apprenti ! Nous sommes extrêmement reconnaissants. N’es-tu pas, d’accord.
Apprenti comédien : … Ah… Merci… Vous m’avez même invité à l'anniversaire de votre fils…
Chiba Shizuo : Ce n’est rien, voyons. C’est plutôt à moi de dire merci à vous tous d’être venu aujourd’hui.
Chiba Shizuo : C’est l’anniversaire de mon fils, mais je profite de ce jour pour exprimer ma reconnaissance et ma gratitude…
Yamato : Papa, je peux ouvrir mes cadeaux, maintenant ?
Chiba Shizuo : Tu dois les remercier d’abord.
Yamato : …. Oui… ! Merci à tous d’être venu à mon anniversaire… ! 
Acteur Célèbre : Ahah, assez de remerciements ! Yamato-kun, va ouvrir tes cadeaux !
Yamato : Ah… mais…
Chanteuse Célèbre : C’est ton anniversaire, Yamato-kun ! Va t’amuser !
Yamato : … C'est vrai, je peux ?
Chanteuse Célèbre : Tu peux. Je pense que tout est prêt, désormais. Allons découvrir tes cadeaux ! Prêts ?
Yamato : …… ! Partez !
*Yamato se met à courir avec la chanteuse*
Chiba Shizuo : Yamato, attend… ! Aaah, je présente mes excuses pour son manque de discipline. Si vous voulez bien me suivre.
Yamato : Wow, c’est un shinkansen (un train à grande vitesse au Japon) ! Regarde, Papa ! Regarde !
Chiba Shizuo : Ahah, excusez-moi, tout le monde. Commencez sans moi.
*Shizuo rejoint Yamato*
Comédien Célèbre : Le légendaire Chiba Shizuo semble tellement heureux quand son fils est dans les parages. Il a dit qu’il veut exprimer sa reconnaissance et sa gratitude aujourd’hui, mais cela ressemble clairement à une fête d’anniversaire.
Chanteuse Célèbre : Mais, n’est-ce pas merveilleux ? Depuis la naissance de son fils, Shizuo a changé.
Comédien Célèbre : Il meurt probablement d’envie d’exhiber son adorable fils. Aujourd'hui, il pourrait manger n'importe quoi avec son saké et ne s'en rendrait même pas compte !
Invités : Ahahah… !
*On passe à Yamato et Shizuo*
Yamato : Ah… ! C’est un chemin de fer ! C’est un train avec des chemins de fer !
Chiba Shizuo : Oui. Tu pourrais t’amuser à le construire. Pourquoi tu n’ouvrirais pas cette boîte ?
Yamato : Uhm… Ah, Rabitty-kun ! C’est le deuxième que je reçois !
Chiba Shizuo : Quel étrange lapin. Oh ? Il s’illumine. Si tu appuies sur ce bouton, il s’illumine, Yamato.
Rabitty-kun : Uwwwu ! Je suis Rabitty !
Chiba Shizuo : Il parle… ! Yamato, le lapin parle…. !?
Yamato : Rabitty-kun est un jouet qui parle. Je te l’ai déjà montré ! 
Chiba Shizuo : C'est vrai… Mais il n’a pas parlé cette fois-là… Ah, il y a des instructions sur la boîte… Qu’est-ce que cela dit ?
Chiba Shizuo : Il peut dire environs 365 mots différents… ? Oh… Ils font des jouets tellement sophistiqués de nos jours. Ça ne plaisante pas.
Yamato : Ah, c’est Gao Gao Saurus ! Regarde, c’est T-kun, le T-rex !
Yamato : Gao gao~ !
Chiba Shizuo : Tu aimes la puissance des dinosaures ? 
Yamato : Oui, j’adore ça ! Je pense que Tori-kun, le Tricératops est cool aussi ! C’est un herbivore, mais il a des cornes !
Chiba Shizuo : Je vois… !  J’ai acheté quelque chose de similaire le jour de ta naissance ! Je l’ai choisi, car c’est cool et puissant aussi.
Chiba Shizuo : Je pensais que tu étais encore trop jeune pour ça, mais… Est-ce que tu veux le voir ?
Yamato : …… ! Oui… !
Yamato : Waaaah… !! Ça fait peur…. !!
*Certains invités arrivent en courant dans la pièce*
Acteur Célèbre : Que se passe-t-il ?!
Comédien Célèbre : Il est arrivé quelque chose ?!
Chiba Shizuo : Non, c’est juste… J’étais en train de lui montrer le souvenir que j’avais acheté quand il est né…
Yamato : J’ai peur….
Comédien Célèbre : C’est un masque de démon… ?!
Chiba Shizuo : C’est un talisman masque de démon. Un célèbre artisan de Shinshu a travaillé dessus pendant trois ans.
Chanteuse Célèbre : Ce n’est pas bien, Shizuo-san… ! Vous ne pouvez montrer quelque chose de ce genre à un enfant aussi jeune, c’est normal qu’il ait pris peur.
Chiba Shizuo : J’avais l’impression que Yamato était intéressé par les choses sophistiquées, il m’a même dit qu’il aime la puissance, donc j’ai pensé que cela le rendrait heureux… ç-ça a même des cornes…
Yamato : Waah… *sniff sniff*… Même si ça a des cornes, il fait peur… fais le disparaître…
Chiba Shizuo : Je… Je vois… ton papa ne savait pas.
Acteur Célèbre : Malheureusement, Shizuo-san, vous l’avez fait pleurer le jour de son anniversaire.
Chiba Shizuo : J’ai tellement honte….
Yamato : *sniff sniff*
Chiba Shizuo : Yamato, ton papa avait tort, je suis désolé… Y a-t-il quelque chose que je puisse faire ? Je ferai tout ce que tu voudras.
Yamato : ….… Porte-moi….
Chiba Shizuo : Compris, viens ici…
Acteur Célèbre : Shizuo-san, vous allez tourner une scène de combat à l’épée au travail, n’est-ce pas ? Donc forcer sur vos bras….
Chiba Shizuo : Ah, mais Yamato…
Yamato : …. Cheval….
Chiba Shizuo : Bien sûr ! Je vais te faire faire un tour de cheval !
Acteur Célèbre : Attendez, votre dos… cela pourrait affecter les tournages de la semaine prochaine…
Chiba Shizuo : Oui, mais…
Yamato : *sniff sniff*… Alors, il n’y a rien que je peux faire…
Chiba Shizuo : Q-qu’est-ce que je peux faire…
Comédien Célèbre : Yamato-kun, est-ce que je pourrais faire quelque chose pour toi ? Toi aussi, dis-lui.
Apprenti comédien : E-Est-ce que tu veux te battre contre moi ? Je pourrais t’enseigner des techniques !
Chiba Shizuo : Désolé, je préfèrerais qu’il ne fasse rien qui pourrait le blesser…
Chanteuse Célèbre : … Dis, Yamato-kun ! Chantons une chanson ensemble !
Yamato :… Une chanson ?
Chanteuse Célèbre : Oui ! Il y a un bar à karaoké pas loin, allons-y ensemble et chantons !
Chiba Shizuo : … Je suis désolé, mais c’est fermé aujourd’hui.
Chanteuse Célèbre : Ce n’est pas grave, je vous dois beaucoup. Ce n’est pas un problème du tout. D’accord, Yamato-kun, devrais-je commencer ?
Chanteuse Célèbre : Joyeux Anniversaire~ Joyeux Anniversaire~...
Yamato : Wahou ! C’est trop bien ! T’es trop doué !
Chanteuse Célèbre : Fufu, merci. Ok, c’est à ton tour, maintenant !
Yamato : D’accord ! Joyeux Anniversaire~ Joyeux Anniversaire~♩ 
Chanteuse Célèbre : Oh mon…
Acteur Célèbre : Hé, il est plutôt doué…
Comédien Célèbre : C’est ce qu’on pouvait s’attendre du fils de Chiba Shizuo !
Acteur Célèbre :  Fantastique, Shizuo-san ! Malgré son jeune âge, il peut déjà suivre le rythme… Hein ? Shizuo-san ?
Chiba Shizuo : ……… !
Acteur Célèbre : Ahaha, il ne peut pas faire attention à autre chose que la voix de Yamato !
Yamato : Joyeux Anniversaire moi~ Joyeux Anniversaire… ~♩  C’est fini.
