#caroline reichel | Explore Tumblr Posts and Blogs

foxeia · 3 months

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Caroline Reichel

#foxeia

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morocosmos · 5 months

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aesthetic challenge meme

The challenge being to search '[your name]core' and choose six pictures. i was tagged by @hintofmint (appreciate it!) and finally decided to do it, but tbh i was debating on whether to or not because i think pinterest has good use cases but is also extremely terrible. so as a compromise for getting to look at pretty things and label them as me i'm also finding and linking the sources of each image in this post (to the best of my ability), or finding the closest match i can that has a source

'The King' featuring c0ttonsocks's green tree frog

Vernal Falls by florevegan (insta)

_MG_3177_ by vadym_gorgachov (seems to be the source)

Stop motion video by Caroline Reichel (insta)

Untitled from 'Epilogue to Resonance' by Robert Stone (it's part of his thesis!)

This...insta post....? (it's the only source i can find lmfao)

#in practice this was an exercise in mindful discovery and a lot of misery #i feel like it's way harder to find a source now compared to 2014-16 (my peak tumblr phase)#the worst thing is most of the pics i tried to source have already been copypasted in aesthetic blogs without sources #so reverse image search is flooded with them #not tagging because i'm not going to subject anyone to this #about me

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dixt · 2 years

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home in berlin, germany ⋅ ph. caroline reichel

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home-deco-ideas · 2 years

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#cozy #decorating #interior

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brianbraz · 3 years

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K

#girl #sexy #mama

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munichasia · 2 years

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Suresnes Castle, also called Werneck Schlössl, is a small castle in the Schwabing district of Munich ❤ Germany 😊📸🥨🍻 Greetings and have a fantastic evening all. ~~~~ Suresnes Castle was probably built between 1715 and 1718 by Johann Baptist Gunetzrhainer based on the example of the Château de Suresnes near Paris for the cabinet secretary Franz von Wilhelm. In the Château de Suresnes, Franz von Wilhelm had spent a few months with Elector Max Emanuel during his exile. Since 1756, the owners have changed constantly, including: Johann Leopold Ignatius Baron Manteuffel with his wife Maria Clara, Maria Theresia Caroline Countess of Preysing-Moos, Friedrich Imperial Count of Vieregg, Ludovica Imperial Countess of Kesling, the appellate court assessor Franz Xaver Haslinger and Ferdinand von Döllinger. After the little castle had been neglected since the beginning of the 19th century, Carl August von Steinheil moved into it in 1855. Later, in 1869 and 1870, Elisabet Ney lived and worked there. At the end of the 19th century, the castle was a popular meeting place for young artists. In 1918 the painter Hans Reichel moved into a studio apartment in the castle and became friends with Paul Klee, who also had his studio there for three months. During the Munich Soviet Republic, Reichel hid the left-wing socialist revolutionary and writer Ernst Toller in his apartment in Suresnes Castle. . . #schwabing #suresnes #antennebayern #instamunich #munichcity #welovemunich #visitbavaria #raw_germany #exploregermany #germanalphas #weroamabroad #cityshots #createxplore #destination_wow #mustdotravels #opticalwander #passporttoearth #roamearth #stillatraveler #street_visions #thetraveltag #structure_bestshots #urban_addicts #creative_ace #ready2_shoot #tones_addiction #thematic_photogroup #thecommuterstock #impressive_gallery (at Schloss Suresnes) https://www.instagram.com/p/CapvKGvMN_r/?utm_medium=tumblr

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avuc1234 · 2 years

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#CozyPlaces

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merzbow-derek · 6 years

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POST-SCRIPTUM 939

AGITATION FRITE 3

Agitation Frite 1 et 2, Témoignages de l’underground français sont donc réédités par Lenka lente. Un troisième volume est en préparation, fait d’interviews pour moitié, mais aussi de textes cette fois, dont un TOP 500 commenté des meilleures productions en la matière. On en trouvera ici des extraits, régulièrement. Par exemple, BRUNO DE CHENERILLES (ALÉSIA COSMOS).

C’était comment Strasbourg, en 1975 ?

Une belle ville, bien bourgeoise. « Overground », il ne se passe pas grand chose. Alors, il nous a bien fallu nous inventer un underground – notre monde parallèle… Pour ma part, je carburais depuis 1967-1968 à Captain Beefheart, Frank Zappa, Archie Shepp, John Coltrane, l’Art Ensemble of Chicago, le blues, William S. Burroughs, Arrabal, le Bread and Puppet Theatre, mais aussi Proudhon, Bakounine... La musique, je gratouillais déjà un peu… Dans la vraie vie, je faisais des études de journalisme : on a pas mal secoué l’école en invitant des rédacs chefs engagés, style Jean-François Bizot (Actuel), Politique Hebdo – en occupant l’école aussi… Puis, début des années 1970, j’ai très vite plongé avec passion dans des activités alternatives : librairie coopérative, agence d’information parallèle, milieux anarchistes et freaks, vie communautaire engagée, psychanalyse sauvage, écologie, lutte des minorités... Nous étions quelques poignées à chercher notre liberté dans toutes les directions. En 1975, j’ai trouvé la mienne dans le mouvement radical de la free music européenne qui m’a permis d’accorder ma passion musicale avec mes engagements. J’ai ouvert une boutique de disques absolument non rentable, Le Tympan Sorcier, où j’ai vendu tous les labels indépendants : Virgin, Caroline, FMP, Incus, BVHaast, BYG Actuel, Saravah, puis la vague punk... Pendant trois ou quatre ans, cette petite base économique m’a permis de trouver des compères improvisateurs, d’organiser des concerts avec la douzaine d’entre eux sévissant alors à Strasbourg, de m’engager moi-même comme musicien dans cette démarche exigeante. Et de commencer une première aventure musicale avec mon groupe Corbo Combo dans les quelques lieux de spectacle alternatifs à Strasbourg – Café-théâtre de l’Ange d'Or, Péniche-théâtre, aussi dans quelques festivals en tous genres...