Invités : *applaudissement*
Acteur Célèbre : Incroyable, Yamato-kun !
Chanteuse Célèbre : Fantastique ! Tu es doué pour le chant, Yamato-kun ! Quand tu seras plus grand tu chanteras avec moi au Black or White !
Yamato : Héhéhé…
Apprenti comédien : Ah, le gâteau arrive ! Pile à temps !
Yamato:  Wow… ! Trop bien ! C’est une voiture de police… !
Chiba Shizuo : C’était l’idée de ta mère. Elle a décidé de faire un gâteau en forme de voiture cette année. J’ai proposé un gâteau en forme de cheval à la place, mais…
Yamato : Je préfère la voiture de police !!
Chiba Shizuo : Ahah, je vois… Ton papa ne comprend vraiment rien.
Yamato : Maman m’as dit que tu es monté dans une voiture de police, quand tu étais un détective à la télé.
Yamato:  C’est pour ça que la voiture de police est mieux ! Papa est trop fort et cool !
Chiba Shizuo : …. !  Ah, c’est… !
Chiba Shizuo : …… !
Comédien Célèbre : Est-ce que Shizuo-san serait en train de pleurer ?
Chanteuse Célèbre : Faisons comme si nous n’avions rien remarqué… Yamato-kun vient souffler tes bougies !
Yamato : Oui !
Yamato : *souffle*
Invités : *applaudissent*
Invités : Joyeux anniversaire, Yamato-kun !
Chanteuse Célèbre : Joyeux anniversaire, Yamato-kun. Oh, tu as de la crème sur le bout de ton nez ! Comme c’est adorable !
Yamato : Je peux avoir du gâteau ?
Chiba Shizuo : D’accord, laisse-moi le couper. Il est aux melons, puisque c’est ton fruit préféré. 
Yamato : Vraiment ? J’adore les melons !
Yamato : Mon anniversaire était trop bien ! J’ai eu pleins de cadeaux, et il y avait même des melons ! Que des choses que j’aime !
Chanteuse Célèbre : C’est parce que tu es la star du jour !
Yamato : Je suis… la star du jour ?
Chiba Shizuo : Oui. Aujourd’hui, c’est ton jour.
Yamato : Alors je dois vous dire merci encore une fois ! Papa m'a dit que la star est celui qui doit dire “merci” le plus !
Chiba Shizuo : ……. !
Acteur Célèbre : Ahaha! Shizuo-san a de nouveau une poussière dans l'œil.
Comédien Célèbre : Yamato-kun, est-ce que tu veux devenir acteur comme ton père quand tu seras plus grand ? 
Chiba Shizuo : …. !
Yamato : Mmmh… je sais pas.
Chiba Shizuo : Oh, je vois…
Yamato : Je sais pas, mais je veux être aussi fort que papa un jour. Car c’est le plus cool !
Chiba Shizuo : Yamato… !
Yamato : Dis, papa… comment je peux être aussi fort que toi ?
Chiba Shizuo : Voyons voir… soit sûr de remercier et d’être remercié. De cette façon, tu deviendras de plus en plus fort.
Yamato : Uhm… ça semble difficile, je suis pas sûr de comprendre…
Chiba Shizuo : C’est difficile pour moi aussi. J’espère que tu trouveras la réponse, un jour…
Yamato : Je la trouverai ! On la trouvera ensemble, papa !
Chiba Shizuo : … ! Merci, Yamato…
Fin de la partie 2
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aurevoirmonty · 1 year
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Alors c’était comment votre repas de Noël ? Chez moi on a parlé Sandrine et immigrés. Séparatisme et Sécession. Ah on s’est bien marrés !
Mais en lisant les réseaux sociaux, je m’aperçois ce matin à quel point l’épidémie transgenre a bien gâché le réveillon de certaines familles. Le neveu habillé en bonne femme. La petite fille préférée de mamie gâteau avec du poil sur la gueule et les cheveux qui tombent. Souffrance. Stupeur. Pitié et colère. Hurlements et larmes.
Entre la dinde et les cadeaux, certaines familles ont même découvert que, sous l’influence de la « commu » (le lobby transgenre dans leur patois ), Thomas devenu Coraline s’était fait récemment couper les roustons. Depuis il en bouffait du cacheton, mais il tenait bon, à défaut de tenir la barre. Lors du dîner, il a d’ailleurs fallu qu’il aille faire quelques « dilatations » avant de se laver entièrement tellement l’odeur était insoutenable. Terrible réalité ! Quelques pauvres niais influençables subissent une lourde opération et les conséquences qui vont avec. Trou béant. Infections. Pire qu’un jambon sous asticots ! Perte du plaisir sexuel, dépression, sensation d’avoir gâché sa vie. Découverte après coup de l’ampleur du désastre.
Le repas de Noël aura également été l’occasion d’expliquer la notion de « dead name » à Mémé. Guillaume doit désormais être appelé Clémentine. Et ça gueule, ça fait son cirque si tout le monde ne s’exécute pas ! Menaces ! Ça chouine même en direct sur Twitter et déballe le nom des contrevenants. Pourtant, l’année prochaine, quand la crise sera passée, il faudra l’appeler Guillaume de nouveau. En attendant, il a fallu se fader la gueule du phénomène toute la soirée ! Ah et puis pas le genre « femme discrète », vous voyez. Avez-vous remarqué à quel point les hommes en jupe singeaient les plus putains des modèles féminins ? Quand ce n’est pas le style « gamine ingénue » un peu manga cochon. Ca laisse rêveur sur le fantasme inavouable qui se cache derrière tout ce cirque…hum, hum…
Au moins ce réveillon de Noël aura été, pour toute la famille, l’occasion de découvrir un nouveau charabia: « mutus », « cis-genre », « adelphe ». Bien lourdingue, mais au final pas plus que les conneries maoïstes ou trotsko-révolutionnaires que Tonton Jean-Pierre débitait à leur âge. A la seule différence est que, une fois Rennes 2 passée, Tonton aura juste changé son abonnement au « Monde Libertaire » pour en prendre un à « L’Incorrect ». Pour Guillaume, il n’y aura pas de véritable retour en arrière. AltGr+Y, ça ne marche que dans les jeux vidéos.
Car la vague de transgenre née des réseaux sociaux entame visiblement sa descente. Et les premières désillusions qui vont avec. Les uns reprendront des médocs ou des séances d’épilation laser pour effacer leurs années dingues. Se feront oublier un moment et finiront clerc de notaire puis tonton raciste au repas de Noël de dans 15 ans. Les autres, ceux qui se seront fait happer et qui auront été jusqu’au bout, finiront suicidés. Hélas.
Et tout le monde sera triste au prochain repas de Noël. A cause d’eux ! Même morts, ils continueront à nous pourrir la vie !
Anne-Sophie Hamon
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le-panda-chocovore · 1 year
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20 jours... 3 semaines demain.
J'ai finis les chocolats qu'il m'avait donné. Ils étaient délicieux, je les ai tous savouré avec plaisir.
J'ai commencé à écouter les vocaux qu'il m'avait envoyé. Ca fait mal de l'entendre comme ça, j'ai pris plusieurs pauses et j'ai seulement fini le premier.
J'ai fini par ranger les t-shirts qu'il m'avait laissé. J'ai failli les ressortir hier soir, mais au final j'étais tellement fatiguée que je me suis juste endormie devant mon ordinateur.
Je relis un peu nos conversations parfois, mais seulement les récentes, pas celles d'avant, de quand tout allait bien. Je pense que je suis pas encore prête pour revivre nos souvenirs heureux.
Je dors chaque nuit avec la dernière peluche qu'il m'a offerte. Elle est tellement douce, tellement cute, ça m'apaise un peu.
J'ai utilisé le V. qu'il avait acheté pour moi. J'essaie de me réhabituer à la sensation de plaisir sans l'associer à un souvenir négatif. C'est différent, seule, mais ca semble marcher.
J'ai perdu le poème calligraphié. Je sais plus si je l'ai jeté ou si je l'ai rangé quelque part. Mais je crois pas que ce soit grave. J'ai pas besoin de le retrouver.
J'ai mis l'argent dans une enveloppe, j'ose pas l'utiliser. J'ai un peu honte de me balader avec. J'ai l'impression de profiter.
Je pense à revendre certains des cadeaux, ceux que j'utilise pas. Je les ai mis dans une boite dans mon armoire pour l'instant. Peut-être que je les donnerai à ma sœur.
J'ai annoncé à une seule personne IRL que c'était fini. Ca m'a fait un pincement au coeur de dire "mon ex" à voix haute, c'était bizarre.
Je cherche où mettre son mot. Je dois trouver un cahier ou un classeur ou une pochette. Je devrais pas le garder afficher sur le mur comme ça.
Je sais pas si je renomme mon ours ou pas. Il a toujours eu 2 prénoms de base, peut-être que je vais juste garder l'autre du coup, même si je le trouve triste et un peu ridicule.
J'ai annoncé à Selkie qu'il y a eu "divorce." Bon, c'est une peluche et il a jamais rencontré son 'père' donc je pense qu'il s'en fiche, mais moi j'ai pleuré. Il m'a consolé.
J'alterne entre la playlist de rupture et la playlist d'amour, selon mon humeur. Les deux me donnent envie de pleurer, ceci dit. Et de crier aussi. Ca fait du bien et du mal à la fois. Bizarre.
Je recommence à passer du temps sous la douche. Des je revis nos dernières conversations dans ma tête, des fois je zone out juste. Mais c'est pas une bonne chose.
Je zone out et daydream de plus en plus souvent. Je me vois réexpliquer encore et encore pourquoi je pars, de toutes les manières possibles, avec plein de métaphores. Il ne comprend jamais.
J'ai fini d'enlever nos dates de partout. Même sur Steam, c'était le dernier car j'y vais jamais. J'ai gardé les screens ceci dit.
J'ai bloqué son numéro il y a quelques jours. A cause d'un pavé reçu littéralement 10 minutes avant un exam. Je suis trop stressée en ce moment pour gérer tout ça en parallèle.
Je dois avoir 7 ou 8 post en brouillon sur lui. Certains datant d'avant, des poèmes non finis que je peux pas supprimer. D'autres datent d'après, des pensées trop désordonnées pour être publiées.
J'ai repris la rédaction d'une vieille fanfic jamais postée. Elle me fait douloureusement penser à cette situation. La phrase phare : "aimer, ça ne suffit pas."
Je suis sur le même livre depuis 2 mois. Une histoire d'amour triste. D'habitude j'adore ça, mais là... J'ai jamais mis autant de temps à lire un roman. Mais je sais comment ça va finir : mal.
•·················•·················•
Voilà, je crois qu'on va s'arrêter là pour le journal de ma vie ? Je sais pas si y a d'autres trucs à noter, je suis fatiguée, j'arrête pas d'écrire depuis 4 jours avec tous les devoirs qu'on a à rendre et tous les exams qu'on passe.
Je pense que je vais reprendre Grey's Anatomy petit à petit du coup, j'avais arrêté de le faire seule pour regarder uniquement avec lui, mais va falloir que je me réhabitue... Je vais essayer de continuer de jouer à Stardew Valley solo aussi, j'aimais bien ce jeu, c'est juste que mon attention est facilement détournée.
Bref... Toujours pas à pas, parfois un de travers, parfois un en arrière, mais je crois que j'avance. La direction est moins importante que le chemin.
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Petites boîtes, la dépendance à l’objet
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Très chers lecteurs, je suis ravie de vous retrouver et suis impatiente de vous présenter le sujet du jour intitulé  » petites boîtes « . Aujourd’hui, nous allons aborder les concepts du choix, de l’objet et de l’oubli.
Chers amis, vous avez très certainement une boîte dans laquelle vous préservez des effets personnels tels que des cadeaux, colifichets, porte-bonheur, photos, ou autres… N’est-ce pas ?
Une boîte peut être soit vide, soit pleine.
Je suis à peu près certaine que la votre renferme des trésors ; vestiges de la personne que vous avez été, que vous êtes et qui vous souhaiteriez être. Partant de ce principe, nous pouvons alors s’interroger sur la place que nous attribuons à l’objet et pourquoi est-il si difficile de s’en séparer? Mes amis, détendez-vous, aucun jugement ne sera porté mais soyons honnêtes… vous et moi sommes tous (un peu) matérialistes. La question que je vous pose est « on jette ou on garde  » ce qu’il s’y trouve ? – Ça dépend ! me répondrez-vous ?
Alors, que gardez-vous et pourquoi ?
Au fils de nos expériences on accumule toutes sortes d’objets, mais au fond que représentent t’ils ? Est-ce à la hauteur de l’investissement d’une relation passée (filiale, amicale, sentimentale, professionnelle) ? Est-ce que je m’y rattache car il me rappelle inconsciemment la façon dont j’ai été aimé(e), écouté(e) et témoin de l’attention que l’on me portait jadis ?
Attendez-vous une réponse de ma part ? La seule que je puis vous donner est que vous avez déjà la réponse en vous.
Éléments déclencheurs & décisions …
Pour ma part, le premier déclencheur a été mon déménagement suite à une séparation. Cette dernière a été une vraie délivrance, je l’intitule « mon plan de sauvetage ». J’ai toute quitté pour m’installer à l’autre bout du territoire sans en connaître quoi que ce soit. J’y ai donc amené toutes les affaires d’une vie (y compris tout ce qui se trouve chez mes aïeux). Avant de sauter le pas, je bénéficiais d’un très bref délais pour répondre à ces 2 problématiques : les finances & la logistique (espace de stockage).
Je me suis résolue à mettre en vente une partie de mes affaires et contrainte de laisser l’autre partie à Chiabrena* (qui n’est autre que mon ex). Faire le tris dans l’urgence est un moment redouté et il n’est possible de garder uniquement ce dont nous avons besoin ET de ce que l’on aime réellement.
Etats des lieux méthodiques
Il est nécessaire de faire divers états des lieus. Le premier étant « physiques » : quels objets je possède et combien (quantité) ? Le second se veut « mental » : pourquoi j’ai ces objets (raison) ? et le dernier est « émotionnel » : quels sont les personnes et les souvenirs rattachés à ces objets (sentiment) ? De ça en découle une interrogation supplémentaire : Sur quels critères se base-t ‘on  pour attribuer de la valeur ?  Arbitraire, non ?
Durant cette période de tris pré-déménagement / post-emménagement, je sentais une incommensurable pression, comme si le « poids » de ma vie était là dans ces cartons. Je flirtais avec ambivalence entre la nostalgie d’un passé douloureux et le soulagement d’aller de l’avant. On accumule des objets au cours de son existence, les pièces rétrécissent, et on finit par se dire que c’est plus possible.
Pourquoi “trier” nous fait autant suer ? On repousse cette étape parce qu’au fond nous savons que ça va être une contrainte (temporelle, physique et même nettoyer les vitres devient une activité bien plus distrayante).
A-t ’on réellement le courage de se faire face ? Les objets sont notre reflet dans le miroir, ainsi que les stigmates de ce qui n’est plus. S’ils ne sont pas dans une boîte, ils sont exposés aux yeux de tous…
Prenez ce « truc », ça traine là. En vrai, on ne peut plus se le voir…
Reprenons,  un objet est un symbole, souvent lié à une personne (ou un lieu) et nous ramène à elle. Il devient la preuve de ce qu’on a vécu, par conséquent détient une valeur sentimentale. Témoin d’une de nos histoires, de notre bonheur insouciant. Se séparer de l’un d’entre eux peut se révéler d’une violence inouïe. Cela conclu à une rupture avec son “ancien soi”, de son ancienne vie.
Analogie de la pierre
Au printemps dernier, Dame K. m’interrogeait sur le sens symbolique de se débarrasser de mes cailloux*. Elle fait référence plus précisément à « mon sac à dos remplis de cailloux », soit aux événements douloureux et autres traumatismes vécus que je porte sur les épaules. Faire un travail sur soi permet d’un un premier temps de retirer une pierre et de la garder dans la main, et dans un second temps de déposer cette pierre. L’analogie est intéressante, si je déplace la pierre, mon dos (ma conscience) est allégé(e) mais il m’empêche tant bien que mal à me servir de mes mains. On peut choisir de déposer ce poids pour se délester et lâcher prise, soit on peut faire le choix de bâtir.
Jeter c’est oublier ?