Tu écoutes beaucoup de free music à l’époque ? Tu la découvres en direct ? Willem Breuker, Evan Parker, Derek Bailey, Music Improvisation Company ?

Je découvre dans un premier temps le free jazz à la radio, comme un prolongement du blues, via Coltrane et un album d’Archie Shepp bizarrement trouvé au magasin d’électroménager du coin. C’était donc au début des années 1970, et ça va déclencher pas mal de choses pour moi. Les premiers albums de Captain Beefheart ont également contribué à m’ouvrir les portes du free. Puis, c’est la mouvance alternative libertaire et freaky. Les premières galettes nous arrivent dès 1973 : Sun Ra, la série « Actuel » de BYG Records. Le premier festival de jazz de Châteauvallon en 1975. Cecil Taylor, Frank Wright… Et je ne sais plus par quel vendeur par correspondance, je découvre les premiers disques de la free music européenne, véritable mouvement d’émancipation. C’est là donc, que je décide de créer ma boutique, initialement pour diffuser ces labels indépendants que je viens d’évoquer. J’écoutais aussi les disques Futura, également les débuts du munichois ECM – qui n’était pas vraiment ma tasse de thé… Un peu plus tard, entre 1976 et 1978, j’assiste avec une poignée de strasbourgeois aux premiers concerts à Mulhouse de Han Bennink en duo avec Peter Brötzmann, de Willem Breuker… Puis au premier festival de Sens, organisé par Jac Berrocal – ça devait être en 1979, non ?

Milieu des seventies, c’est à cette époque que tu rencontres Pascal Holtzer, futur Alésia Cosmos ? Tu joues alors dans Corbo Combo, un duo dans le style de ce qu’explorent aussi Jean-François Pauvros et Gaby Bizien quasiment à la même époque… Sur un tract vous revendiquez un « terrain pour une musique sans foi ni loi ».

Ce tract était un peu notre manifeste, et le fondement de ma démarche musicale. Aujourd’hui, quarante ans après, je peux sans aucune réserve le contresigner ! Corbo Combo a démarré par un duo avec un autre guitariste, Michel Froehly, avant que celui-ci ne se transforme très vite en groupe à géométrie variable allant du duo au quartette : musique improvisée pure et dure, avec déjà un travail de plus en plus prononcé sur le son, la performance sonore – assez dada… Guitaristiquement parlant : très influencé par les précurseurs Derek Bailey, Fred Frith et Hans Reichel. Cependant, nous sommes alors dénigrés dans le milieu franco-français de la musique improvisée (tendance ARFI) qui venait en général tout droit du jazz et qui ne supportait pas nos guitares électriques. Bien évidemment, c’est du côté de Jac Berrocal, Jean-François Pauvros, Un Drame Musical Instantané que nous trouvions des affinités.

Une musique sans foi ni loi, oui : on est des hors-la-loi, on n’a pas de formation académique, on expérimente librement, on n’a aucune peur d’être jugé et on est forcément dans la provocation, puisque notre liberté de création est notre moteur. À cette époque, j’empoigne tout ce qui me tombe sous la main pour produire des sons, surtout sans apprendre à jouer des instruments d’un point de vue académique. Et j’en apprends beaucoup plus sur la musique, l’impro, la composition, le son et la création tout court que si j’avais fait..., ..., ...

( Alésia Cosmos, par là )

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danierchen · 3 years

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超级暖心！疫情期间安省服务员收到千元小费

圣诞将至，在安省北部小镇一家餐馆打工的服务员近日遇到了一件让她至今难以置信的事情。（CTV）几天前，在Innisfil小镇St. Louis Bar and Grill餐馆工作的Jessica Reichel像往常一样在店内招待客人。后来店里来了两名顾客，他们和她聊了会儿疫情的事情，还问她疫情期间工作是否顺利。（CTV）大约一个小时后，这两名客人用餐完毕，Reichel递给他们一张82.86元的账单。但接下来发生的事完全出乎她的意料。 “当我看到收款单，坦白说那一刻我感觉自己要晕过去了，因为我从来没有遇到过这样的事情，”21岁的Reichel说道。收据上写着这两名客人给了1000元的小费。Reichel当时以为一定是客人弄错了，于是追了出去。 “他们当时说，不，不，没有弄错，”Reichel表示，“他们说只是想帮帮我。” 这家餐馆的运营经理Caroline…