Je pense que tout objet n’est pas “bon” à garder, et ce peu importe la valeur financière ou sentimentale de ce dernier. Garder peut entretenir un chagrin latent, s’en séparer reviendrait à se délivrer, à reprendre le dessus et transformer les émotions négatives en joie. Êtes-vous tiraillé(e) entre : protéger les souvenirs qui font partie de vous et faire une croix sur votre passé ?
Que redoute-t-on ? Avons-nous peur que notre trace soit effacée ? Pourquoi être si triste d’oublier ou d’être oublié(e) ? (J’aborderai cette thématique dans une autre chronique). D’où vient ce besoin d’exister au travers de l’objet ? Secouez-vous ! Cessez d’accumuler, détachez-vous de l’emprise qu’a l’objet sur votre état, gardez l’utile et l’agréable.
Il n’y a pas de « oui mais… » qui tiennent
Mes chers lecteurs, n’y voyez aucune invective contre votre personne, comme je le rappelle, Mon existence relative est un lieu d’échanges bienveillants. Ici, il est question de vous interpeler, de vous questionner sur vos schémas, d’éveiller votre conscience.
Faire du tris engage de nombreux tumultes, des remises en questions, des déclics parfois douloureux mais ils sont tous passagers. La séparation d’un objet nécessite de faire un choix alors prenez le soin de ne pas vous y attarder, cela pourrait se révéler contre-productif. Le trouble doit être vif et temporaire, retirez le sparadrap d’un coup net et précis ! C’est déjà oublié.
Amicalement vôtre, Lady B. Van Der Fiak
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La Reina Del Sur : Season 2
- “La vie est comme une littérature. On s’écrit une fiction parce que la réalité est dure à expliquer.” (Teresa)
- “C’est un moyen de savoir si on te suit. Personne ne fait 360 degrés collé à tes fesses par hasard.” (Oleg)
- “Quand un ennemi creuse sa tombe, il faut pas pas lui prendre sa pelle.” (Episode 14)
- “Plutôt que la Reina du Sud, tu seras la Veuve noire.” (Episode 14)
- “Ce traître était condamné. J’ai seulement mis un peu de piment à sa mise à mort.” (Episode 15)
- “Mes compatriotes disent toujours oui, mais jamais quand.” (Episode 20)
- “Cacher des informations pour la protéger n’est pas mentir.” (Episode 22)
- “Tu n’as pas confiance en Teresa ? (Faustino - Je n’ai même pas confiance en mon ombre, car elle change en fonction du soleil.” (Zurdo Villa - Episode 27)
- “Tu sais tous les hommes ne sont pas comme ça. (Zurdo Villa) - Il y en a des pires. (Teresa - Episode 28)
- “Avec son look de vampire, elle pourrait bien me dévorer le coeur.” (Faustino - Episode 28)
- “La tequila, c’est le feu que crache le volcan. Le mezcal, c’est l’explosion totale.” (Faustino - Episode 28)
- “Comment te faire confiance sans te connaître ?” (Teresa - Episode 28)
- “Demande à ton ami. Je ne me laisse pas embrasser par n’importe qui. Celui qui me prend par surprise se fait botter le cul.” (Teresa - Episode 29)
- “Je connais les Mexicaines. Teresa est déjà à ma botte. C’est juste qu’elle ne le sait pas encore.” (Zurdo Villa - Episode 29)
- “Il t’offre une maison et une bague ?Si ce n’est pas de l’amour, ça.” (Marcela - Episode 29)
- “Dans ce monde, tout se négocie. Seule la marchandise change.” (Teresa - Episode 31) 
- “Tu n’avais pas d’idées derrière la tête en m’offrant tes cadeaux ?” (Teresa - Episode 31)
- “Comment te remercier ? (Teresa) - J’ai une petite idée. Laisse-moi courtiser ta belle-fille. Cette jolie vampire a une place chère dans mon coeur. Teresita, tu lui permettrais d’être ma petite amie ? (Faustino) - Arrête de faire comme si je n’étais pas là. Je ne suis pas une gamine. Sale beauf. (Rocío) - Beauf ? C’est quoi ? Un animal ? Comme une baleine, un dauphin, ce genre-là ? Teresita rigole. Ça veut dire qu’on a son aval. Quoi ? Au club le Sous-marin ou au bout du monde. Je t’emmène où tu veux, poupée.” ((Faustino - Episode 33)
- “C’est le Colombien qui aimerait la mordre. Tu crois qu’il l’a ramenée à l’hôtel pour...” (Episode 33)
- “Putain ! Elle travaille avec des gens super louches. Et toi ? Tu sors avec le trafiquant colombien. Tu avais l’air heureuse au club. - Il est mignon. (Rocío) - Oui, mais c’est un trafiquant. Il pourrait être notre père. (Paloma) - Il ne l’est pas. (Rocío)  - Rocío. Tu craques pour lui. (Paloma) - Laisse-moi. (Rocío) - Tu es conne ou quoi ? (Paloma) - Non, je m’amuse. (Rocío) - Il est taré. (Paloma) - Eh bien... (Rocío) - Il t’a embrassée. (Paloma) - Comment tu sais ? (Rocío)  - Tu as cet air stupide. (Paloma) - Il me plaît beaucoup, oui. On s’est embrassés. Mais il ne se passera rien d’autre, d’accord ? Tu peux me lâcher. (Rocío)  - Rocío, ce sont des criminels. Ce n’est pas une romance de vampires. Ils sont dangereux. C’est la vraie vie. Tu ne vois pas ? Ils vivent en un jour ce que les autres vivent en une vie.” (Paloma) 
- “On n’a pas de preuve. Pas de corps, pas de crime.” (Episode 35)
- “Hélas, ma fille est comme moi. On oublie, mais on ne pardonne pas.” (Teresa - Episode 36)
- “Ça a été l’une des plus belles nuits de toute ma vie. Mais un gentleman garde ça pour lui. Car le passé peut faire remonter de mauvais souvenirs.” (Coronel Abdelkader - Episode 37)
- “Comme l’a déjà dit un politicien corrompu : “Un politicien pauvre est un mauvais politicien.” (Epifanio - Episode 37)
- “Je voulais te voir, mais tu ne changes pas. Toujours aussi dure et cassante.” (Episode 37)
- “Qui est ce type qui te traite de vampire et qui joue les chaperons ?” (Mrs Aljarafe)  - Vous vous trompez. Je ne suis pas son chaperon. Je suis son petit ami. (Faustino) - Tu as perdu la tête ? Tu l’as vu ? Il est vulgaire, grossier, on dirait un maquereau. Rocío m’avait prévenu, mais vous êtes pire que je croyais. (Mrs Aljarafe) - Ce n’est pas du tempérament mais de la hargne, ma chère ! (Faustino) - Je ne vous permets pas. (Mrs Aljarafe) - Ma poupée, dis au revoir à la mère lion, on doit quitter ce cirque. (Faustino) - Je vous en prie, fichez-nous la paix. (Mrs Aljarafe) - C’est impossible, Veva. Seuls les morts dorment en paix. (Faustino - Episode 37)
- “Le monde évolue, on doit aussi évoluer. Celui qui n’évolue pas avec son époque, meurt.” (Teresa - Episode 39)
- “On doit tenir nos engagements, et tenir nos promesses. Parce que ces types-là, si tu fais du bon boulot, ils te tapent dans le dos. Si tu te loupes, ils te feront mordre la poussière.” (Teresa - Episode 39)
- “Tortellini, faites bien attention à ces deux jolies poupées. S’il leur arrive quoi que ce soit, je fous le feu à votre baraque. Les cendres restantes ne rempliront même pas un cendrier.” (Faustino - Episode 39)
- “Un bon ennemi est un ennemi mort ! (Episode 40)
- “Si on peut appeler cette angoisse permanente “la vie”. (Episode 41)
- “Ne lui fais pas de mal, elle a perdu la tête.” (Episode 41)
- “Plus tu vieillis plus tu es aigrie.” (Episode 43)
- “Je ne sais pas. Je n’ai pas les idées claires. (Rocío) - Tu es amoureuse, voilà tout. Ton coeur te dit oui, mais ta tête te dit non.” (Paloma - Episode 44)
- “Tu joues à quoi ? (Rocío) - Rocío, arrête. (Paloma) - Ce mec est tout comme Juanito. Il parle trop. Mais il ne fait rien. Tu as un faible pour les gamins.” (Rocío)
- “Quand on joue avec le feu, on se brûle.” (Episode 48)
- “Ceux qui me cherchent savent combien je vous hais. C’est pour ça que ma fille est bien chez vous. (Teresa) - La haine est réciproque. (Mrs Aljarafe - Je peux aider un allié à cacher un corps. Si vous me trahissez, ne l’oubliez pas. Je sais cacher les corps mieux que personne.” (Teresa - Episode 51)
- “Ton silence montre où va ta loyauté.” (Teresa - Episode 52)
- “Je suis aux anges de voir quelqu’un qui te hait autant que moi.” (Episode 52)
- “Comme le dit le dicton : “Assieds-toi au bord de la rivière, et tu verras le cadavre de ton ennemi passer devant tes yeux.” (Episode 55) 
- “Rien de pire qu’une poule qui se prend pour un aigle.” (Teresa - Episode 55)
- “J’ai connu pire et je suis toujours en vie.” (Teresa - Episode 57)
- “Elle était folle de moi. C’était facile de s’attacher. Enfin... s’attacher implique un sentiment de possession. “ (Teresa - Episode 59)
- “Je voulais te le dire. Il y a des tas de choses dont j’aimerais te parler... Tu sais, la vie... La vie ne suffit pas.” (Mrs Cayetana Aljarafe - Episode 60)
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thespookydiary · 1 year
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Dimanche 04 Décembre 2022
10h24. Bon on a parler de Noel avec Y. On parlait du fête si on achetais des cadeaux pour les Moldus et ce qu'ils avaient prévu pour No��l. Donc je lui ai dit que Mel et sa famille le passait avec des parents. Et que Ev et sa famille avait l'air d'être pris mais que quand j'ai dis que nous on allait sûrement rester tout les deux a la maison, Ev aurait bien aimé nous proposé de venir. De la Y dit "de toute façon si on ne descend pas le 10 parce qu'on est de concert je pense qu'on descendra le 25". Donc moi je lui ai dis que je n'avais pas forcément envie. Il a répondu "ça fait longtemps qu'on ne les a pas vu". Et j'ai dis "ce n'est pas le problème, c'est juste que si j'entend que Noël c'est un jour comme un autre, ça va m'énerver". Après ça Y a dit "tu n'es pas obligé de venir". Mais il y a comme eu un froid, j'ai dit un truc en rapport a autre chose, Y a répondu mais après il est parti planter l'arbre tout seul. Je l'ai laisser faire parce que je me suis dis qu'il avait besoin d'être seul pour encaisser et que l'autre jour il m'avait dit qu'il pouvait le faire seul vu que je suis enrhumée.
Bref, maintenant je me sens un peu mal même si je n'ai fais que dire ce que je ressentaid. J'en ai marre de ne pas m'imposer et de trop souvent me forcer pour éviter le conflit.
Et puis, la manière dont il emmène ca m'énerve :
1. JE pense qu'on va descendre... // non d'abord tu me demande mon avis et on en discute
2. Il n'aime pas forcément Noël, son père c'est pire car il ne fait même pas de cadeau et ça mère ne cesse de répété "Noël est un jour comme un autre" alors pourquoi ??? Si c'est le dire, on se voit une fois en hiver alors on tant se retrouver pour la galette des rois mais ça on pourrait en discuter seulement si le point 1 se déroulait de la bonne manière.
3. L'autre jour il m'a dit qu'on ne verrait sûrement pas ces parents cette fin d'année. Alors pourquoi là il revient sur sa décision sans m'en parler ? Moi ça me soule de prévoir ce genre de chose a la dernière minutes.
Bref, voilà. En espérant que ca ne prenne pas des proportion énorme...
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mexicoquechido · 1 year
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Journée marathon
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Colis toujours au centre de tri... bon ce matin on se réveille tôt et on va filer à la Poste. S'il n'y est pas on est dans la merde ; le mariage est ce soir et Tanya est pas chez elle pour le réceptionner.
9h ouverture du bureau de poste, on explique la situation au postier (très gentil), il va voir et par la fenêtre on aperçoit notre colis déposé 2 semaines plus tôt. Purée il est là si près...
"Oui mais j'ai besoin de la carte d'identité du destinataire"... impossible. On lui explique que nos tenues sont dedans, qu'on a nous même envoyé le colis, que c'est noté sur notre passeport.. il ne peut pas nous le délivrer sans un pouvoir de Tanya, qui est en train de se faire maquiller. Bon il nous dit "faites le pouvoir vous même et signez pour elle... mais j'ai besoin de la copie de ses documents. Put***... on doit aller au cyber imprimer et écrire un pouvoir, photocopier et revenir à la Poste. On lui donne tout... c'est BON on a notre colis on est sauvés !!
10h on file chez le coiffeur de Robin, moi je dois trouver pour mes ongles, ça se goupille pas mal.
Pendant ce temps je trouve un fleuriste je lui explique par whatsapp ce que je veux et s'il peut me faire un bouquet pour les cheveux, avant mon rendez-vous chez le coiffeur (que je prends aussi via whatsapp), tout s'enchaîne.
On prend quand même un petit moment pour manger : guacamole et torta ahogada.
Robin se prépare (chemise à repasser etc...). Il est 17h quand je sors du coiffeur, je me prépare et ma coiffure tombe déjà d'un côté elle a pas mis assez de pince... arggghhh on a 40mn devant nous pas plus (en anticipant les bouchons etc), on va repasser la voir qu'elle me refixe le tout (pour info 10 euros la coiffure).
On descend au parking, on charge la voiture de tous les cadeaux (un coffret de verres à vin, un Bordeaux, un poivrier et salière Peugeot) donc bien chargés... et PU**** la voiture démarre pas.. panne de batterie.
Plan B, Uber. On file chez la coiffeuse dans la rue avec les cadeaux (tout habillés, les bras chargés en talons sur les pavés c'était drôle avec le recul) , on booke le Uber qui arrive dans 13 mn, le temps top chrono pour qu'elle me refasse la coiffure. Quelle galère...
On monte en voiture mais la conductrice m'insupporte, elle conduit trop mal (genre à coups d'accélérateurs) et fenêtre grande ouverte (qu'elle pouvait pas fermer car manuelle) donc pour pas être décoiffee sur la demie heure de route c'était coton, et sa jauge d'essence qui s'allume. Si elle tombait en panne elle s'en prenait une.
Attendus pour 19h (max), on arrive à 18h50 avec nos paquets en mode gitan (carton de livraison, bouteille dans du papier bulle) car on avait prévu de faire notre petite magouille dans la voiture.
A l'heure, prêts, avec les cadeaux... c'est bon ! Mission accomplie !
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girly-mess · 3 years
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{ Billet d’humeur #17 }
La dépendance affective & les styles d’attachement
Avant qu’on aborde le sujet d’aujourd’hui, j’ai oublié de parler de quelque chose d’important concernant les Love languages de Gary Chapman, donc on va s’y repencher 2 min. D’où viennent les love languages ? Comment les développe-t-on ? Comment sait-on lesquels sont les nôtres ( à part en faisant le test sur le site officiel ) ? 
Il se trouve que nos langages amoureux dominants découlent, en fait, de notre enfance, car :
si on a eu une enfance/adolescence plutôt heureuse et saine, notre top 3 des langages de l’amour correspondra à ce dont on a toujours été habitué étant plus jeune. Par exemple, si nos parents ont toujours été tactiles avec nous, on voudra alors retrouver ce langage amoureux chez notre futur partenaire.
si ça n’a pas été le cas, alors on va vouloir rechercher à tout prix ce dont on a cruellement manqué durant notre enfance et notre adolescence. Tout simplement parce que nos parents n’ont jamais comblé nos besoins émotionnels et ont laissé notre piscine d’amour ( Notre Love tank, comme Chapman aime l’appeler ) désespérément vide pendant de nombreuses décennies. 
Pour ma part, mon langage primaire est le Physical touch, puisque lors de mon enfance, - et jusqu’à encore aujourd’hui - mes parents n’ont jamais montré leur amour par les gestes et les câlins. Ils ne l’ont jamais exprimé par les mots non plus ( je suis convaincue de n’avoir jamais entendu mes parents me dire Je t’aime, c’est pour dire... ), ni même en passant du temps qualitatif avec mes frères et moi vu qu’ils étaient obnubilés par le travail. Par contre, les cadeaux, ça y allait ! Voilà pourquoi les Gifts sont en dernière position dans mon classement. Pour moi, ça n’a plus aucune valeur, en fait. Ca ne veut pas dire que je n’aime pas les cadeaux, j’aime beaucoup en recevoir, mais ça n’a jamais été un moyen efficace de m’exprimer son affection. Et comme, émotionnellement, j’ai toujours été en jachère - pour dire les choses joliment - je me suis rendue compte, après avoir fait le test en ligne, que mon Top 3 correspondait exactement à tout ce que je n’ai pas eu de la part de mes parents étant petite. 
Et en plus de ça, je constate désormais que mon enfance est en réalité la cause directe de mes problèmes d’attachement et de dépendance affective. Pourquoi ? Et qu’est-ce que c’est que tout ça ? Je vais vous expliquer ça de suite.
La première chose à savoir, c’est que tout est étroitement lié. Si, si, vous allez voir. 
A force de voir notre Love tank terriblement vide toute notre enfance, on en arrive - une fois adulte - à s’attacher très ( trop ! ) rapidement aux gens qui nous montrent la moindre affection et nous accorde la moindre attention. Parce qu’on est inconsciemment désespéré à l’idée de le remplir. C’est d’ailleurs à cause de ça qu’il existe des gens considérés comme clingy. Et je ne peux que comprendre ces gens-là, car je ressens le même manque et je me reconnais parfaitement en eux. Lorsqu’on parle d’attachement, il faut savoir qu’il existe 4 styles d’attachement différents :
Nous avons, tout d’abord, le style Sécure. Les gens de cette catégorie-là ont tendance à avoir des relations épanouies et durables. Ils sont tout à fait à l’aise à l’idée d’exprimer leurs émotions, leurs ressentis et sont très rarement enclins à la dépression ou à souffrir d’autres troubles psychologiques. Ils ont aussi plutôt confiance en eux et en les autres donc R.A.S. de leur côté quoi.
Ensuite, nous avons le style Anxieux/Préoccupé. Cela correspond aux gens dont l’anxiété liée à la relation est très élevée, qui ont une mauvaise estime de soi, qui ont peur de l’abandon et qui font un peu trop facilement confiance aux autres. Ils sont souvent très émotifs également. Ils auront beau être à l’aise pour exprimer leurs émotions, ces personnes vont vivre beaucoup d’émotions négatives qui peuvent nuire à la relation. Ils ont tendance à idéaliser les autres et cherchent en permanence à être rassurés. Ils peuvent manifester de la colère vis-à-vis de leurs parents et seront facilement submergés par leurs émotions à l’évocation des mauvais souvenirs d’enfance. ( Yeap... Je suis définitivement un membre de cette catégorie... Cela dit, je crois bien que je suis seulement terriblement anxieuse AVANT l’officialisation de la relation. Tant que l’autre personne ne me montre pas qu’elle a réellement envie d’être avec moi, qu’elle m’a choisie pour entamer une histoire sérieuse, je vais envisager toutes les raisons possibles pour lesquelles cette personne pourrait se barrer de ma vie du jour au lendemain, me laissant ainsi le coeur brisé )
Puis, il y a le style Détaché/Désorganisé, qui concerne ceux qui préfèrent généralement garder leur autonomie, au détriment de leur relation amoureuse. Ils oscillent en permanence entre les styles d’attachement Anxieux et Evitant. Leur comportement est souvent contradictoire. Leur confiance en soi et envers autrui est perturbée, fluctuante et leurs réactions émotionnelles sont imprévisibles.
Et enfin, le style Evitant/Craintif, dont font partie les gens qui ont tendance à avoir beaucoup de difficultés dans leurs relations, car ils fuient les rapprochements émotionnels. Non seulement ils expriment très peu leurs émotions, ils vont également chercher à les refouler pour ne pas avoir à ressentir la moindre souffrance potentielle. Ils sont plutôt méfiants vis-à-vis d’autrui, ont du mal à demander de l’aide et à en recevoir, et leur confiance en eux n’est qu’apparente. 
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Et vous ? C’est quoi votre style d’attachement ?
Et lorsque je disais que tout était étroitement lié, c’est parce que 3 de ces 4 styles d’attachement peuvent créer de la dépendance affective, sous ses différentes formes. C’est-à-dire que :
Ceux qui ont un style d’attachement anxieux/préoccupé risquent de souffrir de la forme la plus répandue de dépendance affective. Plus précisément, la faible estime de soi va les conduire à avoir tendance à tout investir dans la relation avec l’autre, en espérant que ce dernier pourra pleinement remplir leur Love tank. Et si ce n’est pas le cas puis que la relation se termine, ils tombent généralement de haut et ont du mal à s’en remettre. La peur de l’abandon est massive chez eux et ils ont constamment besoin d’être rassurés sur les sentiments de l’autre et sur sa disponibilité. Pour éviter la séparation, ils sont capables de se soumettre et de s’oublier, ce qui fait d’eux les proies idéales pour les personnes toxiques qui vont chercher à profiter de leur vulnérabilité. 
Les gens dont le style d’attachement est évitant/craintif, eux, vont à tout prix fuir l’investissement, l’engagement, par peur ( parfois inconsciente ) de souffrir. Ils sont généralement très indépendants et ne veulent rien devoir aux autres ni rien leur demander affectivement. Ils gardent toujours toutes leurs émotions pour eux et leur dépendance affective se présente sous forme de relations superficielles, dans lesquelles ils refusent d’être en position de vulnérabilité. Ils veulent éviter de s’attacher, pour ne pas réactiver leurs blessures anciennes. 
Le style d’attachement désorganisé/détaché, quant à lui, est plus complexe car les souffrances et les troubles psychiques sont souvent plus importants. La dépendance affective oscille en permanence entre la recherche de connexion affective intense et le rejet quasi-phobique des manifestations affectueuses. Les gens concernés sont fortement tiraillés entre leur manque affectif et leur peur de la fusion. Leurs insécurités sont donc massives, qui se traduisent par un besoin immense de l’autre, qu’ils ne supportent pourtant pas de ressentir. 
Cela dit, la dépendance affective peut se manifester de dizaines de manières différentes, en réalité. En voici une liste non exhaustive des signes les plus récurrents :
L’incapacité à être heureux tout seul ( penser qu’on ne peut pas être épanoui sans relation à deux )
Un fort besoin de plaire à l’autre
S’emballer trop vite
S’oublier / Perte d’identité
Syndrome du sauveur ( penser qu’on peut “réparer” l’autre )
Aimer de manière démesurée
Besoin d’être sans cesse rassuré
Jalousie et possessivité 
Obsession pour l’autre
Surveiller constamment l’autre, par peur de la trahison/de l’infidélité
Tolérer l’intolérable / Pardonner l’impardonnable ( abus, violences, humiliation... )
Absence ou Faible estime de soi, car notre valeur dépend de l’autre
Manque de confiance en soi
Tendance à attirer les partenaires émotionnellement indisponibles
Tendance à attirer les partenaires toxiques, les pervers narcissiques
Peur de l’abandon, du rejet, de la solitude
Tendance à répéter les mêmes schémas, les relations malsaines
Tendance à sombrer dans la dépression en cas de rupture
Besoin permanent de présence/de proximité physique
Je ne vais pas vous détailler lesquels de ces signes me correspondent, ce serait trop long, mais en tout cas, ça vous donne déjà une bonne idée de ce que c’est que la dépendance affective. C’est très souvent le résultat d’un environnement dysfonctionnel dans la famille, où les besoins affectifs fondamentaux de l’enfant n’ont jamais été comblés, ce qui conduit ce dernier à penser qu’il ne mérite pas d’être aimé et qu’il est donc unlovable. Et c’est, par conséquent, ce que j’ai toujours ressenti aussi. Mais je vais reparler de ce sentiment constant d’être mal-aimé, dans le prochain billet d’humeur...
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i7traductionfr · 9 months
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Carte d'Anniversaire de Mitsuki: 16 Idoles Album
Partie 1 / Partie 2 / partie 3
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Partie 3 : Pour briller éternellement telle une étoile
Mitsuki :  … puis nous sommes allés au konbini et nous avons acheté des timbres. Ensuite, jusqu’à que je poste la lettre… non même après ça, mon cœur n’arrêtait pas de tambouriner d’excitation.
Mitsuki : … Et, c'est tout ce que j’ai à dire à propos de la première lettre que j’ai écrite à Zéro. Même si, il y a aussi une suite…
Riku : Une suite ?
Iori : Nii-san, attend ! C’est… !
Mitsuki : Ta-daaaa !
Riku : C’est quoi ? Une lettre… ?
Tamaki : Ah ! Zéro a répondu ?!
Sogo : Quoi ? Est-ce que tu as vraiment reçu une réponse de Zéro ?
Yamato : Mh, attendez. L’enveloppe de cette lettre n’était-elle pas faite avec des origamis ?
Nagi : Oh, c’est vrai ! Est-ce que Zéro a fait une enveloppe en origami, ou…
Iori : Pas du tout. C’est juste… une lettre que j’ai écrite pour mon frère.
Sogo : Une lettre que tu as écrite pour Mitsuki-san ?
Mitsuki : Ce n’est pas une lettre ordinaire, n’est-ce pas Iori ?
Iori : … argh ! Aaah… oui… c’est une lettre de fan que je t’ai envoyé…
Riku : Tu as écris une lettre de fan à Mitsuki ?!
Mitsuki : Oui ! C’est ma toute première lettre de fan !
Mitsuki : Maman me l’a donné après que j’ai envoyé ma lettre à Zéro. “Ceci vient d’un de tes fans”, m’a-t-elle dit
Iori : Nii-san a dit qu’il voulait rendre Zéro heureux en lui écrivant une lettre. Je voulais rendre mon frère tout aussi heureux en lui écrivant une moi-même…
Iori : Au début, j’ai demandé à Maman de ne pas révéler à Nii-san qu’elle venait de moi. Mais, apparemment, il a découvert à un moment donné…
Nagi : Pourquoi lui as-tu demandé de garder ça secret ? Pourquoi lui as-tu demandé de ne pas dire que la lettre venait de toi ?
Iori : Eh bien, je suppose que c’est plus excitant de ne pas savoir que les cadeaux reçus à Noël n’étaient pas vraiment apportés par le Père Noël.
Iori : J’ai pensé que Nii-san serait plus heureux de recevoir une lettre de quelqu’un qu’il ne connaissait pas.
Yamato : C’est donc une surprise de ta part.
Iori : Oui. Mais, finalement, Nii-san à su voir à travers tout ça et échangea plusieurs fois des lettres avec moi.
Mitsuki : Tu étais si adorable. Tu décrivais littéralement tout ce qui s’est passé pendant la journée, et même ce que l'on se disait dans tes lettres.
Sogo : Donc c’était assez évident qui était à l’origine de ces lettres.
Nagi : Oh, c’est si émouvant…
Iori : C’est parce que j’avais trois ans…
Tamaki : Ne t’en fait pas, Iori. Un grand frère est toujours heureux quand son petit frère ou sa petite sœur fait des choses comme ça.
Iori : Je ne m’en fais pas car j'ai échoué de garder une surprise quand j’avais trois ans, Yotsuba-san, tu agis énormément comme un fils aîné ces derniers temps.
Riku : Je comprends les sentiments d’Iori. Peu importe combien de fois, j'essayais de surprendre Tenn-nii, il découvrait toujours tout.
Riku : Mais ne t’inquiètes pas, Iori. Tenn-nii était heureux à chaque fois.
Iori : Je viens juste de dire que j’allais bien.
Iori : Et puis, je ne vois pas quel est le rapport entre notre conversation et le bonheur de Kujo-san.
Riku : Hé, j’essayais seulement de te réconforter ! Tu es tellement têtu, Iori !
Iori : Mais j’ai clairement dis que j’allais bien ! C’est juste toi qui n’écoutes pas ce que les autres disent.
Mitsuki : J’étais tellement heureux ! Peu importe que ce soit mon petit frère qui m’est envoyé la lettre, elle reste la première lettre de fan que j’ai reçu.
Iori : Nii-san… Tu sais…
Mitsuki : Mh ? Qu’y a-t-il ?
Iori : Peut-être que c’est quelque chose que je ne devrais pas révéler maintenant, mais…
Yamato : Qu'essayes-tu de dire ?
Iori : Ce que je tente de dire est... il y a encore une chose que je ne t'ai pas dite.
Mitsuki : Une chose que tu ne m’as pas dite ?
Iori : Tu as dit que la première lettre de fan que j’ai écrite était pour Zéro.
Iori : Mais, en réalité, la lettre de fan que j’ai écrite était pour toi… waouh !!
Mitsuki : Pourquoi tu me l’as pas dit plutôt ?!
Nagi : Oh, Mitsuki a la même expression de bonheur que quand il a câliné Iori ce jour-là. 
Iori : P-Parce que tu semblais tellement heureux, à dire que la première lettre de fan que l'on ait écrite ensemble était pour Zéro, tu en as parlé à tellement de gens… Je me demandais si ce n’était pas mieux de cacher la vérité.
Yamato : Eh bien, je suppose que tu as décidé de le dire maintenant, car tu as pensé que cela rendrait Mitsu encore plus heureux.
Yamato : Oups, j’ai tiré dans le mille ? Ça va aller.
Tamaki : Cette façon de parler me rappelle une personne âgée…
Sogo : Apparemment, quand tu vieillis, tu utilises cette façon de communication pour réduire la distance avec les autres. Je pense que Yamato-san fait exprès d’agir ainsi.
Yamato : Le fait que Sogo continue, me fait plus mal que la remarque de Tama.
Iori : Laissons de côté ce débat… Globalement, oui, c’est comme Nikaido-san a dit. En apprenant que mon ours en peluche était un souvenir spécial pour Nii-san, j'ai été très heureux.
Mitsuki : Iori…
Iori : J'ignore si j’ai pu t'apporter autant de bonheur que tu l'as fait pour moi, mais… Pour moi, le fait que la première idole que j'ai supportée, mon frère, m'a répondu… Il s'agit d'un souvenir précieux.
Iori : … J’ai essayé de te gâter un peu.
Mitsuki : Espèce d’idiot ! Bien sûr que je suis content de l’entendre !
Iori : Wahou, tu m’étouffes, Nii-san… Tu me fais mal… J’ai dit que ça fait mal…
Riku : Ahaha, Iori, tu es tout rouge ! Et Mitsuki a les larmes aux yeux !
Iori : Tu sais, contrairement à toi je ne me fais pas constamment choyer ! Mon visage est juste un peu rouge ! Peux-tu au moins faire semblant de rien remarquer !
Nagi : Okay, alors vous pouvez cacher vos visages dans mes bras !
Iori : Non, on n’a pas besoin de faire une telle chose…
Iori : Nii-san, lâche-moi…
Mitsuki : Non !
Iori : Non… ?
Mitsuki : Si tu veux que je te lâche, écoute d’abord ce que ton grand frère a à dire.
Iori : Quoi donc ?
Mitsuki : Écrivons une autre lettre ensemble, mais pour mon anniversaire cette fois.
Iori : C-C’est…
Nagi : Une merveilleuse idée ! Je veux aussi écrire une lettre de fan à Mitsuki !
Riku : Ah, moi aussi !
Tamaki : Je vais faire un origami, comme l’a fait mini Iorin ! Ils m’ont appris comment faire des lettres en origami.
Sogo : Une lettre avec des origamis ? Est-ce différent de seulement plier deux papiers normaux ?
Tamaki : C’est les mêmes lettres que les filles s’échangent à l’école ! Y a des lettres en formes de carrés, d’autres en forme de cœur… On peut choisir parmi plein de formes !
Yamato : Ah, je vois de quoi tu parles. J’étais dans une école réservée aux garçons, mais y avait des gars qui faisaient ça.
Sogo : C’est la première fois que j’en entends parler. Je n’avais aucune idée qu’une telle culture existe.
Nagi : Tamaki, s'il te plaît, apprends-moi comment en faire.
Sogo : Moi aussi ! Est-ce que cela te convient, Tamaki-kun ?
Tamaki : Ouais. Je suis plutôt doué pour ça ! Quelle forme voulez-vous apprendre ?
Riku : Hum, pourquoi pas un cœur pour aujourd’hui ?
Iori : Non, faisons une étoile.
Mitsuki : !
Iori : Nii-san, je vais te donner une étoile d’or en origami.
Fin
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sad-nightbird · 3 years
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La maudite fête des mères
S'il y a bien une journée qui est pire que toutes les autres, c'est le jour de la fête des mères. Et ça ne dure pas seulement une journée, les 2 ou 3 semaines avant je suis inondés de tout bord tout côté de publicités à propos de beaux cadeaux à offrir à sa maman.
1 fois de temps en temps ce n'est pas la fin de monde, mais parfois j'ai l'impression que mon algorithme fait exprès pour tourner le fer dans la plaie en m'exposant à diverses publicités sur cette fête.
Quand je les vois ça me fais toujours un pincement dans mon cœur et j'ai juste envie de crier: «Laisser moi tranquille!!! Je sais que j'en ai plus de mère!! C'est asser déprimant comme ça déjà!!».
Alors pour des raisons évidentes, j'évite tous réseaux sociaux aujourd'hui sauf celui-ci...
S'il y a bien quelque choses que j'aimerais dire à tous ceux qui ont encore leurs mère, c'est de ne pas la prendre pour acquis, profiter de chaque jour comme si c'était le dernier, car on ne sait jamais ce que nous réserve demain....
Dites lui que vous l'aimer, prenez la dans vos bras et profiter des moments de la vie avec elle, parce qu'après il est trop tard.
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futurzealot-blog · 3 years
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Mes péripéties d'enquêteur Mobeye et Roamler
Voici quelques péripéties en tant qu'utilisateur des applications #mobeye et #roamler. Pour celles et ceux qui ne connaissent pas ces applications, elles permettent de gagner un peu d'argent en réalisant des missions dans des magasins. Généralement payé entre 2€ et 12€ suivant la difficulté. En quelques mois j'ai réussit à amasser la somme de 250€ avec environ 2 à 3h par semaine. Il parait que certains arrivent à en vivre ... je me demande comment ils font. Alors oui ça marche, c'est sérieux et c'est payé, mais attention ce n'est pas si simple que ça en a l'air et plutôt difficile de gagner beaucoup d'argent avec. Je vais vous raconter mes aventures, au fil de ce blog.
1. La mission techniquement irréalisable :
Souvent il faut prendre des photos plan large des rayons pour voir tous les articles présent. Outre le fait que parfois le recul n'est pas suffisant à cause de l'étroitesse du rayon. Quand il faut prendre des vitrine de frigo de glaces ou de produits frais et qu'il y a de la buée dessus, la mission est impossible et il faut l'abandonner. Je ne me vois pas nettoyer 45 vitrines dans un hypermarché sans attirer l'attention du personnel ... car oui attention le personnel n'est pas au courant que vous êtes là ... voir plus loin...
2. Il faut du temps
Oui il faut du temps, beaucoup plus qu'indiqué, au moins le double. Tout simplement il y a d'autres clients , il ne faut surtout pas les prendre en photo. De dos c'est pas grave, mais pas de face et pas trop proche. Vous allez donc rater des photos, vous tromper et le simple fait de devoir rester discret et jouer au client mystère, c'est long et compliqué. Le pire sont les missions qui vous font aller d'un bout à l'autre du magasin au milieu du questionnaire pour aller chercher un PLV à l'entrée. Ha oui l'entrée des magasins parlons en ...
3. L'entrée du magasin : méfiance ...
Point stratégique il faut souvent faire des photos ici, vous savez la zone juste derrière les portiques. La où vous êtes certains de rencontrer un, voir deux vigiles. Souvent ils n'ont rien à cirer de votre présence, mais parfois les photos sont interdites dans l'établissement, et ils vont invariablement vous tomber dessus. Quand ce n'est pas tout simplement un repérage via le système de vidéosurveillance si votre attitude est trop particulière. Trainer 1 heure au rayon shampoing pour prendre en photos les 6 faces de chaque boites, c'est pas très discret. Alors légalement les vigiles ne peuvent pas faire grand chose si vous n'avez pris que des photos. De toute façon ces applications sont bien faites et les photos ne sont pas visibles dans la galerie si vous ne le avez pas mis vous même. Dans mon cas, j'ai été plutôt rapide pour réaliser la mission, pour prendre quelques photos d'un nouveau jeu vidéo. Mais j'ai négligé la vidéosurveillance au rayon multimédia. 2 puis 3 vigiles me tombent dessus en à peine 5 minutes. Je ferme l'appli, je montre la galerie et vide la corbeille, le vigile est content et ma mission n'est pas perdue, même s'il va être plutôt compliqué de la reprendre. La clé est de rester très poli et courtois mais pas trop gentil quand même, je n'ai rien fait de répréhensible. Par contre l'envie de sortir sans leur parler me traverse l'esprit. Ces mecs là sont des molosses et ils ne me feront certainnement pas de cadeaux dans ce genre de confrontation. De toute manière à 3 contre 1, je n'ai aucune chance. Légalement ils ne peuvent pas me contraindre à les suivre dans un bureau, me prendre mon téléphone ou même m'obliger à effacer les photos. En pratique il vaut mieux les effacer devant eux pour désamorcer la crise et partir gentiment sans bousculade.... je ne risque pas de retourner dans ce magasin il est trop surveillé, il doit y avoir trop de vol. En plus des deux vigiles avec brassards bien visibles ils ont 2 voir peut-être 3 vigiles discrets en planque qui tournent dans le magasin.
4. Le personnel , ne pas tomber sur le chef...
Encore une péripétie à la recherche des palettes perdues dans une grande surface très mal agencée. Le personnel de base ne me dit rien, mais un agent d'entretient va signaler à son chef un client bizarre. Evidement j'ai du chercher 15 fois la même tête de gondole qui n'est pas au bon endroit et la palette promo à l'autre bout du magasin dans un endroit improbable. Je me suis fait repéré. La chef de rayon puis 'la directrice' arrivent pour me demander ce que je fais. Si avec un vigile il vaut mieux jouer au gentil abrutit, avec les responsables j'explique comme dans les consignes : 'Bonjour madame, oui je travaille pour Heineken nous faisons juste une petite collecte d'information sur l'emplacement des palettes promotionnelles dans votre magasin.' Un homme au bout du fil, surement le véritable directeur, elle lui répond : 'Non c'est bon , c'est juste Heineken... Mais normalement il faut prévenir quand vous passez pour faire des photos.' A ça je répond : 'C'est le principe de ne pas prévenir'. Sans trop comprendre elle répète mot pour mot : 'C'est le principe de ne pas prévenir.' Puis la 'directrice' me laisse même finir les 100 pas dans son magasin ou le rayon alcool s'étale sur 15 km en face des têtes de gondoles de tous les autres rayons. Impressionnant , c'est un autre aspect de ce métier. On se rend compte que les bières, vins et alcool ça doit faire un sacré chiffre d'affaire pour ces magasins vu l'espace que ça occupe ... Bel enseignement en tout cas cette mission, la concurrence est sévère dans ce quartier et ils ont surement peur de la visite d'enquêteur des autres enseigne. Si ce n'est pas tout simplement des enquêteurs de la DDPP peut-être ...
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licoeur · 3 years
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Siège patiné par des milliers de culs, je titube dans la ville j'étouffe sous une matière Made in China qui pue l'esclavagisme d'enfants payés 3 centimes de l'heure. Je croise des SDF qui rôdent autour des passagers qui, comme moi, partent en quête de cadeaux de fin d'année. Rongée par la culpabilité je lâche 2 euros dans un bonnet troué avant de le regretter car je n'ai plus de pièces pour acheter un ticket de métro et mon compte en banque affiche moins que zéro. Faire les boutiques me ronge de l'intérieur, mon énergie s'encrasse à chacun de mes achats. Les gens butinent comme des abeilles affamées autour du miel de la consommation. Je n’ai pas faim. J’ai envie d’enfiler mon jogging en fumant chez moi, en attendant que les heures défilent en accéléré parce que j’en peux plus de la connerie du temps. Il n’y a plus rien que l’argent qui rentre et qui sort des poches de gens qui passent leur vie à bosser loin de leurs gosses qui pleurent dans les bras d’inconnus, loin de leurs chiens qui attendent une promenade hors de la maison. Qu’est ce qu’on se fait chier, il n’y a plus rien à voir que des acheteurs compulsifs dépenser sans compter pour se sentir exister. Ca suffit à plein de monde où j’hallucine ? Comment on peut se contenter de ça ? Putain, il faut que j’aille m’acheter un nouveau jogging pour méditer oklm sur la question.
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